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Les élections législatives de 2019 pour la 8ème mandature se préparent activement sur le terrain. Dans la 17ème circonscription électorale composée des communes de Grand-Popo, Comé et Athiémé, les acteurs politiques sont à pied d'œuvre pour s'offrir des victoires écrasantes. Seulement, le grand problème qui pourrait se poser à l'opposition et au grand bonheur de la mouvance, est le positionnement sur les listes.
Les législatives prochaines, comme toute autre élection, ne sera pas une partie de plaisantins. La bataille sera rude. La 17ème ne va pas se déroger à cette règle. Cette circonscription électorale a droit à deux sièges donc deux députés. Et le positionnement des candidats sur les listes sera l'étape fatidique voire fatale pour chaque camp. En face de la mouvance présidentielle se dresse une opposition, essentiellement le parti USL de l'homme d'affaires Sébastien Ajavon. Et dans cette zone, les hommes forts de ce parti ne sont personnes d'autres que Basile Ahossi et Bénoît Kouassi. A supposer que Basile Ahossi soit tête de liste. Il devra choisir impérativement son suppléant à Comé pour favoriser un certain équilibre. Or, s'il le fait ainsi, le maire d'Athiémé Joseph Anani sera laissé sur les carreaux. Quand on sait que le député Ahossi est souvent battu dans son propre arrondissement Atchannou et que le plein est souvent fait à Adohoun chez le maire, il y a donc de raisons de s'inquiéter. De plus, l'unanimité ne se fait plus autour du député dans Athiémé et même dans la commune de Grand-Popo, où il a déjà perdu de grands militants au profit de la mouvance.
De l'autre côté, il se peut que Bénoît Kouassi soit le deuxième titulaire sur la liste et pourrait fort probablement avoir pour suppléant l'actuel chef de l'arrondissement d'Agoué. Si tel est le cas, l'échec est alors assuré. Car, même si les populations d'Agoué n'ont rien contre le probable deuxième titulaire, son suppléant quant à lui n'a plus la confiance de ses mandants.
Si ce schéma est maintenu, la mouvance présidentielle peut donc se frotter les mains car l'opposition elle-même lui aurait ainsi dressé le lit de la victoire. En effet, le probable positionnement par les opposants des gens qui ont perdu leur côte de popularité, laissera le champ ouvert à la mouvance. De plus, jusqu'à présent, la position du maire d'Athiémé n'est pas claire. Soit, il continue l'aventure avec son mentor politique sous la bannière de l'Union fait la Nation, ou bien il vire du côté de l'USL ? Ou encore il assume son indépendance en restant Union fait la Nation ? Dans l'un ou l'autre cas, si le maire Joseph Anani n'est pas bien positionné sur une liste, ses frères d'Adohoun ne sont prêts à l'accompagner car disent-ils, nous en avons déjà trop fait pour les autres. S'il est tête de liste, il nous verra tous derrière lui. Dans le cas contraire, nous on préfère accompagne Urbain Amégbédji qui est aussi notre frère, ont-ils confié. Et avec le soutien des élus FDU de la zone, le jeu sera simplement joué.
De l'autre côté, à Comé, même si le député Agbelessessi est décrié par une certaine jeunesse, d'autres forces et pas des moindres existent sur le terrain pour la mouvance. Euric Guidi et ses acolytes ont la faveur des jeunes de la commune de Comé. Ainsi, une liste comportant ces jeunes cadres pourrait faire bouger les lignes.
L'opposition est, selon les informations, à la croisée des chemins pour le positionnement sur les listes.
Mais la tâche ne lui sera pas facile pour affronter les candidats de la Rupture aux prochaines législatives.
Cokou Romain COKOU
« Normes et technologies pour soutenir l'infrastructure énergétique du Bénin : Stockage de l'énergie et efficacité énergétique », c'est le thème d'un atelier de réflexion ouvert, ce vendredi 27 juillet 2018, par le ministre de l'énergie, Dona Jean-Claude Houssou.
Initié par des structures américaines telles que le Millénium Challenge Compact (MCC), le Millénium Challenge Account II (MCA-BENIN II), l'entreprise Power Africa, l'American National Standards Institute (ANSI) et l'United States Trade and Development Agency (USTDA), cette rencontre de deux jours permettra aux participants d'échanger sur les possibilités d'atténuation de la variabilité des énergies renouvelables par le stockage d'énergie, les avantages du stockage de l'énergie pour le réseau, les possibilités d'utilisation des énergies renouvelables, notamment le solaire photovoltaïque à des fins positives et commerciales, les contrats de performance et le modèle d'affaire en efficacité énergétique.
Le coordonnateur national du MCA-BENIN II, Gabriel Dégbègni, après avoir remercié les organisateurs de cette rencontre, a souligné que les présentes assises s'inscrivent dans le cadre des recherches de solutions pour résorber le problème énergétique auxquels nos pays sont confrontés.
La présence des divers partenaires traduit selon lui, l'intérêt que ces derniers accordent à la dynamisation et au développement du secteur de l'énergie au Bénin.
Cette rencontre vient en appui aux réflexions devant permettre de lever des barrières techniques avec une grande participation du secteur dans la réalisation et la gestion de l'électrification des réseaux ainsi que le renforcement des unités de production au niveau national, a-t-il souligné. Il a ajouté que cette rencontre offre un cadre idéal de partage d'expertise et du savoir-faire en matière de normes, de stockage d'énergie et d'efficacité énergétique.
Le ministre de l'énergie, Dona Jean-Claude Houssou, en ouvrant les travaux a souligné que l'atelier de ce jour se veut être un cadre d'échanges et de discussion sur des questions importantes relatives aux normes et technologies sur le stockage de l'énergie et l'efficacité énergétique en appui aux diverses activités entreprises dans le cadre du deuxième Compact du Millénium Challenge Account. Un don des États-Unis d'Amérique que le gouvernement béninois remercie par la voix de son ministre de l'énergie.
Les travaux du présent atelier, rappelle le ministre, font suite à l'atelier international organisé par le ministère de l'Energie, à Porto-Novo, les 12 et 13 juin 2018, sur le développement et le financement des énergies renouvelables. Pour Jean-Claude Houssou, ces ateliers marquent une fois encore, une cohérence d'ensemble et une continuité d'action, car le gouvernement a désormais une vision claire pour donner une visibilité au secteur de l'énergie, qui constitue une des priorités du Programme d'Actions du Gouvernement.
Il a formulé le vœu que ces journées d'échange et de réflexion permettent d'atteindre les objectifs fixés et donnent dans le domaine énergétique, l'espoir d'un lendemain plus reluisant pour les populations béninoises et celles de la sous-région.
F. Aubin AHEHEHINNOU
Plus rien ne sera comme avant. Le chef de l'Etat, Patrice Talon et son gouvernement sont résolument engagés à mener une lutte implacable contre la corruption et, plus que jamais, déterminés à traquer jusque dans leurs derniers retranchements, les auteurs et complices de détournement de deniers publics et autres infractions connexes.
L'un des actes forts pris dans le cadre de cette lutte est le vote à l'Assemblée nationale de plusieurs lois à savoir, la loi sur l'enrichissement illicite, le code du numérique pour lutter contre la cybercriminalité, le nouveau code pénal. Ces lois ont été renforcées par la création du Tribunal spécial de lutte contre les infractions économiques et le terrorisme et autres.
Mieux, des audits ont été commandités et les personnes impliquées dans des affaires de malversations financières sont placées sous mandat de dépôt. La lutte contre la corruption a connu un essor historique cette semaine avec la levée d'immunité de trois députés cités dans de grands scandales financiers. Il s'agit de dossiers qui ont conduit à la perte de centaines de milliards de francs CFA à l'Etat béninois. Des mesures qui témoignent de l'engagement et de la volonté du chef de l'État à assainir l'administration publique.
Par le passé, plusieurs régimes ont fait preuve de laxisme et d'impunité. Sous le régime Kérékou, il y a eu les affaires Kovacs et Bcb, Amani Tidjani, Titan et autres.
Les fossoyeurs de l'économie nationale n'étaient nullement inquiétés et les ressources publiques étaient considérées comme la propriété d'un groupe d'individus qui en disposaient à leur guise. La corruption avait atteint tous les compartiments de l'Etat au point où, ‘'La cellule de moralisation de la vie publique'' qu'il avait créée, n'a pu véritablement mener la lutte souhaitée.
Le président Boni Yayi, qui a succédé au général Kérékou, a aussi montré sa volonté et sa bonne foi de lutter contre la corruption et d'assainir les finances publiques. Mais très tôt, il fut rattrapé par les différentes affaires, les unes aussi graves et scandaleuses que les autres. La marche verte sur la corruption qu'il a organisée en juillet 2007, n'aura pas suffi pour changer la mentalité des cadres béninois animés par ce qu'on a appelé ‘'Ventrocratie'' ou ‘'Adogocratie''. Sa volonté de faire émerger le pays l'a poussé à lancer plusieurs projets de développement qu'il tenait coûte que coûte à suivre personnellement. Ce qui l'obligeait à être sur tous les fronts à la fois. Mais les cadres ont su le contourner. Son passage à la tête du pays, bien qu'étant marqué par la réalisation de certains projets jamais réalisés dans l'histoire du pays, a connu la multiplication de beaucoup d'« éléphants blancs », dissimulés çà et là sur l'ensemble du territoire national. Un mode de gouvernance populiste caractérisé aussi par le lancement des projets dont parfois, les financements ne sont pas bouclés.
Lorsqu'il lui arrivait de punir, ses sanctions n'étaient appliquées qu'aux responsables de la région méridionale du pays. Ceux de la zone septentrionale bénéficiant de sa couverture et sont protégés par les têtes couronnées du Nord auxquelles il avait un respect inouï.
La corruption au lieu d'être combattue, a connu un essor considérable avec à la clé, des nominations fantaisistes (l'homme qu'il faut, n'est plus à la place qu'il faut comme l'a voulu le peuple qui l'a élu), l'organisation des concours frauduleux, le régionalisme et le projet de révision de la constitution qu'il a initié, l'ont rendu très impopulaire à la fin de son mandat.
Lueur d'espoir
Devenu très impopulaire, il a opté pour le choix de Lionel Zinsou, un banquier d'affaires, nommé premier ministre pour lui succéder. Un choix que le peuple a combattu en optant pour l'arrivée au pouvoir de Patrice Talon, un opérateur économique qu'il a combattu et contraint à l'exil.
Un peu comme ses prédécesseurs, le chef de l'Etat, Patrice Talon a voulu faire de la lutte contre la corruption son cheval de bataille. Seulement, avec lui, la lutte aura été un peu différente.
Contrairement aux anciens présidents de la République, le nouveau locataire de la Marina a pris des lois et renforcé l'arsenal juridique du pays en matière de lutte contre la corruption. Outre le vote de plusieurs lois à l'Assemblée nationale, il a créé le Tribunal spécial de lutte contre les infractions économiques et le terrorisme.
La poursuite des auteurs de malversations financières ne relève plus exclusivement de la volonté du gouvernement à poursuivre les indélicats. Suivant les rapports de commissions d'enquêtes, la justice s'autosaisie des dossiers et engage les procédures contre les auteurs et leurs complices.
Une lutte stratégique qui mérite d'être saluée et pourra, si la justice n'est pas corrompue, relever un tant soit peu le défi de la lutte contre la corruption et l'impunité au Bénin.
F. Aubin AHEHEHINNOU
La représentation nationale a adopté, ce jeudi 26 juillet 2018, la loi N° 2018-23 portant charte des partis politiques en République du Bénin. Plusieurs réformes ont été opérées et les partis politiques sont tenus dorénavant de se conformer aux nouvelles règles de cette loi notamment celles faisant obligation d'une comptabilité régulière et les conditions de création d'un parti.
La nouvelle loi N° 2018-23 portant charte des partis politiques en République du Bénin est un texte de 61 articles répartis en 7 titres. Les réformes opérées concernent entre autres le financement public, les conditions de création d'un parti politique et la régulation du système partisan. Précisant les conditions de modalité d'octroi et de répartition du financement public, cette loi interdit tous les dons et legs des personnes morales en faveur des partis politiques. Ces derniers doivent désormais tenir une comptabilité régulière. Les partis politiques constitués qui sont conformes aux dispositions de ladite charte bénéficieront d'une aide financière de l'Etat. Les ressources qui leur seront allouées et réparties, représenteront 0,5% des ressources intérieures nationales de l'année précédente.
S'agissant des conditions de création d'un parti politique, le nombre de membres fondateur ne doit pas être moins de 15 par commune. Les partis politiques constitués régulièrement doivent participer aux élections législatives et communales. Ceux qui ne présenteront pas deux fois consécutivement des candidats à ces élections perdront leur statut juridique.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
La 9ème circonscription accueille un nouveau-né ce samedi. L'Alliance pour la Démocratie et l'esprit Citoyen ( ADEC) de l'honorable Eustache Akpovi fait son adhésion à la Coalition Bénin En Route (BER). C'est le théâtre plein air de Savalou qui servira de lieu de manifestation à cet événement ce samedi 28 juillet.
L'adhésion aux idéaux du chef de l'État se fait croissante dans le rang de la jeunesse. Les jeunes sont décidés à porter les nobles ambitions du président Patrice Talon. C'est ce que fait déjà la Coalition Bénin en Route de Jean-Baptiste Hounguè qui aujoud'hui, se positionne peu à peu dans toutes les 24 circonscriptions électorales du pays. Et ce, dans le but de garantir au Président Patrice Talon une victoire certaine lors des prochaines élections législatives de 2019.
La vision de la coalition Bénin En Route est ainsi partagée par l'ADEC) de M. Eustache Akpovi. La volonté de cette alliance à promouvoir la voix de la jeunesse aux côtés du chef de l'État est désormais une réalité. Eustache Akpovi entend donc ajouter à cette ambition la sienne pour porter haut ce flambeau de Patrice Talon.
Cette initiative d'adhésion à la coalition BER dans la 9ème circonscription électorale témoigne de l'ancrage de cette région dans la politique béninoise. Une circonscription qui regorge de grands ténors de la politique béninoise. Le pas que pose Eutache Akpovi témoigne de ce que la 9éme circonscription électorale ne doit plus être la chasse gardée de l'opposition comme certains le disent. Patrice Talon a encore ainsi un atout pour s'imposer et imposer sa vision dans cette circonscription électorale. L'adhésion du mouvement de Eustache Akpovi à la Coalition Bénin En Route montre que les jeunes font Bloc autour du chef de l'État pour la réussite de son programme d'actions de gouvernement et de ses ambitions politiques.
Giscard AMOUSSOU
254 passagers ont été abandonné à leur sort par l’équipage de bord de la compagnie aérienne Air Algérie. Les passagers étaient contraints de passer la nuit à l’aéroport Saint-Exupéry à Lyon, en France, rapporte le site d’information ALG24.
les 254 passagers ont souffert désespérément depuis plus de 20h « … sans qu’aucun agent d’Air Algerie ne daigne venir les voir et les rassurer », témoigne une des victimes de ce retard sur Facebook, Azzedine Gaci , Enseignant-Chercheur à l’Ecole supérieure de chimie et physique à Lyon.
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La commission européenne a validé l’acquisition de la raffinerie d’Augusta (Italie) au profit de la SONATRACH rapporte l’agence italienne Ansa.
Il est à noter qu’après cette approbation, SONATRACH prendra les actifs auxiliaires détenus jusque-là par par Esso Italiana, propriété d’une filiale d’Exxon Mobil. Le PDG de la SONATRACH Ould Kaddour continue ainsi sur sa démarche pour espérer réduire la facture des importations de carburants.
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ALGER,- Un élément de soutien aux groupes terroristes a été arrêté jeudi à Tébessa par un détachement de l’Armée nationale populaire (ANP), indique vendredi le ministère de la Défense nationale dans un communiqué.
« Dans le cadre de la lutte antiterroriste et grâce à l’exploitation efficiente de renseignements, un détachement combiné de l’ANP a arrêté, le 26 juillet 2018 à Tébessa/5eRégion militaire, un élément de soutien aux groupes terroristes », note la même source.
Dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée, des détachements de l’ANP « ont intercepté, à Ouargla et Biskra/4eRM, cinq (05) narcotrafiquants et deux (02) contrebandiers et saisi 60 kilogrammes de kif traité et un camion chargé de 16,6 quintaux de tabac, alors que d’autres détachements ont appréhendé, à Tamanrasset et In Guezzam/6eRM, sept (07) contrebandiers et saisi 3,685 tonnes de denrées alimentaires et divers outils d’orpaillage ».
D’autre part, des détachements de l’ANP « ont mis en échec lors de diverses opérations menées respectivement à Souk-Ahras, Tébessa et El-Taref/5eRM, des tentatives de contrebande d’une quantité de carburant s’élevant à 11791 litres, alors que des Garde-côtes ont déjoué, à Annaba, des tentatives d’émigration clandestine de 30 personnes à bord d’embarcations de construction artisanale », ajoute le communiqué.
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Le vote, le 24 juillet 2018, du Bloc de la Majorité Parlementaire (BMP) entérinant la levée de l'immunité à trois députés a suscité des réactions et continue de faire du tôlée. Seulement, un seul pan de l'acte posé par la majorité parlementaire est jusque-là fustigé : le fait que les trois députés soient de la minorité parlementaire. Mais, si on sortait de l'hypocrisie intellectuelle, on doit reconnaître que ceci a toujours été le souhait du peuple béninois que les auteurs de malversations ne se cachent pas sous le couvert d'une immunité pour rester impunis. Vu sous cet angle, on doit pouvoir féliciter les députés de la majorité parlementaire.
Le mythe autour de l'immunité parlementaire des députés béninois vient de tomber. En votant pour lever cette immunité à trois de leurs collègues, les députés de la 7ème législature viennent de poser un acte de portée historique. D'ailleurs, cette législature aura marqué cette institution de mille manières. En favorisant la levée de l'immunité de ces trois députés afin qu'ils soient à la disposition de la justice pour les faits à eux reprochés, les élus du peuple viennent de sonner le glas de l'impunité. C'est clair que désormais, plus personne ne peut se cacher sous le manteau de député pour commettre des crimes économiques et autres et rester en toute quiétude à l'hémicycle. Ainsi donc, au lieu de blâmer le BMP, clamant un harcèlement politique, on devrait les féliciter pour avoir rendu possible ce qui ne l'a pas été jusque-là. Maintenant que ce verrou est sauté, on tend à coup sûr vers une classe politique de plus en plus responsable et respectueuse du bien public. Désormais, les autorités politico-administratives auront plus de pudeur dans la gestion des biens publics.
Combien de fois les Béninois n'ont-ils pas déploré le fait que des criminels économiques se cachent sous le titre de député pour ne pas répondre de leur forfaiture ? Une nouvelle ère s'est donc levée sur l'Assemblée Nationale. Les députés pourront désormais faire face à la justice pour défendre leur honneur, s'ils sont cités dans des affaires de malversations. C'est une prouesse du BMP qu'il faut plutôt applaudir.
Cokou Romain COKOU
SKIKDA– Vingt-cinq (25) hectares et 800 arbres fruitiers ont été décimé dans cinq incendies enregistrés au cours des dernières 72 heures dans plusieurs communes de Skikda, a-t-on appris jeudi auprès de la direction locale de la protection civile.
La même source a précisé dans la commune de Mdjaz Al-Dachiche a enregistré 2 incendies, au cours des 3 derniers jours, dont le premier a causé la destruction de 9 hectares de broussaille, 12 hectares de chêne et 150 arbres fruitiers, tandis que le second ravagé 2 hectares de broussaille et 428 oliviers.
En outre, l’incendie qui s’est déclenché dans la commune Bakouche Lakhdar a détruit 70 oliviers, alors que dans la commune de Tamalous, un hectare de broussaille, un autre de chêne et 25 arbres fruitiers ont été la proie des flammes, a fait savoir la même source, ajoutant qu’au niveau de la commune de Sidi Mezghiche près de 182 oliviers, 280 bottes de foin et 15 ruches ont été décimés.
Les services de la protection civile ont mobilisé 17 agents de différents rangs, 8 camions anti-incendie et plusieurs véhicules de communication pour maîtriser les deux déclarés, a-t-on souligné.
Une enquête a été ouverte par les services concernés pour déterminer les causes de ces cinq incendies, a-t-on conclu.
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WASHINGTON- Le secrétaire d’Etat américain, Mike Pompeo, a déclaré jeudi que les Etats-Unis s’engageaient à promouvoir la liberté religieuse, annonçant dans la foulée un plan d’action prévoyant « des moyens concrets » pour protéger la liberté de culte et les minorités religieuses vulnérables.
« Plus tard dans la journée, nous publierons la Déclaration de Potomac et le Plan d’action de Potomac. Ces documents réaffirment l’engagement inébranlable des Etats-Unis à promouvoir et à défendre la liberté de religion », a déclaré Mike Pompeo à la session plénière de la réunion ministérielle sur la liberté religieuse qui se tient à Washington et à laquelle prend part le chef de la diplomatie algérienne, Abdelkader Messahel.
Pompeo a ajouté que la déclaration et le plan d’action « recommandent des moyens concrets par lesquels communauté internationale et gouvernements peuvent faire plus pour protéger la liberté religieuse et les communautés religieuses vulnérables ».
Le secrétaire d’Etat américain a annoncé lors de son intervention une aide supplémentaire de 17 millions de dollars pour financer le déminage de la province de Ninive en Irak, où vit une minorité chrétienne irakienne qui a été chassée de ses terres par l’organisation de l’Etat Islamique.
Le montant s’ajoute aux 90 millions de dollars décaissés cette année pour financer les opérations de déminage dans l’ensemble de l’Irak.
De son côté, le vice-président américain, Mike Pence qui a donné le coup d’envoi de la session plénière, a annoncé deux initiatives portant sur l’établissement d’un programme de soutien aux victimes de génocides et de persécutions et la création d’un fonds international pour la liberté religieuse.
Mike Pence a précisé que le programme de soutien aux victimes de persécutions sera axé comme première étape sur l’Irak et sera financé conjointement par le gouvernement américain et le réseau des philanthropes aux Etats-Unis.
La session plénière qui se poursuit jeudi à Washington a été précédée de deux journées d’échange et de discussions sur les questions de liberté religieuse. La parole a été donnée aux victimes ayant vécu des situations de persécution pour livrer leurs témoignages.
Le département d’Etat a déclaré jeudi qu’il allait rééditer cet événement l’année prochaine.
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Dans son intervention à la Conférence ministérielle sur les libertés religieuses, le ministre des Affaires étrangères a ajouté que « la différence ne véhicule pas nécessairement une menace, comme la diversité recèle toujours un grand potentiel d’enrichissement mutuel ».
« La pratique de la foi est une forme importante d’expression de la liberté individuelle et doit le rester et être protégée contre les logiques et les attitudes d’intolérance et d’exclusion ». (M. Messahel)
Il a, dans le même temps, souligné que « cette finalité requiert la promotion d’un environnement institutionnel favorable, reposant sur le solide socle de la primauté du droit et de l’égalité des droits sans discrimination ou distinction aucune« .
M. Messahel a également souligné que « ce défi partagé qui interpelle toutes les Nations appelle à plus de mesures de nature à consolider davantage l’universalité des règles auxquelles les pays ont volontairement adhéré dans le cadre du Pacte international relatif aux droits civils et politiques ».
Enfin, le Chef de la diplomatie algérienne a souligné que « l’exercice de la liberté de culte ne doit en aucun cas servir de prétexte pour porter atteinte à l’ordre, la sécurité et la santé publics, ou à la morale et les libertés et les droits fondamentaux d’autrui ».
L’exercice de la liberté de culte « ne doit pas, non plus, servir de vecteur et de motif d’interférence étrangère dans les affaires intérieures des Etats, et que bien au contraire, dans ce monde instable, les religions doivent rester des sources de fraternité et de paix, et non pas de haine et de conflits », a ajouté M. Messahel.
« C’est la conviction de l’Algérie et c’est la finalité de son action à l’intérieur de ses frontières et sur le plan international », a conclu le ministre des Affaires étrangères.
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WASHINGTON- Le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel a mis en exergue, jeudi à Washington, les garanties constitutionnelles des libertés de conscience, d’opinion et d’exercice du culte en Algérie.
Dans le cadre de sa participation à la Conférence ministérielle sur les libertés religieuses, sur invitation du Secrétaire d’Etat américain Mike Pompeo, M. Messahel a notamment rappelé les dispositions de l’article 42 de la Constitution algérienne qui stipule que « La liberté de conscience et la liberté d’opinion sont inviolables. La liberté d’exercice du culte est garantie dans le respect de la loi ».
Il a tenu à souligner que la réunion de Washington « intervient dans un contexte international marqué par la montée des intolérances de toutes natures, par la xénophobie, l’islamophobie et un amalgame dévastateur entre la religion musulmane et le fléau du terrorisme ».
M. Messahel a, par ailleurs, souligné « l’attachement du législateur comme des institutions algériennes chargées de l’application de la loi à veiller à la réunion de toutes les conditions requises pour favoriser les libertés consacrées par la Constitution et les lois de la République ».
Il a indiqué « qu’en Algérie, l’exercice du culte, musulman ou autre, se fait dans le cadre de la loi qui est opposable à l’ensemble des citoyens et concerne l’ensemble des religions ».
Il a précisé que « les lois algériennes sont conformes dans leur énoncé aux engagements internationaux pris par l’Algérie et à leurs dispositions relatives à l’exercice de la liberté de religion, en accordant un traitement légal à la religion musulmane et aux autres religions« .
« Le ministère en charge du culte ne s’appelle d’ailleurs pas ministère des affaires islamiques, mais le ministère des Affaires religieuses et des Waqfs », a-t-il ajouté.
« C’est dans cette logique et à cette fin que s’inscrivent les politiques, stratégies, programmes d’action et initiatives mis en œuvre par l’Etat algérien. La tolérance, la modération, le dialogue, la négociation, l’inclusion, l’égalité des chances et des opportunités, la justice sociale, la concorde civile, la réconciliation nationale et le vivre ensemble en paix sont, à cet égard, les vecteurs porteurs de cette démarche que l’Algérie s’est choisi pour asseoir durablement la paix, la sécurité, la fraternité et l’égalité entre tous ses citoyens », a conclu M. Messahel.
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ALGER- Une reconstitution du mode de vie traditionnel des villages de Kabylie sublimant les costumes et les traditions populaires est proposée par l’artiste peintre algéro-belge Boubeker Hamsi dans sa nouvelle exposition, « La terre est mon village » inaugurée jeudi à Alger.
Cette exposition qui se tient à la galerie d’art Baya du Palais de la culture Moufdi-Zakaria a été organisée en collaboration avec le ministère de la Culture et l’ambassade de Belgique en Algérie.
« La terre est mon village », qui s’inscrit dans la continuité d’un travail antérieur présenté en 2013, réserve plusieurs œuvres à la beauté des costumes traditionnelle et des bijoux des femmes de Kabylie où l’artiste peintre a choisi de réaliser des portrait de moyen format en mettant l’accent sur le détail des ornements.
Boubeker Hamsi laisse libre cours à ses souvenirs d’enfance pour reconstituer des tranches de vie d’un autre temps dans les villages avec la technique qui lui est propre, proche de l’art naïf, reproduisant des dizaines de personnages haut en couleurs, tracés à l’encre de Chine, dans la même toile.
L’artiste présente des toiles sur le quotidien des villages, la célébration des mariages et fêtes comme Yennayer, la cueillette d’olives et de fruits, la production d’huile d’olive ou encore les réunions des comités de villages.
Une immersion dans l’univers féminin est également proposée par l’artiste qui explore l’intérieur des maisons anciennes, les ustensiles artisanaux, la cuisine et la préparation des fêtes, les rituels féminin autour des points d’eau, ainsi que la fabrication du beurre dans des œuvres intitulées « Essendu », « Les femmes kabyles », « Autour du ruisseau », « Les potières » ou encore « Pause culinaire ».
Un second univers plus masculin se décline dans tableaux comme « Autour du jeu de domino », « La Djemaâ », ou encore « Le grand retour de chasse », des toiles racontant l’organisation des villages et le quotidien des habitants.
Tracés à l’encre de chine, colorés avec minutie, les personnages multiples de Boubeker Hamsi relatent, comme dans un livre de contes, des tranches de vie rythmées par le marché, la pêche, la chasse, l’élevage et l’agriculture en plus de renseigner sur une grande maitrise technique et une recherche iconographique.
Installé en Belgique depuis la fin des années 1970, Boubeker Hamsi, musicien, chanteur, conteur et plasticien, a exposé son travail dans plusieurs pays d’Europe dont la Belgique, la France, l’Espagne, les
Pays-Bas ou encore la Suisse. Il a reçu en 1993 le prix du Concours international de l’art naïf, avant de lancer la collection « Les mains de l’espoir » en 1994 qui a donné naissance à une grande initiative artistique pour la paix dans la monde.
Plus récemment l’artiste a exposé à Alger et Bejaïa et a également présenté un recueil de contes populaires de Kabylie.
Une soixantaine d’œuvres constituent l’exposition « La terre est mon village » qui se poursuit jusqu’au 22 août au Palais de la culture Moufdi-Zakaria.
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Dans son intervention à la Conférence ministérielle sur les libertés religieuses, M. Messahel a indiqué que « l’Algérie, terre d’Islam, a enfanté Saint Augustin et donné à la chrétienté l’un de ses plus illustres et plus brillants théologiens ».
Il a rappelé, à cet égard, que « l’Algérie, à l’initiative du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a honoré sa mémoire en organisant en 2001 à Annaba, près de sa ville natale Taghaste (aujourd’hui Souk Ahras), un imposant symposium international sur son œuvre et sa contribution à l’enrichissement de la pensée et de la foi chrétiennes ».
« l’Algérie, terre d’Islam, a aussi donné à l’humanité El Amir Abdelkader, qui avait, en son temps, sauvé la vie à des milliers de chrétiens lors de son exil à Damas, et avait été le premier à avoir posé les règles du droit international humanitaire, selon le témoignage du président actuel du CICR lui-même ». A ses ennemis, durant la résistance qu’il dirigeait face à l’occupant colonialiste, il écrivait en 1845 aux généraux français au sujet de leurs soldats faits prisonniers « Envoyez un prêtre dans mon camp. Il ne manquera de rien. Je veillerai à ce qu’il soit honoré et respecté comme il convient (…). Il priera chaque jour avec les prisonniers, il les réconfortera, il correspondra avec leurs familles ».
L’histoire retiendra aussi qu’il a été communément reconnu comme un « acteur de la paix religieuse » parce qu’il répétait souvent que « Si les musulmans et les chrétiens avaient voulu me prêter leur attention, j’aurais fait cesser leurs querelles: ils seraient devenus, extérieurement et intérieurement, des frères ».
« l’Algérie, terre d’Islam, a, tout autant, une histoire dans laquelle la religion judaïque et ses adeptes, autochtones comme réfugiés fuyant notamment l’inquisition, y avaient trouvé leur place et s’y étaient épanouis, comme en témoigne la tombe et le mausolée de l’un des rabbins les plus renommés au monde se trouvant à Tlemcen, en Algérie, et qui sont régulièrement visités par des ressortissants étrangers de confession juive ». (M. Messahel)
Le ministre des Affaires étrangères a également rappelé que l’Algérie a toujours tenu à prendre en charge les préoccupations liées à la construction d’un Etat moderne et d’une nation tolérante fondés sur les valeurs identitaires du peuple algérien, dont celles portées par la religion musulmane elle-même, laquelle enseigne qu’il n’y a « nulle contrainte en religion« , ainsi que sur les valeurs universelles qui unissent aujourd’hui la communauté internationale et l’humanité tout entière.
Cette préoccupation, a-t-il ajouté, a été affirmée précocement et avec beaucoup de conviction et de vision par l’Appel lançant la Révolution du 1er Novembre 1954, dans lequel il avait été établi comme objectif de la lutte de libération nationale, la création d’un Etat démocratique et social fondé, notamment, sur « le respect de toutes les libertés fondamentales sans distinction de races ou de confessions« .
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« L’Algérie condamne l’attaque perpétrée, jeudi 26 juillet, contre un pétrolier saoudien dans la mer rouge, en ce qu’elle constitue une grave atteinte au droit international maritime et au droit de libre navigation et en ce qu’elle impacte négativement le commerce international », précise la même source.
Le ministère des Affaires étrangères souligne que « cette attaque est d’autant plus condamnable qu’elle intervient au moment où le Représentant spécial du secrétaire général des Nations unies s’emploie à relancer le processus de règlement de ce conflit qui déchire ce pays (Yémen) et impose d’indicibles souffrances aux populations civiles ».
« L’Algérie tient à réitérer, à cette occasion, sa solidarité avec le peuple du Yémen et à réaffirmer son plein soutien aux efforts des Nations unies pour un règlement politique de la crise que connaît ce pays frère », conclut le communiqué.
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