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29 Août 1997 : Le massacre de Raïs

Wed, 08/29/2018 - 11:00

Ecrit par LDJ. Sarah

Le massacre de Raïs, a eu lieu le 29 Août 1997 dans la banlieue de Sidi Moussa, à 25 km au sud d’Alger, causant des centaines de morts.

Des hordes du GIA ont attaqué le village transformant les mariages en carnages, et les circoncisions en infanticides. La boucherie de ce jeudi noir a engendré plus de 300 morts, la plupart des victimes étaient des femmes et des enfants.

Le général retraité, ancien chef de la première région militaire durant les années 90 Abderazak Maiza, rapporte au journal « Le soir d’Algérie » au sujet du massacre de Raïs : « Ce qui s’est passé à Raïs. Tous les morts qu’il y a eu sont des membres de familles de groupes terroristes. A l’époque, le chef terroriste Djebaïli avait distribué de l’argent à toutes ces personnes qui ont investi notamment dans le transport, les fameux minibus qui apparaissaient un peu partout. Après sa mort, Zouabri a nommé le fameux «Japonais» et lui a demandé de récupérer l’argent qui avait été prêté aux familles. Ces dernières ont refusé, une expédition punitive avait été menée ».

Le général à la retraite a, par ailleurs, affirmé que « si le terrorisme a été vaincu, l’idéologie intégriste, elle, est toujours présente ».

Vingt et un ans après l’Algérie demeure en deuil, face à ce terrible massacre.

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Categories: Afrique

Le PT victime d’une attaque électronique sur sa page

Wed, 08/29/2018 - 10:55

Le Parti des travailleurs (PT) a été victime d’une attaque électronique. Cette attaque a visé la page officielle sur Facebook du parti. Ladite page n’est autre qu’un montage concocté par ceux qui voulaient torpiller le PT avec des déclarations et des communiqués sur des questions politiques, économiques et sociales et où le parti de Louisa Hanoune a l’habitude de se prononcer quand la conjoncture s’impose d’elle-même. Selon certaines sources proches du parti, la page qui était estampillée du sceau du Parti des travailleurs n’était qu’un «canular» qui s’est hissé au rang d’une page officielle reflétant les orientations et les directives officielles du PT.
Dans ce sens, le PT a annoncé qu’une page officielle vient d’être installée sur les réseaux sociaux, Facebook en l’occurrence.
La nouvelle page est caractérisée par la présence de la photo de profil de la chef du PT, Louisa Hanoune en l’occurrence. C’est une manière de mettre un terme à cette attaque électronique et sauvegarder le parti des déroutes de ce genre qui engagent les positions du PT.

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Categories: Afrique

Gaïd Salah à partir de la 6e région militaire: « Lutte permanente contre le terrorisme »

Wed, 08/29/2018 - 10:54

Par Ikram GHIOUA

Le général de corps d’armée ne manquera pas de saluer les résultats obtenus dans le domaine de la lutte antiterroriste au niveau de la 6e Région militaire.

Le général de corps d’armée et vice-ministre de la Défense nationale, Ahmed Gaïd Salah, a procédé hier à l’installation officielle du nouveau commandant de la 6e Région militaire. A l’issue de l’approbation du procès-verbal de la passation de pouvoirs, le général de corps d’armée a tenu une rencontre avec le commandement et les cadres de la Région, où il a prononcé une allocution.
Dans son intervention, le vice-ministre de la Défense nationale rappellera à l’assistance que la mission reste de «défendre, amplement et en permanence, l’Algérie avec toutes ses frontières nationales et de renforcer les fondements de sa sécurité et sa stabilité». Ceci prévient l’hôte de Tamanrasset «exige de persévérer à l’édification d’une armée puissante et moderne qui jouit toujours d’une disponibilité opérationnelle de haut niveau». Une armée, ajoute le chef d’état-major de l’ANP, «éclairée par une vision clairvoyante dont les objectifs sont bien définis. Une armée qui tient compte de tous les défis qu’elle doit prévoir et surmonter».
Comme à chaque fois, le général de corps d’armée ne manquera pas de saluer les résultats obtenus dans le domaine de la lutte antiterroriste au niveau de la 6e Région militaire, où deux autres terroristes viennent de déposer les armes soulignant que «le nombre important des terroristes mis hors d’état de nuire en peu de temps fait montre de l’efficacité de la stratégie adoptée pour l’éradication totale de ce fléau dangereux et dévastateur». Louant ces bilans probants, il atteste «dans ce contexte, il n’y a pas l’ombre d’un doute que la mission de la lutte contre le terrorisme résiduel constitue une mission permanente dont la fin ne sera atteinte qu’après l’éradication du dernier terroriste de notre pays».
Des propos affirmatifs qui renseignent sur la détermination du Haut commandement de l’ANP à en finir avec cette entreprise de crime. Le vice-ministre de la Défense nationale avertit «que tout le monde sache que les enfants de l’Armée nationale populaire, digne héritière de l’Armée de Libération nationale autant qu’ils s’honorent de l’accomplissement des nobles missions qui leur sont confiées, autant qu’ils prêtent serment devant Allah et devant la patrie d’oeuvrer, sans répit, à contrecarrer toute éventuelle menace quelle que soit la nature, et à demeurer le rempart fort pour que l’Algérie soit toujours et à jamais». Il insiste encore: «Je répète, toujours et à jamais, souveraine et sécurisée dans toutes ses frontières.»

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Categories: Afrique

Il organise une université d’été du 30 août au 1er septembre 2018: Le FFS face à sa crise interne

Wed, 08/29/2018 - 10:48

Par Hocine NEFFAH

Selon certaines informations émanant de certains cadres du conseil national, l’université d’été aurait pu prendre «une allure d’un précongrès pour aborder les vraies questions en suspens au sein du parti qui traverse une situation très critique sur le plan de la gestion organique et aussi par rapport à ses prises de position».

Le Front des forces socialistes (FFS), organisera son université d’été, au centre de vacances «Anissa Tour», dans la commune Souk El Tenine, à Béjaïa du 30 août au 1er septembre 2018. selon les organisateurs de cette université d’été, le thème central portera sur le slogan «la jeunesse avant-garde des luttes démocratiques et de la protection de l’Etat social». L’université d’été du FFS sera ponctuée par des conférences qui revêtent un aspect de formation et de pédagogie pour les séminaristes qui seront présents pour la circonstance. Il sera question des thèmes qui dissèqueront les problématiques qui ont trait à la citoyenneté, le consensus national et les voies et moyens pour que ces dynamiques puissent se rencontrer dans le sillage d’une mobilisation globale.
L’université d’été du FFS aura aussi à élucider les questions organiques et leur fonctionnement en abondant dans le sens de la définition du «rôle du militant dans la société, le parti et les institutions élues». Selon nos sources, les organisateurs du l’université d’été vont s’atteler à approfondir la problématique des réseaux sociaux en termes d’atouts et inconvénients pour la communication politique, voire même partisane.
Les panélistes qui animeront les débats et les conférences dans le cadre de l’université d’été du FFS vont travailler dans de multiples ateliers avec la perspective de peaufiner des synthèses comme c’est le cas pour l’atelier «techniques de communication», «le jeune et les luttes démocratiques: université, mouvement associatif, mouvement syndical». En bref, il y a six ateliers qui vont aborder de multiples thèmes en rapport avec la situation politique, économique et sociale du pays. Durant cette université d’été le FFS consacrera un thème éminemment politique et propre au parcours du parti et ses prises de position qui portera sur «Historique des propositions et des positions du FFS depuis sa création», a-t-on appris de sources sûres. Selon certaines informations émanant de certains cadres du conseil national, l’université d’été aurait pu prendre «une allure d’un précongrès pour aborder les vraies questions en suspens au sein du parti qui traverse une situation très critique sur le plan de la gestion organique et aussi par rapport à ses prises de position sur ce qui se passe sur la scène politique nationale et le manque de visibilité en ce qui concerne les objectifs que doit surseoir le parti par rapport aux véritables enjeux en sa qualité de parti d’opposition», assurent nos sources. Le congrès extraordinaire qui s’est déroulé le mois de mai de l’année en cours a été beaucoup plus une halte pour maintenir une situation qui reste amorphe à l’intérieur du vieux parti d’opposition dans le pays. Cette donne qui a présidé aux destinées du FFS qui était plongé dans une crise statutaire des plus aiguës durant le long de son parcours n’a pas réglé l’essentiel de la crise en son sein, bien au contraire elle s’est fait exprimer avec acuité après avoir mis en place une instance présidentielle qui a vu le retour de celui qui a provoqué l’implosion de ladite instance par sa démission en suscitant par la même un vide organique et aussi une défaillance claire et nette quant au rôle fantoche qu’assure l’instance présidentielle après cette démission en cascade. Le FFS est en phase de connaître une période des plus critiques dans son parcours en sa qualité de parti d’opposition, surtout après la disparition de celui qui était considéré comme une figure de proue en son sein, à savoir l’inénarrable Hocine Ait Ahmed. Le 6ème congrès qui est appelé à être tenu le premier trimestre de l’année 2019 se présente comme un moment crucial dans la vie du parti de Dda l’Ho dans la mesure où les luttes de clans et les tiraillements font nourrir la discorde et la division entre les frères ennemis au sein du FFS.
C’est cette situation d’imbroglio politique au sein de la structure du parti qui peine à dégager une vie à l’intérieur même de cette formation qui n’arrive pas à avoir des éléments en son sein pour qu’ils puissent jouer le rôle prépondérant qu’assurait le chef charismatique de son vivant, le regretté Ait Ahmed. Ce vide a été remplacé par une espèce de structure collégiale qui n’était pas en mesure d’absorber les déséquilibres qui caractérisaient la situation interne et organique du parti. Un nombre important de cadres du FFS se posent des questions quant au vrai rôle qui sied au parti censé être un instrument d’opposition et non pas «un moyen dans l’objectif de négocier des strapontins et de la rente politique», affirment nos sources.
La problématique est vue comme une espèce de crise structurelle qui va tôt ou tard précipiter le FFS dans une spirale organique qui risque d’hypothéquer son avenir et son existence.
L’université du FFS se veut comme une occasion pour aborder les questions de la jeunesse alors que «l’appareil est miné par des divisions et des luttes de clans profondes. C’est une manière de fuir les véritables problèmes qui taraudent les structures du parti et ses positions à la fois», précisent nos sources.

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L’opep et ses alliés serrent les vannes: Le baril proche des 80 dollars

Wed, 08/29/2018 - 10:47

Par Mohamed TOUATI

Les cours de l’or noir affichaient plus de 77 dollars hier à Londres, en cours d’échanges, leur plus haut niveau depuis près de deux mois.

Un faisceau de lumière dans cette grisaille qui a rythmé cette saison estivale qui touche à sa fin. Cela met un peu de baume au coeur.
Un peu de beurre dans les épinards. Quelques dollars de plus qui ne sont pas de refus, pour une trésorerie laminée depuis la dégringolade des prix du pétrole qui a débuté voilà un peu plus de quatre années maintenant, vers la mi-juin 2014.
Une saignée qui a été stoppée grâce à la décision de l’Opep et de ses 11 alliés hors organisation, de réduire leur production de 1,8 million de barils par jour.
Une décision qui a été appliquée le premier janvier 2017 et qui court jusqu’à la fin de l’année 2018. Elle est le fruit d’une offensive diplomatique sans précédent, lancée par l’Algérie et initiée par le chef de l’Etat, Abdelaziz Bouteflika, pour sensibiliser les pays producteurs (Opep et non-Opep) à la dégringolade des prix du pétrole. Une botte secrète préparée de longue date qui s’est frayé un passage. Presque par effraction.
Cette initiative a eu pour acteur de premier plan le Venezuela. Plus que n’importe quel autre pays producteur, il aura souffert de la chute des cours de l’or noir au point de se retrouver au bord d’une guerre civile. Elle a connu son couronnement le 28 septembre à Alger lors d’un sommet de l’Opep qui a débouché sur un accord qualifié d’«historique» qui a servi de socle à l’accord qui a débouché sur la réduction de l’offre des pays Opep-hors Opep de 1,8 million de barils par jour. Sa mise en oeuvre et surtout son application stricte au-delà même de l’objectif assigné a sans coup férir servi de rampe de lancement à la résurgence des cours de l’or noir.
«L’Opep et ses alliés ont encore réduit en juillet leur production de pétrole au-delà des objectifs de leur accord d’encadrement du marché en vigueur depuis le début 2017, mais moins que les mois précédents», ont déclaré le 27 août des sources proches du comité de suivi de cet accord.
Le taux de conformité avec l’accord a été de 109% le mois dernier, contre 120% en juin et 147% en mai. Ce qui revient à dire que la cible (des 1,8 million de b/j, Ndlr) a été légèrement dépassé même si certains membres ont pompé davantage qu’avant. Après quelques signes qui prédisaient que les deux gros producteurs mondiaux la Russie et surtout l’Arabie saoudite, membres de cet accord, allaient faire faux bond, tout semble être rentré dans l’ordre.
Le Royaume wahhabite avait été sollicité par le président américain pour augmenter sa production pour compenser celle de l’Iran dont les exportations sont visées par des sanctions de Washington, conséquence de sa sortie de l’accord sur le nucléaire iranien. Une éventualité restée lettre morte pour le moment. Et le baril va hisser les voiles.
Les vents lui sont favorables. Après avoir aligné cinq séances consécutives de hausse la semaine dernière, les cours de l’or noir continuent sur leur lancée.
Les facteurs qui y contribuent sont nombreux. Il y a bien sûr la perspective du retour des sanctions américaines qui visent les exportations iraniennes de pétrole au mois de novembre.
La baisse, annoncée vendredi dernier, du nombre de puits en activité aux Etats-Unis et le recul, dévoilé il y a tout juste une semaine, des réserves américaines de brut et le déclin de la devise américaine après l’accord commercial conclu entre les Etats-Unis et le Mexique.
Les cours «ont bénéficié d’un dollar plus faible et des espoirs que les Etats-Unis et la Chine parviennent à résoudre bientôt leur conflit commercial», ont indiqué les analystes du second groupe bancaire allemand, Commerzbank.
«Le récent attrait pour le dollar comme valeur refuge s’est atténué après la nouvelle positive d’un accord commercial entre les Etats-Unis et le Mexique», ont ajouté les analystes de Phillip Futures. Cela a suffi pour que le baril se sente pousser des ailes.
Hier vers 15 heures 10 à Alger il affichait 76,80 dollars à Londres, soit une hausse de 30 cents par rapport à la veille. La barre des 80 dollars n’est plus très loin…

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Investissement et partenariat dans le secteur énergétique: Sonatrach à la conquête du Pérou

Wed, 08/29/2018 - 10:46

Par Mohamed TOUATI

Après la capitale péruvienne, Lima, le patron de Sonatrach se rendra en Bolivie pour assister au 1er Forum international sur le gaz, la pétrochimie et les combustibles verts.

L’Algérie met les bouchées doubles sur l’énergie. Normal. C’est sur ce secteur que repose l’économie nationale qui tire l’essentiel de ses revenus en devises grâce à ses exportations de pétrole et de gaz. L’Algérie qui veut sa place au soleil, au sein du gotha international de ce secteur a commencé par dépoussiérer sa loi sur les hydrocarbures pour élargir son champ d’action et le mettre en valeur. Il a donc fallu commencer par tordre le cou à cette sempiternelle bureaucratie qui concourt à décourager le plus audacieux des investisseurs.
«La tendance a été inversée, ce ne sont plus les entreprises qui se bousculent pour l’investissement à l’international», avait fait remarquer le ministre de l’Energie Mustapha Guitouni lors de sa visite aux Etats-Unis au mois de juin dernier. Il faut donc aller les chercher! «Il faut se mettre au diapason et épouser cette dynamique», soulignera-t-il sachant que l’Algérie n’est pas le seul pays producteur d’hydrocarbures à avoir revu sa loi. C’est donc avec cet argument de choc qu’a été annoncée la visite du patron de la compagnie nationale des hydrocarbures au Pérou.
«Le P-DG de Sonatrach, Abdelmoumen Ould Kaddour, entame mardi à Lima (Pérou) une visite de travail pour discuter de partenariat et d’investissements avec de hauts responsables du secteur énergétique péruvien», a indiqué hier un communiqué de Sonatrach.
Une série de rencontres sont programmées dans son agenda. Arrivé lundi à Lima, il devrait rencontrer le ministre de l’Energie péruvien, Francisco Ismodes Mezzano, et le vice-ministre en charge des hydrocarbures, Eduardo Alfredo Guevara Dodds.
Le patron de Sonatrach aura également des entretiens avec les responsables de l’agence péruvienne chargée de la régulation de l’amont pétrolier ainsi qu’avec James Atkins Lerggios, président du conseil d’administration de PetroPeru, la compagnie pétrolière nationale du Pérou. Quel est l’objectif de son déplacement? Abdelmoumen Ould Kaddour va mettre à profit son déplacement au Pérou pour discuter des projets gaziers développés par Sonatrach dans ce pays et devrait s’entretenir à cet effet avec les actionnaires de TgP, société péruvienne détenue par un consortium de multinationales, composé d’Enagas, Sonatrach et du Fonds de pensions canadien Cppib, indique une dépêche de l’APS datée d’hier.
Une séance de travail a été programmée avec le personnel de son groupe au siège de SonatrachPeru, en marge de cette visite. De quoi sera-t-il question? Il est prévu de passer en revue le projet pétro-gazier, Camisea, dans lequel le groupe algérien est associé et faire un point de situation sur le projet de transport de gaz TgP et sur les perspectives de développement concernant ces deux importants projets, ajoute la même source. Après la capitale péruvienne, Lima, le patron de Sonatrach, Ould Kaddour, se rendra en Bolivie pour assister demain au 1er Forum international sur le gaz, la pétrochimie et les combustibles verts. Il participera à un panel sur l’exploration et l’exploitation des hydrocarbures. Un rendez-vous qui réunira les dirigeants de Gazprom, Alexey Miller, de Total, Patrick Pouyanné et de Repsol, Antonio Brufau. Du beau monde en perspective.

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Projet de loi de finances 2019: Les transferts sociaux en hausse

Wed, 08/29/2018 - 10:43

Par Yazid Alilat

Les projections du projet de loi de finances (PLF) pour 2019 maintiennent globalement les grandes tendances économiques du pays observées pour 2018 jusqu’à 2021, selon des données fuitées du document examinées dimanche en conseil de gouvernement. Selon le texte «brut » de ce projet de loi, le calcul de base de la loi de finances 2019 sera fait à partir d’un prix du baril de pétrole brut à 50 dollars et une parité dinar-dollar de 118 dinars algériens pour un dollars US. Le projet de loin qui prévoit un taux de croissance économique de 2,6% pour 2019, 3,4% en 2020 et 3,2% en 2021, maintient un taux d’inflation de 4,5%, le même taux que celui de 2018 et 3,9% en 2020 et 3,5% en 2021. Le projet de loi prévoit, concernant les exportations d’hydrocarbures, une recette globale de 33,2 milliards de dollars en 2019, en baisse de 1% par rapport à la clôture de l’année en cours. Les projections pour 2020 et 2021 font ressortir une légère hausse de ces exportations, qui s’établiront à 34,5 milliards de dollars en 2020 et 35,2 milliards de dollars en 2021. Le cours actuel du brut sur les marchés est de plus de 75 dollars/baril. Pour autant, le poste importations de ce PLF 2019 restera encore pour les trois prochaines années en hausse, et constitue un des principaux facteurs explicatifs du déficit commercial. Le gouvernement Ouyahia prévoit que les importations en 2019 s’établiront à 44 milliards de dollars, avec une légère contraction en 2020 à 42,9 md de dollars et 41,8 md de dollars en 2021. Le déficit de la balance commerciale devrait s’établir en 2019 à 10,4 md de dollars, 8,2 md de dollars en 2020 et à 6,4 md de dollars en 2021. Les soldes globaux de la balance des paiements escomptés par le gouvernement entre 2019 et 2021 sont respectivement de -17,2 md de dollars en 2019, -14,2 md en 2020 et -14 md en 2021. Dans ses attendus, le texte du PLF 2019 indique que le budget de l’Etat pour la période considérée «s’inscrit dans la continuité de la démarche qui consiste à maîtriser la dépense publique en vue d’une soutenabilité budgétaire permettant de réduire les tensions sur la trésorerie de l’État». Les recettes budgétaires prévues pour 2019 sont de 6.507,9 md de dinars, en hausse de +0,2% (6.496,58 md de dinars prévus en clôture de 2018), et les dépenses s’établiraient à 8.502,2 md de dinars, en baisse de 1,5% par rapport à 2018 (8.628 md de DA), soit un déficit budgétaire de 9,2% par rapport au PIB.

Par ailleurs, le PLF 2019 prévoit une hausse de 7,5% des dépenses de fonctionnement, et une baisse des dépenses d’équipement de -6,1% pour les autorisations de programmes qui baisseront à 2.601,7 milliards de dinars et -12,2% pour les crédits de paiements, qui se situeraient à 3.547,7 milliards de dinars contre 4.043,3 milliards pour 2018. Quant aux crédits de paiement destinés à l’investissement, ils sont de 1.486,3 md de dinars, et devraient se concentrer à hauteur de 71% dans trois secteurs : le soutien à l’habitat, l’agriculture et l’hydraulique ainsi que les infrastructures économiques et administratives.

L’autre volet de ce projet de loi de finances pour 2019 est le chapitre des transferts sociaux, en hausse de 0,7% par rapport à 2018. Les transferts sociaux budgétisés prévus pour 2019 sont de 1.772,5 milliards de dinars, en hausse de 8,2% du PIB et de 12,5 md par rapport aux prévisions de la loi de finances 2018. Ainsi, le soutien aux familles s’élève à 445,3 md de dinars, dont 208,4 md de dinars pour le système de subvention des prix des produits de base (céréales, lait, sucre et huile alimentaire). A elles seules, les subventions de ces produits représentent 11,8% de l’ensemble des transferts sociaux. Pour l’éducation, le montant de ces transferts sociaux est de 112,7 md de dinars, tandis que le soutien pour l’habitat serait de 353,3 md de dinars, une baisse de 10,8% par rapport aux crédits alloués en 2018. Quant à la subvention de soutien au secteur de la santé en 2019, elle s’élèverait à 336,9 md de dinars, en hausse de 2% par rapport à 2018. Par ailleurs, l’Etat sera également présent dans le soutien aux différentes caisses sociales, dont celle de la retraite, qui sera soutenue par le Fonds de Réserves de Retraites en 2019 avec une contribution de 83,3 md de dinars contre 85 md de DA en 2018, en baisse cependant de près de 2 md de dinars. Cependant, le différentiel des pensions de retraite pour les moudjahidine, des petites pensions et des pensions d’invalidité bénéficie d’une dotation budgétaire globale de 53,3 md de dinars en 2019, également en recul de 5,2 milliards (-8,8%) par rapport à 2018. Quant à la dotation au profit du fonds de compensation des frais de transport pour le sud, elle est de 2,1 md de dinars en 2019, en baisse de 3,1 md de dinars par rapport à 2018 (5,3 md de DA). Sur un autre registre, le soutien aux produits alimentaires sera en hausse, avec un budget destiné à la stabilisation des prix du sucre et de l’huile, qui passe de un milliard de DA 2018 à 2,5 md de DA en 2019, pour prévenir «d’éventuelles fluctuations des cours sur le marché». Pour l’eau de dessalement, le budget prévu au titre de la compensation reste le même que celui de 2018 à 44 md de DA, tandis que le budget proposé pour les pensions et allocations à verser aux handicapés à 100% s’établit à 11,8 md de dinars, soit également le même niveau qu’en 2018.

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Sidi Bel-Abbès: Une nouvelle carte d’abonnement pour le tram

Wed, 08/29/2018 - 10:40

M. Delli

  Lors d’un point de presse animé avant-hier au siège de la Setram, les responsables du service exploitation ont annoncé le lancement officiel à partir de dimanche prochain de la carte magnétique d’abonnement. Il s’agit d’une nouvelle formule pour mieux contrôler le flux en croissance des usagers de ce mode de transport. Ce nouveau support «carte sans contact» est baptisé «abonnement Tawassol», il sera appelé à remplacer «le coupon classique» utilisé jusqu’à présent par au moins 6.000 abonnés. La nouvelle carte d’abonnement sera disponible dans au moins 5 points de vente établis dans différents lieux de la ville et sur le tracé du tramway.

L’usager qui dispose de cette carte est obligé de la valider à chaque accès dans la rame, contrairement à la carte classique qui était présentée aux contrôleurs qui ne vérifiaient que la date de validité. La société d’exploitation du Tram veut aller vers plus de modernité pour mieux faciliter les déplacements des usagers.

L’autre nouveauté dans cette carte d’abonnement, c’est la proposition aux clients d’un versement de 350 dinars pour une utilisation du tram sans limite durant une semaine. On a par ailleurs maintenu l’abonnement mensuel pour 1.000 dinars avec les tarifs préférentiels pour les personnes âgées, les moins de 25 ans, les universitaires et les enfants scolarisés. Donc avec le lancement de cette nouvelle carte d’abonnement, le slogan «Je monte, je valide» sera lancé en parallèle avec une campagne de sensibilisation.

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Championnat d’Afrique de tennis de table: 22 équipes dont l’Algérie en compétition

Wed, 08/29/2018 - 10:21

Parmi les 22 équipes engagées figurent les plus puissantes du continent, en l’occurrence le Nigeria et l’Egypte qui devraient se battre pour le seul ticket conduisant au Mondial en novembre 2019 à Tokyo et qui sera lui-même une épreuve-test pour les Jeux olympiques-2020 de Tokyo.

22 pays dont l’Algérie ont confirmé leur participation au championnat d’Afrique de tennis de table, prévu à Maurice du 3 au 9 septembre et qualificatif à la Coupe du monde par équipes en 2019, a indiqué la Confédération africaine de la discipline (ATTF). Parmi les 22 équipes engagées figurent les plus puissantes du continent, en l’occurrence le Nigeria et l’Egypte qui devraient se battre pour le seul ticket conduisant au Mondial en novembre 2019 à Tokyo et qui sera lui-même une épreuve-test pour les Jeux olympiques-2020 de Tokyo. Outre l’Algérie et le pays organisateur, les nations attendues au rendez-vous mauricien sont: Nigeria, Egypte, Gabon, Angola, Burkina Faso, Congo, Cameroun, Somalie, Rwanda, Seychelles, Madagascar, Togo, Bénin, Côte d’Ivoire, Afrique du Sud, Djibouti, Comores, Libye, Erythrée et RD Congo. Pour le président de l’ATTF, cette participation «massive» confirme le bon développement du tennis de table dans le continent. «Je suis très heureux de voir autant de pays émettre le souhait de participer au championnat d’Afrique de Maurice. Les différentes associations nationales ont confirmé leur présence, espérant qu’il soit réel», a déclaré l’Egyptien Khaled El-Salhy. Interrogé sur le choix de Maurice pour abriter l’évènement africain, le président de l’ATTF est convaincu que ce pays organisera un évènement «à la hauteur des attentes». «Nous avons eu des événements très réussis à Maurice (championnat d’Afrique des seniors en 1998 et 2004 et championnat d’Afrique juniors et cadets en 2015). A partir de cet état, je m’attends à un événement très spécial en tant que l’une des meilleures organisations professionnelles en Afrique», a estimé Khaled El-Salhy. En marge du rendez-vous africain, l’ATTF organisera un atelier médiatique pour les joueurs et les équipes afin de leur permettre de connaître l’importance des médias dans le développement des sports. Comme il sera tenu des réunions du conseil exécutif et du conseil d’administration de l’instance continentale.

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Galatasaray: De mal en pis pour Feghouli

Wed, 08/29/2018 - 10:19

N’ayant pris spart qu’à 6 minutes de jeu depuis l’entame de la saison, Sofiane Feghouli n’a pas eu le droit de participer au festival offensif de Galatasaray, lundi, face à Alanyaspor (6-0). C’est le Germano-turc, Sinan Gümüs (24 ans), remplaçant de l’Algérien l’an dernier, qui joue désormais titulaire en début de cette saison. Auteur d’un but et d’une passe dans ce match, Gümüs cimente un peu plus sa place. Indésirable, le club turc essaye par tous les moyens de trouver une porte pour Feghouli avant la fin du mercato. À en croire les médias turcs, le club de la capitale aurait proposé au joueur algérien de s’engager avec le Dinamo Kiev (Ukraine), Rennes (France) et l’Olympiakos (Grèce). Feghouli devrait, ainsi, changer d’air puisque le coach Fatih Terim ne compte pas tellement sur lui cette saison, s’il (Feghouli) veut gagner du temps de jeu et figurer dans les prochains plans du nouveau sélectionneur national, Djamel Belmadi.

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Liverpool: Salah en conflit avec la Fédération égyptienne

Wed, 08/29/2018 - 10:18

Après une Coupe du monde compliquée où il s’est fait éliminer dès la phase de poules avec l’Égypte, Mohamed Salah entretient des rapports tendus avec sa fédération. Il avait même songé à prendre sa retraite internationale en juin dernier. S’il n’a pas franchi le pas, il ne s’est pas réconcilié avec les dirigeants de son équipe nationale. L’ailier reproche une utilisation non autorisée de son image et en veut passablement à la fédération égyptienne comme il l’a expliqué sur Twitter: «Il est normal qu’une fédération de football cherche à résoudre les problèmes de ses joueurs pour qu’ils se sentent à l’aise. Mais en fait, ce que je vois est exactement le contraire.» Son agent, Ramy Abbas Issa aurait d’ailleurs fixé un ultimatum aux dirigeants égyptiens évoquant une possible retraite internationale de son poulain.

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MC Oran: Mobilisation pour Beddiar Lahouari

Wed, 08/29/2018 - 10:16

Le wali d’Oran, Mouloud Cherifi, accompagné de membres de l’association «Radieuse» et d’anciens footballeurs, a rendu visite, lundi, à l’ex-défenseur du MCO, Beddiar Lahouari, admis depuis une semaine au service d’hématologie à l’hôpital d’Oran.
«Il est de notre devoir de rendre visite et d’honorer cette personnalité», a déclaré le wali d’Oran, qui a mis du baume au coeur des membres de sa famille.
Le président de l’association «Radieuse», Kada Chafi, fidèle à ses traditions de solidarité et de soutien aux anciens joueurs de football, a rappelé que Hadj Beddiar avait rendu beaucoup de services au football algérien, avec son seul et unique club, le MC Oran et la sélection nationale, dont il a défendu les couleurs, soulignant qu’«il était un grand joueur et un bon éducateur, très estimé par la plupart de ses pairs, supporters d’Oran et mordus du football». De son côté, l’ex-international du MCO, Omar Belatoui, a indiqué que Beddiar Lahouari (85 ans) savait comment diriger ses coéquipiers, régler les problèmes internes du club et procurer la joie aux supporters, tout comme le regretté goleador Freha Abdelkader.

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Prix illogiques des fournitures scolaires: Qui fixe et qui contrôle les marges bénéficiaires?

Wed, 08/29/2018 - 10:15

Par Kamel BOUDJADI 

Une famille qui a un enfant en préscolaire doit mobiliser une somme de 7 300 DA.

C’est déjà la rentrée scolaire. Mais ce n’est pas la fin d’une période de belles vacances pour la majeure partie des familles. C’est juste que la rentrée pointe quelques jours seulement après l’Aïd. C’est une deuxième saignée pour les ménages qui devront encore puiser dans leurs poches pour assurer une rentrée normale à leurs enfants. A quelques jours de la date fatidique, les prix donnent déjà le tournis aux parents. Ils sont trop élevés. Mais, cette année, ce n’est pas la cherté des articles scolaires qui attise la curiosité des parents. Ce qui est intriguant ce sont plutôt les marges bénéficiaires des détaillants en librairies, grandes surfaces et même les étalages de rues qui pullulent en cette période. Les parents sont de plus en plus convaincus que les articles scolaires ne sont pas chers. A la source, importé ou fabriqué localement, un produit vaut dix fois moins que le prix proposé au consommateur. Aujourd’hui, les citoyens veulent connaître la traçabilité de ces prix depuis la source jusqu’au libraire. Ils veulent aussi savoir où sont passés les services concernés comme le contrôle des prix. Est-ce que l’Etat est regardant quant à cette chaîne? En effet, sur la place publique, les parents ne cherchent plus les prix. Ils les connaissent parfaitement. Ce qu’ils cherchent, ce sont ces folles marges bénéficiaires. «Même si on admet que l’économie de marché ne contrôle pas les marges il n’en demeure pas moins que l’Etat doit s’inquiéter à propos de la bourse de ses citoyens. Une marge bénéficiaire aussi grande soit-elle doit rester dans les limites du vraisemblable. On ne prend pas une marge de dix fois son prix d’achat. L’Etat doit intervenir», affirme un libraire.
D’ailleurs, le citoyen n’est pas dupe, car il sait que les prix ne sont pas réels. «Qui fixe ces prix? Sur quelle base? En tout cas, ce n’est jamais à la base du prix d’achat car je sais que les articles coûtent cent fois moins cher à la source. Le parent d’élèves paye un article cent fois plus cher. Ce ne sont pas les prix qui sont élevés, mais plutôt la marge bénéficiaire qui est folle», révèle un parent, ancien directeur d’école. Une autre question se pose et s’impose au sujet de l’utilité des associations de protection du consommateur. Ces structures sont un véritable rempart contre cette pratique qui saigne le citoyen sans aucune pitié. C’est même vital que les parents se dotent de structures citoyennes pour se défendre contre ces rapaces et ces vampires qui sucent leur sang à chaque occasion. «Les parents à travers l’Algérie doivent se structurer pour se défendre. Les articles scolaires ne sont pas chers. Ce sont ces marges bénéficiaires folles qui ont élevés les prix à ce point. Il faut vraiment réagir contre cela», préconise un parent qui veut créer une association de protection des consommateurs, mais qui prend en charge ce problème des articles scolaires.
Enfin, pour illustrer ce massacre que subit la bourse des ménages, quelques indicateurs de prix s’imposent. Ainsi, une famille qui a un enfant en préscolaire doit mobiliser une somme de 7300 DA. Pour les autres années, 2ème, 3ème, 4ème et 5ème, un budget variant entre 8000 et 9000 DA est nécessaire. A noter que la somme ne concerne qu’un seul enfant. Les articles comme les cahiers varient entre 30 et 250 DA. Une trousse ordinaire qui ne coûte à la source que 10 DA tout au plus est vendue à 300 DA. Il paraît qu’il y a même des cartables intelligents qui se vendent à 15.000 DA comme si l’Algérie avait besoin de cartables et non de citoyens intelligents.

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La directrice du laboratoire central de la SEAAL persiste et signe: « La qualité de l’eau est irréprochable »

Wed, 08/29/2018 - 10:13

Par Madjid BERKANE

Le taux de chlore utilisé dans l’eau est recommandé à la fois par la réglementation algérienne et l’OMS. Le contrôle préventif de l’eau se fait de façon régulière.

La directrice du Laboratoire central d’analyse de la qualité de l’eau de la Société des eaux et de l’assainissement d’Alger Seaal, Leïla Farrah a exclu hier l’éventualité que l’eau soit la source de l’apparition des cas de choléra en Algérie. «La qualité de l’eau est irréprochable. Le contrôle préventif est effectué de façon régulière», a-t-elle souligné. «Le laboratoire central effectue 6000 contrôles bactériologiques et 250.000 contrôles relatifs au taux de clore dans l’eau par an», a-t-elle indiqué, ajoutant que ces contrôles sont recommandés par l’OMS. «L’eau n’est pas la source des cas de choléra confirmés parce que le taux du chlore dans l’eau est aussi respecté. Ce dernier respecte les taux fixés par la réglementation algérienne s’agissant de la qualité de l’eau, à savoir de 0, 1 à 0,3 mlg/l», a-t-elle expliqué en outre. «Le taux de chlore par litre d’eau toléré par l’OMS est de 5 mlg», fera observer Leïla Farrah. S’exprimant en outre sur les mesures prises par le ministère des Ressources en eau après la confirmation des cas de choléra, la directrice a fait savoir que le ministre a pris la décision d’augmenter le taux de chlore de 10 à 20% par litre. «L’augmentation du taux de chlore n’a pas des effets secondaires», a insisté Leïla Farrah, soulignant que le virus du choléra ne peut pas exister dans l’eau disposant de chlore.

Et de préciser: «L’eau est contrôlée au niveau du laboratoire avant son transfert aux réservoirs. Les échantillons d’eau sont prélevés au niveau des barrages et des stations de dessalement de l’eau de mer. Le contrôle de la qualité de l’eau dure entre 24 et 48 h. L’analyse de l’eau comporte 89 paramètres», a signifié par ailleurs Leïla Farrah. Répondant ensuite à la question portant sur la qualité des réseaux AEP, la directrice a indiqué que le réseau est en bon état et il ne peut en aucun être à l’origine de l’apparition du choléra. «La Seaal dispose de six laboratoires d’analyses.
Le laboratoire central de la Seaal travaille en étroite collaboration avec l’Institut Pasteur», a fait savoir en outre Leïla Farrah, appelant les citoyens à rester confiants et rassurés. Toutefois, il est à relever que les laboratoires de la Seaal ne contrôlent pas l’eau des sources naturelles. Il faut dire qu’une partie importante d’Algériens continue à s’approvisionner en eau potable depuis ces sources. D’ailleurs, l’origine supposée pour, l’heure, du cas de choléra ayant provoqué le décès d’une personne à Boufarik a été localisé au niveau de la source de Sidi EL Kébir dans la wilaya de Tipasa. Par ailleurs, il y a lieu de rappeler que les analyses effectuées par l’Institut Pasteur relevant du ministère de la Santé refusent de pointer du doigt jusqu’à présent la qualité de l’eau. Tous les communiqués ayant émané du ministère de la Santé ont affirmé que l’origine probable des cas de choléra confirmés jusqu’ici pourrait avoir un rapport avec le manque de propreté, le non-lavage des aliments et la pollution. Le constat de l’Institut Pasteur est vraisemblable pour beaucoup de spécialistes de la santé. «L’Algérie est l’un des pays qui s’approvisionnent correctement en chlore, et ce, depuis l’indépendance. Le non-enregistrement des cas de choléra depuis l’indépendance est là pour confirmer ce constat», affirment de nombreux médecins. L’Algérie a procédé également au remplacement des conduites d’AEP laissées par le colonisateur.

A ce propos, il faut dire que l’Algérie a devancé de nombreux pays en termes d’utilisation de conduites en caoutchouc, une matière recommandée par l’OMS. A rappeler que l’apparition des cas de choléra en Algérie a suscité un climat de panique parmi les citoyens. Ces derniers ont adopté des comportements bizarres. Ils ont boycotté certains produits alimentaires et ils se sont abstenus de boire même l’eau du robinet. L’absence de communication intensive de la part des autorités concernées ont amplifié ce sentiment de panique chez ces derniers. Le manque de communication est le premier reproche adressé à l’endroit du ministère de la Santé et des autorités locales. Ces dernières auraient pu utiliser les réseaux sociaux, les moyens de communication, la télévision, notamment initier des campagnes de sensibilisation de proximité. La défaillance de la communication officielle a laissé le champ libre aux amateurs de la Toile, ne cherchant que ces occasions pour marquer leur territoire.

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Béjaîa: Une femme volée et violée au camp de Saket

Wed, 08/29/2018 - 10:12

Par Arezki SLIMANI

Un nouvel incident grave vient de secouer le camp de recasement de Saket et interpeller encore une fois les autorités locales pour agir au plus vite avant que l’irréparable ne survienne.

Faut-il qu’il y ait mort d’homme pour que l’on daigne intervenir et évacuer les familles SDF recasées au camp de Saket dans une insécurité totale? La question se pose avec acuité d’autant plus qu’on n’en est pas à un unique incident. Les familles sont véritablement en danger.
Dans la nuit de lundi à mardi, un homme, âgé d’environ 40 ans, a fait irruption dans le logis de fortune d’une femme de 46 ans recasée seule au camp de toile Saket, à 25 km de Béjaïa sur la côte ouest. L’homme, qui a apparemment choisi au préalable sa cible, a attendu la tombée de la nuit pour pénétrer chez sa victime, qu’il viole sur le champ avant de l’agresser pour l’empêcher d’alerter les voisins. Il s’empare de son téléphone portable avant de prendre la fuite. Ayant entendu les cris, les voisins se sont mobilisés pour alerter la Gendarmerie nationale et la Protection civile et intercepter le violeur qui sera remis entre les mains du service de sécurité, arrivé une heure après l’alerte. Selon les informations qui nous sont parvenues de ce camp de recasement, le violeur a été arrêté. La victime a été transférée à l’hôpital Frantz Fanon pour l’établissement d’un certificat médical qui sera ponctué par un dépôt de plainte.
Ce n’est pas la première fois qu’une agression du même genre se produit dans ce camp de toile de Saket où vivent en situation précaire et dans une insécurité totale pas moins de 32 familles sans domicile fixe. L’accident d’hier qui est le deuxième du genre, fait de nouveau parler de ce camp. L’année dernière un individu connu pour son état de déséquilibré, s’en est pris à une dame et ses quatre jeunes filles, les menaçant de mort avant de les priver d’une bouteille de gaz et de leurs vêtements. N’était-ce l’intervention des voisins, la victime et ses quatre filles, dont l’une est âgée de 16 ans, auraient été violées, voire assassinées, tant l’individu était dans un état second, inconscient de ses gestes et faits. L’agresseur était un recasé dans le même camp en qualité de célibataire.
Il était un semeur de terreur, racontent les voisins. Il n’était pas à son premier acte. Très souvent, il se faisait auteur de vols des maisons de fortune. Les plaintes déposées à son encontre se sont avérées inutiles puisque l’individu est immédiatement remis en liberté pour des raisons sanitaires. Une ritournelle qui semble le renforcer pour s’adonner à des actes en toute impunité.
La situation rend nécessaire et urgente, jugent ses colocataires, sa délocalisation vers un autre endroit de recasement afin de permettre aux familles de patienter en toute sécurité en attendant l’octroi d’un abri digne qui n’arrive toujours pas car l’attente dure depuis plus de trois ans. A Béjaïa, il existe quatre camps de recasement sans compter des cas de familles recasées un peu partout dans la ville. Cet acte d’agression interpelle encore une fois les autorités locales pour attribuer en priorité et dans les plus brefs délais un logement neuf à toutes les familles recasées. Mais en attendant, la situation fait craindre le pire, notamment au camp de Saket situé à environ 25 kilomètres du chef-lieu et de la brigade de gendarmerie en charge du secteur. Un massacre peut aisément se produire avant que les gendarmes n’arrivent sur les lieux.
C’est dire toute la complexité de l’équation posée par ces familles qui vivent chaque seconde avec la peur au ventre. L’incident d’avant-hier n’est pas le premier du genre. Très souvent ce camp de recasement, à l’origine un camp de toile pour vacances, a défrayé la chronique locale par des incidents du genre qui peuvent conduire à des situations irréparables. De quoi inciter les pouvoirs publics à l’action. Une action qui n’aura de valeur que celle d’éliminer tous ces sites qui dénaturent la ville de Béjaïa.
Des bidonvilles qui doivent nécessairement être éradiqués. Il y va de l’image de Béjaïa, ville touristique, mais également de la sécurité de ses habitants car c’est dans ces lieux que naissent les fléaux sociaux de tous genres avant de se propager aux quatre coins de la ville. Drogue, prostitution, agression, vols, autant de fléaux que l’on peut commencer à combattre en éradiquant leurs terrains de prolifération. Le nombre important de familles recasées et de demandeurs de logements sociaux s’ajoute au retard enregistré dans la réalisation des programmes de logements.
Situation paradoxale en somme. Alors que la commune compte plus de 11.000 unités, une offre dépassant de loin la demande, la crise du logement est toujours là pour rappeler l’impératif d’agir sur ce secteur névralgique afin d’accélérer d’abord la réalisation des logements, mais aussi de reloger dans les plus brefs délais les familles prioritaires. Outre les demandes régulières des citoyens, la commune de Béjaïa compte plusieurs sites de recasement.
On citera la cité Soumari, la base Enpros, l’Edimco er Saket, pour ne citer que ceux-là. Plus de 250 familles vivent dans des conditions peu enviables. Mais dans le camp de toile de Saket, l’insécurité s’invite souvent pour aggraver davantage le quotidien des occupants, victimes parfois d’agressions et de vols.

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40 morts sur les routes en une semaine

Wed, 08/29/2018 - 10:06

R.N.

Quarante personnes ont trouvé la mort et 1.764 autres ont été blessées dans des accidents de la circulation survenus durant la période du 19 au 25 août en cours dans plusieurs régions du pays, indique un bilan établi par les services de la Protection civile. La wilaya de Mascara déplore le bilan le plus lourd avec le décès de 5 personnes. Par ailleurs et durant la même période, les secours de la Protection civile ont effectué 4.228 opérations d’assistance aux personnes en danger en évacuant 8.900 malades vers les structures sanitaires et sont, en outre, intervenus pour l’extinction de 2.428 incendies urbains, industriels et autres.

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Islam Slimani, attaquant de Fenerbahçe: « J’ai fait le bon choix »

Wed, 08/29/2018 - 10:04

Par Mohamed BENHAMLA

Après une période très compliquée en Angleterre, avec Leicester City et Newcastle, Islam Slimani entame une nouvelle aventure en Turquie, avec Fenerbahçe. Dans une interview à Dzfoot, il est revenu sur ses débuts ainsi que ses ambitions avec son club et avec la sélection nationale.

Le meilleur buteur de la sélection nationale en activité se dit persuadé d’avoir fait le bon choix en optant pour un «grand club» d’un championnat d’un pays musulman. «Je suis arrivé ici à 2h du matin et il y avait plein de monde qui m’attendait. C’est quelque chose d’important pour un joueur», se rappelle-t-il tout en niant les informations qui l’annonçaient en Arabie saoudite ainsi qu’au Qatar. «Le Qatar ou l’Arabie saoudite, je n’y pense pas. Ce n’est même pas un objectif. Je veux jouer en Europe. Je veux m’amuser et me montrer. C’est ça mon objectif. Il y a seulement 5 ou 6 ans, j’étais en Algérie. Là, j’ai déjà joué au Portugal, en Angleterre et maintenant dans un grand club en Turquie. Je ne crois pas que j’aurais pu rêver mieux», explique encore Slimani.

Revenant sur son expérience en Angleterre, l’ancien attaquant du CRB dira: «Ce n’est pas la confiance des entraîneurs qui m’a manquée. Au contraire, c’est Ranieri qui m’a ramené, il n’est pas à présenter. Avec lui j’ai débuté, je marquais, j’étais l’attaquant numéro un de l’équipe. Mais c’est après la CAN 2017 que tout a changé, quand je me suis blessé. Je suis resté blessé pendant deux mois et Leicester a changé d’entraîneur. Il y a eu beaucoup de changements par la suite, c’est pour ça qu’après je n’ai pas beaucoup joué en Angleterre». «Si on prend mon ratio de buts et de passes par rapport à mes titularisations, un connaisseur du football comprendrait que j’étais au niveau», se justifie-t-il. Il enchaînera, concernant ses ambitions avec Fenerbahçe: «En deux semaines seulement je me sens beaucoup mieux. Je me sens revivre, l’atmosphère ici c’est comme si j’étais en Algérie. Les gens aiment le foot, c’est un pays musulman comme chez nous. Je pense que j’ai fait le bon choix de venir ici. Pour un footballeur, la concurrence est très importante. Avoir Soldado, qui est un grand joueur au même poste que moi est une bonne chose.» «Mon premier objectif est de retrouver la compétition. C’est être bien dans ma peau, de jouer le plus de matchs possibles et marquer», rajoute-t-il, lui qui disputera cette année l’Europa League. Abordant le volet concernant la sélection nationale, et la désignation de Djamel Belmadi en remplacement de Rabah Madjer, Slimani dira: «Je pense que c’est un bon choix. Ça fait longtemps que je pensais à ça pour la sélection.

C’est un ancien international, il connaît la mentalité algérienne et cela va beaucoup l’aider dans sa mission.» Le match face à la Gambie, le 8 septembre prochain en Eliminatoires de la CAN 2019 sera un peu spécial pour Slimani, qui avait honoré sa première sélection face à ce même adversaire. Sur ce match, il dira: «Le nouveau sélectionneur vient d’arriver, il faut lui laisser du temps et penser match par match et enfin essayer de se qualifier en coupe d’Afrique.» Revenant sur la baisse de forme qu’affiche la sélection algérienne depuis presque 4 ans, Slimani pense que cela est dû en grande partie aux changements à répétition de sélectionneurs: «Quand on change autant de coachs en aussi peu de temps, ça ne peut pas marcher. L’entraîneur vient avec sa mentalité, sa façon d’entraîner, sa méthode de jeu et le joueur n’est pas un robot, c’est un être humain. Nous avions réussi entre 2012 et 2014 car avec Vahid on avait formé un groupe.

Dans tous les stages, il y avait presque les mêmes joueurs. C’est cela qui nous a manqué par la suite. Avec les changements de sélectionneurs et l’arrivée de nouveaux joueurs, cela a fini par déstabiliser l’équipe.» Comme à Fenerbahçe, Slimani aura un concurrent de poids en sélection, en la personne de Baghdad Bounedjah, mais reste optimiste et prend le bon côté des choses: «Cette concurrence apporte à l’équipe, pas qu’à moi personnellement. En sélection, tous les postes sont sujets à concurrence. On a de bons éléments en Algérie et si un joueur ne peut pas jouer, il y a toujours un autre pour prendre sa place.» Enfin, Slimani a abordé avec amertume la situation de son ancien club, le CRB, qui lui avait permis de sortir de l’anonymat. «Ça fait mal au coeur […] C’est un grand club, il faut l’entourer, il faut l’aider. C’est le club qui m’a tout donné, qui m’a permis de sortir d’Algérie et de jouer en Equipe nationale», a-t-il dit, tout en niant avoir été approché pour l’aider financièrement. «Je pense que chacun peut aider comme il peut. Même s’ils ne cherchent pas après moi, c’est mon club», a-t-il conclu.

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Ligue des champions d’Afrique / MCA 1- ESS 2: l’aigle noir prend de l’altitude

Wed, 08/29/2018 - 10:01

Par Mohamed BENHAMLA

En quarts de finale de la Ligue des champions d’Afrique, l’Algérie aura l’ES Sétif comme représentant. Les gars de Aïn El Fouara ont validé leur billet, hier, à la faveur de leur victoire au stade du 5-Juillet face au MC Alger (1-2), dans la rencontre comptant pour la 6e et dernière journée de la phase des poules.

En ayant une oreille attentive vers Lubumbashi (RD Congo), où l’autre prétendant à une qualification, le Difaâ EL Jadida (Maroc), affrontait le TP Mazembe déjà qualifié, les deux représentants algériens ont entamé la partie sans round d’observation, devant une influence moyenne et la présence du nouveau sélectionneur national, Djamel Belmadi. Après une tentative des Mouloudéens par Nekkache, les Sétifiens répliquent et trouvent le chemin des filets à la 6′. Suite à un coup franc de Djahnit, Azzi trompe son propre gardien en détournant la balle au fond des filets.
Un but qui a poussé les Mouloudéens à presser haut, mais les attaquants ont confondu vitesse et précipitation. Leurs offensives n’ont constitué aucun danger pour le gardien Zeghba. Nekkache était complètement isolé en attaque et les balles aériennes étaient toutes interceptées par la défense sétifienne. Tactiquement, le système de jeu mis en place par Rachid Taoussi n’a laissé aucun espace de jeu aux Mouloudéens. A la 27′, Bouguelmouna profite d’une passivité de la défense algéroise pour tromper Chaâl et ajouter un second but. Un but qui obligera Casoni, l’entraîneur du MCA, à revoir son dispositif tactique, avec des changements dans le positionnement de ses joueurs, ce qui a permis au jeu des siens de devenir mieux organisé. C’est ce qui a fini par porter ses fruits à la 40′, avec cette faute du gardien sétifien, Zeghba, sur Derrardja dans la surface de réparation, l’arbitre désigna le point de penalty. Une sentence que se chargera d’exécuter victorieusement le même Derrardja, relançant, ainsi, les débats. Les minutes restantes, malgré une nette domination mouloudéenne, n’apporteront aucun changement au tableau d’affichage, puisque c’est sur ce score que se terminera cette première période. A Lubumbashi, à ce moment-là, la première mi-temps entre le TPM et le DHJ s’est achevée sur un score nul et vierge, faisant que c’est l’ESS qui est, jusque-là, qualifiée pour les quarts de finale.
En seconde période, et alors que l’on s’attendait à ce que les gars du MCA pressent haut pour remettre les pendules à l’heure, c’est tout le contraire qui se produisit. Les Sétifiens se montrent plus dangereux, notamment par Bouguelmouna et Djabou.
Après l’heure de jeu, les Mouloudéens reprennent les commandes et portent le danger vers les bois de Zeghba, mais Derrardja et Nekkache manquaient d’efficacité, faisant que le score est resté inchangé. Taoussi décide alors de renforcer sa zone médiane et de jouer avec un bloc avancé, avec l’incorporation de Aïboud et Sidhoum, en lieu et place de Djabou et de Ghecha, et en lançant Banouh à la pointe de l’attaque, à la recherche du but du K.-O.
Casoni en face, était en manque de solutions, ce qui l’a poussé à apporter des changements, en vain. Les minutes se suivent et se ressemblent et les Sétifiens tenaient toujours leur qualification.
Dans les dernières minutes, le TP Mazembe ouvre la marque dans l’autre match, et le MCA n’a, à ce moment-là, besoin que d’un but pour se qualifier. Ses joueurs pressent haut et se procurent une occasion en or à la 88′ par Derrardja, dont la reprise de la tête touche la transversale de Zeghba, avant que la balle ne revienne vers Bendebka. Ce dernier rate lamentablement sa reprise devant la cage vide.
Le score en restera là et les Sétifiens valident leur billet pour les quarts de finale de la plus prestigieuse des compétitions continentales. Au MC Alger, cette élimination va sans nul doute provoquer de grands changements au niveau du staff technique et administratif. Le TP Mazembe a, quant à lui, été contraint au partage des points (1-1) face au DHJ.

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Coupe de la CAF / USM Alger – GOR Mahia (Kenya), aujourd’hui à 14h au stade du 5-juillet: Les Algérois en quête de qualification

Wed, 08/29/2018 - 09:59

Par Saïd MEKKI

Coleader du groupe D de la coupe de la Confédération africaine de football (CAF), et à égalité parfaite avec l’équipe Kenyane de Gor Mahia, l’USM Alger n’a qu’une seule alternative cet après-midi pour se qualifier aux quarts de finale, à savoir la victoire.

Alors que les Rouge et Noir n’étaient qu’à un point de la qualification avant leur déplacement à Dar Es Salaam (Tanzanie) face aux Young Africans, une équipe qui n’avait jusque-là gagné aucun match dans cette compétition, ils se sont sérieusement compliqués la tâche après leur défaite (2-1) lors de la 5e journée de la phase de poules.
Ainsi, l’unique représentant algérien dans cette compétition continentale semble retrouver son efficacité après avoir arraché deux victoires en championnat d’Algérie face au DRBT (3-1) et au NAHD (1-0). Les joueurs du coach Froger sont décidés à ne point rater cet ultime match pour se qualifier aux quarts de finale.
Un coup d’oeil au classement de ce groupe D permet de constater qu’à l’issue de la 5e journée, l’USM Alger et Gor Mahia (Kenya) se partagent la première place avec 8 points chacun, alors que les Rwandais de Rayon Sports sont 3es avec 6 points. Les Young Africains du Rwanda ferment la marche avec 4 points. Lors de la 6e et dernière journée prévue aujourd’hui, l’USM Alger accueillera son rival le plus sérieux dans ce groupe Gor Mahia, dans un match décisif et déterminant pour la qualification en quarts de finale, alors que les Rwandais de Rayon Sports accueilleront les Young Africans (Tanzanie).
Thierry Froger, l’entraîneur de l’USM Alger est bien conscient de la situation en reconnaissant que «maintenant, tout est clair, il faudra impérativement gagner notre dernier match pour passer. Il n’y a aucun calcul à faire, c’est tout».
Seulement, et mathématiquement, trois équipes se disputent le ticket qualificatif, à savoir l’USMA, son adversaire du jour Gor Mahia ainsi que les Rwandais de Rayon Sports, qui devraient, en principe, prendre les trois points contre les Tanzaniens des Young Africans. On pourrait bien se retrouver avec une égalité à trois si l’USM Alger et Gor Mahia n’arrivent pas à se départager et si Rayon Sports gagne son match. Possible mais peu probable.
Le gardien de but international, Mohamed Lamine Zemmamouche dira: «Nous jouerons pour gagner même si le nul nous qualifiera.» «C’est vrai que notre mission ne serait pas facile car les joueurs de l’équipe adverse jouent aussi la qualification, mais nous feront le nécessaire pour se qualifier et je pense que notre expérience ferait la différence», a conclu le keeper des Rouge et Noir.
Du côté des Kenyans, ils étaient attendus lundi, mais ils n’ont débarqué à Alger qu’hier après-midi, faute de places dans les vols qu’ils ont pris via Casablanca et Istanbul. La délégation kenyane a rejoint l’hôtel Dar Diaf de Bouchaoui avant l’ultime séance d’entraînement en fin de journée sur la pelouse du stade 5-Juillet.
La fatigue du voyage devrait, donc, être bien exploitée par les joueurs de l’USMA pour arracher les trois points de la qualification et par la même assurer la qualification aux quarts de finale de cette coupe de la CAF.

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USM Harrach: Le président Laïb dénonce le « chantage » de la LFP

Wed, 08/29/2018 - 09:55

 M. Lamine

Le président de l’USM Harrach, Mohamed Laïb, à dénoncé, comme il a tenu à le dire lors de sa conférence de presse, « le chantage du président de la ligue de football professionnel envers le club d’El-Harrach, en exigeant le paiement d’une ancienne dette que lui devait la ligue pour que cette dernière lui octroie les 2,5 milliards qui représentent les droits de TV. « Cela constitue pour nous comme un véritable chantage de Medouar envers l’USMH », a affirmé le président harrachi qui s’est dit outré par « l’amalgame entretenu par le président de la ligue nationale sur cette question du fait que ce dernier a évité d’évoquer le montant des dettes qu’il avait exigé de notre club, tout en affirmant qu’il a réglé l’USMH avec les droits TV. Il a certainement cru bon de tromper l’opinion sportive nationale et les supporteurs ». Le président Laïb a aussi évoqué lors de sa conférence de presse les dettes impayées des anciens membres du staff technique de l’USMH, affirmant que la LFP n’a rien à exiger à l’USMH dans cette affaire du moment que les concernés ont saisi la justice pour recouvrer leurs droits et qu’il revient à cette dernière de nous saisir et non pas la LFP. Pour le président de l’USMH, son club a payé toutes ses créances auprès de la ligue nationale et attend que cette dernière lui octroie les licences des joueurs qui ne participent pas actuellement au championnat. D’autre part, Laïb a écarté l’idée de boycotter le championnat, affirmant « qu’il préfère démissionner que d’aller vers cette éventualité qui n’arrange pas », a-t-il dit, les affaires de son club. Et de conclure qu’il redoute que son équipe ne soit cette saison victime des erreurs d’arbitrage, mais sans préciser le motif de ses craintes.

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Categories: Afrique

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