Algérie 360

Tahar Mansour

        C’est devenu une vraie plaie, au propre comme au figuré ! Souvent, des travaux de réfection et de revêtement des routes sont entrepris par les autorités concernées, au grand bonheur des piétons et des automobilistes, surtout ces derniers qui peuvent enfin circuler de manière assez normale, sans avoir à slalomer entre les ornières et les crevasses, rêvant enfin de ne plus être obligés de changer chaque semaine la suspension de leurs voitures.

Mais, très vite, avant même que le goudron sèche complètement, nous voyons des engins se mettre en place pour creuser la chaussée par des chantiers où sont utilisés des marteaux-piqueurs mis en place et la dégradation commence, devant les yeux incrédules des habitants et des passants, piétons et automobilistes. Nous avons demandé à un chef de chantier qui s’apprêtait à creuser une tranchée à travers une route nouvellement refaite à neuf pourquoi il n’a pas creusé avant la pose du bitume et il nous répondit que : « ce n’est pas de ma faute, il n’y a aucune coordination entre les services et je viens juste de recevoir l’autorisation ».

Qui est responsable des réfections des routes ? C’est l’APC. Qui délivre les autorisations pour creuser ? C’est encore l’APC. La question se pose d’elle-même. Ceci d’un côté. De l’autre, le garant de la bonne marche des affaires de la cité, c’est toujours et encore l’APC qui doit veiller à ce que les routes refaites à neuf ne soient pas creusées juste après, surtout celles-là. Pour les autres routes, il y a toujours une clause dans tous les cahiers de charges qui oblige l’entreprise ou le particulier qui creuse dans un espace public à remettre les lieux dans l’état où il les a trouvés, mais cela n’arrive presque jamais. Les ouvriers arrivent, coupent la route de manière aléatoire, n’importe quand et n’importe comment, creusent, jettent toutes sortes de détritus alentour, terminent leur travail, plient bagages et puis s’en vont, laissant l’endroit dans une saleté repoussante, avec des gravats qui bloquent une partie de la route, le trottoir et, bien entendu, une tranchée refermée à la va-vite, sans compactage du remblai ni remise de bitume. Ce n’est pas uniquement la wilaya de Blida qui est concernée par ce phénomène de laisser-aller, mais l’ensemble du territoire national, sauf peut-être là où les membres et les responsables des communes font leur travail convenablement. Il y a des instances qui emploient des dizaines de fonctionnaires chargés de veiller justement à préserver les lieux publics de toute dégradation. Avant, quand l’administration faisait son travail, il y avait les gardes-champêtres qui veillaient au grain ; il y a actuellement les services techniques des APC et les services de sécurité chargés de l’environnement, mais ils sont totalement absents. Quand donc les citoyens de ce beau pays comprendront-ils qu’ils doivent remettre les lieux publics en leur état initial s’ils y exécutent des travaux ? Jusqu’à quand nos concitoyens vont-ils vivre ce laxisme qui cause des gênes et des dommages à leurs voisins et à eux-mêmes ?

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Farid Haddouche

       Les vétérinaires de l’inspection des services agricoles (DSA) appuyés par les éléments de la police de la sûreté de Bouira, viennent de saisir une quantité de 980 kg de viandes blanches de volaille, dinde et abats. Cette production avicole dont la provenance n’a pas été justifiée, se trouvait dans les locaux des commerçants du marché couvert de la ville de Bouira. Cette marchandise qui a été soumise au contrôle, en présence des vétérinaires de l’inspection des services agricoles (DSA) et des agents de la police, a révélé qu’elle ne comportait pas d’étiquetage, donc sa provenance reste inconnue Le défaut des certificats sanitaires a été également observé par les vétérinaires de la DSA. Il a été encore révélé que certains certificats sanitaires qui ont été présentés par les mis en cause ont été jugés non conformes aux normes réglementaires et, de ce fait, à la consommation, d’où la décision immédiate de saisie de cette quantité de viande qui a été exécutée par les forces de police. La marchandise confisquée fut directement acheminée au centre d’enfouissement technique (CET) de Bouira, pour procéder à son enfouissement et à sa destruction. Le dossier des commerçants contrevenants, et qui sont au nombre de 7, a été transmis à la justice qui décidera des poursuites à entreprendre à leur encontre.

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A. Z.

       Un automobiliste est tombé dans le « piège » de la tranchée creusée sur la moitié de la route, à l’entrée de la nouvelle ville Ali Mendjeli, et laissée sans balises de protection ni autres signalisations. L’accident a eu lieu en début de soirée du vendredi, et le chauffeur s’en est sorti indemne, alors que son véhicule a été endommagé sur plusieurs parties, selon des témoins. Cette tranchée, creusée sur la moitié de la route à double voie, au niveau d’une artère principale de la nouvelle ville Ali Mendjeli, pour installer de gros tuyaux d’évacuation des eaux pluviales, constitue un véritable danger pour les automobilistes, notamment en nocturne, où les risques de faire des chutes dedans sont multipliés par un faible éclairage des lieux. De nombreux appels au placement de balises de protection ou de signalisation ont été lancés par les automobilistes sur le réseau social facebook, bien avant cet accident.

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A. El Abci

Le siège de la wilaya, à la cité Daksi Abdesselem, a abrité hier l’opération de tirage au sort du quota exceptionnel de 2.000 passeports de hadj supplémentaires, à l’échelle nationale, accordé par le président de la République au profit des citoyens âgés de 70 ans et plus et qui se sont inscrits plus de 10 fois sans succès.

Le nombre de candidats inscrits pour l’opération, au niveau de la wilaya, s’élève à 760 personnes dont la majorité ont participé à la cérémonie du tirage au sort en question, pour un quota de 50 passeports, en augmentation de cinq places par rapport à l’année précédente. Selon le directeur de la réglementation et des affaires générales (Drag) de Constantine, Chellali Dekkiche, l’opération du tirage au sort s’est déroulée dans de bonnes conditions. Soulignant, dans ce sillage, que le nombre total des candidats inscrits est de 767 (350 hommes et 417 femmes) et que tous les moyens humains et matériels ont été mobilisés pour le succès de l’opération, de même qu’une commission a été mise en place présidée par le Drag, avec deux membres représentant l’APW et la direction des affaires religieuses, en plus de deux citoyens pour la supervision.

Concernant les conditions que doit satisfaire l’accompagnateur de la femme, ayant été désignée au tirage au sort pour le pèlerinage, le directeur de la réglementation et des affaires générales fera observer que la femme s’inscrit avec son mari ou un accompagnateur qui doit satisfaire aux mêmes conditions que celles qui sont les siennes, à savoir être âgé de 70 ans et plus et s’être porté candidat plus de 10 fois pour le hadj. Dans la phase devant succéder directement à l’opération de tirage au sort, poursuit-il, le hadji doit se faire délivrer le certificat de réussite et en vertu de ce document, le concerné doit se soumettre aux autres dispositions, à l’instar des vaccinations, le paiement des redevances aux banques, etc.

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A. Z.

      Un enfant de 5 ans a été mortellement heurté, dans l’après-midi d’avant-hier, par un camion semi-remorque sur la RN 79, près de la localité d’El Melha, commune d’Ibn Ziad. Un accident tragique qui a mis en émoi les habitants de ce petit village situé en bordure de cette RN 79, particulièrement meurtrière, puisque de nombreux accidents mortels y sont régulièrement signalés. Les sapeurs pompiers de l’unité secondaire Guedjali Ahcène, qui se sont rendus sur le lieu de l’accident, à 15h45mn, n’ont fait que constater le décès sur place de la victime, signale un communiqué de la Protection civile.

Son corps a été transféré vers la morgue de l’hôpital El Bir, ajoute la même source. Une enquête a été ouverte par la Gendarmerie nationale pour déterminer les causes exactes de cet accident tragique qui a plongé les parents et les proches de la victime dans des souffrances incommensurables.

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A. Z.

L’intervention des sapeurs-pompiers de l’unité principale de la nouvelle ville Ali Mendjeli, dans la matinée d’hier à 08h 24mn, au niveau d’un appartement de l’unité de voisinage n° 7, a permis de sauver la vie de deux (2) membres d’une même famille.

Il s’agit d’une femme âgée de 60 ans et un jeune de 25 ans, trouvés dans un état critique, souffrant de difficultés respiratoires, de vomissements et de maux de tête, à la suite de l’inhalation du monoxyde de carbone se dégageant d’un chauffage défectueux, indique un communiqué de la Protection civile.

Après avoir reçu les premiers soins sur place, les victimes ont été évacuées vers l’hôpital de la nouvelle ville Ali Mendjeli, souligne la même source. Rappelons que dans un récent bilan, les services de la PC signalent que lors de ce dernier mois de janvier 2019, pas moins de 3 victimes ont été tuées par le monoxyde de carbone, alors que 98 autres personnes (12 hommes, 42 femmes et 44 enfants) ont été sauvées in extremis suite à des interventions des sapeurs-pompiers.

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A. Z.

       Deux (2) individus, âgés de 24 ans, présumés impliqués dans une affaire de possession et commercialisation illégale de psychotropes, ont été arrêtés, ces derniers jours, par les éléments de la 1re Sûreté urbaine. Agissant sur renseignements faisant état de l’écoulement de psychotropes au niveau du centre-ville, les policiers identifieront le suspect et localiseront l’endroit où il s’adonne à son vil commerce, avant d’encercler le périmètre et procéder à son arrestation, ainsi que son complice, qui faisait le guet, indique un communiqué de la cellule des relations publiques de la Sûreté de wilaya. La fouille préventive des suspects et les lieux immédiats permettra aux policiers de découvrir 195 comprimés psychotropes de différentes marques et une somme d’argent évaluée à 1.650 DA de différentes pièces de monnaie, considérée comme revenu de la vente des comprimés psychotropes. L’enquête aboutira à la saisie d’une autre quantité de psychotropes et 6 armes blanches prohibées, ajoute la même source. Les deux mis en cause ont été présentés devant le parquet local, à l’issue des procédures pénales, indique le communiqué de la police.

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A. Ouélaa

  La Base de l’Est qui fait partie du paysage de la glorieuse révolution de Novembre, sur laquelle beaucoup a été dit, sans qu’il existe quelque part, hormis des témoignages, des réflexions ou des fragments d’histoires éparses, un livre sur les circonstances de sa création vient d’être édité et dont l’auteur est l’intellectuel et homme politique Ibrahim Laskri.

Le fondateur de la Base de l’Est, son rôle et ses missions, sont décrits après un long travail d’investigation et de témoignages auprès d’acteurs clés parmi les moudjahidine dont Amara Bouglez. Des efforts couronnés par un livre de 400 pages.

Selon M. Adel Safi, directeur de la culture de la wilaya d’El Tarf, à l’occasion de la Journée du chahid coïncidant avec le 18 février, l’auteur de ce livre donnera une conférence sur la naissance de la base de l’Est, dans la soirée du 17 février, qui sera suivie d’une vente dédicace.

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R. N.

La facture d’importations des produits alimentaires a atteint 8,573 milliards de dollars, en 2018, en hausse de 1,6% par rapport à 2017, selon les chiffres du Centre national des transmissions et du système d’information des Douanes (CNTSID). Cette hausse a été tirée essentiellement par la facture d’importation des céréales – semoule -farine et les tourteaux de soja, selon la même source.

Par catégories de produits, la facture des importations des céréales-semoule – farine a grimpé à 3,1 milliard usd, en 2018 contre 2,77 milliard usd, en 2017, (+11,55%). Quant aux importations des tourteaux de soja, elles se sont chiffrées à 619,8 millions usd contre 422,8 millions USD (+46,6%).

Par contre, la facture d’importation de 5 autres produits alimentaires (lait et produits laitiers, sucre et sucreries, café-thé, légumes secs et viandes) a connu une baisse, par rapport à l’année 2017.

En légère baisse, le lait et produits laitiers ont été importés pour 1,4 milliard usd contre 1,409 M.usd (-0,65%) : les sucres et sucreries pour 815,54 millions usd (-21,15%) ; Les légumes secs pour 387,32 millions usd contre 450,44 millions usd (-14,01%). De même, le montant des importations du café et thé a baissé à 367,56 millions usd contre 423,77 millions usd (-13,26%).

Les importations des viandes ont légèrement reculé à 186,24 millions usd (-1,4%). En dehors des produits cités, précédemment, la facture du reste du groupe des produits alimentaires a atteint 1,70 M.usd, en 2018 contre 1,73 M usd en 2017. Quant aux huiles destinées à l’industrie alimentaire (groupe des biens destinés au fonctionnement de l’outil de production), leurs importations ont totalisé 926,10 millions usd en 2018 contre 850,36 millions usd, en 2017, soit une hausse de 9%.

Ainsi, la facture globale du Groupe des produits alimentaires et des huiles destinées à l’industrie alimentaire s’est chiffrée à 9,5 M.usd en 2018 contre 9,3 Musd en 2017.

Plus de 2,1 milliards de dollars de médicaments

Pour ce qui concerne la facture d’importation des médicaments (classés dans le Groupe des biens de consommation non alimentaires), elle s’est établie à 2,166 M.usd contre 1,892 MUSD, en 2017, soit une augmentation de 14,44%. Ces hausses des factures d’importation des produits alimentaires et des médicaments interviennent malgré la mise en place de nouveaux mécanismes d’encadrement des importations de marchandises pour réduire le déficit commercial et promouvoir la production nationale.

Pour rappel, ces nouveaux mécanismes d’encadrement des importations de marchandises, dont des produits alimentaires (hors produits alimentaires stratégiques) prévoyaient la suspension provisoire d’importation de plus de 800 produits et l’instauration de mesures, à caractère tarifaire prévues par les dispositions de la loi de Finances 2018, et ce, à travers l’élargissement de la liste des marchandises soumises à la Taxe intérieure de consommation (TIC) au taux de 30% et le relèvement des droits de douane pour des produits alimentaires. En outre, la loi de Finances complémentaire 2018, a institué un Droit additionnel provisoire de sauvegarde (DAPS) pour les opérations d’importation de marchandises, qui est fixé entre 30% et 200%.

Son décret exécutif, promulgué, en janvier 2019, a fixé la liste des marchandises (1.095 produits) qui peuvent, désormais, être importées mais qui sont soumises au Droit additionnel provisoire de sauvegarde (DAPS) variant entre 30% et 200%.

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A. Ouelaa

Un dispositif renforcé de la police a été déployé hier dès 05h du matin pour empêcher un rassemblement des blessés de la décennie noire et des radiés de l’armée, à l’appel de la coordination nationale des retraités de l’armée.

Venus de quinze wilayas de l’Est, avec l’appui et le soutien des autres membres de cette coordination du centre et de l’ouest du pays, selon Aissa Bouzrara, coordinateur de l’Est, les membres de cette coordination, devant le dispositif de police déployé pour la circonstance, ont été empêchés, pratiquement de Dréan, en passant par Besbès, puis Boutheldja jusqu’à El Tarf, de garer leurs véhicules. Dans la foulée de cette mesure, même les citoyens non concernés par ce mouvement n’ont pu se rendre à leur destination.

Les protestataires, comme acculés, se sont retrouvés au poste frontalier d’Oum Théboul où ils ont observé un sit-in, vers la mi-journée. Selon le coordinateur de ce mouvement, ils étaient plus de 2 000 personnes à s’être rendus dans la wilaya d’El Tarf pour un rassemblement au niveau de la salle Ahmed Bétchine afin de débattre de leurs préoccupations socioprofessionnelles comme la revalorisation de leurs pensions. A notre question de savoir s’ils avaient une autorisation, notre interlocuteur a répondu par l’affirmative mais par la suite le ministère de l’Intérieur l’a annulée. Et d’ajouter que cette coordination, contrairement à l’organisation des retraités qui préfère les bureaux, revendique des choses sensées et œuvre pour la justice et l’équité entre les retraités d’une même institution.

Enfin, dans l’après-midi et après des négociations avec les services de la sécurité, et pour préserver le calme et la quiétude tout en évitant tout dérapage, une longue marche a été entamée à partir du rond-point de l’entrée de la ville, du côté de la gare routière jusqu’à la sortie. Par la suite les contestataires se sont dispersés.

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 Le Collectif citoyen de la communauté algérienne établie en France, association créée en octobre dernier, a apporté samedi à Paris son appui et son soutien à la candidature d’Abdelaziz Bouteflika pour l’élection présidentielle prévue le 18 avril prochain.

Le collectif, qui a réuni son conseil central élargi au siège du Centre culturel algérien de Paris, a souligné qu’il enregistre avec une « grande satisfaction » le contenu « responsable, sage et patriotique » du message à la nation du président Bouteflika, dans lequel il a annoncé sa candidature pour un nouveau mandat, et notamment son « attention particulière » en direction de la communauté algérienne établie à l’étranger et « la prise en charge de ses préoccupations » et son « implication » dans le développement national.

Composé de membres fondateurs, de membres du conseil central, de coordinateurs régionaux, de militants du mouvement associatif et des acteurs de la société civile en France, le collectif a décidé d’apporter sur le terrain sa « contribution » dans le domaine de la sensibilisation, de la mobilisation pour « garantir une participation massive et consciente » à l’élection présidentielle.

Pour les membres du conseil central élargi du collectif, « l’Algérie a besoin de la contribution de ses fils et à leur tête le moudjahid Abdelaziz Bouteflika pour continuer de se construire dans la paix, la fraternité, la sécurité, la concorde et la stabilité », soutenant qu’avec le président Bouteflika et « pour l’Algérie », ils poursuivront « l’édification dans la fidélité ».

Par ailleurs, au cours de ses travaux, le collectif a examiné, outre la prochaine élection présidentielle, sa structuration organique et son programme trimestriel.

Les présents à cette réunion ont convenu, dans ce cadre, d’un programme organique pour mettre en place des structures au niveau des régions de France, selon le découpage consulaire algérien dans ce pays pour une « meilleure prise en charge » des problèmes de la communauté.

Ils ont également décidé de s’investir « totalement » et d’œuvrer « sans relâche » au renforcement des liens avec l’Algérie, en développant des actions « multiples » de rapprochement et de coordination avec la société civile nationale en Algérie et en établissant des passerelles « permanentes ».

Dans son intervention, le président du conseil national citoyen, Mohamed Mahrez Lamari, a indiqué que le collectif va initier et développer des actions allant dans le sens du renforcement des liens des membres de la communauté nationale établie en France avec le pays, soulignant qu’avec de nouvelles structures, le collectif sera « plus performant ».

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Le président du Mouvement El-Islah, Filali Ghouini, a réaffirmé samedi à Sétif, le souci de sa formation politique de « contribuer efficacement » au succès de la prochaine échéance présidentielle et consentir ses efforts au profit du candidat, M. Abdelaziz Bouteflika, lit-t-on dans le communiqué de ce mouvement politique.

Lors d’un meeting organisé par le mouvement d’El-Islah à Sétif, à l’occasion de la célébration de la Journée nationale du Chahid, M. Ghouini a annoncé l’entame par le Mouvement, de l’action sur le terrain, à travers la distribution de formulaires de signature au niveau des bureaux de wilaya et l’élaboration d’un programme spécial pour animer la campagne dans les différentes wilayas, au profit du candidat Bouteflika.

M. Ghouini a également souligné l’engagement du Mouvement El-Islah en participant à toutes les activités qu’organisent les partenaires, « parmi ceux qui partagent la même position », a-t-il précisé, et ce, en application des conclusions issues de la réunion de coordination qui a regroupé le Directeur de campagne, Abdelmalek Sellal et les chefs des partis soutenant le candidat, M. Abdelaziz Bouteflika.

Réitérant la satisfaction de sa formation politique du message du président de la République adressé à la Nation, pour le programme qu’il comportait, notamment le projet de la conférence nationale inclusive à même de regrouper l’ensemble les acteurs sur la scène nationale, M. Ghouini a souligné que le choix pour le candidat Bouteflika « est le plus sûr », étant  » le plus apte à concrétiser un consensus politique avec une large base populaire ».

Lors de ce rassemblement qui a également rendu hommage aux familles des deux martyrs Saâl Bouzid et Cheik El Aifa, M. Ghouini a réaffirmé « la fidélité du Mouvement au message des chouhada et à la sauvegarde de leur legs, tout en œuvrant avec tout un chacun à la défense des institutions de l’Etat et du projet civilisationnel de l’Algérie ».

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 Au moins 550 lycéens issus de 65 établissements scolaires secondaires de Constantine ont pris part à la première étape de la 11ème édition du Grand concours « Cirta Science » de l’association locale Sirius d’astronomie, tenue samedi au palais de la culture Mohamed Laid El Khalifa.

Cette première étape du concours est destinée à la sélection d’une soixantaine de lauréats qui passeront l’ultime test, prévu pour le 16 avril prochain à l’occasion de la célébration de « Youm el Ilm » (journée du savoir), à l’issue duquel, les noms des trois lauréats seront connus a précisé à l’APS, le président l’association Sirius, Jamal Mimouni.

Il a ajouté que les lauréats de cette 11ème édition de Cirta Science effectueront un voyage en Jordanie à la fin de l’été prochain, où ils visiteront la cité antique de Pétra et l’accélérateur de particules du Moyen-Orient.

M. Mimouni a relevé que le nombre de lycéens postulants au concours Cirta-Sciences a considérablement augmenté depuis la première édition en 2008, passant de 300 lycéens à 550 jeunes scolarisés du palier secondaire en 2019, expliquant le fait par l’importance que n’a cessé d’avoir ce rendez-vous scientifique et éducatif parmi les lycéens ces dix dernières années.

Le président de l’association Sirius a également attesté que cet engouement des lycéens sur ce concours « reflète l’intérêt des jeunes pour les sciences et leur désir d’enrichir leurs connaissances ».

Rappelant que le concours Cirta Science vise à créer une atmosphère compétitive parmi les lycéens et à les motiver à aimer les sciences, M. Mimouni a souligné que des sujets de culture générale, en relation avec les sciences physiques et l’astronomie sont proposés aux participants. A signaler que ce concours est organisé en collaboration de la direction locale de l’éducation et de l’Assemblée populaire de wilaya (APW).

Les trois lauréats du concours Cirta Sciences de l’année 2018 ont visité la Pologne lors d’un voyage intitulé « Sur les traces de Copernic », savant polonais considéré, aujourd’hui encore, comme étant « le père de l’astronomie moderne par la communauté de l’astronomie mondiale », ont indiqué les organisateurs.

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 Le président du parti Tajamou Amel El Djazair (TAJ), Amar Ghoul a insisté, samedi à Sidi Bel-Abbès, sur la nécessité de préserver l’unité nationale, de raffermir les liens entre les Algériens, d’éradiquer les germes de discorde et de répandre la culture de fraternité et de solidarité.

Animant un meeting en présence de cadres et sympathisants du partis, Amar Ghoul a souligné que « la préservation de l’unité nationale nécessite de prémunir l’Algérie contre les menaces qui la guette et d’édifier un Etat fort dont nous aspirons tous ».

Il a mis en exergue l’importance de la conférence nationale qui sera organisée après les présidentielles du 18 avril et son impact sur « la préservation de l’unité nationale, le renforcement et l’approfondissement de la réconciliation nationale, la valorisation des réalisations et acquis depuis l’indépendance et l’immunisation de l’Algérie contre les dangers et les menaces ».

« Nous attendons de cette conférence des réformes, de grandes décisions, des amendements profonds de la Constitution, une restructuration et une consolidation des institutions de l’Etat dans tous les domaines », a-t-il déclaré, estimant que cette rencontre nationale constituera « un grand acquis » qui s’ajoute aux autres réalisés et un « important espace pour exprimer des avis et des idées en toute liberté et démocratie, proposer des solutions et corriger des dysfonctionnements ».

Le président de TAJ a insisté sur la mobilisation de tous pour la réussite de la prochaine présidentielle, réitérant la position de son parti de soutien au candidat Abdelaziz Bouteflika qu’il a justifié par « la poursuite de son œuvre d’édification du pays ».

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Le général de corps d’Armée Ahmed Gaïd Salah, vice-ministre de la Défense nationale, chef d’état-major de l’Armée nationale populaire (ANP), a entamé samedi une visite officielle aux Emirats Arabes Unis, en qualité de représentant du président de la République, chef suprême de Forces armées, pour prendre part au 14ème Salon International de Défense « IDEX-2019 » à Abou Dhabi, indique un communiqué du ministère de la Défense nationale.

« En qualité de représentant de son Excellence monsieur le Président de la République, chef Suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale et sur invitation de Son Altesse cheikh Mohamed Ben Rached Al Maktoum, vice-président de l’Etat, président du Conseil des ministres, Gouverneur de Dubaï et ministre de la Défense des Emirats Arabes Unis, le général de corps d’armée Ahmed Gaïd Salah, vice-ministre de la Défense nationale, chef d’Etat-Major de l’Armée nationale populaire, a entamé aujourd’hui samedi 16 février 2019, une visite officielle aux Emirats Arabes Unis, pour prendre part au 14ème Salon International de Défense ‘IDEX-2019’ à Abou Dhabi », a précisé la même source.

« Monsieur le Général de corps d’Armée a été accueilli avec les honneurs militaires à l’aéroport Al Botain de Abu Dhabi, par Monsieur Mohamed Ahmed EL Baouardi ministre d’Etat des Affaires de défense émirati, le Général-Major Faris AL-Mazroui ministre d’Etat, conseiller des Affaires présidentielles des Emirats arabes Unis, ainsi que des responsables militaires des Forces armées émiratis, où il leur a transmis les salutations de son excellence Monsieur le Président de la République Abdelaziz Bouteflika au gouvernement et peuple Emiratis », a ajouté la même source.

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“La police est une institution de sécurité par excellence qui ne peut pas travailler sans le concours franc, efficace et permanent de l’Armée et de tous les corps de sécurité”, a affirmé Abdelkader Bouhadba, fraîchement nommé à la tête de la DGSN en remplacement de Mustapha Lahbiri.

Lors de la cérémonie de passation de pouvoirs, Bouhadba a dit qu’il s’efforcerait de mettre toute son énergie et son expérience qu’il a acquise sur le terrain pour être à la hauteur du poste qu’il vient d’hériter, sans manquer de remercier le chef de l’Etat pour la confiance qu’il a placée en lui en le nommant à la tête de la Police nationale.

“Mon retour parmi vous a pour but d’aller de l’avant avec détermination et abnégation pour le meilleur et dans et d’être au service de la patrie et des citoyens”, s’est-il adressé au commandement de la police.

“La police est une institution de sécurité par excellence qui ne peut pas travailler sans le concours franc, efficace et permanent de l’Armée et de tous les corps de sécurité”, a dit le nouveau Directeur général de la Sûreté nationale, affirmant que son département travaillera avec l’ensemble des secteurs concernés sous le conduite du ministre de l’Intérieur, en veillant à la réalisation des objectifs communs, entre autres la sécurité, la paix et la protection des personnes et leurs biens.

“Nous allons préserver ce qui a été réalisé, à savoir la sécurité et la stabilité, et ce grâce à la politique du président de la République, les sacrifices et l’abnégation de l’Armée et des différents corps de sécurité. Ayant la conviction que le citoyen est la base de la sûreté, nous œuvrerons à développer nos relations avec la société civile, les organisations et les individus”, a-t-il poursuivi.

“Je profite cette occasion pour dire ma conviction ancrée que la presse nationale a particulièrement un rôle prépondérant à jouer pour inculquer et  développer l’aspect sécuritaire chez les gens et la prévention des fléaux sociaux”, a-t-il estimé.

Moussa. K.

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Avant-hier soir, on a assisté à un match à rebondissements au Roazhon Park entre le Stade Rennais et Bétis Séville pour le compte des 16es de finale aller de l’Europa League. Un match qui s’est soldé par un score de parité (3-3). Pourtant, les Rennais menaient à la pause (3-1) avant que les Andalous ne reviennent en force en deuxième mi-temps et n’arrachent ce résultat nul. Zeffane, titulaire sur leôcoté gauche de la défense, a été passeur sur l’ouverture du score dès la 2’ de jeu. Quant à Aïssa Mandi, qui a également joué tout le match, il a été l’auteur d’un match très solide et cela en dépit des trois buts encaissés.
Revoilà Bensebaïni
La belle surprise de ce match fut le retour de Ramy Bensebaïni. En effet, le défenseur algérien de Rennes, blessé depuis plus d’un mois aux Ischio-Jambiers, est désormais bien rétabli, lui qui a été incorporé à dix minutes du terme à la place de Hunou. Un retour au bon moment, qui lui permettra sauf mauvaise surprise, d’être bien d’attaque pour le stage de l’EN prévu en mars.

Feghouli et Galatasaray piégés à domicile
Pourtant, devant son fervent public, le Galatasaray a été battu à domicile avant-hier soir en match aller de l’Europa League par le Benfica Lisbonne (1-2). Une défaite qui fait mal et qui complique grandement les chances de qualification du club turc pour le prochain tour de cette compétition européenne. Sofiane Feghouli de nouveau titulaire, a joué l’intégralité de la partie, mais n’a pu éviter la défaite aux siens.

Ghoulam et Ounas s’imposent à Zurich
De son côté, le Napoli est allé chercher une victoire plus que méritée sur la pelouse du FC Zurich sur le score de (1-3). Un match maîtrisé de bout en bout. Faouzi Ghoulam, titulaire, a cédé toutefois sa place à la 76’, alors que Adam Ounas, remplaçant au coup d’envoi, a été incorporé à la 68’. Malgré donc l’enchaînement des matchs, l’ancien Bordelais continue de se contenter de seulement quelques minutes de jeu.

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Aujourd’hui 16 février, Ayoub Abdellaoui fête ses 26 ans. Pour beaucoup d’observateurs, c’est l’âge où un joueur est à son fort potentiel. Ayant choisi d’aller tenter une expérience professionnelle en Suisse, plus précisément au club du FC Sion, l’ancien Usmiste assure que ce nouveau challenge l’aide à progresser, tout en espérant qu’il lui permettra d’être parmi les 23 éléments qui iront en Egypte l’été prochain pour disputer la CAN. Contacté par nos soins, il a gentiment accepté de répondre à nos questions :

Vous avez rejoint la formation du FC Sion en juin dernier. Si on vous demandait de nous faire un petit bilan des huit mois passés dans ce club, comme les analysez-vous ?
Je dirais que c’est un parcours positif, puisque la première année à l’étranger n’est toujours pas facile. El Hamdoulilah, j’ai pu m’intégrer facilement. J’ai choisi la Suisse où on parle le français et cela a été un avantage pour moi. Au niveau du football, je joue régulièrement et cela est important. J’ai eu une blessure en début de saison qui m’a quelque peu freiné, sinon, tout se passe bien.
Qu’est-ce qui a facilité votre rapide adaptation ?
Le mérite revient à la formation que j’ai eu durant mon enfance. La formation faite à l’académie de la FAF. Ainsi, j’ai été bien formé et cela m’a permis de m’adapter aussi facilement aux aspects tactiques. Je comprends le système tactique mis en place par le coach. Après, quand je suis arrivé, c’était un peu difficile pour moi. J’arrivais lors des derniers jours du mois de Ramadhan. J’avais fait une Omra et j’étais en nette perte de poids. J’ai dû beaucoup travailler pour réaliser une bonne préparation estivale. J’ai beaucoup sué, car ici, ça court beaucoup, pas comme en Algérie.
Alors que votre préférence était de toujours vouloir jouer dans l’axe de la défense à Sion, vous êtes utilisé en tant que latéral gauche…
Oui, c’est vrai. Depuis que je suis arrivé ici, j’ai toujours joué à gauche. Je n’ai jamais été essayé dans l’axe. L’ancien coach, je lui ai dit que je voulais évoluer dans l’axe, il m’a répondu « de commencer à gauche et on verra après… » , sauf qu’après, il est parti. Il y a encore beaucoup de matchs à jouer et j’espère avoir la chance de jouer dans l’axe et montrer ce que je peux faire dans ce poste.
Pourtant, vous savez très bien qu’il existe un manque en sélection dans l’axe…
La concurrence est présente dans toutes les lignes, mais oui, peut-être qu’il y a un manque dans l’axe central. Ceci dit, j’estime que pour aller en sélection, il faut d’abord faire de bonnes performances en club. Après, le coach national sait qu’il y a des joueurs qui sont polyvalents.
Le championnat suisse n’est pas très médiatique, parlez-nous un peu de son niveau ?
Je sais l’idée reçue par plusieurs personnes évoquaient la faible de ce championnat, mais selon ma vision, je peux vous dire que c’est faux. Vous n’avez qu’à voir ce que font les Young Boys de Berne en Ligue des champions et le FC Zurich qui est toujours qualifié en Europa League. Je ne dis pas qu’il fait partie des 5 meilleurs championnats européens, mais il y a un bon niveau. Ça joue beaucoup tactique.
Pourquoi avoir choisi le FC Sion alors vous aviez d’autres propositions ?
Déjà en Suisse, j’avais deux propositions. En France, j’avais des touches concrètes en Ligue 2, mais ça ne m’intéressait pas vraiment d’y aller là-bas, surtout que sur le plan financier, ce n’était pas du tout intéressant. Le meilleur choix pour moi, c’était donc le FC Sion.
On imagine que votre ambition est de rejoindre ensuite un club plus prestigieux…
Oui, c’est sûr. Je ne suis pas venu à Sion pour faire 20 ans ici. Dans un ou deux ans, j’ambitionne d’aller vers un plus grand club.
Vous bénéficiez de la confiance de Belmadi, qui vous a toujours fait appel hormis en octobre puisque vous étiez blessé…
Je suis très content pour la confiance du sélectionneur national. Déjà, j’étais très enthousiaste de venir en septembre, mais malheureusement, la veille du début du stage, je me suis blessé. Après mon retour de blessure, j’ai pu jouer une mi-temps face au Togo. C’était une sensation magique.
Il aura fallu que vous signiez à l’étranger pour que vous soyez appelé avec les A. Pensez-vous que le joueur local doit absolument partir à l’étranger pour être considéré et appelé plus facilement en sélection ?
Je ne sais pas. Je ne veux pas entrer dans ce faux débat. A mon avis, Belmadi met tous les joueurs sur le même pied d’égalité. On a vu qu’Oussama Chita a été appelé et a joué titulaire pour sa première sélection. Après, oui, le joueur local doit avoir cette ambition d’aller à l’étranger pour progresser.
Comme vous, Darfalou réussit bien son expérience à l’étranger. Ça vous fait quoi de voir que les joueurs de l’USMA s’exportent bien en Europe ?
Je suis très content pour Oussama. Son parcours n’a pas été facile, puisqu’il évolue dans un championnat difficile et avec le problème de la langue, c’est encore plus compliqué. Je le félicite pour tout ce qu’il fait. Aussi, je le répète, les Meziane, Chita, Benguit et Benkhamasa perdent leur temps en Algérie. C’est le moment pour eux d’aller à l’étranger car ils ont de la qualité et en plus, ils sont jeunes.
Que vous a-t-il dit Belmadi plus particulièrement ?
Dès mon premier stage, il m’a mis à l’aise. Il a su réconforter tout le monde. C’est un coach qui compte beaucoup sur les jeunes. Il m’a mis en confiance et franchement, avec l’ambiance qui règne au sein du groupe, on a de quoi faire quelque chose. Tout cela me stimule à me donner toujours à fond.
Justement, la CAN arrive, vous y pensez ?
C’est déjà un rêve de porter le maillot de la sélection. Jouer la CAN, c’est le summum. J’ai envie d’y être, c’est sûr, mais d’abord, il faut que je sois performant en club, car la concurrence est rude en sélection.
Avec le retour de Ghoulam et la présence de Farès et Bensebaïni, vous gardez quand même l’espoir de faire le voyage en Egypte…
Sincèrement, je ne me pose pas de questions sur ça. Je me concentre sur moi-même surtout. J’essaye de me donner à fond et c’est au coach de faire ses choix. Je me mets à sa disposition.
Profiter des matchs du mois de mars pour marquer des points, n’est-ce pas ?
Effectivement. J’espère être appelé au mois de mars et ça sera à moi de prouver que je mérite d’être parmi la liste définitive pour aller à la CAN.

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Sorti sur blessure mardi en Ligue des Champions, l’Algérien Yacine Brahimi ne sera pas de la partie, ce soir, lorsque son équipe le FC Porto recevra Vitoria Setubal. Les Dragons qui n’ont qu’un seul petit point d’avance au classement, sont sommés de gagner ce match au risque d’être dépassés par leur rival, Benfica Lisbonne. Brahimi qui soigne toujours son entorse de la cheville, ne prendra aucun risque. Il est d’ailleurs annoncé forfait par son entraineur Sergio Conceição. Par ailleurs, dans le viseur d’Arsenal, l’ancien Rennais aurait été aussi proposé à Manchester United. Les dirigeants mancuniens attendront la fin de la saison pour passer à l’acte, rapporte le site du journal Correio da Manha.

Son ex-coach à Porto le veut à Wolverhampton
Yacine Brahimi qui représente une belle affaire de recrutement pour l’été prochain, étant donné qu’il est en fin de contrat avec Porto, est aussi la cible d’autres équipes anglaises de Premier League. Son agent a annoncé, rapporte le même quotidien d’informations, que West Ham et Everton sont aussi sur son dossier. Seulement, c’est Wolverhampton qui insiste pour l’avoir par le biais de son ex-coach à Porto aujourd’hui chez les Wolves, Nuno Espírito Santo.

De Carvalho (Pdt S. Lisbonne) : «Voilà pourquoi Brahimi n’a pas joué au Sporting»
Alors qu’il était ciblé par le Sporting Lisbonne en 2014, Yacine  Brahimi avait finalement opté pour le FC Porto. Dans son dernier livre, le président du Sporting, Bruno De Carvalho, explique comment Yacine a été détourné de l’Alvalade par la société Doyen, détentrice du contrat de l’Algérien : « En plus de Pizzi qui a été cédé au Benfica, sur le marché des transferts en 2014, Nélio Lucas nous a également demandé 20 millions d’euros pour Brahimi qui était à Grenade, puis le joueur est allé au FC Porto pour 6,5 millions d’euros. Ce sont ces méthodes de manipulation et de tentative d’extorsion qui nous ont amenés à annuler l’accord qui existait entre Sporting et Doyen ».

Conceição (Ent-Porto) : «Brahimi est forfait, il nous manquera, mais je trouverai des solutions»
Hier en conférence de presse, l’entraîneur du FC Porto, Sérgio Conceição s’est exprimé au sujet de la blessure de son international algérien, Yacine Brahimi. L’ancien coach du FC Nantes regrette amèrement cette blessure de son meilleur attaquant du moment, mais ne se cache pas derrière ce coup du sort qu’il qualifie en toute responsabilité,  d’aléa du métier : « Nous avons souffert de ces blessures et Brahimi sera aussi absent demain (face à Setubal). Comme je l’ai dit après le match face à la Roma, je suis payé pour gérer ces absences et pour trouver des solutions, je ne m’excuserai jamais pour ces défections.  Nous savons que les absences ont un poids, mais elles ne peuvent pas interférer dans le jeu ».

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Interrogé sur le sujet en conférence de presse, Santiago Solari a défendu son joueur :

« Ce n’est pas nous qui faisons les règles. Je ne spécule pas sur ce qui a pu se passer. Sergio a expliqué que ce qu’il avait forcé, c’était la faute. C’était une question piège ». Des propos relayés par Football.

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