Suspendu, il y a quelques jours par la Haute autorité de l'audiovisuel et de la communication (Haac), le quotidien ‘'La Nouvelle tribune'' vient de voir ses comptes en banque gelés. Selon le directeur de publication du journal, Vincent Folly, c'est à travers un courrier en date du 1er juin 2018, que la banque lui a annoncé que ses avoirs sont gelés. Invité sur la radio ‘'Soleil Fm'', dimanche dernier, le directeur du journal dit avoir subi des redressements fiscaux allant jusqu'à l'ordre de 35 millions de francs CFA. Suite à des protestations, ces redressements ont été réduits à 24 puis à 12 millions de francs CFA parce que, dit-il « je suis allé à la commission qui siège au ministère de l'économie et des finances. Je suis allé payer près de 2 millions ». A la suite de cela, Vincent Folly affirme avoir pris un engagement. « J'ai pris un engagement-un formulaire qu'ils m'ont remis- le 17 Avril. Le 24 Avril, on m'envoie une lettre de dénonciation de l'engagement. Bref, on ne reconnaît plus l'engagement. J'ai produis une lettre au directeur des impôts qui est restée sans suite (…) », a déploré le directeur qui informe que, vendredi dernier, il a reçu une note de la banque lui annonçant que ses comptes sont bloqués. Autant d'actions qui confirment la thèse de l'acharnement selon lui.
Réfutant les arguments selon lesquels les textes du professeur Ahouansou, qu'il a publiés seraient à la base de la mesure conservatoire de la Haac, Vincent Folly, soutient que ces textes « ne sont qu'un prétexte ». Pour lui, c'est le journal qui a une opinion dure contre le régime qu'on veut sanctionner.
Pendant ce temps, dénonce-t-il, l'Etat reste devoir plusieurs millions au journal à travers les contrats d'abonnement avec les ministères depuis 4 à 5 ans. Pour lui, une action en justice pour exiger la réparation des dommages causés au journal n'est pas exclue.
F. Aubin AHEHEHINNOU
Un nouveau-né a été retrouvé ce samedi 02 Juin 2018, dans les latrines de l'école primaire publique de Nongo, dans l'arrondissement de Comé. Selon certaines sources, c'est la maman du bébé non encore identifiée, qui l'aurait jeté dans les latrines de l'école.
L'enfant de sexe féminin a été confié aux agents de santé de l'hôpital de zone de Comé pour des soins. D'après les examens, le bébé serait bien portant et ne présenterait aucun problème clinique.
Les éléments de la police se sont rendus sur les lieux pour les constats d'usage. Une enquête est ouverte pour identifier la maman et situer les responsabilités.
F. Aubin AHEHEHINNOU
300 jeunes venus des 05 arrondissements de la ville capitale ont été accueillis au siège du Parti du Renouveau Démocratique (PRD) pour une formation militante, ce dimanche 03 juin 2018. Elle s'est déroulée sous la houlette du Secrétaire Général du PRD, Dr Falilou Akadiri et en présence de plusieurs autorités et responsables du parti.
« L'objectif général de cette formation politique est de donner, voire redonner aux jeunes du parti, l'esprit de militantisme et de la culture politique pour une participation effective à la vie politique », a affirmé le Dr Falilou Akadiri dans son allocution. Tout en remerciant le Président du PRD Adrien Houngbédji, qui a encouragé et autorisé cette activité, il a martelé que cette formation permet d'une part d'expliquer aux jeunes l'historique du parti, connaître les idéaux et la vision du PRD, et d'autre part, mieux faire connaître le Président du parti à travers son engagement, sa culture démocratique et le respect de la chose publique. « La participation des populations à la vie politique en général et des jeunes en particulier s'avère plus que jamais importante », a ajouté le Secrétaire Général du PRD. Au cours de cette formation, il a été mentionné le fait que le PRD soit la seule formation politique du Bénin depuis l'avènement de la démocratie, qui a pris à cœur la question de la formation et l'a concrétisée.
Les jeunes de cette formation ont été entretenus sur les différents points du jour par le Maire de la ville de Porto-Novo Emmanuel Zossou, son Adjoint, Dr François Ahlonsou, le couple Guy et Colette Houéto, l'ex SG du PRD Wabi Fagbemi, et les Vices Présidents du Bureau national.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
Des informations reçues de l'Institut de Recherches Halieutiques et Océanologiques du Bénin, il s'avère qu'une situation de mer agitée se produira dans l'après-midi du lundi 04 juin 2018 à partir de 16h sur les côtes béninoises avec des hauteurs de vagues élevées, des vents forts coïncidant avec la haute marée. C'est ce qu'a annoncé le Ministre de l'Intérieur et de la Sécurité Publique Sacca Lafia dans un communiqué du 03 juin 2018.
Signalant que c'est une situation de mer dangereuse, le Ministre déconseille fortement aux pécheurs d'aller en mer et à toute personne d'éviter la baignade en mer jusqu'au rétablissement de la situation.
Les préfets, les maires et toutes les autorités territorialement compétentes, en liaison avec l'Agence Nationale de Protection Civile, sont instruits pour mettre en œuvre les mesures de prévention nécessaires. Cette situation de niveau 3 sur une échelle de 4 (niveau d'alerte orange) pourrait perdurer, a déclaré le Ministre de l'Intérieur et de la Sécurité Publique.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
Elles contiennent une puce UHF saisie et authentifiée automatiquement par les lecteurs. Ces étiquettes à RFID sont réparties en quatre catégories selon les droits d’accès. Les informations correspondantes sont enregistrées sur la puce indiquant quelles zones sont accessibles à quelles heures. Dans le passé, les collaborateurs devaient contrôler les plaques d’immatriculation à la main. « Contrairement aux autres produits de ce secteur, il s’agit dans le cas de notre étiquette à RFID tout comme pour l’IDeSTIX d’une étiquette de sécurité. Elle combine des éléments optiques comme des hologrammes transparents et des couleurs qui changent quand on l’incline avec une puce UcodeDNA Chip de NXP. Une falsification est ainsi impossible » déclare Dietmar Mönning, directeur de Tönnjes E.A.S.T.. Saudi Aramco y a accordé une importance toute particulière lors du choix d’une nouvelle solution étant donné que la compagnie pétrolière souhaite augmenter la sécurité et l’efficacité de ses contrôles d’accès. Selon M. Mönning « Ce système a déjà été introduit avec succès.
Nous nous attendons à recevoir de nouvelles commandes encore en 2018 ». Après avoir répondu à un appel d’offres de Saudi Aramco en 2016 par le biais d’un distributeur local, Tönnjes E.A.S.T. a commencé l’an dernier la production et la livraison des 237 000 autocollants pour pare-brise. « C’est la première fois qu’une entreprise utilise les étiquettes de sécurité à RFID pour le contrôle des accès » a déclaré le directeur. Dans d’autres pays comme les Philippines ou le Kenya, les étiquettes à RFID IDeSTIX sont utilisées au niveau national pour l’identification automatique des véhicules. En Turquie, les péages sont prélevés de cette façon. L’autocollant pour pare-brise est un élément révolutionnaire du système d’IDePLATE de Tönnjes E.A.S.T.. La plaque d’immatriculation IDePLATE avec puce UHF intégrée ainsi que le logiciel IDeTRUST et les lecteurs correspondants en font également partie.
« La particularité de la puce UcodeDNA UHF intégrée est qu’ainsi nous allions une portée de plus de dix mètres aux technologies de cryptage les plus modernes, et ce même pendant la conduite » explique M. Mönning. Les produits de Tönnjes E.A.S.T. et de ses partenaires sont déjà utilisés dans plus de 120 pays. Cette entreprise allemande est le leader mondial dans le domaine de l’identification automatique des véhicules. Vous trouverez ci-joint le communiqué de presse complet et les photos disponibles pour la publication éditoriale en rapport avec cet article dans les références citées. Actualités de l’entreprise, images haute résolution et informations de fond sur Tönnjes E.A.S.T. peut être trouvé en ligne dans notre dossier de presse. N´hésitez pas à me contacter pour davantage d´information.
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Un plan en cours de réalisation dont les travaux ont atteint en certaine région les 100 % et couvert la totalité de l’ouvrage, en d’autre où il n’est à mi- chemin, les chantiers battent leurs pleins. le plein taux nous dit-on concerne le versant gauche de la vallée de la Soummam entre autres Seddouk, M’cisna, mais aussi Amalou sur la rive droite. Fenaia. Il Maten par contre sur la plaine du versant droit n’est pour l’heure selon la cellule de communication qu’à 50 % de la finalisation de l’ouvrage. Ces travaux de réhabilitation et parfois d’extensions et de raccordements de réseaux AEP ont touché dans un premier temps plus d’une vingtaine de communes de la wilaya, pour s’étendre par la suite au bénéfice de la rallonge de 300 millions de dinars à une dizaine d’autres. La rallonge a certes couvert pour les mêmes taches ce quota supplémentaire à travers des extensions, des raccordements de plusieurs centaines de linéaires reliant des réservoirs vers des réseaux en extensions. Une partie de cette seconde enveloppe a également servi au projet de réhabilitation de la chaine de refoulement sise en zone nord du village Ighil lalouenen dans la commune d’Amizour. Un plan d’où découlerait vraisemblablement des améliorations dans l’alimentation en cette denrée vitale dont seules 11 communes bénéficient pour l’heure continuellement, alors que 41 ne sont servies qu’un jour sur deux. Situation qui durera jusqu’en 2019, puis verra les 52 communes de la wilaya y être livrées sans interruptions en eau, dont la gestion pour le moins délicate que sensible quitterait progressivement les communes pour y être confié à l’entreprise chargée des eaux. Sur un autre plan et en hors programme la commune d’Aokas vient de réaliser un forage qui draine 20 litres secondes en renforcement de son réseau traditionnel. Un projet nous dit-on qui relève de l’année 2014 et couvrira 5 000 habitants des villages Ait Aissa, Akkar, Tizi et Taremnat.
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Par Kamel BOUDJADI.
Ce phénomène qui devait objectivement causer le manque flagrant de ce fruit sur le marché n’a pas eu l’effet logique attendu.
La cerise, ce fruit succulent, autrefois propriété exclusive des rois, moisit à Tizi Ouzou sur les routes. Bien que la récolte ne soit pas tellement abondante comme les deux dernières saisons, les vendeurs se bousculent sur les abords des routes. Deux signes qui indiquent suffisamment que la filière ne va pas bien cette année. Deux raisons essentielles font que les propriétaires des cerisaies à Tizi Ouzou vivent encore des difficultés qui dépassent leurs moyens. Malgré l’accompagnement des services agricoles, il s’avère que le créneau n’est pas tellement maîtrisé.
D’abord, il convient de signaler que la cerise, comme l’arbre qui la porte, sont fragiles. Très sensible aux conditions climatiques, ce fruit a été décimé par les dernières grêles et les pluies abondantes du mois de mai. A Aïn El Hammam, Larbaâ Nath Iraten et bien d’autres localités encore, les propriétaires des cerisaies regardent les fruits tomber avec amertume. Les conditions climatiques dépassent le cadre technique prodigué soigneusement par les techniciens de la DSA qui sont constamment sur le terrain. Cette année donc, la filière de la cerise ne répond pas aux attentes.
Paradoxalement, ce phénomène qui devait objectivement causer le manque flagrant de ce fruit sur le marché n’a pas en l’effet logique attendu. Le prix est resté le même que l’année passée malgré ce manque. Plus paradoxal encore, ce fruit est vendu sur les abords des autoroutes dans des conditions d’hygiène dramatiques.
Actuellement, sur les abords de la RN12, reliant Tizi Ouzou à Alger, les cabanes faites de roseaux poussent comme des champignons. De la cerise est exposée dans des paniers de vannerie fabriqués par les mains des artisans locaux. Les conditions de sa vente ne répondent aucunement aux normes commerciales encore moins à l’hygiène étant donné qu’elle est exposée à la poussière dégagée par le passage rapide des véhicules.
Le phénomène montre que la filière n’est pas encore maîtrisée pour la remettre sur les circuits commerciaux légaux. Les propriétaires des cerisaies courent toujours derrière des jeunes vendeurs à qui ils cèdent leur produit afin de l’écouler sur les routes et les places publiques dans des conditions qui échappent à toute réglementation. Il y a quelques années, les services concernés reconnaissaient que seuls 4% de la production écoulée passaient par les circuits légaux. Le reste échappait au contrôle des services de la DSA et du commerce.
Aussi, il devient clair que le fruit ne participe aucunement au développement ni du secteur de l’agriculture ni à celui du tourisme. La cerise continue encore de passer à côté même des espérances des producteurs. Le créneau est pourtant très porteur d’espoir à Tizi Ouzou étant donné qu’il couvre 21% de la production nationale. Les producteurs rencontrés affirment à l’unanimité que leur filière a besoin d’un vrai marché organisé pour se développer et s’intégrer aux efforts globaux des services concernés visant à développer tous les vecteurs de l’industrie touristique.
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Confrontés à de grosses pertes, les différents acteurs de la filière lait tunisienne, jadis prospère, souffrent depuis de nombreux mois. L’augmentation des coûts d’élevage et de production n’a pas été suivie de celle du lait et produits dérivés. Parade du gouvernement tunisien, inonder le marché de lait en poudre d’importation afin de stabiliser le marché.
Cette solution a mis en colère les représentants des éleveurs, soit l’Union tunisienne de l’agriculture et de la pêche (Utap), qui sont en désaccord avec le ministère du Commerce concernant l’importation du lait. L’Utap appelle à l’augmentation du prix du lait à la production et à limiter la montée des prix des fourrages afin de soutenir les agriculteurs.
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Les revenus du Maroc tirés du transport du gaz algérien vers l’Europe, qui traverse les territoires marocains, ont augmenté de 52% au cours des quatre premiers mois de 2018, selon le journal électronique marocain Le Desk. Ces revenus ont atteint 64 millions de dollars, contre 42 millions de dollars pour la même période en 2017, selon la même source qui explique que cette augmentation «signifie que les recettes pour 2018 devraient dépasser le budget prévisionnel du gouvernement correspondant à cette ressource pour l’année, qui s’élève à 121 millions de dollars». Le journal marocain précise que «le gazoduc Maghreb-Europe, mis en service en 2002, transporte chaque année près de 12 milliards de mètres cubes de gaz algérien vers l’Europe via le Maroc, mais le contrat qui régule le gazoduc prendra fin en 2021».
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Par Saïd Boucetta,
La montée en cadence de la production de carburant, figure de fait, parmi les priorités de Sonatrach.
Le cabinet britannique de recherche économique et de conseil Oxford Business Group (OBG) a valorisé, dans un rapport rendu public, hier, les actions entreprises par Sonatrach dans l’amont comme dans l’aval gazier. Enumérant de manière assez exhaustive les projets entrés en activité cette année et ceux projetés dans le courant de l’année prochaine, OBG a mis en exergue une dynamique remarquable de la Compagnie nationale des hydrocarbures, suggérant qu’en matière de management, Sonatrach a atteint un niveau d’efficacité appréciable qui l’amène à annoncer, avec une perspective quasi certaine de réalisation, des investissements de l’ordre de 56 milliards de dollars à l’horizon 2022. Une échéance très rapprochée qui augure d’une intense activité dans un délai très rapproché. Dans son rapport, OBG croit déceler dans les intentions des autorités centrales du pays, une volonté qui va au-delà d’une «augmentation de la production gazière, (les autorités) entendent également développer la transformation en aval et le rôle des énergies renouvelables pour assurer davantage d’efficacité et de rentabilité au secteur énergétique». Retenant que la production de gaz de 2017 avoisinait les 95 milliards de m3, avec un niveau d’exportation de l’ordre de 55%, le rapport d’OBG met en exergue la détermination de Sonatrach de faire de la pétrochimie un axe essentiel de sa stratégie SH2030.
«L’aval a toujours été négligé en Algérie et cela devient un important problème stratégique», souligne OGB, reprenant le P-DG de Sonatrach, Abdelmoumen Ould Kaddour. «Nous importons plus d’un milliard de dollars de carburant par an, ce qui n’a aucun sens. Nous voulons créer de la valeur ajoutée pour notre gaz et la transformation pétrochimique sera le développement le plus important que Sonatrach connaîtra au cours du siècle», avance le même responsable dans l’entretien accordé à OBG. La montée en cadence de la production de carburant, figure de fait, parmi les priorités de Sonatrach, à travers la modernisation de la raffinerie de Sidi R’cine et l’acquisition de la raffinerie Augusta en Italie, en sus de trois terminaux, illustrent le caractère urgent de l’intervention. Cela en plus de la réalisation, dans un second temps, de deux autres raffineries d’ici à 2022. Dans l’aval, OBG cite le contrat signé par Sonatrach et Total pour la construction d’une usine pétrochimique à Arzew. Un investissement de 1,5 milliard de dollars. «Cette unité devra produire 550.000 tonnes/an de polypropylène, avec une partie de la production qui pourra être exportée vers l’Europe, la Turquie et l’Afrique du Nord», lit-on dans le rapport.
La révolution, la vraie, que Sonatrach entreprend de réaliser tient dans la déclaration de son P-DG. «Nous envisageons d’utiliser l’énergie solaire dans tous nos champs pétroliers et gaziers. Dans la mesure où chaque installation consomme jusqu’à 20% de la production, l’utilisation de l’énergie solaire pour alimenter les opérations est absolument nécessaire», a noté Ould Kaddour. Il fixe l’échéance de 2030, pour que tous les champs fonctionnent à l’énergie solaire.
Une bonne partie de l’ambition de Sonatrach est cependant lié à la modification de la loi sur les hydrocarbures. Objectif de la manoeuvre: attirer des investissements étrangers. «Une hausse des investissements et des projets de diversification devraient soutenir la croissance dans le secteur de l’énergie. Les autorités ont également évoqué des modifications à la législation actuelle dans le cadre d’une stratégie visant à attirer une plus grande participation des acteurs internationaux», souligne OBG. Il faut savoir qu’outre les changements fiscaux, il est prévu que la réforme de la loi aboutisse à la simplification des procédures, actuellement trop bureaucratisées, selon les professionnels. Ces deux freins ne seront pas aisés à lever, pour ce qu’ils recèlent comme fond idéologique, qui risque d’enflammer la scène politique au moment de l’annonce des amendements. Mais OBG qui n’a pas abordé l’aspect politique du projet, affiche un optimisme certain quant à la capacité de Sonatrach de rebondir à court et moyen terme.
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Des scientifiques chinois ont inventé des batteries flexibles au lithium-soufre, ouvrant la voie à la production d’une génération de dispositifs intelligents flexibles. Les batteries traditionnelles sont produites en versant des électrolytes liquides sur des électrodes solides, alors que la nouvelle approche met des électrolytes dans des couches métalliques ultra-minces afin de créer des réseaux 3D dans des matériaux flexibles comme du tissu. « En procédant ainsi, l’électrolyte ne coulera pas hors des réseaux, qu’importe comment seront tordus ou pliés les matériaux flexibles », a indiqué Zhang Hongzhang, chercheur à l’Institut de la physco-chimie de Dalian relevant de l’Académie des sciences de Chine.
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Le groupe Initiative'12 a tenu sa 5è rencontre d'échanges et de formation des journalistes, ce samedi 02 juin, à la Maison de la société civile à Cotonou. Cette rencontre a été animée par les journalistes Gérard Guèdègbé et Claire Sacrameto. Elle a également connu la présence du président de l'ODEM, de l'Upmb, et de la représentante de la Direction Générale des Médias (DGM).
« Forces et faiblesses des réseaux spécialisés de la presse béninoise », voilà le thème autour duquel les professionnels de médias ont échangé. Le coordonnateur du groupe Patrice Soglo, a déclaré que le but de cette formation est d'avoir dorénavant des journalistes spécialisés pour rendre plus professionnel le secteur. « La réalité pour nous aujourd'hui est que chaque journaliste puisse savoir dans quel canal il évolue. Et penser à la spécialisation, c'est une initiative noble », a déclaré le président de l'Observatoire de la Déontologie et de l'Ethique dans les Médias. Guy Constant Ehoumi souhaite que la grande masse des journalistes comprennent qu'il y a nécessité et que chacun se spécialise.
« Le problème des réseaux spécialisés s'est imposé dans le temps par le mandat que le journaliste a reçu. Nous avons le mandat de facilitateur de la connaissance », a souligné Gérard Guèdègbé, journaliste spécialiste des questions de l'éducation et consultant médias. Pour lui, le journaliste a pour mandat d'informer, d'apporter au public quelqu'une chose de nouveau. Aussi, grâce à la technologie, le public est-t-il devenu interactif et peut donc interpeller le journaliste à tout moment. Ces pressions obligent le journaliste à se spécialiser. « Le seul futur possible est la spécialisation du journaliste », a-t-il affirmé. Malheureusement, les réseaux naissent et disparaissent quelque temps après parce que la plupart de ces réseaux sont créés dans un esprit associatif. Cela devrait être un groupe qui s'entraide et partage. Ce qui manque à nos réseaux, c'est le partenariat, on gagnerait plus si les réseaux arrivaient à mutualiser les membres, a-t-il ajouté.
Pour Claire Sacramento, journaliste spécialiste en santé et environnement, le problème se pose déjà au recrutement. Les patrons de presse ne recrutent pas compte tenu de la spécialité. Au Bénin, il y a très peu d'organe spécialisé ou thématique. La spécialisation s'impose donc. Pour y arriver, selon elle, il faut avoir d'abord la passion pour un domaine donné. L'autre problème est que chacun se mette à créer son propre réseai, alors qu'il faut rassembler les intérêts communs et maximiser les chances de réussir. « Il faut des journalistes qui puissent savoir réellement de quoi ils parlent et cela ne peut être possible grâce à la spécialisation », a-t-elle signalé.
« La spécialisation dans notre secteur est devenue une quête permanente parce que nous, à la DGM, pensons faire en sorte que le secteur des animateurs deviennent des spécialistes pour aboutir à la professionnalisation du secteur », a souligné la représentante de la DGM, Brigitte M. Tchibozo. Elle a annoncé un projet qui va se réaliser bientôt pour permettre la spécialisation des journalistes.
Le président de l'Union des professionnels des médias du Bénin, Franck Kpotchémè, a mentionné les offres d'opportunités et formations existantes pour les journalistes désirant se spécialiser.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
Ces précipitations ayant empêché les opérations de plantation à cause de la stagnation des eaux situées dans les zones basses. Les services agricoles de la wilaya font état dans ce cadre de 600 mm de pluviométrie. Une superficie de 1 600 hectares a été déjà réalisée jusqu’à présent, soit 70% de l’objectif prévu, de l’ordre de 2 310 hectares avec une augmentation de 400 ha par rapport à l’exercice 2016/2017, a tenu à préciser le directeur des services agricoles de wilaya, M. Mohamed Kharoubi. Ce dernier a estimé qu’une production avoisinant les 1 386 000 quintaux est attendue à la fin de cet exercice, soit une augmentation de 17% par rapport à l’année passée avec un rendement moyen de 600 quintaux à l’hectare. L’amélioration des rendements de la tomate devra passer nécessairement par le développement de l’irrigation au goutte à goutte et la mécanisation de la filière laquelle commence à se généraliser à l’échelle de la wilaya.
Cette année, les services agricoles de wilaya tablent sur l’irrigation de 1 000 hectares au goutte à goutte contre 150 ha, durant les trois dernières années. Cela a été rendu possible grâce aux dernières mesures prises par le ministère de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, lors des récentes assises nationales d’Alger consacrant un soutien financier de l’Etat aux producteurs de la tomate industrielle dans le but d’encourager cette culture stratégique. Le directeur des services agricoles, Mohamed Kharoubi, a indiqué que l’utilisation de ce système d’irrigation au goutte à goutte va engendrer certainement des rendements qui dépassent les 500 qx à l’hectare. Pour ce qui est des unités de transformation de la tomate industrielle, le DSA a indiqué que la wilaya compte trois conserveries en plus de huit autres unités implantées dans les wilayas d’El Tarf, Guelma et Skikda. Il est attendu la mise en service cet été de deux nouvelles conserveries à El Tarf et Guelma, a-t-il ajouté. Ce qui permettra de transformer toute la production de la wilaya sans aucune contrainte. Il convient de rappeler que de nouvelles unités de transformation de la tomate sont en cours de réalisation à l’échelle de la wilaya dans le but d’augmenter les capacités de transformation de ce fruit stratégique. Une rencontre de coordination régionale est prévue dans la ville du jujube à la veille du début de la campagne de collecte de la tomate industrielle et qui va regrouper l’association interprofessionnel de la filière, les conserveurs ainsi que l’association des agriculteurs. Ce rendez-vous aura pour objectif de mettre l’accent sur la nécessité d’éviter les chaînes interminables devant les unités de transformation et les pertes de la récolte.
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Par Yazid Alilat,
Infernal ! C’est le terme le plus courant des utilisateurs des transports urbains dans la capitale, où un trajet Place des Martyrs vers Ain Benian (environ 15 km) dure deux heures. Le plan de transport dans la capitale algérienne a été confié à une nouvelle institution, l’autorité organisatrice des transports urbains, qui est en train de mettre progressivement de l’ordre dans ce dossier pour améliorer la qualité des transports dans l’Algérois.
Krim, président de l’autorité organisatrice des transports urbains et DG de l’entreprise de transports urbains et suburbains d’Alger (ETUSA), a expliqué hier dimanche à la radio nationale que cette autorité «organise tous les transports urbains dans la capitale. Elle a été créée en 2012 suite à la mise en place des nouveaux modes de transport dans la capitale (métro, tram et téléphériques). Le but est de proposer une meilleure offre aux utilisateurs des transports à Alger». Mais cette autorité n’a été mise en place «réellement qu’en 2015», a-t-il précisé. «Nous avons mis en place des bases de données, une cartographie, lancé une étude d’amélioration des plans de déplacements urbains à Alger pour une meilleure organisation des transports dans la capitale». «Nous avons lancé une étude sur le plan de déplacement dans la capitale financée par l’UE», a-t-il ajouté. «L’autorité est là pour fédérer les différents modes de transports à Alger avec le programme des déplacements et des horaires. Quand on descend du métro, on doit trouver un bus ou un tramway». Dans la capitale, «le téléphérique se développe de plus en plus avec le train de banlieue, mais le gros problème c’est le transport privé par bus», insiste M. Krim. L’Etusa dispose, «avec le réseau affrété d’une flotte de 1.000 bus. Et, avec le réseau privé à Alger, on a 6.000 bus et 3.000 opérateurs. Donc chaque opérateur a une moyenne de deux bus». Mais, estime-t-il, «il reste encore des zones très mal desservies, même en dépit de ce nombre de bus ; 6.000 bus c’est peu ! Nous attendons les études des plans de déplacement urbain». Selon M. Krim, le dossier des transports urbains dans la capitale a été ouvert «avec l’apport des experts de l’UE qui nous ont proposé une démarche. On va organiser dans les mois à venir un forum avec les partenaires, dont les opérateurs, les banques, la SNVI, les fabricants de bus pour trouver une solution». Il s’agit, souligne-t-il, d’ «organiser et fédérer tous les transports dans la capitale». «L’étude lancée sur ce dossier sera restituée vers le mois d’octobre».
Il a annoncé par ailleurs qu’il y aura de nouvelles lignes de bus pour le rabattement vers les stations de métro, ou de tramway, et pout desservir d’autres zones comme Ain Benian, Bab El Oued…
Le DG de l’ETUSA a signalé d’autre part que toutes les grandes villes du pays ont un établissement de transports urbains et suburbains, et les entreprises sont en place. Il a également rappelé que l’ETUSA utilise «l’affrètement de bus pour répondre à la demande, et on a affrété des bus pour répondre à la demande à Oran». Cependant, face à la densité du trafic urbain dans la capitale et la difficulté des bus de l’ETUSA à circuler, il estime qu’Alger «n’est pas la ville la plus congestionnée dans le monde ; les études en cours permettent une meilleure visibilité».
Sur le coût du ticket de bus à Alger, il a indiqué que sans la subvention de l’Etat, il serait de 56 DA, alors que le prix moyen (une section) est de 25DA. «Nous sommes subventionnés à 50% et la subvention est de 150 millions de DA», a-t-il révélé. Quant au ticket unique annoncé depuis un certain moment, le DG de l’Etusa a expliqué qu’il faudrait que le système de billetterie soit compatible entre les différents modes de transports et d’opérateurs. La charte d’interopérabilité et de compatibilité sera «bientôt signée».
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