La ministre de l’Education nationale, Nouria Benghabrit, a affirmé en marge de la cérémonie organisée en l’honneur des lauréats au baccalauréat session juin 2018 présidée par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, que le taux de réussite était en hausse constante pendant ces dix dernières années, en passant de 32% en 2000 à près de 56% cette année.
“Le taux de réussite au Bac a connu une progression quoiqu’elle paraisse lente mais elle est en amélioration continue et ce sans pour autant recourir au rachat, comme c’est le cas dans d’autres pays”, a expliqué la première responsable du secteur d’Education.
Par ailleurs, Benghabrit a dit souhaiter que les résultats soient meilleurs dans les prochaines années du fait ” de l’intelligence de nos élèves qui n’auraient besoin que d’un accompagnement pour d’atteindre les plus loin horizons”.
La ministre a également souligné une hausse du taux de réussite aux épreuves du baccalauréat qui est de 55.88% en 2018, contre 32.3% en l’an 2000, estimant que l’évaluation des résultats à l’issue de chaque session était nécessaire dans la mesure où elle permet de rectifier ce qu’il y a eu à rectifier, rappelant que les premiers ateliers d’évaluation des résultats du baccalauréat étaient mis en place les 18 et 19 du mois en cours.
A ce propos, elle a appelé les premiers lauréats au BAC à contribuer aux grands chantiers de l’Algérie étant les cadres de demain et auxquels incombe “la responsabilité de bâtir une Algérie unie, développée et prospère”.
En outre, elle a affirmé que son secteur ne ménagera aucun effort pour améliorer les conditions de déroulement des épreuves du bac ainsi que les autres examens nationaux, ajoutant que des processus d’évaluation nécessaire auront eu lieu en concertation avec les partenaires.
Comme elle a insisté sur la détermination de son département de régler les problèmes socioprofessionnels des personnels du secteur, et ce à travers le dialogue et la concertation avec les partenaires sociaux qui sont, à ses yeux, “la seule et unique solution pour venir à bout des litiges et des incompréhensions qui devraient surgir en conséquence à certaines mesures prises par la tutelle”.
Comme elle n’a pas manqué de rappeler que défendre l’enseignement public, gratuit et qualitatif est “la question de tous et autour de laquelle doivent s’unir tous les membres de la communauté éducative et toutes les forces vives de la Nation”.
Sofiane. A. / Traduit par: Moussa. K.
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Les services sécuritaires de la daïra de Remchi près la wilaya de Tlemcen, ont procédé, il y a deux jours à la saisie de deux quintaux de viandes blanches avariées.
L’opération s’est produite suite à l’arrestation d’un véhicule utilitaire conduit par un individu âgé de 31 ans répondant aux initiales « H.N ».
Après une opération de fouille, il s’est avéré que le véhicule était chargé de viandes blanches avariées impropres à la consommation.
Après une enquête préliminaire, l’individus a avoué qu’il ne possédait pas de certificat de santé vétérinaire de la marchandise qu’il transportait dans un véhicule ne répondant pas aux normes d’hygiène et de sécurité.
La quantité de viande qui a été stockée dans des conditions sanitaires inappropriées, a été détruite sur le champ.
Walid Bouhraoua / version française: Rachel Hamdi
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Les investisseurs commencent par taper aux portes du Bénin. Après quelques heures seulement de la fin du Salon international des mines, des carrières et du pétrole (Semica), les investisseurs affluent déjà vers le pays. Cette opportunité qui s'offre au Bénin à l'issue du Semica 2018 est dûe à détermination du chef de l'Etat et son gouvernement qui ont créé un environnement institutionnel et juridique favorable à l'investissement.
Le Bénin sous la Rupture trouve petit à petit ses lettres de noblesse.
La volonté du gouvernement Patrice Talon à explorer le sous sol béninois afin d'en tirer les ressources pour booster le développement du pays se confirme.
Après le séminaire sur les mines, les carrières et le pétrole, le chef de l'Etat s'investit déjà à mettre en place les dispositifs pour l'application de ses recommandations. Entre autres, l'assainissement de l'environnement institutionnel et des affaires, l'actualisation des codes miniers et pétroliers, la bonne gouvernance, la sécurisation des investissements à travers les fonds de garantie et le retour sur investissement. Les nombreuses réformes entamées par le gouvernement mettent le pays en pôle position pour l'attraction des investisseurs étrangers. Ce qui témoigne de l'affluence des sociétés étrangères pour l'exploration du sous-sol béninois. Comme l'a rappelé le professeur Zul Kifl Salami, lors de la clôture du Semica, « Le Bénin a un environnement des affaires et un environnement institutionnel tout à fait porteur, la gouvernance est au rendez-vous, le leadership est fort et productif, la volonté y est et le rôle du secteur privé est porteur et surtout magnifié, la lutte implacable contre tout ce qui chatouille les velléités de corruption ». Outre ces dispositions réglementaires, l'ancien ministre du plan fait comprendre aux investisseurs qu'ils sont dans un Bénin nouveau et que les conditions sont réunies pour faire de bonnes affaires. Un appel qui a reçu un écho favorable auprès des partenaires et investisseurs qui dès lors s'engagent à explorer le sous-sol béninois.
Quelles potentialités au Bénin ?
Le Directeur des mines, Koffi Germain Tchokpon a dévoilé les atouts dont dispose le Bénin en matière de ressources minières et pétrolières.
Le scanning des ressources minières et pétrolières réalisé en 2015 pour évaluer les différentes potentialités dont dispose le pays dresse un tableau prometteur. « Notre pays est situé à l'ouest du craton ouest africain qui est réputé pour son potentiel aurifère et également le Bénin est traversé par une grande faille qu'on appelle faille de Kandi où il y a eu beaucoup de circulations de magma acide et basique qui constituent des meilleurs qui véhiculent des minerais », indique le directeur des mines. Ces informations géophysiques ont conduit le gouvernement à faire « cette photographie du sous-sol pour situer les géologues et les ingénieurs des mines sur les zones probables de concentration des minerais », précise M. Tchokpon. « Au niveau de l'exutoire géologique de Tchaourou, on a parlé il y a quelques années de l'existence du Coltan très utilisé dans l'électronique et l'industrie chimique. Après le scanning, on a constaté que ce minerai s'est propagé jusqu'à Ouèssè et Idadjo », confie le directeur des mines. Selon lui, cinq autres zones géologiques d'anomalies aurifères ont été identifiées. « C'est le cas au nord de Péhunco, à Kandi. Dans la zone de Dan, les granites qui sont là renferment de l'or. En dehors de l'or, il y a aussi de manganèse et de l'étain », révèle-t-il. « Au niveau de la localité de Tanguiéta vers Matéri, il y a été décelé du manganèse dans les collines », d'après M. Tchokpon. Il fait remarquer que dans la partie méridionale sur la terre ferme, il a été décelé à la suite du scanning, des poches probables de pétrole. Le directeur des mines précise qu'il y a également d'autres minéraux comme le phosphore et l'uranium. « Avec le scanning, on voit beaucoup plus clair que ce couloir longe au delà de Lokossa jusqu'à Toffo », souligne-t-il.
Regain d'intérêt
« Actuellement, deux blocs ont été délimités et sont sous contrats. La société Eléphants oil pour ce qui se trouve du côté Ouest, Comé, Lokossa et la partie Est, la société NS Oil qui s'active pour les travaux de géophysique de confirmation », renseigne Koffi Germain Tchokpon. Il ajoute qu' « il y a un promoteur sud-africain qui soumissionne déjà pour s'installer sur le site de Perma pour l'exploitation de l'or ».
Le scanning a permis de voir au delà du périmètre d'affluence actuel du gisement d'or. « Certaines compagnies qui s'activent déjà pour la plupart des périmètres miniers que nous avons délimités. Ce qui est déplorable est que les nationaux ne s'intéressent pas encore à cela. Ils font beaucoup plus la ruée vers les matériaux de construction, le sable. Ils pensent à là, où il y a le retour rapide sur investissement. », déplore le directeur des mines.
Afin d'en tirer profit, « toutes les zones ont été déjà délimitées en petits périmètres. Toutes les entreprises sont entrain de prendre ces petits périmètres de 250 km² pour fouiller davantage et exécuter les travaux de sondage afin de fortifier les résultats », indique le directeur des mines. Il informe qu'à la fin des travaux de scanning, « il y a des nigérians qui sont venus clandestinement exploiter de l'étain ». Avec l'appui des forces de l'ordre, ils ont été délogés. ‹‹ Il y a une politique au niveau du ministère où nous associons les autorités et les forces de l'ordre pour la sécurisation des sites miniers », assure le directeur des mines.
Les communes aussi tirent profit de ces sites miniers. « Selon le code minier, les redevances des exploitations versées au transport, 40% sont versées dans les caisses des communes qui détiennent ces gisements. Pour le directeur des mines, dès qu'il y aura les exploitations à grandes échelles de l'or, de l'étain, du pétrole, les populations vont se frotter les mains puisque ces fonds reversés aux communes vont servir pour les projets de développement ».
Giscard AMOUSSOU
Un séisme d’une magnitude de 3,6 degrés sur l’échelle de Richter a eu lieu vendredi matin au nord-ouest de Djenet dans la wilaya de Boumerdès, a indiqué le Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG).
L’épicentre du tremblement de terre, enregistré à 06h39, a été localisé à 8 Km au nord-ouest de Djenet, a précisé le CRAAG dans un communiqué.
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La vidéo largement partagée sur les réseaux sociaux montrant un groupe de jeunes retenus dans un centre d’accueil pour les réfugiés à Moscou. Parmi ces jeunes retenus dans des conditions déplorables, des Algériens, des Tunisiens, des Marocains et des Égyptiens qui se sont rendus en Russie pour suivre les matchs de la coupe du monde 2018. Ne disposant pas d’un billet de retour, les jeunes en question ont été arrêtés par les services de sécurité russes et conduits directement dans un centre d’accueil pour les réfugiés.
Selon le quotidien arabophone Ennahar, les individus auraient tenté de rejoindre l’Europe de l’Ouest via la Finlande pour s’y installer.
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Le président turc Recep Tayyip Erdogan a indiqué mardi avoir appelé le footballeur germano-turc Mesut Özil pour saluer sa décision de claquer avec fracas la porte de la sélection de football allemande lundi après plusieurs semaines de polémiques.
«Je me suis entretenu lundi soir avec lui. Ils n’arrivent pas à digérer le fait qu’il a posé pour une photo avec moi. Je soutiens les déclarations de Mesut Ozil », a déclaré M. Erdogan à la presse après une réunion parlementaire à Ankara.
«L’approche raciste envers un jeune homme qui a autant mouillé le maillot pour le succès de l’équipe nationale allemande est tout simplement inacceptable », a dit M. Erdogan.
Le joueur allemand d’origines turcs, Mesut Ozil a annoncé sur tweeter qu’il mettait un terme à sa carrière internationale, accusant sa fédération de racisme et de manque de soutien.
«C’est avec un cœur lourd et après beaucoup de réflexion ,que à cause des événements récents, je ne jouerai plus pour l’Allemagne de matchs internationaux aussi longtemps que je ressens du racisme et du manque de respect à mon égard »,a-t-il dévoilé.
Pour rappel, la Turquie et l’Allemagne entretiennent des relations difficiles depuis deux ans, Ankara dénonçant les accusations de Berlin de dérive répressive après une tentative de putsch contre M. Erdogan, même si ces deux pays tentent depuis plusieurs mois d’apaiser les tensions.
Ali Bahlouli / version française: Rachel Hamdi
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Une explosion a eu lieu à l’ambassade des Etats-Unis à Pékin ce jeudi en début d’après-midi, heure locale. Plusieurs images publiées sur les réseaux sociaux montraient une épaisse fumée devant le bâtiment et la présence de véhicules de police.
Un porte-parole de l’ambassade a déclaré qu’un “individu a fait détonner une bombe à 13 heures dans l’aile Sud-est du bâtiment”. Toujours selon cette source, l’explosion n’a pas fait de blessé autre que le suspect.
La police chinoise a décrit l’explosif comme un “engin pyrotechnique présumé”. Elle a ajouté que le suspect avait été blessé à la main et hospitalisé. Il se prénomme Jiang et est originaire de Tongliao, en Mongolie intérieure.
La télévision d’Etat chinoise affirmait dans le même temps que des témoins avaient vu une femme tenter de s’immoler devant le bâtiment avant d’être arrêtée par la police.
Moins de deux heures plus tard, le calme semblait revenu autour de l’ambassade, d’après le journaliste Stephen McDonell, présent sur place, qui affirme sur twitter que “des gens font la queue au service des Visas”.
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Le Tribunal de l’Union européenne a affirmé, dans une ordonnance rendue publique le 19 juillet dernier, que le territoire du Sahara occidental et les eaux y adjacentes ne relèvent pas de la souveraineté du Maroc, confirmant ainsi les arrêts de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE).
En examinant l’applicabilité du protocole de pêche UE-Maroc de 2013 au territoire du Sahara occidental et aux eaux y adjacentes, le tribunal de l’UE vient de confirmer, dans son ordonnance et de manière péremptoire, l’arrêt de la CJUE du 27 février 2018, qui a statué que le territoire du Sahara occidental et les eaux y adjacentes ne relèvent pas de la souveraineté du royaume du Maroc.
Ainsi, dans le rappel des procédures contentieuse, le Tribunal est revenu sur les arrêts de la CJUE du 21 décembre 2016 et du 27 février 2018, pour marteler que le Sahara occidental est un territoire inscrit par l’Organisation des Nations unies (ONU), en 1963, sur la liste des territoires non autonomes, sur laquelle il figure toujours à ce jour, et que l’inclusion du territoire du Sahara occidental dans le champ d’application de l’accord d’association et de l’accord de pêche enfreindrait les règles de droit international général, notamment le principe d’autodétermination.
La proposition du Conseil de l’UE d’étendre l’accord de pêche UE-Maroc condamnéeDans les détails, l’ordonnance du Tribunal, dont une copie est parvenue à l’APS, s’est particulièrement attardée sur la portée géographiquement limitée des accords en question au seul territoire du Maroc. La juridiction européenne rappelle ainsi que la CJUE avait déjà eu à se prononcer sur le champ d’application territorial de l’accord de partenariat, en excluant ouvertement une telle application tant au territoire du Sahara occidental qu’aux eaux y adjacentes, insistant longuement sur cette limitation aux doubles plans terrestre et maritime.
Le Tribunal a rappelé également que la notion de territoire du Maroc doit être comprise comme renvoyant à l’espace géographique sur lequel “le royaume du Maroc exerce la plénitude des compétences reconnues aux entités souveraines par le droit international, à l’exclusion de tout autre territoire, tel que celui du Sahara occidental”, ajoutant que “le territoire du Sahara occidental ne relève pas de la notion de +territoire du Maroc+, au sens de l’article 11 de l’accord de partenariat”.
“Compte tenu du fait que le territoire du Sahara occidental ne fait pas partie du territoire du royaume du Maroc, les eaux adjacentes au territoire du Sahara occidental ne relèvent pas de la zone de pêche marocaine visée de l’accord de partenariat”, soulignant que “zone de pêche marocaine”, ne comprend pas les eaux adjacentes au territoire du Sahara occidental.
Afin d’éviter toute interprétation sémantique fausse et tendancieuse, le Tribunal a tenu à préciser que les expressions “eaux sous juridiction marocaine” et “eaux relevant de la souveraineté ou de la juridiction du royaume du Maroc”, employées dans l’accord de partenariat “désignent les seules eaux adjacentes au territoire de l’Etat côtier et relevant de sa mer territoriale ou de sa zone économique exclusive”, indiquant que “tout comme le territoire du Sahara occidental, les eaux adjacentes à ce territoire ne relèvent pas du champ d’application territorial respectif de cet accord et de ce protocole”.
Arrêt de la CJUE: une victoire sur le chemin du processus de règlement du conflit du Sahara occidentalContrairement à ce qui a été rapporté par des médias marocains, le Tribunal a statué à l’irrecevabilité du recours introduit par le Front Polisario, en raison du fait que les instruments juridiques contestés ne s’appliquent par au Sahara occidental et ses eaux adjacentes que, par conséquent, le requérant ne peut valablement prétendre avoir la qualité pour agir en annulation d’un accord spatialement limité au territoire marocain.
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Les Algériens ainsi le reste du monde est en rendez-vous avec un évènement astronomique exceptionnel qui placera ce vendredi la terre, entre la lune et le soleil.
L’éclipse totale de la Lune vendredi 27 juillet durera 6 heures et 31 minutes, par conséquent la plus longues du 21e siècle, elle sera visible en Algérie à 18h15 pour atteindre son maximum à 21h22.
L’éclipse lunaire se produit quand l’orbite de la Lune est aligné sur celui de la terre. Cet alignement fait que l’ombre de la terre va masquer la totalité de son satellite, lui conférant une teinte rousse ou cuivrée.
«Les circonstances de cette éclipse en Algérie seront particulières puisque la lune se lève juste avant le soleil et qu’à ce moment-là, la lune sera partiellement éclipsée déjà », a affirmé le Centre de recherche en Astronomie, astrophysique (CRAAG).
«La lune commencera à entrer dans l’ombre de la terre à 19h24 alors qu’à Alger, elle ne se lèvera qu’à 19h51. Elle n’entrera pleinement dans l’ombre de la terre qu’à 20h30. La phase de totalité durera jusqu’à 22h13, soit 1 heure 43 minutes de totalité », ajoute la même source.
La lune prendra alors une couleur rougeâtre et sera rouge sombre autour du maximum de l’éclipse qui aura lieu à 21h22, note le CRAAG qui explique que le phénomène peut être observé à partir de n’importe quel endroit avec un horizon Est dégagé.
Selon le CRAAG, la prochaine éclipse lunaire totale aura lieu le 21 janvier 2019. Elle sera visible très tôt le matin avant le lever du soleil.
Une autre éclipse totale lunaire aura également lieu le 16 juillet 2019 dans presque les mêmes conditions que celle attendue vendredi (27 juillet) prochain.
L’évènement sera couvert par le CRAAG en ouvrant au grand public un stand au niveau des Sablettes (Alger) de 18 à 23 heures.
Zahira Medjrab / version française: Rachel Hamdi
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Le conseil des ministres du mercredi 25 juillet a pris une décision importante dans le secteur sanitaire de notre pays. En effet, il a été demandé aux praticiens exerçant dans le public et ayant des cliniques privées de faire un choix avant le 1er septembre. Pour prendre une telle décision, il faut être un président courageux, soucieux en permanence du bien-être de son peuple.
La fin de la récréation a enfin sonné. A partir du 1er septembre, nul ne peut être à la fois agent de l'Etat et promoteur de centre de santé privé. Une décision importante et très courageuse prise par le gouvernement Talon. Une décision à saluer absolument car pour qui sait comment ces cliniques fonctionnent, il est de bon ton que cette pagaille cesse. Voilà des agents de l'Etat qui livrent une concurrence déloyale à l'Etat en ouvrant des centres privés. La concurrence est déloyale en ce sens que ces agents détournent les patients des hôpitaux publics vers leurs cliniques privées. Et ce sont ces mêmes agents qui crient que les recettes sont en baisse et que le plateau technique est vétuste et défaillant. Comment renouveler alors le plateau technique si les recettes baissent ? Comment réaliser des recettes si les clients sont convoyés vers les privés ?
Un pas de géant vient d'être posé par le gouvernement Talon. En obligeant les agents de santé à faire un choix, la situation sera désormais claire. Et c'est à l'actif du président Talon et son gouvernement qui ne pensent pas marchander les questions de santé de la population béninoise. Offrir aux Béninois un soin de santé de qualité à un coût raisonnable ne peut être que la raison qui va pousser un gouvernement responsable à prendre une mesure aussi salvatrice.
Ce pas de géant est en fait le premier. Le prochain est à coup sûr la dotation des hôpitaux de plateaux techniques performants et de nouvelle génération afin que les privés ne prennent pas le pas sur le public.
Enfin, un président s'est armé de son courage et a tapé dans la fourmilière pour remettre les pendules à l'heure. Cela y va de la performance du système sanitaire.
Cokou Romain COKOU
Mercredi prochain, 1er août 2018, nous fêterons le 58e anniversaire de l'accession à la souveraineté internationale de notre pays, le Dahomey devenu République Populaire du Bénin en 1975, puis République du Bénin en 1990, à l'occasion de l'historique Conférence Nationale des Forces Vives, tenue, à Cotonou au Plm Alédjo, du 19 au 28 février 1990. Rien que par ces changements successifs de noms, on peut déduire qu'au lendemain des indépendances, les choses n'ont pas du tout été aussi faciles pour la plupart des pays africains dont le nôtre. En effet, durant plus d'un demi-siècle d'indépendance, nous n'avons pas mis à profit les années, le temps et l'espace, pour nous affranchir véritablement prouvant à ceux que nous désignions comme nos oppresseurs et autres dominateurs que nous avions raison de nous soustraire de leurs jougs. Bien au contraire, nous nous sommes comportés comme des opprimés déclarés indépendants mais qui n'ont jamais pu prendre conscience de ce que être indépendant signifie et implique. Autrement dit, être responsable dans tout ce qu'on fait et dit, s'appliquer à bâtir son pays et à l'aimer plus que tout, dans la logique du sens patriotique qui fait dire : la patrie ou la mort. Nous nous montrons plutôt paresseux, partisans demoindres efforts et du gain facile, complexés et quémandeurs, tendant toujours la main aux colonisateurs que nous ne cessons d'accuser d'être à la base de nos maux et de notre sous-développement. Est-ce encore bien juste de continuer à percevoir et à voir les choses comme cela, alors que nous avons nos tares, nos insuffisances et incapacités qui nous aveuglent à ce sujet ! Nous parlons d'indépendance et de liberté comme s'il suffisait seulement de demeurer dans les théories,pour se croire véritablement indépendant ! Nous paressons, tout en espérant que les alouettes nous tombent rôties, pour nous bomber le torse d'être indépendant ! Nous nous contentons de légers progrès et évolutions dans certains domaines de la vie socio économique, pour croire que nous avons déjà fait assez d'effort pour prouver notre indépendance ! Nous pataugeons tellement dans la corruption, les prévarications, les compromissions les plus inimaginables et les rafistolages les plus sordides qui enfoncent davantage notre pays dans l'abîme, que nous manquons du sens de la République, de la Nation et de la Patrie ! Des indépendances à nos jours, les différentes options et conceptions de la plupart de nos dirigeants au plus haut niveau sont si mal pensées, que nous peinons à trouver nos marques et surtout la meilleure voie qui mène au développement du pays ! Sur le plan politique, les intrigues, les règlements de compte et la personnalisation du pouvoir d'État pour servir nos propres intérêts, ceux de nos clans et de nos partis politiques, et non ceux du peuple, sont si perceptibles dans les pratiques et comportements, qu'il faut bien se demander, à quand la politique, la vraie qui mène au développement réel ? Un développement réel qui s'entend par des citoyens au travail, chacun donnant le meilleur de lui-même dans son secteur d'activités, et au prix de mille et un sacrifices pour s'assumer et pour faire avancer son pays. Un développement qui fasse mettre véritablement les hommes et femmes valides au travail, pour non seulement s'épanouir, mais aussi pour prouver leur fierté d'appartenir à une Nation, convenant avec Edmond About que « nous sommes les héritiers de tous ceux qui sont morts, les associés de ceux qui vivent et la providence de ceux qui naîtront ». En cela justement, comme Antoine de Saint-Exupéry, la question que nous devons nous poser, c'est celle de savoir « quelle terre, quelle patrie laisserons-nous à nos enfants ? » Une question essentielle et non moins pertinente que les Béninoises et les Béninoises poseront à la veille ou à l'occasion de la célébration de l'anniversaire de l'indépendance de leur pays ! Ceci, en méditant quelques passages du 2e couplet de notre hymne national « l'Aube Nouvelle » : « Dans le vert, tu liras l'espoir du renouveau ; de tes aïeux, le rouge évoque le courage ; des plus riches trésors le jaune est le présage ».
(...) Lire l'intégralité sur https://croixdubenin.com/articles/editoriaux/848-le-prix-de-l-independance
Abbé Crépin M. Acapovi, directeur de publication La Croix du Bénin
Ecrit par: LDJ.Sarah
Le massacre de Si Zerrouk a eu lieu dans le quartier de Si Zerrouk dans le sud de Larbaa en Algérie le 27 et 28 juillet 1997, causant une cinquantaine de morts.
En 1997, l’Algérie était au cœur d’un conflit brutal civil qui avait débuté après l’annulation par l’armée en 1992 des élections, remportées par le Front islamique du salut (FIS).
Deux grands groupes de la guérilla islamiste, le Groupe islamique armé (GIA) et l’AIS, ainsi que plusieurs mineurs, ont été en lutte contre le gouvernement.
Larbaa a été un centre majeur de la branche armée du FIS, l’Armée islamique du salut (AIS). Le GIA avait récemment déclaré la guerre à Mustapha Kartali de l’AIS, un ancien chef de GIA qui s’était séparé de lui en 1995 et devenu chef de Katibat l’AIS Errahamane brigade, basée dans la région.
Durant l’après-midi du 27 juillet 1997, l’électricité est coupée. Le nuit même, un nombre de guérilleros armés avec des fusils, des couteaux et sabres (30 selon The Economist, 100 selon Liberté) ont fait irruption dans le quartier, ont commencé à piller les maisons et à égorger les habitants, tuant hommes, femmes et bébés, et ont brûlé des victimes vivantes. Environ 50 personnes (la plupart des journaux rapportent qu’il y aurait 47 morts ; Le Matin, 58) ont été tués.
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