Donald Trump persiste et signe: il a fait savoir jeudi qu’il avait invité Vladimir Poutine à Washington à l’automne afin de “poursuivre le dialogue” avec l’homme fort du Kremlin.
Selon Sarah Sanders, porte-parole de la Maison-Blanche, des discussions sont “déjà en cours” pour une nouvelle rencontre, cette fois-ci dans la capitale fédérale américaine.
Martelant sa conviction que bien s’entendre avec M. Poutine était “une chose positive”, M. Trump a ajouté sur la chaîne CNBC: “Si cela ne fonctionne pas, je serai le pire ennemi qu’il ait jamais eu”.
Trois jours après le rendez-vous qui l’a mis en porte-à-faux avec les agences américaines de renseignement en raison de ses atermoiements sur l’ingérence russe dans la présidentielle, Donald Trump peine toujours à éteindre l’incendie.
“Le sommet avec la Russie a été un grand succès, sauf pour le vrai ennemi du peuple, les médias ‘Fake News’”, a-t-il tweeté, reprenant une expression particulièrement agressive qu’il avait déjà utilisée en 2017.
“J’attends avec impatience notre deuxième rencontre pour que nous puissions commencer à mettre en place certaines des choses dont nous avons parlé”, a-t-il ajouté, citant, pêle-mêle, la lutte contre le terrorisme, “la sécurité pour Israël”, les cyberattaques, les échanges commerciaux, l’Ukraine, la paix au Proche-Orient ou encore la Corée du Nord.
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Après avoir gagné la Coupe du monde 98 en tant que joueur, Didier Deschamps aura cette fois mené la France au sacre ultime en tant qu’entraîneur.
Et alors qu’il est entré dans l’histoire du football français, cela devrait encore continuer. En effet, alors que Deschamps est encore sous contrat jusqu’en 2020 avec la FFF, il n’entend pas lâcher son poste comme cela: «Je n’ai pas pensé à partir pour deux raisons. Une, je suis quelqu’un qui tient ses engagements et je fais en sorte d’atteindre les objectifs qui me sont fixés.
La deuxième, qui est aussi importante pour moi, c’est une question de confiance et de respect par rapport à mon président. A partir du moment où il compte sur moi jusqu’en 2020, je serai là. Il faudra me supporter encore deux ans (rires) », a assuré Didier Deschamps sur TF1 et comme rapporté par Le 10 Sport.
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Les jours de Rachid Ghezzal à l’AS Monaco semblent comptés. En effet, auteur d’une saison mitigée l’an dernier, l’international algérien intéresse pas mal de clubs français, mais aussi d’autres formations européennes. Selon le site, le 10 Sport, l’ancien Lyonnais intéresse fortement le club de Premier League, Leicester City. Les dirigeants des Foxes auraient coché le nom du joueur sur demande du technicien de l’équipe, Claude Puel, qui connaît parfaitement ses qualités. Des négociations devraient donc être entamées prochainement dans le but de concrétiser ce possible transfert.
Le remplaçant idéal de Mahrez
Evidemment, les Foxes voient en Rachid Ghezzal le remplaçant idéal de l’autre international algérien, Riyad Mahrez, parti il y a quelques jours de cela du côté de Manchester City contre un montant record. Tous les deux gauchers, Ghezzal et Mahrez ont pas mal de similitudes dans le jeu et préfèrent tous les deux évoluer sur le côté droit de l’attaque afin de rentrer sur de bon pied. Evidemment, au niveau de la vivacité et du sens du dribble, l’ancien Havrais est un cran au-dessus.
Son départ de Monaco se précise
N’entrant pas tout à fait dans les plans de son driver, Leonardo Jardim, Ghezzal a donc de fortes chances de quitter le Rocher cet été. La direction de Monaco est prête à négocier son départ et ne devrait pas exiger une forte indemnité aux clubs qui le courtisent. La Premier League peut être un championnat où il pourrait se relancer et confirmer enfin tout son talent.
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Le CRAAG (Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique) annonce, dans un communiqué, un tremblement de terre d’une magnitude de 3,8 sur l’échelle de Richter a été enregistré vendredi à 10h33 à Béjaïa.
L’épicentre de la secousse, précise le communiqué du CRAAG, a été localisé à 4 km au nord de la commune de Kherrata dans la wilaya de Béjaïa.
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L'engagement politique des alliés de la Rupture se concrétise peu à peu. La création de grands blocs commence par faire surface. Le président d'honneur de l'Union fait la nation (UN), Bruno Amoussou sort le grand jeu. Après les nombreuses concertations et travaux préparatoires successifs depuis plusieurs mois, le bébé est à quelques heures de sa naissance. De sources proches de la coordination nationale de l'UN, ce grand bloc fera sa sortie officielle dimanche 22 juillet, à Bénin Marina Hôtel. Cette grande formation politique appelée « Le Bloc Progressiste » sera la seconde création sous la Rupture avant même le vote à l'Assemblée nationale de la charte des partis politiques. Plusieurs personnalités sont attendues à cette rencontre décisive des partis alliés avec pour guide l'Union fait la Nation.
La réforme du système partisan prend ainsi corps dans le rang des acteurs politiques en attendant l'adoption des nouveaux textes en étude à l'Assemblée Nationale.
« Le Bloc Progressiste » vient s'ajouter à la « Dynamique Unitaire », constituée d'un grand nombre de partis et mouvements politiques.
Les grands blocs commencent ainsi par faire surface. Fini donc les partis de rue en attendant l'étude de la charte devant régir les partis politiques.
G.A.
Le chef de la délégation béninoise au Forum politique de haut niveau sur les Objectifs de développement durable (ODD), le Ministre d'Etat, Abdoulaye Bio Tchané, a rencontré le Secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres.
Le ministre d'Etat Abdoulaye Bio Tchané a rencontré le Secrétaire général de l'ONU, en marge du Forum politique de haut niveau qui s'est tenu à New-York, aux Etats Unis. Au cours de leur entretien, Antonio Guterres a salué les efforts du gouvernement Talon. Le Secrétaire général de l'ONU invite le gouvernement à poursuivre son combat dans l'atteinte des ODD. En présence ministre du Cadre de vie et du développement durable, José Didier Tonato, et de l'ambassadeur Jean-Claude F. do Rego, Représentant permanent du Bénin près des Nations-Unies, Abdoulaye Bio Tchané a aussi eu une audience avec Fekitamoeloa Utoikamanu, Secrétaire Générale adjointe de l'ONU et Haut-Représentant pour les Pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral, et les Petits États insulaires. Pour le chef de la délégation béninoise, « Madame Fekitamoeloa Utoikamanu a chaleureusement félicité le Bénin pour les efforts réalisés dans le cadre des Objectifs de développement durable (ODD) ». Au cours de cette rencontre de haut niveau, le ministre d'État a fait une présentation sur la Gestion durable des terres pour la sécurité alimentaire et l'adaptation au changement climatique au Bénin.
Cette rencontre internationale qui s'inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des ODD, placée sous le thème « Transformation vers des sociétés durables et résilientes » vise à fournir un leadership politique et des recommandations pour le développement durable, de suivre et examiner les progrès dans la mise en œuvre des ODD, d'améliorer l'intégration des dimensions économiques, sociales et environnementales du développement durable.
G.A.
Pour plus de femmes en politique au Bénin et au Maroc, c'est le but visé à travers le lancement du projet « Get Involved », ce jeudi 19 juillet 2019, à Cotonou.
La représentativité des femmes dans les instances politique devient de plus en plus une nécessité. Les débats aujourd'hui se mènent en direction des femmes qui sont longtemps considérées comme une couche faible. C'est aussi la vision de « Get Involved » qui entend révolutionner au Bénin et au Maroc, cette norme. « Si le nombre de femmes parlementaires élues dans le monde entier est plus élevé que jamais, il n'en demeure pas moins que l'égalité reste un objectif lointain. Les femmes qui peuvent se présenter aux élections rencontrent de nombreux problèmes, vu que la société leur octroie souvent un rôle limité et qu'elles font face à de nombreuses discriminations et stéréotypes », souligne la représentante de l'Union Européenne à la cérémonie de lancement du projet « Get Involved ».
Mise en œuvre au Bénin et au Maroc, le projet est financé à 50% par l'Union Européenne. Pendant trois ans, le projet « ‘'Engageons-nous'' pour plus de femmes en politique au Maroc et au Bénin » optera à la création d'un environnement propice pour les femmes. Il s'agira aussi à travers ce projet de mettre en place le cadre juridique et un environnement plus favorable permettant aux femmes de s'engager réellement dans les instances de décision notamment en politique. Pour le Chargé d'exécution du projet, le professeur Joël Aïvo, « le projet n'est pas seulement au service des femmes. Il est surtout au service de la démocratie ».
Dans sa phase pratique, le projet prendra corps avec des études de base sur la situation des femmes en politique au Bénin et au Maroc. C'est à la suite des résultats que « Get Involved » entame la phase réelle de son exécution à travers des activités diversifiées. Il s'agira des renforcements de capacités, des ateliers de formation, des consultations bilatérales, d'assistance, programmes de monitorat et bien d'autres.
Le projet vise à amener les partis politiques à faciliter l'intégration réelle des femmes dans les instances de décision.
1500 jeunes femmes membres de partis politiques en constituent les bénéficiaires directes.
Les statistiques sont faibles en matière de représentativité des femmes. Au niveau du gouvernement par exemple, elles sont 4 sur 23 ministres. A l'Assemblée nationale, c'est 7 femmes contre 76 hommes. Au niveau des municipalités, il y a seulement 3 femmes maires sur les 77 dont dispose le Bénin. La représentativité des femmes dans les instances faîtières surtout au niveau des partis politiques pourra être améliorée avec l'exécution de ce nouveau projet.
Giscard AMOUSSOU
Dans notre publication de la semaine dernière, nous titrions : « Prions pour notre pays ! ». Ce qui a certainement fait réfléchir et réagir plus d'un de nos compatriotes, surtout les chrétiens et tous les croyants qui connaissent l'importance et le sens de la prière. Mais sans être forcément chrétien catholique, il y a eu également des lecteurs assidus de votre journal dont des frères musulmans qui nous ont interpellé par rapport à ce qui a l'air d'une exhortation que nous a inspirée le 20e anniversaire du départ pour l'Eucharistie éternelle de Mgr Christophe Adimou ancien Archevêque de Cotonou. Ainsi, comment ne pas saisir l'occasion que nous offre le présent éditorial pour répondre à nombre de nos lecteurs qui ont certainement les mêmes préoccupations que celles de nos fidèles lecteurs et lectrices qui voulaient en savoir davantage !
« Prions pour notre pays ! », comme vous devez vous en douter, n'est pas si anodin que cela ! C'est bel et bien suite à un certain nombre de constats, de faits, d'événements et de situations, que nous sommes parvenus à ce titre très évocateur. Évocateur, quand on sait que nous sommes un peuple fondamentalement croyant, qui croit au Dieu Tout-Puissant qui le protège. Sans donner forcément raison sur toute la ligne à ceux et celles qui disent que « les gens ont faim », « les gens sont harcelés », « le peuple est méprisé et traumatisé », « les concitoyens ne sont pas écoutés »,« des injustices et des iniquités sociales persistent », « les lois de la République sont appliquées à la tête du client », « sur le plan socio économique, c'est la misère », « il y a une intention cachée derrière la révision coûte que coûte de la Constitution béninoise du 11décembre 1990 » ; il faut tout de même relativiser ces cris de détresse, de désolation et d'appel au secours. Ce faisant, n'ayant pas pour le moment les recettes et les solutions judicieuses aux différents problèmes et difficultés de l'heure qui nous interpellent tous, il nous faut adopter des attitudes qui rassurent et apaisent. Et pour tout chrétien, ou simplement tout croyant, quelleque soit sa religion, le premier recours dans un tel contexte, c'est bel et bien la prière. N'est-ce pas le lieu d'emprunter à un illustre prêtre béninois, quelques unes de ces paroles fortes non moins chargées de sens :« Quel recours avons-nous ? Les citoyens sont croyants ! Le pays est protégé et verrouillé ! Le culte est public, c'est l'État qui est laïc. Les musulmans, les protestants, les catholiques et toutes les églises et les confessions religieuses sont appelés à la mobilisation spirituelle et à la prière, confiants que notre pays le Bénin est sous le sceau divin.
(...) Lire l'intégralité sur https://croixdubenin.com/articles/editoriaux/833-sous-le-sceau-divin
Abbé Crépin M. Acapovi, directeur de publication La Croix du Bénin
La Plateforme électorale des organisations de la société civile du Bénin était face à la presse, ce jeudi 19 juillet 2018, pour montrer sa position par rapport au processus de révision de la constitution.
Initié par huit députés du Bloc de la majorité parlementaire, le processus d'amendement de la constitution attire l'attention des organisations de la société civile. Dans une déclaration à la presse, la Plateforme électorale des organisations de la société civile du Bénin donne sa position. Une position qui se démarque clairement des autres acteurs partisans. « La Plateforme électorale des organisations de la société civile du Bénin se dissocie entièrement de la proposition d'amendement de la constitution engagée par voie parlementaire », a déclaré la présidente de cette plateforme, Fatoumatou Batoko Zossou. Selon elle, il est vrai qu'une coalition des organisations de la société civile dénommée : ‘'Maintenant la Cour de compte'' a démarré un plaidoyer pour une révision ciblée de la constitution en vue de l'institutionnalisation de la Cour des comptes. Cependant, les OSC coalisées pour le plaidoyer pour la Cour des comptes n'ont retenu que ce seul point et n'ont pas du tout été associées à la proposition d'amendement déposée par les huit députés le 28 juin 2018 ».
La Plateforme déplore la conduite exclusivement parlementaire, sous fond de précipitation caractérisée par la célérité d'instruction du dossier et la procédure d'urgence choisie à l'issue du vote pour la prise en considération, empruntée par les députés sans association des autres acteurs, sans mise à disposition et mise en débat public du texte d'amendement. Une telle démarche est d'autant plus déplorée que les amendements proposés ne sont pas sans conséquences sur le dispositif électoral et démocratique hérité de la Conférence des Forces Vives de la Nation ». La présidente de la Plateforme dit sa désolation pour « Cette attitude des hommes politiques à mélanger aux préoccupations techniques consolidantes qui font l'unanimité des préoccupations politiciennes fortement discutables ». Elle ne partage pas « Le choix, chaque fois d'un passage en force pour conduire les processus de révision de notre constitution ». Toutes ces situations créent des tensions et des agitations inutiles dans le rang des populations.
« Cet état de choses érode le crédit de bonne foi accordée aux dirigeants actuels, renforce la suspicion des populations et fait perdre au pays des occasions de révisions techniques de la constitution qui permettront des avancées qui consolident de la démocratie et le progrès », dénonce la Plateforme des OSC.
Giscard AMOUSSOU