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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
Updated: 2 days 16 hours ago

Le Ministre du tourisme juge raisonnable pour le citoyen moyen le prix de 5000 DA pour une nuitée en demi-pension dans un hôtel 5 étoiles

Wed, 06/27/2018 - 16:54

Le Ministre du tourisme Abdelkader Benmessaoud, a jugé ce mardi, que les prix pratiqués dans les hôtels 5 étoiles en Algérie sont raisonnables et accessibles aux couches moyennes.

«Un hôtel 5 étoiles dans notre pays c’est à quel prix ? Je pense que c’est l’un des pays (Algérie) où les prix pratiqués sont très raisonnables, comparativement à d’autres pays touristiques dont parlent les gens», a estimé le Ministre, qui a ajouté que «5000 DA à 6000 DA pour une nuitée en demi-pension dans un hôtel, est abordable pour les couches moyennes, le salarié moyen, peuvent se permettre une semaine».

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Categories: Afrique

Alger assiste à la disparition des librairies: Le monde du livre se disloque

Wed, 06/27/2018 - 16:51

Par Hocine NEFFAH.

La fermeture de la librairie des Beaux-Arts apporte sa part de climat lugubre, d’un endroit qui constituait une allée harmonieuse, le long de la place Maurice Audin et ses terrasses longeant toute la rue menant vers la Fac centrale.

Elles pullulaient dans les grands boulevards, en leur donnant une vitalité et du charme. Leur présence imposait une espèce de rapport où l’espace propre est foncièrement respecté et marqué par un haut sens des belles-lettres et de l’esprit raffiné. Les librairies, puisque c’est d’elles qu’il s’agit, n’ont plus cette présence qui contribuait dans la dynamique socioculturelle et historique d’une ville, voire d’une capitale.
On ne retrouve plus les grands noms de librairies dans nos villes, le cas d’Alger-Centre est édifiant dans ce sens. Du haut de la rue Didouche-Mourad et en amont en arrivant à Ahmed Hamani, l’ex-rue Charasse, on peut constater «l’éclipse» totale et de la manière la plus spectaculaire d’un nombre effarant de librairies qui faisaient jadis la fierté de la ville et des grands quartiers auxquels faisait-on référence en matière de rencontres et une espèce de repère-phare que ce soit en termes d’endroits qui s’imposent de par ce qu’elles suscitaient comme engouement chez les affidés de la culture en général et de la lecture en particulier.
Ce tableau auréolé et orné de décors spirituels dégageant une odeur où la force des lettres et de leur sens incarnait le nectar estampillé et suave d’un lieu et d’un nom a cédé sa place à un «monde» envahissant et charriant ce qui constitue l’antithèse de ce qu’il y avait avant. A la place des librairies, on peut voir visiblement des fast-foods s’ériger avec ostentation et de la façon la plus manifeste dans les ruelles d’Alger-Centre, c’est l’ère de la «société de consommation» où le ketchup remplace le livre et où les boutiques de«chawarma» détrônent les lieux de la connaissance et du monde des lettres.

Être libraire, ce n’est pas une sinécure!
Le métier de libraire traverse une période des plus dures et difficiles, être libraire dans le contexte d’aujourd’hui n’offre pas de perspectives fastes pour l’avenir dans le sens où ce métier n’est pas stable, il est menacé de disparition à cause de la politique de la «promotion» du livre telle qu’assumée actuellement par les pouvoirs publics, le ministère de la Culture en l’occurrence.
Faire une descente en visitant ce qui reste comme librairies, permet d’approcher la situation des libraires et les risques qui les guettent quant à la poursuite de ce métier alors que l’asphyxie est là, omniprésente, c’est une question de temps comme disait notre interlocuteur, Ali Bey, le gérant de la célèbre librairie Tiers-Monde, située au milieu de la rue Larbi Ben M’hidi, en face de la place Emir Abdelkader. Le gérant Ali Bey a exprimé clairement et nettement la situation des libraires et aussi ce qui attend les librairies comme avenir très sombre. Il a souligné que «c’est clair que le métier de libraire soit menacé de disparition à cause de l’absence d’une vraie politique qui motive ce segment important de la culture pour se maintenir et faire face aux difficultés qu’il rencontre», a asséné le gérant de la librairie Tiers-Monde.
Avant d’aborder ce volet propre au devenir des libraires qui viennent de tirer la sonnette d’alarme quant à ce métier noble qui assure le rôle de transmetteur du savoir et de la culture sous la forme d’un livre pluridisciplinaire, il est judicieux de s’attarder sur quelques repères de ce monde. Il est tout à fait clair que chaque ville a ses librairies qui constituent sa référence propre et sa spécificité en tant qu’ensemble urbain se démarquant par sa propre personnalité dans ce domaine. Alger-Centre en fait partie, mais aujourd’hui elle est témoin d’une autre réalité qui caractérise les librairies et le métier de libraire. L’une des situations annonçant davantage de drames à ce métier, voire à ce noble monde des lettres et des arts, c’est la fermeture de la prestigieuse librairie «Les Beaux-Arts». Cette annonce est venue confirmer la spirale dans laquelle sont empêtrés les libraires et les tenants de ce métier menacé par le spectre de la disparition au quotidien. La fermeture de la librairie des Beaux-Arts apporte sa part de climat lugubre d’un endroit qui constituait une allée harmonieuse le long de la place «Audin» et ses terrasses longeant toute la rue menant vers la Fac centrale. Au début on croyait que la fermeture de la librairie Les Beaux-Arts était motivée par des travaux durant le mois de Ramadhan comme cela se fait à l’accoutumée pour beaucoup de commerces et activités libérales.
La nouvelle nous a été confirmée par la gérante de l’ancienne librairie Idjtihad, ex-Dominique située à la rue Ahmed-Hamani. Cette fermeture de plus ne fait que porter préjudice à la mémoire de son ancien gérant Vincent Grau qui est resté ici en Algérie refusant d’aller vivre dans son pays d’origine, la France. Vincent a trouvé la mort dans le pays qu’il a choisi. Il a été assassiné par la horde barbare des islamistes.
Vincent s’est donné à fond pour faire de sa librairie les Beaux-Arts un lieu où règne effectivement l’édition et la vente de tout ce qui est en rapport avec les arts, les lettres et l’esprit raffiné en termes littéraires. Voilà que le temps a eu raison de sa mission culturelle et son rôle intellectuel consistant à maintenir le lien à travers l’ouverture de sa librairie pour servir les lecteurs et les spécialistes avides d’art et de littérature.
Le métier de libraire n’est pas une sinécure, c’est ce qui est arrivé avec la librairie des Beaux-Arts du regretté Vincent Grau. La série des drames se poursuit au niveau de la librairie Idjtihad. Et à ce niveau de constat, nous comprenons parfaitement cette descente aux abysses du métier de libraire et la situation des librairies qui vivent au rythme de la fermeture.
Beaucoup de librairies ont fermé sans la moindre résistance. La librairie Idjtihad sise rue Hamani, connue, surtout par son ancienne appellation, à savoir Dominique, résiste tant bien que mal à cette situation qui s’abat à la fois sur les librairies et les libraires. Mais cette librairie n’est plus celle qui avait l’avantage d’attirer les lecteurs et les amoureux des belles-lettres et autres activités relevant du domaine de la littérature à l’image des rencontres-débats et des tables rondes autour d’un roman avec la présence de son auteur. Aujourd’hui, cette célèbre librairie est désertée, voire délaissée même. La visite nous a permis de voir de près sa situation en particulier et celle des autres librairies du pays en général.
La gérante, Meriem Belkmakem, a essayé de faire dans le factuel en soulignant que «le lectorat connaît un recul monstre au niveau de notre librairie Idjtihad. Certes, le recul est constaté dans toutes les librairies, mais la nôtre se fait sentir de plus en plus sachant qu’elle avait ses disciples et ses abonnés depuis plusieurs décennies», a rétorqué la gérante.

Le lectorat et l’abandon de la lecture
L’état de l’ex-Dominique est désastreux, il ne reste que le souvenir d’une époque qui était animée par le rêve d’une société à vocation culturelle et de progrès. Les images et les photos affichées à l’intérieur rappellent à ceux qui ne connaissent pas cette librairie qu’il y avait des noms et des personnalités littéraires qui ont pu contribuer à l’émergence de la pensée rationnelle et les idées de progrès en général. Pour la gérante Meriem Belkmakem, même «le lectorat n’existe plus, ce n’est plus comme il y a une vingtaine d’années où les lecteurs se faisaient connaître à travers le choix des livres et des lectures. Avoir une librairie en assurant la vente des livres, ne fait pas bon marché avec le laisser-aller qui ronge le monde du livre et du métier de libraire», a tonné Meriem, la gérante de la librairie Idjtihad.
C’est le même constat affiché par le gérant de la librairie Tiers-Monde, Ali Bey, qui a fait un véritable réquisitoire quant à la situation du métier et aussi du lectorat qui connaît une dégradation effarante. Dans ce sens, le gérant Ali Bey déclare que l’«on fait tout pour pousser les librairies vers la fermeture. C’est une réalité où les pouvoirs publics sont responsables en premier lieu», a mentionné le gérant Ali Bey.
Il est évident que la question de la fermeture des librairies est d’abord et avant tout une question qui relève d’une mauvaise appréciation politique de ce volet sensible de la lecture et de la promotion de la culture, de ce point de vue, il est nécessaire de rappeler que le livre est subventionné partout dans le monde, surtout dans les pays les plus développés. Le livre en Algérie vient de subir la loi du «marché», alors que le créneau n’est pas semblable ni de la même nature que les autres marchandises. Dans ce sens, le libraire de formation et gérant de librairie, Boussad Ouadi qui connaît bien le secteur du livre puisqu’il a fait ses preuves même dans le domaine de l’édition, souligne à propos de la situation à laquelle sont livrés les libraires que «neuf librairies ont fermé leurs portes ces dernières années sur la rue Ben M’hidi et la rue Didouche-Mourad, dans le silence le plus total car aucun des occupants ne s’est plaint. Plus grave encore, trois d’entre elles ont été vendues par des anciens employés de la Sned-Enal, ancienne entreprise étatique, à des marchands de vêtements ou de chaussures en empochant une confortable plus-value au passage. Aucune autorité officielle ne s’est interposée dans les transactions ni n’a jugé regrettable que des espaces culturels aient changé de vocation. A Oran, Constantine, Annaba, Tlemcen, etc. Le même processus a été observé», a expliqué Boussad Ouadi à propos de la situation des librairies et le sort qui leur a été réservé depuis l’enclenchement du processus de liquidation des entreprises du livre en premier lieu à l’image de l’Enal et la Sned et après les librairies qui étaient rattachées à ces deux entreprises qui constituaient la matrice de l’activité livresque à l’échelle nationale. La transformation des librairies en activité autre que la sienne est un signe annonciateur d’un mode de vie très grave, qui remet en cause les valeurs et aussi les critères d’une société qui aspire au progrès et à la modernité.
Le gérant Ali Bey affirme: «Depuis que je travaille dans le monde des livres en tant que libraire, je n’ai jamais remarqué autant de recul dans le lectorat et l’achat de livres. D’ailleurs c’est simple, les gens qui viennent à la librairie Tiers-Monde pour se procurer un livre, leur âge est de 50 ans et plus, c’est ce qui renseigne sur l’état de la lecture et le niveau culturel des générations montantes», a souligné Ali Bey, gérant de la librairie Tiers-Monde. Ali Bey considère que le ministère de la Culture est responsable de l’état des libraires dans la mesure où le premier rôle revient à la tutelle pour revoir beaucoup de choses dans le domaine. Ali Bey exige que «la révision fiscale soit appliquée par rapport à ce créneau et il faut donner aux libraires les prérogatives quant à la vente de livres scolaires et ne pas les laisser au niveau des directeurs des établissements scolaires», a indiqué Ali Bey.
La faillite des librairies est plus que tonitruante, mais la société assiste à ce phénomène de la disparition de ce métier fabuleux sans que des mesures soient prises en urgence.

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Les donneurs de sang honorés

Wed, 06/27/2018 - 16:43

«Soyez là pour les autres, donnez votre sang, et partagez la vie.» Tel est le slogan de l’OMS cette année, pour célébrer la Journée mondiale du don de sang le 14 Juin dernier.

A cette occasion et fidèle à ses traditions, l’association Solidarité don de sang de Béjaïa, a tenu à marquer l’évènement en programmant plusieurs activités au niveau du Centre culturel islamique d’Aamriw. En somme, cette soirée avait regroupé non seulement les adhérents et les membres de l’association, mais aussi les donneurs fidèles et réguliers, au nombre de 30, qui se sont vu décerner des médailles d’honneur et des diplômes de reconnaissance.
Les centres de transfusion sanguine de la wilaya, ainsi que le mouvement associatif qui a contribué à la réussite des programmes de collecte, les médias (la presse écrite, Radio Soummam, et Radio Web) qui ont coopéré à la promotion du don de sang bénévole, n’ont pas été du reste et chaque organisme a eu droit non seulement à de chaleureuses ovations, mais aussi à des honneurs bien mérités.
En dehors de cette cérémonie de mise à l’honneur, des affiches et des courts métrages ont permis aux présents de s’informer sur les actions de l’association et sur sa noble mission. Curieux et habitués, ils ont donc eu des réponses justes et précises à toutes leurs questions, et à tout ce qui concerne le don de sang et l’acheminement de cette matière vitale vers les établissements sanitaires pour permettre aux malades de recevoir la goutte salvatrice qui sauvera leur vie. Lors de cette manifestation aussi, un hommage particulier a été rendu à l’association Solidarité et don de sang, qui, en deux années d’existence, a pu créer des dizaines de comités dans la région de Béjaïa, a fidélisé plus de 6000 donneurs réguliers pour finir par collecter 3000 pochettes de sang. Mieux encore, un fichier de donneurs prêts à répondre à tout moment à l’appel, a été créé avec les coordonnées de chacun….Un autre geste, fort louable, qui confirme la bonne volonté des uns et des autres.
Cette cérémonie, si elle a été consacrée aux honneurs, n’a pas empêché les convives de participer à la collecte nocturne. Quelques habitués et citoyens n’ont pas hésité à retrousser leurs manches et à présenter leurs bras aux infirmiers sur place pour donner quelques gouttes du précieux liquide. Entre autres, nous avons remarqué la présence d’un élu de l’APW de Béjaïa. En fin de parcours, le docteur Boussalem a tenu à remercier de vive voix tous ceux qui ont contribué de près ou de loin à la réussite des activités de l’association, particulièrement durant le mois sacré de Ramadhan, qui a vu une affluence assez importante de donneurs, au niveau des mosquées et des lieux publics de la ville, des résidences universitaires, de la Maison de la culture et du Centre culturel islamique. Le nombre d’inscrits au don s’est élevé à 335 personnes, et le nombre de pochettes à 235. En parallèle à ces actions, l’association avait organisé le séminaire caritatif du mois de Ramadhan 2018 dans sa 5ème édition. Le docteur Rafik Boussalem soulignera cependant le manque de moyens dont souffre l’association, qui, jusqu’à ce jour, n’a bénéficié d’aucun don de la part des autorités locales. Il ajoutera dans son intervention, une déclaration de l’OMS, qui considère que le don de sang en tant qu’acte de solidarité, met en avant les valeurs fondamentales humaines, qui sont l’altruisme, le respect, l’empathie et la compassion. Ces qualificatifs représentent la pierre angulaire du système de don de sang volontaire.

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Le jardin Sofia d’Alger confirme sa nouvelle vocation

Wed, 06/27/2018 - 16:34

Jadis un lieu où les toxicomanes s’adonnaient à leurs activités favorites, le jardin Sofia, en contrebas de la Grande Poste à Alger, a pris, depuis quelques années de nouvelles couleurs et assume parfaitement sa nouvelle vocation de lieu familial pour les Algérois. Et pour cause, c’est sur ce jardin que les services de la sûreté de la wilaya d’Alger ont jeté leur dévolu pour y organiser des portes ouvertes sur les dangers de la consommation de drogues. L’organisation de ces portes ouvertes s’est tenue à l’occasion de la Journée internationale contre l’abus et le trafic de drogues célébrée par l’Algérie le 26 juin de chaque année en vue de «jeter la lumière sur les effets psychologiques et sociaux» de la consommation des drogues, et présenter les efforts déployés par les services de la police en matière de prévention et de dissuasion afin de faire face à ce fléau dans les milieux juvéniles.

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L’été à Skikda: Sous l’oeil bienveillant de la Gendarmerie nationale

Wed, 06/27/2018 - 16:32

Par Ikram Ghioua.

Les opportunistes qui harcèlent les estivants seront «pris en chasse», on parle bien des «parkingueurs» et des «loueurs» de parasols.

Skikda, ville côtière de l’Algérie, possède de très belles plages. De Collo jusqu’à Stora, la ville au relief très accidenté sur la frange littorale est, dans les massifs de Azzaba et la Marsa très convoitée par les estivant durant la période de l’été. Elle se distingue par trois types de zones topographiques: les zones de montagnes, de plaines et de piémonts. Elle reste l’une des plus belles villes du pays. Il était presque 12 heures quand nous sommes arrivés sur l’un des lieux les plus fréquentés en cette période, Jeanne d’Arc. Sur le chemin, des barrages fixes de la Gendarmerie nationale étaient positionnés le long du chemin.
Les gendarmes n’hésitaient pas à orienter les visiteurs tout en les conseillant. Parfois ils procèdent à des vérifications. Le long des plages de Jeanne d’Arc, ce même corps de sécurité veillait à la sécurité des estivants. Il y avait peu de monde à cause des examens du baccalauréat, en d’autres temps la zone connaît un flux impressionnant de touristes venant des quatre coins du pays, même du sud. La mer est un bon lieu de repos pour l’esprit et le bien être d’où toutes ces mesures de sécurité appliquées par la Gendarmerie nationale. On dit également de Skikda qu’elle possède lune des plus belles plages du pays, «la Grande Plage», située à l’ouest de la ville dans la petite commune d’Aïn-Zouit, vue à partir du club de plongé sous-marine «le dauphin». On écrit à son propos «lors de leurs visites des touristes de Tunisie (Sousse) et de Malte (Valette) ont été surpris par cette plage en pleine nature». C’est tout simplement le charme et la beauté. Pour la tranquillité des estivants, dont le nombre va connaitre une hausse les jours à venir, la Gendarmerie nationale qui travaille de nuit comme de jour, a tout prévu. Ainsi, les opportunistes qui harcèlent les estivants seront pris en chasse, on parle bien des parkings sauvages et de ceux qui comptent louer des parasols de force aux visiteurs. Seuls les hôtels situés au bord de la mer, qui ont droit à un certain espace, peuvent installer leurs équipements pour leurs clients.
Autrement, l’accès aux plages comme l’a si bien souligné le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, est gratuit. L’incident ayant conduit à la mort d’un père de famille à cause d’un stationnement, semble avoir réveillé les consciences pour que les autorités réagissent en faveur de la sécurité. Rencontrés sur les lieux, des citoyens confient que «depuis que la Gendarmerie est là, on est tranquilles», ajoutant «sous les yeux bienveillant de ce service on peut se permettre la tranquillité». Effectivement, à perte de vue et même dans des endroits isolés, la Gendarmerie nationale patrouille et observe.
On parle de la mobilisation de 20 000 à 27 000 gendarmes à travers le territoire pour assurer la mise en place d’un dispositif sécuritaire spécial dans le cadre de l’application du plan exceptionnel estival (Plan Delphine), en vue d’assurer la sécurité des plages, les quartiers sensibles et les routes qui connaissent une activité intense des citoyens. Cela concerne 331 plages autorisées à la baignade, soit 82% du total des plages. Véhicules, motocycles et brigades cynotechniques, ont été également concernés et mobilisés.
Le trafic routier sera également pris en charge pour faciliter la circulation afin de préserver l’ordre public. Rien que pour Skikda, en plus d’une vaste opération de réaménagement des plages dont l’action s’inscrit dans le cadre d’une stratégie nationale d’intégration des collectivités locales dans la dynamique du développement que connait le secteur du tourisme, six postes de police, neuf autres de la Gendarmerie nationale ainsi que 36 centres de la Protection civile sont mobilisés tout au long de la saison estivale. Dans cette même stratégie nationale, les squatteurs des plages sont sous la loupe, ceux-là même qui rendent l’accès aux estivants payants le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales a encore une fois instruit les walis dans ce sens.
Il a déclaré dans ce contexte: «Nous exhortons les walis à consolider le rôle des commissions de sécurité dans les wilayas côtières pour faire face aux squatteurs de plages et mettre un terme à tout dépassement en vue de protéger les droits et acquis des estivants et préserver ces espaces qui sont, par la force de la loi, la propriété des citoyens.» Enfin, pour rester dans la wilaya de Skikda, il y a lieu de rappeler que plus de 6 millions de visiteurs ont été comptabilisés l’année dernière.

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Sensibilisation contre la drogue: La police d’Alger ouvre ses « portes »

Wed, 06/27/2018 - 16:29

Par Ilhem TERKI.

28 cas de toxicomanie ont été accueillis lors des cinq premiers mois de l’année en cours dont 21 ont été transférés vers des centres spécialisés contre 84 cas en 2017.

Les services de la sûreté de la wilaya d’Alger ont organisé avant-hier soir, au jardin Sofia à Alger, des portes ouvertes sur les dangers de la consommation des drogues. L’organisation de ces portes ouvertes est intervenue à l’occasion de la Journée internationale contre l’abus et le trafic de drogues célébrée par l’Algérie le 26 juin de chaque année en vue de «jeter la lumière sur les effets psychologiques et sociaux» de la consommation des drogues, et de mettre en exergue les efforts déployés par les services de la police en matière de prévention et de dissuasion afin de faire face à ce fléau dans les milieux juvéniles, a souligné le commissaire divisionnaire, chef du service de wilaya de la police judiciaire, Sidhoum Hassan. «Conformément au principe de le police de proximité, il existe des services spécialisés activant sur le terrain à l’instar des cellules d’écoute installées au niveau des 13 circonscriptions administratives, des brigades de lutte contre le trafic de drogues et de psychotropes, des brigades de protection des catégories vulnérables et des brigades de la police scientifique relevant du service de wilaya de la police judiciaire» a déclaré le même responsable lors de l’ouverture de ces portes auxquelles ont participé des groupes des Scouts musulmans algériens (SMA). Indiquant que les cellules d’écoute organisent des campagnes de sensibilisation de proximité au niveau des établissements scolaires, des centres de formation professionnelle, des maisons de jeunes et des espaces publics, Sidhoum Hassen a fait savoir que 28 cas de toxicomanie ont été accueillis lors des cinq premiers mois de l’année en cours dont 21 ont été transférés vers des centres spécialisés, contre 84 cas en 2017, précisant que 136 campagnes de sensibilisation ont été organisées lors de la même période. L’officier supérieur a salué dans ce sens, l’action de coordination effectuée par les services compétents avec les partenaires sociaux. Concernant l’activité des services de police de la wilaya d’Alger durant le mois de Ramadhan, le commissaire divisionnaire a présenté au nom du chef de la sûreté de la wilaya d’Alger, le contrôleur de police Noureddine Berrachdi, un bilan marqué, a-t-il signalé, par l’organisation et la sérénité, notamment en ce qui concerne la régulation de la circulation durant les nuits ramadhanesques. Le nombre des accidents a reculé, a-t-il ajouté, de 74 accidents en 2017 à 53 accidents en 2018 faisant 69 blessés contre 58, pendant que le nombre de morts a augmenté cette année à 3 morts contre 1 seul durant le Ramadhan précédent. Concernant l’action dissuasive des services de sûreté de la wilaya, le responsable a fait état de plus de 9 000 infractions dressées et 2 661 retraits de permis de conduire (3 019 en 2017).
Plusieurs descentes ont été effectuées durant le mois sacré ce qui a permis de contrôler plus de 31 000 personnes et 18 000 voitures à même de déférer 3300 personnes devant la justice. Les éléments de la sûreté ont saisi, en outre, 3.549 kg de kif traité, 11 gr d’héroïne et 89 g de cocaïne. Noureddine Berrachdi a fait état, en outre, de 3367 affaires liées aux crimes et à la violence. Il a mis en avant, dans ce sillage, l’action de proximité et de sensibilisation des services de sûreté de la wilaya durant les heures d’El Iftar à travers les centres de contrôle et l’installation de tentes d’ El Iftar partagées entre la police et les citoyens.

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Tamanrasset: Reddition de 3 terroristes aux autorités militaires

Wed, 06/27/2018 - 16:21

Trois terroristes se sont rendus, hier, aux autorités militaires à Tamanrasset, a indiqué un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).

Dans le cadre de la lutteantiterroriste et dans la dynamique des efforts de qualité fournis par les forces de l’Armée nationale populaire, visant à faire régner lasécurité et la quiétude dans l’ensemble du territoire national, trois terroristes se sontrendus,ce matin du 26 juin 2018, aux Autorités militaires à Tamanrasset en 6e Région militaire.

Il s’agit en l’occurrence des dénommés M’hamdi Boubakr, dit – Abou Ahmed – qui a rallié les groupes terroristes en 2010 ; Ben Arouba Ennasser, dit – Abou Moussa – qui a rallié les groupes terroristes en 2014 et Ghedir Echikh, dit – Abou Omar – qui a rallié les groupes terroristes en 2016. L’opération a permis, également, de récupérer deux pistolets mitrailleurs de type Kalachnikov, unfusil à lunettes et cinq chargeurs garnis. Ces résultats de qualité réitèrent la détermination de toutes les composantes de l’ANP, notamment les unités chargées de la lutte antiterroriste, à assainir lepays des groupuscules terroristes.

Destruction d’une casemate à Skikda et d’une bombe artisanale à Aïn-Defla

Une casemate pour terroristes a été détruite avant-hier à Aïn-Zouit, dans la wilaya de Skikda, lors d’un opération de ratissage menée par des détachements de l’Armée nationale populaire, qui ont également détruit une bombe de confection artisanale à Aïn-Defla, indique mardi le ministère de la Défense nationale, dans un communiqué.

« Dans le cadre de la lutte antiterroriste et lors d’opération de fouille et ratissage, des détachements de l’Armée nationale populaire ont découvert et détruit le 25 juin 2018, une casemate pour terroristes contenant des effets decouchage à Aïn-Zouit, wilaya de Skikda.

D’autre part, une bombe de confection artisanalea été détruite à Aïn-Defla », précise la même source. En outre, et dans le cadre de la lutte contre la contrebande et la criminalitéorganisée, un détachement de l’ANP, en coordination avec les services de la Sureté nationale, « a saisi, à Tlemcen une grande quantité de kif traité s’élevant à 2,57 quintaux », tandisque d’autres détachements de l’ANP ontarrêté à In-Guezzam et Tindouf, six contrebandiers et saisi 2,5 tonnes de denrées alimentaire,550 litres de carburant, 3 véhiculestout-terrain, 12 motocyclettes et 5détecteurs de métaux.

Par ailleurs, des gardescôtes »ont déjoué une tentative d’émigration clandestine de deux personnes, à bord d’uneembarcation de construction artisanale, àAnnaba, tandis que 33 immigrants clandestins de différentes nationalités ont été arrêtés à Tlemcen », rapporte, en outre, le communiqué.

Par R.N.

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Procès des assassins de l’homme d’affaires oranais, Lachaàchi Badreddine: peine capitale requise contre les quatre auteurs

Wed, 06/27/2018 - 16:20

Par Wahib Ait Ouakli.

Le forfait, accompli à la fin du mois de décembre 2013, a été tissé de toutes pièces à partir du quartier populaire El Hamri, dans un bus.

Peine capitale. Telle est la sentence requise par l’avocat général près le tribunal d’Oran à l’encontre de quatre individus accusés d’avoir perpétré un homicide volontaire avec préméditation contre la personne de l’homme d’affaires oranais, en l’occurrence Lachaâchi Badreddine. Les accusés, jugés en fin de journée de lundi dernier, ont, selon l’acte d’accusation, accompli leur forfait dans le bureau de la victime, situé dans l’enceinte de l’unité de production de chewing-gum sise rue Soufi Zoubida, ex-Boulanger, à l’ouest de la ville d’Oran.
Le crime, accompli à la fin du mois de décembre 2013, a été tissé de toutes pièces à partir du quartier populaire El Hamri, tandis que ses séquences ont été montées à l’intérieur d’un bus de marque Isuzu et dont le motif était de commettre un larcin en accaparant le magot emmagasiné par ladite unité, des suites de ses activités commerciales. Les mis en cause, dont l’un d’eux possède un casier judiciaire déjà noirci, ont, alors, mis à exécution leur plan en se déguisant en agents de la Sonelgaz dépêchés sur les lieux pour vérification des installations de ladite unité.
Cette affaire, ayant défrayé la chronique locale, a nécessité deux bonnes années d’investigations. Elle a impliqué quatre prévenus, tous jeunes: K.Kh. âgé de 38 ans, B.A., 37 ans, M.B.M., 30 ans et H.M., 25 ans. Elle a été tournée, alors que d’aucuns, pas moins l’agent de gardiennage du lieu du crime, ne s’attendaient pas à un assaut donné, furtivement, en plein jour le 29 décembre 2013. Les quatre individus, ayant accompli leur forfait, ont pris tout leur temps sans se soucier, de prendre la fuite à bord d’une voiture de marque asiatique.
Les justiciers ayant pris l’affaire en main, en particulier la présidente du tribunal, n’a pas été bercée par les déclarations des mis en cause. Pour peu que justice soit rendue, semble-t-elle vouloir dire à travers ses questions en quête d’autres vérités. D’ailleurs, ces derniers n’ont laissé aucun point au hasard en prenant en compte tous les éléments constitutifs du dossier judiciaire. Et parmi ces éléments, figure l’arrêt de la chambre d’accusation qui renvoie ce dossier devant le tribunal criminel, au terme d’une étude avancée, des procès-verbaux de la police judiciaire, l’ordonnance de mise en accusation du juge d’instruction et autres pièces du dossier.
Tout a commencé lorsque les enquêteurs ont été alertés. Se rendant sur les lieux, ils se sont mis à la besogne en empruntant plusieurs pistes susceptibles de tirer au clair une affaire tout à fait semblable aux films hollywoodiens comprenant des séquences de crimes parfaits et difficiles à décrypter. Les policiers se sont d’abord lancés à partir du cadavre retrouvé poignardé et gisant dans son sang.
Plusieurs fronts d’investigations ont été alors ouverts et appuyés par le rapport d’autopsie établi par les médecins légistes, soulignant que la victime a été attaquée à coups d’armes tranchantes et autres violences, d’où la mort sur le champ des suites d’une profonde plaie au niveau de l’artère fémorale. Toujours sur les lieux du crime, les policiers sont également tombés nez à nez avec un petit coffre
retrouvé ouvert dont la contenance ne dépassait pas la somme dérisoire de 300 000 DA qui a d’ailleurs disparu. Par contre, le grand coffre-fort, situé dans une autre pièce, n’a pas été touché vu qu’il avait été fermé méticuleusement, d’où les difficultés qui auraient été rencontrées par les présumés meurtriers quant à la combinaison.
A l’entrée de l’immeuble, située au rez-de-chaussée, le gardien, laissé pour mort après avoir été lâchement poignardé de plusieurs coups de couteau, a été ligoté à l’aide d’un cache-nez et bâillonné au ruban adhésif. Celui-ci s’en est sorti miraculeusement. Il a joué un grand rôle en assistant les policiers dans leur quête de la vérité. À partir du portrait-robot puis d’un album-photos, il a réussi à identifier l’un des auteurs du crime répondant aux initiales K. Kh., un multirécidiviste. Ce dernier, arrêté aussitôt, est passé aux aveux, reconnaissant les faits, ce qui a facilité énormément la tâche des enquêteurs, et permis en un temps record, l’arrestation de ses complices. Durant l’instruction, les mis en cause, bien qu’ils aient été accablés par des preuves indiscutablement irréfutables, ont, toutefois, tenté de récuser les griefs qui leur ont été reprochés.

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Ensencement de 40.000 alevins depuis 2017

Wed, 06/27/2018 - 16:03

R. R.

Quelque 40.000 alevins de différentes espèces de poissons d’eau douce ont été ensemencés, depuis le début de l’année 2017 à ce jour, à travers la région Sud-est du pays, a-t-on appris auprès de la direction de la Pêche et des Ressources halieutiques (DPRH) d’Ouargla qui coiffe les wilayas d’Ouargla, Biskra, El-Oued, Illizi, Ghardaïa et de Laghouat.

Acquis à titre gracieux dans le cadre du programme d’insertion des activités d’aquaculture au système agricole, initié par le ministère de tutelle en coordination avec l’Organisation mondiale pour l’agriculture et l’alimentation (FAO), ces alevins de différentes espèces de poissons d’eau douce, dont le Tilapia rouge, le Tilapia argenté et le Silure africain (Poisson-chat) ont été ensemencés au niveau des bassins d’irrigation agricole à travers les wilayas précitées, a-t-on précisé. Ce programme vise notamment à diversifier les revenus de l’exploitation agricole, enrichir l’eau destinée à l’irrigation en produits organiques et minéraux (azote, phosphore, potassium et autres), diminuer les l’utilisation d’engrais chimiques et à accroître les rendements agricoles, a-t-on souligné. Pour cela, la DPRH organise périodiquement des sessions de formation appliquée aux agriculteurs sur les techniques d’élevage de poisson d’eau douce dans les bassins d’irrigation agricole, avec le concours de la station expérimentale de l’aquaculture saharienne (commune de Hassi-Benabdallah, relevant du Centre National de Recherche et de Développement de la Pêche et de l’Aquaculture (Cnrdpa) et la Chambre inter-wilayas de la pêche et de l’aquaculture (Ciwpa) afin d’améliorer leurs connaissances dans le domaine de l’aquaculture intégrée dans l’agriculture. Selon la même source, la production de poissons d’eau douce développée dans le cadre de la pisciculture artisanale et l’aquaculture a dépassé, l’an dernier, les 300 tonnes de différentes espèces de poissons d’eau douce, telles que le Tilapia du Nil et le Silure africain. Parallèlement, la DPRH s’emploie à consolider les capacités de production et de commercialisation et à encourager la consommation de poissons d’eau douce pour faire face à l’indifférence des gens qui préfèrent, toujours, les produits halieutiques marins. Il s’agit de la mise à niveau de la chaîne de production et de commercialisation des produits de l’aquaculture, conformément aux normes en vigueur, en multipliant les initiatives de dégustation pour faire connaître les différentes variétés de poisson produites dans la région, ainsi que leurs vertus nutritives et les recettes pour les préparer, a-t-on fait savoir. La région Sud-est du pays recèle d’énormes potentialités susceptibles de promouvoir l’aquaculture, appelée à jouer un rôle socio-économique, notamment en matière de création de richesse et d’emplois, a-t-on souligné à la Dprh.

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Une premiere école coranique avec internet

Wed, 06/27/2018 - 15:55

R.R.

Une école coranique dotée d’un internat a été ouverte dimanche dans la soirée au niveau de la mosquée « Zeid Ibn Thabet » au chef lieu de wilaya d’Illizi.

Première du genre dans la wilaya, cette structure entre dans le cadre du programme arrêté par la Direction locale des Affaires religieuses et des Wakfs visant à impulser l’enseignement coranique dans la région et à attirer le plus d’élèves issus de différentes contrées de la wilaya, y compris des zones enclavées, a indiqué à l’APS le directeur de wilaya du secteur, Abdelhaï Sebaghou. Un riche programme pédagogique, comprenant différentes matières et sanctionné par un examen de fin d’année, a été arrêté pour permettre aux élèves de disposer en fin de cursus d’une attestation de niveau donnant la possibilité de participer aux concours de recrutement aux instituts relevant du secteur à travers le pays, a-t-il précisé. Il est attendu de cette école, qui présente déjà une capacité de 20 places pédagogiques, en plus d’offrir une opportunité d’accompagnement des jeunes, de contribuer à la dynamisation de l’enseignement coranique dans la région pour préparer une génération attachée au saint Coran et lui donner l’occasion de participer aux concours nationaux et internationaux sur le Coran, a-t-il ajouté. Deux écoles similaires seront ouvertes prochainement au niveau des communes de Djanet et d’In-Amenas, sachant que la structure est déjà disponible au quartier Ifri à Djanet et les procédures administratives en voie de finalisation pour la création de celle d’In-Amenas, a révélé M.Sebaghou.

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Un accident décime une famille de quatre personnes

Wed, 06/27/2018 - 15:43

D. H.

Un accident mortel de la route a eu lieu aux approches de Bouti Sayeh sur la RN 40 à 169 km au nord-est de Djelfa. L’accident a eu lieu vers 14h lors d’une collision frontale entre un semi-remorque et un véhicule lége, devenu méconnaisable du fait de la puissance du choc et du feu qui en est venu à bout.

Le véhicule léger a immédiatement pris feu après le choc selon les témoins oculaires présents sur les lieux. Les pompiers de la Protection civile unité de Birrine n’ont malheureusement pu sauver aucune des quatre victimes. Tout ce qu’ils ont pu faire c’est d’éteindre le feu avant. Les quatre cadavres non pu être identifiés de première approche. Ils ont été calcinées. Un appel à témoins a été lancé pour identifier les victimes les résultats ont permis de connaître que c’est une famille de M’sila constituée d’un homme de 38 ans, sa maman de 66 ans, sa sœur de 34 ans et son neveu de 12 ans. Les corps déposés à la morgue vont être mis en bière et seront inhumés par leurs proches.

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Journée d’étude et de réflexion sur les problématiques de la drogue

Wed, 06/27/2018 - 15:42

MOHAMED EL-OUAHED.

Dans le cadre de la célébration de la Journée mondiale de lutte contre la drogue et la toxicomanie la wilaya de Tipasa en association avec la Direction de la santé et de la population et le centre intermédiaire de soins en addictologie de Fouka organise une journée d’étude et de réflexion sur la problématique des drogues, cet évènement coïncide à une réponse aux objectifs du programme national de santé mentale 2015-2020 qui préconise la mise en place d’une stratégie régionale en cette matière.

Cette première initiative devra selon les responsables permettre de tracer les grandes lignes d’accès :
1- au concept de l’intersectorialité et du travail en réseau.
2- à la pertinence d’une prévention adaptée à l’évolution constante du contexte et de la demande.
3 -à une approche actualisée et coordonnée des soins.
4- et enfin à développer les moyens d’asseoir des processus de réinsertion s’appuyant sur des mécanismes viables, évolutifs et devant répondre aux attentes des soignés.
Cette louable proposition devra dans un premier temps aboutir d’une manière consensuelle à l’élaboration d’un modèle organisationnel avant de pouvoir par la suite mettre en exergue un plan opérationnel qui en toute évidence concerne déjà d’une manière non exhaustive les partenaires suivants :
-le ministère de la Santé (service public et privé)
-l’Office national de lutte contre la drogue et la toxicomanie.
-les services de santé publique et privé.
les administrations (Education nationale, Formation professionnelle, Jeunesse et sports, Solidarité, Collectivités locales, Emploi, Affaires religieuses, universités).
-les services de sécurité (police, gendarmerie)
-mouvement associatif.
-le mouvement des scouts.

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Hadjar «Des programmes de rattrapage seront mis en place bientôt»

Wed, 06/27/2018 - 15:32

Soumia L.

«Les médecins résidents absents de leurs postes depuis plus de 8 mois, et qui n’ont pas assisté à leurs examens, auront la chance de compenser ce retard par des programmes de rattrapage», c’est ce qu’a informé, hier, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique Tahar Hadjar.

Lors de la cérémonie de clôture de l’année universitaire 2017/2018 qui s’est tenue à l’université Alger 2 Bouzaréah, le premier responsable du secteur a indiqué que «des programmes de rattrapage seront mis en place au profit des médecins résidents qui n’ont pas assistés à leurs cours et examens», ajoutant que les deux départements concernés ont fait de leur mieux pour que ces praticiens rattraperont tout le retard. Il est à rappeler que le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique Tahar Hadjar a salué, lundi à Alger, la décision des médecins résidents de reprendre leur travail après 8 mois de grève, affirmant que «les portes du dialogue avec eux sur les questions pédagogiques demeurent ouvertes». En marge du vote du projet de loi organique relatif à l’Académie algérienne de langue amazighe, le ministre a salué la décision du Collectif autonome des médecins résidents algériens (Camra) de geler leur mouvement de protestation et de reprendre leurs activités à partir de dimanche. «Les portes du dialogues demeurent ouvertes pour se concerter sur les questions pédagogiques qui relèvent des prérogatives du ministère», a-t-il soutenu. Après avoir souligné que la reprise du travail «ne s’oppose pas à leurs revendications», M. Hadjar a réaffirmé que «le dialogue n’a pas été interrompu avec les représentants des médecins», tout en rappelant, à cette occasion, que le ministère a tenu plus de 17 rencontres avec eux pour examiner les revendications soulevées. Il a fait savoir, à ce propos, que les portes des ministères et l’Enseignement supérieur et de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, demeureront ouvertes mais «dans le cadre du respect des lois». Le Bureau de Camra avait décidé vendredi dernier de geler le mouvement de contestation et de reprendre le travail, à compter de dimanche 24 juin, en réponse à la volonté de l’Assemblée générale qui a voté en faveur du retour au travail, seule condition du ministère de la Santé en contrepartie du dialogue. Les revendications des médecins résidents, en grève depuis le 14 novembre, portent essentiellement sur l’annulation du caractère obligatoire du service civil, la dispense du service national, la garantie d’une meilleure formation pédagogique et la révision des statuts. Concernant les épreuves finales de spécialité, le ministre de l’Enseignement supérieur a indiqué que les médecins résidents qui «renonceront volontairement à la session de rattrapage prévue entre le 1er et 19 juillet, sont considérés comme exclus.» Le ministère avait programmé une session de rattrapage pour passer l’examen de fin de spécialité en faveur des médecins résidents ayant boycotté la session normale qui coïncidait avec le mouvement de protestation. Le ministère a fixé la période allant entre le 17 et 24 juin en cours pour s’inscrire aux examens et informé les étudiants ayant raté la session normale de la possibilité de s’inscrire à celle du rattrapage.

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Destruction d’une casemate à Skikda et d’une bombe artisanale à Ain Defla

Wed, 06/27/2018 - 15:30
Une casemate pour terroristes a été détruite lundi à Ain Zouit, dans la wilaya de Skikda, lors d’un opération de ratissage menée par des détachements de l’Armée nationale populaire (ANP), qui ont également détruit une bombe de confection artisanale à Ain Defla, indique mardi le ministère de la Défense nationale (MDN), dans un communiqué.

« Dans le cadre de la lutte antiterroriste et lors d’opérations de fouille et ratissage, des détachements de l’Armée nationale populaire ont découvert et détruit le 25 juin 2018, une (1) casemate pour terroristes contenant des effets de couchage à Ain Zouit, wilaya de Skikda (5eme Région militaire). D’autres part, une bombe de confection artisanale a été détruite à Aïn Defla (1ere RM) », précise la même source. En outre, et dans le cadre de la lutte contre la contrebande et la criminalité organisée, un détachement de l’ANP, en coordination avec les services de la Sûreté nationale, « a saisi, à Tlemcen (2eme RM) une grande quantité de kif traité s’élevant à 2,57 quintaux », tandis que d’autres détachements de l’ANP « ont arrêté à In Guezzam (6e RM) et Tindouf (3e RM), (6) contrebandiers et saisi 2,5 tonnes de denrées alimentaire, (550) litres de carburant, trois (3) véhicules tout-terrain, (12) motocyclettes et (5) détecteurs de métaux ».

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Un kilo de kif traité saisi

Wed, 06/27/2018 - 15:27

Djillali Toumi.

La police a saisi 01 kilo de kif traité et une somme de 5 000 DA, présumée revenue de la vente, rapporte un communiqué de la cellule de communication et des affaires génitales de la sûreté de wilaya de Sidi Bel-Abbès.

L’opération a été déclenchée à la suite d’une information rapportant des faits d’écoulement de cette drogue dans différents quartiers de la ville par un individu âgé dans la trentaine. Le suspect a été intercepté après une surveillance minutieuse confirmant les faits. Une quantité de kif a été trouvée en sa possession, ce qui a mené à une fouille de son domicile, où l’on a trouvé l’autre quantité, d’un total d’un kilo, détaille le communiqué. Le suspect, après un interrogatoire, a révélé l’existence d’un complice qui fut à son tour arrêté. Le tribunal a prononcé une détention provisoire à leur encontre.

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Une cabale acidulée sur les migrants cible L’Algérie: pas de camp malgré la campagne

Wed, 06/27/2018 - 15:11

Par Chaabane Bensaci.

Sous le slogan porteur d’une diatribe «Marche ou crève», différents médias internationaux, mais pas des moindres, puisqu’on y trouve pêle-mêle Associated Press, Haaretz et, inévitablement, Al Jazeera, ont orchestré une cabale réfléchie…

L’offensive des pays occidentaux sur la question des migrants est limpide, elle revêt différentes façades: médiatique, d’une part, avec des «révélations» aussi tapageuses que farfelues sur le soi-disant drame de 13.000 migrants en rétention «quelque part dans le Sud algérien» (excusez du peu, les satellites n’y ont vu que…du feu!), politique ensuite, avec la visite-éclair du nouveau ministre italien de l’Intérieur, personnage rompu aux idées de l’extrême droite et nouvel empêcheur de danser en rond au sein de l’Union européenne, diplomatique enfin, avec ces pressions «amicales» sur des pays de la rive sud méditerranéenne pour les contraindre à «gérer» les camps de la misère au profit de la sécurité et de la quiétude de la rive nord, notamment.
Sous le slogan porteur d’une diatribe «Marche ou crève», différents médias internationaux, mais pas des moindres, puisqu’on y trouve pêle-mêle Associated Press, Haaretz et, inévitablement, Al Jazeera, ont orchestré une cabale réfléchie, orientée et bien plus que suspecte contre l’Algérie autour de cette prétendue affaire de 13.000 migrants «retenus» dans le désert algérien. C’était aller vite en besogne, pour détourner les regards des vraies questions qui alarment l’opinion internationale, comme cette affaire des enfants de migrants mexicains séparés de leurs parents et enfermés dans des cages ou cet autre drame du bateau L’Aquarius balloté au gré des vagues européennes qui fluctuent entre «à toi, à moi».
Dans les arcanes de l’ONU et de la quasi-totalité des institutions internationales, il est connu que l’Algérie respecte scrupuleusement tous ses engagement et les paraphes volontairement souscrits dans les conventions quelles qu’elles soient. En témoigne la toute récente déclaration du représentant du Haut Commissariat aux réfugiés comme les différentes opérations de rapatriement de migrants, toutes sans exception effectuées «en parfaite intelligence» avec les gouvernements amis des pays d’origine. Ne parlons pas des coûts engendrés et des investissements régulièrement assumés, l’Algérie n’ayant pas pour habitude de crier sur les toits au sujet de ses contributions régulières au développement des peuples amis de la région. Citons simplement, et à titre d’exemple, le fait que 40% des prestations médicales nationales ont été faites au profit des migrants pour lesquels certaines officines douteuses s’affichent versant volontiers des larmes de crocodile! En exploitant de la sorte cette information biaisée, ces milieux se discréditent d’abord et surtout eux-mêmes et le but recherché à travers une propagande aussi vile que celle dont s’enivre al Jazeera, ils ne font que renforcer l’Algérie dans sa détermination d’honorer, comme elle l’a toujours fait et le fera sans cesse, ses engagements de solidarité et d’amitié avec les peuples, en général, et ceux de la région, plus particulièrement. Aujourd’hui même, le Micl va organiser une nouvelle opération de rapatriement de migrants à partir de Tamanrasset. Elle obéit aux règles déjà usitées et au souci d’une étroite coopération avec les gouvernements concernés. N’en déplaise aux harpies de circonstance, le problème des migrants concerne toute la communauté internationale dès lors qu’il ne s’agit plus de contingents plus ou moins denses, mais d’un véritable transfert de populations, exploitées de surcroît par des réseaux de trafiquants notoires qui en tirent chaque année plus de 140 millions de dollars. Et quand on sait que ces trafiquants ne se contentent pas de la traite des migrants, mais profitent de toutes sortes de trafics (drogue, armes etc), il est aisé de comprendre les enjeux sécuritaires énormes que cela engendre et à qui profitent immanquablement tous ces crimes. Quant aux migrants eux-mêmes, il importe de savoir dans quelles conditions ils sont acheminés à travers le désert effrayant du Ténéré, moyennant 2000 euros par candidat, par le millier de 4×4 dont disposent les réseaux.
Ceci explique cela, les vagues continues de migrants qui partent à l’assaut d’une Europe érigée comme une forteresse dont les pays du sud seraient les garde-fous ne sont pas près de se diluer, mais il ne faut pas s’attendre à ce que l’Algérie inaugure un quelconque Guantanamo. Cela ne peut être, et cela ne saurait être, pour qui connaît suffisamment la doctrine de notre pays.
C’est d’ailleurs un des messages, souvent véhiculés par le porte-parole du MAE, Abdelaziz Benali-Cherif, qui rappelle, à juste titre, le coût des opérations de rapatriement (10 millions d’euros) et évoque les aides financières régulières de l’Algérie aux pays du Sahel, dans la discrétion la plus assidue, qui se suffit à lui-même pour dire que notre pays n’a aucun complexe dans ce domaine et que, depuis belle lurette, les caravanes, chez nous, passent pendant que les aboiements se multiplient…

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Iran: le président Rohani appelle à l’unité face aux « problèmes »

Wed, 06/27/2018 - 15:09

Conclu avec le Groupe 5+1 (Chine, États-Unis, France, Grande-Bretagne, Russie et Allemagne) ce pacte a permis de sortir l’Iran de son isolement en allégeant les sanctions économiques internationales à son encontre en échange d’une limitation draconienne de son programme nucléaire.

Le président iranien Hassan Rohani a appelé hier à l’unité nationale afin de préserver la «confiance» et l’»espoir» de la population dans un climat de tensions internes croissantes face à la situation économique du pays. M. Rohani a tenu ces propos alors que les commerçants du Grand Bazar de Téhéran, soutien traditionnel du système politique iranien, observent depuis lundi un rare mouvement de grève pour protester contre la dépréciation continue de la monnaie nationale et les entraves à l’activité économique dont ils rendent le pouvoir responsable. «Les médias, les universitaires, les prêcheurs, les séminaires chiites, tous ceux qui prennent la parole en public, le Parlement, le système judiciaire, tous doivent joindre leurs efforts aux nôtres», a déclaré M. Rohani dans une allocution télévisée à l’occasion d’une conférence annuelle organisée par le pouvoir judiciaire.
«Je vous assure que si nous pouvons sauvegarder ces deux atouts que sont l’espoir et la confiance du peuple, nous pouvons triompher de tous les problèmes», a-t-il souligné. «Pourquoi les gens devraient-ils s’inquiéter? Aujourd’hui, cette inquiétude est créée par les médias des ennemis. Ils font leur travail mais nous attendons davantage de soutien de nos amis», a encore déclaré le président iranien.
Conservateur modéré élu en 2013 et réélu en 2017, avec le soutien des réformateurs, M. Rohani est attaqué violemment depuis plusieurs semaines par le camp ultraconservateur – qu’il s’agisse de tribunes ou d’éditoriaux dans la presse ou de prêches d’imams de la prière dans certaines villes.
Ces critiques accusent le gouvernement de négliger les couches les plus fragiles de la population victimes de la hausse des prix induite par la dépréciation du rial, de ne pas tenir ses promesses de maintien de l’inflation, et de se concentrer au contraire sur des réformes absolument pas prioritaires à leurs yeux, comme l’admission des femmes dans les stades de foot avec les hommes.
Ils dénoncent aussi avec force l’accord international sur le nucléaire iranien, pièce maîtresse de la politique de M. Rohani. Conclu avec le Groupe 5+1 (Chine, États-Unis, France, Grande-Bretagne, Russie et Allemagne) ce pacte a permis de sortir l’Iran de son isolement en allégeant les sanctions économiques internationales à son encontre en échange d’une limitation draconienne de son programme nucléaire censée garantir que la République islamique ne cherche pas à se doter de l’arme atomique.
Mais la décision américaine annoncée en mai de sortir de l’accord a contribué à accélérer la chute du rial iranien, qui a perdu près de 50% de sa valeur face au dollar en neuf mois, sur fond de spéculation de craintes sur l’avenir de l’économie iranienne du fait du rétablissement des sanctions économiques que les États-Unis avaient suspendues en vertu de ce texte.

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JM-2018/Handball : défaite de l’Algérie face à la Tunisie (30-25) en quarts

Wed, 06/27/2018 - 15:05

TARRAGONE (Espagne) – La sélection algérienne de handball a perdu contre son homologue tunisienne 30-25 (mi-temps:14-12) en quart de finale du tournoi des Jeux méditerranéens (JM) de Tarragone, disputé mercredi à la salle Campclar.

Lors de la phase de poules, l’Algérie avait obtenu la 2e place du groupe B, après sa défaite contre la Croatie (26-37) lors de la première journée, avant de s’imposer face à l’Italie (38-32).

Le reste des matchs comptant pour les quarts de finale opposeront la Turquie au Portugal, la Croatie à la Slovénie et l’Espagne à la Serbie.

Les demi-finales du tournoi de handball des JM-2018 sont prévues vendredi, alors que la finale aura lieu dimanche, lors de la dernière journée des Jeux.

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L’ONU voit des opportunités de paix pour l’Afghanistan

Wed, 06/27/2018 - 15:00

Des opportunités se sont présentées à l’Afghanistan pour rétablir la paix et consolider sa base politique, ont estimé mardi des intervenants durant une réunion du Conseil de sécurité de l’ONU sur la situation en Afghanistan. Le représentant spécial du secrétaire général onusien et chef de la Mission d’aide des Nations Unies à l’Afghanistan (UNAMA), Tadamichi Yamamoto, a présenté le dernier rapport du secrétaire général en qualifiant d' »extraordinaires » les événements abordant les possibilités et les obstacles structurels durables. Parmi eux se trouvent la déclaration du 7 juin faite par le président afghan Asraf Ghani sur un cessez-le-feu unilatéral du 12 au 19 juin, répercuté quelques jours après par les Talibans avec leur propre cessez-le-feu du 15 au 17 juin.

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La Chine teste dans l’espace de nouvelles technologies

Wed, 06/27/2018 - 14:59

La Chine a lancé mercredi matin avec succès des satellites jumeaux pour tester de nouvelles technologies à bord de la fusée Longue Marche-2C depuis le Centre de lancement des satellites de Xichang, dans le nord-ouest du pays. Les satellites jumeaux ont été lancés à 11h30 (heure locale), et sont entrés dans leur orbite prévue, rapporte l’agence Chine-Nouvelle. Relier le réseau inter-satellites et effectuer des tests de nouvelles technologies concernant l’observation terrestre satellitaire représentent les missions de ces satellites. Il s’agit de la 278e mission des fusées de la série Longue Marche.

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