Des vivres ont été offerts aux fidèles musulmans de Pobè et de Kétou, ce week-end, par le conseiller communal de Pobè, Simon Adébayo Dina. Ce dernier est membre de l'Unité présidentielle de suivi du Programme d'Actions du Gouvernement.
Des sacs de riz, de maïs, de sucre et des bidons d'huile, c'est ce qu'a choisi le conseiller Simon Adébayo pour manifester sa solidarité aux musulmans de ces communes.
« Il est important d'implorer la bénédiction du père céleste sur tous les dirigeants de ce pays notamment sur le président Patrice Talon pour la réussite des réformes engagées depuis 2016 », a déclaré Simon Adébayo. Il a invité les fidèles musulmans à prier davantage pour la paix surtout en ce mois béni de ramadan où plusieurs vœux sont formulés à l'endroit de Allah. Le conseiller a aussi exhorté les responsables de cette confession religieuse à travailler avec les autres afin d'instaurer dans les esprits l'engagement collectif, la tolérance, la fraternité et l'unité autour des questions de développement.
Un geste qui est salué par les jeunes, les sages et les imams de la mosquée de Gagnigon dans la commune de Kétou comme à Pobè.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
Le Certificat d'Aptitude Professionnelle (CAP) a été officiellement lancé, lundi 11 juin 2017. C'était au Lycée technique de Ouidah sous la direction du Ministre des Enseignements Secondaire, Technique et de la Formation Professionnelle, Professeur Mahougnon Kakpo.
Ils sont 3956 candidats qui composent depuis lundi dans 17 filières réparties en 4 grandes options au CAP. Cette année, l'effectif a connu une légère hausse de 4,32% par rapport à 2017. Dans l'option Enseignement Familial et Social (EFS), on note une baisse de 45,98% par rapport à l'effectif de 2017. Les Sciences et Techniques des Métiers d'Art (STMA) ont baissé de 5,26%. Quant aux options Hôtellerie-Restauration (HR) et Sciences et Techniques Industrielles (STI), elles connaissent une augmentation respective d'effectifs de 27,22% et de 3,5%.
Présidant au lancement de l'examen, le ministre Kakpo Mahougnon fait remarquer à travers la diversité des filières que « c'est déjà un pas. Mais ce n'est pas encore ce que désire le gouvernement ». Selon lui, il faudra que l'enseignement et la formation technique et professionnelle soient priorisés. Il faut donc aller à la formation professionnelle. Il n'est donc plus question selon l'autorité d'avoir des diplômes qui ne peuvent servir à grand-chose. Kakpo Mahougnon pense que « pour le développement de notre pays, nous avons aussi besoin des gens de métier. Lorsque nous faisons le point, nous constatons que notre système éducatif forme plus de 90% de lettrés. C'est cette tendance que le gouvernement s'apprête à inverser ». C'est d'ailleurs la vision du gouvernement dans le cadre de la diversification des filières de formation.
G. A.
Le lundi 11 juin, les députés ont adopté le projet de loi portant lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme.
En étude depuis le vendredi 8 juin dernier, le bout du tunnel est maintenant connu. L'adoption de cette loi portant lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme vient renforcer le cadre juridique existant contre la criminalité financière. Le projet de loi adopté portant lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme donne un nouvel arsenal à la justice béninoise pour une lutte réussie. Composée de 165 articles répartis en 07 titres, elle est une fusion actualisée de la loi n°2006-14 du 31 octobre 2006 portant lutte contre le blanchiment de capitaux et la loi n°2012-21 du 27 août 2012 portant lutte contre le financement du terrorisme en République du Bénin. S'inspirant des recommandations des Etats de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa), et de la Banque centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest (Bceao), le Bénin vient ainsi de régulariser son arsenal juridique sur la lutte contre le blanchiment de capital. Cette nouvelle loi renforce les obligations de vigilance à l'égard de la clientèle, quitte à disposer de procédures et de contrôles adéquats visant à mieux connaître les clients et leurs activités.
Plusieurs innovations y sont introduites notamment l'insertion d'un volet portant sur la lutte contre le financement de la prolifération des armes de destruction massive. Il met l'accent sur la répression et l'interruption de la prolifération des armes de destruction massive et de son financement. Aussi, remarque-t-on l'introduction de dispositions relatives à l'évaluation des risques en vue de la mise en œuvre de mesures proportionnées de prévention, l'inclusion de dispositions spécifiques visant à limiter l'utilisation des espèces dans les transactions et les mesures de vigilance spécifique à mettre en œuvre par les institutions financières dans le cadre de leurs relations de correspondant bancaire transfrontalier. Quant aux méthodes et moyens de recherche ainsi que de constatation de l'infraction de blanchiment de capitaux ou de financement du terrorisme par l'administration des douanes, la loi offre un cadre bien défini.
Une fois le cadre juridique trouvé, les manquements à toutes ces dispositions liées aux infractions en matière de blanchiment de capitaux sont punis d'une peine d'emprisonnement de trois à quatorze ans. Sans compter une amende égale au triple de la valeur des biens ou des fonds sur lesquels ont porté des opérations de blanchiment de capitaux. La loi prévoit aussi la possibilité d'interdiction de séjour aux mis en cause.
Concernant les opérations de financement du terrorisme, il est prévu une peine d'emprisonnement de dix ans au moins et une amende égale au moins au quintuple de la valeur indexée. Pour les personnes morales poursuivies pour les infractions de blanchiment de capitaux ou de financement du terrorisme, des sanctions leur sont aussi appliquées.
Giscard AMOUSSOU
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Le préfet du département du Littoral n'entend pas fléchir devant ceux qui enfreignent les lois. Il l'a encore rappelé devant la caméra de la télévision nationale. Son engagement au respect des loi est irréversible. Modeste Toboula reste confiant que chacun jouera sa partition afin qu'il n'y ait pas forcément une répression corsée. Une fois le nouveau code pénal voté par les députés, il ne reste que le chef de l'État pour sa promulgation. Mais là, le préfet rassure que "le code pénal est en instance de promulgation par le Chef de l'Exécutif. " Ainsi l'homme qu'on surnomme président du Littoral avertit que, " dans les jours qui vont suivre la promulgation, l'application de cette loi devra commencer. " Mais Modeste Toboula ne pense pas à une répression sévère puisque selon lui, "la vente de l'essence frelatée est déjà ancrée dans nos comportements". Conscients de la grande masse que ce commerce nourrit depuis des lustres, le préfet du Littoral soutient que "c'est un fait social qu'on ne peut pas aujourd'hui traiter comme une infraction simple dans la mesure où depuis 30 ans, des familles ne se nourrissent que par cette activité". Abondant dans le sens de l'esprit du gouvernement pour le vote de cette loi, le préfet fait remarquer que " l'objectif des gouvernants, n'est pas de prendre des mesures juste pour réprimer les populations". Selon lui, " Nous prenons des mesures pour le bien-être d'abord et le chef de l'État est dans cette logique". A cela, il affirme que " le gouvernement est entrain d'affiner des stratégies, de faire des propositions nouvelles pour accompagner les acteurs du secteur". Une méthode plus rassurant qui donne espoir non seulement aux abonnés de l'essence Kpayo mais aussi aux personnes qui vivent de ce commerce. Pour Modeste Toboula " aujourd'hui si nous cherchons à appliquer aveuglément cette loi, c'est que nous allons créer un problème social sans précédent, et nous ne sommes pas là pour ça". Ainsi dit, le préfet lance un appel au respect des exigences des gouvernants. " Je voudrais en appeler aux uns et autres à la patience, à la quiétude, rien n'est encore grave. Nous allons ensemble trouver les voies et moyens de sortie bien que la loi l'ait interdit". C'est pour cette raison qu'il demande à tous ceux qui sont dans le secteur, de commencer par s'apprêter pour quitter le secteur ou alors y rester de façon professionnelle.
" Bientôt, le ministre des finances et de l'économie et le gouvernement, dans son entièreté, feront part des réflexions en cours qui sont entrain d'être peaufinées pour accompagner les acteurs du secteur", a annoncé le préfet. Bien que les réflexions soient en cours, Modeste Toboula rappelle que " les mesures relatives à l'interdiction de circulation, du transport de ces produits dans la journée demeurent et sont toujours en vigueur." Pour cela, il estime qu'il va falloir que " les acteurs respectent les mesures que nous avons prises concernant la circulation et le transport de ces produits dans le Littoral". Il précise que, " le transport n'est autorisé que de 00h à 5h du matin. Dans la journée, point de bidons sur les motos, point de véhicule qui transporte les produits frelatés". Par rapport à l'exposition en pleine rue des bidons d'essence, Modeste Toboula confie que "ceux qui mettent sur les grands artères de Cotonou les bidons, les bouteilles et autres, les mêmes mesures d'interdiction demeurent valables pour eux''. Pour cela, il pense qu'il n'y aura pas de répit par rapport à ces mesures. Néanmoins, il rassure que "nous allons intelligemment réfléchir pour que la loi votée ne s'applique pas immédiatement dès sa promulgation".
Une nouvelle aventure commence ainsi pour les fans de l'essence frelatée.
G. A.
A la mi-journée, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en août valait 75,66 dollars sur l’Intercontinental-Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 80 cents par rapport à la clôture de vendredi. Dans les échanges électroniques sur le New-York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de «light sweet crude» (WTI) pour le contrat de juillet cédait 69 cents à 65,05 dollars. La Russie aurait dépassé sur les trois derniers mois son objectif de production quotidienne, de 10,95 millions de barils par jour et établi par l’accord de l’Opep et ses partenaires, a rapporté l’agence russe Interfax, citant une source ayant connaissance de ces données. La Russie, qui mène avec l’Arabie-saoudite, le groupe de producteurs qui limitent leurs productions depuis début 2017, aurait donc d’ores et déjà modéré ses efforts, alors qu’une réunion sur le sujet aura lieu vendredi 22 juin à Vienne. «Entre les Etats-Unis qui ont augmenté leur activité à un niveau plus vu depuis trois ans et la Russie, l’effort de l’Opep commence à ne plus peser dans la balance», a commenté un analyste.
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Publiée au Journal officiel N° 28, la loi 18-05 relative au commerce électronique est entrée en vigueur jeudi 7 juin. Cette loi a pour objet de fixer les règles générales relatives au commerce électronique des biens et des services applicables en matière de transactions de commerce électronique. Dans la dynamique que cette loi, très attendue, a suscitée, un salon sera organisé du 23 au 25 juin prochain au Palais de la culture, Moufdi Zakaria d’Alger.
Organisé par l’Entreprise KooTeo, en partenariat avec l’Anpt (Agence nationale des parcs technologiques), le salon TIDJAR@TICe sera une occasion privilégiée pour l’ensemble des professionnels, le grand public, institutions et organisme publics, entreprises de commerce publiques et privées de se rencontrer et d’aller à la découverte de cette nouvelle loi qui vient à point nommé pour réguler, normaliser un marché en pleine expansion.
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Le volume d’eau emmagasiné à travers les 75 barrages du pays a atteint les quatre milliards et 800 millions de m3, avec un taux de remplissage de 70,10%, a-t-on appris, hier, auprès de l’Agence nationale des barrages et transferts (Anbt). «Ce taux est très important, considérable pour le pays. Les dernières précipitations étaient aussi importantes. Cela permettra de reconstituer une réserve suffisante et remarquable jusqu’à la fin 2019», a assuré le directeur général de l’Anbt, Arezki Berraki, dans une déclaration. Le taux de remplissage national des barrages est en hausse par rapport à celui de 2017, a expliqué le même responsable, précisant qu’ «en novembre 2017, le volume n’était que de 52%, alors que cette année, nous sommes en juin et le volume est déjà de 70,10%, c’est très important pour le pays», a-t-il fait savoir.
Pour la wilaya de Bouira, qui compte trois barrages, le taux global de remplissage est de l’ordre de 72%, avec un volume emmagasiné de 525,35 millions de m3 d’eau, selon les détails fournis par l’Anbt.
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On ne sait pas ce qui se passe dans la tête des commerciaux de Cima Motors, entreprise qui commercialise les véhicules Hyundai, mais ils semblent ne pas se rendre compte que les attestations de disponibilité qu’ils délivrent à leurs clients n’ont rien de réglementaire. Et pour cause, plusieurs citoyens désireux acquérir un véhicule Hyundai par le biais d’un crédit automobile se sont vu refuser le financement par la banque El Baraka, pour ne citer que celle-là, au motif que sur la fameuse attestation de disponibilité le numéro du châssis du véhicule est inexistant. C’est-à-dire que Cima Motors vend un véhicule fantôme aux Algériens.
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«La compagnie nationale est en train de s’organiser, de se centrer sur son métier de base(…) et d’investir à l’étranger.»
Ne supportant pas apparemment les critiques qu’essuie ces derniers temps la nouvelle stratégie adoptée par la nouvelle direction de Sonatrach, le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni,, a déclaré hier à Alger en présence du patron de la compagnie nationale des hydrocarbures, Abdelmoumen Ould Kaddour: «Laissez Sonatrach travailler!»
Le ministre s’est exprimé lors de sa conférence de presse organisée au siège de son département à Alger, en marge de la Journée portes ouvertes de l’Autorité de régulation des hydrocarbures(ARH). «C’est une affaire de temps car les choses ont changé et évoluent vite, par conséquent il faut agir rapidement», a-t-il souligné. «Sonatrach est en train de s’organiser, de se centrer sur son métier de base, de former sa ressource humaine pour se mettre au diapason des autres compagnies et surtout investir à l’étranger pour continuer à exister, rapatrier ses dividendes pour investir à l’intérieur du pays et continuer ainsi à avancer pour figurer parmi les cinq plus grandes compagnies pétrolières au monde», estime-t-il. «Sonatrach qui commence à s’exporter dans cinq ou six pays, et dont le savoir-faire est reconnu mondialement, est très bien placée vis-à-vis de ses fournisseurs, et a toujours tenu ses promesses, même pendant les temps les plus durs… alors laissez cette entreprise travailler», a-t-il lâché. «Tout ce que fait Sonatrach est étonnant. On est en 2018 et la mentalité des années 2000 est révolue et où lorsqu’on se met à l’oeuvre, la décision est prise dans l’heure qui suit car les cours du pétrole changent chaque heure et il est pratiquement impossible de se rattraper si on loupe une quelconque opportunité», a-t-il ajouté. «Il est temps de reconstituer les réserves et d’augmenter les capacités; sur 1,5 million de m2 du territoire, susceptibles de contenir des hydrocarbures, 30% seulement sont exploités, tandis que le reste, soit ¾ du territoire, l’offshore, le gaz de schiste ne sont pas encore exploités», a-t-il indiqué, réitérant que «l’exploitation du gaz de schiste est également en étude». Sur ce il a juré: «Jamais on ne nuira à la santé du citoyen.» S’agissant du stockage des carburants, il a indiqué qu’ «à travers un programme tracé à cet effet, l’Algérie compte augmenter ses capacités de stockage de carburants, en les ramenant de 600 000 m3, représentant une autonomie de 10 jours, à 2,5 millions de m3 en stockage pour assurer une autonomie d’un mois». Répondant à une question sur le nucléaire, il a fait savoir que «le département de l’Energie est en train d’élaborer une loi sur le nucléaire, un texte qui est actuellement soumis aux différents secteurs pour qu’ils puissent donner leur avis.
Par la suite, il sera soumis à l’approbation du Conseil du gouvernement, puis à l’adoption par le Conseil des ministres». Devant une assistance constituée essentiellement des opérateurs privés dans le secteur de la distribution des carburants et lubrifiants, il a souligné que «cette loi devant encadrer les activités relatives à l’énergie nucléaire en Algérie». A propos de la nouvelle loi sur les hydrocarbures, le ministre a réaffirmé que «la nouvelle mouture de ladite loi est en cours d’élaboration par un bureau d’études américain spécialisé en législation pétrolière». «Avant l’Algérie, plusieurs pays producteurs du pétrole qui ont voulu réviser leur loi sur les hydrocarbure pour lui donner plus d’attractivité, de flexibilité, ont sollicité ces bureaux de renom, qui ont une réputation internationale…», a-t-il ajouté. «Des experts algériens seront également associés à l’élaboration de cette loi», a-t-il assuré. «Ce projet de la nouvelle loi sur les hydrocarbures, qui engage l’avenir du pays, devrait être prêt en janvier ou février 2019.
Pas moins de cinq appels d’offres lancés ont été déclarés infructueux parce que quelque chose ne va plus avec cette loi qui n’arrange ni les investisseurs ni le pays», a-t-il rappelé. «L’investisseur vient pour gagner. Il ne vient pas pour perdre et c’est une règle mondiale», a-t-il insisté.
En somme, l’Algérie a fait appel aux services de cabinets conseils américains «Curtis, Mallet-Prevost, Colt & Mosle» pour élaborer la nouvelle loi sur les hydrocarbures à même d’ attirer des investissements étrangers», est-il indiqué en substance. Concernant le recours au contrat de partage de production, le ministre a précisé qu’il y aura des cas où l’on optera pour le contrat de partage de production, et d’autres cas où l’on envisagera des concessions. «En tout cas la nouvelle loi englobera tous les problèmes et cas spécifiques qui pourraient se poser à nous», a-t-il soutenu. Le ministre a insisté que «cette loi souple sera bénéfique pour le pays car nos intérêts seront sauvegardés et ceux des opérateurs seront garantis dans un partenariat gagnant-gagnant», a-t-il insisté.
Sonatrach signe un contrat de 25 ans avec Total et Repsol
La compagnie nationale des hydrocarbures Sonatrach a signé hier, à Alger un contrat de recherche et d’exploitation avec Total (France) et Repsol (Espagne) sur le périmètre de Tin Foye Tabankort (Hassi Messaoud). Ce contrat prévoit la réalisation d’un programme additionnel estimé à 324 millions de dollars d’une durée de 25 ans et financé à hauteur de 51% par Sonatrach, de 26,4% par Total et de 22,6% par Repsol. Ce programme additionnel de développement permettra de maintenir la production du champ de Tin Foyé Tabankort (TFT-Bloc 238), qui s’élève actuellement à plus de 80 000 barils équivalent pétrole/jour (bep/j), pendant six ans, soit 3 milliards de m3/an de gaz, et de récupérer des réserves additionnelles d’hydrocarbures estimées à plus de 250 millions de bep dont 29,2 GSm3 de gaz sec (milliards de mètres cubes standards).
Par Mohamed BOUFATAH
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Il veut son retour
Pour une nouvelle, c’en est une ! Kheireddine Zetchi, et après avoir pensé à Vahid Halilhodzic pour succéder à Madjer, est passé à une autre étape directement en approchant un autre ancien sélectionneur. Il s’agit de Christian Gourcuff, qui a pris en main la formation qatarie d’Al Gharrafa. Selon une source à la Fédération, le président Zetchi, qui n’avait jamais caché son admiration pour le travail fait par Gourcuff, tente de faire revenir ce dernier qui avait pris les rênes de l’EN entre août 2016 et avril 2016. D’ailleurs, les spécialistes pensent que le départ de ce dernier avait cassé les Verts. Ainsi, Zetchi a confié la tâche à un des cadres de la Fédération, qui connaît Christian Gourcuff depuis le passage de ce dernier. L’émissaire de Zetchi a eu ainsi il y a quelques jours, une longue discussion avec Christian Gourcuff pour évoquer son éventuel retour.
Le technicien breton n’est pas contre l’idée, mais…
Il faut savoir que l’émissaire de Zetchi n’est pas revenu bredouille. En effet, il a réussi à obtenir une demi-réponse du technicien breton, connu pour être peu bavard et discret. Ce dernier lui a fait savoir qu’il n’était pas contre l’idée de revenir en équipe nationale et poursuivre le travail qu’il a entrepris, surtout que les joueurs l’aiment beaucoup et l’ont demandé à chaque fois. Bref, Gourcuff veut concrétiser son projet lié à la formation et au développement du football en Algérie. Une réponse qui a réjoui le président de la FAF, Kheireddine Zetchi, qui a été impressionné et charmé par le travail, vraiment exceptionnel, faut-il le souligner, de Gourcuff durant son passage à l’EN.
Ce serait une bonne nouvelle pour les joueurs
Le retour de Christian Gourcuff en équipe nationale ne sera qu’une bonne nouvelle pour les joueurs, qui ont vraiment apprécié la méthode de travail du technicien breton. Les joueurs ont aussi de très bonnes relations avec le coach et s’entendent à merveille avec lui. Lors de la fameuse réunion à Sidi-Moussa lors du coup d’état monté à Milovan Rajevac, tous les joueurs avaient demandé le retour de Gourcuff car ils ont adopté sa méthode de travail. Si son retour se confirme, Zetchi aura fait aux joueurs, le meilleur cadeau.
L’unique entraîneur ayant donné un style de jeu aux Verts
Christian Gourcuff reste un des entraîneurs ayant marqué son passage à la tête de l’EN. Aujourd’hui et avec du recul, tout le monde est unanime à dire que s’il était resté à la tête des Verts, la qualification au mondial aura été acquise et facilement. Au delà des résultats, un quart de finale lors de la CAN 2015 en Guinée Equatoriale, Gourcuff avait réussi une chose très importante, instaurer un style de jeu pour les Verts. C’est avec Gourcuff que l’EN a pratiqué son meilleur football depuis plus de vingt ans. C’est avec Gourcuff que l’EN faisait peur à toutes les équipes y compris les champions d’Afrique comme le Ghana et la Côte d’Ivoire. Autrement dit, le retour de Gourcuff ne sera qu’une bonne décision de la part de Zetchi car il faudra un entraîneur qui connaît la situation et qui connaît le groupe parfaitement, après avoir perdu plus d’une année entre Alcaraz et Madjer.
Zetchi doit le convaincre pour qu’il résilie son contrat avec Al Gharrafa
Maintenant, il faudra que le président de la FAF, Kheireddine Zetchi, réussisse à convaincre Christian Gourcuff de revenir en sélection nationale. Il faut dire que le projet de Gourcuff, proposé à la FAF en 2014 , a été intéressant, mais l’intéressé n’a pas pu le concrétiser sur le terrain pour diverses raisons. Zetchi doit donc convaincre Gourcuff pour que ce dernier démissionne d’Al Gharrafa, un club avec lequel l’ancien sélectionneur s’est engagé il y a un mois. En plus, Gourcuff est un entraîneur qui avantage toujours le projet sportif par rapport au volet financier, ce qui est intéressant pour Zetchi et ses collaborateurs.
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La place Nonvitcha d'Akodéha a servi de cadre, dimanche 10 juin 2018, pour une sensibilisation à l'endroit des festivaliers sur la nouvelle loi interdisant l'utilisation des sachets plastiques non biodégradables. Cette action est initiée par le directeur départemental du cadre de vie et du développement durable du Mono et du Couffo, Gabin Aclombessi, en collaboration avec André Fanoukpè, coordonnateur pro-environnement de la plate-forme des réseaux d'Ong du Mono.
Pour Gabin Aclombessi, les populations utilisent les emballages plastiques tout en ignorant les impacts négatifs que cela produit sur l'environnement et la santé. Il a évoqué dans un rapport publié par l'Organisation mondiale de la santé, que 7 millions de décès ont été enregistrés en 2014 à cause de l'usage des emballages contrairement au VIH-SIDA qui a fait enregistrer 1,9 millions de décès. C'est donc dans le but de pallier cette situation que l'Etat béninois, à travers son ministère, a introduit un projet de loi à l'Assemblée qui a été votée et promulguée. « Un moratoire de six mois est accordé pour prendre fin le 26 juin prochain. Au-delà de cette date, une période est encore réitérée et prendra fin le 19 août prochain », a-t-il ajouté. Il invite les populations à se conformer à cette nouvelle loi.
M. Aclombessi et André Fanoukpè de l'Ong-PROGIDEC et ses collaborateurs ont offert à la population des échantillons de sachets biodégradables qui, au bout de trois mois au plus, peuvent se décomposer contrairement aux emballages plastiques non biodégradables, qui font au moins 400 ans.
Les populations ont sollicité que cette séance de sensibilisation ait lieu aussi dans les communautés reculées, afin d'arrêter l'utilisation des emballages plastiques non biodégradables surtout dans l'art culinaire.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
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Le Sommet international sur l’économie de l’après-pétrole « Next Economy Summit » aura lieu les 3 et 4 décembre 2018 à Alger, a annoncé ce vendredi le Forum des chefs d’entreprises (FCE) dans un communiqué.
Placé sous le haut patronage du président de la République M. Abdelaziz Bouteflika, ce sommet international intervient dans un contexte international marqué par le défi de l’après -pétrole.
Il impulsera réflexion, débat et travaux, autour d’une thématique centrale intitulée « Emergence d’un nouveau modèle économique basé sur les services, la transformation et production manufacturière et les nouvelles technologies ».
L’objectif de ce sommet, selon le FCE, est de faire émerger de nouveaux modèles qui facilitent le passage d’une économie basée sur l’exploitation et l’export de matières premières, à une économie de la transformation, de la production manufacturière et des services.
Cet évènement économique conforte la position de l’Algérie, 4ème économie d’Afrique, en tant que hub africain et méditerranéen d’échanges économiques.
Il permettra de mettre en avant l’ambition algérienne au plan économique et valorisera sa production nationale destinée à l’exportation ainsi que les innombrables forces, atouts et opportunités d’investissement qu’offre le secteur économique national.
Plus largement, ce sommet international organisé autour de la problématique de l’après pétrole, initiera et nourrira la réflexion sur l’économie du futur, impliquant aussi bien les politiques publiques que les dynamiques et stratégies d’entreprises privées.
Il verra la participation de nombreux représentants d’états et d’instances politico-économiques internationales, de dirigeants d’entreprises et d’organisations patronales, de think-tanks, de start-ups et de médias internationaux.
Le programme du sommet offrira l’opportunité aux participants d’échanger à travers des ateliers de travail, des sessions de networking
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A travers un sit-in organisé, ce lundi 11 juin 2018, dans l'enceinte de la mairie de Cotonou, les agents ont manifesté leur mécontentement face à l'inaction du maire par intérim, Isidore Gnonlonfoun, à satisfaire leurs revendications.
Selon les manifestants, Isidore Gnonlonfoun avait promis d'apporter des réponses aux revendications avancées depuis près 5 mois. Mais le silence observé depuis ce temps, est un moratoire accordé à l'autorité municipale qui, visiblement n'en a pas profité.
Pour eux, le maire par intérim a montré ses limites dans la gestion des problèmes qui minent le bon fonctionnement de l'administration locale. Pour cela, ils exigent son départ afin que l'administration communale soit confiée à une autre personne.
En février dernier, rappelle-t-on, le syndicat des agents de la mairie de Cotonou avait réclamé aussi le départ pur et simple sans préavis et sans condition de tous les retraités de l'administration municipale, le rétablissement immédiat de la couverture sanitaire due au personnel et aux retraités ainsi que le paiement immédiat des moins perçus sur salaire et l'arrêt immédiat du cycle infernal des moins perçus par la prise diligente des actes de carrière (avancement, reclassement), sans oublier le constat à bonne date de l'incidence financière sur les fiches de paie.
Au-delà du maire par intérim, c'est la personne du préfet du Littoral, Modeste Toboula, qui est visé par les manifestants.
F. A. A.