Algérie 360

La nouvelle production du Théâtre régional  Kateb-Yacine de Tizi-Ouzou Juba II sera dévoilée au public le 27 septembre, a annoncé mardi le responsable de cet établissement culturel.
Ecrite et mise en scène par Lyes Mokrab, cette nouvelle production aborde  la vie de ce roi berbère, sa détention à Rome, son mariage avec Cléopâtre Séléné (fille de Cléopâtre et Marc Antoine), son règne et, surtout, sa  passion pour les lettres et les arts, a indiqué à l’APS Farid Mahiout.
Cette pièce sera interprétée en tamazight par 12 comédiens, dont Fellag  Malek dans le rôle de Juba II et Makhmoukhen Djedjiga, celui de Séléné.  Une narratrice est aussi introduite dans ce spectacle qui accorde, en outre,  une place à la danse qui sera exécutée par quatre danseurs, a-t-on ajouté de même source. Juba II est la deuxième pièce produite par le Théâtre Kateb-Yacine en  2018 après Célibattantes, dont le texte et la mise en scène sont signés  Houche Abderahmane et qui a été présentée au public le 8 août dernier.
Une troisième pièce sera mise en chantier en octobre prochain. Il s’agit  d’une pièce pour enfants intitulée «Aqchich Amenchouf», a indiqué M. Mahiout

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Sabrina Belouaar est une jeune artiste franco-algérienne, au parcours multiple. Récompensée en 2016, du prix Art-o-rama à Marseille, elle expose ses créations à la galerie Madragoa à Lisbonne en 2017, puis à la biennale de Sharjah (Emirats arabes unis) et au Liban une année plus tard. En 2018, Sabrina expose une œuvre au studio 13/17, du centre Georges-Pompidou, sous l’égide du célèbre Mohamed Bourouissa. Pour sa première exposition en Algérie, elle choisit le thème des marchandes d’or de rue — «El Dellalate».  L’expo est ouverte à la galerie Al Marhoon (Saïd Hamdine, Alger), fondée en  2015 et qui œuvre dans la promotion de l’art moderne et contemporain algérien, en organisant plusieurs expositions permanentes ou temporaires.
Le Soir d’Algérie : Pourquoi avoir choisi ces représentantes d’un métier ancestral, aujourd’hui considéré désuet ?
Sabrina Belouaar : A chacun de mes séjours en Algérie durant mon enfance, j’étais marquée par les recommandations de ma mère, qui me demandait d’éviter de les fixer, sans plus d’explications. Cela m’a toujours intrigué, je ne comprenais pas où était le mal ?  En grandissant, je m’y suis intéressée de près, et j’ai découvert le monde «fabuleux» de ces femmes, au final business women. En cherchant un peu plus, je découvre que derrière cette façade «dorée», c’était des femmes au parcours difficile, souvent veuves, divorcées, en charge d’une famille nombreuse… Et pour s’en sortir, elles ont commencé à vendre leur dote. Elles créent donc un marché souterrain, régi par des femmes, dans un pays musulman. Tombées là-dedans, certaines m’ont dit qu’elles étaient devenues addictes à leur  propre  métier. Elles ont pris goût à cette vie. J’ai trouvé ça fantastique.

Vous semblez  avoir passé pas mal de temps avec elles. Comment s’est passée votre  immersion ? Se sont-elles montrées ouvertes à ta curiosité ?
Très très ouvertes ! Elles parlaient facilement, avec une grande aisance, et une détermination qui m’ont surprise. Certaines m’ont même demandé de prendre des selfies ensemble.

Et pour les photographies, vous avez   pu en prendre facilement ? Est-ce qu’elles ont compris le sens de votre  démarche ? 
J’ai pu facilement prendre des photographies de leurs mains, la seule condition étant l’anonymat. Quand je me présentais en tant qu’artiste, elles comprenaient journaliste, mais en réalité ce qui leur importait le plus, était mon statut civile, et donc quelques part ma vie en tant que femme. Elles me posaient beaucoup de questions sur mon éventuel époux… J’ai compris que pour faciliter l’échange, et donc les confidences, j’ai donné un peu de moi. Nous avons échangé ; de femmes à femme.

Et pour la sécurité, ces femmes vendent des bijoux en tous genres, comment se protègent-elles des agresseurs ? 
Il faut savoir que ces femmes ont perdu leur soutien masculin, elles ont dû se trouver des protecteurs de rechange, moyennant finance. Ces protecteurs ont pris en quelque sorte le relais, se transformant eux-mêmes en «dellalate».

Et la question qu’on se pose tous, est-ce que c’est vraiment de l’or ? 
Ce sont des bijoux annoncés vrais (18 K). Je ne saurai dire s’ils sont vrais ou faux. Mais ce qui est sûr, c’est que vous y trouverez toutes sortes de merveilles kitch… Du Chanel, en passant par Bvlgari… Tout y est !

Quel est le message que vous avez voulu transmettre  à travers cette expo ?
J’ai voulu révéler ces femmes, et leur travail. Pour justement effacer le cliché et les préjugés, que l’on m’a également transmis étant jeune. Pour moi, ce sont des femmes fortes, qui, après galère sur galère, ont tenté de s’en sortir avec ce qu’elles avaient. Ces femmes sont toutes les femmes. Tout le monde peut se reconnaître à travers ce genre de parcours, et pourtant ce n’est pas ce qui saute aux yeux, quand, nous, simples passants, les croisons.

Pour finir, est-ce que cette exposition vous a donné d’autres idées pour la suite, et une autre raison de revenir en Algérie ?
Ce pays est tellement riche, il est très inspirant. En tant qu’artiste, de simples objets du quotidien, tels que les paraboles, ou le linge pendu aux fenêtres sont des sujets qui me donnent envie de me réapproprier ces codes, dans de prochaines installations.
Entretien réalisé par
Mira Gacem et Kader B.

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Préparation : 10 minutes. Cuisson : 25 minutes.
Ingrédients et quantités: 2 aubergines, 3 c. à s. d’huile d’olive, 1 oignon, 1 gousse d’ail, 250 g de tomates concassées en boite, 1 c. à s. de concentré de tomates, 300 g de mozzarella, sel et poivre, quelques feuilles de basilic
Étape 1
– Couper les aubergines en deux dans la longueur.
– Couper les tomates en petits dés.
– Couper la mozzarella en fines tranches.

Étape 2
Mettre 2 c. à s. d’huile d’olive sur les aubergines et les mettre dans un plat adapté au four (côté coupé vers le haut).
Faire cuire 20 minutes dans le four préchauffé à 200°C.

Étape 3
Faire chauffer le reste de l’huile d’olive dans une poêle.
Faire revenir l’oignon et l’ail.
Ajouter les tomates et le concentré de tomate.
Laisser mijoter 5 min.

Étape 4
Sortir les aubergines du four.
Ajouter la sauce et les tranches de mozza sur les aubergines.
Saler et poivrer.

Étape 5
Remettre le tout à gratiner pendant 5 minutes.
Décorer de basilic et c’est prêt !

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2 blancs de poulet, 1 kg de pommes de terre, 1 oignon, 1 œuf, 1 petit verre de lait, 2 gousses d’ail, 1 bouquet de persil haché, 2 cuillerées à soupe de crème fraîche, 2 cuillerées à soupe de chapelure, 80 g de beurre, bouillon de volaille, 40 g de fromage râpé, 1 pincée de muscade, sel, poivre

Épluchez les pommes de terre, lavez-les et coupez-les en gros morceaux. Mettez-les dans une casserole d’eau froide, salez et laissez cuire 25 minutes.
Egouttez-les, passez-les au moulin à légumes afin d’obtenir une purée, ajoutez le lait, l’œuf, la crème, le persil et la muscade, salez et poivrez, bien mélanger et laissez cuire à feu doux jusqu’à ce que la purée soit onctueuse.
Hachez finement le blanc de poulet, pelez l’oignon et l’ail, émincez-les. Dans une poêle, faites revenir les oignons émincés et l’ail avec le beurre fondu jusqu’à coloration, ajoutez le hachis de poulet et faites colorer sur feu doux, salez et poivrez, couvrez de bouillon de volaille et laissez cuire pendant 30 minutes.
Dans un plat légèrement beurré, déposez une couche de purée de pommes de terre puis une couche de hachis de poulet, salez et poivrez, terminez avec une couche de purée, saupoudrez de chapelure et de fromage râpé et enfournez pendant 40 minutes. Servir chaud.

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Ce énième drame dont le réseau routier est le théâtre et principalement le tronçon de l’autoroute de 104 km qui traverse le territoire de la wilaya s’est produit mardi en fin d’après-midi vers 18h30 dans la descente vers Khemis Miliana, au niveau du lieudit Sidi Abed sur le territoire de la commune de Aïn Soltane.
Là, un camion semi-remorque, transportant un conteneur, roulant vers l’ouest, à grande vitesse, qui semble ne pas connaître l’itinéraire et ses dangers, dit-on, n’avait pas eu connaissance à l’avance qu’il allait déboucher sur un chantier, ce dernier n’ayant pas été signalé à l’avance, parce que, la seule plaque de signalisation installée était accolée à l’entrée du chantier où une entreprise chinoise s’activait à la réalisation d’un ouvrage d’art au milieu de l’axe autoroutier pour le passage de voies ferrées Est-Ouest.
A propos de signalisation, les services des travaux publics questionnés à ce sujet affirment que le chantier est pré-signalé 1,4 km en amont et en aval mais que les usagers font fi des plaques de limitation de vitesses. Pour confirmer ces dépassements, il nous a été présenté des photos indiquant que des automobilistes se permettent des vitesses de 131 km/h alors que la vitesse autorisée ne doit pas dépasser les 80 km /h. De plus, toujours selon les responsables des travaux publics, les freins du camion avaient lâché bien avant qu’il n’arrive sur le chantier et en plus, il était en surcharge puisque après l’accident, pour dégager la route, une grue capable de soulever une charge de 25 tonnes n’avait pas pu le soulever. Que contenait-il ? On n’en sait rien.
Le gros engin dévalait la pente et ce n’est qu’en arrivant à l’entrée du chantier, surpris,  après un virage, qu’il aurait tenté de freiner, mais trop tard, le poids lourd a percuté 2 véhicules légers, une Picanto, immatriculée 16 et une Atos, immatriculée dans la wilaya de Aïn Defla. Le gros camion déséquilibré sous le choc chancelle et le conteneur se détache, endommage les 2 véhicules, pour s’écraser sur un véhicule utilitaire, un Master, qui s’enflamme comme une torche et incendiant à son tour le poids lourd.
Quand les équipes de la Protection civile arrivent sur les lieux du sinistre, ils dégagèrent de l’Atos le conducteur, Mohammed Hamdaoui, 37 ans mort sur le coup et son passager blessé.
De la Picanto, le conducteur blessé lui aussi est dégagé. Le conducteur du poids lourd, bien que blessé aussi est arrivé à s’extraire de sa cabine en feu.
Cependant, le conducteur du Master, Mounir Boulakez, 38 ans, il a été extrait carbonisé.
Les victimes, 2 morts et 3 blessés ont été évacués sur l’hôpital de Khemis Miliana, où les corps des 2 défunts ont été déposés au niveau de la morgue. Sur l’autoroute, l’accident d’une part, les travaux en cours d’autre part, ont provoqué des dizaines de km de bouchon.
La protection civile est intervenu avec
4 camions d’incendie, 4 ambulances et 25 agents et officiers au côté des éléments de la Gendarmerie nationale des compagnies de Khemis Miliana et de Djendel avec le colonel commandant du Groupement de Aïn Defla qui a supervisé l’opération. La circulation, bloquée pendant près de 4 heures sur l’axe routier n’a pu être rétablie que vers 21h.
On signalera que lundi dernier dans la matinée, au même endroit, un semi-remorque chargé de 20 tonnes transportant des bobines géantes d’acier a percuté 2 véhicules faisant
4 blessés.
On signalera aussi que sur le tronçon d’autoroute situé entre El Hoceïnia et Khemis Miliana, les lieux-dits, Ouled El Mehdi sont devenus des lieux où périssent de nombreux usagers de la route, lieux où les accidents ne se comptent plus. Après coup, lendemain de ce terrible accident, sur instruction du wali, une réunion regroupant tous les cadres des parties concernées (Direction des transports, travaux publics, officiers supérieurs de la gendarmerie), s’est tenue hier en milieu de journée sous l’autorité de M. Khelifaoui, DG de l’ADA (Agence des autoroutes) à Khemis Miliana et a débattu d’une stratégie coordonnée pour adopter des mesures techniques à mettre en œuvre pour combler les déficits et tenter non pas d’éradiquer les accidents, mission impossible mais au moins endiguer l’hécatombe et infléchir la courbe du nombre d’accidents.
Un fait certain constaté sur place et en plusieurs endroits, c’est l’inconscience des conducteurs qui se permettent des excès de vitesse, très dangereux et des manières de conduire affolantes.
Manque de sensibilisation ?
Inconséquence des conducteurs ou encore et sûrement l’insuffisance des mesures répressives dissuasives pour rappeler aux criminels de la route que le code de la circulation doit être absolument respecté, parce qu’un mort est toujours un mort de trop.
Karim O.

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Coup de filet de la police judiciaire de la Sûreté de daïra de Hussein Dey, relevant de la Sûreté de wilaya d’Alger.
Ainsi après une semaine d’investigations et d’intenses recherches, il a été procédé au démantèlement d’un important réseau de trafic de drogue activant dans l’axe Tlemcen-Alger-Tipasa. Bilan : dix personnes arrêtées, 40 kg de résine de cannabis, 4 millions de dinars et quatre véhicules haut de gamme saisis.
Agissant sur la base d’informations, les enquêteurs de la police judiciaire ont, dans un premier temps, interpellé et arrêté deux personnes résidant dans la localité de Hussein Dey à Alger.  Les deux personnes dont l’âge ne dépasse pas la trentaine avaient en leur possession cinq kg de résine de cannabis. Selon le commissaire de police Seghir Omar, la quantité de drogue saisie à Alger était destinée pour la revente au détail. Les informations exploitées suite à cette arrestation ont permis aux éléments de la police judiciaire, ajoute M. Seghir, «d’élargir leurs compétences d’enquêtes judiciaires jusqu’aux wilayas de Tipasa et de Tlemcen».  Au niveau de ces deux wilayas, les enquêteurs ont procédé à l’arrestation de huit personnes, dont le «fournisseur» est un récidiviste résidant à Maghnia dans la wilaya de Tlemcen. Au total, 29 kg de résine de cannabis, 4 millions de dinars, des armes blanches et quatre véhicules, dont deux haut de gamme ont été saisis par les services de police lors de leurs différentes opérations.
Abder Bettache

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La police judiciaire de la Sûreté de wilaya de Béjaïa, spécialisée dans la lutte contre la criminalité sous toutes ses formes, a mis la main ces derniers jours sur un dangereux réseau de malfaiteurs spécialisé dans le vol de commerces et de domiciles au niveau de la ville de Béjaïa.
Le réseau de malfaiteurs qui est constitué de dix individus âgés de 19 à 45 ans est impliqué dans 28 affaires de cambriolage d’habitations et de commerces situés dans le quartier Tala Wariane et les cités environnantes selon un communiqué de la cellule de communication de la Sûreté de wilaya de Béjaïa. L’enquête menée par les éléments de la police judiciaire, suite aux nombreuses plaintes déposées par des victimes, a amené les enquêteurs à effectuer une étroite surveillance des principaux suspects connus pour des affaires similaires de cambriolage dans des habitations et commerces à Béjaïa avant de procéder à l’arrestation de deux membres du réseau en question. Il s’agit de B. Y., âgé de 21 ans et A. Dj., connu sous le sobriquet de Massi habitant la ville de Béjaïa.
Les informations recueillies après interrogatoire, suite à l’arrestation des deux malfrats,  a permis l’identification et l’interpellation du reste des membres du groupe de voleurs au nombre de 10 personnes. Ces derniers épiaient leurs voisins et profitaient de l’absence de leurs victimes pour commettre leur sale besogne.
Lors d’une perquisition des malfaiteurs, habitant aussi le quartier Tala Wariane, les enquêteurs de la police judiciaire ont récupéré une majorité du matériel volé, précise-t-on dans le communiqué de la police. Présentés devant le parquet de Béjaïa, les malfrats ont été placés sous mandat de dépôt en attendant leur comparution devant le juge.
A. Kersani

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Cette atrocité a eu lieu à Boukadir, ville située à 30 km à l’ouest de Chlef. Trois individus en manque d’atrocité à commettre se sont pris à un malade mental et l’ont, de concert, sauvagement agressé physiquement, dans le courant de la semaine en cours. Ne se contentant pas d’avoir commis un acte de sadisme sur un innocent, pour se faire plaisir et s’en vanter, les agresseurs ont filmé la scène et l’ont diffusée sur les réseaux sociaux.
Ayant été informés, les éléments de la police judiciaire de la Sûreté de daïra de Boukadir ont ouvert une enquête et mené des investigations qui ont débouché sur l’interpellation et l’arrestation des trois malfrats mis en cause. Placés en garde à vue pour complément d’enquête, les trois individus seront déférés au parquet de la daïra de Boukadir.
Inutile de dire que cet acte a soulevé colère et indignation au sein des citoyens de la commune et de toute la daïra.
K. O.

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La brigade de la lutte contre les stupéfiants relevant de la  Sûreté de wilaya a saisi 380 grammes de drogue et 60 comprimés psychotropes durant le mois d’août dernier, a-t-on appris auprès de  la responsable de la cellule de communication de la Sûreté de wilaya de Jijel, la commissaire Aziza Djerourou hier mercredi. La même responsable a ajouté que  cette brigade  a arrêté, au cours de cette opération, 10 personnes accusées de trafic de drogue dont l’âge varie entre 19 et 55 ans.
Les mis en cause ont été présentés devant les instances judiciaires dont trois ont été placés en détention alors que  deux autres ont été libérés, a souligné la  responsable. Sur un autre plan, la police de l’urbanisme et de la protection de l’environnment  relevant du service de l’ordre public a enregistré, durant la même période, 12 infractions relatives à la construction sans permis de construire.
Bouhali Mohammed Cherif.

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Le ministre de l’Agriculture, Abdelkader Bouazghi, a affirmé que l’Algérie a pu éradiquer la fièvre aphteuse qui a sévi dernièrement. A rappeler que cette maladie s’est propagée dans 18 wilayas du pays.

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Davantage habitués aux flots déchaînés de la Ligue des champions, Chelsea et Arsenal se jettent dans le petit bain de la Ligue Europa, aujourd’hui, avec l’ambition de ramener la coupe en Angleterre.

Marseille tentera de son côté de rééditer le parcours qui l’a mené l’an dernier jusqu’en finale, perdue sèchement (0-3) contre l’Atlético Madrid. Le club français reçoit l’Eintracht Francfort (16h55 GMT) dans un Vélodrome à huis clos, une décision de l’UEFA liée à divers incidents la saison dernière. A la même heure, le favori de l’édition 2018/2019, Chelsea, sera sur le terrain des Grecs du PAOK pour son entrée en lice dans une compétition qu’il a gagnée en 2013. A défaut de Ligue des champions, le club londonien aura forcément de hautes ambitions en Ligue Europa, où il fait figure d’épouvantail avec ses champions du monde français N’Golo Kanté et Olivier Giroud, le Brésilien David Luiz et le Belge Eden Hazard. Outre le PAOK, Chelsea affrontera les Hongrois de Vidi (ex-Videoton) et les Biélorusses du BATE Borisov dans un groupe L très abordable. Sa présence en seizièmes de finale en février fait peu de doute, tout comme celle d’Arsenal. L’équipe dirigée par Unai Emery, successeur d’Arsène Wenger sur le banc des Gunners, n’a pas non plus hérité d’un groupe très relevé, mis à part le Sporting Portugal.

Arsenal reçoit d’abord les Ukrainiens du FC Vorskla, jeudi (19h GMT) à l’Emirates stadium, avant de se rendre début octobre à Bakou pour défier le Qarabag FK. La capitale de l’Azerbaïdjan sera d’ailleurs l’hôte de la finale de la Ligue Europa, le 29 mai 2019. Dans le club des favoris, il y a également une petite place pour l’AC Milan de Gennaro Gattuso, l’entraîneur qui a fait venir cet été l’attaquant argentin Gonzalo Higuain, barré à la Juventus Turin par l’arrivée de Cristiano Ronaldo. Les Rossoneri, absents de toute compétition européenne depuis la fin de saison 2013/2014, disputent leur premier match de groupe jeudi (19h GMT) sur la pelouse du F91 Dudelange, premier club luxembourgeois qualifié en Coupe d’Europe. L’opposition sera ensuite plus relevée avec les Grecs de l’Olympiakos et les Espagnols du Betis.

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Les gars de la Soummam s’apprêtent à effectuer un périlleux déplacement à Bordj-Bou-Arréridj demain pour affronter l’équipe locale du CABBA au stade du 20-Août pour le compte de la septième journée du championnat de Ligue 1 Mobilis.
Les Crabes qui n’ont pas réussi après quatre matchs à maintenir leur invincibilité en concédant une défaite à domicile devant les Sang et Or de Hussein Dey samedi passé compte se ressaisir contre les camarades de Chaouchi. C’est en tout cas avec cette ferme détermination de réaliser le meilleur résultat possible de ce voyage à Bordj Bou-Arréridj que les hommes de Alain Michel ont repris le chemin des entraînements lundi. Même si la mission est très compliquée devant un adversaire qui foulera la pelouse avec un mental gonflé à bloc après son dernier succès ramené du Sud devant une coriace formation de la JS Saoura qui faut-il le rappeler n’a pas perdu depuis longtemps sur son terrain, les kabyles de la Soummam ne semblent nullement impressionnés. «On a raté le coche samedi devant notre public face au NAHD mais ce n’est pas la fin du monde, il n’y a pas le feu à la maison.

Notre groupe a été remanié au trois tiers de l’effectif et la cohésion viendra avec un peu plus de matchs dans les jambes. Le championnat ne fait commencer et le groupe est décidé à faire oublier ce faux pas chez nous dès ce vendredi contre la CABBA. On s’est préparé avec rigueur et tout le sérieux possible pour réaliser l’objectif de se racheter et redonner le sourire à notre peuple», a déclaré devant la presse Merouane Dehar qui revient d’une blessure pour être d’attaque ce vendredi contre le Ahly. Alain Michel qui a sèchement sermonné ses joueurs à la fin de la rencontre contre le NAHD, s’est longuement entretenu avec son groupe à la reprise du travail pour leur demander de se ressaisir contre le onze des Bibans. «Même si on a effectué un travail de qualité durant la dernière trêve, il n’en demeure pas moins qu’un effort supplémentaire est nécessaire afin d’améliorer le niveau de préparation de mon équipe. Les joueurs sont tenus d’adhérer à ma démarche pour progresser à tous les niveaux dans le but de réaliser les meilleurs résultats à l’avenir. Nous avons une occasion de se racheter face au CABBA et c’est le moment pour que tout le monde se remette au boulot. Il est impératif de réagir ce vendredi et la balle est dans le camp des joueurs», a souligné de son côté le coach des Vert et Noir, Alain Michel.

Le driver mobiste à mis le paquet pour essayer d’apporter les réglages et corriger les lacunes décelées le week-end passé face au NAHD dans une totale sérénité et les joueurs affichaient une nette envie de se racheter aux yeux du peuple Vert et Noir dans la journée de mardi, le coach Alain Michel a convoqué ses joueurs pour deux séances de travail. La première séance a été consacrée au volet physique alors que dans l’après-midi les joueurs se sont mis au travail tactico-technique La direction du Mob, pour remobiliser son équipe, a promis une forte récompense en cas de victoire.
A. Kersani

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Les progrès quantitatifs et qualitatifs réussis ces dernières années par les apiculteurs de la wilaya d’Alger sont exceptionnels, en témoigne l’intérêt et le succès suscités par les foires du miel, devenues une tradition bien établie, organisées ici et là. Pour plus d’informations concernant l’immense engouement pour le miel algérien 100% naturel (bio), nous avons jugé utile et nécessaire de poser quelques questions à M. Mohamed Bouteldja, le nouveau président de l’Association (qui remplace Redouane Sellidj, biologiste et apiculteur professionnel également spécialiste de l’apithérapie et du traitement par le venin d’abeilles). L’entretien mérite réellement le détour jugez-en.

Le Soir d’Algérie : M. le président, quand et comment êtes-vous venu au monde de l’apiculture ?
M. Mohamed Bouteldja : C’est de père en fils et depuis les années 40 que la famille Bouteldja, originaire de Sidi Moussa, active dans ce métier en question. C’est donc tout naturellement que je sois pleinement impliqué dans ce merveilleux métier ancestral.
Il est vrai que les techniques de la culture et de la récolte du miel et des produits de la ruche, ont beaucoup changé, eu égard à de meilleurs moyens et équipements.

En quoi consiste réellement le travail de l’association que vous dirigez ?
Avec une équipe constituée d’apiculteurs professionnels dévoués et disponibles à souhait à l’image de Saïd Chaâbane Chaouch, (VP), Haouès Seghoure (SG), Moussa Ramdane Bey (trésorier) et Tahar Bitoute (membre), nous avons un vaste programme d’action qui vise à développer la culture de l’apiculture dans sa globalité et surtout valoriser et réhabiliter le miel algérien 100% naturel et sensibiliser les citoyens quand aux vertus bienfaitrices du miel et des nombreux produits de la ruche, mais aussi à l’arnaque des pseudos-vendeurs sans scrupules.

On croit savoir que le miel algérien est considéré à juste titre comme étant une réelle référence à l’échelle mondial…
Effectivement, la réputation du miel du terroir, à largement dépassé nos frontières. Notre noble produit, dans toutes ses variétés qui sont pour l’heure au nombre de 18, (eucalyptus, euphorbe, jujubier, chardon, romarin, multifleurs…) connaît de manière accrue un réel engouement et un intérêt soutenu auprès des acheteurs-consommateurs.

Le miel algérien dont vous faites tant d’éloges, est-il contrôlé par des laboratoires ?
Tous les apiculteurs professionnels que compte notre association, et qui sont au nombre de 60 environ, présentent et procèdent au contrôle de leurs produits au niveau du laboratoire de l’ITEF de Baba-Ali.
D’où l’avantage d’acheter ces produits au niveau des nombreuses foires que votre association organise dans différents communes de la wilaya.
Les foires que nous organisons, et qui à chaque fois connaissent un franc succès populaire, offrent la possibilité aux citoyens d’acheter un miel et des produits de la ruche. Le pollen, la gelée royale, la propolis, la cire d’abeille, les produits cosmétiques à base de miel et ses dérivés, sont bio, c’est-à-dire 100% naturel et à des prix qui défient toute concurrence. Les nombreux visiteurs devenus familiers du fait de notre politique de proximité, ont la possibilité de déguster gratuitement les différents parfums de miel et de profiter pleinement des conseils des exposants très accueillants du reste.

La coopérative de la cité El Hayat, de Gué-de-Constantine, constitue également un lieu privilégié pour l’achat du miel naturel et minutieusement contrôlé ?
La coopérative du Gué-de-Constantine que dirige notre collègue, le dynamique et dévoué Liès Souissi, met à la disposition des citoyens, une large gamme de miel et des produits de la ruche fournis par les vrais professionnels de l’apiculture et scrupuleusement contrôlés. Les prix sont là aussi, très abordables.

En quoi consiste le programme des foires du miel de cette saison ?
Comme le veut désormais la tradition, nous allons mettre en route un vaste programme des foires du miel qui s’étalera sur toute la saison en cours et qui de surcroît, concernera, un très grand nombre de communes de la wilaya. Aussi, nous ouvrons les portes à la participation de certains apiculteurs professionnels de wilaya limitrophes, telles que Blida, Tipasa, Médéa, Boumerdès et Tizi-Ouzou, avec qui nous avons des contacts étroits en matière d’activité apicole et échanges d’idées.

L’utilisation abusive de pesticides par les agriculteurs est une réelle menace pour le cheptel abeille ?
C’est un problème grave et récurrent à la fois. Certains agriculteurs inconscients utilisent à tort et à travers de nombreux pesticides sans mesurer la gravité de leurs condamnables gestes. Bien souvent, c’est des milliers voire des millions d’abeilles qui sont décimés.
Il faut savoir que s’il n’y a pas d’abeille, il n’y a pas de monde vivant. C’est la loi de la nature. Les abeilles citées dans le Coran, sont indispensables à l’être humain, à la faune et à la flore.

Un phénomène désolant se déroule en Algérie. Bon nombre d’agriculteurs et de terrains constituent un réel obstacle pour les apiculteurs, à qui, ils refusent l’installation des ruchiers où exigent d’être payés ?
C’est vrai qu’ils nous arrivent souvent de buter souvent sur l’inconscience de certains agriculteurs et terriens. A l’étranger, c’est l’inverse qui se passe. Les apiculteurs sont très demandés et sont bien souvent payés pour la présence des ruchiers et la pollinisation, qui fructifie au maximum les récoltes.

En dehors de l’activité apicole elle-même et des foires, votre association a-t-elle d’autres actions à mener ?
Des actions à caractère caritatif notamment avec des sorties au niveau des hôpitaux, des maisons SOS, des centres de vieillesse… où nous offrons des dons de miel et dérivés aux personnes malades en difficultés ou nécessiteuses.
Aussi, nous organisons des concours pour les enfants scolarisés autour du sujet de l’apiculteur. Nous récompensons les meilleurs d’entre-eux.
Entretien réalisé par Abdenour Belkheir

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Après avoir organisé le premier rendez-vous samedi dernier à Sétif, la Commission d’arbitrage et de lois de jeu (CALJ) de la Fédération algérienne de volley-ball (FAVB), qui lance une série de regroupements des arbitres fédéraux et internationaux, organise jeudi 20 et vendredi 28 septembre les 2e et 3e rendez-vous des regroupements.
La journée d’aujourd’hui se déroulera à Constantine en collaboration avec la ligue de Constantine pour les arbitres issus des wilayas de Constantine, Mila, Annaba, Skikda, Tébessa et Guelma au siège de la Ligue de Constantine, tandis que la journée de vendredi 28 septembre courant, en collaboration avec la Ligue de Béjaïa, concernera les arbitres de la wilaya de Béjaïa à l’auberge de jeunes «Soumari».

Report de la journée de travail avec les présidents des clubs dames
Prévue initialement aujourd’hui, jeudi 20 septembre, la journée de travail entre la Fédération algérienne de volley-ball (FAVB) et les présidents des clubs de la Division 1 dames est reportée au jeudi 27 septembre à cause de la célébration de la fête religieuse Achoura. Cette réunion, pour rappel, aura lieu au siège de la FAVB, sis à la salle OMS Beaulieu.
Ah. A.

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Ils étaient plusieurs, une centaine d’anciens soldats et officiers, à s’être rassemblés au siège des retraités de l’armée pour continuer à revendiquer l’amélioration de leur situation sociale et régulariser le reste de leurs droits.
Entre autres revendications, une prise en charge médicale pour les dommages moraux causés durant la période de leur incorporation dans les rangs de l’ANP, la priorité dans l’accès à l’emploi et au logement et la régularisation de leur situation vis-à-vis de la Sécurité sociale, la prise en compte des années supplémentaires accomplies durant leur carrière, ainsi que les congés restés non payés, la promotion au grade supérieur, etc.
Pour le coordinateur régional de ces anciens soldats le député Mohamed Bourakba, les pouvoirs publics ont fait un effort considérable pour répondre aux attentes des retraités mais beaucoup de points restent à prendre en considération pour une catégorie de citoyens qui restent au service du pays à n’importe quel moment surtout devant les menaces actuelles tout en favorisant la continuité et la tranquillité sur tous les plans. «Mais nous sommes arrivés à un stade où nous considérons que nous avons fait un pas honorable et nous avons été honorés. Cette action est un signal de respect pour les anciens retraités et ayants droit par les responsables du secteur, en attendant pour qu’ils honorent le reste de leur promesses», a-t-il affirmé.
Le siège du bureau de la wilaya de l’organisation des retraités de l’armée a abrité mardi matin le rassemblement des retraités de l’armée des wilayas de l’est, notamment les anciens rappelés, qui ont afflué de toutes les wilayas de la région. Ils expriment leurs remerciements aux pouvoirs publics, en demandant la revalorisation de leur pension, le versement de leurs arriérés de solde, la prise en charge des handicapés blessés durant la décennie noire.
Les représentants des 15 wilayas ont décidé de renouer avec les rassemblements et ce jusqu’à pleine satisfaction de leurs revendications. Dans une plateforme de revendications contenant plus de 12 points, les manifestants évoquent les pensions de retraite jugées dérisoires, la prise en compte des années supplémentaires accomplies durant leur carrière ainsi que les congés restés non payés. La promotion au grade supérieur, même en retraite dans le cadre de la réserve mobilisable, en se basant sur les mêmes critères requis pour un militaire en activité.
S’agissant des militaires invalides et atteints d’infirmités physiques, les marcheurs demandent, entre autres, la prise en charge médicale au niveau des structures adaptées ainsi que la revalorisation de la pension d’invalidité et l’allocation destinée à la tierce personne qui se situe actuellement entre 1 500 et 2 500 dinars mensuellement. Concernant les ayants droit, une meilleure prise en charge doit être accordée pour les familles de ceux qui sont morts pour une Algérie debout et républicaine. Ils demandent également de pouvoir bénéficier des dispositions de la loi 06-01 relative à la Charte de la réconciliation nationale ainsi que les dispositions 41,42 et 72 de la loi du travail 90-11. Ils affichent leur détermination à maintenir la pression jusqu’à l’aboutissement de leurs revendications.
Enfin, les représentants présents à Khenchela ont déclaré que seule l’organisation des retraités de l’armée et représentant légal devant les instances compétentes et seul le dialogue est le chemin vers la réponse positive aux attentes des retraités de l’armée.
Benzaïm A.

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La prise en charge des malades cancéreux dans la wilaya de Jijel a été posée de nouveau lors de la visite du ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, et de l’Aménagement du territoire M. Noureddine Bedoui à la wilaya de Jijel dimanche dernier.
Le wali Far Bachir a demandé à l’hôte de Jijel l’inscription d’un centre anticancer en vue d’assurer une meilleure prise en charge de ces malades localement. Pour sa part, le président de l’Association d’aide aux malades cancéreux ADWA a interpellé le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire sur les problèmes auxquels sont confrontés les cancéreux de la wilaya de Jijel, réclamant l’ouverture d’une structure au niveau de la wilaya en vue de mettre un terme à l’évacuation de ces malades vers les autres wilayas avec leur lot de lenteurs des rendez-vous qui constituent un vrai calvaire, a-t-il ajouté. Il convient de souligner que la wilaya de Jijel compte une unité d’oncologie qui assure la prise en charge de 2 400 cancéreux à l’échelle de wilaya qui enregistre 600 nouveaux cas de cancer chaque année, selon une source proche de cette structure dont la création remonte à 2014.
Une prolifération qui suscite toujours des appréhensions parmi la population locale et de suspicions concernant un éventuel lien entre la propagation de cette maladie et certaines installations industrielles dont la centrale électrique d’Achouat dans la commune de Taher.
Interrogé par nos soins lors d’un colloque sur le cancer tenu il y a quelques mois, l’éminent professeur Bouzid nous a affirmé que l’Algérie enregistre 50 000 nouveaux cas de cancer chaque année, soulignant que la situation de la wilaya de Jijel n’est pas alarmante par rapport à la moyenne nationale.
Il a attribué la prolifération de cette maladie à un certain nombre de facteurs citant entre autre le changement du régime alimentaire, le tabac, l’alcool, la dégradation du milieu environnemental, l’obésité.
Le cancer du sein vient en première position dans la wilaya de Jijel avec 165 nouveaux cas chaque année suivi par le cancer du côlon avec 41 cas.
Bouhali Mohammed Cherif

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Tout porte à croire que l’aquaculture connaîtra un essor sans précédent dans la wilaya de Mostaganem. L’objectif est d’atteindre à moyen terme une production annuelle de 5 000 tonnes de poissons de différentes espèces et autant de tonnes en coquillages la fin de cette année, les deux usines qui tournent à plein régime prévoient une réalisation de 150 tonnes.
Une performance qui multipliera par 100 fois la production des filières d’aquaculture marine actuelle, dont la totalité est issue de l’élevage de coquillages (conchyliculture), huîtres et moules.
A la zone d’aménagement aquacole de Stidia, située à quelque 16 km du chef-lieu de la wilaya, deux investisseurs privés ont jeté leur dévolu pour l’élevage des moules, sur des concessions de 50 000 m² à l’eau. Un élevage qui se fera grâce aux filières dont le dispositif se compose d’un élevage en flottabilité grâce à des bouées fixées par des corps morts au fond de la mer.
Les deux investissements sont estimés à 40 000 000 de dinars chacun et qui se réglera par mode d’autofinancement. La Direction des ressources halieutiques de wilaya a attiré l’attention des responsables de ce secteur qu’il fallait éviter les risques de pollution de l’environnement pour la production de bonnes moules.
A. B.

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«Nos enfants sont sérieusement menacés». C’est un cri de détresse lancé par les parents d’élèves de l’école primaire Yagoub-Mohamed de Relizane. «Par le biais de votre journal, nous exprimons notre colère face au danger qui guette quotidiennement nos enfants, affirme une mère de famille venue, hier, à notre bureau. L’axe routier qui mène vers cet établissement scolaire n’est plus sécurisé», dira-t-elle. Et d’ajouter «les usagers de la route, notamment les conducteurs de bus et de camions, mettent en danger la vie des enfants scolarisés au niveau de cette école primaire.

C’est toujours avec une vitesse excessive», explique cette parente d’élève, «que des chauffards prennent cet axe routier sans se rendre compte de la gravité de leur conduite». «Grande était notre surprise, poursuit-elle, lorsqu’un jour, on a gentiment demandé à un conducteur d’un véhicule léger de limiter sa vitesse. Il nous a tout simplement demandé d’aller nous plaindre ailleurs».

Une réponse synonyme, dira-t-elle, d’une indifférence inouïe. «Une fausse manœuvre, il est vrai, peut provoquer des dégâts irrémédiables. Les freins de ces poids lourds peuvent facilement lâcher», a tenu à préciser un autre parent d’élève. «C’est un appel que nous lançons en direction de ceux qui sont effectivement en mesure de changer le cours des choses dans cette ville», a tenu à dire de son côté, le représentant de l’association des parents d’élèves.
A. Rahmane

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Les habitants de la cité R’hiba ont entamé la semaine dernière une grande campagne de nettoyage, qui a mobilisé beaucoup de monde. Des tonnes d’ordures ont été ramassées, et les caves aussi ont été assainies. Une opération de dératisation a ciblé tous les immeubles dont les sous-sols ont été blanchis à la chaux vive. Pendant un moment, la cité de Sid El-Mazouni avait retrouvé un autre visage. Sauf que certains n’ont pas pu se débarrasser de leurs mauvaises habitudes, les commerçants et certains riverains continuent à jeter leurs ordures à l’entrée de la cité. C’est une décharge, qui défigure le centre-ville, maintenant, c’est aux élus de faire appliquer la loi, les mesures cœrcitives et des sanctions s’imposent.

Station de taxis
Encombrement au centre-ville
La station de taxis du centre-ville en face de la grande mosquée n’est plus en mesure de faire face au nombre croissant des chauffeurs de taxi. Cette station, l’unique du centre-ville, existe depuis l’indépendance. Il est temps de désigner un autre endroit pour la fluidité de la circulation, on peut par exemple ouvrir une autre station près du Mechouar. Pour l’histoire, cet endroit était réservé aux calèches qui assuraient le transport des voyageurs vers l’hôpital de Mansourah, pendant la période coloniale, les diligences ont disparu au début des années 1960. Le centre-ville a besoin d’un nouveau plan de circulation pour mettre fin à l’anarchie des transports.
M. Zenasni

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Pour 8 personnes :
1kg de cacahuètes, 200g de cornflakes, 1 boîte de lait concentré sucré, 200g de chocolat noir
La pâte à génoise : 8 œufs, 250g de sucre, 250g de farine
Ganache ordinaire : 150g de chocolat, 10cl de crème fraîche
Pour la décoration : Le gros sucre, sirop de chocolat

Préparer la génoise : Verser le sucre sur les œufs sur un cul de poule, mélanger rapidement. Monter au bain-marie les œufs et le sucre à 45° C. Incorporer de l’air en soulevant la masse. Retirer du feu et battre jusqu’à complet refroidissement. Incorporer la farine tamisée délicatement à l’écumoire. Verser la pâte sur une plaque pâtissière (25-35cm) chemiser de papier sulfurisé. Cuire au four à 180° C pendant 20 min. Piquer avec une aiguille; si aucune matière n’y adhère, la génoise est cuite. Retourner la génoise sur un plat rectangulaire et enlever le papier sulfurisé. Faire griller les cacahuètes dans une poêle jusqu’à ce qu’elles soient bien dorées. Laisser refroidir et les débarrasser de leur peau en les frottant à la main. Mixer cacahuètes et cornflakes. Les mettre dans un saladier. Ajouter le chocolat noir fondu au bain-marie et le lait concentré sucré. Mélanger bien jusqu’à obtention d’un mélange homogène. Verser ce mélange dans un papier sulfurisé de même dimension que de la génoise. Lisser à la spatule et presser avec une cuillère à soupe. Déposer ce rectangle de farce au dessus de la génoise.
Préparer la ganache : Mettre la crème fraîche dans une casserole. Porter à ébullition. Concasser le chocolat noir. Hors du feu, ajouter le chocolat sans cesser de battre jusqu’à ce que l’appareil soit lisse. Verser cette ganache au dessus du gâteau, lisser à la spatule. Saupoudrer de gros sucre. Découper, à l’aide d’un couteau, en carrés. Décorer de sirop de chocolat.

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