Les anciennes grilles tarifaires en vigueur au niveau des postes de péage, péage/pesage sur toute l'étendue du territoire béninois subiront une modification à la hausse. C'est l'information rendue publique ce vendredi 29 juillet par le ministre en charge du transport, le docteur Alassane Séidou.
Par lettre N°2849/MIT/DC/SGM/FR/SA signée le 29 juin 2018, le ministre des transports, Alassane Séidou informe tous les syndicats des transporteurs, associations et affiliés de la révision des grilles tarifaires appliquées au niveau des postes de péage et péage/pesage. En effet, il est indiqué que c'est à la suite de la séance de travail tenue le jeudi 14 juin 2018 que l'autorité informe les acteurs du transport que les grilles tarifaires resteront inchangés jusqu'au 30 juin 2018. Mais à compter du 1er juillet 2018 à partir de 00h, les nouveaux tarifs entreront en vigueur. Ils varient selon le véhicule, le péage et à l'essieu.
Pour les véhicules légers ou de hauteur inférieure à 2,55 m, le tarif est de 300 FCFA au péage d'èkpè et 400 FCFA à Ahozon et Grand-Popo et ceci par passage alors qu'il est de 1000 FCFA à Kpédékpo, Diho, Prèkètè, Sirarou, Niro, Garou, Liboussou et Houègbo. Les véhicules poids lourds payeront 500 FCFA par essieu pour les passages vides à Ahozon et èkpè. Quant aux véhicules chargés, ils seront confrontés aux montants déterminés par le nombre d'essieux et le poids total roulant. Au niveau des postes de Kpédékpo, Diho, Prèkètè, Sirarou, Niro, Garou, Liboussou et Houègbo le coût à l'essieu est de 1000 FCFA. Il faut noter aussi qu'il est prévu le tarif en cas de dysfonctionnement ou panne des équipements de pesage. Alassane Séidou demande à ce que toutes les associations et syndicats des transporteurs sensibilisent leurs membres de la tenue en compte des nouveaux tarifs en vigueur dès le 1er juillet 2018.
Giscard AMOUSSOU
Un été «plus chaud que la normale». Telle est la prévision actuelle de Météo Algérie pour tout le territoire national, le même phénomène va toucher une bonne partie de l’Europe et du bassin méditerranéen.
Loth Bounatiro, astrophysicien, expert en astronomie, explique que le phénomène est tout à fait normal, il est due à l’activité solaire, «Le soleil possède une activité cyclique (le cycle solaire) dont la périodicité est de 11 ans. Nous sommes à la 4e année de ce cycle, qui est en ascension continue, ce qui explique les fortes hausses des températures». Le chercheur ajoute que «l’Algérie a eu un hiver plutôt froid et glacial ce qui implique un été plus chaud que la normale».
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26 personnes ont été blessées dans un accident de la circulation qui s’est produit vendredi matin sur la RN 95 au niveau de la commune de Tessala lorsqu’un bus de voyageurs assurant la liaison Ain Temouchent – Saida s’est renversé.
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La compagnie algérienne d’engineering de l’électricité et du gaz (CEEG, filiale du groupe Sonelgaz) a contracté récemment un partenariat stratégique avec l’entreprise russe Machinoimport pour la réalisation d’un projet au Soudan, indique le magasine Echos du groupe Sonelgaz.
Pour rappel, CEEG est une entreprise chargée de la maîtrise d’œuvre des projets de réalisation d’infrastructures énergétiques.
Ce projet avec le partenaire russe concerne la réalisation d’une centrale thermique au charbon au Soudan d’une capacité de 600 MW.
Il comprend également les équipements auxiliaires, à savoir une usine de dessalement d’eau de mer d’une capacité de 50.000 m3/jour, un poste de transformation électrique de puissance 500/220 kv, 105 km de lignes de transport de 220 kv, une zone de stockage du charbon ainsi que d’autres infrastructures d’accompagnement.
Dans ce cadre, une première réunion regroupant les représentants des parties concernées (CEEG, la société soudanaise pour la production thermique, le coordinateur des relations économiques arabo-russes et, en même temps, représentant de la société russe Machinoimport) a été organisées en mai dernier à Alger en vue de trouver une formule d’accord sur le financement de cet important projet et sa mise en œuvre au Soudan.
Les parties participantes à cette réunion ont convenu que CEEG prenne en charge la mise en œuvre des travaux de génie civil et de montage des équipements électromécaniques.
De plus, CEEG participera à la mise en service de la centrale et formera les cadres soudanais à l’exploitation et à la maintenance. Elle sera aussi chargée de la réalisation d’une ligne électrique de 220 kv d’une longueur de 105 km avec des équipements produits en Algérie (pylônes, câbles …).
L’entrée du marché africain de l’énergie capte l’attention de CEEG qui souhaite mettre son savoir-faire à la disposition des pays africains.
Elle compte prospecter les projets énergétiques potentiels à prendre en charge seul ou en consortium, selon la même source.
APS
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28 Juin 1938 - 28 Juin 2018 ! Il y a exactement quatre-vingts ans, un petit enfant voyait le jour dans la vallée de l'Ouémé, et plus précisément à Affamè devenu aujourd'hui arrondissement de la commune de Bonou au Nord de Porto-Novo, la capitale du Bénin. Ses géniteurs lui ont donné le prénom Antoine, craignant peut-être qu'il ne subisse le cruel sort de ce célèbre saint du jour, Irénée de Lyon, martyr devant l'Éternel, mais dont Antoine ne perdra rien de la vigueur théologique et spirituelle. De fait, ses vraies racines se trouvent à Sèdjè-Dénou, un village de la commune de Zè dans le département de l'Atlantique. Il est en effet issu de la lignée royale des Ganyé. Cependant, le plus clair de son existence humaine se passera à Cotonou. Aussi, c'est avec raison que la famille Ganyé, les parents, les amis et tout naturellement l'église-famille de Dieu de l'Archidiocèse de Cotonou et au-delà, rendent grâces au Seigneur, avec lui et pour lui, pour le don de la vie qui lui est fait il y a quatre-vingts ans. C'est aussi en toute reconnaissance et profonde action de grâces que l'heureux du jour s'exclame : « La vie est sacrée, parce que Dieu est le Sacré par excellence. Notre vie vient de Dieu. La vie en nous est de Dieu ; c'est même la vie de Dieu. Il faut la préserver ! » C'est en ces termes que Mgr Antoine Ganyé célèbre le don de la vie dans sa communauté paroissiale de Saint Jean-Baptiste de Cotonou qui devient comme sa seconde famille. La première, celle des Ganyé et des Lokonon Kindé, l'a mis au monde et protégé contre tous les aléas. Elle lui a inculqué les valeurs fondamentales que sont entre autres le sens profond de la famille, la sincérité, la vérité, l'humanité, la miséricorde, l'humilité, la ténacité, l'endurance, la fidélité, la fraternité et l'amitié. Tout cela l'a solidement bâti aussi bien physiquement que moralement, spirituellement et intellectuellement. Pour cequi est de sa famille spirituelle, tout semble se passer à la manière du coeur d'une mère qui vous suit toujours et partout, en toute circonstance avec simplicité et amour. Tout cela favorise un façonnement authentique dont Mgr Barthélémy Adoukonou s'émerveille en ces termes, dans sa préface au livre-testament de l'heureux jubilaire : « Je me suis toujours posé la question de savoir : de quel terrain intérieur d'entraînement, Mgr Antoine Ganyé tirait la vigueur exceptionnelle de ses poignées de main ? J'ai cru avoir découvert la forge intérieure où il est en façonnement joyeux du prêtre célibataire, chaste, obéissant et pauvre qu'il est. Sa méditation sur les conseils évangéliques m'a éclairé et, à proprement parler, séduit. Et j'invite tous les lecteurs de cette précieuse méditation de la vie sacerdotale, à la lire et à en saisir toute la portée pour se joindre à moi et lui dire Merci : c'est le chemin que nous devons prendre pour accomplir la mission historique incontournable qu'est pour l'Afrique de ce temps, une véritable inculturation, entendue comme : "conversion transformante", donc comme "défi de sainteté" ».
Ainsi, le Prélat qui nous est né et venu de Sèdjè-Dénou, tout en n'oubliant pas ses origines, peut s'exclamer à 80 ans, comme un père de la Société des missions africaines : « S'il y a des risques et des surprises à suivre le Christ, il n'y a jamais de déception ». (…) Lire l'intégralité sur https://croixdubenin.com/articles/editoriaux/800-dieu-est-le-sacre-par-excellence
Abbé Crépin M. Acapovi, Directeur de publication La Croix du Bénin