Balkans Occidentaux

C'est à qui présentera la loi la plus répressive. Depuis un an, les partis politiques rivalisent de « populisme pénal » pour durcir l'arsenal législatif contre le trafic, mais aussi la consommation de drogues. Sans rien envisager pour la prévention.

Adrian Glijin a été libéré le même jour que le seul milicien transnistrien jamais condamné par la Moldavie. Ce paysan moldave kidnappé en 2020 a-t-il été échangé ? Voilà qui pourrait conforter la stratégie d'enlèvements mise en place par Tiraspol dans son bras de fer avec Chișinău.

À l'occasion de la sortie de sa note d'analyse « Albanie : enjeux migratoires dans les Balkans. Transit, émigration, retours forcés : des mobilités entravées », la Cimade organise un webinaire jeudi 13 avril de 18h à 19h30.
Ce webinaire, ouvert à tous.tes, se tiendra en présence de chercheurs et membres de la Cimade afin d'apporter un éclairage sur les enjeux migratoires en Albanie et de présenter nos analyses suite à la mission du pôle Solidarités Internationales-Europe en Albanie en juin 2022. (...)

Des usines abandonnées et des carcasses de bateaux qui achèvent de rouiller dans la mer... Bienvenue à Eleusis, capitale européenne 2023 de la Culture. Située à une vingtaine de kilomètres d'Athènes, la petite cité post-industrielle ravagée par le chômage à la pollution se cherche toujours un avenir.

Le Monténégro a mis le clap de fin à plus de trois décennies de règne absolu de Milo Đukanović. Mais le pays doit désormais rompre avec un système dont les racines puisent dans les crimes et les pillages des années 1990. Jakov Milatović sera-t-il vraiment le président d'un « Monténégro pour tous » ?

Le Monténégro a mis le clap de fin à plus de trois décennies de règne absolu de Milo Đukanović. Mais le pays doit désormais rompre avec un système dont les racines puisent dans les crimes et les pillages des années 1990. Jakov Milatović sera-t-il vraiment le président d'un « Monténégro pour tous » ?

La polémique ne cesse d'enfler. L'agence Reuters a révélé un document classifié du Pentagone attestant que la Serbie aurait déjà des envoyé armes à Kiev, ou serait prête à le faire. Belgrade dément, alors que le pays a refusé de s'aligner sur la politique des sanctions européennes contre la Russie.

La polémique ne cesse d'enfler. L'agence Reuters a révélé un document classifié du Pentagone attestant que la Serbie aurait déjà des envoyé armes à Kiev, ou serait prête à le faire. Belgrade dément, alors que le pays a refusé de s'aligner sur la politique des sanctions européennes contre la Russie.

Les cartes électorales de l'Ukraine et de la Pologne de ces dernières décennies ont souvent donné à voir le dessin des empires passés qui s'étaient partagés ces territoires. Les frontières fantômes sont ces traces laissées par des entités politiques défuntes dans les pratiques sociales contemporaines. Comment et pourquoi des limites territoriales, qui n'ont plus de réalité politique, peuvent-elle réapparaître après plusieurs générations ? Pourquoi semblent-elles s'être imprimées dans l'esprit des gens ? (...)

"Un homme sans moustache est un homme sans âme", écrivait Confucius.
L'arrière-pays dalmate, son maquis, sa pierraille et son village, Smiljevo, avec ses deux mille habitants, son auberge, son église, son école primaire, son bureau de poste et ses deux épiceries. On y trouve une veuve joyeuse, un prêtre timide, alcoolique repenti, un épicier amateur de feuilletons mexicains, un général de l'armée croate, un émigré ayant fait fortune en Allemagne, un ivrogne, un poète haïku incompris, un ministre de la (...)

"Un homme sans moustache est un homme sans âme", écrivait Confucius.
L'arrière-pays dalmate, son maquis, sa pierraille et son village, Smiljevo, avec ses deux mille habitants, son auberge, son église, son école primaire, son bureau de poste et ses deux épiceries. On y trouve une veuve joyeuse, un prêtre timide, alcoolique repenti, un épicier amateur de feuilletons mexicains, un général de l'armée croate, un émigré ayant fait fortune en Allemagne, un ivrogne, un poète haïku incompris, un ministre de la (...)

Et maintenant on fait quoi ? I šta ćemo sad ? Elle a représenté la Serbie à l'Eurovision 2022 et tout le monde connaît les derniers mots de sa chanson... Rencontre avec Konstrakta, l'artiste pop la plus en vue des Balkans, qui critique les illusions du capitalisme, les marchands de bien-être et la violence du système.

Et maintenant on fait quoi ? I šta ćemo sad ? Elle a représenté la Serbie à l'Eurovision 2022 et tout le monde connaît les derniers mots de sa chanson... Rencontre avec Konstrakta, l'artiste pop la plus en vue des Balkans, qui critique les illusions du capitalisme, les marchands de bien-être et la violence du système.

Déjà très endettée, la Republika Srpska ne trouve plus personne à l'Ouest pour lui faire crédit. Milorad Dodik se tourne donc vers la Chine. Mais comment l'entité serbe de Bosnie-Herzégovine pourra-t-elle rembourser à ce prêteur très exigeant en cas de défaut de paiement ?

Déjà très endettée, la Republika Srpska ne trouve plus personne à l'Ouest pour lui faire crédit. Milorad Dodik se tourne donc vers la Chine. Mais comment l'entité serbe de Bosnie-Herzégovine pourra-t-elle rembourser à ce prêteur très exigeant en cas de défaut de paiement ?

Le Parlement va-t-il empêcher le parti d'Ilías Kasidiáris, ancien d'Aube dorée aujourd'hui emprisonné, de participer aux législatives du 21 mai ? Le gouvernement conservateur vient de demander l'examen d'un texte en procédure accélérée pour y parvenir, la gauche dénonce son attitude ambiguë.

La Macédoine du Nord, l'Albanie, le Monténégro et le Kosovo ont lancé à Skopje une nouvelle plateforme régionale visant à promouvoir « le plein respect de la politique étrangère et de sécurité de l'UE ». La Serbie et la Bosnie-Herzégovine, qui refusent de sanctionner la Russie, n'en font pas partie.

La Macédoine du Nord, l'Albanie, le Monténégro et le Kosovo ont lancé à Skopje une nouvelle plateforme régionale visant à promouvoir « le plein respect de la politique étrangère et de sécurité de l'UE ». La Serbie et la Bosnie-Herzégovine, qui refusent de sanctionner la Russie, n'en font pas partie.

La Macédoine du Nord, l'Albanie, le Monténégro et le Kosovo ont lancé à Skopje une nouvelle plateforme régionale visant à promouvoir « le plein respect de la politique étrangère et de sécurité de l'UE ». La Serbie et la Bosnie-Herzégovine, qui refusent de sanctionner la Russie, n'en font pas partie.

La Macédoine du Nord, l'Albanie, le Monténégro et le Kosovo ont lancé à Skopje une nouvelle plateforme régionale visant à promouvoir « le plein respect de la politique étrangère et de sécurité de l'UE ». La Serbie et la Bosnie-Herzégovine, qui refusent de sanctionner la Russie, n'en font pas partie.