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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
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RedBull Car Park Drift Algérie: Naim Mazouz remporte la 2e édition et se qualifie à la finale mondiale

Sun, 09/02/2018 - 12:37

ALGER – Le pilote Naim Mazouz a remporté, samedi à Alger, la deuxième édition du RedBull Car Park Drift Algérie, décrochant sa qualification à la finale mondiale qui aura lieu le 23 septembre à Beyrouth au Liban.

Organisée en collaboration avec la Fédération algérienne de sports mécaniques, cette deuxième édition du RedBull Car Park Drift Algérie a enregistré la participation de 12 drifters en concurrence devant un public nombreux venu assister à la course qui s’est déroulée aux Pins maritimes.

Après deux passages, le jury présidé par le pilote libanais Abdo Feghali, ancien recordman du plus long drift et champion du Liban de rallye, a sélectionné les quatre meilleurs pilotes pour la manche finale (Final 4), remportée par Mazouz, qui a décroché son ticket pour la finale mondiale.

« C’était une compétition difficile face aux meilleurs pilotes algériens. Je suis très content de cette qualification pour le Mondial, ou je tenterai de représenter dignement l’Algérie », a déclaré Mazouz.

De son côté, le responsable marketing de RedBull, Mestapha Sari, s’est félicité de la « réussite » de cette deuxième édition du « Car Park Drift », soulignant que les drifters algériens ont « beaucoup progressé techniquement » en comparaison avec la 1ere édition disputée à Blida en 2017.

« Nous travaillons en collaboration avec la Fédération algérienne de sports mécaniques pour développer davantage cette discipline, à travers l’organisation d’autres courses à travers tout le territoire national. Le drift est une discipline qui demande beaucoup de pratique pour élever le niveau des pilotes », a-t-il indiqué.

Le RedBull Car Park Drift sillonne 12 pays dans la région du Moyen-Orient et en Afrique du nord à savoir l’Algérie, le Maroc, la Tunisie, l’Egypte, la Turquie, Maurice, la Jordanie, le Koweït, le Qatar, les Emirats arabes unis, Oman et le Liban.

Le drift est une discipline née au Japon dans les années 1960, dont le but était de rallier d’un point A à un point B en un minimum de temps tout en repoussant les limites de l’adhérence des voitures de courses en faisant des dérapages contrôlés à chaque virage.

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Décès du moudjahid et homme de lettres Hafnaoui Zaghez

Sun, 09/02/2018 - 12:33

ALGER – Le moudjahid et homme de lettres Hafnaoui Zaghez est décédé à l’âge de 91 ans et a été inhumé, samedi après-midi, au cimetière de Garidi de Kouba à Alger.

Le regretté a travaillé dans le secteur de l’enseignement comme consultant en éducation et comme enseignant.

Il a également occupé plusieurs responsabilités au sein du corps de la Sûreté nationale, avant qu’il ne soit désigné Secrétaire général adjoint au sein du Conseil des ministres arabes de l’Intérieur (CMAI) à Tunis, de 1989 à 1992, puis au poste d’expert au Secrétariat général du même conseil, de 1992 à 1997, marquant ainsi la fin de son parcours professionnel.

Dans le domaine de l’écriture et de la créativité, le défunt possède à son actif, 12 ouvrages, dont 4 nouvelles, 8 romans dont quelque uns furent traduits vers plusieurs langues étrangères.

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Une foire pour le manuel scolaire

Sun, 09/02/2018 - 12:28

A. El Abci

En prévision de la rentrée des classes, une foire ou exposition-vente du livre scolaire, 3ème édition du genre, est organisée depuis hier et jusqu’au 10 du mois de septembre en cours, au niveau du hall central de la maison de la culture Malek Haddad et ce, en exécution des instructions du ministère de l’Education nationale concernant sa disponibilité et les facilités afférentes à son acquisition de la part des élèves et de leurs parents. Ainsi et selon le directeur des publications scolaires de la wilaya de Constantine, Rédha Berrah, il s’agit d’une foire étatique et une initiative du département ministériel de l’Education nationale, avec l’office des publications scolaires, autour du livre scolaire des trois paliers d’enseignement du primaire, moyen et secondaire. Et de poursuivre que tous les genres de livres et manuels nécessaires sont disponibles à cette foire, qui comprend plus de 150 titres et plus de 150.000 livres et manuels exposés.

Cela concerne aussi bien les titres de l’année préparatoire jusqu’à la troisième année secondaire, y compris les livres de nouvelle génération et dont le nombre est de quatre pour la 2ème année et de trois autres pour la 3ème année de l’enseignement moyen. Et de préciser que tous les types de livres sont disponibles, à savoir ceux de littérature jusqu’à ceux des matières scientifiques, en passant par les dictionnaires et autres manuels d’appui tels ceux en rapport avec les exercices, qui sont également disponibles au niveau des établissements scolaires. Et de faire savoir, dans ce cadre, que l’opération de dotation en livres en question de l’ensemble des établissements éducatifs de la wilaya a commencé très tôt pour cette fois-ci, soit au mois de février dernier.

Concernant les prix, ils varient de 320 dinars les deux livres de l’année préparatoire jusqu’à 3.070 dinars pour ce qui a trait aux livres des matières scientifiques de 3ème année secondaire, ou terminale. Pour ce qui est relatif, dit-il, à l’affluence de cette 1ère journée de la foire, elle est modérée en considération de la disponibilité du livre scolaire au niveau des établissements, qui a fait que la majorité des parents d’élèves s’en sont déjà portés acquéreurs avant le départ des élèves pour les grandes vacances de l’été. En définitive, ce qui est recherché et acheté le plus dans cette foire, ce sont surtout les livres d’exercice, de corrigés d’exercices et autres d’appui à la scolarité des élèves, conclut-il.

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Constantine – Les ingénieurs en génie civil reviennent à la charge

Sun, 09/02/2018 - 12:28

 A. Mallem

Le moins qu’on puisse dire est que les dernières déclarations du ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, M. Abdelwahid Temmar, sur les malfaçons constatées dans les logements réceptionnés ont eu le don d’exaspérer beaucoup des gens parmi la corporation des ingénieurs en génie civil. Ces derniers ont saisi l’opportunité pour relancer la revendication pour l’instauration d’un ordre national des ingénieurs en génie civil qui, à l’instar des architectes, constituerait le cadre réglementaire pour défendre leurs droits et revendiquer un statut conforme à leur spécialité. « Enfin, les pouvoirs publics commencent à reconnaître, ne serait-ce que de façon implicite, les limites de l’architecte dans la conduite des projets de construction et, par ricochet, le rôle primordial de l’ingénieur dans la réalisation et le contrôle dans la qualité du bâti et des infrastructures », nous ont déclaré hier les membres d’un groupe d’ingénieurs qui nous ont contactés. Elevant de vives protestations contre leur marginalisation, ces derniers contestent toujours le fait que la maîtrise d’œuvre continue à être confiée aux bureaux d’étude en architecture. « C’est rageant, se sont exclamé nos interlocuteurs avec dépit, que les défauts vénaux qu’on vient de constater dans les constructions n’empêchent pas que l’ingénieur continue à travailler sous la coupe de l’architecte. Mais soyez certains, promettent-ils, que nous ne cesserons jamais de répéter que l’architecte ne connaît rien dans le suivi d’un chantier, en matière de qualité du bâti, de la sécurité des constructions… car cela relève de la compétence de l’ingénieur en génie civil ».

D’autres émettent de vives critiques contre leur syndicat national lui reprochant une certaine « tiédeur » dans l’action de revendication vis-à-vis de la tutelle. « Les membres de notre syndicat ne font rien pour faire avancer le dossier d’agrément de l’ordre des ingénieurs, disent-ils. Il y en a qui font preuve de réticence, d’autres de timidité, voire de crainte, etc. ». Enfin, les ingénieurs pointent du doigt les architectes signalant que ces derniers sont « tapis dans les structures du ministère et font tout pour mettre des bâtons dans les roues de leur jeune organisation syndicale afin de l’empêcher, pensent-ils, de concrétiser le projet d’autonomie de la corporation qui menace leur rôle de leader dans les projets de construction lancés par l’Etat. Et par là, leurs intérêts matériels ». Informé de l’état d’esprit des gens de sa corporation à la base, et interrogé sur les mesures éventuelles que son syndicat compterait entreprendre pour calmer sa base, M. Soualmia, vice-président du syndicat des ingénieurs en génie civil, nous a confirmé qu’il y a effectivement un marasme parmi les ingénieurs. « Ces derniers, dit-il, ne cessent d’exercer des pressions sur le syndicat pour le pousser à activer le dossier de demande d’agrément déposé au ministère de tutelle et aller vers l’autonomie de la corporation ». « Je dois dire que, plus d’une fois, M. le Ministre s’est déclaré favorable à la création de notre ordre. Mais malheureusement, au niveau de la tutelle, nous sentons qu’il y a beaucoup de réticences, voire d’hostilité à cette idée de création d’un ordre des ingénieurs à côté de celui des architectes. Il semble évident qu’il y a un blocage », a déclaré M. Soualmia. Pendant ce temps, ajoute-t-il, « la colère des ingénieurs monte au niveau de plusieurs régions du pays et nous craignons une action de ces derniers au cours de cette rentrée sociale, une action du genre de celle du mouvement des médecins résidents. Les adhérents du syndicat des ingénieurs sont capables de sortir dans la rue dans le but de réclamer l’instauration d’un ordre national des ingénieurs en génie civil », nous confiera-t-il.

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Chute mortelle au fond des ravins du Rhumel

Sun, 09/02/2018 - 12:27

A.Z.

Le corps inanimé d’un homme âgé entre 50 et 55 ans, non identifié, a été repêché dans la matinée d’avant-hier du fond des ravins de Oued Rhumel. Cette opération a nécessité l’intervention des éléments de la Protection civile des centres avancés ‘Boumaaza Abdelmadjid’ et ‘Bab El Kantara’, selon un communiqué de ce corps constitué. Ajoutant que la victime a fait une  » chute  » sur une hauteur de 100 mètres, alors qu’elle se trouvait dans un endroit près du pont Sidi M’cid surplombant les rochers du Rhumel. Le corps de la victime a été transporté vers la morgue du CHUC par les éléments de la Protection civile, et les services de sécurité ont, pour leur part, ouvert une enquête pour déterminer les circonstances exactes de cette chute fatale.

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Education: C’est la rentrée des classes pour les enseignants

Sun, 09/02/2018 - 12:27

par Yazid Alilat

C’est déjà la rentrée pour les enseignants des trois paliers de l’Education nationale, après celle des personnels de l’administration. C’est en effet ce dimanche 2 septembre que les enseignants des cycles primaire, moyen et secondaire feront leur rentrée ‘’des classes » et devront préparer d’ici à mercredi la grande fête scolaire automnale, avec la rentrée des élèves qui seront cette année un peu plus de neuf millions de scolarisés. Pour cette année, la nouveauté sera cette inquiétante épidémie de choléra, circonscrite actuellement à la wilaya de Blida, selon le ministère de la Santé. Mais, globalement, tout a été mis en place par le ministère pour qu’il y ait une rentrée des classes normale, sinon dans de bonnes conditions.

La ministre de l’Education nationale Nouria Benghabrit avait tenu dimanche dernier une rencontre agrémentée d’ateliers de travail avec les directeurs de wilaya de l’Education et les partenaires sociaux pour préparer cette rentrée scolaire dans de bonnes conditions. Sollicité par Le Quotidien d’Oran, M. Meziane Meriane, coordinateur du Snapest (Syndicat national autonome des professeurs de l’enseignement secondaire et technique), a estimé que cette rentrée scolaire ‘’s’effectue dans des conditions normales ». ‘’Cette rentrée va se dérouler dans des conditions normales, si ce n’est la peur de l’épidémie de choléra », a-t-il relevé, avant d’ajouter que ‘’j’espère qu’elle sera dépassée ». Le coordinateur du Snapest était favorable au report de cette rentrée pour protéger les enfants de cette maladie. Car il estime que ‘’la santé des élèves mérite plus que des déclarations ».

Plusieurs syndicats avaient également préconisé le report de cette rentrée, le temps pour que cette maladie soit éradiquée. Messaoud Boudiba, porte-parole du Cnapeste, avait relevé qu »’on a tout fait pour que les choses soient acceptées, mais nous doutons de ces mesures de prévention » contre le choléra annoncées par la ministre. ‘’Car nous pensons qu’il ne faut pas s’aventurer à jouer avec la santé des élèves. Nous avons constaté que le ministère ne maîtrise pas la situation et qu’il dépend d’autres structures quant à la lutte contre cette épidémie », a-t-il ajouté, estimant que ‘’les assurances du ministère ne sont pas tellement convaincantes ». Lundi dernier, la ministre de l’Education nationale avait estimé, au lendemain de sa rencontre avec les cadres de son ministère et les directeurs de wilaya de l’Education, que la date du 5 septembre sera maintenue. ‘’Cette rentrée scolaire 2018-2019 aura lieu dans les délais fixés, soit le 5 septembre à travers tout le territoire national », a-t-elle rappelé, soulignant que les informations communiquées par les instances concernées, à leur tête le ministère de la Santé, au sujet de l’épidémie du choléra «n’exigent pas le report de la rentrée scolaire dans les wilayas touchées». Selon elle, ‘’toutes les mesures ont été prises contre l’épidémie du choléra, non seulement au niveau des wilayas où des cas ont été enregistrés, mais également dans toutes les wilayas du pays, et ce sous la supervision des ministères de l’Intérieur et de la Santé ».

D’autre part, M. Meziane Meriane estime que pour cette rentrée scolaire, ‘’il n’y a rien de nouveau sur le plan pédagogique », avant d’ajouter que ‘’nous espérons que les emplois du temps seront cette année bien élaborés pour ne léser personne ». Quant aux revendications des enseignants, ‘’elles seront discutées lors de notre rencontre du 10 septembre prévue avec la ministre de l’Education nationale » et ‘’nous espérons, ajoute-t-il, que nous serons entendus et nos revendications seront exaucées ». ‘’Par ailleurs, nous allons avoir une réunion de l’intersyndicale et on va structurer la future fédération des syndicats autonomes avec des dossiers lourds à défendre, comme les libertés syndicales, le pouvoir d’achat des travailleurs et la retraite », a-t-il précisé.

Plusieurs revendications des syndicats autonomes restent encore sur la table des discussions et devraient cette année encore être abordées, notamment les promotions des différents corps de personnels, les questions pédagogiques, les équivalences pour certains types d’enseignants, les changements de statuts, etc. En outre, il y a également des revendications d’enseignants qui relèvent plutôt des prérogatives et des compétences du gouvernement, indique-t-on. L’année dernière, une grève dure du Cnapeste avait duré plusieurs mois et des centaines d’enseignants avaient été licenciés, avant d’être réintégrés, créant un profond malaise au sein d’un secteur laminé par les grèves, les colères et des réformes qui n’arrivent pas à être acceptées. Quant à la réforme du bac, elle sera le grand dossier de cette année scolaire, puisqu’il ne reste pratiquement que le feu vert du gouvernement pour son application.

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Une dizaine de sources d’eau à l’index

Sun, 09/02/2018 - 12:25

A. Mallem

Le conseil municipal de la ville de Constantine à annoncé jeudi dernier, que les analyses faites sur de nombreuses sources naturelles et points d’eau situés à l’intérieur du territoire de la commune, ont révélé le caractère impropre à la consommation de 10 d’entre elles, niant qu’elles soient porteuses de la bactérie causant la maladie du choléra. Ainsi et selon l’exécutif de l’hôtel de ville du Vieux Rocher, la dizaine de sources incriminées et interdites donc à la consommation, concernent l’établissement d’enseignement technique Ali Bousehaba, rue Ali Besbess située au quartier de Sidi Mabrouk, la source Aïn El-Berda de la cité Daksi Abdessalem. Mais aussi la source se trouvant à l’intérieur du tissu urbain de la cité Erray Salah, située au plateau du Mansourah sur les hauteurs de la ville, la source de la station des chemins de fer ainsi que des points d’eau de l’école de police de la cité Ali Besbess à Sidi Mabrouk inférieur. Il en est de même du point d’eau du centre d’élevage hippique de Sidi Mabrouk, ainsi que de la source Aïn Erroubah de la cité Saïghi Ahmed et les points d’eau de la faculté de médecine du Chalet des pins sont également impropres à la consommation, toujours selon le communiqué de l’APC de Constantine. Par ailleurs et dans cet ordre de préoccupation, le wali de Constantine a tenu à rassurer les citoyens que le suivi de cette campagne de nettoyage des sources et des puits sera mené jusqu’au bout au niveau de la wilaya. « Nous avons donné, dit-il, des instructions à tous les bureaux d’hygiène des 12 APC pour effectuer des contrôles systématiques, de toutes les sources et des points d’eau publics et d’informer les citoyens des résultats, et ce par tous les moyens disponibles ». Et d’indiquer, dans ce sillage, qu’il s’agit d’un travail de tous les jours mené par la SEACO, l’ONA et les services habilités des mairies, en plus de la commission de wilaya des maladies à transmission hydrique. Et cela en attendant le traitement des puits et sources en cause, ou leur fermeture le cas échéant. Rassurant encore, que le citoyen sera tenu au courant de toutes les décisions et évolutions concernant ce dossier. A. E. A.

Bataille rangée à la cité la « BUM »

Selon les informations qui nous ont été communiquées par des résidents et confirmées par les membres de l’association de quartier, la cité la ‘BUM’ située sur le boulevard de l’ALN entre les quartiers ‘Oued El-Had’ et ‘Ziadia’, a connu, avant-hier, vendredi aux environs de 23h, une nuit très agitée à la suite d’une bataille rangée entre un groupe de jeunes et une famille habitant dans un immeuble du quartier. Les jeunes qui s’étaient rassemblés au pied d’un immeuble faisaient, selon des témoins, du tapage à cette heure de la nuit et ils ne cessaient de lancer des grossièretés à vive voix, dérangeant les résidents et indisposant les familles. Aussi, dans le but de faire cesser cela, un père de famille et son fils, jeune adolescent, sont intervenus auprès de ces jeunes pour les inviter à plus de retenue et à cesser de faire du bruit. La conversation a commencé par des échanges de propos aigres-doux, puis elle a dérapé sur des insultes et une bagarre s’est déclenchée entre les deux parties. D’autres habitants sont intervenus. L’échauffourée a duré environ une heure avant que les belligérants ne soient calmés par l’intervention de gens du quartier. Mais entre temps, le bruit fait par la bagarre a mis en émoi les habitants du quartier et beaucoup de gens étaient sortis en pyjama, les uns pour assister, de loin, à la bagarre, les autres pour essayer de protéger de la casse leurs véhicules garés aux pieds des immeubles. Des résidents que nous avons interrogés, hier, nous ont déclaré que les choses sont rentrées dans l’ordre après l’intervention de personnes âgées qui ont calmé les belligérants.  » Il n’y a même pas eu l’intervention de la police parce que cela n’était pas nécessaire, nous ont déclaré des résidents « . Néanmoins, d’autres ont déploré qu’il n’y a pas de patrouilles nocturnes de la police pour veiller au calme et à l’ordre durant la nuit, en dissuadant les jeunes noctambules qui passent, régulièrement leurs nuits aux pieds des immeubles, troublant la tranquillité et la quiétude des habitants. Interrogé hier, M. S. Khennouf, président du comité de quartier de la ‘BUM’, a indiqué, tout d’abord, qu’il n’était pas au courant de l’incident et que ce sont des jeunes du quartier qui lui ont raconté ce qui s’était passé. Ainsi, selon ce qu’il a pu nous dire, l’incident s’est produit dans les immeubles situés près du nouveau stade de la ‘BUM’, entre les mosquées Abdelaziz et celle des Califes. Ensuite, le président de l’association de quartier a minimisé cet incident en affirmant qu’il n’y a pas eu de blessés, d’un côté comme de l’autre. « Ce n’était pas du tout méchant, a-t-il affirmé, et la bagarre s’est soldée par quelques dégâts minimes sur des véhicules stationnés, provoqués par les jets de pierres échangés entre les deux belligérants », a-t-il conclu, sans accorder plus d’importance à cet incident.

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Tébessa: La rentrée scolaire, la prévention contre le choléra…

Sun, 09/02/2018 - 12:21

Ali Chabana

A une question sur la situation épidémiologique, après l’alerte concernant la maladie infectieuse du choléra et ce, la veille de la rentrée scolaire, le Dr Imane Khernane, du service de la prévention à la DSP, s’est montrée plutôt rassurante en déclarant qu’aucun cas suspect ou confirmé de choléra n’a été enregistré, jusqu’ici, dans la wilaya de Tébessa, tout en demandant aux familles de prendre les précautions nécessaires en observant les règles strictes d’hygiène, notamment pour ce qui est de la consommation d’eau et que celle du robinet est entièrement propre et ne soulève aucune inquiétude. Le médecin a aussi indiqué que des visites périodiques sont désormais effectuées par des équipes de prévention et d’inspection, invitant les gérants de respecter les normes de la chaîne de froid des denrées alimentaires, préconisant que le personnel des cantines scolaires doit être soumis lui aussi au contrôle médical, une fois chaque semestre. La responsabilité incombe aux chefs d’établissements éducatifs afin de signaler, au plus vite, tout cas suspect de maladie infectieuse. Cela a été évoqué lors d’une journée d’étude sur la rentrée scolaire destinée au cycle primaire, venant clôturer des rencontres consacrées auparavant, aux paliers de l’enseignement moyen et secondaire, selon les orientations et les mesures prises par le département de Mme Nouria Benghebrit.

« Mieux vaut prévenir que guérir »

D’emblée, le directeur de l’Education reconnaît les difficultés matérielles, de ressources humaines et de gestion dans lesquelles évoluent la plupart des 414 écoles. En s’adressant aux chefs d’établissements éducatifs, Abdelmadjid Mencer parlera de la rationalisation des dépenses (électricité, gaz, eau, maintenance). Quant à l’opération de distribution du livre scolaire, elle doit être effectuée dans le temps imparti.  » Si le livre scolaire ne parvient pas dans le délai à l’élève, toutes les étapes de l’opération, conception, impression et distribution n’auront servi à rien « , propos attribués à la ministre de l’Education nationale. Le chapitre des conditions de la rentrée scolaire a été soulevé dans le volet de l’éthique de la profession avec en perspective la réactivation de la charte signée avec les partenaires sociaux et son entrée en vigueur, au niveau local, une décision de la tutelle venue à point nommé pour prévenir contre toute perturbation (mouvements sociaux). Une mesure, selon la sagesse « mieux vaut prévenir que guérir », à même de gêner la reprise des classes dans le calme. A ce sujet, le wali parlera de dialogue et de concessions, pour sauvegarder l’intérêt primordial de l’élève. M. Attallah Moulati, justement, s’est dit persuadé des difficultés des gestionnaires des écoles dans l’exercice de leurs multiples missions. Théoriquement, toutes les écoles sont prêtes pour accueillir les milliers d’élèves, tout en annonçant la levée du gel sur certaines opérations d’aménagement, selon la priorité accordée aux travaux d’étanchéité, raccordement au gaz naturel et dotation des écoles de sanitaires et branchement au réseau d’AEP, en s’étonnant qu’à la commune de Ouenza pas moins de 26 écoles demeurent dépourvues de gaz naturel. Sachant l’importance de l’entretien des écoles, le wali a indiqué que 903 postes d’emploi, au titre des contrats d’insertion professionnelle (CIP), viennent d’être accordés au profit du secteur de l’Education, un renforcement indispensable dans l’objectif d’atteindre une moyenne de 8 travailleurs par école.

Trois sources de financement de ces postes de travail sont l’APC, le Fonds de solidarité des collectivités locales et le ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales. Le chef de l’exécutif et devant un auditoire de chefs d’établissements éducatifs, inspecteurs pédagogiques, administratifs et l’inspection de la restauration scolaire a appelé à plus de rigueur dans la gestion. En fin psychopédagogue, Attallah Moulati souligna « l’importance et le rôle de l’école dans la construction de la personnalité de l’enfant dès qu’il y met les pieds le premier jour ». Une école saine dans un environnement sain, une école solennelle, républicaine, cellule première dans la formation de l’homme de demain.

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Msila – Eau potable: le wali rassure

Sun, 09/02/2018 - 12:20

Merzougui Mohamed

Le wali de Msila, M. Hadj Mokdad, a affirmé, la fin de la semaine passée, lors de sa visite d’inspection dans les communes de la zone ouest de la ville de Msila, que toutes ces dernières seront alimentées de manière régulière en eau potable, à court terme, à partir du transfert de l’eau du barrage de Koudiat Acerdoun (wilaya de Bouira), des forages de Birine (wilaya de Djelfa) et du forage profond de la commune de Tarmount. En ce qui concerne les quartiers situés dans la périphérie ouest du chef-lieu de la wilaya, notamment le pôle universitaire, qui accusent un déficit en eau, le wali a confirmé que le forage, d’une profondeur de 900 mètres du champ captant de Lougman, garantira quotidiennement un volume de 4.320 m³ d’eau qui sera transité par une station de traitement de désulfuration avant sa distribution vers la ville de Msila, prévue pour le mois de novembre 2018.

L’autre volet sensible, sur lequel le wali a insisté, est celui de la gestion de ce précieux liquide. Pour ce faire, il dira que dans le cadre du plan d’urgence initié par le président de la République, un programme conséquent est en cours de concrétisation, basé essentiellement sur le renforcement, la réhabilitation et l’homogénéisation des canalisations et autres équipements liés à l’alimentation en eau pour les populations qui sont en quête de l’amélioration de leurs conditions de vie et de santé. Par ailleurs, le nouveau directeur des ressources en eau et le directeur gestionnaire de l’Algérienne des eaux de la wilaya de Msila se sont concertés pour lutter contre le gaspillage et les fuites d’eau, ainsi que les branchements illicites et les suppresseurs anarchiques installés par certaines personnes indélicates.

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Djelloul Yelles : une mémoire musicale algérienne disparaît

Sun, 09/02/2018 - 12:17

M.Y.

Il y a quelques jours, disparaissait dans la plus grande discrétion une figure historique importante de la scène musicale algérienne. Si, comme c’est malheureusement trop souvent le cas, les institutions avaient, apparemment, perdu jusqu’au souvenir de sa contribution humaine, pédagogique et scientifique au rayonnement national et international de notre patrimoine culturel, nombreux étaient, par contre, les musiciens, musicologues et amoureux de la Sanâa qui continuaient à entretenir avec lui des liens d’estime et de reconnaissance. De fait, ce n’est que justice, compte tenu du parcours exemplaire de feu Djelloul Yelles.

Né à Tlemcen le 10 février 1922, dans une modeste famille d’artisans tlemcéniens, il manifeste très tôt des prédispositions évidentes pour la musique. Malgré les rigueurs de la condition coloniale, soutenu par un père lui-même sensible à l’importance de la tradition maghrébo-andalouse, il réussit à acquérir les rudiments de la formation musicale. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il se retrouve à Alger où il suivra les cours de musique du Conservatoire d’Art dramatique. Dans la même période, lorsqu’il revient à Tlemcen, pour les congés scolaires, à la suite d’autres maîtres et amoureux de la Sanâa tlemcénienne, il entame un travail de collecte et de notations du répertoire tlemcénien, sous la houlette du grand maître Cheikh Larbi Bensari. Cette vaste entreprise ne cessera de l’occuper sa vie durant.

Par la suite, désireux de se doter de tous les outils théoriques et méthodologiques à même de lui permettre de contribuer à une meilleure connaissance et à une transmission rationnelle du patrimoine musical maghrébo-andalou, il décide de partir en France. Il fait alors partie de cette poignée de jeunes intellectuels «indigènes» qui affronte les rigueurs de l’exil, dans le contexte particulièrement difficile de l’immédiat après-guerre. Sensibilisé très jeune aux enjeux politiques de la domination coloniale, militant du PPA, puis du Parti communiste, il poursuit également son engagement, à Paris aux côtés de ses camarades.

Inscrit au Conservatoire de Paris, ses études supérieures déboucheront sur un premier prix de clarinette. Dans le même temps, il aura suivi les cours d’Olivier Messiaen à la Schola Cantorum. Parvenu à la dernière étape de sa formation supérieure (direction d’orchestre), il décide de rentrer en Algérie, conscient que, dans le contexte colonial, il est inconcevable qu’un orchestre de chambre français puisse être jamais dirigé par un «Arabe»… De plus, il a la conviction que son devoir l’appelle dans sa patrie et que, fort de ses acquis, il lui faut à présent poursuivre la tâche de prise en charge du patrimoine musical algérien.

Les hasards de l’histoire -l’élection d’un maire communiste à Sidi-Bel-Abbès (René Justrabo) -lui permettent de candidater à un poste d’enseignant au Conservatoire municipal de cette ville. Il y est nommé en 1950 et s’installe ainsi avec sa famille dans la «capitale de la Mekkera». Il est, officiellement, chargé de la «Classe de musique orientale» (une terminologie, ô combien révélatrice des fantasmes coloniaux de l’époque). Il formera, plusieurs générations de jeunes musiciens et musiciennes (exclusivement «indigènes», cela va de soi). En parallèle, il poursuit son travail de recherche sur la Sanâa et maintient des liens personnels et intellectuels très forts avec ses pairs et amis musiciens et musicologues tlemcéniens. Il est, en particulier, très proche des membres et animateurs de la grande association musicale, la SLAM.

Dès l’indépendance, il est tout, naturellement, nommé directeur du Conservatoire municipal de Sidi Bel-Abbès. En plus de ses fonctions administratives, il continue à assumer ses tâches de pédagogue -comme en témoigne le nombre de ses anciens élèves, professeurs de musique, en poste dans l’ouest du pays. Il s’implique, également, au niveau local et régional dans l’organisation de nombreuses manifestations culturelles (festivals) pour ce qui relève du volet musical.

En 1967, il est contacté par feu Mohamed Seddik Benyahia, alors ministre de l’Information. Ce dernier envisage de lancer un vaste programme visant à développer l’enseignement, la pratique et la recherche de la musique, en Algérie. Ce programme se propose d’assurer une véritable prise en charge de l’éducation musicale, à tous les niveaux (de la maternelle au lycée), de former des virtuoses (dans les différentes classes d’instruments), de relancer la recherche dans le domaine musicologique et de constituer des archives musicales aussi complètes que possible (dans l’objectif de permettre l’étude scientifique de ce riche patrimoine).

Djelloul Yelles accepte cette lourde responsabilité et il devient ainsi le premier directeur de l’Institut national de Musique dont il assume la création. Il s’agit d’un chantier complexe qui lui prendra plusieurs années de dur labeur. Car tout est à faire. Depuis la réhabilitation de l’ancien immeuble haussmannien de la rue Hocine Tiah, jusqu’à la mise en place des équipements techniques (pour l’archivage) en passant par la constitution de l’équipe de recherche (à laquelle participent des chercheurs algériens et étrangers). Commence alors pour Djelloul Yelles une période passionnante mais souvent harassante où, en dehors des aspects administratifs de sa charge, il multiplie les missions de collecte, à l’intérieur du pays, profitant souvent, avec son équipe, des participations aux jurys des nombreux festivals, organisés par les diverses wilayas du pays. Conscient des contradictions idéologiques d’un jeune Etat encore souvent incapable de trancher sur certains dossiers cruciaux (à ses yeux), il n’en demeure pas moins fidèle à une vision fondamentalement «patriotique» de sa mission. Pour lui, et pour reprendre une des expressions favorites des dirigeants de l’époque, «les hommes passent, seules demeurent les institutions ». Mais aussi et surtout, pour le musicologue et pédagogue, demeure la formation (aussi poussée et pertinente que possible) des générations montantes, seule à même de permettre la prise en charge scientifique et la transmission fructueuse de notre mémoire culturelle nationale.

Fort du soutien de sa tutelle, et grâce à la contribution de la quasi-totalité des grandes figures de la musique algérienne (tous genres, «écoles» et générations confondus, de Boudali Safir à Abdelkrim Dali, en passant par Kheireddine Aboura, Ahmed Serri, Sadek El-Bedjaoui, Sadek Dersouni et tant d’autres), il réussit à constituer d’importantes et précieuses archives (aujourd’hui transférées dans les nouveaux locaux de l’INSM). Des centaines d’heures d’enregistrements et des centaines de documents originaux ou en copies sont, ainsi, mis à la disposition des chercheurs/euses algérien/nes et étrangers. Pour ce qui relève de la tradition musicale et poétique maghrébo-andalouse, Djelloul Yelles décide de mettre sur pied une commission représentative des trois grandes «écoles» (Tlemcen, Alger et Constantine). Ce travail long et exigeant débouche sur une publication, en trois volumes, aujourd’hui mentionnée dans la plupart des travaux universitaires et référencée dans toutes les grandes bibliothèques du monde : Al-Muwashshahat w-al-‘ajzâl (1975, 1982).

Co-écrit avec son collaborateur Amokrane Hafnaoui (pour la partie de mise en forme des textes), cette contribution majeure offre, pour la première fois, une recension méthodique et raisonnée de la quasi-totalité des répertoires de la nûba algérienne (avec les différentes variantes régionales). A noter que ce travail est depuis longtemps épuisé mais que l’ENAL (ex-SNED) n’a jusqu’ici pas jugé utile d’en programmer une réédition.

Durant ces années 1970, Djelloul Yelles continue à être très sollicité, tant sur la scène culturelle nationale qu’internationale. C’est ainsi qu’il représentera, à plusieurs reprises, l’Algérie dans les instances panarabes de la musique et qu’il fera partie des délégations algériennes, en mission dans divers pays «frères et amis». Dans son pays, il participe en tant qu’organisateur et membre des jurys des festivals de musique «andalouse», mais aussi des festivals de musiques, de chants et de poésies «populaires».

De fait, sa grande curiosité intellectuelle, sans cesse à l’affût, son attachement personnel, éthique et politique à la «culture du peuple » -dans le sens le plus fort et le plus noble du terme -, à ses beautés et à ses valeurs, l’avait, très tôt, placé dans une distance fondamentalement critique vis-à-vis des cercles élitistes et des milieux conservateurs qui monopolisent souvent le débat culturel, et plus particulièrement musical. Cet engagement se manifestera concrètement en 1975 par la publication du volume Al-Muqâwama al-jazâiriya fi-chi’r al-malhûn (co-écrit avec Amokrane Hafnaoui), anthologie regroupant des textes parmi les plus remarquables du répertoire de poésie populaire (melhûn) des Guwwâla et Mdâdha de notre pays sur la thématique de la guerre de Libération. En 1985, on retrouve la même position de principe -quant à l’importance de ne pas dévaloriser ; telle ou telle partie de la création artistique nationale ; au bénéfice de telle autre sur des critères purement idéologiques -lorsqu’il préside le jury du 1er Festival de Raï, à Oran.

Ce sens de la responsabilité morale et politique d’une génération envers celle qui la suit, cette vigilance intellectuelle, à la fois ferme et généreuse, ne se sont jamais démenties, tout au long de sa vie et constituent, pour ceux et celles qui l’ont approché, parmi les constantes de sa personnalité. Lorsqu’il prend sa retraite au début des années 1980, il poursuit ses recherches avec ténacité, accumulant des milliers de fiches et de notes qu’il n’aura malheureusement, pas le temps de réunir pour la publication. Jusqu’à la fin de sa vie, il prêtera la plus grande attention à l’évolution des pratiques musicales, aux derniers développements de la recherche musicologique, de manière générale, et en particulier dans le domaine du p atrimoine maghrébo-andalou. Doté d’une érudition remarquable et d’une mémoire exceptionnelle, il n’a, de fait, jamais cessé d’être ouvert aux grands débats nationaux et mondiaux de son temps tout en restant viscéralement attaché aux valeurs et au meilleur de la tradition culturelle de son pays.

Au même titre que beaucoup de grands artistes, chercheurs et intellectuels avant lui, l’enfant de Tlemcen, le Bel-abbésien de cœur, le patriote algérien et citoyen du monde laisse, derrière lui, une œuvre pédagogique, scientifique et humaine de premier plan dont on espère que son pays et ses institutions sauront se souvenir et la faire fructifier pour le bien des générations futures d’Algériens et d’Algériennes.

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Bousfer: Des riverains du quartier «Ibn Sina» irrités par l’avancée d’un bidonville

Sun, 09/02/2018 - 11:48

Rachid Boutlelis

L’envahissement de masures hideuses, érigées en parpaing et tôles ondulées, constituant, désormais, un bidonville, qui ne cesse de prendre de l’ampleur, suscite la consternation devant ce laisser-faire, ayant des connotations de complaisance, chez les habitants du quartier ‘Ibn Sina’, mitoyen au cimetière européen, juste en face de la base aérienne, à la sortie-sud de la municipalité de Bousfer, qui ont exprimé leur ras-le-bol au ‘Quotidien d’Oran’. Nos interlocuteurs ont, vivement, désapprouvé ce déplorable état de fait, à l’origine de la dégradation qui va crescendo, de leur cadre de vie.

«Nous avons avisé les gendarmes qui se sont déplacés sur les lieux pour constater les faits», ont fait remarquer nos interlocuteurs, avant de renchérir, avec une pointe de dépit, « nous sommes durement confrontés aux répercussions négatives, sur notre cadre de vie, enfantées par l’installation de ce bidonville qui ne cesse de s’étendre, dans l’indifférence de tout un chacun. Dès l’apparition des premières masures, près de trois années auparavant, nous avons aussitôt signalé, à plusieurs reprises, cette transgression aux responsables concernés, sans pour autant suscité une réaction, à même d’annihiler la multiplication des constructions illicites».

En effet, selon le constat établi sur le terrain par ‘Le Quotidien d’Oran’ un hideux regroupement de baraques vient, en effet, de naître, tout près du cimetière européen de la commune de Bousfer, juste en face de la base aérienne ‘Gasmi’, sur une assiette où ont été lancés, un peu plus de deux ans plus tôt, des travaux de réalisation d’une cité de logements sociaux. Ce nouveau bidonville, constitué de près d’une centaine de masures, a pris forme dès le lancement des travaux de réalisation de cette cité de logements sociaux. Selon un recoupement d’informations, glanées sur les lieux, la construction d’une baraque dans ce regroupement de constructions illicites, une superficie d’environ quatre mètres carrés, est proposée à partir de sept millions de centimes, négociables. La main-d’œuvre est disponible sur place, en contrepartie, évidement, d’une autre somme d’argent.

Au sein de ce bidonville, visible à l’œil nu, pour les usagers du chemin vicinal, reliant la commune de Bousfer à celle d’Aïn El Turck, des individus, faisant partie probablement des réseaux, veillent au grain et construisent des habitations illicites à la demande en contrepartie d’importantes sommes d’argent. Il importe de noter qu’en contrebas de la cité des 72 logements sociaux participatifs, LSP, sise au lieu-dit ‘Ouadite’, dans cette même commune de Bousfer, la même activité lucrative, de vente de lopins de terre et de baraques, a été constatée par ‘Le Quotidien d’Oran’. A l’instar du bidonville mitoyen au cimetière européen, situé derrière la cité des 72 logements LSP du lieu-dit ‘Ouadite’, est entouré d’amas de détritus et autres déchets de matériaux de constructions, véritable garde à manger pour les chiens errants, rats et autres animaux nuisibles.

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Cités AADL 2.500 et 2.700 logements de Ain El Beida: Les habitants montent au créneau

Sun, 09/02/2018 - 11:44

J. Boukraâ

Les habitants des cités AADL 2.500 et 2.700 logements d’Ain Beida viennent de monter au créneau pour dénoncer ce qu’ils considèrent comme des lacunes, en tenant un sit-in, hier samedi, dans leur cité. Ces derniers mettent au premier plan la non ouverture de la route qui devrait relier ces deux cités et faciliter ainsi les déplacements des riverains, le retard dans le raccordement des deux écoles de façon définitive, aux réseaux électrique et du gaz naturel, le retard dans la réception de nouveaux établissements scolaires: deux écoles primaires et deux collèges, qui, en principe, permettraient à leurs enfants d’éviter de ce déplacer vers d’autres localités.

Ces habitants dénoncent, surtout, le manque d’un poste de police pour se sentir en sécurité et protéger, ainsi, leurs enfants ainsi que le manque de sérieux de la part des opérateurs en transport urbains qui desservent leurs cités alors que la rentrée scolaire est dans quelques jours. Les habitants déplorent, aussi, l’inexistence de commerces dits de base. Ils soulèvent, également, le problème de l’accès à la cité qui demeure fermé. Un accès, juste entre le cimetière de Ain El Beida et la caserne militaire, ce qui les oblige à faire un long détour pour accéder à leur cité, en passant par la cité ‘200 logements Es Senia’ et ce, en prenant le 4ème boulevard périphérique. Il faut signaler qu’il s’agit là d’une énième protestation des habitants qui n’ont cessé d’attirer l’attention des responsables locaux pour la prise en charge de leurs doléances qui datent depuis leur installation sur site, il y a plus de deux années.

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Algérie: SILA 2018 : la Chine sera l’invité d’honneur

Sun, 09/02/2018 - 11:43

La 23éme édition du salon international du livre d’Alger, débutera le 29 octobre 2018, a annoncé le ministre de la culture Azzedine Mihoubi via son compte twitter.

Pour cette édition, c’est la Chine qui sera à l’honneur: « La république populaire de Chine sera l’invite d’honneur à l’occasion du 60e anniversaire des relations historiques entre l’Algérie et la Chine » Précise le ministre de la culture.

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Tlemcen: Aïn Fettah croule sous les ordures

Sun, 09/02/2018 - 11:42

Khaled Boumediene

La visite d’inspection et de travail effectuée, jeudi dernier, par le wali de Tlemcen, Benyaiche Ali, dans la daïra de Fellaoucène a dévoilé l’aspect désagréable et le visage peu reluisant de l’agglomération d’Aïn Fettah, blottie au pied des grands monts de Trara, à une vingtaine de kilomètres de Nedroma.

Dès son arrivée sur les lieux, le premier responsable de l’exécutif est exaspéré par l’insalubrité criarde qui saute aux yeux de n’importe quel visiteur qui arpente les ruelles de cette cité de plus de 6.000 âmes. Des ordures entassées devant des maisons individuelles, des tas de déchets, des ruissellements d’eaux usées, des sacs en plastique de toutes les couleurs composent le triste paysage de la majorité des rues de ce village et portent un coup fatal à la santé publique et à l’environnement en général. Cette situation catastrophique a été fortement décriée par M. Benyaiche.

«Je n’ai jamais vu une agglomération aussi sale et étranglée par les déchets ! Je ne comprends pas pourquoi personne ne s’est inquiété de cette situation. Où sont les élus, que font les responsables ? Pourquoi tout cet abandon, il faut nettoyer tous les points noirs de la ville ! Organisez des campagnes de nettoyage, impliquez tout le monde, les élus, les citoyens et les agents de nettoiement ! Il faut également changer les mauvais réflexes et l’incivisme des habitants pour éviter de telles carences qui sévissent à Aïn Fettah ! », s’est exclamé le wali à l’adresse du président d’APC d’Aïn Fettah, qui n’a point trouvé d’arguments à faire valoir. Il faut rappeler que durant la décennie noire du terrorisme, Aïn Fettah a souffert le martyre à cause des incursions répétitives des groupes armés qui prenaient les immenses forêts de Fellaoucène comme base de repli. En 1994, le parc de la commune d’Aïn Fettah a été complètement incendié et plusieurs personnes ont été froidement assassinées devant leurs proches.

A Fellaoucène (10 kilomètres d’Aïn Fettah), le wali qui a procédé à l’inauguration d’un nouveau service de maternité au sein de la polyclinique et visité les projets de réalisation de 50 et 100 logements sociaux, une salle omnisports, une école primaire et 04 logements d’astreinte pour la police, a écouté les réclamations des habitants portant sur les fortes nuisances dues aux fumées insupportables des déchets brûlés de la décharge publique de Mahrez.

Cette problématique d’incinération des déchets touche aussi la population d’Aïn Fettah. Le premier chef de l’exécutif a instruit les responsables concernés à exploiter la décharge implantée à Hammam Boughrara. Il a promis dans ce cadre de doter les deux communes de camions bennes à ordures ménagères et de réhabiliter le tronçon routier du chemin de wilaya n°105 reliant Sidi Ali Benzemra. M. Benyaiche a clôturé sa visite par la commune d’Aïn Kébira où il s’est enquis des travaux du projet des 30 logements sociaux à Heumri Benamar et visité une aire de repos à El Hashas et une école coranique à Zaouiat Sidi Bénamar.

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Hassi Bounif: 15.496 bouteilles de boissons alcoolisées saisies

Sun, 09/02/2018 - 11:41

 K. Assia

Un important lot de boissons alcoolisées soit 15.496 bouteilles de différentes marques, a été saisie par les gendarmes d’Oran. C’est sur la base d’informations parvenues aux gendarmes de Hassi Bounif et faisant état de la commercialisation, sans autorisation, dans une maison, de boissons alcoolisées qu’une enquête a été ouverte. Les investigations ont permis de déterminer l’emplacement de l’habitation sachant que le propriétaire profitait des constructions illicites pour s’adonner à cette activité. Dans ce registre, les gendarmes de Benfreha, de Boufatis appuyés par les unités d’intervention de Béthioua ont procédé à une perquisition ordonnée par la procureur, dans l’habitation en question, et découvert le lot suscité. Le propriétaire de cette marchandise illicite reste inconnu et les recherches se poursuivent.

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Chlef: De nouvelles mesures pour améliorer la circulation

Sun, 09/02/2018 - 11:28

 Bencherki Otsmane

Avec la fin des vacances et la rentrée sociale en ce début de mois de septembre, des embouteillages sont constatés à l’entrée de la ville notamment au niveau des trois accès à Chlef. En effet, les automobilistes venant de l’ouest de la wilaya (Boukadir, Oued Sly, etc.), de l’Est (Oued Fodda, Karimia, etc.) ou du Sud (Ténès, Abou El Hassan, La Marsa, etc.) éprouvent des difficultés pour accéder au centre-ville en raison des embouteillages relevés particulièrement aux heures de pointe. Ainsi pour améliorer la circulation, les services de la wilaya ont introduit récemment de nouvelles mesures telles que l’installation de feux tricolores aux carrefours les plus fréquentés à l’image de celui de Hay Houria. Pour contourner la ville par le côté ouest, une trémie qui reliera la RN4 au nouveau quartier El Bradai est en voie de construction.

La nouvelle organisation du plan de circulation du chef-lieu de wilaya prévoit également de nouveaux pont et de trémies. Il s’agit du dédoublement du pont de Hay Meddahi (Zeboudj). Concernant le point noir que constitue le marché populaire de Hay Bensouna, nous avons appris que des propositions ont été faites. En ce qui concerne les 122 bus affectés à l’université qui font quotidiennement la navette entre Ouled Farès et Chlef sur une distance de 15 km, il a été proposé aux responsables de l’ONOU (œuvres universitaires) un nouvel itinéraire qui permettra de décongestionner le centre-ville. Toutefois les usagers de la route demeurent sceptiques et se demandent si cette nouvelle organisation va leur permettre de sentir un soulagement du trafic routier. Quoi qu’il en soit, la réponse à cette question interviendra dans un avenir très proche, après une période transitoire d’adaptation.

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Aïn El Turck: De gros cordages en guise de «ralentisseurs» envahissent les rues

Sun, 09/02/2018 - 11:26

Rachid Boutlélis

Le phénomène des cordages de petits et de gros calibres, fixés sur la chaussée et installés en travers de la route, a pris des proportions démesurées, dans la contrée d’Aïn El Turck. Destinés, initialement, à amarrer les bateaux, ces cordages, sont désormais utilisés, par les riverains, en guise de ‘ralentisseurs’ dans pratiquement toutes les rues des quartiers, essaimés à travers les quatre municipalités que compte cette contrée, selon le constat établi sur le terrain par «Le Quotidien d’Oran». Cette infraction, qui met à rude épreuve les plus solides des châssis des véhicules, allant jusqu’à les détériorer, irrite, grandement, les automobilistes, notamment les non avertis. Comble de l’ironie, cette transgression, constituant une piètre spécificité pour cette région côtière, s’est carrément intégrée dans les paysages et ce, en l’absence d’une opération d’assainissement à même d’endiguer ce phénomène. Il importe de signaler que ces cordages, qui sont solidement fixés avec des boulons sur les chaussées et suscitent l’ire des usagers, ont causé d’importants dégâts aux voitures.

Des altercations ont même opposé des automobilistes, outrés au plus haut point, à des riverains suspectés d’être les auteurs de cette infraction. «Le cardan de ma voiture a été détérioré. Je dois, obligatoirement, le changer mais cependant, qui donc va me dédommager maintenant ? A qui dois-j m’adresser ? Je ne comprends pas cette innommable anarchie», s’est insurgé un automobiliste dépité, originaire de la région du centre du pays, de passage dans cette contrée et dont la voiture a buté sur un gros cordage, dans une rue de la municipalité d’Aïn El Turck. Notre interlocuteur a, encore, renchéri avec colère «n’y a-t-il donc personne pour arrêter ce massacre à ciel ouvert ?». Il est utile de noter, dans ce même contexte, que cette transgression est déplorablement majorée par l’installation, par des riverains également, de ‘ralentisseurs’ hors normes, construits avec du béton en travers les chaussées, qui sont en plus tapissées de nids de poules et autres crevasses béantes. Notons, encore, que ces infractions, qui se sont généralisé avec le temps à la faveur de l’indifférence manifeste des uns et des autres, sont répertoriées dans presque toutes les rues des quatre municipalités de la contrée d’Aïn El Turck. Notons, aussi, que cette infraction est lamentablement additionnée au déplorable état des chaussées qui deviennent carrément impraticables pendant la saison des pluies. Un phénomène dans un phénomène qui suscite le courroux des automobilistes et a été à l’origine de plusieurs accidents de la circulation, dans cette contrée, qui a été désignée comme zone tampon pour les Jeux méditerranéens qu’organisera la capitale de l’Ouest en 2021.

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Chlef: Le grand lifting continue

Sun, 09/02/2018 - 11:25

Bencherki Otsmane

Les services de la wilaya ont engagé depuis plus d’une année des opérations de nettoyage hebdomadaire pour débarrasser de nombreux sites de leurs ordures. Lancée le 1er septembre 2017 par l’actuel wali M. Abdallah Benmansour, ce lifting visait à rendre la ville plus agréable à vivre et surtout dans un environnement sain et propre. Pour cela, le wali a impliqué tous les chefs de son exécutif, qui ont supervisé l’opération de nettoyage et d’enlèvement d’ordure, chacun ayant sous sa responsabilité un site bien déterminé et cela chaque journée de samedi. C’est le cas de la journée du samedi dernier où une opération d’envergure a touché l’ensemble des quartiers de la commune de Chlef. Le dernier bilan fait état de plus de 6 tonnes de détritus enlevées. Pour cela, des moyens matériels ont été renforcés suivis de campagnes de sensibilisation destinées aux citoyens de la ville de Chlef. Aujourd’hui, les habitants ont vu leur ville se moderniser, s’embellir et aussi être sécurisée.

Par ailleurs, il est important de souligner que quelques fois l’incivisme de certains citoyens nuit à la gestion des déchets ménagers. A titre d’exemple les bacs à ordures installés au niveau de certains quartiers ont fait l’objet de destruction quand ce n’est pas le vol qui est constaté. Il y a également la sortie des ordures à tout moment de la journée alors que le passage des camions s’effectue à des horaires bien précis pour chaque quartier. Toutefois, malgré ces «carences», il faut reconnaître que la ville de Chlef respire mieux. A ce sujet, le wali dira: «Notre action ne sera pas limitée dans le temps car nous continuerons à œuvrer pour un environnement propre et sain». M. Abdallah Benmansour a également invité la population à «s’animer de bons gestes et d’inciter particulièrement les nouvelles générations d’écoliers et de jeunes de prendre conscience des dangers qui guettent l’environnement notamment ceux découlant du comportement humain et de la mauvaise gestion des ressources naturelles».

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Quel rôle pour les mosquées ?

Sat, 09/01/2018 - 22:33

Au pays des 200 mille mosquées, du saint coran dans les bus, dans les taxis, dans les sonneries des portables, dans les administrations et autres, des agriculteurs algériens et musulmans irriguent leurs champs avec des eaux d’égouts pour empoisonner des musulmans et des kidnappeurs violent des enfants et des criminels noient le pays par la drogue emportée même dans des conteneurs, de la viande destinée  pour la consommation durant le mois sacré de ramadhan !  Faut-il encore une fatwa du cheikh ‘’Chems Eddine’’ pour interdire aux agriculteurs d’irriguer leurs champs avec des eaux d’égouts, ou une campagne sur les réseaux sociaux à l’image de ‘’ khaliha takhemadj’’ pour obliger ses faux fellahs aux crédits bancaires à se repentir de leur grand péché !
Bien que l’autorité religieuse peu absente, occupée par les arnaques des fausses agences de voyages qui ont arnaqué même des hadjis en quête d’un pèlerinage aux lieux saints de l’islam, son partenaire, le chef  du Syndicat des Imams, Cheikh Hadjimi, a volé au secours du ministre de la santé pour lui décrire un médicament fort capable d’abattre ce cholera  . Le nouveau Epidémiologue à la barbe et au Kamis a bien trouvé la solution : combattre le Choléra avec 7 dattes, eau bénite et Rokia !
Pour cet Imam, le Choléra est une ‘’baraka’’ de Dieu, car Dieu quand il aime un peuple, il l’accable”. Un prêche qui encourage encore les fellahs d’irriguer leurs terres avec les eaux usées et ils seront remerciés pour leur largesse. Ainsi l’Algérie de ‘’Chemssou’’, D’Hassan Aribi et cheikh Belahmar bat son plein avec la Bédouinisation, le Choléra, la rougeole, la fièvre aphteuse et toutes les maladies du Moyen-âge.
C’est dans le monde de ces 20 mille mosquées, qu’un certain Kamel Bouchi a investi son argent sale pour blanchir son CV et se fait un bon statut religieux de ‘’Si El Hadj El Bouchi ‘’. Le terrain est gagné très vite puisque dans la religion il y a aussi des petits Bouchis, tel que l’imam de Palestro coincé dans l’affaire de la coke et en sa possession 3 milliards de cts, en guise de ‘’Ziara’’ de l’Escobar d’Alger Kamel Bouchi !
L’Algérie qui héberge le plus grand nombre de mosquées dans le monde islamique n’a pas pu transformer ses lieux de culte en un appareil pour combattre la drogue, la corruption, les crimes et les rapts d’enfants et les tricheries. Avec 200 mille  mosquées, c’est 200 algériens par mosquée sans citer les ‘’medersa’’ et les salles de prières, mais malgré ce nombre important, ces mosquées restent immobiles devant le nombre grandissant d’algériens qui transgressent sans pudeur les principes de l’Islam, et qui causent le désordre dans la société, du plus petit mal aux plus grandes atrocités.
Un voyou musulman ça n’existe pas ! On ne peut être voyou, corrompu, tueur, tricheur, kidnappeur et aussi musulman ! Et c’est le comportement qui fait la différence entre le bon musulman et le mauvais musulman.
La mosquée ce n’est pas seulement un lieu de prière, c’est aussi une école et les imams sont des enseignants. En Islam, il existe une éducation, une orientation et un accompagnement pour ramener cette brebis égarée au troupeau ! Et c’est le rôle principal de l’imam, du voisinage, de la société civile et des parents ! Mais hélas, ils sont tous démissionnaires …

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Man United : Mourinho répond à Jurgen Klopp

Sat, 09/01/2018 - 22:27

L’entraîneur allemand de Liverpool avait déclaré « ne pas être un grand entraîneur » ce vendredi. Le portugais, visiblement encore très inspiré, a tenu à répondre au coach des Reds :

« Je suis le manager de l’un des plus grands clubs du monde, mais je suis également l’un des plus grands managers du monde. Klopp dit ça car il n’a jamais rien gagné au niveau international. C’est son problème. Je vous dis ce que je pense, je dis ce que je ressens. Jurgen vous dit ce qu’il veut. Et je vous réponds à la question, c’est facile. Je répète qu’il y a deux ans, nous avons connu une saison fantastique en remportant la Ligue Europa. Nous avons gagné la Ligue Europa parce que c’était notre niveau. Nous sommes la dernière équipe en Angleterre à avoir remporté un trophée européen » a ainsi déclaré José Mourinho dans des propos relayés par Metro et Le10sport.

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