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Afrique

Simon Adébayo fait don de vivres aux musulmans

24 Heures au Bénin - Tue, 06/12/2018 - 11:21

Des vivres ont été offerts aux fidèles musulmans de Pobè et de Kétou, ce week-end, par le conseiller communal de Pobè, Simon Adébayo Dina. Ce dernier est membre de l'Unité présidentielle de suivi du Programme d'Actions du Gouvernement.
Des sacs de riz, de maïs, de sucre et des bidons d'huile, c'est ce qu'a choisi le conseiller Simon Adébayo pour manifester sa solidarité aux musulmans de ces communes.
« Il est important d'implorer la bénédiction du père céleste sur tous les dirigeants de ce pays notamment sur le président Patrice Talon pour la réussite des réformes engagées depuis 2016 », a déclaré Simon Adébayo. Il a invité les fidèles musulmans à prier davantage pour la paix surtout en ce mois béni de ramadan où plusieurs vœux sont formulés à l'endroit de Allah. Le conseiller a aussi exhorté les responsables de cette confession religieuse à travailler avec les autres afin d'instaurer dans les esprits l'engagement collectif, la tolérance, la fraternité et l'unité autour des questions de développement.
Un geste qui est salué par les jeunes, les sages et les imams de la mosquée de Gagnigon dans la commune de Kétou comme à Pobè.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)

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Le nombre de candidats au CAP augmenté de 4,32% par rapport à 2017

24 Heures au Bénin - Tue, 06/12/2018 - 11:17

Le Certificat d'Aptitude Professionnelle (CAP) a été officiellement lancé, lundi 11 juin 2017. C'était au Lycée technique de Ouidah sous la direction du Ministre des Enseignements Secondaire, Technique et de la Formation Professionnelle, Professeur Mahougnon Kakpo.

Ils sont 3956 candidats qui composent depuis lundi dans 17 filières réparties en 4 grandes options au CAP. Cette année, l'effectif a connu une légère hausse de 4,32% par rapport à 2017. Dans l'option Enseignement Familial et Social (EFS), on note une baisse de 45,98% par rapport à l'effectif de 2017. Les Sciences et Techniques des Métiers d'Art (STMA) ont baissé de 5,26%. Quant aux options Hôtellerie-Restauration (HR) et Sciences et Techniques Industrielles (STI), elles connaissent une augmentation respective d'effectifs de 27,22% et de 3,5%.
Présidant au lancement de l'examen, le ministre Kakpo Mahougnon fait remarquer à travers la diversité des filières que « c'est déjà un pas. Mais ce n'est pas encore ce que désire le gouvernement ». Selon lui, il faudra que l'enseignement et la formation technique et professionnelle soient priorisés. Il faut donc aller à la formation professionnelle. Il n'est donc plus question selon l'autorité d'avoir des diplômes qui ne peuvent servir à grand-chose. Kakpo Mahougnon pense que « pour le développement de notre pays, nous avons aussi besoin des gens de métier. Lorsque nous faisons le point, nous constatons que notre système éducatif forme plus de 90% de lettrés. C'est cette tendance que le gouvernement s'apprête à inverser ». C'est d'ailleurs la vision du gouvernement dans le cadre de la diversification des filières de formation.
G. A.

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Un cadre juridique pour contrôler les flux financiers

24 Heures au Bénin - Tue, 06/12/2018 - 11:11

Le lundi 11 juin, les députés ont adopté le projet de loi portant lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme.

En étude depuis le vendredi 8 juin dernier, le bout du tunnel est maintenant connu. L'adoption de cette loi portant lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme vient renforcer le cadre juridique existant contre la criminalité financière. Le projet de loi adopté portant lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme donne un nouvel arsenal à la justice béninoise pour une lutte réussie. Composée de 165 articles répartis en 07 titres, elle est une fusion actualisée de la loi n°2006-14 du 31 octobre 2006 portant lutte contre le blanchiment de capitaux et la loi n°2012-21 du 27 août 2012 portant lutte contre le financement du terrorisme en République du Bénin. S'inspirant des recommandations des Etats de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa), et de la Banque centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest (Bceao), le Bénin vient ainsi de régulariser son arsenal juridique sur la lutte contre le blanchiment de capital. Cette nouvelle loi renforce les obligations de vigilance à l'égard de la clientèle, quitte à disposer de procédures et de contrôles adéquats visant à mieux connaître les clients et leurs activités.
Plusieurs innovations y sont introduites notamment l'insertion d'un volet portant sur la lutte contre le financement de la prolifération des armes de destruction massive. Il met l'accent sur la répression et l'interruption de la prolifération des armes de destruction massive et de son financement. Aussi, remarque-t-on l'introduction de dispositions relatives à l'évaluation des risques en vue de la mise en œuvre de mesures proportionnées de prévention, l'inclusion de dispositions spécifiques visant à limiter l'utilisation des espèces dans les transactions et les mesures de vigilance spécifique à mettre en œuvre par les institutions financières dans le cadre de leurs relations de correspondant bancaire transfrontalier. Quant aux méthodes et moyens de recherche ainsi que de constatation de l'infraction de blanchiment de capitaux ou de financement du terrorisme par l'administration des douanes, la loi offre un cadre bien défini.
Une fois le cadre juridique trouvé, les manquements à toutes ces dispositions liées aux infractions en matière de blanchiment de capitaux sont punis d'une peine d'emprisonnement de trois à quatorze ans. Sans compter une amende égale au triple de la valeur des biens ou des fonds sur lesquels ont porté des opérations de blanchiment de capitaux. La loi prévoit aussi la possibilité d'interdiction de séjour aux mis en cause.
Concernant les opérations de financement du terrorisme, il est prévu une peine d'emprisonnement de dix ans au moins et une amende égale au moins au quintuple de la valeur indexée. Pour les personnes morales poursuivies pour les infractions de blanchiment de capitaux ou de financement du terrorisme, des sanctions leur sont aussi appliquées.
Giscard AMOUSSOU

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Pas de révision de tarification de l’électricité et du gaz pour le moment: L’Etat vise à rassurer les citoyens

Algérie 360 - Tue, 06/12/2018 - 11:10
Cette histoire d’augmentation probable des tarifs de l’électricité et du gaz est à chaque fois annoncée avant d’être démentie par les responsables concernés. L’approche de l’été et la consommation excessive sont une bonne opportunité pour relancer cette histoire. Mais, encore une fois le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni est obligé de  rassurer les clients, en  écartant toute augmentation à l’heure actuelle « même si le coût de sa production est supérieur à la tarification  payée ». Mais ce qui est plus important c’est cette autre déclaration du premier responsable de ce secteur névralgique à savoir celle annonçant que l’Algérie compte à l’avenir exporter de  l’énergie électrique « vers des pays voisins frères… « . Ainsi le ministre a affirmé que « L’augmentation de la tarification de l’électricité et du gaz n’est pas à  l’ordre du jour pour le moment du moins ». C’est ce qu’a déclaré le ministre  en marge de sa visite de travail et d’inspection dans la wilaya. Mais, cette déclaration n’est pas tout à fait rassurante dans la mesure où le même responsable ajoute, cependant que sa révision à l’avenir est « inévitable » étant donné que le coût de production est supérieur au  prix payé par le citoyen.  Là, le ministre saisit l’occasion pour préciser, à titre d’exemple que « La production d’un (1) Kilowatt revient à 10 DA et est calculée au client  à 4 DA ». Le ministre a indiqué, dans ce sens, que 80% de clients de Sonelgaz règlent leurs factures de manière régulière alors que 20% accusent des retards de  paiement. Concernant les prix du carburant, M. Guitouni a affirmé que le seul moyen  d’alléger la facture de cette matière énergétique est de s’orienter vers  l’utilisation du gaz de pétrole liquéfié (GPL). Et voilà le ministre qui annonce une nouveauté : le premier responsable du secteur concerné annonce donc l’ouverture prochaine de la voie au  secteur privé pour l’investissement dans le domaine de l’installation des  kits GPL. Ceci, s’explique par la forte pression enregistrée au niveau des  différentes unités relevant de la Société nationale de commercialisation et de distribution des produits pétroliers (Naftal). D’autre part, M. Guitouni, tient toujours à évoquer la formation, seul moyen de maîtrise en insistant sur celle des wilayas du Sud dans le domaine des  hydrocarbures. Ce qui explique justement pourquoi l’Etat a procédé à l’ouverture d’instituts spécialisés, à l’image du projet de réalisation d’un institut à Adrar pour la formation d’environ 700 jeunes annuellement afin de fournir une main-d’œuvre qualifiée pour le travail dans les champs pétroliers. Mieux encore et dans ce même ordre d’idées, le ministre de l’Energie va plus loin en évoquant  la possibilité de  créer des spécialités universitaires dans le domaine de l’électricité et du gaz, outre les énergies renouvelables, et ce, afin de fournir des cadres spécialisés dans ce domaine vital. Exportation future de l’énergie électrique Le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni, insiste sur l’importance pour Sonatrach de se diriger à l’avenir vers l’investissement à l’étranger afin de couvrir  le déficit enregistré en cas de baisse des prix du pétrole, une politique adoptée par des compagnies mondiales de la même envergure. Et c’est alors que M. Guitouni annonce que l’Algérie compte à l’avenir exporter de  l’énergie électrique « vers des pays voisins frères « , mais en tenant bien à préciser au passage, que cela se ferait  »  une fois qu’elle aura  consacré son autosuffisance dans le domaine ». « Dans un premier temps, nous comptons nous lancer, durant les années à  venir, dans l’exportation de l’énergie électrique vers la Libye (3000 Mgwt)  et la Tunisie (300 Mgwt) », a indiqué Guitouni lors d’une visite d’inspection d’un nombre de projets relevant de son secteur à Blida. D’ailleurs le ministre évoque un projet en cours à savoir celui de la réalisation et du renforcement  des réseaux de transport de cette énergie de l’Algérie vers ces deux pays voisins. Constatant le relèvement de la couverture  nationale en énergie électrique à 99 % actuellement, contre pas plus de 30% en 2000, l’Etat a donc décidé d’envisager cette démarche d’exportation à des pays voisins. Le ministre de l’Energie n’a pas omis, au passage de rappeler la volonté du président de la  République, M. Abdelaziz Bouteflika, depuis son investiture, à relier l’ensemble des régions du pays, dont le Grand-Sud, aux réseaux  d’électricité et de gaz naturel afin d’améliorer le cadre de vie des  citoyens. Le ministre a signalé également une hausse des capacités de production de  l’énergie électrique à 18.000 Mgwt actuellement contre 5000 Mgwt en 2000,  grâce à la mise en service de nombre de projets stratégiques ayant coûté  des sommes colossales au Trésor public, a-t-il fait savoir. Activités du ministre à Blida De passage à la wilaya de Blida, Mustapha Guitouni a procédé à l’inauguration de la centrale  électrique de Boufarik, dotée d’une capacité de production de 702,129 Mgwt. Un projet appelé à contribuer, avec d’autres  projets similaires actuellement en chantier à travers le pays, à porter les capacités de production nationale à 25.000 Mgwt à l’horizon 2025. Par la suite, M. Guitouni a inauguré, au niveau de la même  ville de Boufarik, un centre transformateur de 220/60 kv. De passage dans la  région montagneuse de Souhane, le ministre de l’Energie a procédé à la mise en service d’un réseau de gaz naturel au profit de 116 foyers, au même titre que deux  réseaux publics de distribution de gaz et d’électricité dans la région de  Djebabra, située également en montagne. Enfin, il est important de rappeler que parmi les efforts de l’Etat pour améliorer la production de l’électricité, il y a ce méga-projet d’électricité de sources renouvelables qui sera justement concrétisé avec des équipements locaux « Nous avons décidé d’installer 4.000 MW d’électricité de sources renouvelables, pour 8 milliards de dollars, et ce, avec nos moyens et capacités et non pas avec des équipements importés », a bien souligné M. Guitouni, en marge d’une journée pour l’incitation à la fabrication en Algérie de matériels électriques et gaziers. Selon lui, l’Algérie est aujourd’hui déterminée à asseoir une industrie dédiée aux énergies nouvelles et renouvelables. Il a, à ce titre, précisé qu’à fin 2017, la production nationale de panneaux photovoltaïques s’est située entre 100 et 150 méga watts. L’Algérie, a-t-il poursuivi, continuera à fabriquer ces équipements, d’autant que plus de 160 MW d’électricité de sources renouvelables seront, « dans peu de temps » mis sur le marché. « Nous allons, dans peu de temps, mettre sur le marché, quelque 160 MW d’électricité d’origine renouvelable dont deux (2) fois 25 MW, au titre du programme de Sonelgaz, pour débrider les centrales du Sud et diminuer la consommation du gasoil, alors que 100 à 120 MW devant être mis aux enchères pour permettre aux investisseurs privés de s’y mettre », a-t-il indiqué. Ce qui est de bon augure faut-il aussi le reconnaître. Saïd B.

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Toboula affûte ses armes contre l'essence frelatée

24 Heures au Bénin - Tue, 06/12/2018 - 11:08

Le préfet du département du Littoral n'entend pas fléchir devant ceux qui enfreignent les lois. Il l'a encore rappelé devant la caméra de la télévision nationale. Son engagement au respect des loi est irréversible. Modeste Toboula reste confiant que chacun jouera sa partition afin qu'il n'y ait pas forcément une répression corsée. Une fois le nouveau code pénal voté par les députés, il ne reste que le chef de l'État pour sa promulgation. Mais là, le préfet rassure que "le code pénal est en instance de promulgation par le Chef de l'Exécutif. " Ainsi l'homme qu'on surnomme président du Littoral avertit que, " dans les jours qui vont suivre la promulgation, l'application de cette loi devra commencer. " Mais Modeste Toboula ne pense pas à une répression sévère puisque selon lui, "la vente de l'essence frelatée est déjà ancrée dans nos comportements". Conscients de la grande masse que ce commerce nourrit depuis des lustres, le préfet du Littoral soutient que "c'est un fait social qu'on ne peut pas aujourd'hui traiter comme une infraction simple dans la mesure où depuis 30 ans, des familles ne se nourrissent que par cette activité". Abondant dans le sens de l'esprit du gouvernement pour le vote de cette loi, le préfet fait remarquer que " l'objectif des gouvernants, n'est pas de prendre des mesures juste pour réprimer les populations". Selon lui, " Nous prenons des mesures pour le bien-être d'abord et le chef de l'État est dans cette logique". A cela, il affirme que " le gouvernement est entrain d'affiner des stratégies, de faire des propositions nouvelles pour accompagner les acteurs du secteur". Une méthode plus rassurant qui donne espoir non seulement aux abonnés de l'essence Kpayo mais aussi aux personnes qui vivent de ce commerce. Pour Modeste Toboula " aujourd'hui si nous cherchons à appliquer aveuglément cette loi, c'est que nous allons créer un problème social sans précédent, et nous ne sommes pas là pour ça". Ainsi dit, le préfet lance un appel au respect des exigences des gouvernants. " Je voudrais en appeler aux uns et autres à la patience, à la quiétude, rien n'est encore grave. Nous allons ensemble trouver les voies et moyens de sortie bien que la loi l'ait interdit". C'est pour cette raison qu'il demande à tous ceux qui sont dans le secteur, de commencer par s'apprêter pour quitter le secteur ou alors y rester de façon professionnelle.
" Bientôt, le ministre des finances et de l'économie et le gouvernement, dans son entièreté, feront part des réflexions en cours qui sont entrain d'être peaufinées pour accompagner les acteurs du secteur", a annoncé le préfet. Bien que les réflexions soient en cours, Modeste Toboula rappelle que " les mesures relatives à l'interdiction de circulation, du transport de ces produits dans la journée demeurent et sont toujours en vigueur." Pour cela, il estime qu'il va falloir que " les acteurs respectent les mesures que nous avons prises concernant la circulation et le transport de ces produits dans le Littoral". Il précise que, " le transport n'est autorisé que de 00h à 5h du matin. Dans la journée, point de bidons sur les motos, point de véhicule qui transporte les produits frelatés". Par rapport à l'exposition en pleine rue des bidons d'essence, Modeste Toboula confie que "ceux qui mettent sur les grands artères de Cotonou les bidons, les bouteilles et autres, les mêmes mesures d'interdiction demeurent valables pour eux''. Pour cela, il pense qu'il n'y aura pas de répit par rapport à ces mesures. Néanmoins, il rassure que "nous allons intelligemment réfléchir pour que la loi votée ne s'applique pas immédiatement dès sa promulgation".
Une nouvelle aventure commence ainsi pour les fans de l'essence frelatée.

G. A.

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Le Brent à plus de 75 dollars lundi à Londres

Algérie 360 - Tue, 06/12/2018 - 11:03
Les cours du pétrole étaient orientés à la baisse, hier, en cours d’échanges européens dans un marché focalisé sur la production de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep).

A la mi-journée, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en août valait 75,66 dollars sur l’Intercontinental-Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 80 cents par rapport à la clôture de vendredi. Dans les échanges électroniques sur le New-York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de «light sweet crude» (WTI) pour le contrat de juillet cédait 69 cents à 65,05 dollars. La Russie aurait dépassé sur les trois derniers mois son objectif de production quotidienne, de 10,95 millions de barils par jour et établi par l’accord de l’Opep et ses partenaires, a rapporté l’agence russe Interfax, citant une source ayant connaissance de ces données. La Russie, qui mène avec l’Arabie-saoudite, le groupe de producteurs qui limitent leurs productions depuis début 2017, aurait donc d’ores et déjà modéré ses efforts, alors qu’une réunion sur le sujet aura lieu vendredi 22 juin à Vienne. «Entre les Etats-Unis qui ont augmenté leur activité à un niveau plus vu depuis trois ans et la Russie, l’effort de l’Opep commence à ne plus peser dans la balance», a commenté un analyste.

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Le e-commerce s’offre un salon

Algérie 360 - Tue, 06/12/2018 - 10:55

Publiée au Journal officiel N° 28, la loi 18-05 relative au commerce électronique est entrée en vigueur jeudi 7 juin. Cette loi a pour objet de fixer les règles générales relatives au commerce électronique des biens et des services applicables en matière de transactions de commerce électronique. Dans la dynamique que cette loi, très attendue, a suscitée, un salon sera organisé du 23 au 25 juin prochain au Palais de la culture, Moufdi Zakaria d’Alger.
Organisé par l’Entreprise KooTeo, en partenariat avec l’Anpt (Agence nationale des parcs technologiques), le salon TIDJAR@TICe sera une occasion privilégiée pour l’ensemble des professionnels, le grand public, institutions et organisme publics, entreprises de commerce publiques et privées de se rencontrer et d’aller à la découverte de cette nouvelle loi qui vient à point nommé pour réguler, normaliser un marché en pleine expansion.

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4,8 milliards de m3 d’eau dans les 75 barrages

Algérie 360 - Tue, 06/12/2018 - 10:50

Le volume d’eau emmagasiné à travers les 75 barrages du pays a atteint les quatre milliards et 800 millions de m3, avec un taux de remplissage de 70,10%, a-t-on appris, hier, auprès de l’Agence nationale des barrages et transferts (Anbt). «Ce taux est très important, considérable pour le pays. Les dernières précipitations étaient aussi importantes. Cela permettra de reconstituer une réserve suffisante et remarquable jusqu’à la fin 2019», a assuré le directeur général de l’Anbt, Arezki Berraki, dans une déclaration. Le taux de remplissage national des barrages est en hausse par rapport à celui de 2017, a expliqué le même responsable, précisant qu’ «en novembre 2017, le volume n’était que de 52%, alors que cette année, nous sommes en juin et le volume est déjà de 70,10%, c’est très important pour le pays», a-t-il fait savoir.
Pour la wilaya de Bouira, qui compte trois barrages, le taux global de remplissage est de l’ordre de 72%, avec un volume emmagasiné de 525,35 millions de m3 d’eau, selon les détails fournis par l’Anbt.

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Les véhicules fantômes de Cima Motors

Algérie 360 - Tue, 06/12/2018 - 10:48

On ne sait pas ce qui se passe dans la tête des commerciaux de Cima Motors, entreprise qui commercialise les véhicules Hyundai, mais ils semblent ne pas se rendre compte que les attestations de disponibilité qu’ils délivrent à leurs clients n’ont rien de réglementaire. Et pour cause, plusieurs citoyens désireux acquérir un véhicule Hyundai par le biais d’un crédit automobile se sont vu refuser le financement par la banque El Baraka, pour ne citer que celle-là, au motif que sur la fameuse attestation de disponibilité le numéro du châssis du véhicule est inexistant. C’est-à-dire que Cima Motors vend un véhicule fantôme aux Algériens.

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Le ministre de l’énergie défend la compagnie nationale : « Laissez Sonatrach travailler! »

Algérie 360 - Tue, 06/12/2018 - 10:43

«La compagnie nationale est en train de s’organiser, de se centrer sur son métier de base(…) et d’investir à l’étranger.»

Ne supportant pas apparemment les critiques qu’essuie ces derniers temps la nouvelle stratégie adoptée par la nouvelle direction de Sonatrach, le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni,, a déclaré hier à Alger en présence du patron de la compagnie nationale des hydrocarbures, Abdelmoumen Ould Kaddour: «Laissez Sonatrach travailler!»
Le ministre s’est exprimé lors de sa conférence de presse organisée au siège de son département à Alger, en marge de la Journée portes ouvertes de l’Autorité de régulation des hydrocarbures(ARH). «C’est une affaire de temps car les choses ont changé et évoluent vite, par conséquent il faut agir rapidement», a-t-il souligné. «Sonatrach est en train de s’organiser, de se centrer sur son métier de base, de former sa ressource humaine pour se mettre au diapason des autres compagnies et surtout investir à l’étranger pour continuer à exister, rapatrier ses dividendes pour investir à l’intérieur du pays et continuer ainsi à avancer pour figurer parmi les cinq plus grandes compagnies pétrolières au monde», estime-t-il. «Sonatrach qui commence à s’exporter dans cinq ou six pays, et dont le savoir-faire est reconnu mondialement, est très bien placée vis-à-vis de ses fournisseurs, et a toujours tenu ses promesses, même pendant les temps les plus durs… alors laissez cette entreprise travailler», a-t-il lâché. «Tout ce que fait Sonatrach est étonnant. On est en 2018 et la mentalité des années 2000 est révolue et où lorsqu’on se met à l’oeuvre, la décision est prise dans l’heure qui suit car les cours du pétrole changent chaque heure et il est pratiquement impossible de se rattraper si on loupe une quelconque opportunité», a-t-il ajouté. «Il est temps de reconstituer les réserves et d’augmenter les capacités; sur 1,5 million de m2 du territoire, susceptibles de contenir des hydrocarbures, 30% seulement sont exploités, tandis que le reste, soit ¾ du territoire, l’offshore, le gaz de schiste ne sont pas encore exploités», a-t-il indiqué, réitérant que «l’exploitation du gaz de schiste est également en étude». Sur ce il a juré: «Jamais on ne nuira à la santé du citoyen.» S’agissant du stockage des carburants, il a indiqué qu’ «à travers un programme tracé à cet effet, l’Algérie compte augmenter ses capacités de stockage de carburants, en les ramenant de 600 000 m3, représentant une autonomie de 10 jours, à 2,5 millions de m3 en stockage pour assurer une autonomie d’un mois». Répondant à une question sur le nucléaire, il a fait savoir que «le département de l’Energie est en train d’élaborer une loi sur le nucléaire, un texte qui est actuellement soumis aux différents secteurs pour qu’ils puissent donner leur avis.
Par la suite, il sera soumis à l’approbation du Conseil du gouvernement, puis à l’adoption par le Conseil des ministres». Devant une assistance constituée essentiellement des opérateurs privés dans le secteur de la distribution des carburants et lubrifiants, il a souligné que «cette loi devant encadrer les activités relatives à l’énergie nucléaire en Algérie». A propos de la nouvelle loi sur les hydrocarbures, le ministre a réaffirmé que «la nouvelle mouture de ladite loi est en cours d’élaboration par un bureau d’études américain spécialisé en législation pétrolière». «Avant l’Algérie, plusieurs pays producteurs du pétrole qui ont voulu réviser leur loi sur les hydrocarbure pour lui donner plus d’attractivité, de flexibilité, ont sollicité ces bureaux de renom, qui ont une réputation internationale…», a-t-il ajouté. «Des experts algériens seront également associés à l’élaboration de cette loi», a-t-il assuré. «Ce projet de la nouvelle loi sur les hydrocarbures, qui engage l’avenir du pays, devrait être prêt en janvier ou février 2019.
Pas moins de cinq appels d’offres lancés ont été déclarés infructueux parce que quelque chose ne va plus avec cette loi qui n’arrange ni les investisseurs ni le pays», a-t-il rappelé. «L’investisseur vient pour gagner. Il ne vient pas pour perdre et c’est une règle mondiale», a-t-il insisté.
En somme, l’Algérie a fait appel aux services de cabinets conseils américains «Curtis, Mallet-Prevost, Colt & Mosle» pour élaborer la nouvelle loi sur les hydrocarbures à même d’ attirer des investissements étrangers», est-il indiqué en substance. Concernant le recours au contrat de partage de production, le ministre a précisé qu’il y aura des cas où l’on optera pour le contrat de partage de production, et d’autres cas où l’on envisagera des concessions. «En tout cas la nouvelle loi englobera tous les problèmes et cas spécifiques qui pourraient se poser à nous», a-t-il soutenu. Le ministre a insisté que «cette loi souple sera bénéfique pour le pays car nos intérêts seront sauvegardés et ceux des opérateurs seront garantis dans un partenariat gagnant-gagnant», a-t-il insisté.

Sonatrach signe un contrat de 25 ans avec Total et Repsol
La compagnie nationale des hydrocarbures Sonatrach a signé hier, à Alger un contrat de recherche et d’exploitation avec Total (France) et Repsol (Espagne) sur le périmètre de Tin Foye Tabankort (Hassi Messaoud). Ce contrat prévoit la réalisation d’un programme additionnel estimé à 324 millions de dollars d’une durée de 25 ans et financé à hauteur de 51% par Sonatrach, de 26,4% par Total et de 22,6% par Repsol. Ce programme additionnel de développement permettra de maintenir la production du champ de Tin Foyé Tabankort (TFT-Bloc 238), qui s’élève actuellement à plus de 80 000 barils équivalent pétrole/jour (bep/j), pendant six ans, soit 3 milliards de m3/an de gaz, et de récupérer des réserves additionnelles d’hydrocarbures estimées à plus de 250 millions de bep dont 29,2 GSm3 de gaz sec (milliards de mètres cubes standards).

Par Mohamed BOUFATAH 

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Zetchi approche officiellement Gourcuff

Algérie 360 - Tue, 06/12/2018 - 10:38

Il veut son retour

Pour une nouvelle, c’en est une ! Kheireddine Zetchi, et après avoir pensé à Vahid Halilhodzic pour succéder à Madjer, est passé à une autre étape directement en approchant un autre ancien sélectionneur. Il s’agit de Christian Gourcuff, qui a pris en main la formation qatarie d’Al Gharrafa. Selon une source à la Fédération, le président Zetchi, qui n’avait jamais caché son admiration pour le travail fait par Gourcuff, tente de faire revenir ce dernier qui avait pris les rênes de l’EN entre août 2016 et avril 2016. D’ailleurs, les spécialistes pensent que le départ de ce dernier avait cassé les Verts. Ainsi, Zetchi a confié la tâche à un des cadres de la Fédération, qui connaît Christian Gourcuff depuis le passage de ce dernier. L’émissaire de Zetchi a eu ainsi il y a quelques jours, une longue discussion avec Christian Gourcuff pour évoquer son éventuel retour.
Le technicien breton n’est pas contre l’idée, mais…
Il faut savoir que l’émissaire de Zetchi n’est pas revenu bredouille. En effet, il a réussi à obtenir une demi-réponse du technicien breton, connu pour être peu bavard et discret. Ce dernier lui a fait savoir qu’il n’était pas contre l’idée de revenir en équipe nationale et poursuivre le travail qu’il a entrepris, surtout que les joueurs l’aiment beaucoup et l’ont demandé à chaque fois. Bref, Gourcuff veut concrétiser son projet lié à la formation et au développement du football en Algérie. Une réponse qui a réjoui le président de la FAF, Kheireddine Zetchi, qui a été impressionné et charmé par le travail, vraiment exceptionnel, faut-il le souligner, de Gourcuff durant son passage à l’EN.
Ce serait une bonne nouvelle pour les joueurs
Le retour de Christian Gourcuff en équipe nationale ne sera qu’une bonne nouvelle pour les joueurs, qui ont vraiment apprécié la méthode de travail du technicien breton. Les joueurs ont aussi de très bonnes relations avec le coach et s’entendent à merveille avec lui. Lors de la fameuse réunion à Sidi-Moussa lors du coup d’état monté à Milovan Rajevac, tous les joueurs avaient demandé le retour de Gourcuff car ils ont adopté sa méthode de travail. Si son retour se confirme, Zetchi aura fait aux joueurs, le meilleur cadeau.
L’unique entraîneur ayant donné un style de jeu aux Verts
Christian Gourcuff reste un des entraîneurs ayant marqué son passage à la tête de l’EN. Aujourd’hui et avec du recul, tout le monde est unanime à dire que s’il était resté à la tête des Verts, la qualification au mondial aura été acquise et facilement. Au delà des résultats, un quart de finale lors de la CAN 2015 en Guinée Equatoriale, Gourcuff avait réussi une chose très importante, instaurer un style de jeu pour les Verts. C’est avec Gourcuff que l’EN a pratiqué son meilleur football depuis plus de vingt ans. C’est avec Gourcuff que l’EN faisait peur à toutes les équipes y compris les champions d’Afrique comme le Ghana et la Côte d’Ivoire. Autrement dit, le retour de Gourcuff ne sera qu’une bonne décision de la part de Zetchi car il faudra un entraîneur qui connaît la situation et qui connaît le groupe parfaitement, après avoir perdu plus d’une année entre Alcaraz et Madjer.
Zetchi doit le convaincre pour qu’il résilie son contrat avec Al Gharrafa
Maintenant, il faudra que le président de la FAF, Kheireddine Zetchi, réussisse à convaincre Christian Gourcuff de revenir en sélection nationale. Il faut dire que le projet de Gourcuff, proposé à la FAF en 2014 , a été intéressant, mais l’intéressé n’a pas pu le concrétiser sur le terrain pour diverses raisons. Zetchi doit donc convaincre Gourcuff pour que ce dernier démissionne d’Al Gharrafa, un club avec lequel l’ancien sélectionneur s’est engagé il y a un mois. En plus, Gourcuff est un entraîneur qui avantage toujours le projet sportif par rapport au volet financier, ce qui est intéressant pour Zetchi et ses collaborateurs.

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Des homosexuels parlent de leur vie

24 Heures au Bénin - Tue, 06/12/2018 - 02:54
Le doute ne doit plus être permis aujourd'hui et les parents doivent encore multiplier leur contrôle sur leur progéniture. L'homosexualité se développe actuellement chez nous au Bénin avec une vitesse qui donne l'effroi.Les Béninois ont toujours pensé que cette déviance morale est une maladie des seuls Blancs et que cela ne pourra jamais franchir nos frontières. La réalité, malheureusement, est tout autre car se développent depuis longtemps au Bénin, de petits groupes d'extravertis qui ont déjà pris goût à cette pratique célébrée chez les Occidentaux. Il est vrai que certains pays africains comme la Côte d'Ivoire et le Sénégal ont connu la naissance de leurs associations d'homosexuels il y a de nombreuses années. Il est également connu que cette pratique sexuelle se commet chez nous depuis fort longtemps. On dénombre près de 3000 homosexuels sur tout le territoire. Au début de 2013, il existait au moins neuf associations pour les homosexuels à Cotonou, Porto Novo, et Parakou. Il s'agit de Bénin Synergie Plus (BESYP), l'Union pour la Solidarité, l'Entraide et le Développement (USED), les Amis de Sans Voix, Hirondelle Club Bénin, et Tous Nés Libres et Egaux. Le quatrième recensement général de la population et de l'habitat RGPH4 a permis de dénombrer 9.982.884 de Béninois. Le traitement des données issues des enquêtes sur les conditions de vie des ménages, révèle que 76% des informaticiens béninois sont Homosexuels. Selon les données consolidées de l'Institut National de la Statistique et de l'Analyse Économique (INSAE) plus de 80% des informaticiens se déclarent favorables au mariage pour tous et 76% affirment avoir des mœurs "différentes". Le phénomène est aussi répandu dans les villes qu'en milieu rural. Ces résultats sont très étonnants au regard des valeurs traditionnelles africaines.Une pratique sans tabouLes ‘'homosexuels'' s'affichent désormais de plus en plus au Bénin. Sans tambours ni trompettes, on les rencontre dans les coins les plus chauds du pays flairant désirs et convictions sentimentaux. Leur vœu, vivre en harmonie avec une société béninoise visiblement allergique à la chose. Un tour dans leur jardin intime pour percer le mystère d'un phénomène en vogue dans les grandes villes du Bénin.Sous l'œil des normes socialesL'homosexualité érigée en principe de vie est une anomalie, un rejet de sa qualité d'homme raisonnable. Les grandes religions monothéistes, le christianisme et l'islam, considèrent cette pratique comme un péché. "Tu ne coucheras pas avec un homme comme on couche avec une femme. C'est une abomination " disent les Saintes Ecritures (Lévitique : 18-22). Malheureusement, il y a de ces mécréants qui s'amusent à défier les normes et à verser dans l'insensé. Des femmes lesbiennes, qui se frottent sans vergogne et des hommes en pleins ébats dits amoureux avec les yeux mouillés de désir pour l'acte scabreux. Les pseudos roucoulements de cette espèce investie dans des démonstrations salaces et la pollution sonore qui en découle, dégradent bien nos mœurs.Dans la peau des homosexuelsNous avons réussi à avoir un témoignage d'un homosexuel. Freud, jeune étudiant béninois en 3ème année d'Anglais à l'UAC, est un homosexuel depuis 8ans. Il a manifesté le désir de se confier à nous à une seule condition : taire son nom dans nos commentaires et analyses. Partant de cette clause, il nous a expliqué que cette passion s'est développée depuis son internat dans un Lycée. Ces parents ont piqué une crise de nerfs en apprenant la nouvelle. Depuis lors, la relation est restée tendue avec ses parents qui l'ont presque renié. Bras-dessus bras-dessous, Freud apparaît sur ces photos en compagnie d'Eli, son ‘'amant''. Aussitôt un lien fort s'est établi entre eux. « Pas un jour où nous ne nous croisons. Nous sommes devenus tellement proches l'un de l'autre, tellement liés que très tôt nous avons décidé d'écouter nos cœurs et de donner une chance à cette relation naissante », nous a-t-il confié. Et depuis, le couple ne cesse d'essuyer des injures de la part de leurs amis homophobes qui trouvent cette pratique barbare et ruineuse ; il en est de même pour le jeune Pierre qui fréquente depuis peu Laurent, tous Béninois homosexuels. Discrètement, ils font le jeu. Sans très grande prétention sentimentale, ils se rencontrent une fois par semaine pour « échanger, se distraire et s'amuser ». « Actuellement, je ne me suis pas encore engagé avec lui. Mais cela ne saura tarder », a lâché Laurent, plein de confiance. Dans le jardin intime de ces jeunes homosexuels rencontrés à l'Université d'Abomey Calavi et à Cotonou et environs, il y a le spectre du déshonneur qui plane sur leurs têtes. Déshonneur à eux infligé par la société dans laquelle ils vivent.Une activité lucrative de la jeunesseIl se trouve effectivement qu'aujourd'hui, la pratique de l'homosexualité donne à manger à des dizaines de nos compatriotes des deux sexes qui satisfont une clientèle particulière. De nombreuses confidences ne laissent plus la place au doute puisque les écoles secondaires sont déjà devenues des lieux où certains dépravés viennent chercher des proies faciles.Ils sont donc innombrables ces enfants qui ont découvert et s'adonnent librement à cette pratique dans l'ignorance absolue de leurs géniteurs qui continuent de croire avoir donné la bonne éducation à leur progéniture. Erreur ou naïveté ? La responsabilité semble partagée dans la mesure où on dénombre des parents qui sacrifient le suivi de l'éducation de leurs propres enfants au profit de la recherche sans cesse effrénée de l'argent ou de la promotion sociale. Alors, ils doivent comprendre que des réseaux organisés sillonnent les établissements scolaires, singulièrement ceux du secondaire, à la recherche de chaire fraîche afin d'assouvir leur passion et leur vice. Mais il paraît que le Bénin serait un véritable paradis sexuel pour ces messieurs car aucune loi n'existerait, pour l'heure, mettant hors la loi les auteurs voire complices de cette nouvelle forme d'esclavage. D'où la floraison des proxénètes qui en font leur commerce. Voilà qui au lieu de réarmer moralement la jeunesse, lui offre par contre des possibilités de tomber dans la pratique de l'homosexualité. Les stigmatisés de la société béninoiseOn les pointe du doigt à partir de leur démarche féline, faits et gestes discrets et efféminés. On rumine, on crache à chaque passage de leur silhouette. Devenus la cible à abattre par les homophobes, les lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres du Bénin arpentent, bon gré mal gré, les couloirs des universités et établissements scolaires de notre pays. Ils sont « les nouveaux envahisseurs ». Plus « indésirables » encore au Bénin, les homosexuels portent des stigmates. Malgré cela, leur nombre grimpe et laisse perplexe cette même société qui les repousse. Méfiance, amertume au cœur, désolation, pudibondes et timides caractérisent les homosexuels béninois. Ils confirment la grande stigmatisation dont ils sont victimes ainsi que les nombreuses « déviances médiatiques » qui les clouent au pilori. Sous le choc de l'insémination homosexuelle, la société béninoise -la leur- ne les ménage point. « On nous brandit la malédiction, la mort, l'extermination et le feu de l'enfer depuis que cette loi a été votée en France », nous a confié le jeune Steve qui affirme vivre son homosexualité depuis une décennie.Une confrérie entre homosexuelsLes homosexuels s'épanouissent un peu partout au Bénin. Il existe des boîtes de nuit, des Karaoké, des buvettes, des bars spécialement réservés aux homosexuels. Les manifestations gay, sorte d'hérésie, organisées entre eux s'accompagnent de véritable retrouvaille. La morale prend ici l'ascenseur de la crise et on est sous la menace du pire. A cette allure, les ratures immorales du gay vont tout pervertir. Le gouvernement de la Refondation a du pain sur la planche dans un pays trop ouvert à toute chose. Il faut éloigner ces pédés et lesbiennes des enfants. Une sensibilisation contre le phénomène homosexuel devient une nécessité. Le ciel est en train de tomber sur nos têtes.Des sanctions divines sur le Bénin ?Un dignitaire religieux du dieu Sakpata rencontré dans un couvent à HOUTO dans la commune de Djidja s'est indigné de l'ampleur du fléau au Bénin. Souvent pris comme l'apanage des sociétés occidentales, l'homosexualité s'est installée peu à peu dans les pratiques sexuelles des Béninois, depuis quelques années. Chose contre laquelle s'offusque le chef dignitaire de culte Sakpata, qui rappelle les interdits de ce dieu et les conséquences qu'il afflige aux praticiens. L'homosexualité est strictement interdite par le dieu Sakpata. L'impuissance sexuelle, les maladies du corps, la mort, la sècheresse prolongée, les drames populaires, les accidents de circulation sont les retombées de l'homosexualité au Bénin. Les valeurs sociales endogènes doivent être priorisées et le respect des interdits des dieux est un idéal à atteindre. Les relations humaines doivent rester saines au Bénin. Le sexe est le lien qui unit les hommes aux dieux. Il faut donc faire preuve de vigilance. Le Bénin ne mérite pas ce genre d'intrusion érosive et ces vagues lascives d'individus de même sexe. Madou Gabin HOUNSA/Le Grand Matin
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Les populations de Comè sensibilisées sur la loi interdisant l'usage des sachets non biodégradables

24 Heures au Bénin - Tue, 06/12/2018 - 02:19

La place Nonvitcha d'Akodéha a servi de cadre, dimanche 10 juin 2018, pour une sensibilisation à l'endroit des festivaliers sur la nouvelle loi interdisant l'utilisation des sachets plastiques non biodégradables. Cette action est initiée par le directeur départemental du cadre de vie et du développement durable du Mono et du Couffo, Gabin Aclombessi, en collaboration avec André Fanoukpè, coordonnateur pro-environnement de la plate-forme des réseaux d'Ong du Mono.
Pour Gabin Aclombessi, les populations utilisent les emballages plastiques tout en ignorant les impacts négatifs que cela produit sur l'environnement et la santé. Il a évoqué dans un rapport publié par l'Organisation mondiale de la santé, que 7 millions de décès ont été enregistrés en 2014 à cause de l'usage des emballages contrairement au VIH-SIDA qui a fait enregistrer 1,9 millions de décès. C'est donc dans le but de pallier cette situation que l'Etat béninois, à travers son ministère, a introduit un projet de loi à l'Assemblée qui a été votée et promulguée. « Un moratoire de six mois est accordé pour prendre fin le 26 juin prochain. Au-delà de cette date, une période est encore réitérée et prendra fin le 19 août prochain », a-t-il ajouté. Il invite les populations à se conformer à cette nouvelle loi.
M. Aclombessi et André Fanoukpè de l'Ong-PROGIDEC et ses collaborateurs ont offert à la population des échantillons de sachets biodégradables qui, au bout de trois mois au plus, peuvent se décomposer contrairement aux emballages plastiques non biodégradables, qui font au moins 400 ans.
Les populations ont sollicité que cette séance de sensibilisation ait lieu aussi dans les communautés reculées, afin d'arrêter l'utilisation des emballages plastiques non biodégradables surtout dans l'art culinaire.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)

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Refoulement de dattes et tomates exportées : Le ministère du commerce ouvre une enquête

Algérie 360 - Tue, 06/12/2018 - 00:41
Une forte quantité de dattes et de tomates algériennes exportées en Russie, au Qatar  et au Canada  viennent d’être refoulées, comme cela a été rapporté dans la presse.   Face a ‘’retour vers l’envoyeur’’ inattendu, le ministre du Commerce, M.Said Djellab, interrogé  le dimanche 10 Juin 2018  à l’APN  a indiqué  à Alger avoir instruit ses services afin de   collecter toutes les informations nécessaires sur l’affaire du « refoulement de la marchandise algérienne récemment exportée » et d’en connaître les détails et les  circonstances. »Concernant cette affaire, j’ai ordonné aux services du ministère du Commerce de collecter les informations nécessaires concernant l’exportateur et de définir les causes du refoulement de la marchandise », a déclaré le ministre à la presse à l’issue d’une séance d’audition devant la Commission  des finances et du budget à l’Assemblée populaire nationale (APN) consacrée aux mesures contenues dans le projet de loi de finances complémentaire 2018 (PLFC2018). Nadine

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Secteur de la pêche à Mostaganem : 20 kg de sardine cédée entre 1500 et 2500 DA en gros

Algérie 360 - Tue, 06/12/2018 - 00:34
La campagne de pêche de la sardine a débuté du 1er mai et se poursuivra jusqu’au 31 octobre  de l’année en cours, période favorable  à la production de poissons bleus notamment la sardine. Pour réussir la campagne de la pêche, la direction de la pêche et des ressources  halieutiques a mis en place un plan d’action afin de faciliter le travail des professionnels  pour mener à bien cette campagne.  A cet effet,  cette direction a pris des mesures  administratives et sécuritaires en coordination avec  les gardes côtes pour la préparation de l’embarquement du personnel navigant. Pour ce faire, l’entreprise portuaire mettra à la disposition le carénage des bateaux, la préparation des moteurs avant la campagne de la pêche et fournir les conditions de travail pour la commercialisation du produit afin de  l’écouler sur le marché. La direction avait enregistré l’année dernière une production de 7000 t   de poissons bleus d’un taux de plus de 20% par rapport à l’année dernière, grâce à la préparation de la campagne. Celle-ci a bien démarré par le fait que les caisses de sardine de 20 kg  ont été cédées  entre 1500 et 2500 da  entre 75 et 100 da dira Le directeur de wilaya Rahmani Toufik. Le prix chute  et arrive jusqu’à  50 da le kg quand, la production est importante. Cette campagne de pêche est assurée par 200 unités de sardiniers entre les ports de Mostaganem et de Sidi Lakhdar avec une armada de 2000 et 2500 marins. Gana Yacine

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TVA pour les usines de montage de véhicules : Renault se rebiffe contre la mesure décidée

Algérie 360 - Tue, 06/12/2018 - 00:28
L’instauration d’une TVA de 19% sur l’importation des kits CKD/SKD dans la loi de finances complémentaire 2018 commence à faire des remous. Le premier à se rebeller est Renault Algérie qui dénonce une violation des accords signés en 2012. Le partenaire français au sein de la maison Renault Algérie commence à déployer son réseau d’influence. L’objectif : Convaincre le gouvernement de revenir sur sa décision d’instaurer une TVA de 19% sur l’importation des kits CKD/SKD. Selon ‘’El Bilad.net’’, la partie française exerce des pressions sur le Conseil national de l’investissement et Société nationale des véhicules industriels qui sont ses partenaires dans ce projet. Les Français soutiennent que la mesure prise par le gouvernement s’inscrit en violation des termes de l’accord signé en 2012, cédant gracieusement une exemption de la TVA jusqu’en 2020. ‘’El Bilad’’ souligne que cet accord allait être renégocié en 2019 afin de faire prolonger les privilèges de Renault Algérie de cinq ans. Salim

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Sidi Medjdoub : Un émigré découvert dans un état critique dans son domicile

Algérie 360 - Tue, 06/12/2018 - 00:25
Les éléments  du groupement régional de la Gendarmerie nationale de Mostaganem ont été appelés pour la recherche d’un homme, présumé disparu, répondant au nom de  (M.A) 64 ans, marié et père de 08 enfants. Le concerné est le résident algérien expatrié de Marseille et le résident temporairement étourdi Sidi Mejdoub. Sa disparition a été signalée par un voisin  qui a appelé les 1055 verts, après avoir remarqué son absence pendant une période de 05 jours, a-t-on appris de source sécuritaire. Intervenant immédiatement sur le lieu du domicile, les gendarmes ont tenté d’appeler le présumé disparu, mais en vain. Comme ultime solution, ils n’ont eu que le seul choix  de forcer l’ouverture du domicile, en présence des voisins .Cette intervention leur a permis de trouver l’homme recherché, gisant à même le sol, immobile; ayant constaté que l’homme est toujours en vie et plongé dans un état d’inconscience, les services de la protection civile ont été contactés par les gendarmes en vue de sa prise en charge. L’intéressé a, ainsi, été  secouru et dirigé  vers les services de l’hôpital « Che Guevara » pour recevoir les premiers soins  appropriés .Après son admission et l’examen de son état de santé, il a été diagnostiqué chez ce patient la maladie de la « jaunisse ». Younes Zahachi

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Un sommet international sur l’économie de l’après -pétrole

Algérie 360 - Tue, 06/12/2018 - 00:22
S.T


Le Sommet international sur l’économie de l’après-pétrole « Next Economy Summit » aura lieu les 3 et 4 décembre 2018 à Alger, a annoncé ce vendredi le Forum des chefs d’entreprises (FCE) dans un communiqué.


Placé sous le haut patronage du président de la République M. Abdelaziz Bouteflika, ce sommet international intervient dans un contexte international marqué par le défi de l’après -pétrole.


Il impulsera réflexion, débat et travaux, autour d’une thématique centrale intitulée « Emergence d’un nouveau modèle économique basé sur les services, la transformation et production manufacturière et les nouvelles technologies ».


L’objectif de ce sommet, selon le FCE, est de faire émerger de nouveaux modèles qui facilitent le passage d’une économie basée sur l’exploitation et l’export de matières premières, à une économie de la transformation, de la production manufacturière et des services.


Cet évènement économique conforte la position de l’Algérie, 4ème économie d’Afrique, en tant que hub africain et méditerranéen d’échanges économiques.


Il permettra de mettre en avant l’ambition algérienne au plan économique et valorisera sa production nationale destinée à l’exportation ainsi que les innombrables forces, atouts et opportunités d’investissement qu’offre le secteur économique national.


Plus largement, ce sommet international organisé autour de la problématique de l’après pétrole, initiera et nourrira la réflexion sur l’économie du futur, impliquant aussi bien les politiques publiques que les dynamiques et stratégies d’entreprises privées.


Il verra la participation de nombreux représentants d’états et d’instances politico-économiques internationales, de dirigeants d’entreprises et d’organisations patronales, de think-tanks, de start-ups et de médias internationaux.


Le programme du sommet offrira l’opportunité aux participants d’échanger à travers des ateliers de travail, des sessions de networking

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Des agents mécontents réclament le départ de Isidore Gnonlonfoun

24 Heures au Bénin - Tue, 06/12/2018 - 00:19

A travers un sit-in organisé, ce lundi 11 juin 2018, dans l'enceinte de la mairie de Cotonou, les agents ont manifesté leur mécontentement face à l'inaction du maire par intérim, Isidore Gnonlonfoun, à satisfaire leurs revendications.
Selon les manifestants, Isidore Gnonlonfoun avait promis d'apporter des réponses aux revendications avancées depuis près 5 mois. Mais le silence observé depuis ce temps, est un moratoire accordé à l'autorité municipale qui, visiblement n'en a pas profité.
Pour eux, le maire par intérim a montré ses limites dans la gestion des problèmes qui minent le bon fonctionnement de l'administration locale. Pour cela, ils exigent son départ afin que l'administration communale soit confiée à une autre personne.
En février dernier, rappelle-t-on, le syndicat des agents de la mairie de Cotonou avait réclamé aussi le départ pur et simple sans préavis et sans condition de tous les retraités de l'administration municipale, le rétablissement immédiat de la couverture sanitaire due au personnel et aux retraités ainsi que le paiement immédiat des moins perçus sur salaire et l'arrêt immédiat du cycle infernal des moins perçus par la prise diligente des actes de carrière (avancement, reclassement), sans oublier le constat à bonne date de l'incidence financière sur les fiches de paie.
Au-delà du maire par intérim, c'est la personne du préfet du Littoral, Modeste Toboula, qui est visé par les manifestants.
F. A. A.

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