Dans la réglementation, les poids lourds sont autorisés à pénétrer la ville de 7 heures du soir à 7 heures du matin. Néanmoins depuis un certain temps, cette règle n’est plus respectée.
La circulation à Constantine pose un sérieux problème, notamment à la rentrée, chose pour laquelle, les services de sécurité ont lancé depuis le 1er septembre dernier une vaste campagne de sensibilisation aussi bien à l’égard des automobilistes que des élèves, collégiens et lycéens. Le sujet a été au coeur d’un débat le 8 septembre lors d’une émission radio où des spécialistes ont été invités à y participer. Ces derniers dont un universitaire docteur en ingénierie du transport à l’université des frères Mentouri de Constantine et Moncef Benatallah, président de l’association de prévention des accidents de la circulation «Essalama el mourouria (sécurité routière)», ont eu à plancher sur le décongestionnement de la circulation à Constantine, plus ardu au niveau de la nouvelle ville Ali Mendjeli, au centre-ville, Boussouf et au niveau de certaines périphéries. Plusieurs points ont été relevés, entre autres, le non-respect du Code de la route, les ralentisseurs qui ne répondent pas aux normes et les poids lourds qui circulent le long de la journée sans aucune gêne. Ce problème déjà souligné par L’Expression est un vrai danger, surtout que les chauffeurs s’imposent sur les routes sans tenir compte de la menace qu’ils véhiculent lors d’un dépassement au sein même d’une agglomération.
Le plus grand nombre d’entre eux scannent des autorisations de passage par le centre-ville pour tromper les services de sécurité. Dans la réglementation, les poids lourds sont autorisés à pénétrer la ville de 7 heures du soir à 7 heures du matin. Néanmoins, depuis un certains temps, cette règle n’est plus respectée.
Lors de cette émission radio, les participants ont été également d’un commun accord pour dire que «dans l’état actuel des choses, la solution réside dans l’application entière, et non partielle, du plan de circulation établi, il y a plusieurs années, par la direction du transport». A ce propos, le docteur Boulahbib Mohamed Salah, spécialiste en ingénierie du transport a estimé: «Nous craignons fort que, d’ici quelques années, il sera pratiquement impossible que l’on puisse prendre sa voiture pour se rendre au centre-ville, afin de faire des achats et accomplir quelque commission que ce soit.» Pour lui «il faut travailler dès maintenant pour préparer les alternatives de transport sachant que celles-ci ne peuvent être que dans le développement des moyens de transport en commun de haut niveau».
Les participants, mais aussi les auditeurs, ont dressé un tableau noir de la circulation à Constantine abordant également les bus qui se croient seuls sur la route qui ont été à l’origine de plusieurs accidents, au même titre que les poids lourds dont les semi-remorques. Ainsi, en mettant en évidence la géographie de Constantine, les participants ne manqueront pas de proposer des solutions en faisant le constat que ça reste des solutions provisoires de la circulation en milieu urbain.
Nul n’ignore que le parc véhicules a augmenté pour atteindre les 6 millions, selon l’Office national des statistiques, sans pour autant que la construction des infrastructures de base que représentent les routes et les voies de dégagement ne suit cette cadence. Les infrastructures nouvellement acquises telles que le transrhumel et le tramway dont une extension touchera la nouvelle ville sont suffisantes. Il faut, entre autres, y ajouter les trains de banlieue dont il faut activer le programme établi dernièrement qui allait de Zighoud-Youcef à El-Gourzi, couvrant 80 kilomètres environ. En effet, remettre le train en fonction peut être une solution de taille, notamment pour le transport de la marchandise pour diminuer le nombre des poids lourds.
Par Ikram GHIOUA
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Une récolte d’un million de quintaux serait attendue cette saison à Batna.
La production de la pomme promet de s’intensifier au cours de cette saison. Si l’on se réfère aux prévisions de la direction des services agricoles (DSA), une récolte d’un million de quintaux serait attendue cette saison à Batna.
La DSA parle ainsi d’une augmentation «considérable» par rapport à l’année 2017 où cette production a été estimée à 825 000 quintaux, souligne le responsable du secteur, Smail Zerguine à l’APS. «Sur une surface de 258 hectares, une quantité de 40 575 quintaux de pommes a été à ce jour récoltée», a-t-il indiqué.
La même source a ajouté que les premières cueillettes ont été lancées il y a environ deux semaines, dans les régions sud de la wilaya à l’image de «Barika et El Djezzar connues par leurs productions anticipées des qualités pomme «Hanna» et «Royale Gala» augurent «une bonne récolte» du point de vue «qualité et quantité». Smail Zerguine fera encore savoir que ce rendement conséquent se traduira par une moyenne de production qui s’affichera à 250 quintaux l’hectare. Il poursuivra en avançant que malgré la grêle qui a touché de plein fouet cette région au mois d’avril dernier, «les surfaces labourées dont celle de la pomme n’ont pas subi de graves conséquences» suite à ces intempéries. Il dira néanmoins que «30 ha ont été endommagés dans la région de Rahouet dans la commune de Hidoussa», rappelant à ce titre que des dispositions avaient alors été prises par les agriculteurs pour limiter les ravages.
Par ailleurs, il y a lieu de signaler qu’en dépit de la réputation dont jouit ce fruit dans la wilaya de Batna, la production de la pomme a jusque-là été faible par rapport à son réel potentiel. Elle excédait ainsi rarement les 800 000 quintaux à chaque saison. Les services agricoles se sont alors employés avec le temps, à agrandir les superficies des vergers dans l’espoir d’avoir un meilleur rendement. Les besoins nationaux pour ce fruit seraient alors pleinement satisfaits, si l’Algérie venait à réaliser son autosuffisance en la matière. Par ailleurs, avec ce renforcement de la récolte qu’augurent les autorités concernées pour cette saison, peut-on voir plus loin et réussir à créer d’éventuelles opportunités d’exportation vers d’autres pays, si toutefois la production poursuit sur ce rythme pendant les saisons à venir? Mais avant d’en arriver là, il faut tenir compte de divers problèmes qui tendent à freiner la production de la pomme. Les spécialistes pointent du doigt entre autres raisons, le manque d’entretien des vergers ou encore, les connaissances limitées des agriculteurs algériens sur les techniques modernes relatives à l’arboriculture notamment.
D’autre part, Smail Zerguine a avancé que «65% de la production de pommes dans la wilaya de Batna sont composées d’espèces à cueillir tardivement, jusqu’à la fin du mois d’octobre, notamment dans les régions montagneuses considérées comme un véritable pôle de production de pommes.» A savoir, Ichmoul, Inoughiss, Arris, Foum Ettoub, et Oued Taga jusqu’à Meriel dans la commune de Ayoune El Assafir, où les variétés «Golden Délicious» et «Star Krimson» sont produites. Ce dernier fait enfin savoir que la superficie dédiée à la pomme à Batna est de 4 451 ha dont 3 817 ha productifs.
Par Massiva ZEHRAOUI
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En dépit de la mise en service du nouveau pont et l’échangeur au niveau du pont Y, la circulation routière demeure un casse-tête chinois pour les automobilistes.
Plus de 120 000 véhicules traversent quotidiennement la ville de Annaba provoquant, à des heures de pointe, d’énormes bouchons causant des désagréments aux automobilistes. Autrefois retenue sur le compte de la saison estivale, période durant laquelle, le flux des vacanciers automobilistes apportent un lot supplémentaire de désagréments, notamment sur les principaux axes routiers de la Corniche. Depuis le centre-ville et jusqu’à Aïn Achir, en passant par le boulevard du 1er Novembre, il est difficile d’atteindre sa destination. Les habitants entre autres de Toch, Lakaroube, côté plage, n’ont pas cessé de créer leur désarroi. «En cas d’urgence, il est difficile pour le véhicule de la Protection civile de se frayer un passage dans un bouchon, de plus de 2 kilomètres», nous dira, un locataire dans l’un des lotissements de cette zone du Front de mer.
Aujourd’hui, la situation, même avec le départ des estivants, et bien que les embouteillages aient quelque peu diminué, il demeure néanmoins que la situation est encore insoutenable. C’est pour dire que le trafic routier à Annaba est depuis les cinq dernières années, devenu un véritable casse-tête pour les conducteurs, voire un enfer au quotidien. Chaouki, un chauffeur de taxi, nous déclare qu’avec toute son expérience dans les itinéraires à suivre, il n’arrive toujours pas à éviter les embouteillages sur tous les axes routiers à l’intérieur de la ville et même dans la périphérie.
Pour notre interlocuteur et bien d’autres, ces étranglements, ces embouteillages ne se forment pas seulement durant les heures de pointe, puisque dans tout le périmètre urbain, la situation est la même partout. Du côté du Cours de la Révolution, du boulevard El Amir Abdelkader, le boulevard d’Afrique, la rue Ibn Badis, Didouche Mourad, ou encore la rue de l’ALN, Sidi Brahim, Sidi Achour, Val Mascort, El M’haffeur, ainsi que le point giratoire du Pont-Blanc et bien d’autres rues et quartiers, le ralentissement, voire l’arrêt total de la circulation automobile cause bien des désagréments aux conducteurs et leurs véhicules. «Faire un tronçon de 500 mètres en première et deuxième vitesse, endommage fortement le véhicule, les plaquettes de freins notamment», ont déploré plusieurs conducteurs, qui ont mis en avant, la cherté de la pièce qui n’est d’ailleurs pas d’origine.
Si le problème de l’embouteillage demeure endémique pour la wilaya de Annaba, le centre-ville notamment c’est parce que et tout simplement, il n’existe à Annaba que deux entrées principales pour la ville. La RN 44 et la RN 16. Deux axes routiers menant des différentes communes de Annaba, avec en plus ceux des wilayas limitrophes. Ils sont par période plus de 70 000 automobilistes à circuler dans le tissu routier de Annaba, notamment durant les heures de pointe. Une période où tout un chacun veut arriver tôt soit à son travail soit à son domicile. Sans compter les conducteurs qui n’ont rien à faire, qu’à contribuer à accentuer la situation, déjà intournable pour le commun des mortels. Si la vie speedée des Annabis est pour quelque chose dans la formation des embouteillages, l’état des routes y est encore pour beaucoup. En effet, les crevasses et les routes défoncées ici et là dans les rues et ruelles de Annaba ont aggravé la situation.
Les automobilistes cherchant à contourner ces obstacles occasionnés par la négligence des responsables du secteur à Annaba, se retrouvent tous convergés sur le même tronçon, provoquant un interminable bouchon. Pour éliminer l’encombrement à Annaba, plusieurs projets avaient été retenus. Mais seulement le pont de la cité Seybouse, un projet avec deux échangeurs, dont un seul achevé et en service, arrive à peine à désengorger les lieux, notamment au pont «Y» situé à la sortie sud de la ville. Quant au projet qui avait été prévu sur l’axe ouest de la ville, à hauteur du Pont-Blanc, les autorités qui ne s’étaient pas fixées, à l’époque sur la nature de l’ouvrage qui balance entre une réalisation aérienne et une autre souterraine, aurait été annulé selon certaines sources.
La concrétisation dudit projet aurait certainement, contribué à désengorger cet axe routier, où sont implantées plusieurs institutions hospitalières et cliniques, notamment. En attendant que de vraies mesures soient prises, à la faveur de la délicate problématique des embouteillages, un plan antibouchons s’impose pour Annaba, afin de définir les points noirs et prendre les mesures adéquates permettant d’éviter les accidents, notamment en cette rentrée scolaire et sociale qui s’annonce rude pour les usagers des routes.
Ceux surtout occupant depuis quelques mois, les nouveaux pôles urbains, Kalitoussa et El Bouni, mais surtout ceux de Draâ Errich. Et comme dit l’adage: «La journée appartient à ceux qui se lèvent tôt», les fonctionnaires des administrations et écoliers de ces nouvelles cités, sont appelés à prendre au moins deux heures d’avance pour arriver à l’heure.
Par Wahida BAHRI
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Cette situation qui a pris une dimension problématique, à répétition, n’arrive pas à secouer les responsables de la gestion de la ville et des ensembles urbains dans le but d’alléger le fardeau des Algériens qui se voient chaque jour confrontés à ce genre de désagréments des plus fous.
Chaque rentrée sociale le citoyen se pose la sempiternelle question de l’embouteillage qui taraude son esprit quotidiennement. Ce problème s’est transformé en un véritable stress qui guette le citoyen dans les grandes villes en général et la capitale en particulier.
La saturation routière est devenue un véritable feuilleton sans fin à telle enseigne que les usagers de la route songent à «contrer» cette espèce de situation embarrassante par des «solutions» ingénieuses consistant à se lever tôt pour échapper à «sentence» de la route et son lot de bouchons noirs et d’embouteillages causant parfois des accidents et des collisions de par l’état psychologique des usagers le moins que l’on puisse dire intenable et qui frise la nervosité.
Cette situation qui a pris une dimension problématique, à répétition, n’arrive pas à secouer les responsables de la gestion de la ville et des ensembles urbains dans le but d’alléger le fardeau des Algériens qui se voient chaque jour confrontés à ce genre de désagréments des plus fous.
Certes, la capitale n’est pas en mesure de supporter le potentiel démographique actuel qui a connu une évolution exponentielle, sachant que cette dernière, c’est-à-dire la capitale, avait conçue lors de sa création pour abriter 900.000 habitants. Depuis, l’Algérie a connu un développement humain et infrastructurel important, mais en aucun cas les experts et les responsables de la ville et de la mobilité urbaine n’avaient songé a remédier la situation caractérisée par une saturation infernale. Il est à rappeler que les experts de la sociologie urbaine avaient alerté depuis des années les pouvoirs publics sur les conséquences d’une situation de réseau routier qui se rétrécit tel une peau de chagrin sans pour autant réfléchir sur les voies et moyens pour contourner ces situations qui finiront par plonger les usagers et les grandes villes dans une spirale intenable quant à l’asphyxie qui pourrait produire un climat inadéquat avec les caractéristique d’une ville et de son schéma urbain conçu sur la base d’un mécanisme essentiel à savoir l’intermodalité qui est le pilier, voire le noeud gordien d’une ville du point de vue sociologique. Il faut dire que la capitale souffre de cette vacance criarde d’une interconnexion urbaine censée donner à la ville sa vitalité, à commencer par la gestion et la conception des voies et des réseaux routiers en étudiant leur optimisation en fonction du schéma directeur propre à ladite ville et ses besoins en matière de trafic et de capacités.
Le citoyen passe des heures dans la voie routière en menant un parcours du combattant dès la matinée pour réaliser «une prouesse» qui consiste à arriver à l’heure à son poste de travail, ce qui n’est pas le cas pour un grand nombre usagers de la route.
Il est urgent de mettre en place une commission qui s’attellera à dégager une réflexion sérieuse et concrète par rapport à ce phénomène de l’embouteillage qui prend de l’ampleur et qui désarçonne la quiétude des Algériens que ce soit lors de leur sortie de bon matin de leur domicile ou dès le retour le soir. Est-il temps de concevoir une nouvelle approche pour désengorger la capitale et les grandes villes?
Par Hocine NEFFAH
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JALALABAD (Afghanistan) – L’attentat-suicide qui a visé mardi des manifestants près de Jalalabad, dans l’est de l’Afghanistan, a fait 19 morts et 51 blessés, selon un nouveau bilan rapporté par un responsable de la province de Nangahar.
« Le bilan s’élève désormais à 19 morts et 51 blessés », a indiqué le porte-parole du gouverneur de la province, Ataullah Khogyani, cité par l’AFP.
Un précédent bilan faisait état de 8 tués et 35 blessés.
Les manifestants étaient réunis à proximité de la frontière pakistanaise, en bloquant l’accès, pour protester contre la nomination d’un nouveau chef de la police, lorsque le kamikaze a fait exploser sa charge.
Mardi matin à Jalalabad, une double attaque visant une école de filles a par ailleurs fait un mort et quatre blessés. Une première explosion a retenti devant l’école de filles Malika Omaira vers 8H30 locale (4H00 GMT).
Une seconde explosion s’est produite alors que des élèves d’une école de garçons voisine se précipitaient sur les lieux.
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1 pâte brisée, 1 pot de 500 g de crème fraîche, 3 gros œufs, 500 g de gruyère râpé, 250 g de crevettes, 2 blancs de poireaux, beurre pour le moule
Faites revenir les poireaux dans une poêle avec une noix de beurre. Ajoutez-y un verre d’eau et laissez mijoter à feu doux jusqu’à évaporation de l’eau et que l’aspect soit comparable à une sauce épaisse.
En même temps, faites revenir avec une noix de beurre les crevettes. Lorsqu’elles sont cuites, dans une jatte, mélangez la crème fraîche, le gruyère et les œufs puis ajoutez-y les poireaux et les crevettes. Mélangez.
Beurrez 1 moule à tarte et déposez-y la pâte brisée. Aérez-la en la piquant avec une fourchette. Versez le mélange et enfournez pendant environ 35 min.
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ALGER – Une cache contenant une importante quantité de munitions a été découverte lundi par un détachement de l’Armée nationale populaire (ANP) lors d’une patrouille menée près de la bande frontalière à In Guezzam, indique mardi le ministère de la Défense nationale dans un communiqué.
« Dans le cadre de la lutte antiterroriste et de la sécurisation des frontières, grâce à l’exploitation de renseignements et lors d’une patrouille menée près de la bande frontalière à In Guezzam (6ème Région militaire), un détachement de l’Armée nationale populaire a découvert, le 10 septembre 2018, une cache contenant une importante quantité de munitions s’élevant à 2.600 balles de différents calibres », précise la même source.
Dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée, des Garde-frontières « ont arrêté, à Bechar (3 RM, un narcotrafiquant en possession de 9,2 kilogrammes de kif traité, tandis que des éléments de la Gendarmerie nationale ont saisi 1.200 unités de différentes boissons à Mascara (2ème RM), 20 quintaux de feuilles de tabac et 5.000 paquets de cigarettes, à El-Oued et Laghouat (4ère RM) », ajoute le communiqué.
D’autre part, des détachements de l’ANP et des éléments de la Gendarmerie nationale « ont intercepté, lors d’opérations distinctes, 26 immigrants clandestins de différentes nationalités à Adrar, Naama et Ghardaïa », relève le MDN.
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ALGER- Un projet de complexe de gestion et de valorisation énergétique des déchets est prévu début 2019 en vue de réduire les déchets de 30 %, a déclaré lundi la ministre de l’Environnement et des Energies renouvelables, Fatma Zohra Zerouati.
Lors d’une rencontre avec le Wali d’Alger, Abdelkader Zoukh et les autorités locales de la wilaya, Mme Zerouati a indiqué que ce projet, d’une valeur de 30 milliards de da, permettra de prendre en charge les déchets dans quatre wilayas: Alger, Blida, Boumerdes et Tipasa.
La ministre a également évoqué la préparation des assises sur l’économie circulaire qui débuteront en fin d’année et porteront sur la gestion intégrée des déchets.
Mme Zerouati a souligné l’impératif de trouver des solutions opérationnelles de transport et de transfert des déchets, à l’instar de la création de centres de transit et de tri des déchets valorisables, pour gagner du temps.
Elle a, dans ce sens, appelé à mettre un terme au gaspillage et à la surconsommation pour préserver l’environnement.
La ministre a évoqué l’idée du transport des déchets par voie ferroviaire qui sera examinée dans le projet de valorisation énergétique pour une gestion rationnelle et efficace des déchets.
Mme Zerouati a mis l’accent sur la nécessité d’introduire un plan de gestion des déchets au profit des nouveaux quartiers, en vue de garantir un cadre de vie décent pour les citoyens et préserver l’environnement.
A une question posée par la presse sur la méthode traditionnelle de collecte des déchets à la Casbah, la ministre a indiqué que les ruelles de la Casbah sont exiguës et ne permettent pas l’accès aux camions de collecte des déchets, soulignant que cette méthode est usitée dans d’autres pays du monde.
Elle a tenu à rappeler que l’implication des citoyens et de la société civile est nécessaire pour la préservation de l’environnement, mettant l’accent sur le rôle efficient du citoyen qui doit inculquer la culture environnementale aux générations montantes.
La ministre a, entre autres, évoqué la mise en place d’un plan d’action à court terme pour la troisième unité de tri du centre d’enfouissement technique (CET) de Hamici, pour une durée de 10 ans, et ce pour assurer son exploitation optimale.
De son côté, le Wali d’Alger, Abdelkader Zoukh a souligné l’impératif de conjuguer les efforts pour trouver des solutions à tous les problèmes liés à la situation environnementale qui est « en nette amélioration ».
Des sommes colossales ont été débloquées pour la prise en charge des questions environnementales, a indiqué M. Zoukh, appelant à une consommation rationnelle notamment du pain.
Il a rappelé les réalisations accomplies par la wilaya d’Alger et le ministère de l’environnement, particulièrement l’élimination de 500 points noirs à Alger qui ont été transformés en espaces publics et verts.
Cette rencontre a permis de passer en revue les mesures prises par la wilaya d’Alger pour la prise en charge de l’environnement, dont le lac de Reghaïa et l’aménagement de Oued El Harrach.
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Entre le diktat des milices et la menace terroriste, les Libyens n’ont d’autre choix que l’éternelle attente d’un règlement politique de la crise qui dure depuis sept ans.
Une attaque terroriste contre le siège de la compagnie pétrolière nationale (NOC) à Tripoli a fait au moins deux morts et dix blessés, ont rapporté les médias locaux citant des sources officielles. Revendiquée quelques heures plus tard par la branche libyenne de l’autoproclamé État islamique, cette nouvelle attaque a été perpétrée par au moins trois terroristes, dont un d’eux s’est fait exploser à l’intérieur. Parallèlement, il y a eu un échange de tirs nourri, ont ajouté les mêmes sources. L’ampleur des dégâts matériels au sein du siège de la NOC témoigne de la violence de cette attaque. Les employés qui ont été exfiltrés par des milices locales ont affirmé avoir entendu des tirs sporadiques et des terroristes qui criaient “Descendez, bande de mécréants !”, lit-on sur les médias en ligne. Ces derniers avaient même évoqué une prise d’otages au début de l’attaque, durant laquelle la situation est restée confuse. Réagissant à cette attaque, le président de la NOC, Mustapha Sanaa Allah a affirmé que la production pétrolière ne sera pas affectée, mais il a estimé que “cette agression confirme la détérioration de la situation sécuritaire et sa fragilité dans le pays”. Ce pourquoi “il faut prendre des mesures sécuritaires supplémentaires pour permettre à notre compagnie de résister devant ceux qui se mettent devant la relance de la Libye”, a-t-il insisté. Quant à Fayez al-Serraj, le président du Conseil présidentiel et non pas moins Chef du gouvernement d’union nationale (GNA), issu de l’accord de l’ONU, il a immédiatement dénoncé cette attaque dans un communiqué rendu public sur les réseaux sociaux, tout en réunissant les responsables de la sécurité à Tripoli. Pour sa part, le président du Parlement de Tobrouk, Aguila Salah, a profité de l’attaque d’hier pour remettre sur la table la question de la levée de l’embargo international sur les armes en Libye, soulignant aussi la nécessité de se battre contre le chaos que vit le pays depuis la chute de l’ancien régime de Kadhafi en 2011. La mission de l’ONU en Libye (Manul) a, elle aussi, “condamné fermement l’attaque terroriste et lâche” et a appelé “les Libyens à renoncer aux conflits secondaires inutiles et à s’unir, en partenariat avec la communauté internationale, pour éradiquer le fléau de terrorisme à travers le pays”. La Manul fait référence aux récents combats entre groupes rivaux près de Tripoli, qui ont fait au moins 63 morts et 159 blessés entre le 27 août et le 4 septembre. Les affrontements ont marqué une pause après la signature d’un accord de cessez-le-feu, sous l’égide de l’ONU. Globalement respecté, cet accord ne résout toutefois pas les dissensions entre les multiples groupes armés, qui ont maintenu leurs positions dans et autour de la capitale. Lors d’une nouvelle réunion dimanche sous l’égide de la Manul, les groupes rivaux se sont engagés à continuer à respecter le cessez-le-feu, selon la Manul.
Lyès Menacer
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Concernant les opérations de recouvrement des amendes et autres contraventions devant être perçues par les services des impôts, le gouvernement a décidé de les confier à la justice.
Invité hier de l’émission “l’Invité de la rédaction” de la Chaîne III de la Radio algérienne, le directeur général des impôts, Mustapha Zikara, a indiqué que les charges fiscales qui n’ont pu encore être recouvrées à ce jour s’élèvent à 12 000 milliards de dinars. Ce chiffre de 12 000 milliards de dinars, révélé hier, correspond exactement à celui annoncé par le même responsable en décembre 2017 comme “reste à recouvrer”. Est-ce à dire que durant ces derniers mois, l’administration fiscale n’a pas pu assainir ne serait-ce qu’une partie de ce montant ? La réponse semble affirmative puisque, hier, M. Zikara a estimé que, concernant ces 12 000 milliards de dinars, il ne s’agit pas d’impôts. Ce qui voudrait dire que ces
12 000 milliards de dinars ne sont plus une fiscalité réelle. Reprenant le même argumentaire que celui de décembre 2017, le directeur général des impôts a indiqué que sur ce montant, il y a près de 8 000 milliards qui sont des amendes judiciaires. Le reste, soit 4 000 milliards, représente, selon M. Zikara, des dettes très anciennes qui des fois dépassent les 15 années et dont certaines sont à l’indicatif d’entreprises publiques dissoutes. D’autres sont des montants qui bénéficient légalement d’un sursis de payement. Ce qui pousse à croire que ce sont des dettes fiscales non recouvrables. Ce qui met en évidence les limites de l’administration fiscale en matière de recouvrement quand il ne s’agit pas de prélèvement direct. D’ailleurs, concernant les opérations de recouvrement des amendes et autres contraventions devant être perçues par les services des impôts, le gouvernement a décidé de les confier à la justice. Cette décision a été prise en appui à une mesure similaire, entrée en vigueur en octobre 2017, qui a vu le transfert des opérations de recouvrement des services des finances vers ceux de la justice. En situation de crise, il était impératif de mettre le paquet sur le recouvrement des créances qui sont d’un grand secours pour le budget de l’État. C’est d’ailleurs pourquoi le gouvernement avait fixé comme objectif d’atteindre un taux de 11%. Mais cet objectif semble avoir été revu à la baisse. Pour M. Zikara, 11% n’est pas hors de la portée de l’administration discale. Mais un objectif doit être fixé en tenant compte de la réalité économique et de l’évolution de la conjoncture économique. Or nous sommes, qu’on le veuille ou pas, dans une période difficile, a-t-il ajouté. “Il y a une baisse de l’importation. Il y a un ralentissement de l’activité économique, notamment du secteur privé, un ralentissement également dans l’investissement public avec le gel d’un certain nombre de projets non engagés ou bien qui sont en démarrage. Tout cela altère le recouvrement fiscal.” Il a par ailleurs relevé le manque de moyens humains de la DGI qui ne dispose en tout et pour tout que de 611 agents de contrôle. Reste que le DG des impôts a rejeté l’idée d’une prétendue faiblesse du niveau de recouvrement fiscal. Tout en reconnaissant qu’il y a encore du travail, il a indiqué que, pour les 8 premiers mois de 2018, la fiscalité ordinaire a atteint 60,7%, soit un montant de plus de 2 020 milliards de dinars sur les 3328 milliards fixés par la loi de finances complémentaire.
Pour ce qui a trait à la fiscalité pétrolière, il note que le taux de réalisation a atteint de son côté 68,6%, représentant un total de 1610 milliard de dinars sur un montant de 2349 milliards de dinars attendus.
Saïd Smati
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Au moins 50 personnes ont péri, mardi, dans un accident de bus dans l’Etat du Telangana, au sud de l’Inde, ont indiqué les autorités locales.
Le véhicule transportant quelque 80 passagers, des pèlerins revenant d’un temple hindou, est sorti de la route dans le district de Jagtial, à environ 150 kilomètres au nord de la capitale régionale Hyderabad.
« Plus de la moitié des personnes tuées étaient des femmes et il y avait au moins trois enfants », a déclaré le responsable administratif local G. Narendhar.
Les routes Indiennes sur lesquels les accidents mortels sont fréquents figurent parmi les plus meurtrières du monde.
Plus de 150.000 personnes meurent, chaque année, dans les accidents de la route de ce pays d’Asie du Sud en raison notamment de la vétusté des voies de communication et des conduites dangereuses.
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Angela Merkel effectuerait ce 17 septembre une visite en Algérie à en croire plusieurs sites électroniques qui citent la radio allemande DW. Elle sera à la tête d’une importante délégation d’hommes d’affaires pour assister au Forum des affaires algéro-allemand, organisé par la Chambre du commerce et de l’industrie en coordination avec la Chambre arabo-allemande du commerce, les 17 et 18 septembre prochains à Alger. La chancelière allemande abordera lors de sa visite, le renforcement de la coopération économique, mais aussi la question du rapatriement des migrants clandestins. Elle devrait notamment relancer la demande lancée par l’Union européenne (UE), et déjà rejetée par Alger, d’ouvrir des «centres de rétention» visant à accueillir les migrants clandestins.
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L’Algérie est en mesure d’arrêter les importations de produits agricoles, d’ici trois années a affirmé, lundi à Alger, le ministre de l’Agriculture, Abdelkader Bouazgui.
Les indicateurs de production sont à même de permettre au secteur agricole d’arrêter graduellement l’importation « d’ici trois ans », a-t-il indiqué lors sa participation à une émission de la Radio Algérienne.
Pour le ministre, ce niveau de production n’aura été rendu possible que grâce aux moyens mobilisés par l’Etat dans les domaines de la production, de l’élargissement des superficies irriguées, de la mise en valeur des terres et de l’encadrement des agriculteurs en matière de maitrise du processus technique de production.
M. Bouazgui a notamment qualifié la production céréalière de 60,5 millions de quintaux de « volume record » par rapport à celle engrangée en 2017.
Reconnaissant que les résultats obtenus dans la filière restaient cependant « insuffisants » pour arrêter les importations, il n’en a pas moins considéré que le maintien du même rythme de production dans les deux prochaines années à venir, permettrait à l’Algérie de réaliser une autosuffisance en matière de blé dur en particulier.
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La sélection Algérienne dames et messieurs de natation a récolté 5 médailles (1 en or, 1 en argent et 3 en bronze) lundi soir, lors de la première journée des Championnats d’Afrique 2018, qui se déroulent à Alger.
Celle en or a été remportée par Nefsi Rania Hamida sur le 400m/quatre nages, à laquelle se sont ajoutées l’argent du 4x200m nage libre et celles de bronze de Medjahed Nesrine, troisième sur le 100m nage libre, en 58.09, de Mellih Amel, troisième sur le 50m dos, en 29:67 et de Ardjoun Abdellah, également troisième sur le 50m dos, en 26.54.
Une moisson importante pour la sélection Algérienne, forcée de revoir ses prétentions à la baisse en raison de la défection de trois de ses meilleurs atouts, Oussama Sahnoun, Djaoued Seyoud et Nazim Belkhodja, qui avaient déclaré forfait 48 heures avant le début de la compétition.
Alors que Sahnoun avait évoqué une blessure aux adducteurs et Seyoud un problème à la cheville, Belkhodja s’était excusé pour des problèmes familiaux, a indiqué le président de la Fédération Algérienne de natation, Mohamed Hakim Boughadou.
Ces absences ont contraint la sélection Algérienne à revoir ses objectifs mais les cinq médailles récoltées durant la première journée semblent avoir redonné espoir à celle-ci.
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WASHINGTON- Le ministre du Commerce, Said Djellab, a donné lundi à Washington, le coup d’envoi de la semaine de l’Algérie aux Etats-Unis, un rendez-vous inédit destiné à faire connaître l’histoire, le patrimoine et le potentiel économique et touristique de l’Algérie.
C’est dans une ambiance festive, marquée par la prestation d’une troupe folklorique venue de Setif, que s’est ouverte cette manifestation à l’esplanade du centre fédéral Ronald Reagan, en présence de l’ambassadrice, Mme Joan Polaschik, première sous-secrétaire d’Etat adjoint par intérim au proche Orient, de Mme Sara Camp, sous-secrétaire adjoint au département du Commerce, des autorités du District of Columbia et de l’ambassadeur d’Algérie à Washington, M. Madjid Bouguerra.
Le ministre a ensuite procédé à l’inauguration de l’exposition organisée en marge de cette manifestation, et à laquelle ont pris part près d’une quarantaine d’entreprises nationales.
L’exposition se décline en trois volets distincts, dédiés aux produits de l’industrie, à l’artisanat et aussi au tourisme mais qui ont le point commun de faire la promotion du » made in Algeria » dans les filières électrique, électronique, électroménager, l’agro-alimentaire et les produits artisanaux comme la céramique, le tapis, l’habillement et les bijoux.
Deux précurseurs de l’industrie électroménager dans le secteur privé, y prennent part à savoir Condor et Iris. L’Office nationale algérien du tourisme (ONAT) y participe également avec un stand pour promouvoir la destination Algérie.
L’évènement représente une énorme opportunité pour les entreprises algériennes afin de s’ouvrir sur le marché américain, dont l’accès est appelé à se développer à la faveur de la reconduction du système généralisé de préférence américain.
Le SGP (Système généralisé de préférence) permet aux pays bénéficiaires l’accès de leurs produits au marché américain en franchise de droits de douane.
Outre les rencontres B to B prévues pour renforcer cette mise en relation d’affaires entre les entreprises des deux pays, les organisateurs ont convié trois géants de la distribution aux Etats Unis, Walmart, Costco et Whole Foods dans une démarche visant à placer des produits algériens dans les grandes surfaces américaines.
Au cours de son séjour à Washington, le ministre aura des entretiens avec des responsables des départements d’Etat et du Commerce et tiendra une réunion avec les représentants de la chambre de commerce américaine.
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ALGER- Le groupe national des hydrocarbures, Sonatrach, souhaite la création d’une base de données comptant l’ensemble des entreprises nationales, publics et privées, souhaitant sous-traiter pour la compagnie, a annoncé lundi à Alger son P-dg, Abdelmoumen Ould Kaddour.
Cette base de donnée se formera au fur et à mesure que les entrepreneurs nationaux prennent attache avec la compagnie pétro-gazière, à travers une adresse-mail leur étant mise à disposition, a expliqué M. Ould Kaddour lors d’une conférence de presse tenu en marge des Journées d’‘information de Sonatrach sur « les opportunités d’investissement pour les entreprises algériennes ».
En effet, lors de la deuxième journée de cette rencontre une adresse mail : integrationnationale@sonatrach.dz , a été présentée aux participants. Elle a été mise en place spécialement pour recueillir les questions, doléances et besoins des opérateurs économiques, et ce, en vu de renforcer l’interaction entre eux et le groupe pétro-gazier, au service du renforcement de l’intégration dans l’industrie pétrolière.
Cette liaison permettra également à Sonatrach de conseiller, orienter et expliquer ses besoins à ces opérateurs pour les amener à perfectionner leurs offres de bien et/ou de services.
Suite à la constitution de cette base de données, une pré-qualification d’entreprises nationales aptes à fournir les équipements et les services nécessaires aux activités de la compagnie sera réalisée.
=== Pré-qualification des entreprises nationales aptes à sous-traiter pour Sonatrach ===
« Nous allons pré-qualifier toutes les entreprises qui souhaitent l’être et nous les évaluerons techniquement, qualitativement et sur le plan organisationnel. Si elles sont inscrites dans notre de liste de sous-traitants, automatiquement, elles serons prises en considération pour la fournitures des besoins » de Sonatrach, a-t-il expliqué.
Les procédures de passation des marchés publics comportent des contraintes pour les opérateurs nationaux qui souhaitent percer et contracter des marchés avec Sonatrach, a également estimé le P-dg.
Selon lui, il est nécessaire de donner l’opportunité aux nouvelles entreprises de contracter des marchés en leurs donnant l’occasion de faire leurs preuves, notamment, en essayant leurs produits au niveau des différentes installations de la compagnie.
« Si le produit est bon », M. Ould Kaddour a indiqué qu’alors la compagnie pourra directement acheter le produits chez ce fournisseur sur la base d’un marché de gré-à-gré, dans le cas où il dispose de l’exclusivité de la fourniture du lot en question.
« La rigidité administrative que nous avons a fait que les accès à ce potentiel ne se fait pas », a souligné M. Ould Kaddour.
Pour rappel, une nouvelle procédure de passation des marchés devant permettre au groupe Sonatrach d’intégrer pleinement la promotion du contenu local dans ses projets, sera incessamment opérationnelle, avait-on indiqué plutôt dans la journée.
Par ailleurs, dans le cadre de cette rencontre et lors d’une table ronde portant pout problématique « comment doit-on à la fois contribuer à promouvoir les capacités d’intervention locales et veiller aux impératifs d’efficacité et de performance des entreprises algériennes dans la construction d’infrastructures, d’ouvrage, de canalisation entre autres », les panelistes ont mis en évidence la priorité donnée par Sonatrach à la livraison, dans les délais, de ses commandes en termes d’équipements ou de réalisation d’installation.
Cette priorité impose, parfois, vus ses enjeux pour la compagnie et pour l’économie du pays en sa globalité, le choix de fournisseurs étrangers au détriment des opérateurs nationaux que pourtant Sonatrach vise à encourager et avoir pour partenaires.
C’est dans ce sens, que les panelistes ont appelé les entrepreneurs présents parmi l’assistance à fournir plus d’efforts dans le sens du développement de leurs offres et leur efficacité.
Ainsi, le Directeur de l’activité production-exploration au niveau de Sonatrach, Rachid Hachichi a mis en exergue l’importance de la disponibilité de sous-traitants nationaux dans le domaine de l’amont pétrolier appelant les entrepreneurs à présenter, dans le cadre de la procédures des marchés publics, de « bonnes » offres techniques.
Par ailleurs, lors de cette même table ronde, les entrepreneurs ont relevé le retard qu’accuse Sonatrach dans le paiement de ses factures, un retard dû, selon les panelistes à la masse de factures à régler par le service en charge de la tache au sein de la compagnie, la compagnie travaillant « avec le monde entier ».
Concernant la quatrième table ronde portant pour thème « comment envisager l’émergence d’une sous-traitance industrielle, fondée sur une intégration intersectorielle et contribuant à l’activité économique du secteur des hydrocarbures », les panelistes ont indiqué que c’est dans les activités de la maintenance et des pièces de rechanges, requises par les installations de Sonatrach, que les opérateurs algériens sont les moins nombreux.
Par contre, pour le volet pipeline et installations de pipes, les opérateurs nationaux assurent 100% des besoins de Sonatrach, ont assuré les panelistes.
A l’issue de la journée, la restitution des conclusions des différentes tables rondes tenues mardi a été présentée à l’assistance.
Ces conclusions comportent la nécessité de « changer les comportements et renforcer la communication avec les entreprises ».
Il est également ressorti de cette restitution, la nécessité de l’instauration de l’organisation en mode groupement d’entreprises et montage de sociétés-mixtes, ainsi que la nécessité de l’aboutissement des projets de développement par métiers ou par segments.
De même, il s’est avéré nécessaire, à l’issus des travaux de cette rencontre, que les entreprises nationales mènent des actions afin de prendre en charge la construction des équipements et des installations complexes à travers le mode groupement de société ou de partenariats.
Il s’est également avéré nécessaire que les fournisseurs nationaux livrent dans les délais leurs commandes à Sonatrach et que cette dernière ne tarde pas dans le règlement de ses factures pour ne pas « étouffer financièrement » les opérateurs nationaux, et ce, entre autres recommandations.
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OUARGLA- Six personnes sont mortes suite à des piqûres de scorpions durant la période allant du 1er janvier au 31 août 2018 à travers la wilaya d’Ouargla ou un total de plus de 1.729 piqûres de scorpions ont été enregistrées, a-t-on appris auprès de la direction de la Santé, de la Population et de la réforme hospitalière (DSPRH).
Le nombre de cas de piqûres de scorpions a enregistré un « recul » ces dernières années, à la faveur des mesures préventives basées essentiellement sur la sensibilisation sur les dangers de cette insecte, a indiqué à l’APS le chef du service de la prévention Dr Djamel Mâameri.
Pas moins de 2.524 piqûres de scorpions et sept (7) décès ont été recensés l’année dernière contre 2.772 piqûres ayant causé aussi sept (7) décès en 2016, a-t-il détaillé.
Tous les moyens nécessaires sont mobilisés afin d’assurer une bonne prise en charge médicale des victimes de piqûres de scorpions au niveau de l’ensemble des structures de santé dans la wilaya, a-t-il assuré .
La direction de la santé s’emploie à intensifier ses efforts en collaboration avec les différents acteurs concernés, dont les services de la wilaya, les communes, la direction de l’environnement et les associations locales pour sensibiliser le citoyen qui est un « partenaire principal » dans ces initiatives de prévention, a ajouté ce responsable .
Dans ce cadre, des mesures préventives ont été mises en oeuvre depuis mai dernier au titre de la mise en £uvre du programme national de prévention contre l’envenimation scorpionique, notamment, l’élimination des décharges sauvages qui représentent souvent des foyers de prolifération des scorpions, a-t-il fait savoir.
Le même responsable a appelé à cette occasion, à éviter les pratiques traditionnelles de traitement de cas de piqûre de scorpion, en insistant sur l’importance d’évacuation rapide de la victime vers la structure de santé la plus proche pour assurer une meilleure prise en charge médicale.
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Le football est sans nulle contestation le sport collectif le plus populaire et le plus répandu dans le monde et c’est pourquoi sa déclinaison en version électronique s’est faite très naturellement. Un succès qui n’as pas tardé à être ressenti dans le monde et qui n’as pas séduit uniquement les amateurs de football, toutes CSP confondues.
En Algérie, le E-Sport prend de plus en plus de place dans la société, et les gamers s’affrontent sans relâche partout et à tout moment de la journée et les challenges continuent avec des compétitions en individuel ou en équipe. Dans cette optique, et en sa qualité de leader des communications numériques et acteur majeur de la transformation digitale, l’opérateur Djezzy est, pour la seconde fois, le partenaire officiel et exclusif de cette manifestation.
« L’idée d’en faire une émission nous est alors venue naturellement », annonce M. Brahim BOUCHRIT, directeur de Sixty2. « Nous avons constaté que les gamers avaient atteint un niveau technique et tactique très élevé. En même temps, les prestations de nos footballeurs pro ne sont plus à présenter ; ce qui nous a incité à les faire rencontrer autour d’un concept qui rassemble les deux disciplines sportives dans un programme de divertissement que nous avons appelé E-CUP« . Et de continuer : « Ce nouveau concept attire l’attention de nombreux annonceurs qui voient en cette nouvelle émission une opportunité de toucher un nouveau genre de divertissement mais surtout à une cible plus large, jeune et ultra connectée. »
L‘E-CUP, une compétition inédite et atypique ; une première rencontre dans une arène complètement pensée comme le temple des gestes techniques et des prouesses tactiques, et une seconde sur un vrai terrain de football.
Notre concept s’étale sur 8 semaines durant lesquelles s’affrontent deux équipes ; l’une constituée de joueurs professionnels internationaux algériens, l’autre, de jeunes talents experts en football dans sa version électronique.
Un challenge en 3 étapes :
Studio : 5 matchs en individuel entre un footballeur et un gamer, LE SHOW !
Stade : 5 épreuves complètement folles où la maîtrise technique et l’endurance sont les maîtres mots !
Finale : un représentant pour chaque team pour un match ultime !
A l’animation, une révélation : Aissa SRAICHE, un jeune algérien talentueux que nous avons cherché et trouvé via les réseaux sociaux, et qui sera, sans le moindre doute, LA voix qui accompagnera vos plus grandes compétitions footballistiques dans un futur proche.
Ce programme de 20 minutes sera diffusé chaque samedi à 21H00, en Prime Time et en exclusivité sur la chaine sportive EL HEDDAF TV à partir du 15 septembre 2018, et, afin de faire prolonger l’expérience, le concept sera soutenu par tout un dispositif digital autour du programme, avec plein d’exclusivités et de surprises sur les différentes plateformes de réseaux sociaux, en l’occurrence, les pages Facebook et Instagram du E-CUP et celles de l’opérateur de téléphonie mobile Djezzy, partenaire officiel et exclusif de ce programme.
Que « la foot » commence !
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Discrètement, l’ancien chef du gouvernement, Abdelaziz Belkhadem, met «en état d’alerte» ses nombreux réseaux et soutiens à l’intérieur comme à l’extérieur du FLN.
Très proche des milieux islamistes, notamment la base de l’ex-FIS, Belkhadem n’a pas manqué d’attirer l’attention du cercle présidentiel, lui qui multiplie les visites à l’intérieur du pays.
On redoute, en fait, une candidature de l’ex-SG du FLN aux prochaines présidentielles et qui ne manquerait pas d’être ralliée par les islamistes.
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