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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
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El Tarf: Le suivi des projets en question

Thu, 09/20/2018 - 12:56

A. Ouélaa

Abordant divers problèmes liés au développement de la région, en marge du conseil exécutif tenu mardi, le wali a mis en garde les subdivisionnaires les invitant à exercer pleinement leurs responsabilités, à travers le suivi des projets, le contrôle, tout en veillant à la conformité et au respect de ce qui est contenu dans le cahier des charges. En ce sens, il leur a été signifié qu’il ne faut rien signer au cas où des anomalies sont constatées et qu’à tout moment, une enquête peut être enclenchée et si un manquement est constaté, les mesures nécessaires seront prises.

Enfin, il est utile de rappeler que les subdivisionnaires, de quelque secteur que ce soit comme les équipements, l’hydraulique, la DUAC, le logement, constituent un maillon essentiel dans le suivi et le contrôle des travaux dans les communes et daïras où ils exercent.

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UFMC: Le concours d’accès au doctorat le 20 octobre

Thu, 09/20/2018 - 12:50

A. Z.

  Le concours national d’accès au doctorat (3e cycle), au titre de l’année universitaire 2018-2019, sera organisé le samedi 20 octobre 2018, annonce un communiqué de l’université des Frères Mentouri (UFMC). La même source indique que «pour cette année, l’UFMC a ouvert 123 postes dans les domaines suivants : sciences de la matière (SM), sciences et techniques (ST), sciences de la nature et de la vie (SNV), droit et sciences politiques (DSP), regroupant 26 spécialités habilitées au sein de l’UFMC».

Privilégiant «la qualité» plus que tout autre crédit, notamment de quantité, on relèvera dans ce contexte qu’en plus du suivi académique assuré par les enseignants chercheurs, ces formations doctorales seront appuyées par plusieurs structures de recherches, des laboratoires, des unités de recherches et des plateformes qui garantissent les conditions favorables aux étudiants et leur permettent d’avoir une formation de qualité. Tout en considérant que la formation doctorale est le moteur du développement de la recherche scientifique et de l’innovation, les termes du communiqué en question soulignent qu’elle représente la voie de la formation des formateurs, consolide les relations en matière de coopération internationale et permet le transfert des compétences vers le secteur socioéconomique, à travers les formations professionnalisantes.

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Centre de paiement CNAS de Daksi: Panne du système informatique et désagréments pour les malades

Thu, 09/20/2018 - 12:50

A. El Abci

  Des malades chroniques, diabétiques, cardiaques et souffrant de tension artérielle, devant passer des contrôles au Centre de paiement de Daksi Abdesselem, se plaignent des désagréments que leur cause la panne du réseau informatique, au Centre en question, qui dure depuis une semaine, maintenant, et qui les prive de prendre les médicaments à la pharmacie, sans payer l’ordonnance sur place. En considération qu’il faut d’abord passer par l’opération de validation de la carte ‘Chifa’, et qui ne peut, malheureusement, être effectuée en raison de la panne dans le système informatique. En effet, l’outil informatique n’est toujours pas en état de marche et il n’est toujours pas possible de valider la carte ‘Chifa’ du malade concerné ou l’activer, lancent-ils dépités.

Un autre patient, retraité de son état et qui a été atteint du diabète, dernièrement, s’invite à la discussion et explique son cas. «J’ai apporté, dimanche dernier, au même service de contrôle, les analyses demandées par mon médecin traitant et prouvant mon diabète et ce, pour prise en charge en tant que nouveau malade chronique. On m’a alors demandé de refaire d’autres analyses, ce que j’ai fait et lorsque je me suis pointé, mercredi, au contrôle on m’a dit qu’une panne de l’outil informatique empêche le traitement de mon dossier».

Questionné sur ce sujet, le directeur de l’Agence CNAS de Constantine, Abdallah Jouini, reconnaît la panne paralysant le réseau mais cela n’empêche pas les prestations de se faire, soutiendra-t-il, car les dossiers des malades sont transférés pour traitement, au Centre de paiement de ‘Bouchama’, surtout ceux afférant à la carte ‘Chifa’ et de mise à jour, qui sont pris en charge et réglés, dans les temps. Et d’indiquer, que la panne ne relève pas de la CNAS et avons mis au courant, à deux reprises, les services d’Algérie Télécom, qui n’ont pas encore, apparemment, trouvé l’origine du problème.

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Polémique sur la question de l’égalité dans l’héritage: Le RCD dénonce «le terrorisme intellectuel»

Thu, 09/20/2018 - 12:38

M. Aziza

Le parti du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) a affiché, clairement, sa position quant à la question de l’égalité dans l’héritage entre les femmes et les hommes, à travers un communiqué rendu public, en précisant qu’il y a vraiment «matière à débattre sur la question de l’héritage». Cette réponse intervient après la polémique née suite aux déclarations du président du RCD, Mohcine Belabbas, autour de la question de l’héritage, lors d’un point de presse organisé en marge du Colloque international sur la promotion de la participation socio-économique et politique de la femme, dans les pays d’Afrique du Nord, récemment à Alger.

Le RCD rappelle que le parti a, depuis sa création, prôné l’égalité entre la femme et l’homme «un sujet qui a été saisi par les rentiers du culte pour occulter le travail mené, souvent seul, par le RCD, autour des grandes questions politiques et sociales, demeurées en suspens, depuis l’indépendance du pays». Justement, le patron du RCD avait souligné, lors de son intervention, auprès de la presse, que son parti a prôné l’égalité entre la femme et l’homme. Le parti avait même réclamé «l’abrogation du code de la famille qui a été instauré en 1984, par le FLN» pour dire qu’en fait «l’Algérie a devancé la Tunisie sur cette question».

L’approche du parti repose sur le débat et la réflexion autour des questions d’égalité entre les femmes et les hommes, sans exception. En précisant dans le communiqué que «la Constitution algérienne garantit la complète égalité des droits et devoirs entre les sexes». Le parti de Mohcine Belabbas regrette le fait qu’en «pleine guerre des clans, les marchands de versets assaisonnés à la cocaïne veulent, encore une fois, faire diversion pour empêcher les Algériens de débattre sur des questions conditionnant leur quotidien et impactant, frontalement, l’avenir de leurs enfants». Les rédacteurs du communiqué ont souligné qu’en plus des charges politiques qui incombent à toute formation de l’opposition démocratique, le retrait des élites sur ces dossiers vitaux rend, encore, plus impérative l’intervention du parti (RCD). «Car, précise-t-on dans le communiqué, combattre le terrorisme intellectuel est la condition de la mise en déroute du terrorisme tout court».

Le RCD persiste en affirmant qu’il restera maître de son agenda et de ses positions. «Rien ni personne ne le fera dévier de sa trajectoire». Pour rappel, lors du Colloque international sur la promotion de la participation socio-économique et politique de la femme dans les pays d’Afrique du Nord, Mme Nora Ouali, secrétaire nationale à la condition féminine du parti et députée a affirmé que la constitution algérienne ne parle pas de l’égalité dans l’héritage entre l’homme et la femme, mais l’on parle dans notre Constitution de «la parité entre les hommes et les femmes». Et de souligner que «l’Algérie a ratifié la Convention internationale pour la suppression de toutes les formes de discrimination contre les femmes, ce qui nous donne la possibilité de débattre de la question de l’égalité, sans exception, y compris celle de l’héritage».

Pour sa part, Samira El Akili, membre du bureau exécutif du parti Al Joumhouri, chargée de la femme, en Tunisie, avait indiqué que «la femme algérienne qui est connue pour son militantisme doit militer pour toutes les formes d’égalité, notamment celles relatives à l’héritage». Et d’affirmer que la question n’est pas, totalement, tranchée en Tunisie : «la question de l’égalité, dans l’héritage, entre la femme et l’homme est toujours en débat». Sur la question de la polémique que cette question a provoquée, elle a estimé que l’égalité dans l’héritage n’est pas du tout en contradiction avec les principes de l’Islam. Elle a précisé qu’il fallait, aujourd’hui, une nouvelle vision de la religion, loin de l’extrémisme et du radicalisme. Pour elle, la femme tunisienne a le droit de demander l’égalité, dans l’héritage, par le fait qu’elle participe activement dans l’économie tunisienne. La question de l’égalité dans l’héritage entre les femmes et les hommes a suscité, déjà, une vive polémique en Tunisie, après l’appel du président tunisien Béji Caïd Essebsi à revoir cette question devant la pression de certaines organisations de défense des droits des femmes.

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Vers l’éradication du site de stockage de «la jumenterie»: Plus de 100 tonnes de déchets hospitaliers du CHUO traitées

Thu, 09/20/2018 - 12:37

J. Boukraa

Considérés comme des produits toxiques nuisibles tant à la santé publique qu’à l’environnement, les déchets spéciaux générés par les actes médicaux et chirurgicaux ne sont pas toujours éliminés selon les normes. Pour mettre fin à une situation qui fait couler beaucoup d’ancre, la direction du Centre hospitalo-universitaire d’Oran (CHUO) a pris toutes les mesures nécessaires pour éradiquer le dépotoir constitué de plusieurs tonnes de déchets hospitaliers qui s’accumulent depuis une dizaine d’années au niveau du site dit « la jumenterie ». Ainsi et après quelques mois depuis le lancement de cette opération d’assainissement, plus de 100 tonnes de déchets de soins et autres ont pu être ramassées, soit les deux tiers des déchets entassés au niveau de ce site depuis plusieurs années, selon des sources de cet hôpital. Cette initiative a été saluée par les malades et le personnel de l’hôpital, surtout que des tonnes de déchets hospitaliers, résultant des activités de soins du CHUO, placés dans des sacs en plastique, s’accumulaient au niveau de ce site depuis une dizaine d’année. La même source a tenu a souligner que la quantité restante sera ramassée incessamment, pour assainir ce site une fois pour toutes et clore ce dossier. S’agissant des conditions de stockage de la quantité qui reste, la même source a estimé qu’il n’y a pas de risques de contamination, soulignant que les déchets sont déposés dans un endroit clôturé et éloigné des services de l’hôpital.

Fin 2017, la direction du CHU Benzerdjeb d’Oran a entrepris des démarches pour confier le traitement de ses déchets à une entreprise privée. il s’agit de l’entreprise Eco Est, une entreprise nationale spécialisée dans ce domaine. Depuis, l’entreprise choisie prend en charge le stock des déchets de soins cumulés au niveau de la jumenterie au fur à mesure, et se charge également des déchets générés quotidiennement par les différents services de soins et de chirurgie de l’hôpital. Selon la même source, à ce jour, l’entreprise en question a pu prendre en charge près de 315 tonnes de déchets spéciaux, dont plus de 100 tonnes qui étaient entassées à la jumenterie. Le reste représente les déchets quotidiens par l’activité de soins et de chirurgie des différents services avec une moyenne de quelque 400 kilos par jour. Notre source ajoute que cette entreprise est dotée d’un banaliseur.

Ce dernier permet un traitement des déchets avec une réduction du volume et une diminution de la masse. Les banaliseurs sont dotés de systèmes intégrés (groupe vapeur, compresseur d’air, adoucisseur d’eau, évacuation des broyats), ce qui assure une sérialisation (les déchets sont brassés durant tout le cycle de traitement). La cumulation des déchets du CHUO a été justifiée par l’arrêt du banaliseur (appareil pour l’incinération des déchets de soins) de l’établissement, soulignant l’inexistence à Oran d’entreprise spécialisée dans ce créneau… Sachant qu’un lit d’hôpital produit un kilogramme de déchets par jour, l’élimination de ces déchets d’activités de soins n’est ni organisée, ni structurée, ni sécurisée dans de nombreux établissements hospitaliers et en particulier dans les clinques privées. Pour faire face à cette situation, la direction de la Santé et les services de l’environnement organisent régulièrement des opérations de contrôle et d’inspection. A Oran quelque 230 établissements de santé génèrent annuellement prés de 5.500 tonnes de déchets spéciaux dont 25% sont constitués de déchets d’activités de soins à risques infectieux (DASRI). Pour les différencier et les traiter à part, il faut au préalable un tri des déchets hospitaliers, ce qui n’est pas évident dans la majorité des lieux où ils sont produits, c’est-à-dire les hôpitaux, les cliniques, mais aussi les laboratoires et tous les autres établissements où se pratiquent les soins en rapport avec la santé, jusqu’aux banques de sang.

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Bousfer: 17 constructions et extensions démolies

Thu, 09/20/2018 - 12:31

Rachid Boutlélis

Les services de l’OPGI mènent depuis mardi une vaste opération de démolition d’extensions et constructions illicites au niveau des cités à grande concentration d’habitants dans la commune de Bousfer, a-t-on appris hier de sources proches de la commune. Cette opération de démolition a ciblé avant-hier une dizaine d’extensions illicites dans la cité des 120 logements sociaux, sise au quartier Ouadite, dans ladite municipalité. Selon nos sources, cette opération se poursuivra jusqu’à la démolition de toutes ces extensions illicites au niveau des autres cités de la commune. Outre les extensions, sept constructions illicites ont été rasées au niveau de cette même commune. Ces masures nouvellement construites ont été érigées dans le quartier des Sept Martyrs non loin de la cité de 46 logements sociaux participatifs, dans ladite municipalité. Selon nos sources, les contrevenants ont été recensés par les responsables locaux pour faire l’objet d’une enquête administrative.Il importe de noter que cette opération a été ordonnée par le wali d’Oran dans le cadre de la lutte contre le phénomène des bidonvilles qui enlaidissent la contrée côtière d’Aïn El Turck. Nos sources indiquent que d’autres opérations similaires cibleront des constructions illicites essaimées à travers cette contrée et ce, conformément aux instructions du wali. Notons dans ce contexte qu’à l’instar des trois autres municipalités que compte la daïra d’Aïn El Turck, le phénomène des bidonvilles et autres transgressions liées aux extensions illicites, a pris des proportions démesurées et est devenu une véritable plaie, qui défigure de prestigieux paysages. Le phénomène des supposés garage à bateau, faisant en réalité office d’habitations, sont également inscrit sous la même enseigne des infractions à la règlementation en vigueur. L’autre transgression liée à la bidonvilisation des plages de cette contrée a aussi pris une ampleur presque incontrôlable, au vu du constat établi sur le terrain et, comble de l’ironie, ne semble à priori plus émouvoir quiconque. Ce déplorable état de fait a allègrement contribué, au fil des jours, à la disparition quasi-totale de grandes superficies de sable. Notons à ce sujet qu’une première opération de démolition de masures érigées sur la plage de St-Germain, dans la municipalité d’Aïn El Turck, a été menée par les services de l’APC en collaboration avec les éléments des brigades de police pour la protection de l’urbanisme et de l’environnement, Pupe, de la Sûreté de daïra d’Aïn El Turck. Ce déplorable constat, qui suscite l’ire et la consternation des riverains, s’est imposé au fil des jours dans les paysages de cette côte à la faveur d’un cumul d’incurie. Notons dans cette optique que les éléments des brigades de la police de la protection de l’Urbanisme et de l’environnement, PUPE, au même titre que ceux de la gendarmerie nationale, ont opéré chacun dans sa compétence territoriale et à maintes reprises ces dernières années, des interventions sur pratiquement toutes les plages et ce, pour annihiler des tentatives de constructions ou d’extensions illicites en interpellant les auteurs.

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Chlef – Tomate industrielle : comment redonner confiance aux producteurs ?

Thu, 09/20/2018 - 12:27

Bencherki Otsmane

Si la tomate industrielle à Chlef a enregistré, durant la saison écoulée, un bond considérable dans sa production dû à une hausse du rendement à l’hectare estimé entre 850 et 900 quintaux, ainsi qu’une augmentation de la surface exploitée de 600 hectares à 1.076 hectares, pour cette année la superficie consacrée à ce produit a été considérablement réduite. Près d’un millier de producteurs ont «jeté l’éponge» et seulement quelque 200 ont travaillé leurs terres cette saison. La raison en est que l’année passée, devant une récolte exceptionnelle, la production de la tomate industrielle n’a pas pu trouver preneur car la seule unité de transformation de Chlef s’est montrée incapable de prendre en charge la totalité de la production. Les agriculteurs parlent de «60% de la récolte perdue».

On garde le souvenir de ces centaines de camions chargés de tomate déverser leurs cargaisons dans les oueds ou dans les décharges publiques.

Un coup dur, particulièrement pour les petits producteurs qui ne s’en sont pas remis. Pour cette année, l’unité de transformation a pris les devants, notamment en modernisant sa chaîne de traitement par l’acquisition de nouveaux équipements. En effet, depuis le 27 juillet dernier à ce jour, cette unité a pu traiter 36.000 tonnes de tomate. La cadence de traitement étant de 1.200 t/j. Aujourd’hui, des efforts sont consentis par la direction des services agricoles pour promouvoir une industrie de transformation et agroalimentaire dans cette région, au vu des conditions climatiques régnantes et des nouvelles techniques de récolte introduites permettant des rendements à l’hectare satisfaisants.

Toutefois, il faut souligner que cet objectif ne peut être atteint que si les producteurs de la tomate industrielle ont de nouveau confiance et des assurances que leur récolte soit prise dans sa totalité.

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Mascara: Un véhicule volé, récupéré

Thu, 09/20/2018 - 12:22

Belkecir Mohamed

La police judiciaire de Mascara est parvenue à récupérer un véhicule de marque Renault volé l’année dernière dans une wilaya limitrophe. Des recherches avaient été lancées sur un véhicule mis en circulation avec un dossier de base falsifié. L’enquête a permis de l’intercepter et de mener des investigations en coordination avec les autorités judiciaires. Il s’est avéré qu’effectivement les papiers du véhicule avaient été falsifiés. Selon l’enquête, le véhicule avait été volé suite à l’agression de son propriétaire par une bande d’individus. Le communiqué de la police indique que la coordination avec les autorités compétentes se poursuit concernant les procédures légales, sans toutefois préciser les poursuites réservées aux mis en cause.

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Tiaret: 15 milliards pour la reprise des feux tricolores

Thu, 09/20/2018 - 12:22

El-Houari Dilmi

  Hors d’usage depuis des mois déjà, les feux tricolores implantés à l’intérieur de la ville de Tiaret, font perdre le nord aux automobilistes comme… aux piétons !

En effet, plusieurs fois changés à neuf et installés sur les principaux axes routiers de la ville, les feux tricolores sont « hors service », déroutant les automobilistes. « On dirait qu’ils ont perdu le nord », ironise un chauffeur de taxi à l’adresse d’un agent de police régulant la circulation sur le boulevard « Bouabdelli Bouabdellah ». Et pour remédier à une situation qui exacerbe au plus haut point les automobilistes, la commune vient d’annoncer le dégagement d’une enveloppe de 15 milliards de centimes pour la reprise des feux tricolores et des plaques de signalisation routière, dans le cadre d’une opération globale de requalification urbaine.

Depuis plusieurs semaines, les automobilistes sont « déroutés » par le mauvais fonctionnement des feux tricolores à tel point que des accidents sont dénombrés en plein cœur de la ville. Presque chaque jour, des télescopages sont signalés un peu partout dans la ville. La semaine écoulée, une rixe, manquant de tourner au drame, a eu lieu entre deux conducteurs au niveau d’une intersection près du siège de la Sûreté de wilaya lorsqu’un automobiliste croyant passer au vert a heurté un autre véhicule dont le conducteur lui aussi avait vu le feu rouge passer au vert. Le même spectacle est offert aux badauds dans plusieurs axes routiers de la ville, prenant comme un malin plaisir à regarder les automobilistes « se crêper le chignon » autour des mâts portant les feux tricolores. Géré par les services de la commune de Tiaret, tout le fonctionnement des feux tricolores doit être revu au plus vite pour éviter que d’autres accidents n’aient lieu.

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Tiaret: Du nouveau à la formation professionnelle

Thu, 09/20/2018 - 12:16

El-Houari Dilmi

La rentrée professionnelle au titre de l’année 2018 – 2019 s’annonce sous de bons auspices avec deux nouvelles infrastructures qui entrent en fonction en ce mois de septembre. Il s’agit, en effet, selon le directeur de wilaya de la Formation et de l’Enseignement professionnels, M. Beroudja Tayeb, du nouvel Institut national « Bensaâda Mohamed » spécialisé en formation professionnelle (INSFP) spécialisé dans les industries agroalimentaires de Sougueur et une nouvelle annexe de formation professionnelle à Sidi Bakhti. En tout, la wilaya de Tiaret dispose de 31 établissements d’une capacité de 9.750 places pédagogiques et de 2.860 lits en internat répartis en 05 instituts nationaux (INFSP), 21 CFPA et 05 annexes, toujours selon le premier responsable du secteur. Autre nouveauté, ce sont les huit écoles privées de formation professionnelle pour une offre de formation globale de 6.505 places dont 4.485 postes en formation diplômante réparties par mode de formation dont 1.985 places en apprentissage, 2.270 en mode résidentiel, 250 en cours du soir, cinquante (50) places de formation en milieu rural, 240 places en formation passerelle et 90 autres offertes par les écoles privées. Concernant les formations qualifiantes, 1.620 postes de formation sont ouverts dont 330 postes destinés à la femme au foyer et 540 postes en milieu carcéral.

La rentrée du secteur de la formation professionnelle de cette année sera également marquée par de nouvelles spécialités comme la maintenance des ascenseurs et l’hôtellerie, déclinées sous plusieurs options comme l’hébergement, le service d’hôtelier, service en café, service de table ou encore boucher hôtelier. D’autres nouvelles spécialités sont également disponibles comme le montage et la finition de chaussures, vacher trayeur, collecte et tri des déchets. La cuisine traditionnelle est également offerte en mode résidentiel et les techniques d’exploitation des équipements audiovisuels en cours du soir, toujours selon le directeur de la Formation et de l’Enseignement professionnels, M. Beroudja Tayeb.

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Constantine – Bab-El-Kantara: Un quartier boudé par les distributeurs de lait

Thu, 09/20/2018 - 12:16

 A. Mallem

Ces derniers jours, le quartier des Frères Bouchama, dans le secteur de Bab El-Kantara, souffre d’une pénurie de lait en sachet qui irrite les habitants et provoque leur colère envers les distributeurs.

Selon les informations qui nous ont été fournies par les riverains et par quelques commerçants, il s’agit d’un «boycott du quartier qui a été déclenché par les camions livreurs suite au refus des distributeurs au détail, principalement des magasins d’alimentation générale ou épiceries, de prendre concomitamment avec les quotas de lait en sachet subventionné un autre quota de lait de vache en sachet. «Pourtant, nous a expliqué, hier, un riverain, nous nous accommodons bien avec cette vente concomitante que nous imposent les distributeurs au détail en prenant un sachet de lait de vache avec deux, trois ou quatre autres sachets de lait subventionné». Ce qui n’est pas le cas de certains clients qui refusent, catégoriquement, cette vente concomitante et vont s’approvisionner ailleurs. «Ils nous laissent sur les bras les quantités de lait de vache invendues», se sont plaints des épiciers. Pendant ces journées de pénurie, les consommateurs essaient de s’approvisionner en lait où ils peuvent. «Nous le faisons, généralement, dans le quartier de Bab El-Kantara inférieur», nous ont expliqué des riverains hier. Malheureusement, ont-ils noté, «il faut se lever très tôt pour pouvoir se procurer quelques sachets car, dans ce quartier, les distributeurs au détail ne sont pas nombreux et depuis que notre quartier est privé de ce produit ils sont sous tension». Les gens qui sont véhiculés, vont loin, dans les quartiers périphériques de Mansourah, Sidi Mabrouk et jusqu’à Oued El-Had et à la cité des ‘Mûriers’ pour s’approvisionner en lait en sachet.

M. Salah, membre du syndicat local des distributeurs de lait à qui nous avons posé la question, hier, n’a pas nié ce boycott subi par les habitants de la cité Bouchama. Il défendra évidemment les distributeurs en disant que ces derniers ne font que participer à l’application de la politique gouvernementale de soutien aux éleveurs de bétail de la région. «Dans ce cadre, expliqua-t-il, les distributeurs doivent prendre des quotas de lait de vache pour l’écouler auprès des distributeurs de détail.

Ces derniers, ainsi que les consommateurs doivent également, faire un effort dans ce sens pour apporter leur contribution à la promotion de la filière lait».

Le syndicaliste a promis d’intervenir auprès des livreurs pour reprendre l’approvisionnement régulier du quartier des Frères Bouchama.

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Ali Mendjeli: La police élucide une affaire de crime maquillé en suicide

Thu, 09/20/2018 - 12:06

 A. Z.

La mort suspecte d’une femme qui a chuté du 2e étage d’un immeuble, sis à l’UV n° 14 (nouvelle ville Ali Mendjeli), survenue le 13 septembre dernier, a été élucidée par les services de la 6e sûreté urbaine de la nouvelle ville Ali Mendjeli. Alors qu’on a laissé croire qu’il s’agissait d’un suicide, les résultats de l’enquête ont prouvé qu’il s’agissait d’un crime maquillé en suicide. La femme, âgée de la cinquantaine, gravement atteinte à la suite d’une chute du 2e étage d’un immeuble, a été évacuée le 13 septembre dernier par les éléments de la Protection civile dans un état critique vers l’hôpital de la nouvelle ville Ali Mendjeli, où elle succombera à ses blessures après son admission. Lors du déplacement des éléments de la police à l’hôpital, la victime a été trouvée morte, indique un communiqué de la cellule des relations publiques de la sûreté de wilaya. Sur place, on a relevé des égratignures et des coups violents sur le corps de la victime. Il n’en fallait pas plus pour ouvrir la piste ou la thèse de l’assassinat. Les investigations ainsi que l’expertise scientifique et technique permettront d’orienter l’enquête vers un suspect qui sera arrêté. Et les éléments de l’enquête ont fini par incriminer ce dernier dans le crime. Agé de 44 ans, le mis en cause a été présenté, à la fin des procédures pénales, devant le parquet local sous le grief d’homicide volontaire avec préméditation.

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Cité du 1er-Novembre: Une école primaire ouverte ce dimanche

Thu, 09/20/2018 - 12:05

A. E. A.

Un nouvel établissement scolaire ouvrira ses portes à la cité du 1er-Novembre dès le dimanche 23 septembre. Les riverains qui dépendent du secteur urbain d’El Gammas attendent depuis longtemps l’ouverture de cette école primaire, surtout que le projet de cet établissement éducatif a connu de longues périodes de retard, au grand dam des élèves qui ont passé beaucoup de temps à fréquenter des écoles très éloignées de chez eux.

Selon les parents, «l’école primaire de la cité est depuis des années en cours de réalisation, et chaque année l’ouverture de ses portes nous est annoncée, mais sans suite. Au bout du compte, les années défilent et les promesses sont restées à l’état de simples promesses et l’ouverture de l’école a été à chaque fois différée pour l’exercice suivant». L’un des parents raconte les problèmes que lui et ses enfants endurent, tout en précisant que c’est la même situation que vivent les autres parents de la cité du 1er-Novembre. «J’ai deux enfants que j’amène le matin à leur établissement situé dans la cité de Boumerzoug, distante de cinq kilomètres, et le soir je les ramène à la maison», dit-il. Et notre interlocuteur d’indiquer qu’avec l’achèvement de la construction de l’école, dont le projet concerne la réalisation de six classes du primaire et six autres du moyen, cela permettra aux enfants de suivre sur place leur scolarité. A rappeler que dans le cadre des préparatifs de la rentrée des classes pour cette année, le wali avait annoncé la réception de plusieurs écoles dans la wilaya, dont celle du 1er-Novembre. C’est ce que n’a pas manqué de confirmer le directeur de l’éducation, Mohamed Bouhali.

Questionné sur ce sujet, il a tenu à rassurer les parents et les élèves que l’ouverture de l’école tant attendue sera effective dès la semaine prochaine. Il est vrai que cette école a connu du retard, concède-t-il, mais il est tout aussi vrai que tout est prêt en matière de salles, d’équipements et d’enseignants pour l’accueil des élèves de la cité du 1er-Novembre dans leur nouvelle école. Aussi, les parents sont-ils invités à les y inscrire car les cours commenceront dès dimanche 23 septembre 2018, note-t-il.

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Plaidant pour un nouveau mandat au président: Messahel en appelle aux « forces patriotiques »

Thu, 09/20/2018 - 11:55

Par Mohamed BOUFATAH 

«Le FLN regroupera l’ensemble de ses mouhafedhs à l’hôtel Mouflon d’or samedi prochain.»

Lors d’une conférence sur la proclamation du Gpra, organisée hier au siège du FLN à (Hydra), le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel a plaidé devant une assistance composée de quelques officiers de l’ALN, d’actuels et anciens ministres dont Belaïd Abdeslam et Salah Goudjil ainsi que des militants et cadres du parti, pour un mandat supplémentaire en faveur du chef de l’Etat. Il a souligné que l’appel du président à constituer un front populaire solide peut être une opportunité de mobilisation de toutes les forces patriotiques. «L’audacieuse initiative de Son Excellence Monsieur le président de la République, dans son message à la nation le 20 août dernier, appelant à la constitution d’un front populaire solide fournit une opportunité unique de mobilisation de toutes les forces patriotiques afin qu’elles assument, comme elles l’ont fait avec succès durant la guerre de libération et autour du Gouvernement provisoire, leur part de responsabilité en ce qui concerne la consolidation de l’indépendance et de la stabilité ainsi que dans l’accélération du développement économique et social», a-t-il indiqué dans son intervention.

Le ministre des AE ajoute: «Je voudrai souligner que le FLN, qui a joué un rôle historique pour l’indépendance de notre pays et l’édification de l’Etat algérien moderne, continue aujourd’hui à mobiliser toutes les forces vives de la nation pour renforcer son indépendance et sa stabilité et accélérer le développement économique et social, tel que contenu dans le message qu’a adressé à la nation Son Excellence Monsieur le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, le 20 août dernier.» Ould Abbès a indiqué pour sa part que «le front populaire solide est un espace ouvert à tous ceux qui se situent au-dessus des partis et des organisations». A titre de rappel, le FLN et l’Ugta ont réitéré, avant-hier, dans leur communiqué commun, «leur adhésion à l’appel du président de la République et leur engagement à sa concrétisation sur le terrain afin de resserrer les rangs pour lutter contre toutes formes de corruption et contre la drogue (…)». Ils ont aussi affirmé leur détermination à «se dresser face à toutes les manoeuvres, provocations et tentatives d’atteinte à l’unité des rangs, à travers des interprétations sournoises, voire contraires aux préceptes de notre religion et aux valeurs et constantes nationales».

Le FLN et l’Ugta ont réaffirmé au président Bouteflika leur appui absolu et leur soutien inconditionnel afin qu’il continue son oeuvre de développement et de réformes et poursuive, pour l’étape à venir, sa conduite du pays avec sa clairvoyance coutumière».Ould Abbès n’a de cesse de mettre en avant «l’importance» de l’appel à la construction d’un Front populaire solide, dont le principal objectif est de «sauvegarder l’Algérie, des acquis et de l’unité, relever les défis dans tous les domaines et préserver l’avenir des générations de l’indépendance». Par ailleurs, le FLN regroupera l’ensemble de ses mouhafedhs à l’hôtel Mouflon d’or samedi prochain.

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« Pluies d’or » de Mohamed Sari traduit vers le Tamazight

Thu, 09/20/2018 - 01:14

ALGER – Une traduction vers le Tamazight du roman « Pluies d’or » de l’écrivain et traducteur Mohamed Sari a été publié récemment sous le titre « Igefran n Wuregh », une œuvre traduite par Habib Allah Mansouri.

« Pluies d’or », qui avait reçu le Prix « Escale littéraire d’Alger » en 2016, Paru aux éditions Chihab a été coédité, dans sa version tamazight par le Haut commissariat à l’Amazighité (HCA) et les éditions Chihab.

« Pluies d’or » explore les causes de la violence dans la société algérienne actuelle, à travers plusieurs histoires et à différents époques ayant balisé les grands bouleversements sociétaux.

A travers « El Mahdi », principal personnage du roman, l`auteur se lance dans la recherche des sources de la violence chez ce jeune imam autoproclamé, semant à la fin des années 1980 la terreur extrémiste dans son village, aidé de ses adeptes, « Les compagnons de la chamelle », pour asseoir son « autorité » au moyen d`une purge religieuse.

Enfant battu, rejeté par son père -également très violent avec son épouse- El Mahdi a vécu dans les rues et mausolées du village, rongé par le doute sur l`identité de son père biologique.

El Mahdi ira jusqu’à défier les sages et l`imam du village en occupant par la force le minbar de la mosquée, dans une tentative de faire régner la « loi islamique » selon sa propre interprétation de la religion.

Assurés de l`impunité, « les compagnons de la chamelle » se mettront ainsi à brûler postes de télévision et de radio, instruments de musique, et arracher les antennes « paradiaboliques », semant la terreur et le doute parmi les villageois malgré la réaction musclée d`anciens combattants de la guerre de libération poussés à bout par ces « redresseurs de torts ».

Autour du destin d`El Mahdi, se greffent d`autres récits comme celui de son père, Cheikh M’barek, un charlatan « fécondateur de femmes stériles », croyant dans son délire détenir le pouvoir de ressusciter les morts, du moudjahid Amar Kerrouche -« signant des attestations d`ancien combattant à qui flatte son ego »- ou encore l`histoire du commerçant Djilali Boulahbal « descendu en ville prendre sa part du butin » après l`indépendance.

L`auteur fera croiser ces destins une génération plus tard pour dépeindre une époque où les jeunes deviennent extrémistes, victimes de l`extrémisme ou plus simplement candidats à l`exil, en quête d`une vie meilleure ailleurs.

Entre fiction et réalité, Mohamed Sari restitue une atmosphère empreinte d`une violence extrême, faite de « descentes » opérées par « Les compagnons de la chamelle » dans les maisons closes et les cités universitaires, et l`ignorance de ces derniers dans leur quête de miracle et d`un « tunnel magique menant à la Mecque ».

Né en 1958 à Cherchell, Mohamed Sari est professeur d`université et traducteur de grands écrivains algériens à l`instar de Assia Djebbar, Yasmina Khadra Mohamed Dib, Anouar Benmalek Malika Mokaddem.

Il est l`auteur de romans en Arabe et en Français, notamment « La tumeur », « La carte magique » ou encore « La pluie », et d`essais sur la critique littéraire.

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L’UA « effarée » par les propos de Salvini à propos des migrants africains en Europe

Thu, 09/20/2018 - 01:12

ADDIS-ABEBA – La Commission de l’Union africaine s’est dite « effarée » par les propos du ministre italien de l’Intérieur Matteo Salvini sur l’importation d' »esclaves » africains, et exigé que le politicien d’extrême droite « retire ses déclarations désobligeantes ».

« La Commission de l’Union africaine est effarée par les commentaires formulés par (…) Matteo Salvini durant une récente conférence à Vienne, lors de laquelle il compare les migrants africains à des esclaves », a indiqué la Commission de l’UA dans un communiqué envoyé mardi soir à la presse.

« Dans l’intérêt d’un engagement constructif dans le débat sur la migration entre les deux continents, l’Union africaine requiert que (Matteo Salvini) retire ses déclarations désobligeantes », a ajouté la Commission de l’organisation panafricaine.

Et de poursuivre: « il est de notoriété publique que l’émigration depuis l’Italie durant les deux derniers siècles a été le plus important cas de migration dans l’histoire moderne de l’Europe ».

« L’actuelle +crise migratoire+ en Europe offre une possibilité à l’Afrique et à l’Europe d’entamer un dialogue non seulement sur les questions migratoires, mais aussi plus largement sur la coopération au développement entre les deux continents », a conclu la même source.

Dans une vidéo diffusée le 14 septembre par l’entourage de M. Salvini, on voit ce dernier prendre la parole à une réunion des ministres européens de l’Intérieur et dénoncer l’idée apparemment formulée auparavant par le ministre luxembourgeois des Affaires étrangères Jean Asselborn selon laquelle l’Europe vieillissante a besoin d’immigrés.

« En Italie, nous ressentons l’exigence d’aider nos enfants à faire d’autres enfants. Et pas à avoir de nouveaux esclaves pour remplacer les enfants que nous ne faisons plus », explique le ministre italien, après quoi s’en suit un vif échange entre MM. Salvini et Asselborn.

La polémique a ensuite enflé durant le week-end, lors duquel les deux hommes se sont à nouveau affrontés verbalement, cette fois par médias interposés.

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Palestine: des milliers d’employés de l’Unrwa manifestent à Ghaza contre des licenciements prévus

Thu, 09/20/2018 - 01:10

GHAZA – Des milliers d’employés de l’agence onusienne pour les réfugiés palestiniens ont manifesté mercredi dans la ville de Ghaza contre les licenciements prévus par l’Unrwa pour faire face à l’arrêt  des financements américains.

Plus de 5.000 personnes, parmi lesquelles des personnalités du mouvement  de résistance palestinien Hamas et de hauts responsables d’autres organisations politiques, ont pris part au cortège qui est parti du siège de l’Unwra dans le territoire occupé.

L’Unwra, qui vient en aide à des millions de Palestiniens dans les Territoires et dans la région, joue un rôle primordial dans la bande de Ghaza, confrontée aux agressions israéliennes, à la pauvreté et aux pénuries, et soumise aux blocus.

Deux tiers des Ghazaouis sont des réfugiés et 80% des quelque deux millions d’habitants sont tributaires de l’assistance internationale.

L’Unrwa est confrontée à une grave crise financière avec la décision de Washington de lui couper les fonds. L’Unrwa a annoncé qu’elle allait supprimer 250 postes à Ghaza et en Cisjordanie occupée, autre territoire palestinien, et que 500 autres postes seraient transformés en mi-temps.

L’Unrwa fait travailler à Ghaza 13.000 personnes qui en font vivre des dizaines de milliers d’autres dans l’enclave affligée par un des taux de chômage les plus élevés au monde: 44% en tout, et 61% chez les jeunes selon la Banque mondiale.

Amir al-Machal, du syndicat des employés de l’agence, a annoncé mercredi « une grève générale dans toutes les agences de l’Unwra lundi », première étape vers de futures manifestations.

Les Etats-Unis étaient le plus gros contributeur de l’Unwra, avec 350 millions de dollars versés en 2017.

Les Nations unies ont mis en garde la semaine dernière contre la situation humanitaire « catastrophique » dans la bande de Ghaza.

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Tipasa : Les travaux d’aménagement de la source de Sidi El Kebir toujours en cours

Thu, 09/20/2018 - 01:03

Les travaux d’aménagement de la source de Sidi El Kebir, située à la sortie de la commune d’Ahmeur El Aïn et qui a été à l’origine d’une controverse à propos de la propagation de l’épidémie de choléra, sont en cours, apprend-on auprès de la direction des ressources en eau de Tipasa.

Cette source a été fermée sitôt que les résultats des analyses
de l’Institut Pasteur avaient confirmé la présence d’une forme de vibrion cholérique, même si celui-ci n’était pas à l’origine de la contamination, selon les responsables locaux suite à l’apparition de l’épidémie de choléra dans nombre de wilayas. Les responsables locaux ont joué la carte de la prévention, en décidant de fermer la source, pour ne pas jouer avec la santé des citoyens, selon les propos du directeur de l’hydraulique et des ressources en eau de la wilaya, Ramdane Kerbadj. De plus, comme dit l’adage populaire «à chaque chose, malheur est bon», les responsables ont alors mis à profit la décision de fermeture de la source pour lancer une opération de réaménagement de celle-ci loin de l’oued qui la jouxte et des habitations précaires, un site pollué par les rejets des eaux usées et des déchets ménagers et autres, constituant, en effet, un foyer de risques et d’infestations divers. Au moment du lancement des travaux d’aménagement de la source, les responsables des ressources en eau ont indiqué que sa livraison était prévue dans un mois, soulignant l’accélération des procédures administratives relatives à cette opération. Selon eux, il s’agit, carrément, d’une reconstruction de l’ouvrage de captage avec du béton, de la faïence et autres aménagements pratiques pour y accéder.
Avant son ouverture, il sera, de nouveau, procédé à des analyses approfondies.
L’opération, consistera, a-t-il expliqué, en le remplacement des conduites de cette source d’eau, à savoir la mise en place de canalisations allant de la source au déversoir et l’aménagement de son périmètre et son nettoyage et ce, dans un délai compris entre 20 et 30 jours, tout en prenant en considération l’aspect esthétique du site, qui sera placé sous le contrôle périodique de la DRE. La contamination de la source de Sidi El Kebir a incité les responsables locaux à communiquer davantage sur la situation des 210 sources d’eau potable existant dans la wilaya.
Selon les responsables de la DRE, sur les 210 sources recensées et visitées récemment, il a été décidé la fermeture de plus de la moitié d’entre elles, c’est-à-dire pas moins de 90, considérées comme étant de mauvaise qualité et présentant des risques pour la santé publique.

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L’universitaire français Olivier Le Cour Grandmaison réagit à la déclaration de Macron sur l’affaire Audin : «Les crimes coloniaux, commis par la France, doivent être qualifiés comme ils devraient l’être»

Thu, 09/20/2018 - 01:02

«Si la déclaration d’Emmanuel Macron, au sujet de l’arrestation, de la torture et de la disparition de Maurice Audin, est un immense pas pour la famille, et pour toutes celles et tous ceux qui, depuis cet événement, se sont mobilisés pour que le crime perpétré ce jour-là soit enfin reconnu par les plus hautes autorités de l’Etat

, beaucoup d’autres devront être effectués pour que l’ensemble des crimes coloniaux soient qualifiés comme ils devraient l’être», a déclaré l’universitaire français Olivier Le Cour, dans un entretien accordé à l’APS. Estimant que le « Président et ses conseillers demeurent très en-deçà» de ce qui aurait dû être déclaré, il rappelle que lors de son déplacement à Alger, en tant que candidat à l’élection présidentielle, M. Macron avait déclaré que la colonisation a été un «crime contre l’humanité». L’universitaire notera que le chef de l’Etat français s’est bien gardé de réitérer ses propos en évoquant l’affaire Audin, «alors que les faits visés ressortissent bien à ce type de qualification». L’auteur de « L’Empire des hygiénistes. Vivre aux colonies » (Fayard, 2014), a tenu également à rappeler au chef de l’Etat français que l’article 212-1 du code pénal français explique que sont considérés comme des crimes contre l’humanité «la déportation (…) ou la pratique massive et systématique d’exécutions sommaires, d’enlèvements de personnes suivis de leur disparition, la torture ou les actes inhumains inspirés par des motifs politiques (…) organisés en vertu d’un plan concerté à l’encontre d’une population civile». Et d’ajouter que «pour ménager les militaires, la droite et l’extrême-droite, et sans doute aussi, une partie de son électorat, peut-être aussi pour éviter des procédures judiciaires, cette qualification n’a donc pas été employée alors qu’elle est parfaitement adéquate aux pratiques de l’armée française pendant la guerre d’Algérie et aux crimes commis antérieurement à partir du 8 mai 1945 à Sétif, Guelma et Kherrata, puis en Indochine, à Madagascar en 1947 et le 17 octobre 1961 à Paris». De ce point de vue, la déclaration du président Macron «ne saurait satisfaire celles et ceux qui exigent, parfois depuis des décennies, que ces massacres soient reconnus par les plus hautes autorités de l’Etat», soutient Olivier Le Cour Grandmaison. Abondant dans le même sens, l’universitaire juge que la promesse du président français d’ouvrir les archives est ambiguë. «Soit cela porte uniquement sur l’affaire Audin, et c’est alors singulièrement restrictif, soit cela concerne l’ensemble de la guerre d’Algérie, et la mesure est autrement plus importante. Reste que cet accès demeure le fait du prince», a-t-il expliqué, avant de s’interroger sur le sort «des archives relatives aux événements précités auxquels il faut ajouter le massacres de Thiaroye du 1er décembre 1944 et la guerre, trop longtemps oubliée, conduite au Cameroun entre 1955 et 1971». La législation française sur l’accès aux archives est «une des plus restrictives.
Beaucoup, par le passé, se sont vus refuser l’accès à certaines archives», selon Olivier Le Cour Grandmaison, en comparant cette législation à celles d’autres pays «comme les Etats-Unis et la Grande-Bretagne» Il a annoncé à cet effet que, dans moins d’un mois, le collectif pour la  reconnaissance des massacres du  17 octobre à Paris et sa banlieue se réunira, comme tous les ans, sur le Pont Saint-Michel pour «exiger la reconnaissance de ce crime comme crime d’Etat et l’ouverture de toutes les archives».

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Affaire Sonatrach-ENI : Saipem et son ex-président condamnés

Thu, 09/20/2018 - 01:00

Le groupe pétrolier italien Eni et son ex-patron Paolo Scaroni ont été acquittés mercredi de l’accusation de corruption internationale en Algérie, mais sa filiale Saipem et l’ex-président de cette dernière ont revanche été condamnés.

Le procès, ouvert il y a trois ans, portait sur le versement présumé de 197 millions d’euros de pots-de-vin à des responsables publics algériens, entre 2007 et 2010.

Selon l’accusation, ce versement aurait permis à Saipem d’obtenir des contrats pour 8 milliards d’euros, et à Eni d’avoir l’autorisation de l’ancien ministre algérien de l’Energie Chakib Khelil d’acquérir les droits d’exploitation du gisement de gaz de Menzel, via le rachat de la société First Calgary Petroleums.

Mais le tribunal de Milan a jugé que le second fait n’était pas avéré et que M. Scaroni n’était pas responsable pour les contrats de Saipem.

Saipem a elle été condamnée durant ce procès de première instance à une amende de 400.000 euros et à la confiscation –en lien avec les autres condamnés– de 197 millions d’euros, considérés comme la valeur du pot-de-vin payé.

Et son président à l’époque des faits, Pietro Tali, s’est vu infliger 4 ans et 9 mois de prison.

Il reste libre, comme les autres condamnés, en attendant le procès en appel.

Le 26 février, le procureur Isidoro Palma avait requis des amendes de 900.000 euros contre Eni et Saipem, et deux peines de six ans et quatre mois d’emprisonnement contre MM. Scaroni et Tali. L’affaire avait coûté leur poste aux deux hommes.

L’ex-directeur de Saipem en Algérie, Pietro Varone, a écopé pour sa part de 4 ans et 9 mois de prison et l’ex-directeur financier de Saipem puis d’Eni Alessandro Bernini de 4 ans et un mois.

Du côté des prévenus algériens, dont aucun ne s’est présenté au procès, Farid Nourredine Bedjaoui, un homme de confiance de l’ancien ministre Khelil qui aurait servi d’intermédiaire, s’est vu infliger 5 ans et 5 mois de prison, tandis que Samyr Ouraied, un proche de M. Bedjaoui, et Omar Habour, soupçonné d’avoir participé au blanchiment de l’argent, 4 ans et un mois.

Groupe criminel organisé
Dans un communiqué, Eni a exprimé sa satisfaction, en soulignant que la décision confirmait « le non-lieu prononcé en 2015 par le juge de l’audience préliminaire du tribunal de Milan et actait le fait que la société et le management étaient étrangers à toute conduite illicite ».

Dans cette affaire, « il y a un groupe criminel organisé avec une composante franco-algérienne et de l’autre une structure organisationnelle » à l’intérieur d’Eni et Saipem, avait estimé le procureur.

Il avait évoqué des « éléments de preuve », en particulier des versements, pour des activités fictives, à la société de M. Bedjaoui, Pearl Partners, basée à Hong Kong.

Selon lui, ces pots-de-vin étaient un « carton d’invitation payé par Saipem pour évincer ses adversaires » et s’assurer « les faveurs du ministre (…) Khelil et sa protection lors des appels d’offres ».

Tous les prévenus avaient rejeté les accusations.

L’avocat de M. Bedjaoui, Marco De Luca, a affirmé que son client avait été rémunéré pour son travail d’intermédiaire auprès du gouvernement algérien, mais qui n’incluait en aucun cas le reversement de pots-de-vin.
« Il n’y a aucune preuve dans le dossier qu’un sou soit allé à un responsable public algérien », a-t-il déclaré, estimant que sans identification d’un flux financier vers un dirigeant, le délit de corruption n’existait pas.

L’ex-ministre Khelil n’est ainsi pas prévenu dans ce dossier, très suivi en Algérie.

Ce proche du président Abdelaziz Bouteflika a été limogé lorsque le scandale a été éclaté en 2010. Il a été un temps inquiété par la justice algérienne, qui avait émis un mandat d’arrêt international contre lui alors qu’il se trouvait aux Etats-Unis, mais les poursuites ont été abandonnées en 2015 et il est depuis rentré en Algérie.

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