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Updated: 15 hours 32 min ago

L’impact du numérique sur le monde de la santé

Thu, 07/26/2018 - 22:53

Aujourd’hui, les applications mobiles, objets connectés, solutions de l’informatique quantique et autres supports mobiles softwares ou hardwares ont pris une importance ascendante au sein du marché de la santé intelligente.
En effet, d’importantes quantités de données sur la santé de millions de personnes circulent continuellement à travers les réseaux WAN de la quasi-totalité des opérateurs des télécommunications actifs. Ce qui peut réussir la transformation numérique des méthodes de diagnostic et de la prescription des traitements ainsi qu’au développement de nouvelles stratégies des essais cliniques. Plusieurs chercheurs estiment que la transmission des données sur l’état de santé de l’estomac à un médecin via son terminal mobile n’est plus de la science-fiction. Des avancées dans la biotechnologie permettent déjà de tels usages. Des tests menés en laboratoires montrent qu’on peut avaler une pilule pour retransmettre des données biométriques représentant des parties malades de l’estomac, via un patch de peau, vers le terminal mobile en vue d’être « téléinterprétées» par un médecin spécialiste. Ces tests sont réussis et attendent une projection dans la pratique. Mieux, le prototype d’un pansement connecté, capable de surveiller des plaies chroniques, est déjà opérationnel dans un laboratoire de recherche situé dans le Massachusetts aux Etats-Unis. Des chercheurs de l’Université Tuft ont divulgué le prototype d’un nouvel objet «intelligent» : un pansement connecté, capable de panser une plaie tout en administrant fréquemment les traitements nécessaire. L’équipe de chercheurs a publié un article scientifique dans lequel il est affirmé que les plaies chroniques «constituent un problème de santé majeur et affectent la vie de plus de 25 millions de personnes aux Etats-Unis». Dans le monde entier, les plaies chroniques sont «la principale cause d’amputation non traumatique de membres». Sur un plan matériel, la conception du bandage intelligent est basée sur l’électronique flexible. Il possède ainsi des capteurs de température et de pH lesquels sont régis par un microcontrôleur dont la mission principale consiste à traiter les données mesurées par les capteurs et programmer le protocole de libération du médicament. Plusieurs spécialistes de la modélisation numérique des procédures thérapeutiques de la médecine traditionnelle estiment que les avancées technologiques dans le secteur des objets connectés, capteurs électroniques et applications mobiles vont digitaliser l’acte de la médecine clinique. Ce grand changement est bien illustré par le rôle joué par ce qu’on peut désormais appeler les «technologies mobiles de la santé» dans le processus de la création de la «smart-medicine» (médecine intelligente). Dans ce type de médecine, les discussions avec les patients autour des symptômes sont remplacées par les données provenant de milliers de capteurs et autres «wearables» (objets connectés). Les maladies peuvent être ainsi diagnostiquées et traitées à l’état microscopique, c’est-à-dire avant l’apparition des premiers symptômes.

Asseoir une stratégie
de santé digitale
Aussi, les données fournies par ces dispositifs sont en effet plus précises dans la mesure où elles sont récoltées en temps réel d’où leur importance dans le suivi instantané de l’évolution de la maladie chez les diabétiques, par exemple. Ceci contribuera à rendre la médecine de demain plus efficace et moins chère. Il est à rappeler qu’il y a quelques années, déplacer en permanence de telles quantités de données via les réseaux mobiles était impensable. Aujourd’hui, cela est possible grâce à la 4G et, très prochainement, cette tâche sera plus performante grâce à la 5G. Assurer l’acheminement des données est une mission indispensable à la société puisque ces données qui proviennent des «microdevices» digestibles, injectables et implantables, contiennent des informations vitales à l’état embryonnaire, sur la santé de la population connectée. Leur exploitation par d’autres utilisateurs comme les physiciens les rendra plus bénéfiques à la société en aidant par exemple les industriels à fabriquer des appareils médicaux domestiques pas chers. Par ailleurs, certaines entreprises, spécialisées dans l’intégration des solutions logicielles dans divers processus traditionnels, ont développé des softwares capables de reproduire le raisonnement d’un spécialiste de la santé. Ces logiciels intègrent toutes les données représentant les recommandations produites par des équipes de recherche médicale, les dossiers patients et les études médicales afin d’accompagner les cliniciens dans les prises de décision thérapeutique. Des géants de la technologie comme Apple, Google, Samsung, Qualcomm et Microsoft ont déjà décidé d’investir dans le créneau de la data. Ils ont élaboré des plateformes de développement des solutions mobiles permettant d’asseoir une stratégie de santé digitale.
F. F.

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Categories: Afrique

Audi : Infos et photos officielles du nouveau Q3

Thu, 07/26/2018 - 22:50

Après les fuites des premières photos dévoilant le design de l’Audi Q3 de seconde génération, retour sur toutes les informations concernant le renouveau d’un modèle important du constructeur d’Ingolstadt.

La nouvelle Audi Q3 adopte un look beaucoup plus sportif que son prédécesseur. La calandre Singleframe de forme octogonale et les prises d’air dans le spoiler avant caractérisent la face avant dynamique. Les phares sont étroits et pointent vers l’intérieur avec leur forme triangulaire. Audi décline ces derniers dans trois versions qui bénéficient toutes de la technologie LED. Les phares sont des Matrix LED dont les feux de route s’adaptent automatiquement pour éclairer intelligemment la route.

Vu de profil, la symétrie entre les feux avant et arrière constitue l’un des points forts de l’Audi Q3. Ils sont reliés par une ligne sur les flancs qui confère une carrure athlétique à l’ensemble, renforcée par les passages de roues musclés. Les contours s’inspirent de l’ADN quattro d’Audi et donnent l’impression que le SUV est encore plus large ; les passages de roue contrastés soulignent les aptitudes off-road. Epaulés par un long spoiler de toit qui encadre également la lunette arrière sur les côtés, les montants D affichent un angle important afin de créer une sensation de mouvement vers l’avant. Les clients de la nouvelle Audi Q3 bénéficient de nombreuses possibilités pour personnaliser leur voiture. Ils peuvent notamment opter pour une peinture bi-ton qui contraste au niveau de la partie inférieure de la carrosserie, et qui accentue encore plus l’allure du SUV. Avec le pack extérieur S line, les pare-chocs, les garnitures de seuil et le diffuseur bénéficient d’un look résolument sportif. Onze coloris sont disponibles tandis que l’intérieur se décline en trois lignes d’équipements, qui peuvent être combinées librement avec trois packs extérieurs.

A l’intérieur, tableau de bord est divisé sur deux niveaux : la partie supérieure comprend les bouches d’aération tandis que la partie inférieure incorpore une large zone octogonale entièrement noire. Le tableau de bord est un rappel du Singleframe et est entouré d’une large bande chromée. La garniture noire brillante entoure l’élément central du nouveau centre de commande : l’écran tactile MMI Touch. À l’instar des commandes de climatisation situées juste en dessous, ce dernier est incliné vers le conducteur avec un angle de 10 degrés. Le bouton-poussoir qui contrôle les fonctions d’éclairage et qui remplace la commande rotative du modèle précédent, est inséré dans le panneau situé à gauche du volant. Tous les écrans, boutons et commandes sont placés de manière ergonomique.

Audi a également développé un nouveau concept pour les couleurs et les matériaux. Les clients de l’Audi Q3 peuvent faire leur choix parmi trois variantes – la version de base, la finition Audi design et le pack intérieur S line. Les deux packs comprennent des sièges sport, qui sont garnis en option avec une combinaison de cuir/cuir artificiel et d’Alcantara. Les surfaces en Alcantara sur le tableau de bord et sur les accoudoirs des portières sont une toute nouvelle option. Elles sont disponibles dans trois coloris, dont un orange vif.

Dans l’obscurité, le pack d’éclairage de contour/ambiance – de série avec la finition Audi design – apporte une touche de couleur précise sur la console centrale et sur les portières. Il propose jusqu’à 30 couleurs et l’éclairage comprend également le compartiment de rangement sous le tableau de bord ainsi que le logo quattro au-dessus de la boîte à gants, ou les anneaux Audi sur les modèles à traction avant. La climatisation à deux zones, le chauffage d’appoint, le volant chauffant et le toit ouvrant panoramique en verre comptent parmi les autres options notables.

Cette second génération du Q3 mesure 4 485 millimètres de long, soit 97 millimètres de plus que la version précédente. Elle voit également sa largeur augmenter de 18 millimètres à 1 849 millimètres, mais avec ses 1 585 millimètres, elle est plus basse de 5 millimètres que l’Audi Q3 de première génération. Son empattement, qui a été allongé de 78 millimètres à 2 681 millimètres, est beaucoup plus spacieux – l’espace pour les genoux, la garde au toit et l’espace pour les coudes sont encore plus généreux. Selon la position des sièges arrière et des dossiers, la capacité du coffre varie entre 530 et 675 litres. Avec les dossiers rabattus, la capacité de chargement passe à 1 525 litres. Le plancher du coffre peut être réglé sur trois niveaux ; le seuil de chargement bas de 748 millimètres facilite le rangement des bagages les plus lourds. Lorsqu’elle n’est pas utilisée, la plage arrière peut être rangée sous le plancher de chargement.

Large palette d’équipements

L’Audi Q3 chapeaute également sa catégorie en matière de systèmes d’assistance, notamment avec le régulateur de vitesse adaptatif qui est disponible en option avec la boite automatique S tronic. Celui-ci cumule plusieurs fonctions avec le régulateur de vitesse adaptatif, le traffic jam assist pour conduire dans les embouteillages et l’active lane assist qui maintient automatiquement la voiture dans sa file. Ainsi, le conducteur bénéficie d’assistances à la fois longitudinales et latérales, ce qui améliore considérablement le confort, en particulier sur les longs trajets. Il en va de même pour l’avertisseur de changement de file. Si l’un des deux radars arrière détecte un véhicule qui se trouve dans l’angle mort ou qui s’approche rapidement par l’arrière, une LED s’allume dans le rétroviseur extérieur correspondant pour alerter le conducteur. L’Audi Q3 facilite les manœuvres grâce à des fonctions telles que le park assist. Celui-ci va automatiquement guider le SUV pour entrer ou sortir d’une place de stationnement. Le conducteur n’a plus qu’à accélérer, freiner et changer de vitesse. L’assistant de traffic transversal s’active lorsqu’il fait une marche arrière pour sortir de stationnement ou pour sortir d’une porte de garage étroite. L’Audi Q3 est livrée de série avec le système Audi pre sense front safety. Celui-ci est capable de détecter les situations dangereuses qui impliquent des piétons, des cyclistes et d’autres véhicules, et de fournir un avertissement visuel, sonore et haptique au conducteur. Si besoin, le système peut déclencher un freinage d’urgence. Il comprend également un avertisseur en cas de changement de voie, et est actif à partir d’une vitesse de 60 km/h environ pour éviter tout changement de cap intempestif. Si le conducteur n’a pas utilisé son clignotant et que la voiture est sur le point de franchir le marquage au sol, le système peut directement intervenir sur la direction et garder la voiture dans sa voie. En option, le conducteur peut également être averti par une vibration supplémentaire dans le volant.

Gamme de moteurs

Au lancement, Audi propose la nouvelle Audi Q3 avec quatre moteurs, trois TFSI et un TDI avec des puissances variant de 150 ch à 230 ch. En entrée de gamme, Audi propose un moteur à essence de 1,5 litre avec une puissance de 150 ch et un couple de 250 Nm. Ce dernier utilise le système de cylindre à la demande, qui coupe temporairement deux cylindres à faible charge. Au lancement l’Audi Q3 35 TFSI sera équipée d’une boîte rapide S tronic à sept rapports en version traction. Une boîte manuelle à six rapports sera proposée à l’automne. Le moteur essence de deux litres qui équipe l’Audi Q3 40 TFSI développe 190 ch et un couple maximal de 320 Nm. Sa version supérieure, l’Audi Q3 45 TFSI, développe 1230 ch et 350 Nm de couple pour des performances sportives. Les deux moteurs sont associés de série avec la boîte S tronic à sept rapports et la transmission intégrale permanente quattro avec embrayage hydraulique multidisque.

Pour le lancement, la gamme diesel sera composée d’un moteur de 2,0 litres avec une puissance de 150 ch et un couple de 340 Nm. L’Audi Q3 35 TDI est d’abord disponible avec une boîte manuelle et une transmission quattro. Par la suite, les clients pourront opter pour la boîte automatique S tronic à sept rapports associée à la version traction. Plus tard, un 2.0 TDI développant 190 ch viendra étendre la gamme de moteurs.

Notons par ailleurs que pour adapter les caractéristiques de leur voiture en fonction de leurs besoins, les clients peuvent commander l’Audi drive select en option. Celui-ci comprend six modes de conduite : auto, comfort, dynamic, offroad, efficiency et individual.

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Categories: Afrique

La diplomatie palestinienne dénonce la démolition d’une garderie d’enfants à El-Qods occupée

Thu, 07/26/2018 - 22:33

RAMALLAH – Le ministère palestinien des Affaires étrangères a condamné la démolition par l’armée israélienne d’un jardin d’enfants et d’un centre pour femmes dans l’enceinte bédouine de Jabal Al-baba près d’Al-Eizariya, à El-Qods occupée, a rapporté jeudi l’agence de presse Wafa.

La diplomatie palestinienne classe les actes de l’occupant israélien à l’encontre des Palestiniens dans la case du « fascisme et du racisme » lors de sa récente démolition d’un jardin d’enfants. « Comment il est concevable que l’État occupant démolisse un jardin d’enfants au XXIe siècle à la vue du monde entier. Et comment la communauté peut elle rester silencieuse devant cela« , s’est indigné le ministère, soulignant que cette dernière a « perdu de sa crédibilité« .

« Nous critiquerons la communauté internationale avec la cruauté qu’elle mérite dans l’espoir de parvenir à l’éveil de la conscience, de la morale et des principes envers notre peuple et de ses longues et continuelles souffrances. »

« L’escalade de la colonisation se poursuit pour évacuer les habitants palestiniens afin de relier la colonie de Ma’aleh Adumim et les colonies environnantes à El-Qods- Est occupée, dans le cadre du plan d’expansion coloniale E1. »

Le département de la diplomatie palestinienne estime selon le même document que ces crimes sont « un prélude à l’annexion de ce gigantesque bloc de colonies » et à la « coupure » de toute communication possible entre El-Qods-Est occupée et ses environs palestiniens, « fermant ainsi définitivement la porte à un État palestinien souverain et viable géographiquement« . Le même département estime que cette « guerre » de colonisation et de judaïsation, « menace la présence palestinienne » dans les zones classées « C », où une association de l’occupation, qui « mène des opérations de balayage permanentes » sur toutes les zones de Cisjordanie occupée.

« Les mesures répressives« , qui ont commencé déjà par une attaque acharnée contre la communauté de Khan Al-Ahmar à l’est d’El-Qods occupée, ont pour objectif « d’expulser » les palestiniens de ces régions et démolir leurs installations. Selon le ministère des affaires étrangères palestinien, toute la responsabilité des crimes à l’encontre des civils palestiniens incombe à l’occupation israélienne dirigée par Benjamin Netanyahu.

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Categories: Afrique

Bouteflika limoge le directeur du service national

Thu, 07/26/2018 - 22:31

La série des limogeages suit son cours, ces décisions ont été publiés dans le dernier numéro du journal officiel 41 de juillet 2018. Selon le document le président Abdelaziz Bouteflika a limogé le Général-Major Mohamed-Salah Benbicha du poste de directeur du service national et a nommé le Général-Major Benaissa Hammadi au même poste de directeur du service national au ministère de la défense nationale.

Par ailleurs, le président Bouteflika a nommé  le Général-Major Mehana Ferhah au poste de directeur des services financiers au ministère de la défense nationale.

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Festival de Timgad : la 40e édition ouverte jeudi soir

Thu, 07/26/2018 - 22:08

Batna est prête à accueillir le 40e festival de Timgad qui s’ouvrira jeudi soir avec des airs – pour la première fois – purement et simplement issus du patrimoine musical typiquement algérien.

Pas moins de 26 artistes et cinq troupes musicales se succèderont sur la scène de l’antique site romain de Timgad élu pour célébrer chaque année la musique et les chants arabes.

Nouvelles stars et anciennes se croiseront à partir de ce soir pour mélanger les genres des mots et des notes du patrimoine national dans un engouement populaire habitué depuis des ans à la tradition.

Correspondance de l’envoyé spécial de la Chaine 3 Salim Brahimi

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Textile : Le groupe Tayal procède à sa première exportation vers l’Europe

Thu, 07/26/2018 - 19:55

Une première cargaison de fils de tissage du groupe industriel algéro-turc Tayal a été exportée jeudi à partir de la zone industrielle de Sidi Khattab (wilaya de Relizane) vers quatre pays européens, lors d’une cérémonie qui s’est déroulée en présence du ministre de l’industrie et des Mines, Youcef Yousfi.

A cette occasion, le ministre a estimé que cette première opération est d’une « grande importance pour diversifier les exportations nationales et réduire progressivement la dépendance aux hydrocarbures ».

Pour sa part, le P-dg du groupe Tayal, Messut Toprak, a indiqué que le groupe industriel de textiles a commencé par satisfaire les besoins nationaux pour s’attaquer à l’international en fils de tissage. Il a également annoncé que le groupe commencera bientôt à exporter des produits finis et de prêt-à-porter.

Messut Toprak a indiqué qu’après la réception, à la fin de l’année en cours, des unités industrielles de production de différents vêtements et tissus fins, le complexe passera à la deuxième étape de fabrication du tissu de rideaux et autres produits domestiques.

Ce complexe industriel comprend huit unités industrielles et une école de métiers de tissage. Il dispose d’une capacité de production annuelle de 30 millions de mètres de fils de tissage, de 14 millions de mètres de tissage de filature et 3.200 tonnes de tissus et autres.

Lors de sa visite, Youcef Yousfi a visité le complexe industriel de textile et plusieurs unités industrielles dont l’entrepôt de matières premières, deux unités de tissage de filature et de tissus, l’école des métiers de textiles qui a formé en six mois derniers 600 jeunes en différents métiers.

APS

vidéo récapitulative : 

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Programmes d’importation des produits pharmaceutiques: Le dernier délai de dépôt des dossiers est fixé à fin septembre

Thu, 07/26/2018 - 17:24

La Direction générale de la pharmacie du ministère de la Santé vient de fixer les délais de dépôt des dossiers de programmes prévisionnels d’importation des produits pharmaceutiques. Les opérateurs dans le domaine disposent désormais de deux mois, du 1er août jusqu’au 30 septembre, pour déposer leurs programmes au titre de l’exercice de l’année 2019.
Salima Akkouche – Alger (Le Soir) – Selon la note de la Direction de la pharmacie et des équipements de santé adressée aux opérateurs, «les programmes prévisionnels doivent être élaborés selon les canevas utilisés pour l’exercice 2018 sur support papier et informatique, et il est attendu des opérateurs de se conformer aux dispositions précises lors de l’exercice 2018 en matière de quantités prévisionnelles et de mise à jour de renouvellement de décisions d’enregistrement.
La même direction rappelle que le dossier accompagnant le programme prévisionnel d’importation doit être accompagné par une lettre explicative basée sur une étude de marché, notamment pour le dispositif médical et le réactif, d’un document attestant du respect de l’engagement à finaliser l’homologation des dispositifs médicaux ou l’enregistrement des réactifs, ainsi qu’un document faisant foi de l’introduction de la disposition portant reprise des produits périmés ainsi que leur remplacement ou remboursement par le fournisseur».
Le ministère de la Santé a décidé de rapprocher les délais de dépôt des dossiers des programmes d’importation pour l’exercice de 2019, puisque le délai de 2017 pour l’exercice de 2018 a été prolongé jusqu’au mois d’octobre. Ce qui ne permet pas, toutefois, la finalisation des études des dossiers dans les temps.
Une situation qui a engendré plusieurs retards dans la libération des programmes prévisionnels d’importation et dont se plaignent les opérateurs en pharmacie. Ces retards, accusent-ils, sont à l’origine des pénuries des produits pharmaceutiques. Devant ce constat, le département de Mokhtar Hasbellaloui a visiblement décidé de mettre de l’ordre.
S. A.

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Adrar: Un terroriste armé se rend aux autorités militaires

Thu, 07/26/2018 - 17:22

Un terroriste armé s’est rendu hier aux autorités militaires à Adrar, a indiqué le ministère de la Défense nationale (MDN) dans un communiqué. «Dans le cadre de la lutte antiterroriste et grâce aux efforts de qualité continus, fournis par les forces de l’Armée nationale populaire, un terroriste s’est rendu, ce matin du 25 juillet 2018, aux autorités militaires à Adrar en 3e Région militaire», précise la même source, ajoutant qu’il «avait en sa possession un pistolet mitrailleur de type kalachnikov et 2 chargeurs garnis de munitions».
«Il s’agit de El Mahri Yourou, dit ‘’El Haïmer’’, qui avait rallié les groupes terroristes en 2016», ajoute-t-on.
Dans le même contexte et grâce à l’exploitation efficiente de renseignements, un détachement combiné de l’Armée nationale populaire «a arrêté, à Tébessa (5e RM), quatorze éléments de soutien aux groupes terroristes», tandis qu’un autre détachement «a récupéré, à In Guezzam (6e RM), deux pistolets mitrailleurs de type kalachnikov, un fusil à pompe, une quantité de munitions et deux véhicules tout-terrain».
D’autre part et dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée, un détachement de l’Armée nationale populaire «a intercepté, à Biskra (4e RM), un contrebandier à bord d’un camion chargé de dix-sept quintaux de tabac», alors que des gardes-côtes» ont déjoué, à Béni Saf (2e RM), une tentative d’émigration clandestine de dix-neuf personnes à bord d’une embarcation de construction artisanale», rapporte le communiqué.

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Un plateau-repas provoque une dispute entre deux pilotes en plein vol, catastrophe évitée

Thu, 07/26/2018 - 17:15

L’avion d’Iraqi Airways a décollé sans encombre de Machhad en Iran. Mais ses 150 passagers ont bien failli ne jamais arriver à Bagdad, à cause d’une dispute entre pilote et co-pilote, apparemment… pour un plateau-repas!

Médias et réseaux sociaux irakiens se sont immédiatement saisis de l’affaire, avec horreur ou ironie, poussant la compagnie nationale à se fendre d’un communiqué d’explication.

« Ce sont des pilotes ou des chauffeurs de minibus ?« , faisait mine de s’interroger une internaute, en référence à ces conducteurs connus pour rouler à toute allure et qui sont le cauchemar des autres automobilistes.

Une enquête ouverte

« Le ministère des Transports a ouvert une enquête avec les deux pilotes qui se sont disputés en vol« , a indiqué Iraqi Airways mercredi soir dans un communiqué qui ne précise pas quand l’incident a eu lieu.

بيان
نعلن أمام الناس عن قيام وزارة النقل بفتح التحقيق مع الطيارين الذين تشاجروا في الجو، وقد صدرت الأوامر سلفاً بإيقافهم عن الطيران، وتم تكليف مفتش عام الوزارة بإتمام الإجراءات الاصولية بحقهم، ولن يكون هناك أي تهاون مع أي طرف، ولن تكون أمامهم اي فرصة للإفلات من العقوبات المشددة pic.twitter.com/fvu29aqwFa

— IRAQI AIRWAYS (@Aliraqiaairways) 26 juillet 2018

La compagnie ne donne pas non plus la raison de la discorde sur ce vol qui avait à son bord 157 passagers ainsi que les membres d’équipage.

Tout ça pour un plateau-repas

Mais dans une lettre adressée à sa hiérarchie consultée par l’AFP, le co-pilote affirme que, alors que l’avion était en vol, « le ton est monté avec le pilote parce qu’il refusait qu’une hôtesse m’amène un plateau-repas sous prétexte que je ne lui en avais pas demandé l’autorisation« .

Après avoir pris son propre repas, poursuit-il, le pilote « a utilisé un vocabulaire inapproprié » puis l’a « frappé et insulté, ce qui a provoqué la venue d’un membre de la sécurité« .

Les deux hommes ont cependant réussi à faire atterrir l’avion mais une fois l’appareil posé à Bagdad, « le pilote a de nouveau porté coups et insultes« . Face à cela, plaide-t-il, « j’ai dû me défendre« .

Iraqi Airlines indique avoir suspendu les deux hommes et promet qu’ils « ne pourront échapper aux sanctions les plus dures (…) comme l’interdiction de voler à vie« .

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Constantine – Accidents de la circulation: Campagne de sensibilisation des automobilistes

Thu, 07/26/2018 - 17:07

Par A. E. A.

Sous le slogan «Un été sans accidents», le commandement régional de la gendarmerie nationale de Constantine a lancé, hier, une campagne de sensibilisation, qui durera jusqu’au 18 août prochain, dont l’objectif est de réduire le nombre des accidents de la circulation, à travers la sensibilisation des usagers autour de la nécessité de respecter le Code de la route.

C’est à l’échangeur de l’Université Constantine «3» «Salah Boubnider», sur le tronçon limitrophe de l’Autoroute Est-Ouest, que le coup d’envoi de cette campagne a été donné. Durant la première heure, pas moins de 200 dépliants ont été distribués et des conseils de prévention dispensés à 400 conducteurs de véhicules, tous types confondus, selon le capitaine Mohamed Hamidou. Notre interlocuteur de poursuivre que « dans ce cadre et en coordination avec des éléments des Scouts musulmans algériens, la protection civile et des Associations en charge de la sécurité routière, nous avons entrepris la sensibilisation des automobilistes usagers de l’autoroute Est-Ouest. Il s’agissait, beaucoup plus, de sensibilisation que de répression ». Sensibilisation au danger que représente la vitesse, la distance nécessaire de sécurité à respecter entre les véhicules, le dépassement interdit, les manœuvres dangereuses, qui peuvent entraîner des drames. Ceci est, particulièrement, valable lors de la saison estivale, qui se distingue par de nombreux déplacements vers les villes côtières comme Skikda, Annaba, Jijel, notamment.

A rappeler que cette campagne de la gendarmerie, qui se poursuivra jusqu’au 18 août, aura pour prochaine station les ‘Quatre chemins’, à l’entrée de la nouvelle ville Ali Mendjeli, le 4 août, alors que le 10 du même mois, ce sera le CW175 tandis que le 16 août cela sera le tour de la RN (RN) n°3, réputée pour ces accidents meurtriers.

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Absence de développement, manque d’infrastructures, saleté et poussière: Saïda n’est plus minérale

Thu, 07/26/2018 - 17:03

Par Madjid BERKANE

Le sentiment de la honte nous ronge à chaque fois qu’un visiteur étranger se rend dans leur wilaya.

La wilaya de Saïda n’est finalement pas seulement loin de la capitale «Saïda baïda» comme le dit un adage populaire, mais surtout du développement. La pauvreté, l’absence de l’aménagement, la saleté, la poussière, les odeurs nauséabondes…, n’ont pas besoin d’êtres cherchées dans les recoins de cette wilaya, mais juste au chef-lieu de cette dernière. Tout près du siège de la wilaya, du siège de l’APC et des différentes directions exécutives. Une image qui va a contrario de «l’ordre établi» jusque-là en Algérie: le chef-lieu de la wilaya doit être l’arbre qui cache la forêt. S’agit-il là d’une preuve d’honnêteté de la part des responsables de cette wilaya refusant la discrimination entre les localités ou est-ce plutôt un laisser-aller collectif? Les habitants de Saïda ont la réponse et ce sont eux qui payent à présent le prix. Le sentiment de la honte les ronge en effet à chaque fois qu’un visiteur étranger se rend dans leur wilaya.

La double honte
«Contrairement à d’autres habitants d’autres wilayas, nous ressentons à Saïda une double honte à l’arrivée des visiteurs. Celle-ci est due à l’état déplorable de nos quartiers et celle de notre chef-lieu de wilaya», souligne, la mine toute rouge de honte, Nour El Houda, journaliste locale à Saïda. «Le retard est énorme. Tous les responsables qui débarquent dans notre wilaya expriment à leur arrivée de bonnes intentions, mais finssent tous par jeter l’éponge», ajoute-t-elle. «Certains walis préfèrent délibérément laisser les choses en l’état. La technique leur permet de maintenir la paix et s’épargner la colère des habitants de Saïda éternellement mécontents», poursuit Nour El Houda, indiquant que ses écrits trouvent rarement un écho. «Le chef-lieu de la wilaya dispose pourtant de tous les atouts pour être digne de ce nom. Il s’étend sur une plaine, il est entouré de beaucoup de forêts, facilement accessibles et près de quatre wilayas de l’Ouest: Mascara, Sidi Bel Abbès, Oran et Relizane», fera-t-elle observer. Il faut dire à ce propos que l’immobilisme dans cette ville est parlant. En la visitant avant-hier avec le ministre de l’Intérieur, nombre de cités, de placettes publiques, d’artères sont sans éclairage public, sans aménagement et même sans réseaux d’assainissement. Nouredine Bedoui a été interpellé d’ailleurs par plusieurs habitants au sujet de ces insuffisances. «Nous sollicitons les autorités, mais aucun signe de vie de leur côté», a déploré un résident, montrant du doigt au ministre l’éclairage public défaillant de la cité où il habite. La ville de Saïda frappe aussi par l’absence de l’urbanisme. Peu d’immeubles y sont visibles. Les directions de wilayas devant «meubler» un petit peu le chef-lieu de la wilaya sont entassées encore dans un seul immeuble: la cité administrative, en l’occurrence. Les walis de la République ont été pourtant tous instruits à l’effet de délocaliser les directions et leur construire des édifices.

Les structures minuscules
Le procédé est nécessaire pour améliorer le service public. Les autres structures dépendant des secteurs de la culture, de la santé, l’enseignement supérieur, du sport et de la jeunesse sont toutes minuscules et indignes d’un chef-lieu de wilaya. Le changement de leur vocation est une urgence pour changer la mine du centre-ville. Ce propos a été exprimé d’ailleurs par beaucoup de citoyens lors de la rencontre du ministre avec la représentants de la société civile. «Notre wilaya est pauvre. Nous manquons du tout. Le chômage frappe toutes les catégories. Nous avons une crise aiguë du logement. Nous vous demandons de révolutionner les choses monsieur le ministre», s’est emporté un intervenant. «Les routes de Saïda Sont toutes impraticables. C’est pour quand la pénétrante?», a indiqué un autre intervenant. La crise du logement a poussé, pour rappel, plusieurs habitants dans les localités de Sidi Brahem, Lahssassna, Youb, Balloul et dans le chef-lieu de la wilaya à organiser des sit-in lors de la visite du ministre de l’Intérieur. Le quota que les autorités accordent à certaines communes dans la formule de l’habitat rural est, selon les protestataires, très en deçà des besoins exprimés. La formule de l’habitat rural est très prisée dans la wilaya de Saïda, a-t-on appris sur place. Les citoyens veulent tous construire leurs maisons à même leurs fermes et champs agricoles. Le problème de l’emploi a poussé aussi beaucoup de jeunes à interpeller Bedoui lors de sa visite. «Les entreprises se font rares et le secteur public ne crée plus de l’emploi», ont souligné plusieurs jeunes en interpellant le ministre. La wilaya de Saïda dispose, a-t-on appris par ailleurs, de peu de zones d’activités. La seule qui a pu attirer certains investisseurs est celle du chef-lieu de wilaya. La proximité de Saïda des wilayas d’Oran, de Sidi Bel Abbès et de Relizane l’a fortement désavantagée. Le seul secteur qui connaît à présent une certaine dynamique et crée quelques postes d’emploi est celui de l’agriculture. «Les postes d’emploi créés dans ce créneau sont hélas saisonniers», déplore-t-on. Le secteur du tourisme connaît lui aussi une certaine dynamique. Les bains thermaux de la wilaya sont d’une notoriété internationale. Le bain thermal Hamam Rebbi est- fréquenté même par des Anglais et des Américains. Ses vertus curatives sont incontestables. Néanmoins, leur exploitation est encore traditionnelle. Ceci prive de nombreux jeunes de postes d’emploi et les autorités locales de richesse. Le non-développement du tourisme est dû aussi à l’absence des infrastructures hôtelières. La wilaya ne compte en effet que quelques résidences. Le ministre de l’Intérieur, qui a écouté attentivement les représentants de la société civile, a promis de solutionner de nombreux problèmes dans les jours prochains. Néanmoins, le ministre a indiqué qu’une seule main ne peut jamais applaudir. L’Etat ne peut plus être au four et au moulin en même temps. Les investisseurs et les détenteurs de l’argent doivent se montrer et mettre la main à la pâte. «Le défi de l’emploi est très compliqué pour qu’il soit solutionné de façon unilatérale», a fait savoir le ministre.

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Le Venezuela s’apprête à retirer cinq zéros de sa monnaie

Thu, 07/26/2018 - 17:01

Avec une inflation projetée à 1 000 000 % pour cette année, l’économie du pays perd la tête. Mais le gouvernement rejette toujours la faute sur l’opposition et les Etats-Unis.

Explosion sociale ? Ou future libération forcée de l’économie ? Avec une inflation désormais projetée à 1 000 000 % d’ici à fin décembre par le Fonds monétaire international (FMI), tous les scénarios sont possibles au Venezuela où les conditions de vie se détériorent rapidement.

Pour faire face à cette hyperinflation, le président Nicolas Maduro a annoncé mercredi 25 juillet que le Venezuela allait bientôt supprimer cinq zéros de sa monnaie, le bolivar. « Le 20 août démarre (…) le plan de redressement économique avec la reconversion monétaire, cinq zéros en moins », a-t-il déclaré.

A l’heure actuelle, le salaire minimum d’un Vénézuélien (1,5 dollar au taux du marché noir, la référence de facto) lui permet à peine d’acheter un poulet d’un kilo. Les finances publiques, elles, sont exsangues. Le Venezuela tire 96 % de ses revenus du brut. Or sa production de pétrole s’est effondrée d’au moins la moitié en un an et demi faute de liquidités pour moderniser les champs pétroliers. Selon l’OPEP, la production de brut a chuté de 3,2 millions de barils par jour en 2008 à 1,5 million en juin.

Un tableau économique catastrophique

Le panorama économique lugubre du FMI, pour qui tous les voyants sont au rouge, avec une récession de 18 % attendue en 2018, n’étonne pas outre mesure ceux qui vivent ces problèmes au quotidien. On estime que 1,6 million de Vénézuéliens ont émigré depuis 2016 à cause de la débâcle économique qui a fait basculer 87 % de la population dans la pauvreté, selon une étude des principales universités du pays.

Le FMI anticipe une hausse des départs, affectant de plus en plus les pays voisins. La pénurie est généralisée au Venezuela, où les services publics, des soins à l’électricité, en passant par l’eau ou les transports, se sont fortement dégradés.

« La seule façon pour sortir de l’hyperinflation, c’est avec des réformes économiques profondes. C’est de cette manière qu’on y a mis un terme dans tous les autres cas », déclare Henkel Garcia, directeur du cabinet Econometrica, qui rappelle que ces phénomènes ne durent pas éternellement, en donnant l’exemple du Zimbabwe.

Le FMI pointe par ailleurs du doigt la mise en circulation d’un nombre toujours plus grand de billets, ce qui alimente l’hyperinflation. Pour Henkel Garcia, il faut aussi sauver l’industrie vénézuélienne qui fonctionne actuellement à 30 % de sa capacité, mettre un terme au contrôle des changes et des prix, qui donne à l’Etat le monopole des devises. Pour redresser la situation, Econometrica estime qu’il faudrait injecter entre 20 et 30 milliards de dollars par an durant deux ou trois ans.

Le gouvernement inflexible

Pourtant, « l’exécutif n’a aucun intérêt à modifier la politique économique », juge un autre cabinet, Ecoanalitica, dans un récent rapport. Face à une telle situation, le président socialiste Maduro, dont la réélection en mai jusqu’en 2025 n’est pas reconnue par une grande partie de la communauté internationale, devra jouer les équilibristes pour éviter de perdre le contrôle.

Travailleurs de la santé, du secteur électrique, retraités, professeurs : les conflits sociaux se multiplient ces dernières semaines pour demander des hausses de salaire et une amélioration des conditions de travail. Ces initiatives sont pour l’heure isolées et l’opposition, dont nombre des dirigeants sont à l’étranger ou en prison, apparaît dépourvue de chef. « Il est probable que seule l’aggravation de la crise entraîne les pressions nécessaires pour déséquilibrer » la coalition actuellement au pouvoir, voire « la remplacer », prévient Ecoanalitica, qui prévoit des changements structurels en 2019.

Récemment, des dirigeants du chavisme, le mouvement aux manettes, ont haussé le ton pour réclamer un virage économique. « Voilà dix-neuf ans que la révolution a eu lieu, nous sommes désormais responsables des bonnes et des mauvaises choses », a lâché Freddy Bernal, collaborateur influent du président.

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Algérie: les importations de bière ont augmenté

Thu, 07/26/2018 - 16:58

Les importations de bière par l’Algérie ont augmenté de 134% entre 2015 et 2017, a déclaré Hamani, président de l’Association des producteurs algériens de Boissons (APAB)

La plus grosse part du marché de la bière revient aux importateurs avec une progression de plus de 5%, entre 2015 et 2017, alors que la part des producteurs locaux a régressé, au vu de leurs unités de production qui fonctionnent à 60% de leurs capacités.

Si l’importation de la bière est plus importante, cela est lié, selon M. Hamani, «essentiellement aux prix pratiqués sur le marché, mais surtout à la composition chimique de cette bière importée». «Ce sont des bières à fort taux alcoolémique, ce qui représente, aussi, un réel danger sur le plan sanitaire», a-t-il ajouté.

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Le Vieux Mila, la seule cité millénaire encore habitée a besoin de protection

Thu, 07/26/2018 - 16:43

Véritable musée à ciel ouvert, le Vieux Mila, la seule cité millénaire encore habitée​, renferme des richesses archéologiques inestimables, qui se dégradent de jour en jour. L’ancienne église où a officié St Augustin, devenue, par la suite, la mosquée Abu al-Muhajir Dinar, est la seule partie réellement protégée de cette cité antique, grâce à son classement de patrimoine national protégé en 2007.

Par Lounes Guermour, Radio Algérie Multimédia

Pour le reste, des maisons qui remontent à plus de 4000 ans, selon des spécialises, tombent en ruines l’une après l’autre, sans parler des habitants qui bétonnent leurs murs.

« Chacun fait ce qu’il veut, personne ne respecte les mesures de sauvegarde et nul ne  s’inquiète de ce trésor qui, si les choses ne changent pas, disparaitra dans les années à venir », prévient un journalise de la radio locale de Mila, qui nous a fait visiter les lieux.

« Milo », la plus grande statue au monde sculpté à partir d’une seule pièce de marbre

La pièce maîtresse de ce musée est sans conteste la statue en marbre de « Milo ». Considérée par les spécialités comme la plus grande statue au monde faite à base d’une seule pièce de marbre, cette sculpture représente une forme humaine de près de deux mètres de hauteur, en position assise, au visage et aux membres indéterminés. La tête de cette statue est dans un musée en France.

Découverte en 1880 par des archéologues français, la statue exposée en plein air, a été, selon des témoins, endommagée lors d’un déplacement. Elle traine, aujourd’hui, au milieu d’un jardin, sans présentation, ni notice explicative. Heureusement que notre confrère de radio Mila était là pour nous donner quelques informations sur cette statue qui serait d’origine numide.

Le musée du site de Mila compte également dans sa collection deux sarcophages antiques ornés de sculptures, des fontaines romaines, de la mosaïque et de nombreuses bornes d’épigraphes et d’épitaphes dont la majeure partie provient de fouilles entreprises à l’époque coloniale ou de pièces restituées par des particuliers.

Un mur de 1.200 mètres de longueur qui ceinture la cité antique

De l’époque byzantine, Milo – Mila a un nom pour chaque période historique -, conserve surtout des pans du mur d’enceinte qui la ceinturait sur une longueur de 1.200 mètres. Piqué d’une multitude d’étranges fenêtres larges à l’extérieur et étroites de l’intérieur, visibles à ce jour, et doté de 14 tours de surveillance pouvant atteindre 12 mètres de hauteur. Ce mur reflète on ne peut mieux le statut de citadelle religieuse de Mila à cette époque.

La mosquée Abu al-Muhajir Dinar, la deuxième plus ancienne en Afrique

C’est la deuxième plus ancienne mosquée du continent après celle de Carthage en Tunisie. Baptisée au nom d’Abu al-Muhajir Dinar, un des compagnons du Prophète (QSSSL), cette bâtisse représente, clairement, l’évolution des croyances religieuses en Afrique du Nord et en particulier en Algérie, et ce, depuis l’antiquité jusqu’à la fin de la période coloniale.

D’église romaine dans l’antiquité, cet édifice a été transformé en mosquée, avant de servir d’annexe militaire, voire d’étable durant la colonisation française.

Selon des écrits de l’église romaine, cet édifice a abrité les deux conciles (assemblée des évêques de l’église catholique) tenus à Mila au début du Ve siècle et dont le second a été présidé par St Augustin, en personne. Ce qui n’est pas rien !

La fontaine « Aïn Lebled »

C’est la seule fontaine qui remonte à l’époque romaine et dont l’eau coule toujours avec abondance. La légende dit que « celui qui boira de cette source d’eaux se mariera une deuxième fois ». Les habitant de Mila semblent y croire.

Construite au IIIe siècle par l’empereur Hadrien, la fontaine « Aïn Lebled » était une partie intégrante du forum de Milev, l’autre nom romain de Mila.

Par ses vestiges multiples, elle déroule l’histoire de la présence dans cette région d’Algérie de plusieurs civilisations : Architecture de l’époque romaine (fontaines et tuiles), byzantine (muraille et pierres de taille) et musulmane (demeures ottomanes).

Enfin un « plan de sauvegarde » du Vieux Mila !

Un « Plan permanent de sauvegarde et de mise en valeur du secteur sauvegardé du Vieux Mila » a été approuvé le 14 juillet 2018, par la commission nationale des biens culturels du ministère de la Culture.Ce plan élaboré par la direction de la culture conjointement avec l’association des Amis du Vieux Mila, comprend trois phases : « Diagnostic et mesures d’urgence », « analyse historique et typologique » et « projet préliminaire »

Il constitue un « mécanisme légal et technique » pour la protection de la cité antique du Vieux Mila, qui s’étend sur 38 hectares, et permet « l’inscription future d’une opération de restauration », selon le ministère de la culture.

Espérant que cette fois-ci ça sera la bonne et que ça ne restera pas que sur du papier.

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Syrie: près de 250 morts dans les attaques de Daech

Thu, 07/26/2018 - 16:34

Les attaques coordonnées menées mercredi par le groupe terroriste autoproclamé « Etat islamique » (Daech/EI) dans le sud de la Syrie ont fait près de 250 morts, selon un nouveau bilan de l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).

L’assaut contre plusieurs villages couplés à des attentats suicide ont eu lieu dans la province de Soueida. Les terroristes de l’EI sont présents dans une zone désertique au nord-est de cette région à majorité druze, jusque-là relativement épargnée par le conflit qui ravage la Syrie depuis 2011.

Le bilan n’a fait que monter depuis l’attaque menée mercredi matin, revendiquée des heures plus tard par l’EI. « Il est à présent de 246 morts dont 135 civils », a indiqué le directeur de l’Observatoire, Rami Abdel Rahmane.

Le reste des morts sont des combattants progouvernementaux et des habitants qui avaient pris les armes pour défendre leurs villages.

« Le bilan s’élève, des civils blessés ayant succombé et des personnes portées disparues ayant été retrouvées mortes », a ajouté M. Abdel Rahmane cité par l’AFP.

Au moins 45 terroristes ont été tués dans les combats ayant suivi les attaques.

Les médias officiels syriens ont confirmé les attaques faisant état de morts et de blessés dans la ville de Soueida et les villages voisins, mais n’ont pas donné de bilan.

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Lutte contre le commerce informel: Annaba engage la bataille

Thu, 07/26/2018 - 16:27

Par Wahida BAHRI

Face à l’omniprésence des services de sécurité sur les lieux, le commerce informel à Annaba a, bel et bien, plié bagage, pour d’autres lieux et autres cieux.

Adoptant une politique de rigueur dans l’application des instructions du ministère de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, portant l’éradication du commerce informel, la wilaya de Annaba semble remporter la Palme d’or. En effet, les avenues, rues et artères, autrefois otages du commerce informel, sont aujourd’hui et depuis plus de trois ans, libérés de ce commerce de bazar. Au bonheur des populations, mais surtout au bienfait d’une image de marque, vivement retrouvée à la faveur d’une ville au statut touristique par excellence. La présence des éléments sécuritaires, déployés 24h/24 sur l’ensemble du territoire de la wilaya de Annaba, le centre-ville surtout, a été le moyen le plus efficace pour briser l’obstination démesurée des commerçants de l’informel et des marchands ambulants. Ces derniers qui, des années durant, ont engagé un bras de fer, défiant les lois de la République pour imposer leur diktat à coup de contestations et d’armes blanches.

Des méthodes auxquelles recouraient le plus souvent ces acteurs de l’informel, pour continuer à squatter les espaces piétonniers. Une situation qui, au fil du temps a fait plonger Annaba dans une anarchie indescriptible, nécessitant plus que jamais une solution radicale. Devenu phénomène de société, le commerce informel semblait s’inscrire dans un code, donnant à ces acteurs le droit d’activer dans l’illicite. Un état de fait qu’il fallait juguler avec des pincettes. Car ni la politique de l’état ni encore celle de la sûreté de wilaya de Annaba, n’avaient pour objectif de violenter ces parasites de l’économie nationale. L’application des lois de la République, notamment pour des couches aussi vulnérables que ces commerçants de l’informel, chômeurs de leur état, devait, a noté un élément des services de sécurité, se faire en toute délicatesse pour éviter tout dérapage. «Situation que nous étions appelés à éviter, sur instruction de notre hiérarchie», a fait savoir notre interlocuteur. Légitime mode opératoire, quand on considère les conséquences de la violence dans ce genre de situation.

Surtout, si l’on fait référence au suicide du Tunisien Laazizi, par immolation, devenu une référence, au sein de la frange des commerçants de l’informel. Si cet incident a été à l’origine d’une déstabilisation dans le pays voisin, il le serait probablement dans notre pays, avec des répercussions néfastes. Car les forces occultes n’attendent que la moindre étincelle pour, cracher le venin de la fitna au sein du peuple algérien. De ce fait et conscient de l’enjeu, la sagesse a eu le dernier mot, dans l’application des lois de la République, qui, loin de toute répression et usant de mécanismes socio-sécuritaires, le phénomène du commerce informel à Annaba, a, non seulement été contrecarré, mais éradiqué du paysage de l’une des plus importantes villes d’Algérie, Annaba en l’occurrence. Aujourd’hui, la ville, voire toute la wilaya de Annaba se distingue à tous les égards, par son statut de ville où, la rigueur sécuritaire est la maîtresse des lieux. Une wilaya où, chacun connaît ses limites dans le respect de la citoyenneté et la concitoyenneté. Ces derniers préceptes garantis par la Constitution ont été imposés par la force passive des services de sécurité de la wilaya de Annaba qui ont fait de la lutte contre toutes formes du commerce informel à Annaba, un challenge gagné haut la main. Aujourd’hui, César a repris ses droits, les territoires pour les piétons et la chaussée aux automobilistes. Même les commerçants des magasins qui avaient profité de cette anarchie, en opérant des extensions de leurs commerces avaient été rappelés à l’ordre.

Certains d’entre eux se sont donnés à l’embellissement des devantures de leurs commerces, ce qui a créé un semblant d’harmonie dans le centre-ville de Annaba. Par ailleurs, hormis quelques petits vendeurs à la sauvette, rencontrés çà et là, dans quelques coins de la ville, comme Laghzalla, à la Colonne, où l’informel pourrait encore avoir la peau dure, la ville a retrouvé sa nature d’antan. Le déploiement quasi quotidien des éléments de sécurité dans toute la ville, semble avoir fait oublier aux commerçants de l’informel le chemin de Annaba. Car, faut-il le noter, ces vendeurs illicites viennent, pour la plupart, des zones retirées de la wilaya, El Bouni, Sidi Salem, Hadjer Eddis et El Hadjar entre autres, mais aussi des wilayas limitrophes, Guelma et El Tarf surtout. En outre, bien que le positionnement des fourgons de police et des policiers dans toute la ville ferait penser à un état de siège, il demeure néanmoins, que la situation ne déplaît guerre aux populations. «Rana tarhamna ki nahaouna el fawda taâ el Biyaâ». «Pourvu que cela dure», se sont accordés à dire plusieurs citoyens. Le commerce informel a toujours été source de nuisance, de banditisme, d’anarchie entre autres désagréments, occasionnés tant aux habitants qu’au statut de Annaba.

Aujourd’hui, cet assainissement de la ville de toutes formes de désagréments, le commerce informel entre autres, semble avoir eu des répercussions positives sur la saison estivale, notamment en matière de sécurité. Car, bien que les aoûtiens n’aient pas encore pointé du nez, les chiffres font état de plus de 20 000 estivants enregistrés, rien que pour la première quinzaine du mois de juillet.

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Tiaret: L’aéroport «Abdelhafidh Boussouf», un pur gâchis

Thu, 07/26/2018 - 16:05

Par El-Houari Dilmi

En jachère depuis de nombreuses années, l’aéroport «Abdehafidh Boussouf» de Aïn Bouchekif, dans la wilaya de Tiaret, est un pur gâchis et pour cause.

Considéré comme le plus important en Oranie après celui d’Es Sénia à Oran, l’aéroport de Tiaret n’a jamais été véritablement exploité depuis sa création dans les années soixante-dix. A part quelques départs vers les Lieux Saints de l’islam ou quelques rares vols assurés par la défunte compagnie Khalifa Airways et Air Algérie, l’imposante infrastructure aéroportuaire et ses équipements jamais servis sont mangés par la poussière et la fiente des oiseaux. Pourtant, beaucoup d’argent a été dépensé pour la mise à niveau de l’aéroport dont le confortement de la piste sur une longueur de 3,2 km, la réalisation de voies secondaires et la modernisation de l’éclairage du tarmac.

L’argument servi et resservi par les autorités locales selon lequel «le clouage au sol» de cette importante infrastructure aéroportuaire est dû à des «raisons de rentabilité financière» invoquées par la compagnie nationale Air Algérie ne convainc plus la population locale. Le président de l’aéroclub de Tiaret et néanmoins pilote-instructeur et commissaire de vol, M. Benaouali Aoued, estime, de son côté, que la fermeture de l’aéroport est «elle-même un gâchis, surtout qu’il est mis au niveau des normes internationales (piste d’envoi de 3.000 mètres, équipements de navigation des plus modernes et une capacité de 300.000 passagers/an», explique-t-il, ajoutant que l’aéroport de Aïn Bouchekif «demeure le plus stratégique au niveau de toute la région de l’ouest du pays», exprimant son souhait de voir cette infrastructure inexploitée reprendre du service, «au plus grand bénéfice des opérateurs économiques de la région», a-t-il souligné.

Et pour attirer l’attention sur ce véritable gâchis, la population locale vient de lancer une pétition ouverte (dont le Quotidien d’Oran a obtenu une copie) pour appeler à la réouverture de l’aéroport de Tiaret.

En effet, dans une lettre adressée aux autorités locales et centrales, la population de Tiaret réclame notamment l’ouverture d’une ligne aérienne entre la capitale des Hauts-Plateaux de l’Ouest et des villes françaises comme Paris, Marseille ou encore Metz, comme c’est le vœu de nombreux Algériens originaires de l’ouest du pays et établis en France et en Europe. Les signataires de la pétition interpellent également les élus de la wilaya (députés et sénateurs) pour la situation de l’aéroport de Tiaret fermé de facto «alors qu’il est l’un des plus importants et des plus grand de tout le pays», écrivent-ils dans leur missive adressée au Premier ministre Ahmed Ouyahia et au ministre des Transports.

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Tlemcen: Un véhicule dérape, trois morts et deux blessés

Thu, 07/26/2018 - 16:04

Par R.N.

Trois personnes ont été tuées et deux autres grièvement blessées dans un accident de la circulation survenu dans la commune de Bab El Assa (wilaya de Tlemcen), a-t-on appris mercredi de la direction locale de la protection civile.

L’accident s’est produit, dans la nuit du mardi à mercredi, sur la RN 07A, au niveau du village de Salam, à Bab El Assa, suite au dérapage d’un véhicule à bord duquel se trouvaient les victimes, membres d’une même famille résidant à Ghazaouet. Le conducteur du véhicule et ses deux filles ont trouvé la mort sur place alors que la mère et une autre fille ont été grièvement blessées et évacuées vers l’hôpital de Maghnia. Les dépouilles des trois victimes ont été déposées au service de la morgue du même hôpital.

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Aïn Temouchent: Un taux de réussite au bac de 62,73 %

Thu, 07/26/2018 - 16:00

Par Saïd Mouas

La cérémonie de remise des prix aux élèves les plus méritants des trois paliers de l’enseignement, qui a eu pour cadre l’amphithéâtre de l’APW d’Ain Temouchent, s’est déroulée dans une chaude ambiance rehaussée par la présence du wali et des cadres locaux. Les lauréats primés ont eu droit à des cadeaux sous les vivats de l’assistance juvénile et les ‘’you you » des femmes venues partager la joie de leurs enfants.

La wilaya d’Ain Temouchent, créditée d’un taux de réussite de 62,73 %, a obtenu la 7ème place à l’échelle nationale. Mieux que le cru de la saison scolaire écoulée où la moyenne entre les deux sessions a atteint 60,86 %. C’est le lycée Attar Mohamed situé à Ghar El Baroud, deuxième en 2017, qui, cette année, remporte la palme du meilleur établissement avec un taux de réussite de 83,74 % prenant ainsi sa revanche sur le lycée Hadj Bouziane de Oulhaça, champion en titre l’année dernière avec une moyenne de réussite au bac de 89,63 %. Trois lycées ont dépassé les 80 % tandis qu’à l’examen du BEM la wilaya est positionnée également à la 7ème place grâce à un taux de 64,66 % boosté par les performances de 05 CEM lesquels ont réussi à obtenir des taux variant entre 90 % et 99,99 %. Plusieurs élèves sont parvenus à approcher les seuils de 17 et 18/20 notamment ceux issues des lycées des daïras de Oulhaça et Béni Saf qui semblent, depuis plus d’une décennie, sous l’effet d’une bonne inspiration. Est-ce dû, comme le prétendent les faiseurs de mythes, au régime alimentaire des autochtones qui consomment régulièrement du poisson et particulièrement la sardine ? Ou à la dureté d’un environnement marqué par une cruelle absence de loisirs qui pousserait les élèves à se refugier dans les études ?

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Aïn Temouchent: Les enfants de douaniers à Terga-plage

Thu, 07/26/2018 - 15:58

Par K. Assia

  Trois sessions d’enfants de douaniers au niveau national, soit un total de 900 petits colons séjourneront pendant le mois d’août, plus précisément jusqu’à la fête de l’Aïd El Adha, au centre de colonies de vacances de Terga-plage, dans la wilaya de Ain Témouchent, et relevant de la direction régionale des douanes d’Oran (DRO). Le coup d’envoi officiel de ce camp de colonies de vacances a été donné, hier, par la commission mise en place par la direction générale des douanes algériennes DGD et composée du sous-directeur des brigades centrales à la DGD, du président des œuvres sociales au niveau national y compris les cadres des douanes d’Oran. On saura qu’une première session de 300 enfants de douaniers séjourne depuis hier et pendant une semaine dans ce centre lequel a été doté de toutes les commodités pour une bonne prise en charge des estivants. La priorité a été accordée aux enfants de douaniers du Sud et des Hauts Plateaux. Le programme comporte des activités pédagogiques, des ateliers d’animation et des sorties en mer.

Ce centre dispose de cinq chalets, un réfectoire, une infirmerie et un grand espace qui sera aménagé selon les prévisions en bungalows. Cette action s’inscrit dans le cadre de l’amélioration des conditions socio-professionnelles initiée par la DGD au profit du corps douanier. Notons que le centre a déjà accueilli pendant 13 jours des enfants issus de familles hors du corps douanier et venus du Sud et des Hauts Plateaux.

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