Algérie 360

Regardons autour de nous quelques exemples des «vrais» aliments contenant de bonnes sources en magnésium :
– 1 banane = 63 mg de magnésium
– 100 g d’escargots = 210 mg de magnésium
– 1 bonne poignée de noix de cajou (20 g) = 52 mg de magnésium
– 10 amandes (10 g) = 22 mg de magnésium
– 2 petites tranches de pain complet (40 g) = 24 mg de magnésium
– 2 figues sèches (40 g) = 32 mg de magnésium
– 1 cuillère à café de cacao en poudre = 25 mg de magnésium
– 1 barre de chocolat (15 g) = 18 mg de magnésium seulement !

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Oui
Il est bien connu qu’une bonne alimentation commence par les yeux !
Une assiette bien présentée, remplie de couleurs, qui réjouira l’œil, déclenchera automatiquement une salivation accrue.
La salive est d’une importance capitale dans l’assimilation des nutriments et essentielle dans la digestion des féculents.

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Morceau de gigot d’agneau, 8 pomme de terre, gousse d’ail en chemise, brin de thym, 100 g de beurre, poivre, sel
Etape 1 – Préchauffer le four à thermostat 7 (210°C).
Etape 2 – Peler, laver, sécher et tailler les pommes de terre en rondelles à l’aide d’une râpe.
Les poser en couches égales dans le fond du plat et parsemer de copeaux de beurre. Déposer les morceaux de  gigot et enfourner.
Etape 3 – Après 15 min, lorsque la viande  commence à dorer, la retourner.
Etape 4 – Laisser cuire encore 15 min et la retourner à nouveau.
Etape 5 – Baisser le thermostat à 6 (180°C) et laisser la cuisson se poursuivre 40 min. Ajouter les gousses d’ail en chemise durant les 30 dernières minutes de cuisson.
Etape 6 – Eteindre et laisser reposer dans le four pendant 10 min.
Etape 7 – Le gigot sera moelleux et les pommes de terre imprégnées d’un délicieux goût d’agneau.

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Masazo Nonaka, l’homme le plus âgé du monde, vient de rendre son dernier souffle. Il avait, alors, 113 ans.

L’homme le plus âgé du monde selon le Guinness des records, le Japonais, Masazo Nonaka, est mort dimanche 20 janvier à l’âge de 113 ans, ont rapporté les médias japonais. « Nous sommes bouleversés », a confié à l’agence Kyodo News sa petite-fille Yuko, « il était comme d’habitude hier et il est parti en toute discrétion ».

World’s oldest man on record dies in northern Japan at age 113; family says Masazo Nonaka died peacefully from natural causes
(Image credit: Kyodo/via Reuters) pic.twitter.com/esvqmmhHZx

— CBC News Alerts (@CBCAlerts) 20 janvier 2019

Né le 25 juillet 1905, il avait reçu le 10 avril 2018 son certificat officiel du Guinness dans sa maison d’Hokkaido, une grande île japonaise située dans le nord du pays. Il laisse derrière lui six frères et une soeur, ainsi que cinq enfants.

Cet amateur de douceurs sucrées et de tournois de sumo à la télévision vivait avec sa famille qui gère une auberge traditionnelle.

Le Japon peut se prévaloir d’avoir été celui de plusieurs doyens, dont Jiroemon Kimura, mort en juin 2013 à 116 ans, et Sakari Momoi, décédé en juillet 2015 à 112 ans.

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L’entraînement en musculation comporte tellement d’avantages comparativement au cardiovasculaire seulement.

En plus de vous faire perdre du poids, rendre vos muscles plus forts et plus endurants, il rendra les activités de la vie quotidienne (soulever les sacs d’épicerie, ranger des boîtes, faire des corvées ménagères) beaucoup plus faciles à accomplir, sans compter que vous remodèlerez votre corps. Plusieurs femmes veulent être minces, fermes et diminuer leur taux de gras. C’est exactement ce que la musculation va vous apporter.

Le cardio et l’alimentation vont vous faire perdre du poids. Mais ils n’amélioreront pas l’apparence de vos muscles et ne vous donneront pas des formes sexy.

De plus, les bénéfices de la musculation vont bien au-delà de tout ceci. Vous serez plus énergique, moins stressée, de meilleure humeur, vous dormirez mieux et vous serez plus résistante aux blessures  d’autres activités comme la course à pieds car les muscles entourant et supportant les articulations sont plus forts.

Entres autres, grâce à l’entraînement en musculation :
• Vous améliorerez votre composition corporelle et brûlerez plus de gras.
• Vous aurez des os plus forts et réduirez les risques d’ostéoporose.
• Vous brûlerez plus de calories et maintiendrez/augmenterez votre métabolisme de base.
• Vous garderez vos muscles fermes et préviendrez l’affaissement musculaire.
• Vous diminuerez votre tour de taille.
• Vous augmenterez votre confiance et votre autonomie.
• Vous réduirez vos maux d’épaules et de dos.
• Vous améliorerez votre équilibre et votre coordination.
• Vous améliorerez votre posture. Pourtant, malgré tous ces avantages, de nombreuses femmes partagent ces fausses croyances sur l’entraînement en musculation, les empêchant d’obtenir les meilleurs résultats possibles, à la fois pour leur apparence et leur santé globale.

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Publié par Kamel Gaci

La RN 9 reliant le chef-lieu de Béjaïa aux autres régions est du pays, à savoir Sétif, Jijel et Constantine, est plus que jamais menacée d’engloutissement par la mer.

Le constat est terrifiant au niveau de l’ex-centre hippique, situé à la périphérie est de Béjaïa où l’eau de la grande bleue a pratiquement envahi toute la végétation encore en vie. Le littoral se rétrécit inexorablement à cause de l’avancée fulgurante de la mer.

Les eaux de cette dernière sont à quelques mètres de la chaussée de la RN 9 et il suffit d’une simple perturbation météorologique pour que tout bascule vers la disparition de cet axe routier névralgique, indispensable et pour les populations du Sahel et pour celles des régions situées vers l’Est.
Le phénomène abusif et récurrent de l’extraction du sable y est pour beaucoup dans cette «colère» naturelle.  Depuis quelques années, la Méditerranée avale des portions inquiétantes du domaine public, notamment sur le flanc est de la capitale des Hammadites. L’érosion maritime cause des dégâts considérables sur les populations qui, souvent, restent ébahies face aux moyens de lutte quasi-inexistants.

Pour rappel, en 1999, les autorités compétentes au niveau de la wilaya, par le biais de spécialistes en la matière, annonçaient une avancée spectaculaire de la mer de 365 mètres et les causes étaient essentiellement dues à l’extraction du sable justement par des commerçants véreux, arrêtés dans la nuit en flagrant délit de chargement de camions de gros tonnage, au niveau de la plage d’El-Maghra, relevant de la commune de Boukhlifa.

L’ex-wali feu Bachir Rahou avait alors requis par arrêté la saisie de tout le matériel composé de chargeurs et de semi-remorques, appartenant aux individus interpellés par la police lors de cette affaire, avant qu’une action en justice ne soit intentée contre les prévenus. Aucune digue de protection n’a, jusque-là, été installée dans les environs, malgré les intentions «rageuses» de la grande bleue. L’on assiste impuissant aux ravages des eaux, semble-t-il, et aucun signal d’alarme n’a été encore tiré du côté des autorités locales.

La population montre du doigt un promoteur qui serait à l’origine de ce désastre. Il a été bénéficiaire d’une parcelle de terrain située sur le domaine maritime, justement dans le cadre du Calpiref pour la réalisation d’un complexe touristique, et ce, depuis des années.

Sur place, un immense chantier est érigé, sauf qu’à l’extérieur du périmètre, aucune réalisation n’est encore faite par l’investisseur en question. Deux grandes grues et une immense centrale à béton sont visibles de l’extérieur, mais tout indique que l’activité exercée sur le chantier est autre que celle portant la réalisation d’un complexe touristique. Qu’attendent les pouvoirs publics pour intervenir face à une catastrophe manifeste et imminente, qui risque d’isoler deux régions importantes de la carte géographique nationale ?

Soulignons qu’au centre-ville de Béjaïa et justement dans le cadre de l’investissement au chapitre  Calpiref, des associations, la population et quelques hommes politiques, dont le député Chafaï Bouiche, activent sans relâche, depuis quelques jours, pour s’opposer à la réalisation d’un hôtel sur un périmètre d’espace vert situé aux 600 logements d’Ihaddaden, un quartier populaire du centre-ville.

Kamel Gaci

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Rachid Nekkaz, le candidat malheureux aux présidentielles de 2014,  s’est présenté ce matin au ministère de l’intérieur afin de retirer le formulaire pour être candidat aux prochaines élections d’avril 2019.

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Les corps de deux personnes, un homme et une femme, se trouvent, depuis le mois de novembre dernier, dans le service de la médecine légale de l’hôpital Hamadou-Hocine dans le chef-lieu de daïra de Sidi-Ali.

Il s’agit, probablement, de deux candidats à l’émigration clandestine dont la tentative a échoué tragiquement et dont les corps ont été déposés à la morgue depuis le mois de novembre dernier. Les deux dépouilles mortelles, malgré leur état en décomposition partielle, sont toujours en cours d’identification avant leur inhumation.

Le processus d’identification  est lent et difficile entre la recherche minutieuse des traces d’ADN, les empreintes digitales et une reconnaissance menée avec les familles.

A. B.

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Les éléments de la police judiciaire relevant de la Sûreté de daïra de Aïn-Séfra ont mis hors d’état de nuire une bande de deux malfaiteurs.

En effet, c’est suite à des plaintes déposées par plusieurs victimes de vol par effraction que les policiers ont entamé leurs investigations. De fil en aiguille, les limiers de la police réussiront à mettre la main sur les cambrioleurs spécialisés dans les vols des propriétés. Après l’arrestation des suspects, des butins volés ont été récupérés par les policiers, a-t-on appris.

Par ailleurs, cinq autres narcotrafiquants ont été arrêtés par les éléments de la police des Sûretés de daïra de Mécheria et Aïn-Séfra, en possession d’une importante quantité de kif traité et de psychotropes.

Les mis en cause ont été présentés devant la justice pour plusieurs délits.

B. Henine

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Publié par A. Rahmane

Les pouvoirs publics à Relizane multiplient, ces derniers temps, des initiatives charitables en direction des personnes nécessiteuses. Pas plus tard que lundi dernier, une belle initiative de solidarité est à mettre à l’actif de la protection civile, de la DAS et de la sûreté nationale, et laquelle a été surtout très appréciée par la population locale.

En effet, en cette période caractérisée par un froid de canard, une vaste opération de ramassage, qui a ciblé les Sans domiciles fixes (SDF), a été réalisée aux différents quartiers du centre-ville de Relizane. Cette action a été exécutée dès 18 h pour prendre fin à minuit, et au cours de laquelle un important dispositif sanitaire et médical a été mobilisé par la protection civile, apprend-on de source crédible. Cet acte humanitaire, à plus d’un titre, a permis, selon toujours la même source, le ramassage de 7 SDF, dont 3 hommes, 2 femmes et 2 enfants.

Après des consultations médicales sur les lieux prodiguées par un médecin de la protection civile, les SDF ont été transférés au centre des personnes âgées, de la plaine ouest, où ils doivent être pris en charge.

Par ailleurs, les policiers de la Sûreté de wilaya de Relizane  nous ont habitués à ces sorties qui tendent à porter secours aux personnes sans domicile fixe et éventuellement les reloger au Centre. Une longue tournée a eu lieu à travers le centre-ville, à la recherche de ces pauvres qui dorment à la belle étoile et qui ont tant besoin de chaleur humaine.

Que ce soit les médecins, l’assistante sociale et les psychologues, la police, l’association El Ihsen, la DAS, le Croissant-Rouge algérien ou la Protection civile, aucune et aucun n’ont ménagé leurs efforts pour persuader les pauvres hères à se laisser prendre en charge et sortir de cette misère dans laquelle ils vivent. Ces derniers n’auront plus à souffrir du froid sibérien qui règne ces derniers jours sur la ville. Bien sûr, c’est toujours la cellule de communication de la Sûreté de wilaya qui dirige cette équipe de bienfaiteurs.

A. Rahmane

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Une nouvelle expédition de 30 000 tonnes de clinker a été effectuée ce dernier week-end par la cimenterie Cilas de Biskra, filiale du groupe Souakri, à partir du port de Annaba à destination de l’Afrique de l’Ouest.

Il s’agit de la troisième opération effectuée à partir de ce port. Les deux premières, d’un total de 80 000 tonnes, ont été expédiées vers la même région de l’Afrique par Cilas, une entreprise activant en partenariat avec LafargeHolcim Algérie.

Cette entité économique est présente en Algérie depuis plusieurs années. Son intervention dans le secteur des matériaux de construction englobe d’autres cimenteries à travers le pays. D’où une production en constante augmentation. Après avoir atteint la satisfaction du marché national, elle s’est dirigée vers l’exportation à travers un programme qui ne se limite pas uniquement au port de Annaba mais concerne d’autres infrastructures portuaires, voire des exportations par route. C’était le cas récemment d’une expédition de 1 000 tonnes de ciment à destination du Niger.

Le choix pour l’exportation de clinker à partir du port de Annaba, l’un des quatre premiers ports du pays, n’est pas fortuit. Il dispose de moyens humains et logistiques importants. Il s’est fait démarquer durant l’année 2018 par une remarquable activité dans le domaine de l’exportation hors hydrocarbures, inversant la tendance du tout import. Son bilan en exportations hors hydrocarbures pour cet exercice, comparativement avec celui de l’année 2017, fait ressortir une hausse de 19,96% alors que les importations pour la même année ont enregistré une baisse même si elle reste légère, passant de 3 051320 tonnes en 2017 à 3 043 240 tonnes en 2018. En effet, le volume total de ce trafic est passé de 1,3 million de tonnes à 1,6 million de tonnes.

Les projections de l’Entreprise portuaire de Annaba pour l’année 2019 dans le domaine des exportations hors hydrocarbures sont à la mesure des efforts fournis par les travailleurs de l’Epan sous une équipe dirigeante menée par un jeune P-dg, Karim Harkati. Elle a tracé pour cette année un ambitieux programme en collaboration avec les services des douanes pour une coordination sans faille afin de faciliter les opérations d’exportation tous azimuts et d’atteindre ainsi les objectifs tracés dans ce domaine. Outre le clinker, le port de Annaba a réalisé durant la même année des exportations de produits chimiques, métalliques, fruits et légumes, produits de la mer et autres.

Au chapitre du temps d’attente des navires, le bilan de l’Epan fait état d’une baisse passant de 3,16 jours en 2017 à 2,81 jours en 2018. Le trafic conteneurs est lui aussi en nette amélioration. Il a atteint 179 436 conteneurs alors qu’il n’a été que de 162 971 en 2017, fait savoir le même document de l’Epan.
A. Bouacha

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La  Direction de l’environnement de wilaya en collaboration avec l’université Abdelhamid-Ibn Badis et le sponsor du groupe industriel Sidi Bendehiba de Mesra ont organisé , mercredi dernier à l’hôtel Hyproc des Sablettes, une des plus grandes manifestations sur l’efficacité des énergies nouvelles.

L’évènement a connu une forte participation des chercheurs de l’université, des experts nationaux, des industriels et des responsables d’autres secteurs intéressés par les énergies nouvelles. Cette rencontre scientifique a été rehaussée par la présence du wali M. Rabehi Mohamed Abdenour, et du recteur de l’université Belhakem-Mustafa.

Lors de ce séminaire, des chercheurs de différents laboratoires ont présenté des thématiques  consacrées particulièrement au développement des nouvelles énergies et leurs applications au système solaire thermique et photovoltaïque et au développement des bioénergies. Lors de son intervention, le recteur de l’Université a mis en exergue les offres de formation de la Faculté des sciences et des technologies en master dans les énergies nouvelles.

D’ailleurs dans cette optique, il a abordé une thématique de l’efficacité énergétique dans le plan de transition énergétique dans la wilaya, mettant les laboratoires de recherche de l’université et des partenaires socio-économiques à la disposition de la politique énergétique.

Revenons aux objectifs de ce séminaire  qui se veut aussi un échange de connaissances en vue de favoriser la synergie entre les chercheurs et de promouvoir les initiatives de recherches et d’innovation. Les participants à ce séminaire se sont félicités de l’engagement du gouvernement en faveur de nouvelles énergies et de la stratégie de transition énergétique et plaident pour la maîtrise de l’énergie dans les différents secteurs de l’économie ayant pour but de diminuer graduellement la croissance de la demande énergétique.

A. Bensadok

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Par Houari Larbi

Les bénéficiaires de ces 70 logements sociaux-participatifs (LSP) ont rendu public un long réquisitoire à l’encontre de l’organisme maître de l’ouvrage et promoteur, coupable, selon ces requérants, «d’être responsable de la lenteur enregistrée dans la conduite des travaux».

Selon les représentants des souscripteurs «il est anormal qu’un tel projet, lancé en 2008, reste encore inachevé avec d’importants glissements de délais», s’indignent les représentants des souscripteurs, qui s’en prennent principalement à la Direction régionale  maître de l’ouvrage, «coupable d’avoir toléré de telles dérives de l’entreprise de réalisation». Ces souscripteurs prennent tout le monde à témoin et «mettent à l’index les malfaçons des trottoirs réalisés hors normes, les canalisations d’eau qui éclatent çà et là et les buses des eaux usées qui sont encore à l’état  d’excavations à ciel ouvert».

Les représentants des souscripteurs de ce projet immobilier réagissent avec une virulence extrême : «Nous accusons les responsables de la Direction régionale maître de l’ouvage de tolérer les retards de l’entreprise qui avait lancé ce projet de réalisation des travaux VRD en avril 2016 et qui, à ce jour, n’a pas honoré les termes du contrat», lancent ces souscripteurs, qui sont formels. «Nous avons sollicité les autorités locales qui à ce jour, dégagent leur responsabilité alors que nous sommes des citoyens algériens. Il n’est pas normal que ces gestionnaires fuient leurs responsabilités», renchérit un autre requérant qui ajoute : «Nous avons terminé les opérations de raccordement à l’eau potable et au réseau électrique à nos frais ; nous avons fait ce que nous avons pu. Nous demandons à ce que le maître de l’ouvrage règle sa part du contrat», fulmine ce dernier.

La requête de ces souscripteurs est violente et précise que «le projet des 70 logements LSP de Koléa remonte à l’année 2008, date de sa mise en chantier ; il a fallu attendre novembre 2017 pour que s’effectue la remise des clés». Ces souscripteurs révèlent en outre que «les travaux de réalisation des VRD ont été entamés en novembre 2016 pour un délai contractuel fixé à six mois. Ces mêmes travaux ont été pris en charge par une entreprise privée, qui a longtemps prétexté que le maître de l’ouvrage ne lui a pas réglé certaines situations».

Ces mêmes souscripteurs viennent récemment interpeller les autorités concernées : «Nous interpellons le wali de Tipasa et le ministre de l’Habitat afin qu’ils constatent de visu ces anomalies ; ce n’est pas normal qu’un tel projet, celui des 70 logements LSP de Koléa, qui a été lancé en 2008 reste encore inachevé pour des travaux qui n’ont pas été menés à terme», s’indignent les représentants des souscripteurs, en indiquant qu’«il a fallu attendre novembre 2017 pour que s’effectue la remise des clés, après bien entendu une intense mobilisation des souscripteurs, via des requêtes adressées aux autorités publiques» .

Houari Larbi

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N. Malik

Ce week-end, le nouveau pôle urbain de la nouvelle ville Adda Benada a croulé sous les déchets de toutes sortes et surtout ménagers. Les habitants, qui ont retroussé les manches pour mettre de l’ordre sur ce volet, dénoncent, cependant, la politique de deux poids deux mesures.

Depuis quelques jours, signalent- ils, seule la cité LSP, située à l’entrée de la cité Bermadia, semble être privilégiée, car quotidiennement entretenue. Côté APC, l’on signale qu’un nouveau mode de gestion des déchets a été intégré, et dont la mission a été confiée à l’entreprise publique de gestion des Centres d’enfouissement technique (EPIC EPWG-CET).

Selon les résidents, celle-ci qui a entamé, tambour battant sa nouvelle tâche de collecte et de transport des déchets ménagers et assimilés, depuis le début de la semaine en cours, semble être loin de maîtriser le problème. Des locataires s’interrogent sur le nombre insignifiant de bacs à ordures mis en place, qui semble être, selon eux, loin de contenir le taux impressionnant des déchets ménagers des tours, surtout lorsqu’on sait que deux familles algériennes seulement peuvent remplir un bac à ordure quotidiennement.

Dans ces conditions, les mouches et les moustiques font forcément partie intégrante du décor en cette période hivernale de ce nouveau pôle urbain, implanté aux abords d’une zone humide. «Une situation qui constitue une menace permanente sur la santé de tous surtout des enfants en bas âge», estiment-ils.

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Oki Faouzi

Une mère de famille native d’Annaba ayant vécue toute sa vie au cœur de la ville dans une très petite maison avec son mari et ses enfants .Après avoir déposé un dossier pour obtenir un nouveau logement un peu spacieux depuis plus de 20 ans. Elle obtient un logement loin de sa ville natale à plus 30 kilomètres dans la nouvelle réalisation de Draa Erich.

Un malheur ne vient jamais seul. Elle s’est retrouvée loin de la vie citadine, entourée d’une zone montagneuse et loin de toute civilisation, la malheureuse femme qui était généreuse, bonne et aimée par tous les gens des quartiers populaires du 11 Décembre 60, de Pont blanc et la place d’Armes, la vieille ville de Annaba a été traumatisée pour penser finalement à mettre fin à sa vie. Avant-hier, après la prière de l’Asr, la cité des 2 000 logements, située dans la nouvelle ville de Draâ Erich, était en émoi et en pleurs.

Cette bonne femme surnommée Badra venait de faire une chute du 4e étage où elle résidait. Les tours de cette cité venaient d’être occupées par les bénéficiaires des 7000 logements et c’est le premier drame que connaît la nouvelle ville. Selon les premières informations glanées auprès des voisins, cette dame âgée de 60 ans souffrait de dépression à cause de cet éloignement brusque. Sa mort a été instantanée. Les éléments de la Protection civile n’avaient plus qu’à constater le décès. La gendarmerie locale a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances exactes de cette chute qui a emporté une mère de famille. La dépouille mortelle a été évacuée vers la morgue centrale aux fins d’une autopsie.

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par A. Z.

Trois jeunes, âgés entre 21 et 22 ans, ont été arrêtés par les éléments de la Sûreté urbaine extra muros de Bekira, dans le cadre d’une affaire d’association de malfaiteurs, possession d’armes blanches de catégorie ‘6′ (fusil à harpon) et agression sous la menace d’arme blanche.

Les faits remontent au début du mois de janvier, quand les services concernés furent alertés par le biais du numéro vert 1548 au sujet d’une agression sous la menace d’arme blanche à la cité du ‘11 Décembre’, à Bekira, indique un communiqué de la cellule des relations publiques de la Sûreté de wilaya.

L’intervention rapide des services de Sécurité a permis d’éviter le pire, car certains malfaiteurs portaient des armes dangereuses, dont un fusil à harpon et un gros couteau. A la vue des policiers, les assaillants se sont dispersés dans la nature, en prenant soin de se débarrasser des armes en leur possession, jetées dans les broussailles.

Les armes en question seront saisies et une enquête ouverte pour retrouver les jeunes qui se préparaient à commettre des agressions en usant d’armes blanches. En possession de preuves irréfutables, les policiers identifieront les trois présumés auteurs de cet assaut manqué, qui seront arrêtés, l’un après l’autre, indique le communiqué de la police.

Ajoutant que les trois mis en cause, après leur confrontation aux preuves obtenues, ont reconnu les griefs retenus contre eux. A l’issue des procédures pénales, signale la même source, les trois mis en cause ont été présentés, ces deux derniers jours, devant le parquet local.

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par A. Z.

Les pompiers ont sauvé, dans la soirée du vendredi 18 janvier, 4 membres d’une même famille d’une mort horrible, à la suite de l’inhalation du monoxyde de carbone. Lors de leur intervention, dans la soirée du vendredi dernier, à 20h45, dans un appartement situé au quartier Djebel El Ouahch, les pompiers de l’unité secondaire Sissaoui Slimane et ceux du centre avancé Bab El Kantara, ont découvert à l’intérieur de la maison les 4 victimes, au bord de l’asphyxie, éprouvant d’énormes difficultés respiratoires, avec d’autres symptômes provoqués par l’inhalation du gaz, comme les vomissements et les étourdissements, indique un communiqué de la Protection civile.

Ajoutant que le monoxyde de carbone qui se dégageait du chauffage, a failli décimer toute la famille composée de quatre membres (le père et la mère, respectivement âgés de 50 et 46 ans, ainsi que leurs fils âgés de 10 et 17 ans. Les victimes ont reçu les premiers soins sur place avant d’être évacuées au CHUC, indique la même source.

Pour mémoire, 3 victimes, un couple et un homme, sont décédées la nuit du jeudi à vendredi, 4 janvier, des suites de l’inhalation du monoxyde de carbone qui se dégageait du chauffage, en sus de 32 autres personnes sauvées d’une mort certaine, durant cette première partie du mois de janvier. Devant la multiplication alarmante des cas d’asphyxie, la Protection civile lance un appel insistant à la prise de toutes les précautions et prendre le temps de vérifier, en cette période, de froid les chauffages et des chauffe-bains, souvent à l’origine de drames incommensurables.

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par Abbad Miloud

Des membres de la société civile et des élus du peuple ont interpellé le ministre de l’Energie sur deux points, lors de la réunion de travail qu’il a présidée, mercredi passé, au siège de la wilaya, à savoir l’électrification rurale et le raccordement au réseau gaz. Concernant le premier point, plusieurs intervenants ont demandé la remise en l’état du réseau électrique suite aux actes de malveillance lors de la décennie noire.

La situation aujourd’hui est qu’il n’existe que l’implantation des supports, tout le reste du matériel n’y est plus : postes, interrupteurs aériens, armement, isolateurs et fils conducteurs. Depuis des années, des habitants veulent retourner à leurs douars respectifs mais conditionnent ce retour par l’alimentation en énergie électrique. Un élu dira : « Notre wilaya a connu une véritable dynamique dans l’aide à l’habitat rural mais très peu d’habitations sont alimentées en énergie électrique.

Le reste est raccordé d’une manière anarchique, ce qui présente un danger réel et permanent notamment pour les enfants ». Ce même élu dira encore que des douars relevant de plusieurs communes, qu’il cita nominativement, n’ont jamais été raccordés au réseau électrique.

Les membres de la société civile et les élus sont unanimes : « Nous demandons un programme pour rattraper ce retard et permettre le retour des habitants à leurs douars respectifs, d’une manière progressive ». Le ministre a instruit le directeur de la Sonelgaz Chlef pour procéder à un recensement exhaustif et le transmettre au ministère de l’Energie.

Pour l’activité gaz, ils ont souligné le nombre important de quartiers dépourvus de cette énergie situés dans les localités déjà irriguées en gaz naturel et nécessitant des travaux d’extension du réseau. Ce problème a été examiné lors de deux sessions ordinaires de l’APW. « Lors de la réalisation d’une distribution publique nouvelle de gaz des quartiers sont omis. Nous demandons de mettre un terme à cette situation qui crée un mécontentement des habitants concernés ».

Un membre de la société civile a fait part au représentant du gouvernement du nombre important des hameaux situés dans les différentes communes et qui n’ont pas encore bénéficié de cette précieuse énergie. Ils vivent un véritable calvaire. Le ministre a également instruit le directeur de la Sonelgaz pour la prise en charge du problème.

La directrice des mines et de l’énergie de la wilaya a informé l’assistance que les travaux de gaz sont en cours de réalisation au niveau de trois localités, en l’occurrence El Hadjadj, El Marsa et Sidi Abderrahmane. « Leur mise en service interviendra dans le courant de ce trimestre, au plus tard la fin du mois de mars prochain, ce qui portera le nombre de localités irriguées en gaz naturel à 30 communes sur les 35 que compte la wilaya. Les cinq autres sont prises en charge ».

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par K. Assia

Dans le cadre de la lutte contre le trafic des stupéfiants, les éléments de la compagnie de la gendarmerie de Sidi el Bachir ont réussi à mettre la main sur une bande de trois dealers. Les mis en cause s’adonnaient à la commercialisation des stupéfiants à Sidi El Bachir et à Hassi Bounif.

En effet, les informations parvenues aux gendarmes ont permis de localiser l’un des dealers. Une perquisition ordonnée dans son domicile a donné lieu à la saisie de 523 comprimés psychotropes, 11g de kif, un montant de 48.000 dinars et une moto. Trois personnes ont été donc arrêtées dans cette affaire. Une enquête a été ouverte par les services de la gendarmerie de Sidi el Bachir.

Notons que le groupement de la gendarmerie d’Oran a traité en 2018 quelque 401 affaires et saisi plus de 23 quintaux de kif traité, 20,4 g de cocaïne et 25.239 comprimés psychotropes. Pas moins 658 individus ont été arrêtés dont 312 ont été écroués.

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Publié par Nedjma Merabet

Les Algérois abordés hier dans les rues de la capitale pour connaître leur avis sur la prochaine présidentielle se divisent en deux catégories de personnes : celles qui se désintéressent complètement de la vie politique, souvent des jeunes, et celles qui tentent, tant bien que mal, de se forger une opinion objective, «difficile à faire émerger tant les acteurs sont embourbés dans une démarche politicienne éloignée de toute analyse sérieuse», selon un monsieur approché pendant qu’il achetait son journal dans un kiosque.

Bien entendu, la première catégorie est la plus nombreuse, en témoigne le sondage établi par l’association RAJ l’an dernier, établissant que moins de 1% des jeunes sont adhérents dans un parti, et que les élections présidentielles n’attirent que 40% d’entre eux, sans pour autant qu’ils aillent jusqu’au scrutin.

Il y a indéniablement une distanciation de la population concernant la vie politique, de nombreux citoyens affirment ne faire confiance ni au pouvoir, ni à l’opposition, qu’ils considèrent comme complices dans des gesticulations de politique politicienne et d’opportunisme lancinant.

Un ancien cadre du ministère des Transports sourit en pensant à l’opposition : «Regardez le chef de Hamas, il est tellement perdu qu’il ne voit plus clair, il est presque à plaindre ! Aucun d’entre eux (l’opposition) n’a de projet de société viable à nous proposer.» Mais s’agissant de la présidentielle directement, le monsieur considère toutefois que le pouvoir est plus sérieux que l’opposition, et que ce soit Ouyahia, Hamrouche, ou un cinquième mandat pour Bouteflika, le fond ne changera pas, car de nombreux paramètres trop complexes et trop importants conditionnent un tel rendez-vous politique. Il insiste également pour rappeler ses observations quant au désintérêt général de la population pour la politique et pour les élections !

Un autre citoyen interrogé sur la «presque» candidature de Ali Ghediri, se pose la question de qui est ce monsieur. Pour lui, le vide sidéral d’alternative ne dénote qu’une seule chose : «Aucun d’entre eux ne fait le poids face à Bouteflika, même dans cet état !» et s’en va avec un large sourire de satisfaction, ayant exprimé l’essentiel de sa pensée.

A savoir quels sont ses sentiments profonds vis-à-vis du président de la République ou de toute la famille politique. Un mélange de rejet, de respect, d’orgueil, de rancune, de mépris et de frustration, saupoudrés d’une bonne dose d’ironie à l’algérienne émane de ces discussions spontanées avec les citoyens au sujet de cette échéance qui fait couler beaucoup d’encre, mais fait jaillir peu d’idées pertinentes.

Nombreux sont les citoyens qui disent ne pas porter l’actuel Président dans leur cœur, mais qui tiennent à exprimer leur soutien avec sa situation surréaliste. L’empathie et la sensibilité des Algériens prennent le dessus sur les questions politiques, ce qui confirme encore leur désintérêt manifeste pour l’actuelle vie politique.
Cependant, plusieurs d’entre eux, dont l’âge varie souvent entre 50 et 60 ans environ, ont catégoriquement rejeté les noms de Hamrouche et Benflis, préférant de loin l’actuel Président, malgré son état.

A vrai dire, il semble que la pratique politique collégiale en cours convient parfaitement à la sociologie algérienne, sans vouloir évoquer le parcours global de l’homme d’Etat. D’autres qui sont catégoriquement opposés à un cinquième mandat avouent facilement qu’il n’y a aucune autre alternative à leurs yeux, mais restent sidérés et indignés d’une telle situation.

Qu’ils soient étudiants, travailleurs, chômeurs ou même artistes de rue, la majorité des jeunes se sentent très éloignés de la politique et a fortiori de l’élection présidentielle à venir.
Pour la plupart, ils ne savent même pas à quoi correspond la convocation du corps électoral. Leurs préoccupations sont bien plus immédiates, et ils ne considèrent pas que leur adhésion à la vie politique puisse changer quoi que ce soit.

Nedjma Merabet

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