Sikirath AGUÊMON, Michel DASSI et Félix Dansou DOSSA sont nommés en tant que personnalité extérieure au Conseil Supérieur de la Magistrature pour une durée de quatre (04) ans renouvelable.
Voici le décret
RÉPUBLIQUE DU BÉNIN
PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIOUE
DÉCRET N.2018-323 DU 19 JUILLET 2018 portant nomination de personnalités extérieures à la magistrature, membres du Conseil Supérieur de la Magistrature.
LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE, CHEF DE L'ÉTAT,
CHEF DU GOUVERNEMENT,
Vu la loi n' 90-32 du 11 décembre 1990 portant Constitution de la République du Bénin ;
vr.r la loi n "2018-02 du 02 juillet 2018 modifiant et complétant la loi organique n" 94-027 du 15 juin 1999 relative au Conseil supérieur de la Magistrature ;
vu la loi n" 2001-35 du 2'l février 2003 portant statut de la magistrature ;
vu la décision portant proclamation, le 30 mars 2016 par la Cour constitutionnelle, des résultats définitifs de l'élection présidentielle du 20 mars 2016 ;
vu le décret n" 2018-1 98 du 05 juin 201 B portant composition du Gouvernement ;
vu Ie décret n' 2016-423 du 20 juillet 2016 portant attributions, organisation et fonctionnement du Ministère de la Justice et de la Législation ;
vu la lettre n"052/AN/PT/SP-C du 19 juillet 2018, oÉcnÈre :
Article premier
En application des dispositions de l'article 2 de la loi n'2018-02 du 02 juillet 2018 modifiant et complétant la toi organique n" 94-027 du 15 juin 1999 relative au Conseil Supérieur de Ia Magistrature, sont nommées, au Conseil Supérieur de la Magistrature, en qualité de personnalités extérieures à la magistrature, les personnes dont les noms suivent, aux postes ci-après :
Titulaire : monsieur Félix Dansou DOSSA ; Suppléant : monsieur lmorou SALEY ;
Titulaire : monsieur Michel DASSI ;
Suppléant : monsieur Christophe Cossi GNIMAVO ;
Titulaire : monsieur Prosper R. MORETI ; Suppléant : monsieur Adam Boké BAGUIDI ;
Titulaire : madame Sikirath AGUÊMON ; Suppléant : monsieur Joseph AGUESSY.
Article 2
La durée des fonctions des personnes nommées à I'article 1er du présent décret est de quatre (04) ans renouvelable une (01) fois.
Article 3
Le présent décret, qui prend effet pour compter de la date de sa signature, abroge toutes dispositions antérieures contraires.
llsera publié au Journal officiel.
Par le Président de la République, Chef de l'État, Chef du Gouvernement,
Le Ministre de l'Economie et des FNinances,
Marie Odile ATTANASSO
Fait à Cotonou, le 19 juillet 2018
AMPLIATIONS : PR 6 AN 4 CS 2 CC 2 HAAC 2HC) 2 MESGPR 2 GS/MJL zMEF 2 AUTRES MINISTERES 20 SGG 4 INTERESSES B JORB 1
Patrice TALON
Le Garde des Sceaux, Ministre de la Justice et de la Législation,
Séverin
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D’après Sonelgaz, La climatisation représente 40% de la facture annuelle de la consommation électrique du pays, a révélé, jeudi la chargée de la communication,Fatma Zahra Merzouki lors de la clôture de la caravane nationale de sensibilisation à la consommation rationnelle de l’énergie à Blida.
Elle a même indiqué que la moyenne annuelle de consommation par client en basse tension s’élève à 3800 KW au nord du pays et à 6700 KW au sud. Ce qui représente 10 fois la consommation mondiale en énergie. En plus de la grande part de consommation de la climatisation, l’éclairage représente 30% de la facture annuelle d’électricité, a précisé la chargée de communication du groupe public.
Massin.A
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Dans un entretien accordé à l'hebdomadaire catholique La Croix, Célestine Zanou, leader politique et présidente de la Dynamique du Changement pour un Bénin Debout (Dcbd), s'est prononcée sur la question de révision de la Constitution. Cette démarche est inopportune selon elle et l'urgence actuelle est de penser à l'amélioration des conditions de vie des populations.
Selon Célestine Zanou, la démarche par voie de référendum engagée pour procéder à l'amendement de la Constitution est inopportune. « Le référendum est une procédure de collaboration avec le peuple pour l'élaboration d'une loi qui ne devient parfaite qu'avec son consentement », soutient Mme Zanou. La présidente de la Dcbd met l'accent sur l'aspect consentement qui ne peut aboutir sans le dialogue. Il faut donc dialoguer avec le peuple ou le persuader afin d'éviter le doute ou la suspicion. « Notre pays a des sensibilités qui sont le reflet du peuple et qui doivent forcément se mettre ensemble pour proposer en matière de loi fondamentale quelque chose qui nous ressemble et qui nous rassemble. Lorsque cette démarche consensuelle n'est pas de mise, tout ce qui sera fait aura tout l'air d'un forcing face auquel chacun ira exprimer son ressenti si ce n'est sa douleur puisqu'il ne répondra pas à la question posée », explique-t-elle. Les raisons évoquées manquent de pertinence, c'est pourquoi elle propose « de revoir la démarche actuelle qui a tout l'air d'une précipitation porteuse de suspicions ».
Pour Célestine Zanou, il y a des craintes en ce qui concerne la création de la Cour des comptes ; une Cour dont la mission est de donner quitus en matière de gouvernance financière économique dans la mesure où le fonctionnement actuel de la Cour constitutionnelle est présidé par Me Joseph Djogbénou.
Par rapport à la question de la représentativité des femmes dans les instances de décision, la leader politique affirme qu' « On veut nous faire croire qu'un wagonnet de 24 femmes à l'Assemblée Nationale sera la preuve de promotion des femmes. C'est à la limite du ridicule que nous ne saurions laisser aller plus loin ». Si les femmes veulent aller à l'Assemblée Nationale soutient-elle, elles doivent s'engager dans les partis politiques pour développer un leadership et s'assurer une représentation de qualité. Célestine Zanou demande à tous les promoteurs de cette idée de céder tout simplement sur leurs listes aux prochaines législatives, la place aux braves femmes de leurs partis.
S'agissant du couplage des élections, elle a fait une caricature avec les différents examens. Pour la présidente de la Dcbd, ce n'est pas parce que les examens coûtent chers, qu'il faut coupler Bac, Bepc et Cep comme si chaque examen n'avait pas ses spécificités. Si l'on prend les 4 élections dont il est question explique-t-elle deux sont déjà couplées à savoir les locales et les communales. Ces dernières présentent des difficultés et à ce niveau, il est question d'un dispositif qui encadre le développement à la base et conforte la décentralisation. Les législatives renseigne-t-elle ont un cadre d'exercice qui relève de la circonscription électorale et le bulletin utilisé n'est pas le même que celui des élections communales et locales. Célestine Zanou perçoit l'élection présidentielle comme la plus facile puisque la circonscription du candidat regroupe les 5297 villages et quartiers de villes, c'est-à-dire tout le territoire national. Ce qui n'est pas le cas pour le député élu avec les voix des populations de sa circonscription électorale.
La présidentielle, pour elle irait à la limite avec les locales et communales. Toutefois, elle mentionne que c'est risqué de coupler la présidentielle qui est une élection simple avec les élections locales et communales qui sont déjà plus complexes.
« Quoi qu'il en soit, même si l'idée est de faire des économies, il n'en sera rien puisqu'il demeure que chaque élection a ses particularités », a clarifié Célestine Zanou. Cette dernière, estime que la démocratie a un coût car ajoute-t-elle « ce qu'on pense gagner pourrait bien se révéler conflit et spirale de violences dont le coût reste incalculable ».
Au sujet de la peine de mort, la leader politique estime que c'est une peine instituée par ordonnance dont la question a été déjà réglée par le code pénal.
Face à ces questions, il n'y a donc aucune urgence pour Célestine Zanou à vouloir toucher à la Constitution. Cette révision « reste beaucoup plus un choix cohérent qui pourrait manquer d'être autant pertinent que des réponses adaptées aux appels sociaux qui fusent de toutes parts », déclare-t-elle. Il faut penser à l'amélioration des conditions de vie des populations. « Dépenser des milliards pour un référendum dans le contexte actuel n'est pas à mon avis opportun. Cet argent pourrait bien servir pour des bourses d'études aux jeunes filles et à la jeunesse en particulier, faciliter l'accès des femmes aux crédits, améliorer leurs conditions de vie et de travail, etc », a-t-elle martelé. L'idéal selon elle serait « de suivre une démarche qui permet de rédiger une Constitution de bonne qualité et surtout acceptée par tous pour durer dans le temps et nous garantir quiétude et paix comme celle de 1990 ».
Pour conclure, l'ancienne directrice de cabinet du président Kérékou soutient que le Bénin n'a pas un problème de textes. ‹‹ Travaillons à ne pas redevenir l'enfant malade de l'Afrique (...) ››, recommande-t-elle.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
Alexandre Benalla, collaborateur du président français Emmanuel Macron mis en cause après la diffusion de vidéos le montrant frappant un manifestant, a été placé en garde à vue vendredi matin, a-t-on appris de source judiciaire.
Alexandre Benalla, dont la présidence française a par ailleurs annoncé le prochain licenciement, est visé pour des faits de violences en réunion par personne chargée d’une mission de service public, d’usurpation de fonctions, de port illégal d’insignes réservés à l’autorité publique et de complicité de détournement d’images issues d’un système de vidéo-protection, a-t-on précisé de même source, tandis que ne cessait d’enfler l’affaire, très embarassante pour le président Macron.
Trois policiers ont été par ailleurs suspendus à titre conservatoire pour avoir extrait des images de vidéo-surveillance de la Ville de Paris et les avoir transmises à Alexandre Benalla, a-t-on appris vendredi auprès d’une source proche du dossier. Les trois policiers sont un contrôleur général, un commissaire et un commandant. AFP
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Qu’ils soient de Guyane, de Nouvelle Calédonie ou d’ailleurs, ils sont des milliers à continuer à clamer leur Algérianité, pleurant à chaudes larmes ce pays qu’ils n’ont pourtant jamais connu mais qui leur est si cher au point de mourir de nostalgie.
Ils sont nombreux ces algériens bannis une première fois par le colonisateur et honnis une seconde fois par les leurs. Condamnés à l’errance, sans que leur âme ne trouve la paix de voir ou mourir sur la terre des ancêtres. C’est grâce à la chaine télé qatari AJ+, un média par internet que les internautes ont pu découvrir Lucette Ouhiba Ben Amar, petite fille de déporté algérien par la France coloniale entre 1864 et 1921.
L’émouvante déclaration d’amour de cette algérienne descendante d’un déporté algérien à la Nouvelle Calédonie doit rappeler à nos décideurs leurs rôle et devoirs envers cette partie de notre peuple. Ces oubliés, proscrits de l’histoire algérienne, vivent comme par héritage leur exile sur une terre qui les a pourtant vu naitre. Selon Wikipédia, ils seraient un peu plus de 1800 à avoir été déportés par la France.
Ils ont été condamnés pour « des actes de rébellion réprimés par le Code de l’indigénat ou pour leur participation aux insurrections successives connues par l’Algérie lorsqu’elle a été conquise par la France ». Ecoutons, les plaintes de l’une des petites filles de ces algériens.
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L’Algérie représente une destination attractive pour les investisseurs américains, a indiqué jeudi le département d’Etat, qui évoque » des opportunités considérables » dans pratiquement tous les secteurs économiques.
Dans son rapport 2018 sur le climat d’investissement dans le monde, le département d’Etat relève que l’Algérie est « un marché lucratif « , offrant un potentiel important pour les compagnies américaines en matière d’investissement.
Citant des représentants du secteur privé américain opérant en Algérie, le rapport souligne que « plusieurs secteurs offrent potentiellement des opportunités considérables de croissance à long terme pour les entreprises américaines ».
« De nombreuses entreprises ont signalé avoir enregistré des bénéfices annuels à deux chiffres », précise le rapport qui indique qu’il existe des opportunités dans pratiquement tous les secteurs de l’économie algérienne.
Pour les investissements importants « les secteurs ciblés ( ) comprennent l’agriculture, le tourisme, les technologies de l’information et de la communication, l’industrie, l’énergie (fossile et renouvelable), la construction et la santé », énumère ce rapport qui évoque un « investissement hautement gratifiant » couplé à « un environnement politique et sécuritaire stable » favorable aux affaires.
Le département de Mike Pompeo, rappelle à ce titre le programme de diversification de l’économie, mis en œuvre par le gouvernement pour doper la croissance dans le sillage de la baisse des cours de pétrole avec un focus sur l’investissement direct étranger.
« Le gouvernement algérien poursuit son objectif de diversification de l’économie en mettant l’accent sur les moyens d’attirer les investissements directs étrangers pour stimuler l’emploi et substituer les importations par une augmentation de la production locale », constate le département d’Etat, mettant en avant le nouveau code de l’investissement qui a institué des « exonérations fiscales lucratives » ainsi que d’autres incitations à l’investissement.
Cependant le rapport note que les entreprises américaines doivent surmonter certains défis comme la concurrence des prix de la part des entreprises françaises, turques et chinoises.
Les grandes entreprises s’accommodent de la règle 51/49
Si le département d’Etat soutient que la règle dite « 51/49 », régissant l’investissement étranger, « pose des défis » aux investisseurs américains, il constate que cette mesure » entrave » en particulier l’accès des PME au marché algérien car ces petites et moyennes entreprises ne disposent pas de ressources humaines et financières qui leur permettent de répondre aux exigences de l’investissement.
A l’opposé, les grandes compagnies qui créent de l’emploi et disposent d’un savoir-faire et d’équipements trouvent » des moyens créatifs » pour investir dans le cadre de cette mesure, extirpée du code de l’investissement en 2016.
Le rapport relève que le gouvernement et plusieurs investisseurs étrangers sont d’accord sur le fait que l’institution » de mesures adaptées peut atténuer l’effet » de cette disposition en permettant au partenaire étranger d’assurer le management de la joint-venture et même en devenir le plus grand actionnaire.
Se référant aux explications apportées par le gouvernement à ce sujet, le document rappelle que l’institution de cette mesure a été motivée par le besoin « d’empêcher la fuite des capitaux, protéger les entreprises algériennes et fournir aux compagnies étrangères une expertise locale ». « Il y a peu de lois restreignant l’investissement étranger » en Algérie, relève-t-il.
Au chapitre des facilitations à l’investissement, le document note que le portail d’information en ligne dédié à la création d’entreprises (www.jecreemonentreprise.dz) « est clair, bien conçu, permet une navigation rapide « et répertorie un maximum de neuf étapes impliquant sept agences pour créer une entreprise.
Citant le dernier rapport de Doing Business, le rapport note que l’Algérie a enregistré une amélioration dans deux indicateurs mesurés par ce classement à savoir la facilité de raccordement à l’électricité et l’obtention de permis de construire.
Au plan financier, les banques en Algérie affichent une solide santé financière malgré la baisse des liquidités. Les actifs non performants du secteur bancaire avoisinent un taux de 5%, qui représente la norme pour les marchés émergents.
En parallèle, le marché financier, adéquatement réglementé, fonctionne efficacement malgré sa petite taille, précise le rapport qui rappelle l’objectif de l’Algérie d’atteindre une capitalisation boursière de 7,8 milliards de dollars dans les cinq prochaines années.
Concernant le transfert de dividendes soulevé par quelques entreprises américaines, le rapport affirme qu’Il « y a peu de restrictions légales à la conversion, au transfert et au rapatriement des fonds ».
Il explique que certaines difficultés constatées « résultent plutôt des procédures que de limites imposées par la loi ».
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Les résultats de l’examen du baccalauréat ont été dévoilés hier jeudi 19 juillet, un taux de réussite de 55.88% a été enregistré cette année, selon des chiffres donnés par la ministre de l’éducation nationale Nouria Benghabrit.
La wilaya de Tizi-ouzou a conservé sa première place au niveau national, avec 69.18% de taux de réussite. Cette wilaya est ainsi restée indétrônable depuis plus d’une dizaine d’années. Les lycées Omar Toumi de Tigzirt, Bouassem de Béni Zmenzer et Diaouani Mohamed Saïd de Makouda ont eu les meilleurs résultats au niveau de la wilaya, avec des taux de réussite respectifs de 94.33%, 89.77% et 89.22%.
Béjaïa, autre wilaya de la Kabylie a enregistré pour sa part un taux de réussite de 56.2%, tandis que les wilayas de Tindouf, Sidi Bel-Abbès et Relizane ont enregistré des taux de réussite respectifs de 63.01%, 63% et 62.29%.
À noter que les résultats du baccalauréat sont toujours consultables sur le site de l’Office national des examens et des concours (ONEC) via le lien : http://bac.onec.dz/ .
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Le Figaro Magazine consacre, dans son dernier numéro paru vendredi, un carnet de voyage sur Alger, une vieille cité méditerranéenne « radieuse, envoûtante et éternelle » jouissant d’une « mémoire longue » où rien « ne s’efface jamais vraiment ».
Ce « retour à Alger » de 10 pages est signé par Guillaume Dieuleveut et agrémenté par des photos d’Eric Martin que sa caméra n’a pu résister à la beauté grandeur de cette ville qui se revigore et retrouve sa splendeur à chaque lever du soleil.
Le reportage s’ouvre, comme pour annoncer la bienvenue, avec une photo sublime prise derrière les « rigoureuses » façades du quai de l’Amirauté montrant la blancheur éternelle d’El-Djazaïr, la capitale algérienne sous le regard de la reine Casbah.
ALGERIE. ALGER. QUARTIER ALGER CENTRE. RUE ASSELAH HOCINE.
Très fourni en photos sur les différents quartiers d’Alger, là où la beauté passe et repasse, le carnet de voyage montre que si tous les chemins mènent vers Rome, à Alger tous les regards sont attirés, là où on se trouve, par la « magnifique » baie.
Dans la Didouche-Mourad, le journaliste décrit une scène où deux musiciens, au pied de l’Université d’Alger, chantent le chaâbi, un genre musical natif de cette ville qui a également donné naissance au mandole, un unique au monde instrument à corde entre la guitare et le luth.
« Entouré d’eux, l’assemblée, en arc de cercle, ignore le vacarme de la circulation. On écoute presque religieusement la longue musique, les sonorités envoûtantes qui s’échappent du petit groupe ( ) », écrit le journaliste en décrivant une des facettes de la vie quotidienne de cette ville qui n’a jamais tourné le dos à la mer, d’où sont venus ses envahisseurs et agresseurs.
« A Alger, c’est inévitable : chaque pas entraîne le promeneur dans le tourbillon de l’histoire, l’Antiquité et la moderne, la douloureuse et l’oubliée », poursuit l’auteur de ce reportage qui met en relief qu’aujourd’hui, « malgré les mille drames de l’histoire, tout est encore là ».
Dans ce carnet de voyage, il faut le dire, ce sont les photos sublimes de l’artiste Eric Martin qui viennent détruire d’un trait toutes les idées préconçues et les images négatives sur la ville plus que millénaire que le musée érigé à la station du métro de la place des Martyrs le montre.
C’est Alger à travers le ballet des navires dans le port, ses sculptures de style rococo qui ornent le hall de certains de ses immeubles, l’emplacement impérial du musée des Beaux-Arts qui surplomb majestueusement le jardin d’Essai, une jungle plantée au cœur de la ville, les terrasses de la Casbah montées à la verticale du port, les ruelles de cette cité médiévale et les escaliers qui font partie intégrante de la ville construite sur une colline, que les photos décident de suspendre le vol du temps pour mieux montrer que « la beauté d’Alger, c’est cette bataille permanente qui se déroule sous les yeux du promeneur, entre ce qui fut et ce qui est, entre ce qui n’est plus et ce qui pourtant demeure ».
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Vingt-quatre (24) contrebandiers ont été appréhendés et trois véhicules tout-terrain ainsi que plusieurs autres matériels et produits ont été saisis jeudi, lors d’opérations distinctes menées par des détachements de l’Armée nationale populaire (ANP) à In Guezzam et Bordj Badji Mokhtar, indique vendredi le ministère de la Défense nationale dans un communiqué.
« Dans le cadre de la lutte contre la contrebande et la criminalité organisée, des détachements de l’ANP ont appréhendé, le 19/07/2018, lors d’opérations distinctes menées à In Guezzam et Bordj Badji Mokhtar /6 RM, 24 contrebandiers et saisi trois (03) véhicules tout-terrain, quatre (04) détecteurs de métaux, cinq (05) groupes électrogènes, trois (03) marteaux piqueurs, un (01) appareil de type Thoraya, quatre (04) téléphones portables, 4,5 tonnes de denrées alimentaires, 336 unités de produits détergents et 675 litres de carburants », précise la même source.
Dans le même contexte, des détachements de l’ANP « ont saisi, à Souk-Ahras, Tébessa et El-Taref /5 RM, deux (02) véhicules et 5920 litres de carburants ».
Par ailleurs, un détachement de l’ANP relevant du secteur militaire de Ouargla /4e RM « a saisi 14.5 kilogrammes de kif traité, alors que deux (02) kilogrammes de la même substance ont été saisis à Tlemcen et Aïn Témouchent/ 2 RM ».
D’autre part, des détachements de l’ANP « ont intercepté 17 immigrants clandestins de différentes nationalités africaines à Laghouat/ 4 RM et Tlemcen /2 RM », ajoute le communiqué du MDN.
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La région touristique de Hammam Melouane (est de Blida) attire quotidiennement et depuis le début de la saison estivale, des centaines de familles qui préfèrent le paysage montagneux calme loin du brouhaha des plages et du bruit des villes côtières.
Les reliefs montagneux offrent aux visiteurs de Hammam Melouane l’opportunité de contempler le paysage naturel qui coupe le souffle et les hauts sommets montagneux qui envoutent cette région blidéenne vers laquelle des milliers de touristes affluent quotidiennement.
Le paysage montagneux de Hammam Melouane fait oublier aux visiteurs le chemin ardu menant à cet espace touristique. En dépassant la cité AADL de Bouinane avec ses routes dégradées dont les travaux sont en cours, des paysages exceptionnelles s’offrent au visiteur qui vient du chef lieu de la wilaya ou d’Alger (40 km au sud de la capitale) notamment la beauté des hauteurs de l’Atlas blidéen avant d’arriver à la destination finale à Oued Hammam Melouane ou de poursuivre le chemin jusqu’à Megtaà Lezreg.
Interrogés par l’APS, des visiteurs de cette région touristique ont indiqué que les nombreux changements enregistrés à Hammam Melouane ont fait de ce site leur première destination durant la saison estivale où des dizaines de jeunes ayant bénéficié des contrats de location de tentes et de parking veillent à la propreté de l’entourage du Oued à travers la collecte des déchets laissés par les visiteurs. Ils accompagnent également les familles pour choisir les lieux où celles-ci veulent s’installer pour profiter des eaux douces du Oued.
C’est ce qui a été confirmé par le président de l’Assemblée populaire communale, Meddi Omar, qui a déclaré qu’en prévision de la saison estivale de cette année, il a accordé à près de 80 jeunes de la région des contrats de location des tentes installées aux bords de la rivière Megtaà Lezreg afin d’encourager le tourisme dans cette région et créer de l’emploi.
Plusieurs familles se rendent à ces lieux pour y camper et où elles ont trouvé un espace de détente et de repos, a-t-il ajouté.
Par ailleurs, des vendeurs de fromage traditionnel, de galette et de plusieurs fruits de saison, en majorité des enfants et des adolescents, se sont installés sur le bord de la route menant au Oued pour attirer le plus grand nombre de clients qui trouvent dans ces produits « le goût authentique du produit de montagnes leur faisant rappelé leur enfance », comme l’a fait savoir M. Ahmed de Blida qui a affirmé que la galette traditionnellement cuite par les femmes de Hammam Melouane lui fait rappelé celle que lui préparait sa défunte maman.
Selon ses amateurs, le fromage traditionnel constitue un sacré concurrent aux fromages exposés au niveau des grandes surfaces commerciales, et se vend à de différents prix selon la quantité désirée par le client.
Les magasins qui se trouvent sur la route menant au Oued et à l’ancien Hammam ont réussi de garder leur réputation dans la vente de l’ancien instrument de musique, à savoir « la percussion » (Derbouka) et ce, sous de multiples formes et avec un prix variant entre 250 DA et 800 DA.
Cet instrument enregistre la plus grande demande chez les propriétaires de magasins, à qui vient s’ajouter la sculpture « du coq » qui se vend sous différentes formes et couleurs considéré comme symbole de cette région connue pour ses traditions d’abattage de volaille sur les berges du Oued dans des rituels et des coutumes par lesquelles les visiteurs espèrent guérir de leurs différentes maladies, avant que cette habitude ne disparaisse graduellement se limitant à des sculptures qui se vendent à différents prix.
Malgré qu’il soit réputé pour être un espace de détente, l’endroit fait, tout de même, objet de critiques de quelques visiteurs à cause d’actes irresponsables d’individus qui préfèrent stationner leurs voitures à proximité du Oued pour les laver sans se soucier du désagrément que cela puisse provoquer et encore moins de la pollution des eaux du Oued pouvant entrainer des maladies qui nuisent à la santé des enfants qui y nagent.
Plusieurs citoyens ne cessent d’exprimer leur mécontentement à cause de ce comportement qui ne semble pas rendre service à la région car repoussant les visiteurs, tout en espérant que les autorités locales interviennent afin de lutter contre ce phénomène.
Le nouveau village touristique, un acquis pour la redynamisation des revenues
Aussi, la région de Hammam Melouane devrait attirer davantage de visiteurs notamment après la mise en service du village touristique réalisé par la direction du Tourisme et de l’artisanat, ce qui améliorera, certes, les revenues de la commune, notamment après avoir bénéficié d’une décision lui permettant de gérer ses activités touristiques au lieu des services de la direction du tourisme et de l’artisanat, a indiqué M. Meddi.
Il a ajouté que la gestion de l’espace d’aménagement touristique a été transférée récemment à l’Assemblée populaire communale de Hammam Melouane sur décision du wali de Blida, Mustapha Layadi, prise lors des festivités de célébration de la Journée nationale du tourisme.
A ce propos, le même responsable a révélé qu’un cahier de charges fixant les modalités de gestion de cette structure touristique était en cours d’élaboration ce qui permettra d’assurer davantage de revenues à la commune et de relancer le tourisme et le développement dans cette localité.
Après avoir salué cette démarche s’inscrivant dans le cadre de la valorisation des revenues de la commune et de l’amélioration des ses sources financières, M. Meddi a qualifié cet espace de « véritable acquis » pour la commune.
Pour rappel, cette importante structure touristique dont la superficie est de 1,07 hectare est dotée de 17 locaux d’artisanat (521,85 m²), d’un espace pour les jeux d’enfants (743 m²), de deux parkings (2102 m²), d’une salle de prière, de toilettes (hommes et femmes) et d’un magasin commercial (cafeteria et restaurant).
Ledit espace est doté, également, d’espaces verts, d’une fontaine et de passages piétons.
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Les prix du pétrole montaient vendredi en cours d’échanges européens à plus de 73 dollars le baril, alors que l’Arabie saoudite a affirmé la veille vouloir limiter sa production pour ne pas entraîner une surabondance de l’offre.
Dans l’après midi, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en septembre valait 73,18 dollars sur l’Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 60 cents par rapport à la clôture de jeudi.
Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de « light sweet crude » (WTI) pour le contrat d’août, dont c’est le dernier jour de cotation, prenait 92 cents à 70,38 dollars.
Le marché estival est particulièrement volatil, alors que de nombreux risques pèsent sur l’offre, au Venezuela, en Libye et en Iran, mais également sur la demande, avec les tensions commerciales accrues.
Par ailleurs, l’Arabie saoudite, premier exportateur mondial, a augmenté ses exportations en juin, ce qui a contribué à une nette baisse des prix depuis le début du mois.
Le gouverneur saoudien de l’Opep (Organisation des pays exportateurs de pétrole) a affirmé cependant que les exportations du Royaume n’augmenteraient pas en juillet et reculeraient légèrement en août, a rapporté l’agence Bloomberg.
« Le Brent a reculé de plus de 8% depuis le début du mois, a constaté Jasper Lawler, analyste chez London Capital Group. « Les données gouvernementales montrent que les Etats-Unis produisent à un niveau record, l’Opep a assoupli son contrôle de sa production et la Libye est de retour sur le marché », a-t-il énuméré.
Par ailleurs, le dollar a reculé, ce qui a fait gagner du pouvoir d’achat aux investisseurs utilisant d’autres devises pour acheter des barils dont le prix est fixé en monnaie américaine.
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Le président palestinien Mahmoud Abbas a condamné jeudi l’adoption par le Parlement israélien de la loi sur « l’Etat national du peuple juif », qui définit Israël comme l’Etat des Juifs et El-Qods occupé comme sa capitale.
« Il n’y aura ni paix ni sécurité tant que (le statut d’El-Qods) perdurera », a-t-il réagi ans un communiqué publié par l’agence de presse palestinienne WAFA, notant que cette nouvelle loi « ne changera pas la situation historique de El-Qods en tant que capitale de l’Etat de Palestine occupé ». Elle « ne découragera pas le peuple palestinien de sa lutte légitime contre l’occupation israélienne et sa volonté d’établir un pays indépendant ».
M. Abbas a appelé la communauté internationale à intervenir et à assumer ses responsabilités en faisant pression pour bloquer cette loi qu’il juge raciste.
Cette loi sur « l’Etat national du peuple juif » a été adoptée dans la journée à la Knesset (Parlement israélien) par 62 voix pour, 55 contre et deux abstentions. Des images de la télévision israélienne ont montré des députés arabes en colère déchirer des copies de la loi, avant d’être escortés en dehors de l’enceinte.
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Ouverte ce jeudi 19 juillet 2018, à l'Assemblée nationale, la session extraordinaire demandée par quarante-sept députés suit son cours. Après celle-ci, les députés vont revenir pour une nouvelle session, cette fois-ci à la demande du gouvernement pour l'examen de trois dossiers urgents dont la proposition de loi portant enregistrement à titre dérogatoire à l'état civil et deux ratifications.
Trois dossiers sont introduits par le gouvernement pour examen au cours d'une nouvelle session extraordinaire qui doit s'ouvrir incessamment. Le projet de loi portant autorisation de ratification de l'accord de financement signé le 19 avril dernier, entre la République du Bénin et le Fonds nordique de développement (Ndf) dans le cadre du Projet d'investissement de résilience des zones côtières en Afrique de l'Ouest (Waka-Resip) et le projet de loi portant autorisation de ratification de l'accord de financement, signé à Washington, le 21 avril 2018, entre la République du Bénin et l'Association internationale de développement (Aid). Aussi, sera-t-il question de l'étude de la proposition de loi portant enregistrement à titre dérogatoire à l'état civil.
L'ouverture d'une session extraordinaire au Parlement pour l'examen de ces trois points est sollicitée par le gouvernement conformément à l'article 88 de la Constitution et l'article 5 du Règlement intérieur de l'Assemblée nationale. Cette demande a été lue à l'ouverture de la séance plénière inaugurale sur l'examen de la proposition de loi portant Charte des partis politiques au Bénin, de la première session extraordinaire de l'année 2018 ouverte, le 19 juillet 2018. Les trois dossiers ont été affectés aux différentes commissions techniques pour étude. Les deux accords de ratification sont affectés à la commission des Finances et des Echanges, et la proposition de loi portant enregistrement à titre dérogatoire à l'état civil a été confiée à la commission des Lois.
La proposition de loi portant enregistrement à titre dérogatoire à l'état civil a été déjà initiée en mai dernier par le député Gérard Gbénontchi et quatorze autres élus du Bloc de la majorité parlementaire (Bmp). Ladite loi est composée de 20 articles et vise 2.277.795 citoyens déclarés sans jugement.
L'adoption de cette loi permettra de corriger les irrégularités afin de délivrer des actes de naissance aux citoyens qui en sont dépourvus.
Ces personnes ont été décelés au terme du Recensement administratif à vocation d'identification de la population (Ravip), qui a pris fin le 30 avril. Ceux-ci ont été enregistrés sur la base des témoignages ou avec la carte de la Liste électorale permanente informatisée (Lépi).
Si les travaux des commissions finissent avant les quinze jours que durera la session en cours, la plénière des députés a retenu de faire une suspension et d'ouvrir la session extraordinaire sollicitée par le gouvernement pour examiner les deux dossiers d'autorisation de ratification d'accords et la proposition de loi portant enregistrement à titre dérogatoire à l'état civil.
La commission chargée des Lois présidée par le député Alexis Agbélessessi a jusqu'au lundi 23 juillet pour finaliser ses travaux. Déjà, le mardi 24 juillet, les députés se retrouvent pour examiner la proposition de loi portant Charte des partis politiques au Bénin.
Giscard AMOUSSOU
Après avoir signé son contrat avec sa nouvelle formation de l’OGC Nice mardi dernier, l’international algérien, Youcef Atal, a été présenté hier aux médias, où il a notamment expliqué les raisons qui l’ont poussé à quitter Courtrai pour s’engager avec le club français : «C’est un grand club qui aime les jeunes et leur accorde de la confiance. C’était un objectif pour moi de poursuivre dans une formation comme celle-là. Je suis heureux d’être là surtout que j’ai été bien accueilli par le groupe et le coach.»
«La concurrence ? C’est à moi de batailler pour gagner ma place»
A Nice, Youcef Atal devra montrer de quoi il est capable pour gagner sa place de titulaire. La concurrence s’annonce rude, mais pas de quoi effrayer l’enfant de Tizi-Ouzou : «C’est à moi de gagner ma place et de travailler dur pour atteindre les objectifs fixés par le club.»
Il a effectué son 1er entraînement avant-hier
Au lendemain de sa signature du contrat avec sa nouvelle formation de l’OGC Nice, Youcef Atal n’a pas perdu de temps pour entamer le travail et commencer mercredi matin les exercices avec ses nouvelles couleurs. Un travail qui s’est parfaitement déroulé pour lui : «Ce fut un bon 1er boulot. Les joueurs m’ont bien intégré, le coach aussi. Maintenant, il faut continuer à travailler», s’est-il exprimé à l’issue de cette séance.
Il portera le numéro 20
Youcef Atal a déjà choisi son numéro. En effet, l’international algérien arborera le numéro 20 sous ses nouvelles couleurs. Jusqu’ici, il était porté par Max’ Le Marchand, récemment transféré vers le Fulham FC.
«Ecrivez Atal et non Attal»
Lors de la conférence de presse qu’il a tenue hier, Youcef Atal a tenu à apporter quelques éclaircissements quant à son patronyme : «Atal s’écrit avec un «t» et non pas avec deux «t». Un jour, l’état civil s’est trompé, et m’a rajouté un deuxième «t» sur les papiers. Tout le monde pensait donc que je m’appelais Attal. Mais c’est désormais rectifié.»
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Vieira (coach de l’OGC Nice) : «Atal correspond parfaitement au profil qu’on recherchait»
L’ancien international français, Patrick Vieira, désormais coach de l’OGC Nice, était présent hier au moment de la présentation de Youcef Atal aux médias. Il en a profité pour donner son avis sur le joueur : «C’est le profil qu’on recherchait, c’est un joueur de couloir qui peut jouer avec un système différent, à quatre ou trois derrière. C’est un joueur très offensif, qui aime aller de l’avant, apporter le surnombre. Il est vraiment très déterminé, il sait ce qu’il veut. On est vraiment contents de l’avoir parmi nous.»
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