Algérie 360

Identifié comme étant un édifice emblématique en raison de son intérêt architectural, l’ancien marché couvert du centre-ville de Guelma, qui se situe sur la place Harcha-Hacène, attend sa «réhabilitation».
Depuis plus d’une quinzaine d’années, le site est complètement laissé à l’abandon. Cette structure met à la disposition de commerçants un espace de vente fonctionnel pour marchands de légumes, poissonneries et boucheries. Les travaux effectués il y a des années par la commune de Guelma ont permis la réhabilitation des étals en béton existants. L’ancienne façade, qui date du 20e siècle, a été également restaurée. Mais le plus ancien marché de la ville de Guelma reste abandonné, il n’a pas encore trouvé preneur.
«Les nouveaux commerçants sont dominés par l’esprit du commerce informel, une échappatoire pour éviter les charges et les droits exigés par l’APC de Guelma», révèle un ancien élu de la commune de Guelma.
Les anciens de la cité ont du mal à imaginer que le marché couvert de la ville qui faisait partie de leur quotidien, s’arrête complètement.
Ils souhaitent vivement sa réouverture.
Plusieurs générations se sont succédé au marché place Harcha-Hacène du centre-ville. Des commerçants et artisans résistaient aux souffrances de ce métier pénible. Ils se levaient tôt le matin pour ranger la marchandise et préparer leurs stands. «Malheureusement, les jeunes n’ont pas forcément choisi de reprendre le flambeau. Ils ont opté pour le gain facile», déclare Ammi Saïd, ancien du quartier «Drouj El Marchi». Il se remémore l’ambiance qui régnait dans les travées : «Les locataires étaient solidaires et il y avait, parfois, des coups de gueule entre eux, mais jamais de dérapage, et tous savent qu’ils peuvent compter les uns sur les autres», raconte-t-il.
Les anciens de la ville du 8 mai 1945 tiennent à leur marché couvert, «El marchi taâ lebled». «Cet endroit est laissé à l’abandon et l’entassement des déchets en tout genre dans ses quatre coins, se poursuit», regrettent des citadins. Et d’enchaîner «notre volonté est de faire du marché couvert Harcha-Hacène un coin joyeux et convivial dans cette ancienne cité dont les plus précieuses traditions risquent de s’estomper».
Noureddine Guergour

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Une véritable série noire marque les routes de la wilaya de Guelma. Deux nouvelles familles sont endeuillées après un autre accident tragique survenu cette semaine.
Guelma compte ses morts sur les routes. Deux, mercredi dernier. Ils avaient 31 et 32 ans. Encore deux vies fauchées dans des circonstances différentes mais avec une conséquence tristement identique : mort sur la route.
Les secouristes de l’unité principale de la Protection civile de la wilaya, ont été appelés pour cet accident survenu sur la RN 80, reliant Guelma et Souk-Ahras, à hauteur de Salah-Soufi, une localité de la commune de Belkheir, dans la daïra de Guelaât Bousbaâ. Une moto a été percutée par une voiture. Les motards, le pilote et son passager, ont été tués sur le coup des suites de leurs graves blessures, rapporte jeudi la cellule de communication de la Protection civile. Les deux dépouilles mortelles ont été transportées à la morgue de l’EPH Okbi.
Une enquête est en cours pour déterminer les causes exactes de cet énième drame. Un de plus, mais comme pour la quasi-totalité, les mauvais comportements routiers restent pointés du doigt.
Pour essayer d’enrayer le phénomène, les services de sécurité ne cessent de communiquer pour appeler les conducteurs «à la prudence». Une autre campagne de sensibilisation a été d’ailleurs organisée récemment. Et côté de la police et de la gendarmerie, les actions de répression sont quotidiennes. Mais la bataille est loin d’être gagnée. Par exemple, qui ignore aujourd’hui que conduite et usage de téléphone portable ne fonctionnent pas ensemble ? Pourtant et selon des témoignages, ce phénomène ne cesse de prendre de l’ampleur… et l’hécatombe routière continue à Guelma.
Noureddine Guergour

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Un jeune pilleur de sable des plages a trouvé la mort dans un accident de la route en percutant avec son camion de marque Sonacome K120 un arrêt de bus dans la nuit de jeudi à vendredi aux environs de 23 heures au rond-point de la localité d’Achouet en face de l’aéroport Ferhat-Abbas sur la route reliant Taher à la commune du chef-lieu de wilaya, a-t-on appris auprès d’une source hospitalière.
La même source a ajouté que la victime répond au nom de G. Naïm, âgé de 30 ans et originaire du quartier de Boughrif relevant de la commune de Taher.
Ses deux compagnons ont été gravement blessés et évacués vers l’hôpital Saïd-Mejdoub de Taher, a souligné notre source.
Il convient de souligner que le pillage de sable des plages s’est constitué en un puissant réseau mafieux qui agit en toute impunité au sus et au vu de tous sur l’axe côtier qui s’étend de Tassoust relevant de la commune de l’Emir Abdelkader à Sidi Abdelaziz sur une distance de plus de 30 kilomètres. Les camions de pillage de sable des plages, souvent conduits par des jeunes drogués appartenant à cette mafia dont l’existence est un secret de polichinelle, constituent depuis une dizaine d’années un danger mortel sur les routes de la wilaya durant la nuit notamment sur l’axe qui s’étend de Jijel à El Kennar et le chemin de wilaya 135 reliant la commune de Chekfa à celle de Taher réputée pour ses barons de pillage de sable des plages.
Bouhali Mohammed Cherif

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Dans la nuit du vendredi à samedi, Sidi-Bel-Abbès a vécu une nuit d’enfer suite aux pluies torrentielles qui se sont abattues sur la région.
De partout, s’élevaient des appels de détresse des personnes en situation difficile soit avec l’inondation de leurs demeures et commerces, soit prises dans les flots des eaux sur les axes routiers.
Des orages, des pluies diluviennes se sont, soudainement, sans intermittence, déversés sur la capitale de la Mekerra, faisant craindre le pire face à la nature qui se déchaînait sans répit.
Ces importantes intempéries ont mis à nu la défectuosité des réseaux d’assainissement, l’obstruction des regards et des avaloirs, les nids-de-poule, les chaussées dégradées, etc. Les appels de détresse de la population ont fait exploser le standard de la Protection civile qui était débordée. Les agents du standard, qui prenaient acte de ces SOS, se démenaient dans tous les sens pour répondre à cette détresse.
Les sapeurs-pompiers ont mobilisé tous leurs moyens matériels pour porter secours aux personnes en difficulté. Ce sont aussi des particuliers avec des véhicules (camions) qui se sont mis à la disposition de la Protection civile.
La situation devenait catastrophique car le ciel noir et les rideaux de pluie ne présageaient rien de bon. En quelques heures, la majeure partie de la ville de Sidi-Bel-Abbès s’est transformée en un océan qui charriait des eaux noires et nauséabondes des égouts qui ont vomi leur contenu car débordés.
Elles inondaient tout sur leur passage, déferlant vers les demeures et commerces de plusieurs quartiers (Bab Dhaya, Mont Plaisir, cité Serna, 400-Logements, le Rocher, cité Citroën, Filage Rih, haï Boumelik, etc.).
Bref, c’était l’apocalypse qui prenait de court les populations désemparées. Les agents de la Protection civile, qui agissaient selon la priorité des urgences, appelaient au calme et demandaient aux citoyens paniqués de se mettre avec leurs enfants en sécurité en attendant leur arrivée.
Certains quartiers inondés ont vu leurs habitants se prendre en charge. Ces derniers ont enlevé le couvercle des regards et désobstrué les avaloirs pour permettre aux eaux de couler.
Des automobilistes pris dans les flots ont été secourus par la Protection civile. Les pompiers ont pompé sans relâche les eaux qui ont envahi les demeures et commerces, des édifices publics, etc.
Les localités de Telagh, Ras El Ma, Boukhanefis, Moulay Slissen, Sidi-Ali Benyoub, Les Amarnas, Zerouala, Sidi Hamadouche, Aïn El Berd, Sidi Brahim ont, elles aussi, connu le même sort, nécessitant l’intervention de la Protection civile pour écoper les eaux de ruissellement.
Jusque-là, la Protection civile n’a pas rendu public le nombre de ses interventions, ni le nombre de personnes secourues, ni évoqué des victimes potentielles.

Un conducteur écrasé par les roues de son tracteur
Dans l’après-midi du vendredi, un homme, R. M., âgé de 48 ans résidant dans la localité de Dlahim de la daïra de Sidi Hamadouche, a trouvé la mort sous les roues du tracteur qu’il conduisait. En effet, suite aux conditions climatiques, son tracteur s’est renversé le tuant net sur le coup.
Une enquête a été ouverte par la gendarmerie.
A. M.

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Selon les informations d’Alg24 les généraux-majors Habib Chentouf, Said Bey, Abderrezak Cherif, Menad Nouba commandants des 1ère, 2ème et 4ème Régions militaires, et Boudjema Boudouaour directeur des finances au MDN,  se retrouvent sans passeport, car ils seraient ciblés par une enquête.

Cette décision a été prise samedi 15 septembre, par le tribunal militaire.

Selon Alg 24 :  « ces généraux sont poursuivis dans le cadre d’une vaste enquête relative au trafic d’influence et à divers abus de pouvoir. Les premiers éléments de l’enquête ont d’ailleurs révélé que ces généraux se sont accaparés des richesses incommensurables, profitant de leurs statut et grade ».

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Un tragique accident qui s’est produit vendredi dernier dans la daïra de Asla, à 15 km du chef-lieu de daïra vers Aïn-Séfra (RN47), a causé la mort sur le coup d’une personne et trois autres ont été grièvement blessées.
Le drame a eu lieu quand le conducteur a perdu le contrôle de son véhicule de marque Logan-Dacia et a fini par se renverser en faisant plusieurs tonneaux, a indiqué la Protection civile de la wilaya de Naâma. Elle a également indiqué que les victimes blessées (une femme et deux jeunes hommes) ont été évacuées à l’EPH de Aïn-Séfra, alors que la personne décédée (un jeune homme) a été transférée à la morgue du même établissement hospitalier.
Une enquête a été aussitôt ouverte par la gendarmerie nationale pour déterminer les circonstances de l’accident.
B. Henine

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Dans un communiqué publié sur sa page Facebook, TLS Contact Algérie a tenu à répondre aux rumeurs concernant la prise de rendez-vous pour déposer son visa pour la France, et cela pour les personnes résidentes à Annaba et Oran.

« Suite aux commentaires qui circulent sur les réseaux sociaux après notre dernière publication, TLScontact tient à préciser que ces propos sont des accusations graves, diffamatoires et non fondées. Les rendez-vous sont ouverts chaque jour. Pour éviter les fraudes, une procédure très stricte est mise en place par TLScontact pour l’ouverture des rendez-vous en collaboration avec les consulats. L’équipe en charge des ouvertures ne se trouve ni à Oran ni à Annaba. TLScontact, prestataire de service public, est là pour améliorer l’accueil et le service rendu aux Algériennes et aux Algériens. » précise la publication.

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Le vendredi 14 septembre, un cachalot s’est échoué vers 18 h 30 mn dans une plage à Benabelmalek-Ramdane.
En état de décomposition, le cétacé portait des traces de blessures vraisemblablement causées par une hélice d’un navire. «C’était triste de voir un tel spectacle», ont témoigné plusieurs marins, pêcheurs et curieux qui se sont rendus sur les lieux et certains ont mitraillé de leurs appareils portables la masse échouée. Selon les évaluations, le mammifère marin pesait approximativement 2 quintaux et mesurait environ 3,5 mètres. Les services de l’APC de la commune, les inspecteurs des Directions de la pêche et des ressources halieutiques et de l’environnement et les éléments de la Protection civile ont dû déployer de gros moyens pour se débarrasser de la carcasse du cachalot avant son enfouissement sous terre. Des cétacés du même genre échouent souvent sur la côte mostaganémoise.
A. B.

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Le manque d’activité physique, le travail assis, un mode de vie sédentaire… Tous ces facteurs cumulés sont les principales causes du mal de dos… Si vous êtes concerné par ce type de douleur, voici quelques remèdes naturels qui vous aideront à traiter efficacement ce symptôme.

N’oubliez pas que l’activité physique régulière est indispensable pour entretenir le dos et pour le renforcer.

Infusion de sauge :
La feuille de sauge (mirimiya) a des propriétés relaxantes. Composée d’agents anti-inflammatoires, elle agit contre les douleurs osseuses et musculaires. C’est pour cette raison que la tisane de sauge est un excellent remède maison contre le mal de dos.
Faites chauffer 1 litre d’eau et ajoutez deux cuillerées de sauge (20 g). Laissez faire la décoction pendant quelques minutes, filtrez le contenu et buvez-en trois tasses par jour.

Feuilles de basilic
Les feuilles de basilic (h’baq) peuvent aussi être d’une grande aide pour le mal de dos. Ajoutez 8 à 10 feuilles de basilic dans une tasse d’eau et faites bouillir jusqu’à ce que l’eau s’évapore à moitié. Laissez refroidir à température ambiante puis ajoutez une pincée de sel. Pour une douleur légère, buvez cette préparation une fois par jour; et pour des douleurs sévères, buvez-en deux fois par jour.

Patch chauffant au piment 
Le piment de Cayenne contient de la capsaïcine dont l’action anti-douleur est reconnue et permet d’atténuer les douleurs articulaires.
Mélangez soigneusement une petite cuillère à café de piment de Cayenne en poudre avec une cuillère à café d’huile végétale. Appliquez sur la zone douloureuse et déposez une compresse par-dessus. Voilà un patch chauffant naturel pour venir à bout de la douleur.

Massage au clou de girofle 
Si vous souffrez d’un mal de dos, l’huile essentielle de clou de girofle peut être très bénéfique pour vous. L’huile de girofle peut réduire l’inflammation dans le corps. Ainsi, il peut vous aider à soulager les douleurs musculaires et la douleur de l’arthrite. Fait intéressant, il a également été constaté que l’huile de clou de girofle peut tonifier vos articulations et vos os. L’huile de girofle contient du calcium, des oméga-3 et du fer. Tous ces ingrédients sont nécessaires pour avoir des os et des articulations plus forts. Si vous frottez l’huile de clou de girofle sur la zone touchée plusieurs fois par jour, votre inflammation peut être réduite et le mal de dos sera soulagé considérablement. L’huile essentielle de clou de girofle doit toujours être diluée dans une huile végétale.

Compresse de riz
Si vous avez mal au dos, versez du riz dans votre chaussette pour soulager la douleur. Cette astuce simple est un excellent moyen d’appliquer de la chaleur sur tout votre dos. D’abord, trouvez une vieille paire de chaussettes. Assurez-vous qu’elles sont propres et sans trous. Versez l’équivalent de 1,5 tasse de riz non cuit dedans. Il suffit de verser le riz dans la chaussette, en vous assurant que rien ne se verse pas terre.
Ensuite, nouez la chaussette au niveau du sommet. Assurez-vous que le riz est bien là, et que la chaussette n’est pas trop serrée. Placez la chaussette dans une autre chaussette, puis nouez aussi celle-ci. Après quoi, placez votre compresse de chaussette au micro-ondes pendant deux à trois minutes, le temps qu’elle s’échauffe. Ensuite, retirez la chaussette, vérifiez la température avant de la placer sur la zone douloureuse. Vous pouvez même opter pour une chaussette de riz mis au congélateur, si vous préférez une compresse froide pour soulager votre douleur.

Trois remèdes anciens
Placez des compresses sur la zone douloureuse en alternant eau tiède et froide, puis massez avec de l’huile de sésame tiède. Buvez trois tasses de tisane à base de romarin par jour.
Faites bouillir de l’eau avec du gingembre (skendjbir) et y tremper un linge. Etendre sur son dos une serviette sèche, puis recouvrez avec le linge humide. Recouvrez le tout avec une autre serviette sèche et laisser agir 5 minutes.
Faites bouillir pendant quelques minutes des feuilles entières de chou vert, les laisser refroidir quelques secondes, puis placer les directement sur la peau. Recouvrez avec un linge ou une gaze.

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17 639 stagiaires inscrits regagneront cette année les centres de la formation professionnelle. Ces effectifs se composent essentiellement de 10 093 élèves nouveaux et de 7 546 élèves reconduits. Le secteur de la formation professionnelle au niveau de la wilaya de Tipaza compte 22 établissements comprenant 3 Instituts, dont l’institut national spécialisé de la formation professionnelle de Hadjout, l’Institut national spécialisé de la formation professionnelle de Bou Ismaïl et enfin l’institut de l’enseignement professionnel (IEP) de Hadjout.
A cela s’ajoutent 15 centres de formation professionnelle et de l’apprentissage (CFPA) dont celui de Gouraya, de Bou Ismaïl, de Cherchell, de Koléa, de Fouka, de Tipaza, de Sidi Ghilès, de Attatba, de Meurad, de Ahmer El Aïn, Douaouda, Hadjout, Bourkika, Menaceur, Aïn Tagouraït. On compte aussi 4 annexes : à Damous, Sidi Amar, Nador et Hadjret Enouss.
La capacité d’accueil théorique de ces établissements est évaluée à 6 250 postes pédagogiques
En termes d’hébergement, on dénombre 14 internats à 2 260 lits.
En matière de demi-pension, ces établissements disposent d’une capacité de 1 790 repas/jour.
Pour cette rentrée, la ville de Hadjout dispose de deux institut nationaux, dont l’un dispose de 1 000 places pédagogiques et le second avec une capacité aussi importante, contrairement à la ville de Cherchell, brasse toute la région Ouest enclavée allant de Damous, Gouraya, Messelmoun, Larhat, Béni Haoua, jusqu’à Ténès.
Il convient de rappeler que la réalisation d’un institut à Cherchell, créé à l’origine pour la filière électronique et électricité, qui a été transformé en Institut de la bureautique et GRH, mais qui accuse des glissements de délais. Les offres de formation pour tous ces établissements se présentent comme suit : 2 796 postes pédagogiques en formation présentielle. 2 675 postes pédagogiques en formation par apprentissage. 1 140 postes pédagogiques en cours du soir. 1 045 postes pédagogiques au profit de la femme au foyer. 720 postes pédagogiques en milieu carcéral. 550 postes pédagogiques dans les formations initiales qualifiantes.
752 postes pédagogiques dans les formations conventionnées, 360 postes pédagogiques dans les écoles privées et 25 postes pédagogiques dans l’institut de l’enseignement professionnels (IEP) détaillées.
Ces types de formation se présentent comme suit : pour la formation présentielle : il est prévu pour cette rentrée 2 796 postes pédagogiques pour 60 sections, repartis par niveau comme suit : pour le niveau 1 qui compte 50 postes pédagogiques préparant au CFPS, un certificat de formation professionnelle spécialisée. Il s’agit d’une formation diplômante de niveau de fin du cycle primaire d’une durée de 12 mois.
Pour le niveau 2, on compte 1 585 postes pédagogiques préparant au CAP : Certificat d’aptitude professionnelle ; il s’agit d’une formation diplômante de niveau de fin du cycle primaire ou 4e année et d’une durée de 12 mois.
Pour le niveau 3, on compte 325 postes pédagogiques et préparant au CMP : Certificat de maîtrise professionnelle, il s’agit d’une formation diplômante de niveau 4e année et d’une durée de 18 mois.
Pour le niveau 4, on compte : 475 postes pédagogiques et préparant au Brevet de technicien BT, il s’agit d’une formation diplômante de niveau 2e AS et d’une durée de 24 mois.
Pour le niveau 5, on compte : 475 postes pédagogiques et préparant au Brevet de technicien au BTS: Brevet de technicien supérieur qui est une formation diplômant de niveau 3e AS et d’une durée de 30 mois).
Quant à la formation par apprentissage, il est prévu, pour cette rentrée, 2 675 postes pédagogiques, repartis par niveau comme suit : niveau 1 : 247 Certificat de formation professionnelle spécialisée. C’est une formation diplômante de niveau de fin du cycle primaire d’une durée de 12 mois.
Niveau 2 : 1 621 postes pédagogiques CAP: Certificat d’aptitude professionnelle, c’est une formation diplômante de niveau de fin du cycle primaire ou 4e année et d’une durée 12 mois.
Niveau 3 : 303 postes pédagogiques CMP : Certificat de maîtrise professionnelle, c’est une formation diplômante de niveau 4e année et d’une durée de 18 mois).
Niveau 4 : 429 postes pédagogiques BT : Brevet de technicien. C’est une formation diplômante de niveau 2e AS et d’une durée de 24 mois.
Niveau 5 : 75 postes pédagogiques BTS : Brevet de technicien supérieur. C’est une formation diplômante de niveau 3e AS et d’une durée de 30 mois.
Pour la formation en cours du soir : il est prévu pour cette formation qualifiante 1 140 postes pédagogiques dans les spécialités suivantes : apiculture, initiation en informatique, esthétique et élevage des ruminants, coffrage, ferraillage.
Pour la formation au profit de la femme au foyer : il est prévu pour cette formation qualifiante 1 045 postes pédagogiques dans les spécialités suivantes : macramé, chbika et ftoul, décoration florale, pâte chimique, couture, gâteaux traditionnels, cuisine, coiffure dames. Formation en milieu carcéral : il est prévu 720 postes pédagogiques en formation qualifiante dans les spécialités : horticulture, poterie option décoration, menuiserie, peinture bâtiment, aide-maçon, vitrier, aide-installation sanitaire et gaz, carrelage faïence, tôlerie carrosserie, réalisation des plats traditionnels, initiation en informatique, rasage et taillage de barbes, repasseur(se) habillement.
Pour la formation qualifiante initiale, il est prévu 550 postes pédagogiques dans les spécialités : agent de production de plantes, mise en place d’une pépinière arboricole, éleveur de poulet de chair, électricien bâtiment, surjeteuse sur machine, piquage et montage de vêtements, pizzaïolo, initiation en informatique, agent d’entretien et de nettoyage urbain, coupe mise en pli et brushing, coloration décoloration permanente et défrisage, lifting auto-vulcanisateur, caissier.
Pour la formation conventionnée : il est prévu pour cette rentrée 752 postes pédagogiques.
Houari Larbi

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Aujourd’hui, l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA) réunira son état-major à l’INERS (Institut national des études et recherches syndicales) d’El Achour. Participeront à cette rencontre la direction nationale, soit les secrétaires nationaux, ainsi que les premiers responsables (secrétaires généraux) des fédérations nationales et des unions de wilaya.
Abder Bettache – Alger (Le Soir) – Cette réunion, conforme aux statuts de ce syndicat, est la seconde du genre que le secrétariat national de l’UGTA convoque durant l’année 2018, après celle de la commission exécutive nationale (CEN). Cette dernière, faut-il le rappeler, s’est tenue en avril dernier dans la wilaya d’Oran.
Ainsi et selon une source syndicale sûre, la réunion d’aujourd’hui n’est pas «si ordinaire», comme le prétendent certains responsables de l’UGTA et ce, même si selon l’ordre du jour fixé par le secrétariat national s’articule essentiellement autour de deux points. Il s’agit de faire le point de la rentrée sociale et de la question organique.
Sauf que cette réunion organique intervient dans un contexte politique particulier. Elle se tiendra à quelques mois des élections présidentielles, arrêtées pour avril 2019.
A ce propos, nos sources n’excluent pas que le bureau en charge de la gestion de ladite réunion propose aux membres présents «d’inclure la question de la présidentielle à l’ordre du jour de cette rencontre».
Cela dit, la direction nationale de l’UGTA aura notamment à débattre de la question sociale à travers un bilan qui sera présenté en la circonstance par le département en charge de ladite question. Idem pour le département organique, qui aura à son tour de présenter l’état d’avancement de l’opération de renouvellement des instances syndicales de wilayas et de fédérations.
A ce titre, on apprend que le prochain congrès d’unions de wilayas, se tiendra à Oran. Un enjeu organique hautement très important pour la centrale syndicale, après celui qui a eu lieu en juillet dernier à Sétif.
Enfin, pour les observateurs de la question syndicale, c’est l’intervention du secrétaire général qui sera au centre d’une attention particulière des cadres syndicaux de l’UGTA.
Le discours d’ouverture des travaux qui sera assuré par Abdelmadjid Sidi Saïd tracera sans aucun doute les contours de cette «importante réunion organique».
A. B.

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ALGER – La cinémathèque algérienne relevant du Centre national de la cinématographie et de l’audiovisuel (CNCA) a rendu hommage, samedi, au réalisateur Sid ali Mazif par la projection de son film référence « Leila et les autres » (1977), un travail qui marqua un tournant dans le cinéma algérien grâce à une présentation audacieuse et sa défense des droits moraux et matériels de la femme algérienne au sein d’une société qui a bafoué ses droits, notamment dans le monde du travail et du combat syndical.

Réalisé dans les années 70, le film aborde un sujet avant-gardiste pour le cinéma algérien, en l’occurrence le droit des travailleurs et la discrimination à l’égard de la femme ouvrière en mettant en image une grève déclenchée par les travailleurs d’une usine en réponse à l’humiliation, d’une de leur collègue, par son responsable direct.

Le film, qui a enregistré plus de 600.000 entrées lors de sa projection, relate le parcours de Leila (l’actrice décédée Nadia Samir) et sa collègue et la vision de la société vis-à-vis de la femme ouvrière. La discrimination à l’égard de la gente féminine est mise en scène à travers des images montrant la souffrance de la femme, notamment, dans les transports en commun.

Le travail de Sidali Mazif, lauréat du premier prix du Festival de Tachkent (Ouzbékistan), aborde également le mariage des filles à travers l’histoire de Meriem, élève en classe terminale qui affronte sa famille et la société pour éviter son mariage avec un homme riche qu’elle ne connait pas.

Cette réalisation a donné une image précise des mutations que connaissait la société algérienne durant cette époque ainsi que de la vie à Alger, particulièrement à Belouizdad, quartier qui a servi de scène de décor pour tout le film.

Le réalisateur a également braqué les projecteurs sur les us et coutumes des algériens, leurs comportements et les relations de voisinage dans les quartiers populaires.

Sidali Mazif a choisi pour son travail plusieurs figures féminines ainsi que de nouveaux visages, qui auront plus tard une place importante dans le cinéma algérien à l’image de Aida Kechoud, Beyouna, Rabah Lachaa et d’autres acteurs connus à l’époque, à l’instar de Chafia Boudraa.

S’exprimant lors d’un débat qui a suivi la projection du film, le réalisateur s’est dit désolé pour les difficultés rencontrées par le cinéma algérien, notamment au volet matériel et le manque de salles qui a fait que plusieurs projets et films réalisés ne soient pas projetés. Il a ajouté avoir accepté que son dernier travail « Le patio » soit diffusé à la télévision pour réaliser une large audience.

Né en 1943, Sid Ali Mazif étudie le cinéma à l’INC avec de célèbres noms du 7e art en Algérie, à l’image de Lamine Merbah. Il a réalisé plusieurs courts métrages avant de réaliser, début des années 70, son premier long métrage « sueur noir » qui aborde la répression de la grève des mineurs algériens par le colonisateur français.

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A une semaine de la rentrée de la formation professionnelle, prévue pour le 23 septembre, le premier responsable du secteur a indiqué que de nouvelles spécialités seront proposées aux stagiaires en vue de satisfaire la demande et répondre aux besoins du marché de l’emploi.

Lors de son passage dans l’émission «L’invité de la matinale» de la radio Chaine 1, le ministre de la formation professionnelle, Mohamed Mebarki a précisé qu’en plus des spécialités existantes, son secteur propose 29 nouvelles pour les nouveaux stagiaires. Au total, la formation professionnelle propose 478 spécialités dont 440 sont dispensées au niveau des 48 wilayas du pays.

Selon le ministre l’intérêt aux filières de formation professionnelle prioritaires «a augmenté cette années par rapport à l’année précédente.

Lors d’une réunion avec les directeurs de wilaya la formation et de l’enseignement professionnels, le ministre avait précisé que les spécialités relevant du domaine de l’industrie représentant «25,40% de l’offre globale, alors qu’elle ne dépassait pas les 22,7% en septembre 2017».

La filière du BTP connaît également une évolution représentant 12,41% de l’offre globale, et il s’agit de même pour la filière de l’agriculture et de l’industrie agroalimentaire qui représente 9,31%, a-t-il fait observer.

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Un Algérien en voyage en Tunisie a affirmé avoir été arrêté hier, sur le chemin du retour vers l’Algérie par un faux barrage de sécurité mis en place par un groupe terroriste armé, rapportent des médias tunisiens ce dimanche.

Le barrage aurait été composé d’une vingtaine de terroristes, qui auraient arrêté l’Algérien pour un « contrôle d’identité ». L’incident aurait eu lieu au niveau de la zone de Faj Bouhaya. « La zone se situe dans la région reliant la délégation de Feriana au poste frontalier de Bouchebka, près de Tebessa », informe la presse tunisienne.

Par la suite, l’Algérien en question s’est présenté aux unités sécuritaires et douanières de Bouchabka afin de les informer qu’il a été arrêté au barrage pensant qu’il s’agissait d’une patrouille de contrôle sécuritaire. Selon Tunisie Numérique,  » des dispositions sont prises pour traquer le groupe terroriste ».

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L’accession de l’Algérie à la tête du CEMOC a soulevé l’espoir de la mise en place d’une nouvelle dynamique dans la lutte anti-terroriste qui se mène au Sahel. Chargé de mener des opérations de localisation et de destruction des groupes armés, la réactivation de cette structure est aujourd’hui perçue comme une nécessité pour faire face à la situation prévalant dans la zone.
Abla Chérif – Alger (Le Soir) – Il y trois jours, la réactivation officielle du Comité d’états-majors opérationnels conjoint était donc officiellement annoncée par l’Algérie qui rendait également publique son accession à la présidence tournante de l’organisme. Ce dernier regroupe le Mali, le Niger et la Mauritanie également impliqués dans la force du G5, structure chargée de la lutte anti-terroriste dans le sahel.
Le communiqué publié révélait ainsi qu’une réunion s’est déroulée ce mercredi à Niamey, au Niger, en présence d’une importante délégation de l’ANP conduite par le général major Zerrad Cherif. Objectif: évaluer la situation en cours dans la région, mais aussi faire l’état des lieux du niveau de coopération entre les états-majors impliqués dans cette structure. Sur place, les partenaires de l’armée algérienne proposent que la présidence tournante soit à présent assurée par l’Algérie.
Comme beaucoup d’autres pays, le Mali, le Niger et la Mauritanie sont depuis un long moment à la recherche d’une implication beaucoup plus importante et plus franche des militaires algériens dans la lutte qui se mène hors de ses frontières.
Pour des raisons bien connues, Alger s’est cependant toujours refusée à s’impliquer dans des initiatives entravant les principes contenus dans la constitution et limitant ses actions armées au territoire national. Force est de reconnaître aussi qu’en dépit de plusieurs tentatives poussant à son implication dans la force du G5 (Mali, Niger, Burkina Faso, Mauritanie et Tchad) supervisée par la France, Alger a su rester imperturbable et limiter son rôle à celui de «partenaire incontournable».
La réactivation du CEMOC pourrait toutefois indiquer que la donne semble être appelée à évoluer mais dans des limites tracées par les algériens eux-mêmes. L’organisme en question est en effet une création de l’armée algérienne puisque c’est sous son autorité et à son initiative qu’il a été créé en 2012 à Tamanrasset.
En raison des jeux d’influence étrangers dans la région, mais aussi des événements auxquels a eu à faire face l’armée durant toutes ces dernières années, le CEMOC est resté au stade de balbutiements et son existence connue uniquement des initiés. De nouveaux éléments semblent être cependant survenus depuis.
Le G5, projet cher au président français, peine à lutter efficacement contre les groupes terroristes qui redoublent de férocité. l’impossibilité de trouver une solution à la crise libyenne qui menace à tout moment de déborder hors de ses frontières, l’échec de l’opération Barkhane au Mali mais aussi l’arrivée massive de terroristes chassés d’Irak et de Syrie où ils étaient partis combattre sont autant de donnes qui menacent l’équilibre et la sécurité de la région. L’armée algérienne que l’on disait encore affaiblie par la décennie noire au moment où a été créé le CEMOC n’en est plus à ce stade elle aussi. En très peu de temps, elle a su se transformer en l’une des entités militaires les plus puissantes et les plus équipées de la région.
Ce statut lui confère une force et une aura incontestables qui peuvent lui permettre sans problème de régner en maîtresse sur le Sahel dans des limites qu’elle s’est cependant elle-même fixée. En d’autres termes, agir militairement dans la zone sans être soumise à une quelconque influence étrangère.
Dans l’intervention prononcée à Niamey, le général-major Zerrad Chérif a fait passer le message clairement : «il est nécessaire dit-il, de conjuguer les efforts dans une coopération franche et sincère entre les pays du champ basée essentiellement sur l’échange d’informations et de renseignements et la coordination de part et d’autres des frontières en comptant sur nos propres forces et moyens.»
Il va sans dire que la réactivation du CEMOC suscite un immense intérêt chez les partenaires subsahariens mais aussi et surtout chez les parties étrangères impliquées au Sahel. Ce jeudi, Emmanuel Macron et le président Bouteflika ont déjà eu un échange sur la situation en cours…
A. C.

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Le déplacement du marché de Bab-el-Oued vers Oued-Koriche a eu des conséquences néfastes pour le quotidien des habitations voisines. Que ce soit au «Groupe Taine», au bâtiment F1, et jusqu’au jardin attenant, les odeurs de sardines pourrissant au soleil n’épargnent personne. La pestilence s’insinue partout, et s’incruste, indisposant les habitants, et plus particulièrement les enfants, et les vieillards, et provoquant la colère des riverains, et des fidèles de la mosquée attenante.
Les riverains avaient déjà mis en garde les autorités contre les conséquences néfastes de l’installation du nouveau marché, et notamment la partie poissonnerie et volailles. En pure perte, puisque la pollution et son cortège de mouches et de bestioles nuisibles, sont là et sont de plus en plus incommodes. Jusqu’à quand va durer ce calvaire ? Va-t-on attendre encore une fois que le mal soit fait pour réagir ?

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Le Premier ministre et SG du RND, Ahmed Ouyahia, a reçu longuement, récemment, le président du Mouvement populaire algérien, Amara Benyounès, avons-nous appris de source crédible. Si rien n’a filtré de ce tête-à-tête, les discussions entre ces deux dirigeants de l’Alliance présidentielle ont certainement porté sur la brûlante actualité nationale et les prochains rendez-vous politiques. A rappeler, en effet que parmi tous les partis de l’Alliance, seul le MPA ne s’est toujours pas exprimé en faveur du 5e mandat.

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Le président de l’Union arabe de cyclisme (UAC), Cheikh Fayçal Humaïd Al Qassimi, qui a félicité la Fédération algérienne de cyclisme pour la réussite des Championnats arabes qu’a organisé Mostaganem en ce début de septembre, a fustigé au passage certaines nations arabes qui n’ont pas pris part à la compétition notamment le Maroc et l’Arabie Saoudite.
M. Al Qassimi, qui a rappelé que l’Union cycliste internationale (UCI) reconnaît les compétitions organisées par l’UAC, appelle l’UCI à sévir contre les pays qui ne répondent pas présents aux compétitions arabes. «Personnellement, je regrette le forfait des nations qui ont les moyens matériel et humain pour y prendre part», a indiqué Cheikh Al Qassimi au site internet de la FAC en faisant allusion surtout au Maroc et l’Arabie Saoudite qui ont brillé par leur absence à Mostaganem. «Il est inconcevable que des pays comme le Soudan, le Yémen et le Liban, des pays où la situation est difficile, font des efforts pour être présents aux championnats arabes, tandis que l’Arabie Saoudite ou le Maroc : des nations où la situation est totalement différente, ne se manifestent pas», a-t-il précisé en affirmant ne pas «trouver de justifications pour ces forfaits». «Si la situation perdure, l’Union arabe sera dans l’obligation de prendre des mesures fermes», a-t-il averti. «La reconnaissance de nos compétitions par l’UCI, dont nous nous félicitons, devait prendre effet à partir de ce rendez-vous de Mostaganem, mais par manque de temps, il a été décidé de la reporter à nos prochains championnats du VTT prévus en novembre 2018 dans le Sultanat d’Oman», a-t-il dit. Il a précisé que ce sera «la première compétition de l’Union dont les points gagnés compteront dans les classements de nos cyclistes en prévision de leurs qualifications aux Championnats du monde et aux Jeux olympiques».
A l’avenir, le calendrier de l’Union sera riche et varié et devrait comporter plusieurs compétitions des différentes épreuves et catégories dont les courses du BMX. Enfin, comme toutes les instances sportives internationales, l’UAC tend dans sa politique de solidarité à aider les sélections nationales en difficulté. «Nous faisons de notre mieux pour trouver des sponsors pour nos activités et nous souhaitons que la reconnaissance de l’UCI contribuera grandement en ce sens», a relevé Cheikh Al Qassimi soutenant qu’en «fonction de nos entrées, nous allons aider les fédérations nationales et il est fort possible que l’Union prenne en charge des cyclistes ciblés et les envoyer dans le centre mondial de l’UCI pour préparation et amélioration de leur niveau».
Ah. A.

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A moins d’un mois du coup d’envoi du championnat de la division nationale 1, messieurs, et avec l’adoption d’une nouvelle formule du championnat, les équipes de l’élite continuent à faire leur marché à la limite des 14 licences autorisées par club. Et contrairement aux périodes des transferts précédentes, celle de cette intersaison, les clubs de nationale 1 se sont arraché les meilleurs éléments sur le marchés. Et pour privilégier la formation et l’intégration des juniors dans les équipes séniors, la Fédération algérienne de basket-ball (FABB), a décidé de limiter le nombre de joueurs étrangers en Algérie à un seul, contrairement aux saisons précédentes. «Afin de rajeunir les effectifs, il est permis à chaque club d’utiliser les joueurs juniors régulièrement enregistrés à la FABB par le dépôt d’une copie d’un avenant du contrat d’assurance de l’équipe séniors», selon le nouveau règlement particulier de la division nationale 1.

NAHD : Zaki Guermat rejoint le GSP…
Le NA Hussein-Dey annonce le départ de Zaki Guermat vers le GS Pétroliers ; lui qui avait passé 18 ans à défendre les couleurs de l’équipe des Sang et Or. «Un de nos meilleurs éléments nous quitte», regrette le NAHD qui n’omet pas de mettre en avant les mérites du joueur qui «laisse sa place à jamais gravée dans le cœur des Nahdistes, ce jeune-là qui a tant donné pour le NAHD».

…Retour de Yanis Mostefaï
Parallèlement au départ de Guermat vers le GSP, le NAHD se dit heureux du grand retour de l’un de ses enfants à savoir Yanis Mostefaï. Ce dernier, après avoir passé plusieurs saisons au GS Pétroliers, rentre au bercail. «On a le plaisir de vous annoncer le grand retour de l’enfant du club, Yanis Mostefaï, au NAHD. Après de longues années, il décide de retrouver son club de cœur qui l’a enfanté. On lui souhaite un bon retour parmi nous», annonce le NA Hussein-Dey.

Un entraîneur portugais annoncé au GSP
Le GS Pétroliers, champion d’Algérie en titre et détenteur de la Coupe d’Algérie, devrait enregistrer l’arrivée d’un entraîneur portugais pour prendre en main l’équipe première. Rien n’a encore filtré sur le nom du technicien portugais, mais on apprend que les contacts sont bien avancés.

USM Alger : Arrivée de Bouhaous Messaoudi
L’USM Alger, qui aborde sa seconde saison en division nationale 1, connait l’arrivée de nouveaux éléments dont Bouhaous Messaoudi qui arrive de l’IR Bordj Bou-Arréridj pour une nouvelle expérience dans le club de la capitale.

PS El-Eulma : Akram Sahraoui en renfort
Après avoir passé quatre saisons à l’USM Blida, Akram Sahraoui rejoint PS El-Eulma pour une nouvelle expérience.

WO Boufarik : Boulesnane et Kaouane de retour au bercail
Le WO Boufarik, qui compte jouer les premiers rôles lors de la nouvelle saison, a fait signer deux nouveaux éléments avec le retour au bercail de Boulesnane Azzedine et Halim Kaouane.
Ahmed Ammour

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Le bureau de l’Association de solidarité avec les cancéreux El Fadjr a organisé mardi, au niveau de la salle de conférences de la Maison de la culture Emir Abdelkader de Aïn Defla, une action d’aide aux enfants cancéreux et aux enfants de parents cancéreux qui vivent dans une grande pauvreté quand ce n’est pas dans le dénuement total.
Au cours de la cérémonie, ont été offerts des trousseaux scolaires complets à 80 enfants malades qui ont pu se présenter et à 60 autres qui n’ont pas répondu à l’invitation, faute de quoi se payer le voyage ou parce que malades, ils n’ont pas pu effectuer le déplacement surtout ceux qui vivent dans les contrées isolées et éloignées du chef-lieu de wilaya Aïn Defla mais auxquels les membres du bureau de wilaya de l’Association se chargeront de les leur remettre.
Si une note de tristesse a plané sur l’assistance, il y a eu aussi de la joie qui a éclairé le visage de ces enfants malades, parce qu’ils ont senti qu’on a pensé à eux. Ils sont venus de partout, des communes les plus reculées telles que Bathia ou Tarik Ibn Zyad et autre Ouled Bassa dans la commune de Tachta.
Ces dons proviennent de 6 bienfaiteurs de Aïn Defla, de Sidi Lakhdhar et de Khemis Miliana.
L’association dont le bureau est présidé depuis 4 ans par Mme Mekki, une retraitée du secteur de la santé, aidée par des bénévoles a, à son actif de nombreuses actions de soutien et de solidarité en direction des familles touchées et par la maladie et par la misère criante, la dernière action a été d’habiller de pied en cap 160 enfants malades ou de parents malades et démunis.
Ces actions que mène l’Association El Fadjr ne sont que des gouttes d’eau dans un océan de besoins. En effet, selon Mme Mekki le nombre de malades adhérents a atteint les 850 personnes.
Il faut dire que ce n’est pas le manque d’initiatives, de la part du bureau qui ont manqué ni les appels à solidarité. En Effet, il y a une semaine de cela, lors d’une émission de la Radio locale, pendant 1h, elle n’a pas cessé de se faire la porte-parole de ces personnes qui affrontent la maladie et la misère, ces appels n’ont pas reçu d’écho, affirme-t-elle.
Le tort de cette association est d’avoir le caractère national et de ce fait, en vertu d’une certaine réglementation, elle ne bénéficie pas des subventions de wilaya qu’on accorde à certaines associations pourtant qui n’apparaissent que pour distribuer le couffin du Ramadhan ou gérer les restaurants du cœur, tout comme les associations sportives et musicales pour ne citer que celles-là.
Certes, nous a-t-on indiqué, le Bureau national perçoit des subventions mais il ne peut que prendre en charge les frais des examens médicaux.
Ont pris part à cette cérémonie, le directeur de la santé assisté de son adjoint, le directeur des transports, celui du secteur des moudjahidine, un envoyé de la Sûreté de wilaya ainsi qu’un inspecteur représentant le directeur des affaires religieuses après avoir rappelé que la solidarité à l’endroit de ceux qui souffrent est un devoir sacré, a lancé lui aussi un appel à la solidarité à tous.
Karim O.

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