Les éléphants d'Afrique significatif à la vie de la nature sauvage, avec leur intelligence extraordinaire sont en danger critique d'extinction. Les derniers rapports de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) sont sans appel : les populations d'éléphants de savane ont chuté en moyenne de 70 %, tandis que les effectifs d'éléphants de forêt ont chuté d'un pourcentage encore plus important, de 90 % en moyenne. Dans l'ensemble, les populations d'éléphants ont diminué d'environ 77 %. Ce qui veut dire clairement qu'un éléphant meurt en Afrique toutes les 25 minutes, tué pour ses défenses en ivoire. Pour ne pas se mentir, il est fort probable que les résultats de l'UICN sous-estiment la réalité en raison du manque de données quantitatives sur l'extinction des populations d'éléphants sur le continent africain.
L'Afrique abrite au moins 400 000 éléphants, dont environ 5 500 en Afrique de l'Ouest. L'éléphant de forêt d'Afrique et l'éléphant de la savane font partie des 37 480 espèces menacées. Seules quelques poches dans quelques pays ont permis aux éléphants de se stabiliser ou de croître de façon relative, comme au Gabon ou au Congo. Mais la situation demeure alarmante.
La chute drastique de la population des deux espèces d'éléphants d'Afrique est causée par le braconnage intensif et la destruction de leur habitat à travers l'urbanisation et la conversion des forêts en terres agricoles. Par ailleurs, la pandémie du coronavirus a eu un impact négatif sur les efforts de protection de la biodiversité. Elle avait privé les pays de revenus de l'écotourisme qui servaient à financer en partie la protection des réserves naturelles.
Le braconnage
Les éléphants d'Afrique font partie intégrante de l'écosystème dans lequel ils vivent. Sans eux, cet écosystème aurait du mal à fonctionner correctement. Cependant, la première menace pesant sur l'éléphant reste le braconnage. L'éléphant est braconné pour sa viande mais surtout pour ses défenses contenant la précieuse matière qu'est l'ivoire. Les populations d'éléphants ont donc été décimées par le commerce d'ivoire passant de plusieurs millions d'individus dans les années 1970 à quelques centaines de milliers dans les années 2000.
Le braconnage a atteint son point culminant en 2011 et a depuis connu un ralentissement dans certaines régions, notamment en Afrique de l'Est. Cependant, il persiste encore et s'aggrave dans d'autres régions, comme en Afrique Centrale et de l'Ouest. Depuis 2019, plus de 50% des décès d'éléphants constatés sont dus au braconnage en Afrique. Ce qui entraîne de grandes pertes que ne peut compenser le nombre de naissances d'éléphanteaux. Cela entraîne un déclin de la population d'éléphants de l'ordre de 2 à 3% par an. Pour exemple, la région du nord du Sahel, qui comprend le Mali, le Tchad et le Nigéria, a subi certaines des pertes les plus graves, la pression intense du braconnage et le manque de protection ont contribué à l'extinction de la population locale d'éléphants d'Afrique.
Au-delà de décimer la population, le braconnage et le commerce illégal d'ivoire des éléphants posent d'autres problèmes. Ils alimentent l'insécurité et sapent alors le développement économique, social et politique des Etats africains. Par exemple, le braconnage de l'éléphant en Afrique aurait pour conséquence une perte de 25 millions de dollars de revenus touristiques.
Le braconnage effréné est né à la suite de l'augmentation du prix de l'ivoire, qui a été multiplié par 10 entre 2004 et 2018. En raison de sa position géographique centrale et de son histoire coloniale, la Belgique, selon l'UICN, est une plaque tournante du trafic illégal de l'ivoire. Entre 2007 et 2016, les douaniers belges ont saisi 3 616 produits dérivés de l'ivoire, selon WWF. La plupart de ces produits transitent par l'aéroport de Bruxelles et sont destinés à la Chine, où 79 tonnes d'ivoire ont été saisies depuis 2000. Ce qui équivaut à 10 800 éléphants tués !
La déforestation
Qui parle de la déforestation, parle de la destruction de l'habitat naturel et nourricier des éléphants. En effet, La deuxième grande menace pour les éléphants est la perte de leur habitat. Primo, ce sont les hommes qui empiètent sur les espaces de vie des éléphants. Les hommes utilisent de plus en plus de terres pour l'agriculture et créent de plus en plus d'infrastructures de développement notamment des routes. Cela a pour conséquences une fragmentation voire une destruction des zones d'habitat mais aussi une diminution des ressources alimentaires des éléphants.
Secundo, le changement climatique. De nombreux phénomènes découlent de ce changement comme les incendies naturels de plus en plus fréquents ou la sécheresse de plus en plus intense. Il y a les exemples du cas du bassin du Congo et celui du Gabon, due à l'extraction du bois industriel. Les activités agricoles ont dégradé l'habitat de l'éléphant d'Afrique. En effet, la destruction de l'habitat des éléphants à travers l'urbanisation et la conversion des forêts en terres agricoles, constitue aussi une menace extrême à la survie de l'espèce, déjà sur la liste rouge de la CITES.
La dernière grande menace pour les éléphants est celle des conflits avec les Hommes. Il existe des conflits entre les éléphants et les hommes pour les zones d'habitat. Les zones d'habitat des éléphants sont mitées par les activités humaines conduisant à une dégradation des milieux et à une perte de ressources. Les éléphants errent alors dans les cultures pour se nourrir réduisant parfois à néant les récoltes des paysans. Cela mène à un sentiment de ressentiment chez les hommes et des éléphants sont alors chassés.
Au Togo
Le trafic illicite d'ivoire reste une menace existentielle majeure pour l'éléphant, surtout que le cycle de la reproductivité de l'espèce est lent, comme celui du pangolin ou encore du lamantin. Le parc d'éléphant n'attire plus pour autant, mais le pays constitue une plaque tournante de transit pour le transfert illicite des ivoires.
L'Office Central de Répression du Trafic illicite de Drogue et du Blanchiment (OCTRIDB), la Brigade de Recherche et d'Investigation (BRI) et le Ministère de l'Environnement et des Ressources Forestières (MERF) en collaboration avec EAGLE-Togo ont enregistré depuis 2017, plusieurs cas d'arrestations et de saisies de défenses d'éléphants. Aussi, le code pénal dans son volet environnement, renforce la protection de la faune et de la flore.
Politiques de conservation
Bien que les éléphants d'Afrique soient confrontés à de graves dangers, des efforts de conservation soutenus de l'espèce se font sur le continent. Les stratégies de conservation englobent des efforts de lutte contre le braconnage et le trafic d'ivoire, comme le fait aussi bien le réseau EAGLE qui privilégie la répression et la lutte contre la corruption, afin de dissuader d'éventuel trafiquant d'ivoire. Parmi les pays qui n'ont pas encore mis un terme au commerce domestique de l'ivoire, le Japon dispose du plus grand marché et les sculpteurs japonais ont une préférence pour l'ivoire des éléphants de la forêt.
Il faut aussi prendre en compte concernant les mesures de lutte contre le braconnage, les législations des pays qui sont favorables, dans un premier temps dans l'application stricte de la loi contre les trafiquants d'ivoire et des espèces sauvages protégées en voie d'extinction, et, associer ces mêmes législations à une planification de l'utilisation des terres visant à favoriser la coexistence entre l'homme et les espèces fauniques.
Ces dernières années, plusieurs pays africains, notamment certains pays de l'Afrique Australe, ont montré la voie à suivre, démontrant qu'inverser la tendance du déclin des éléphants est possible. En effet, une législation de plus en plus sévère pour lutter contre le braconnage et la mise en place de parcs et réserves naturelles dans lesquels les éléphants et les autres espèces sauvages protégées peuvent vivre de façon prospère, sera un atout majeur. C'est l'exemple du parc national d'Amboseli au Kenya.
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Nicolas Koffigan E. ADIGBLI
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La Haute Autorité de l'Audiovisuel et de la Communication (HAAC), a, dans un courrier datant du 16 janvier 2025, adressé une mise en demeure à la radio de diffusion sonore privée commerciale ‘'Peace Fm''.
Pour « diffusion des émissions de publicité en matière de pharmacopée et de médecine traditionnelle », la radio de diffusion sonore privée commerciale ‘'Peace Fm'' a été mise en demeure.
La diffusion de telles émissions, selon un courrier de la HAAC adressé au Directeur de ‘'Peace Fm'', « est en violation de l'article premier du décret N°2018-262 du 28 juin 2018 portant interdiction de la publicité sur les professions médicales, les activités médicales, les médicaments et autres produits médicinaux qui précise que : ‘'Est interdite, la publicité portant sur les professions médicales, les activités médicales, les médicaments et autres produits médicinaux ‘' ».
‘'Peace Fm'' est tenue de « respecter les textes en la matière sous peine de subir des sanctions », a mis en garde François Awoudo, le Secrétaire Général de la HAAC dans le courrier en date du 16 janvier 2025.
M. M.
La Société des Infrastructures Routières et de l'Aménagement du Territoire recrute un(e) chef(fe) de projets en système d'irrigation. Le dossier de candidature doit être constitué d'une lettre de motivation signée du candidat et adressée au Directeur Général de la SIRAT SA ; un curriculum vitae détaillé ; la copie d'une pièce d'identité en cours de validité ; les photocopies des attestations de travail des différents postes occupés ou de toutes pièces justificatives ; et les photocopies des diplômes. Les dossiers de candidature doivent être envoyés par voie électronique à l'adresse recrutement@sirat.bj en un seul fichier au format PDF au plus tard le lundi 03 février 2025 à 12 heures.
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L'Afrique du Sud accueillera un rassemblement transformateur de 1 000 femmes, 16 de chacun des 55 pays africains, plus tard ce mois-ci, dans le cadre d'un dialogue unique de cinq jours axé sur la promotion des contributions des femmes à l'agenda continental et mondial.
« Ce qui distingue ce sommet, c'est l'accent mis sur l'inclusivité́ », déclare Riah Phiyega, PDG de WDB Trust. « 60 % des participants sont des femmes issues des zones locales, des femmes des communautés urbaines et rurales, dont beaucoup n'ont jamais voyagé au-delà̀ de leur pays d'origine. Leurs voix, perspectives et expériences seront au cœur du dialogue, ce qui en fera un forum véritablement transformateur et représentatif », poursuit Phiyega. Des chefs d'entreprise, des responsables gouvernementaux, des membres de la société́ civile, des fonctionnaires, des entrepreneurs, des militants, des universitaires, des étudiants et des femmes au foyer y participeront également.
Organisé́ par le Women Development Trust (WDT), l'African Women in Dialogue (AfWID) rassemble un remarquable mélange de femmes de tous les horizons. Le forum de l'AfWID, d'une durée d'une semaine (27‐31 janvier 2025), crée une plateforme pour les femmes afin qu'elles réfléchissent, se connectent et partagent des stratégies pour relever les défis persistants auxquels sont confrontées les femmes africaines. Mettant l'accent sur le pouvoir collectif, la solidarité́ et la sororité́, le forum vise à̀ élever les femmes des luttes quotidiennes et à inspirer un changement significatif.
Deux dialogues très réussis ont été́ organisés en 2018 et 2019. Après une interruption due à la pandémie de COVID-19, l'AfWID (Femme africaine au dialogue) est ravie de reprendre cette initiative vitale pour la troisième fois. « Alors que le monde est confronté́ à des défis tels que les changements politiques, le changement climatique, les conflits, l'aggravation de la pauvreté́ et du chômage, et les inégalités économiques, AfWID3 exploitera l'énergie, l'innovation et la créativité́ des femmes africaines pour élaborer des solutions en vue d'un avenir meilleur », a expliqué́ Mme Phiyega. L'ordre du jour de l'AfWID3 comprend des discours-programmes stimulants, des ateliers interactifs, des sessions de mise en réseau et des vitrines culturelles, qui déboucheront sur une déclaration visionnaire qui sera présentée lors de forums continentaux et internationaux.
Au-delà̀ de Pékin 1995
Sous le thème « Voix et pouvoir des femmes en tant qu'agents du changement », le rassemblement AfWID3 commémorera notamment le 30e anniversaire de la déclaration de Pékin et de la plate- forme d'action, adoptées à l'unanimité́ par 189 pays. En outre, le forum se penchera sur les progrès réalisés et ceux qui restent à accomplir. « Notre objectif est d'explorer comment les femmes africaines peuvent collectivement contribuer à l'anniversaire de la Déclaration de Pékin, garantissant ainsi un impact significatif sur ce forum mondial. Il s'agit de tirer parti de la puissance des efforts collectifs alors que nous travaillons ensemble pour réimaginer l'avenir que nous souhaitons », a ajouté Phiyega.
L'examen de la déclaration et de la plate-forme d'action de Pékin aura lieu lors de la 69e session de la commission des Nations unies sur le statut des femmes, qui se tiendra du 10 au 21 mars 2025 au siège des Nations unies à New York. « AFWID est pour la femme africaines la plate-forme qui lui permet de s'assumer en tant qu'actrice de paix, d'inclusivité, de cohésion sociale, de développement durable pour une Afrique forte et indivisible. D'autre part, AFWID donne aux femmes Africaines des outils nécessaires pour avoir un impact positif et apporter un changement radical effectif au sein de leurs familles, de leurs communautés, de leurs nations et de leur continent. Enfin, AFWID en tant que plate-forme inclusive, multiculturelle et pluri-ethnique brise les barrières en créant et renforçant les liens, les opportunités entre les femmes Africaines pour de meilleures perspectives en Afrique », comme l'a déclaré l'Ivoirienne, Maimouna Kabran, membre du Comité de pilotage de l'AFWID.
Une nouvelle session de l'Examen Spécial d'Entrée à l'Université (ESEU), organisé à l'intention des personnes ne justifiant pas du Baccalauréat ou d'un titre admis en équivalence ou en dispense par le Vice-Rectorat chargé des Affaires académiques (VR-AA), mais désireuses de poursuivre leurs études à l'Université d'Abomey-Calavi (UAC).
L'Examen Spécial d'Entrée à l'Université d'Abomey-Calavi (UAC) est prévu pour les mercredi 14, vendredi 16 et samedi 17 Mai 2025 à l'UAC.
Les personnes ne justifiant pas du Baccalauréat ou d'un titre admis en équivalence ou en dispense par le Vice-Rectorat chargé des Affaires académiques (VR-AA), mais désireuses de poursuivre leurs études à l'UAC sont invitées à déposer leurs dossiers à partir du lundi 03 février jusqu'au 31 Mars 2025 au Secrétariat Administratif du Vice-Rectorat Chargé des Affaires Académiques.
Selon un communiqué du Vice-recteur chargé des affaires académiques de l'UAC, Professeur Patrick Houessou, « le candidat à l'Examen Spécial d'Entrée à l'Université (ESEU) choisit de passer le test dans l'une des cinq (5) options ou séries ».
Il s'agit de l'option A1 ou ESEU A1 qui permet de poursuivre les études dans le domaine littéraire, artistique à la Faculté des Lettres, Langues, Arts et Communication (FLLAC) ou dans celui des sciences humaines à la Faculté des Sciences humaines et sociales (FASHS), les études juridiques à la Faculté de Droit et de Science politique (FADESP) ou les études économiques à la Faculté des Sciences économiques et de Gestion (FASEG).
L'option A2 ou ESEU A2 qui est exclusivement ouverte aux titulaires de la Capacité en Droit, mais ne remplissant pas les conditions académiques autorisant leur inscription à l'Université (moyenne générale sur les deux (02) ans ≥ 12/20). Cette option permet de poursuivre les études en sciences juridiques uniquement, à la FADESP.
L'option B ou ESEU B qui donne accès aux études universitaires scientifiques générales à la Faculté des Sciences et Techniques (FAST).
L'option C ou ESEU C exclusivement ouverte aux titulaires du Diplôme d'Etat d'infirmier (DEI) ou du Diplôme d'Etat de Sage-femme (DESF) n'ayant pas le baccalauréat, qui permet de poursuivre les études dans le domaine littéraire, artistique à la Faculté des Lettres, Langues, Arts et Communication (FLLAC) ou dans celui des sciences humaines à la Faculté des Sciences humaines et sociales (FASHS), les études juridiques à la Faculté de Droit et de Science politique (FADESP), les études économiques à la Faculté des Sciences économiques et de Gestion (FASEG) ou les études universitaires à la Faculté des Sciences et Techniques (FAST).
L'option D ou ESEU D permet de poursuivre les études dans le domaine littéraire, des langues ou de la culture à l'Institut de Langue arabe et de la Culture islamique (ILACI).
LES DETAILS SUR LA COMPOSITION
L'audience du procès Olivier BOKO et Olwald HOMEKY a repris ce mercredi 22 janvier 2025 à la Cour de Répression des Infractions Economiques et du Terrorisme (CRIET) sans les avocats de la défense. La juge a pris une importante décision permettant la poursuite du procès.
La juge a demandé aux accusés s'ils ont pu désigner de nouveaux avocats après la déconstitution de leur défense à l'audience du mardi 21 janvier dernier. Les prévenus ont répondu qu''ils n'ont pu contacter d'autres avocats.
Selon le procureur spéciale de la CRIET, le procès ne peut se dérouler dans ces conditions.
Le Ministère public a proposé le renvoi de l'audience pour permettre la constitution d'avocats commis d'office.
L'audience a été renvoyée au jeudi 23 janvier 2025 par la juge Chrystelle ADONON.
M. M.
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Qu'on l'aime cette fameuse compétition : la Ligue des Champions ! L'exploit de ce mardi 21 janvier 2025 est signé le FC Barcelone lors d'un match comptant pour la 7e journée de la phase de Ligue de la Ligue des Champions. Menés 3-1 à la pause, les Blaugrana ont renversé l'hôte, le Benfica, 4-5.
La 7e journée de Ligue des Champions démarrait ce mardi avec neuf rencontres au programme. Une affiche aura marqué l'ouverture de cette 7e journée. C'est notamment celle disputée à l'Estadio da Luz, où le FC Barcelone a arraché une incroyable victoire sur la pelouse de Benfica (5-4). Les Blaugrana, menés 4-2 jusqu'à la 78e minute suite à un triplé de Pavlidis, ont pris l'avantage grâce à Raphinha au bout du temps additionnel. Avant ça, leur défense n'a pas brillé avec un but contre son camp d'Araujo et une prestation catastrophique du gardien Szczesny, auteur d'une énorme bourde.
Voici les résultats de la soirée :
Atletico Madrid 2-1 Bayer Leverkusen
Benfica 4-5 FC Barcelone
Bruges 0-0 Juventus Turin
Bologne 2-1 Dortmund
Liverpool 2-1 LILLE
Etoile rouge de Belgrade 2-3 PSV Eindhoven
Slovan Bratislava 1-3 Stuttgart
AS MONACO 1-0 Aston Villa
Atalanta 5-0 Sturm Graz
J.S
Le procès de l'homme d'affaires Olivier Boko et de l'ancien ministre des sports, Oswald Homéky, poursuivis pour complot contre la sureté de l'Etat s'est ouvert ce lundi 20 janvier 2025, à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET). A l'ouverture du procès, les avocats de la défense ont estimé que la composition de la juridiction est irrégulière. La CRIET, par un communiqué ce mardi 21 mars 2025, prouve qu'il s'agit d'un faux prétexte.
La CRIET réagi à l'attitude des avocats de Boko et Homéky sur sa composition à l'ouverture de leur procès ce lundi 20 janvier 2025. A travers un communiqué publié ce mardi 21 janvier 2025, la juridiction spéciale souligne que l'article 254 nouveau du code de procédure pénale tel que modifié le 18 mai 2018 ne s'applique pas à elle. A cette loi générale, le législateur a substitué une loi spéciale plus récente. « Il s'agit de la loi 2020-07 du 17 février 2020 relative à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme », renseigne le communiqué. Celle-ci dispose en son article 6 nouveau que « la chambre de jugement siège en formation collégiale composée d'un (01) juge président et de deux (02) accesseurs », lit-on dans le communiqué signé de Mario METONOU. « Ainsi, depuis le 17 février 2020, le nombre de magistrat devant siéger pour chaque audience correctionnelle ou criminelle à la CRIET, a été réduite de cinq à trois », précise le communiqué. Et c'est en application de cette disposition légale que la CRIET selon le communiqué, a tenu toutes ses audiences criminelles au cours des cinq dernières années.
L'article 254 évoqué par les conseils de Boko et de Homéky stipule que « Le tribunal de première instance statuant en matière criminelle est composé d'un (01) président et de quatre (04) accesseurs ».
La CRIET à travers son communiqué a dénoncé la stratégie de la défense qui s'inscrit dans la logique de « multiplication des incidents pour éviter à tout prix le débat public sur le fonds du dossier.
Boko et Homéky devraient répondre devant la Chambre de jugement statuant en matière criminelle, des infractions de complot contre la sureté de l'Etat, corruption d'agent public national, faux et usage de faux.
Lire l'intégralité du communiqué de la CRIET
F. A. A.
Au Bénin, le procès de l'homme d'affaires Olivier Boko et de l'ex-ministre Oswald Homeky reprend ce mercredi 22 janvier 2025 devant la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET). Les mis en cause sont accusés d'avoir voulu fomenter un coup d'État contre le président Patrice Talon.
Boko exprime son mécontentement
09 heures 22 minutes : après la suspension de l'audience, Olivier Boko a exprimé son mécontentement. « J'ai les moyens de me prendre mes propres avocats. Je ne veux pas d'avocats commis d'office », a déclaré Olivier Boko dans une colère. L'homme d'affaires dénonce l'impossibilité pour lui de téléphoner à des avocats depuis la prison
09 heures 17 minutes : le procureur spécial Mario Mètonou demande à la Cour de renvoyer le dossier et de saisir le bâtonnier pour des formalités de commissions d'office d'avocats. Le juge accède à cette demande et renvoie le dossier à jeudi 23 janvier 2025.
09 heures 15 minutes : ouverture du dossier
Après l'ouverture du procès, les accusés Olivier Boko, Oswald Homeky sont convoqués à la barre. Interrogés, l'homme d'affaires Olivier Boko, l'ex-ministre Oswald Homeky indiquent à la Cour qu'ils n'ont pas pu constituer en raison des conditions difficiles à la prison civile de Missérété. Olivier Boko affirme qu'il est enfermé 24 heures sur 24 et qu'il lui est impossible de téléphoner et qu'il n'a pas pu constituer
09 heures 00 minutes : L'audience n'a pas encore repris à la CRIET
08 heures 30 minutes : Aucun avocat n'est encore dans la salle d'audience pour défendre les accusés
08 heures 3 minutes : L'homme d'affaires Olivier Boko et l'ex-ministre des Sports Oswald Homeky sont arrivés dans la salle d'audience. Les autres accusés également
Après un renvoi du dossier, le procès de Olivier Boko, Oswald Homeky et de leurs co-accusés va reprendre lors d'une deuxième journée. Ce mercredi 22 janvier 2025, les accusés comparaissent à nouveau devant la chambre de jugement de la CRIET siégeant en matière criminelle.
À l'ouverture du procès, mardi 21 janvier 2025, les débats n'ont pas pu prospérer en raison d'une demande de la défense qui n'a pas abouti. En effet, la défense a contesté la composition de la Cour qui siégeait en matière criminelle et qui était composée de trois juges dont un président de céans et deux assesseurs.
Selon la défense, cette formation judiciaire serait contraire aux dispositions de l'article 254 du Code de procédure pénale. Cet article dispose que la composition d'une Cour siégeant en matière criminelle doit être composée de cinq juges dont un président de céans et 4 magistrats assesseurs. Les Conseils ont donc demandé à la Cour de respecter cette disposition avant la poursuite des débats.
Mais, le juge chargé du dossier a rejeté la demande de la défense. Il a décidé de joindre au fond ses exceptions et d'ordonner la poursuite des débats. Cette décision de la Cour a fortement déplu à la défense de Olivier Boko et de Oswald Homeky. Tous les avocats se sont alors déconstitués du dossier. La Cour qui siégeait en matière criminelle ne pouvant pas mener les débats en raison de l'absence d'avocats pour les accusés a renvoyé le dossier à ce mercredi 22 janvier 2025. La loi fait obligation que les accusés dans une affaire criminelle aient des avocats pour leur défense.
Au cours de cette deuxième journée d'audience, Olivier Boko et Oswald Homeky comparaissent pour des chefs d'accusation retenus contre eux. Ils sont jugés les 21, 22, 23 et 24 janvier 2025 lors de la session criminelle de la CRIET.
En dehors de Olivier Boko et son beau-frère, ainsi que l'ancien ministre des Sports Oswald Homeky, trois autres personnes sont également poursuivies dans ce dossier. Il s'agit de Ganiou Sanoussi, chauffeur de Oswald Homeky, de Corneille Ahodégnon Gbaguidi, un entrepreneur, de Rock Salvin Nieri, beau-frère de Olivier Boko. Les chefs d'accusation sont : complot contre l'autorité de l'État, corruption d'agent public et faux certificats.
08 heures 40 minutes : L'audience n'a pas encore repris à la CRIET
08 heures 30 minutes : Aucun avocat n'est dans la salle d'audience pour défendre les accusés
08 heures 3 minutes : L'homme d'affaires Olivier Boko et l'ex-ministre des Sports Oswald Homeky sont arrivés dans la salle d'audience. Les autres accusés également
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Le calme météorologique semble se maintenir cette semaine en Algérie, avec des conditions relativement stables sur l’ensemble du territoire national. Un ciel généralement dégagé et […]
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Faisant suite aux exceptions soulevées par le conseil de Olivier Boko et Oswald Homeky sur la composition du collège des juges devant siéger en matière criminé à la CRIET, votre journal publié ici en intégralité La loi 2020-07 du 17 février 2020 relative à la Cour de Répression des Infractions Économiques et du Terrorisme.
Cette loi dispose en son article 6 nouveau que « la chambre de jugement siège en formation collégiale composée d'un (01) juge-président et de deux (02) assesseurs ».