Les éléments de la police judiciaire de la sûreté urbaine de Boumerdès ont arrêté le voleur de la mosquée Ibn Khaldoun, située au centre-ville. Il s’agit de B. M., âgé de 20 ans, originaire de la commune de Si Mustapha.
L’arrestation a fait suite à un appel sur le numéro 15 48 dénonçant le malfaiteur en train de voler du matériel et des objets au moment où les fidèles effectuaient la prière d’El Maghreb, a-t-on appris d’une source policière, précisant que l’intervention rapide des policiers a permis sa neutralisation en flagrant délit. Jugé en différé, il a été condamné à 6 mois de prison ferme et 20 000,00 DA d’amende.
K. K.
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Écrit par Allal Bekkaï
La rentrée universitaire 2018-2019, dimanche 16 septembre 2018, sera marquée par l’introduction de nouvelles spécialités de niveau mastère en rapport avec les huiles essentielles, l’économie énergétique, la traduction et la psychologie, afin d’adapter continuellement les formations aux exigences de l’environnement sociétal et économique.
L’université Abou-Bekr-Belkaïd de Tlemcen (UABT) gère actuellement près de 190 points de formations dans 12 domaines d’études de niveau licence, mastère et doctorat. Il faut souligner que quelque 23 000 nouveaux étudiants sont attendus à l’UABT. Par ailleurs, toutes les mesures ont été prises pour assurer de meilleures conditions de vie dans les campus universitaires (bourse universitaire, hébergement, vie quotidienne, aides sociales, accueil, transport, associations, sport et culture), pour accompagner les futurs étudiants dans leur nouvelle vie, croit-on savoir.
L’université Abou-Bekr-Belkaïd de Tlemcen se compose de huit facultés qui compte chacune un ou plusieurs départements, faculté des sciences, faculté de technologie, faculté de droit et des sciences politiques, faculté des lettres et des langues, faculté des sciences de la nature et de la vie et sciences de la terre et de l’univers, faculté de médecine, faculté des sciences économiques, commerciales et des sciences de gestion, faculté des sciences humaines et sociales. L’UABT comprend plusieurs pôles et une annexe à Maghnia, à savoir le nouveau pôle (pôle rocade), Pôle Chetouane, Pôle Imama, Pôle centre-ville, Pôle Kiffane, Pôle Bel-horizon ainsi que l’annexe de Maghnia.
Un guide de l’étudiant est mis en ligne via le site de l’UABT qui invite les étudiants à prendre connaissance des emplois du temps du 1er semestre 2018/2019 concernant les département du tronc commun, département des sciences économiques, Département des Science commerciales, département des Science de gestion, département des science finances et comptabilité. D’autre part, le pôle 2 de l’UABT organise des concours nationaux pour l’accès aux études pour l’obtention du diplôme de doctorat dans plusieurs spécialités (filières).
Il faut savoir que c’est Djawed Zenagui qui assure l’intérim du recteur Mustapha Djaffour, atteint d’une maladie invalidante. Le rectorat se trouve toujours dans l’enceinte de l’école des sœurs du faubourg Pasteur, sachant que le nouveau siège n’a été pas encore livré.
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Une opération coup-de-poing combinée de la police et de la gendarmerie a été déclenchée le 20 septembre 2018 vers 17 heures au niveau de la commune de Souahlia, dans la daïra de Ghazaouet. Les forces combinées, en l’occurrence les éléments de la BMPJ de Tlemcen et Mansourah et ceux de la Sûreté urbaine de Souahlia, ont ciblé les endroits louches et autres repaires de marginaux.
L’opération sécuritaire s’est soldée par l’interpellation de 98 personnes, le constat de 47 infractions au code de la route, l’immobilisation de 9 motos, le contrôle et le fichage de 34 véhicules. Dans ce cadre, il a été procédé à la perquisition du domicile du dénommé Z.Y. (50ans) où il a été découvert deux plaquettes de kif et une somme d’argent estimée à 85 600 DA représentant à priori la recette du commerce prohibé. Fouille systématique similaire au domicile du dénommé B. Z. (24 ans) chez lequel il a été récupéré 5 comprimés psychotropes. En outre, il a été procédé à l’arrestation de deux personnes déclarées insoumises aux obligations du Service national et deux autres pour ivresse avérée sur la voie publique.
E. H. T.
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Écrit par El Halloui Tlemçani
Un sit-in d’une trentaine de parents d’élèves devait être observé dans la matinée de mardi devant l’école primaire Ahmed-Ghitri, à Aïn Defla (Chetouane). Ce rassemblement est motivé par le problème de la double vacation. Un système de fréquentation scolaire qui lèse les élèves concernés, eu égard aux perturbations qu’il cause aux parents.
Dans ce cadre, les protestataires mettent à l’index l’occupation inopportune d’une classe à titre de bureau par l’inspectrice de l’enseignement primaire. Une situation qui ampute d’une salle la capacité d’accueil de l’établissement scolaire. Aussi, les parents d’élèves réclament l’évacuation de cet espace destiné en premier lieu à un usage pédagogique et le restituer à sa vocation originelle en le récupérant au profit des élèves « affectés » par la double vacation. Les autorités locales, à savoir le wali, le P/APC de Chetouane, le directeur de l’Education ainsi que la directrice de l’école, l’inspectrice et l’Unpef, ont été saisies par courrier au sujet de cette affaire.
Il faut signaler dans ce sillage que des locaux administratifs seraient vacants aussi bien au niveau de l’ex-académie de l’allée des Pins qu’au sein de la direction de l’éducation, au lycée Dr Benzerdjeb, transférée dernièrement vers son nouveau siège flambant neuf de Sidi Chaker, boulevard de l’ALN. Un surplus de locaux inexploités est aussi constaté au CEM Imam-Malek-Ibn Anas de Chetouane.
Par ailleurs, parallèlement au phénomène de la double vacation, un autre « syndrome » affecte certains collèges ; il s’agit des classes dites roulantes où toutes les deux heures, les élèves « déstabilisés » sont en quête d’une salle de classe libre. Par rapport à la double vacation (primaire) ou son corollaire la classe roulante (moyen), le point commun, est la pléthore d’effectifs et le déficit en structures pédagogiques.
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Écrit par Samira Dekkiche
SOS Kinderdorf International est une organisation présente dans 133 pays dans le monde depuis 1949. Elle s’est installée en Algérie au lendemain de séisme de Chlef (ex El Asnam), en 1980, pour la prise en charge des sinistrés. Elle a, par ailleurs, proposé une convention et un avenant qui ont permis de créer le village d’enfant SOS Draria, exploité à partir de 1992. Lequel village est assujetti à une convention datant de 1984 entre le gouvernement algérien et SOS Kinderdorf International, précisant que c’est SOS Kinderdorf Autriche qui est chargée de la gestion du site, faisant qu’il n’est pas tenu par la loi 12/06 sur les associations. Le représentant de SOS Kinderdorf International, Gérard Aissa Ruot, nous présente ce village d’enfants, unique en Algérie, et revient avec détails sur les missions et modes de prise en charge des enfants qui y sont accueillis.
Reporters : Peut-on connaître, M. Ruot, le nombre d’enfants pris en charge par votre organisation dans le village d’enfants SOS Draria ?
Gérard Aissa Ruot : Au début des années 2010, nous avions 200 enfants pris en charge, et actuellement, ils sont 145 enfants répartis sur trois paliers de prise en charge : ceux âgés entre 0 à 15 ans se trouvent dans la maison familiale, ceux de 15 à 19 ans dans un établissement appelé appartement encadré, alors que ceux qui sont âgés de 19 ans et plus se trouvent dans un appartement indépendant à l’extérieur de village. Les enfants âgés de 0 à 3 ans sont placés dans la maison familiale avec une mère professionnelle assistée par une tante. Chaque maman prend en charge entre 7 et 9 enfants dans une maison de 4 pièces sur 130 m² habitables. Après l’âge de 15 ans, les garçons sont séparés des filles. Toutefois, nous avons la spécifité de ne pas séparer les frères et sœurs, d’autant que 45% de nos enfants sont des frères et sœurs. Concernant la qualité d’âge allant de 15 à 19 ans, les enfants sont placés dans des appartements encadrés où il n ya pas de mère professionnelle mais un éducateur ou une éducatrice spécialisés qui font le travail d’une grande sœur ou un grand frère à travers une prise en charge visant à escorter ces enfants vers l’autonomie dans la vie. A 19 ans lorsque les enfants vont passer leur bac ou un examen de fin de formation professionnelle, ils se retrouvent à 3 ou 4 en appartement indépendant qu’on loue à l’extérieur de notre village et auquel est affecté un budget. Par suite, ils entament leur vie ailleurs dans l’autonomie. Mais, en réalité, la prise en charge ne s’arrête jamais, puisqu’ils resteront toujours nos enfants qui reviennent régulièrement rendre visite à leur mère, leur sœur et leur frère. Je tiens à signaler qu’une fois devenus autonomes, nos enfants se trouvent confrontés, comme beaucoup d’Algériens, au problème de logement. Nous avons effectué des démarches auprès des autorités pour que certains d’entre eux puissent bénéficier d’un logement social. Ces démarches n’ont pas encore abouti, mais on ne désespère pas, sachant que tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir. Je résume pour dire que la prise en charge de SOS village est basée sur 4 principes : la mère, personne de référence, les frères et sœurs qui vivent dans la même maison, la maison familiale au sein d’un village dans la communauté. C’est un concept international que l’on retrouve en Algérie, mais qui est mis en place par des Algériens.
Si des familles veulent adopter ces enfants, quelle type de procédures doivent-il suivre ?
Tous nos enfants sont placés ici par le juge des mineurs, suite à une décision de justice. Donc ils ne peuvent pas être adoptés ailleurs que dans le village sauf si le juge qui a placé l’enfant décide que cet enfant peut être placé en kafala. Il est d’ailleurs exceptionnel qu’un enfant au sein de village qui a fait l’objet d’une décision de justice soit placé en kafala par le juge des mineurs, parce que nos enfants et qui ne sont pas forcément des enfants n’ont plus de parents. Ces parents peuvent être en prison dans certains cas ou sont coupables de maltraitance envers leurs enfants dans d’autres. On retrouve de moins en moins d’enfants nés sous X au village.
Peut-on avoir une idée sur vos sources de financement ?
Elles nous viennent de la générosité de la société civile algérienne, alors que SOS Kinderdorf international garantit le budget de fonctionnement. Donc, plus on touche de dons localement, moins Kinderdorf donne, et lorsque c’est l’inverse, l’organisation garantit le budget de fonctionnement et donne d’avantage, parce qu’on n’est pas une société qui produit de l’argent, mais une société qui prend en charge des enfants privés de familles ou en situation de le devenir. Depuis 2005 au niveau international, SOS kinderdorf a développé un projet qui s’appelle programme de renforcement de la famille (PRF). Ce programme, mis en place au lendemain du séisme de Boumerdès, aide les familles nécessiteuses pour éviter qu’elles abandonnent leurs enfants. C’est un programme de protection que l’on développe actuellement dans 4 wilayas : Alger, Boumerdès, Tipaza et Tizi Ouzou. Actuellement on a plus de 450 enfants qui sont maintenus dans les familles biologiques qui, souvent, ont une femme comme tuteur, pour éviter l’abandon. Ce n’est pas un programme social, mais un programme sur trois ans pour former le tuteur à un métier, pour qu’il puisse vivre de son métier pour lequel il a été formé. Ce programme permet aux familles de développer des activités génératrices de revenus. Plus de 70% des familles qui ont bénéficié du programme sont aujourd’hui autonomes. Ce qui est un succès.
Sur quels critères ces familles sont-elles choisies ?
C’est nous qui recherchons ces familles, sur la base de critères bien définis pour qu’elles intégrent dans le programme. Comme premier critère à rempiler, doivent être volontaires pour s’en sortir. Il faut vouloir être formé pour développer une activité. Dans les zones rurales, comme Tizi Ouzou et Tipaza, on a fait un programme de réinsertion, mis à disposition des moutons, des chèvres et des ruches, et ça a très bien fonctionné. Les familles ont amélioré leurs revenus et ça leur a permis de garder leurs enfants et de les élever dans de bonnes conditions.
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Écrit par AZIZ LATRECHE
La Coordination nationale des enfants de chouhada (Cnec) envisage d’organiser un site-in devant son siège à Alger, le 7 octobre prochain. Cette manifestation est prévue à la suite de ce que sa direction considère comme un «refus » des services du ministère de l’Intérieur de lui accorder une autorisation en vue d’organiser une conférence nationale visant à soutenir le président Bouteflika pour un cinquième mandat.
Contacté par téléphone , le président de la CNEC, Khaled Bounedjma, qui a été réélu, récemment, à la tête de la Cnec, lors de son sixième congrès qui s’est tenu à Tipasa, affirme qu’une demande à ce sujet a été remise aux services du ministère de l’intérieur le 14 juillet dernier mais «après 60 jours nous n’avons pas eu de suite à cette demande qui vise à organiser cette conférence regroupant entre 3 000 et 4 000 personnes».
«Cette conférence vise à apporter un soutien au président de la République pour continuer son parcours. Pour l’instant, nous n’avons pas eu de refus écrit, mais on nous a affirmé que c’était à cause de certains problèmes internes. Je ne sais pas ce qu’ils veulent dire par là. En tous cas pour ce qui nous concerne, le sixième congrès de l’organisation suite auquel j’ai été réélu, s’est déroulé d’une façon normale». Le même intervenant organise aujourd’hui une conférence de presse pour donner de plus amples d’informations au sujet de cette affaire. Nous y reviendrons…
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Le tribunal correctionnel de Skikda a condamné mercredi à une année de prison ferme un médecin généraliste de l’hôpital Abderazak Bouhara de la ville de Skikda pour « négligence ayant causé la mort d’une parturiente et son bébé », assorti d’une amende de 50.000 DA et d’un dédommagement de 4 millions DA à la famille à verser par l’hôpital.
L’affaire remonte à juillet de l’année passée lorsque le mari H. B. a conduit son épouse Z.K sur le point d’accoucher aux urgences de cet hôpital dont le médecin généraliste en service a refusé de la prendre en charge après avoir constaté que la patiente souffrait d’une hémorragie alors que son état exigeait une intervention d’urgence de transfusion et une césarienne, a-t-on appris lors de l’audience.
Face à cette situation, le mari a évacué à bord de sa voiture personnelle son épouse sur orientation du même médecin vers une clinique privée distante de 3km de Skikda mais l’absence d’une banque de sang l’avait amené à recourir à ses proches pour réunir 6 poches de sang dans plusieurs communes pour permettre au bout de quatre heures la réalisation de l’intervention avec succès mais l’état de santé de la patiente s’était dégradé avant de rendre l’âme, deux heures avant son bébé.
La famille a ensuite déposé auprès des services de sécurité une plainte contre l’hôpital public pour « négligence ayant conduit à la mort suite au transfert de la patiente à une clinique privé au lieu de la prendre en charge ».
Lors du procès durant lequel les autres membres du staff médical étaient convoqués comme témoins, le médecin accusé a soutenu avoir accompli son devoir conformément à sa fonction au sein du service. Le représentant du droit public a requis une année de prison à l’encontre l’accusé.(APS).
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AYMEN ALLECHE
Le professeur Abdelkader Bouzida, directeur du laboratoire de traductologie de l’université d’Alger et enseignant en littérature comparée, donnera une conférence autour de la pratique de la traduction à Alger le 29 septembre prochain.
C’est autour d’un roman de l’écrivaine et cinéaste Assia Djebar, « Femmes d’Alger dans leur appartement », que la présentation tournera. Le professeur Bouzida a, en 2017, encadré la traduction en arabe du roman, dans un contexte particulier de coopération avec le CNL (Centre national du livre) en France.
Le projet a réuni une sélection sévère de dix traducteurs choisis parmi une cinquantaine qui ont eu la chance d’être formés de part et d’autre de la Méditerranée, et de travailler directement et en équipe sur la traduction d’un des romans les plus importants d’Assia Djebar.
Ce travail colossal a abouti à une version arabe présentée en avant-première au SILA 2017 et éditée chez « Hibr ».
Cette conférence sera l’occasion de comprendre le cheminement et l’esprit particulier qu’engage la traduction littéraire, et d’explorer un discours de traductologie, domaine récent qui peine encore à se faire une véritable place dans le monde de la recherche.
Le professeur Bouzida sera ainsi présent le 29 septembre au Café des langues (Bastion 23) à 14h30.
L’entrée vous coûtera 200 DA (100 DA pour les étudiants).
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Le trio MaVeNa a offert, un grand moment de musique classique au public venu en nombre au théâtre régional de Constantine (TRC) Mohamed Tahar Fergani pour assister au concert intitulé «De cordes et d’accords».
Le trio MaVeNa composé de Massimiliano Sinceri, Vera Ait Tahar et Nazim Ali Yahia a magistralement interprété dimanche dernier, de chefs-d’œuvre classiques , offrant une belle escapade musicale à travers les siècles en revisitant avec beaucoup de maîtrise plusieurs courants musicaux tels que le baroque le classique ou encore le postromantique .
Une heure durant le public s’est délecté de la douce harmonie créée par le piano cristallin de Sinceri et le violon diaphane de Vera Ait Tahar et de Nazim Ali Yahia, le tout dans une ambiance chaleureuse et intimiste.
Les trois virtuoses attaquent le spectacle avec un extrait des «quatre saisons», d’Antonio Vivaldi , faisant passer, d’entrée , toute l’émotion de ce qui est sans nul doute l’un des concertos pour violons les plus célèbres de l’histoire de la musique . Le trio d’ artistes impressionne par son étalage de superbes sonorités et enchaîne par l’exécution parfaite de deux concertos de Jean-Sébastien Bach et Wolfgang Amadeus Mozart ,salués par des salves d’applaudissements à la fin de chaque partition.
Dans une complicité de tout instant , les musiciens reprendront par la suite des oeuvres relativement plus modernes signées Jerome Kern, Vicenzo Bellini et Igor frolov, étalant tout l’étendue de leurs talents et faisant montre d’une présence artistique hypnotique au grand bonheur du public du TRC.
Il est à noter que le concert De cordes et d’accords a été organisé par l’Institut culturel italien d’Alger en collaboration avec le ministère de la Culture et les théâtres régionaux de Constantine et d’Oran dans le cadre des rencontres musicales programmées pour le mois de septembre. Le trio MaVeNa se produira le 25 septembre à 19H au théâtre régional d’Oran (TRO) puis deux jours plus tard à Alger à l’auditorium de la Radio algérienne.
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Un total de 606 travailleurs, tous secteurs confondus ont bénéficié depuis le début de l’année 2018 d’un programme de qualification visant l’amélioration de leur niveau professionnel, a-t-on appris dimanche, auprès du directeur de la formation et de l’enseignement professionnel (DFEP) Sebti Hasida.
S’exprimant en marge de la cérémonie d’ouverture de la session du mois de septembre en cours, tenue au centre de formation professionnelle «Salah-Benamara», au chef-lieu de wilaya, le même responsable a précisé à l’APS que ce nombre d’employés appartient aux services de l’administration locale (DAL) dans les 26 communes de la wilaya ainsi qu’à l’Office de promotion et de gestion immobilière (OPGI), à l’Algérienne des eaux (ADE) et aux établissements hospitaliers.
Ces travailleurs qui ont reçu des attestations à l’issue de leur stage, ont été formés dans diverses spécialités portant sur la restauration scolaire à l’instar de gestionnaire d’un restaurant, agent de cuisine, de nettoyage et serveur, au nombre global de 412 agents en plus d’autres filières liées à la mécanique les techniques de l’administration, la plomberie et l’électricité, et l’informatique, selon la même source.
L’opération inscrite dans le cadre d’une convention signée entre la direction de ce secteur et le reste des établissements a permis à cette catégorie d’employés d’améliorer leur niveau et d’enrichir leurs connaissances dans ces domaines, a affirmé le même responsable.
Des formations similaires, a ajouté le même responsable, liées à différentes spécialités de plusieurs secteurs ont été programmées également pour le deuxième semestre de l’année en cours. Les instituts et centres de formation de cette région frontalière ont accueilli un total de 4.038 stagiaires dont 2.870 inscrits concernés par une formation diplômante et 1.168 intéressés par la formation qualifiante, au titre de cette rentrée, marquée par l’ouverture partielle de deux structures dont un institut national spécialisé en agriculture dans la commune de M’daourouch, a-t-il signalé.
A rappeler que neuf nouvelles spécialités de formation professionnelle sont proposées aux apprenants du secteur dont technicien supérieur en montage de matériel médical, chauffage et climatisation, affectées à l’Institut national spécialisé de la commune de Sedrata, technicien supérieur en usinage, hôtellerie et agences de voyages, réparation des téléphones fixes et mobiles dans la localité de Hedada.
De son côté, le chef de l’exécutif local, Abbas Badaoui , attestant que le secteur de la formation professionnelle était un pourvoyeur de main d’œuvre qualifiée et contribue au développement durable local et national a rappelé l’opportunité qu’offre ce secteur aux jeunes pour accéder au monde du travail grâce à «des formations et spécialités sollicitées dans les différents secteurs d’activité»
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La ministre de l’Environnement et des Energies renouvelables, Fatma Zohra Zerouati a procédé, lundi dernier à Blida, au lancement d’une large campagne de nettoyage ayant ciblé différentes communes et daïras de la wilaya.
La campagne vise l’éradication des décharges anarchiques ayant proliféré, dernièrement, à travers les artères de la ville de Blida, jadis réputée pour être la «ville des Roses». Mme. Zerouati a donné le coup d’envoi de l’opération à partir de la cité des bananiers avec une large participation des associations du domaine environnemental et des citoyens de la wilaya qui se sont lancés le défi de restituer le visage avenant de leur cité et d’en effacer l’empreinte «sombre» laissée par l’épidémie du choléra.
L’opération, marquée par l’enlèvement des déchets et la mise en terre d’arbres et de plantes ornementales, s’est déroulée dans une belle ambiance de travail, ayant suscité l’admiration de la ministre, qui a salué l’»intérêt des citoyens pour cette campagne et leur détermination à restituer le beau visage de leur cité».
Elle a affirmé, à cette occasion, l’engagement du ministère de tutelle à «encourager et soutenir toutes les initiatives visant la consécration d’un environnement propre».
La ministre de l’Environnement et des Energies renouvelables a lancé, à l’occasion, un appel aux habitants de Blida en vue de participer à la première édition du concours du Président de la République de «la plus belle ville verte», dont les résultats seront annoncés le 25 octobre prochain. Elle a estimé que la ville de «Blida dispose de tous les atouts l’habilitant à gagner ce prix, si tout est mis en œuvre pour ce faire».
Selon Mme. Zerouati, la visite d’aujourd’hui a pour objectif de régler les problèmes accusés par la wilaya en matière de prise en charge des déchets, dans l’attente, a-t-elle dit, de la prise de mesures radicales, qui ne pourront être consacrées qu’a travers l’élargissement du dialogue entre les autorités locales et la société civile, qu’elle a qualifié de «partenaire essentiel» dans la consécration d’un environnement propre.
A noter que la wilaya de Blida a lancé dernièrement une campagne de rattrapage de large envergeure visant la levée des amas d’ordures amoncelés au niveau de ses rues et cités, dont particulièrement les communes de Blida, et Ouled-Aich. L’opération a donné lieu à l’enlèvement de centaines de tonnes de déchets, amoncelés au niveau des rues et des trottoirs, à cause notamment d’un déficit accusé en matière des conteneurs à déchets.
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Quatre candidats des partis politiques majoritaires qui brigueront un mandat dans les circonscriptions électorales de la grande région du Québec, (Canada), le 1er octobre, ont donné leur feu vert pour être présents, et répondre aux questions de la diaspora algérienne lors de la première édition du Débat politique, qui se déroulera dans la soirée d’aujourd’hui à l’École nationale de l’administration publique, au Québec.
C’est ce que nous avons appris du co-fondateur et président actuel de la jeune Chambre algérienne de Commerce du Canada, (JCCAC), qui est la partie ayant organisé cet événement. En effet, tel expliqué par Amine Salah, que nous avons joint hier par téléphone, ce rendez-vous, placé sous le slogan « l’avenir économique de la diversité », s’annonce comme un rendez-vous crucial pour la diaspora algérienne et les générations d’Algériens nés au Québec.
Il indiquera que « cette soirée se veut être une joute d’idées durant laquelle les quatre représentants des principaux partis politiques du Québec présents discuteront de leur plateforme, et devront répondre aux questions et aux préoccupations de notre diaspora, pour améliorer son quotidien du point de vue économique».
Plus explicite, Amine Salah, indique qu’ « on veut savoir, par la tenue de ce débat, ce que les parties politiques majoritaires proposent comme programme et solutions pour notre communauté : solutions au chômage, reconnaissance des diplômes algériens et des retraites pour notre diaspora au Canada ».
Par ailleurs, nous avons jugé utile de dire que la province du Québec, -qui est considérée le plus souvent comme l’une des terres d’accueil pour les Algériens-, se dirigera donc dès ce soir vers un rendez-vous important avec la démocratie.
Pas loin de cette optique, Amine Salah affirme que « la diaspora algérienne est l’une des composantes culturelles qui font la richesse et la diversité de l’identité de cette province et du Canada. Chiffres à l’appui, il indique que la communauté algérienne au Canada compte près de 110 000 personnes, dont la plupart résident dans et autour de Montréal.
Mohamed Amrouni
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Le nombre de cas d’incidents relatifs aux agressions ou aux atteintes au réseau d’alimentations en énergie électrique, a connu une baisse durant l’été 2018 dans la wilaya de Bouira, grâce à l’amélioration des paramètres d’exploitation, a indiqué dimanche, la chargée de la communication de la Direction locale de distribution de la Sonelgaz.
«Le nombre d’accident est en effet passé de 104 en 2017 à 82 seulement en 2018», a précisé à l’APS Mlle Ouidad Benyoucef, relevant par la même, la baisse du temps équivalent de coupure (TEC), qui, a-t-elle détaillé, «est passé de 1,456 en 2017 à 0,956 en 2018. Ces progrès sont devenus palpables grâce aux «gigantesques efforts» dans l’investissement engagé par la direction du secteur au niveau de la wilaya de Bouira, «où quatre nouveaux postes transformateurs ont été réalisés et mis en service durant le troisième trimestre de l’année en cours», s’est réjoui la même responsable. «Cette année, nous avons renforcé la mobilisation d’importants moyens humains et matériels afin de réaliser ces améliorations et assurer la continuité du service», a-t-elle ajouté.
Dans le même cadre, la chargée de la communication de la direction de distribution de Bouira a fait savoir que 20 cas d’atteintes aux réseaux électriques ont été enregistrés à travers la wilaya durant la période allant de janvier au mois d’août 2018, soit 25% du total d’accidents enregistrés qui sont au nombre de 82. Ces incidents provoquent souvent des dommages pour les abonnés et les clients de la Direction de distribution de la Sonelgaz. D’ailleurs, la même direction avait organisé mardi dernier, une journée de sensibilisation sur l’importance pour les clients de rembourser leurs dommages causés par les coupures d’électricité et ce, auprès de l’assureur après avoir entamé une démarche avec la direction de la Sonelgaz, qui prendra en charge le dossier jusqu’à l’indemnisation du client endommagé, a rappelé Mlle Benyoucef.
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Évoquant, hier, le phénomène du travail des enfants en Algérie, le président de la Fondation nationale pour la promotion de la santé et le développement de la recherche (FOREM), le Pr. Mustapha Khiati, a fait état du recul de ce phénomène durant ces dernières années.
Toutefois, il affirme, dans le présent entretien qu’il a accordé au «Courrier d’Algérie» que ce fléau demeure une réalité difficilement vécue par de nombreux enfants algériens.
Entretien réalisé par Mehdi Isikioune
-Le Courrier d’Algérie —Peut-on qualifier d’inquiétant, le phénomène du travail des enfants en Algérie?
-Mustapha Khiati : Oui, mais il faut savoir que ce phénomène a pris un recul, durant ces dernières années, bien qu’il demeure une réalité difficile vécue par de nombreux enfants algériens.
-Quelles sont les formes ou les types de travaux effectués par ces enfants ?
-Le travail des enfants revêt des formes très diverses. Les formes les plus répandues sont le travail dans les marchés parallèles. On remarque plusieurs cas car, convient-il de signaler a la majorité de ces enfants travaillent dans le secteur informel. En outre, ils vendent du pain «fait à la maison» ou bien la figue de barbarie, du thé ou des melons sur les bords, des routes et autoroutes, d’autres travaillent en revanche dans les marchés illégaux; exerçant des activités commerciales en tant que vendeurs de fruits et légumes ou d’autres articles …. De même, certains enfants travaillent aussi dans les carrières.
-Quel est le nombre exact des enfants travaillant en Algérie ?
-Il existe 300 000 enfants qui travaillent en Algérie.
-Est-ce que ce phénomène a un impact négatif sur le développement de la personnalité de l’enfant ?
-Oui, absolument, il a un impact négatif sur la personnalité de l’enfant et aussi sur son parcours scolaire car ils sont 200 000 enfants à quitter l’école chaque année pour diverses raisons, malgré les efforts déployés par l’État pour la scolarisation de tous les enfants. Par ailleurs, il y a lieu de signaler, également, que la vie de l’enfant dans la rue a incontestablement un effet négatif sur sa personnalité et sur son mode de vie. Ce dernier peut s’intégrer très tôt à la vie «active» sans passer par les stades normaux de sa vie. Il devient par conséquent un enfant stressé et perturbé. Donc, il faut que les parents assument une grande responsabilité et doivent être conscients de leurs responsabilités vis-à-vis de leurs enfants.
-S’ils existent, quels sont les efforts consentis par l’État pour lutter contre le travail des enfants ?
-L’Algérie a toujours attaché une grande importance à l’amélioration des conditions de vie des enfants et la lutte contre le travail de ces derniers. De même, elle concrétise quotidiennement son engagement à mettre nos enfants à l’abri des dangers et les risques qui menacent leur intégrité physique et morale.
Et pour lutter contre ce phénomène un numéro vert «11-11» a été mis en place par les autorités pour repérer et recevoir des appels des enfants en détresse.
M. I.
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Afin de s’adapter au plus près à la demande du marché du travail, le secteur de la formation a été amené à opérer une série de changements au cours de ces dernières années.
Intervenant, mercredi, à l’émission L’Invité de la rédaction de la chaine3 de la Radio Algérienne, le ministre de la Formation et de l’enseignement professionnel explique que le challenge dorénavant tend à former des ressources humaines qualifiées pour faciliter leur employabilité.
Signalant qu’environ 700.000 stagiaires suivent une formation professionnelle dans nombre de filières, M. Mohamed Mebarki indique que ceux-ci sont en majorité constitués des quelque 450.000 élèves qui, chaque année et « pour diverses raisons », quittent l’école, « sans un niveau scolaire important ».
Pour autant, le ministre déclare se refuser à considérer ces derniers comme constituyant « les lots de déperditions scolaires ». Pour ces jeunes, souligne-t-il, sortir de l’enseignement général pour aller vers la formation professionnelle, « n’est ni un travers, ni un échec ».
Il en veut pour preuve le fait que 70% de ceux qui ont bénéficié d’une telle formation trouvent un emploi « en moins de six mois » contre 83% au cours de l’année 2017.
M. Mebarki considère, par ailleurs, qu’une amélioration de l’adéquation entre les demandes formulées par la sphère économique et le système de formation professionnelle, pourrait contribuer à améliorer davanatage ces pourcentages et contribuer à « lutter contre le chômage ».
Des secteurs employeurs des jeunes formés, celui-ci cite ceux spécialisés dans les techniques d’automatisation, l’électrotechnique, le numérique, les TIC, les systèmes digitaux, la téléphonie ainsi que la maintenance des systèmes des nouvelles énergies.Il note que certaines de ces spécialités éprouvent encore des difficultés à trouver des personnels en quantité.
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ALGER – Trente athlètes (18 garçons et 12 filles) représenteront l’Algérie dans onze (11) disciplines sportives lors des Jeux Olympiques de la Jeunesse (JOJ-2018) prévus du 6 au 18 octobre prochain à Buenos Aires (Argentine), a appris l’APS mercredi auprès du chef de délégation, Abderrahmane Hamad.
Les onze disciplines dans lesquelles seront engagés les athlètes algériens sont : athlétisme, judo, boxe, voile, escrime, badminton, aviron, natation, gymnastique, lutte et haltérophilie, a encore précisé le médaillé de bronze en saut en hauteur des JO-2000 à Sydney (Australie), qui est actuellement membre du Comité olympique et sportif algérien (COA).
« Au total, la délégation comportera 45 membres : 30 athlètes, 13 techniciens, mon assistant, et moi-même » a ajouté Hamad, selon lequel « le départ à Buenos Aires est prévu le mardi 3 octobre prochain, via la capitale italienne Rome »
Lors de la précédente édition des JOJ, disputée en 2014 à Nanjing (Chine), l’Algérie avait participé avec 34 athlètes (17 garçons et 17 filles), ayant concouru dans 13 disciplines différentes.
Là encore, c’était Abderrahmane Hamad qui avait fait office de chef de délégation. Elle comptait un total de 58 membres, incluant les techniciens et les accompagnateurs.
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La cérémonie solennelle d’ouverture de la 41ème session du Conseil général de l’Organisation de l’Unité syndicale africaine (OUSA) est prévue demain jeudi à Alger, a-t-on appris mercredi auprès de l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA).
Organisée conjointement par l’UGTA et l’OUSA, cette 41ème session dont les travaux se tiennent à Alger du 22 au 29 septembre, est « consacrée spécialement en l’honneur du président de la République Abdelaziz Bouteflika », précise la même source, soulignant qu’une « Motion spéciale » sera remise au chef de l’Etat.
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L’Assemblée populaire nationale (APN) reprendra, jeudi, ses travaux en séance plénière consacrée aux questions orales adressées aux membres du Gouvernement, indique un communiqué de l’assemblée.
Treize (13) questions sont inscrites à l’ordre du jour de cette séance et concernent les ministères de l’Intérieur, des Finances, de l’Energie, des Affaires et religieuses et des Wakfs, de l’Education nationale, des Travaux publics et des Transports et des Ressources en eaux. APS
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4 404 médecins exerçant en France au 1er janvier 2017 sont diplômés des universités algériennes, selon les données du Conseil national de l’ordre des médecins (CNOM) rapportées par Le Monde ce mercredi.
Confrontés au manque de moyens dans le secteur de la santé en Algérie, un nombre croissant de praticiens choisissent d’aller travailler en France. Ils sont là sans qu’on n’y prête attention, maillon essentiel du système de soins français.
Si une part croissante des médecins qui exercent en France avec un diplôme étranger sont roumains, les diplômés des universités algériennes les talonnent.
Selon le Conseil national de l’ordre des médecins (CNOM), ils étaient 4 404 au 1er janvier 2017 (+ 60 % en dix ans). Soit environ le quart des médecins nés à l’étranger exerçant en France. Si l’on y ajoute ceux qui, nés en Algérie, ont été diplômés en France, ce chiffre monte à 14 305 personnes. Et encore, ces données ne concernent-elles que les praticiens inscrits au tableau de l’Ordre des médecins. Elles n’incluent pas ceux recrutés directement par les hôpitaux sous des statuts spécifiques.
« Après l’instauration du numerus clausus dans les années 1970, on s’est retrouvé avec un manque chronique d’internes, d’où la volonté de faire venir des médecins étrangers », rappelle Victoire Cottereau, qui a fait sa thèse sur la question des « médecins migrants ». De nouvelles législations ont permis leur venue mais sous des statuts précaires : faisant fonction d’interne (FFI) et praticien attaché associé (PAA). « Ils ne sont pas inscrits au Conseil de l’Ordre des médecins. Ils sont officiellement sous l’autorité d’un titulaire mais en réalité, assument la même charge de travail », souligne Victoire Cottereau.
Payés jusqu’à deux fois moins que leurs collègues français, contraints de patienter des années pour passer les concours qui leur permettront d’obtenir un statut plein, nombre de médecins algériens font pourtant le choix de venir en France, pour travailler et se former.
Dans un entretien au quotidien algérien francophone El Watan en août, l’économiste de la santé Ahcène Zehnati soulignait « une forte disposition à l’expatriation » des médecins algériens. « Si on prend les médecins nés en Algérie exerçant en France, le taux d’émigration est de 23,35 %. » Des chiffres qui varient selon les statuts et les spécialités mais témoignent d’une tendance : l’Algérie a du mal à retenir ses médecins.
Ismain
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ALGER – Le ministre des Affaires étrangères,Abdelkader Messahel a affirmé mercredi à New York que l’Algérie « maintient un haut niveau de vigilance » dans la lutte contre le terrorisme, relevant le « niveau élevé » de la menace terroriste dans la région, indique un communiqué du ministère.
« L’Algérie, pays stable et sécurisé dans une région marquée par l’instabilité et un niveau élevé de la menace terroriste, maintient un haut niveau de vigilance et d’engagement dans la lutte anti-terroriste« , a-t-il déclaré devant la 9ème réunion ministérielle du GCTF, organisée mercredi en marge de l’Assemblée générale de l’ONU.
Selon le chef de la diplomatie algérienne, cet engagement se traduit par « la mise en œuvre de politiques, de stratégies et de programmes de développement guidés par une ferme volonté, à la fois, de lutte sans répit contre les facteurs d’exclusion, de marginalisation, de stigmatisation ou d’injustice sociale, fortement exploités par la propagande des groupes terroristes pour mobiliser et recruter, et d’ancrage de la démocratie, de la réconciliation nationale, de la dé-radicalisation, des droits de l’homme et des libertés fondamentales, de la bonne gouvernance et du vivre ensemble en paix ».
Ces derniers, a-t-il poursuivi, « représentent les véritables antidotes à l’extrémisme violent et au terrorisme ».
Il a soutenu, à cet égard, que « l’engagement de l’Algérie se traduit aussi par la sécurisation, difficile et coûteuse, des longues frontières du pays et la poursuite de la lutte contre les résidus du terrorisme ».
Evoquant les efforts de l’Algérie dans le domaine de la lutte contre le terrorisme au plan régional, le ministre a souligné que l’engagement de l’Algérie trouve son expression dans le développement et la densification de la coopération bilatérale avec les pays voisins dans les domaines clés de la lutte anti-terroriste.
« L’Algérie est animée en cela par une forte volonté de partage de son expérience et de contribution active à la stabilité et à la sécurité des pays de la région », a-t-il ajouté.
Au niveau africain, M. Messahel a rappelé que l’Algérie abrite le siège d’AFRIPOL, la nouvelle plateforme de coopération entre les polices africaines, laquelle tiendra sa deuxième assemble générale le mois prochain à Alger, ainsi que celui du Centre africain des études et recherches sur le terrorisme (CAERT) organe de l’Union africaine qui, a-t-il dit, « offre un haut niveau d’expertise en matière de lutte contre le terrorisme, fort utile par ailleurs dans la mise en œuvre en Afrique, des bonnes pratiques produites par ce Forum ».
Le ministre a, également, rappelé que l’Algérie assume aussi, en la personne de son président de la République, Abdelaziz Bouteflika, à la demande des chefs d’Etat et de gouvernement africains, la haute mission de Coordonnateur pour la prévention de la radicalisation et la lutte contre l’extrémisme violent et le terrorisme en Afrique.
« C’est dans cet esprit de contribution renouvelée à la lutte commune contre le terrorisme que mon pays a abrité ou organisé, durant l’année écoulée, un ensemble de rencontres régionales et internationales consacrées à différentes dimensions de la lutte anti-terroriste« , a-t-il affirmé, citant à titre d’exemple la première réunion plénière du groupe de travail sur l’Afrique de l’Ouest co-présidée par l’Algérie et le Canada – et dont la deuxième session plénière aura lieu également à Alger les 27 et 28 Novembre prochain, l’atelier sur la relation entre le terrorisme et le crime organisé, la réunion annuelle des points focaux du CAERT chargés de la coordination de la lutte anti-terroriste, ainsi que deux rencontres africaines de haut niveau portant l’une sur l’évolution de la menace terroriste en Afrique et l’autre sur le financement du terrorisme sur notre continent.
Le ministre des Affaires étrangères a exprimé son appui à l’initiative portant sur la promotion de la coopération institutionnelle entre les Nations unies et le Forum mondial de lutte contre le terrorisme dans une démarche de complémentarité des objectifs et des ressources, en appelant, dans le même temps, au renforcement de cette même coopération entre le Forum, l’Union africaine et ses différentes institutions chargées de la lutte contre l’extrémisme violent et le terrorisme.
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