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Afrique

Le Bénin en 2ème position dans la zone Uemoa

24 Heures au Bénin - Thu, 06/21/2018 - 12:58

13ème en Afrique et 69ème au plan mondial au titre des pays les plus pacifiques et les plus sûrs, le Bénin a gagné deux points avec un score de 1,973. C'est ce que révèle le 12ème rapport sur l'indice mondial de la paix " Global Peace Index " publié par l'Institute For Economics & Peace.
Vingt indicateurs dont le niveau et la qualité de vie des populations ainsi que la sécurité des personnes et des biens ont permis de déceler le classement des pays suivant l'indice mondial de la paix. Le Bénin s'est fait remarqué à travers ses performances au cours des deux dernières années. Une performance qui fait de lui, le deuxième pays dans l'espace Uemoa, après le Sénégal.
Dans l'espace CEDEAO, la Sierra Léone prend la 3ème place au plan africain. Elle occupe la première place des pays les plus pacifiques. Le Ghana occupe le 5è rang au plan africain. Quant au Sénégal, il décroche la 10e place, suivie du Libéria (11ème), de la Guinée (12ème) et du Bénin (13ème) au plan africain. Cette performance est le fruit de nombreuses réformes opérées ces derniers mois sur le plan sécuritaire.
Ce bond que le Bénin vient de faire dans le classement est le résultat de la stratégie de prévention du terrorisme, la sécurité des trafics et la mise en commun des forces avec les pays voisins de l'Est et de l'Ouest dans le cadre de la lutte contre la criminalité transfrontalière. Il faut reconnaître le dynamisme de la police Républicaine qui s'emploie au quotidien pour garantir aux populations le minimum en matière de sécurité. Cette action ne serait réalité sans la promptitude du gouvernement qui déjà s'est engagé avec réussite dans la fusion de l'ex police et l'ex gendarmerie. Ce révèle la performance de la nouvelle force. Les mauvais élèves dans ce classement sont les pays de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord, en plus du Togo et de la République démocratique du Congo.
De ce classement mondial, c'est l'Île Maurice qui garde le flambeau d'un bon élève en matière de sécurité en Afrique. Il occupe la 20ème place sur le plan mondial et le premier en Afrique.
Giscard AMOUSSOU

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Mémoire du chaudron 94

24 Heures au Bénin - Thu, 06/21/2018 - 10:59

L'événement politique majeur dans la géopolitique nationale béninoise fut la naissance d'un quatrième bloc politique au sud-ouest. Ce fait consacrera l'apparition, sur la scène politique nationale, de Bruno Amoussou. Il avait jusque-là fait parler de lui à des postes essentiellement techniques, manquant déjà de peu, selon ses confidences dans son livre autobiographique _"L'Afrique est mon combat"_, d'être fait ministre du Plan dans le gouvernement du président Émile Derlin Zinsou. Sa vie privée ne fut pas un long fleuve tranquille sous le Gouvernement Militaire Révolutionnaire dont il fut très proche, étant un ami et un confident du capitaine Michel Aïkpé. La responsabilité technique qu'il assuma et dont les ondes négatives le suivront peut-être toute sa vie, fut la direction générale de la Banque commerciale du Bénin, BCB, qu'il occupa et dont des accusations constantes et persistantes lui feront porter la responsabilité de la banqueroute.

Aussi curieux que cela pourrait paraître, ces accusations s'estompaient après chaque élection présidentielle à laquelle il prenait part, pour renaître de manière plus vive à la veille de l'élection suivante. J'ai déjà vu, par exemple, certains de ses posters de campagne vandalisés avec son emblématique sourire, violemment barré du sigle _"BCB"_, écrit à la va-vite avec un pinceau dégoulinant sans doute d'huile à moteur usagée.

Le délitement progressif du socle spatial de son parti politique, le PSD, le conduira à se recroqueviller sur sa base ethnique adja. Ce qui, tout en étant une stratégie de grand réalisme politique, eut un impact plus réducteur sur la stature nationale qu'il s'employait. Et ceci, pour une raison bien simple : cette base ethnique n'est pas la consistance numérique qu'il faut pour le pousser au second tour d'une élection présidentielle.

Une lecture des résultats du scrutin présidentiel de 2001 le montre assez nettement. Le bloc _"popo-mina-xueda-xwla"_ s'étant largement éparpillé entre le Général Mathieu Kérékou et Nicéphore Soglo, il ne put récolter qu'un huit pour cent des suffrages qui, d'ailleurs, ne fut validé qu'après une vive contestation des quatre pour cent que lui attribua la Commission électorale nationale autonome, dans un premier temps. Dès lors, l'élection présidentielle de 2006 lui posait le défi d'une nécessaire large coalition autour de sa personne. Il ne l'aura pas. Et ce ne fut pas faute d'avoir essayé.

Le Général Mathieu Kérékou qui, en récompense du _"match amical"_ qu'il accepta ou eut le bonheur d'avoir livré contre lui pour sauver le scrutin présidentiel de 2001, le fit certes ministre d'Etat et numéro 2 de son régime. Mais, il s'employa de façon méthodique à lui limer les griffes en lui laissant la gestion du panier à crabes qu'était la grande alliance politique qu'était l'Union pour le Bénin du Futur, UBF. Il finira par l'éjecter sans ménagement du gouvernement au moment où celui-ci avait le plus besoin de signaux encourageants de sa part, pour paraître comme son dauphin aux yeux des électeurs du bloc nord. Déjà désavantagé par l'image de _"l'homme des adjas"_ qu'il véhiculait, Bruno Amoussou usera son énergie dans la gestion des intrigues permanentes au sein de l'UBF, et dans une guerre d'influence avec Adrien Houngbédji qu'il prenait à tort comme son principal challenger pour la succession du Général.

Bien entendu que c'était vrai, mais seulement sur papier. Avec le départ de Kérékou et de Soglo qui étaient les deux plus influentes personnalités politiques au plan national, la place devrait se libérer logiquement pour le troisième qu'était Adrien Houngbédji, et lui-même, Bruno Amoussou, quatrième homme. Mais, tout le monde sait, depuis 2006, que les algorithmes mathématiques ne sauraient s'appliquer avec certitude au champ politique qui demeure avant tout une science humaine. Je me suis toujours laissé convaincre qu'aussi fin qu'était son sens de l'observation politique, Bruno Amoussou n'a pas vu venir Yayi.

Adrien Houngbédji, quant à lui, et après quelques plaisanteries banalisantes qu'il laissa échapper en privé sur les chances de l'intrus Yayi dans sa quête du fauteuil présidentiel, finit par prendre la mesure du danger lorsque du Général Mathieu Kérékou, il reçut quelques signaux sans appel, comme le limogeage surprise du patron des renseignements, le colonel Patrice Hounsou-Guèdè. Vous pourriez bien vous demander quel lien j'essaie d'établir entre le limogeage du patron de la Direction des Services de Liaison et de Documentation, DSLD, et la disparition des dernières illusions de Adrien Houngbédji.

Eh bien, il y a un lien. Il faut déjà noter qu'aucun candidat sérieux en 2006 n'envisageait la possibilité de prendre le pouvoir sans l'onction du Général Mathieu Kérékou. Il y a d'ailleurs, à ce propos, une anecdote brodée avec humour par Bruno Amoussou dans son ouvrage autobiographique _"L'Afrique est mon combat"_ et dans laquelle il relate tout ce qu'il déploya pour quérir, ne serait-ce que le regard du Général Mathieu Kérékou, dans cette cathédrale de Natitingou où se célébrait l'office religieux avant la mise en terre de l'une des filles du vieux caméléon. Il ne l'obtint pas, ce regard.

C'est vous dire l'état d'esprit des principaux challengers de 2006. Et d'ailleurs, avant le cas exceptionnel de Patrice Talon en 2016 qui fut élu en défiant publiquement son prédécesseur, aucune alternance, depuis la conférence nationale, ne s'est faite entre un chef d'Etat et quelqu'un qui l'aurait combattu ouvertement. En 1991, le premier ministre Nicéphore Soglo, porté par un courant d'air propice à l'alternance, en tout cas au niveau de l'élite, se garda de défier ouvertement le président Mathieu Kérékou qui restait encore une équation à mille et une inconnues. Il ne déclencha publiquement sa furie oratoire contre Kérékou qu'une fois assis dans le fauteuil présidentiel.

Et c'est justement cette mauvaise inspiration qui le conduira à sa perte en 1996. La même attitude belliqueuse en tant qu'opposant au président Mathieu Kérékou ne lui porta pas chance non plus en 2001. Pour remonter plus en arrière, combien de Béninois s'offusquèrent de l'absence à la conférence nationale des opposants endurcis au régime militaro-marxisant ? Et même dans le cas de 2016, Patrice Talon, en même temps qu'il défiait ouvertement son poulain d'hier, Yayi Boni, savait en même temps utiliser l'arme de la victimisation.

Je ne veux pas encore élaborer une théorie au sujet de ces observations empiriques, mais je sais que les Béninois, globalement pacifiques et peu enclins à consentir certains types de sacrifice, ont un rapport avec le chef, qui oscille entre le fatalisme et une sorte de superstition sacrée. Un président de la république, sous nos cieux, est si puissant, que lorsqu'il lui arrive de vous cibler personnellement, vous y laissez à coup sûr une partie de votre pelage.

Si Yayi avait été candidat en 2016, je ne crois pas qu'un candidat puisse le battre, malgré l'ambiance délétère dans le pays. De même, personne ne l'imaginait affronter avec succès le Général Mathieu Kérékou en 2006, malgré l'essoufflement général dans le pays.

Adrien Houngbédji fit certainement cette lecture, lorsque quelques mois seulement après son désistement en soutien au désistement de Nicéphore Soglo au second tour de l'élection présidentielle de 2001, il fit un spectaculaire numéro de girouette, en se reliant à la mouvance du Général. Il lança ainsi, dans la même position que Bruno Amoussou, la course au dauphinat. Une course dans laquelle il crut judicieux de s'aliéner le soutien du patron des renseignements.

Avouons que Patrice Hounsou-Guèdè était a priori une bonne prise pour Adrien Houngbédji. La démarche ne manquait donc pas de pertinence quand on sait le pouvoir de manipulation dont peuvent être capables les services de renseignement dans tous les pays du monde. Mais ici, Houngbédji traitait, en 2006, un sujet d'une rare complexité. Le sujet s'appelle Kérékou, capable de grimacer en suçant un cube de sucre, pour reprendre une expression de Bruno Amoussou.

Le limogeage spectaculaire de Patrice Hounsou-Guèdè apporta à Houngbédji la certitude que Kérékou ne voulait rouler pour personne. En tout cas, pas pour lui. Il ne lui restait donc qu'à faire face, seul, à son destin. Et surtout à prendre désormais au sérieux les intrigues du rancunier Albert Tévoédjrè, mais aussi l'activisme débridé de l'ex-flamboyant directeur général du port autonome de Cotonou, Issa Badarou-Soulé. L'une des têtes de turcs du tourbillon yayiste à Porto-Novo, et surtout principal organisateur du grand meeting prévu en ce onzième jour de campagne électorale, dans la cité de Tê-Angbanlin.

(✋À demain)

*Tibo*

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Plus de presse écrite depuis 48 heures

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 06/21/2018 - 09:54
Le Calame - Les organes de la presse écrite publique et privée ont disparu des kiosques à journaux de Nouakchott lundi et mardi, suite à une...
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Affaire de la cocaïne : Kamel « El Boucher » entraîne quatre juges avec lui

Algérie 360 - Thu, 06/21/2018 - 09:35

Premiers rebondissements et pas des moindres dans l’affaire de la saisie de 701kg de cocaïne au port d’Oran. Pasmoins de quatre magistrats seraient impliquésdans cette scabreuse affaire qui aébranlé l’Algérie il y a quelques jours.

Eneffet, notre confrère El Khabar, croit savoirdans son édition d’aujourd’hui que quatrejuges auraient été arrêtés pour leur liaison avec le principal accusé dans l’affaire de lacocaïne, le fameux « Kamel El Boucher ».On y apprend ainsi que ces magistratsauraient touché des pots-de-vin de la part dubaron de l’opération en contrepartie de »cadeaux » immobiliers qui lui ont offert àl’ombre de la loi. Il s’agirait du président dela chambre administrative de Sidi Mhamed,d’un magistrat près la cour d’Alger et d’unprocureur de la République près le tribunalde Boudouaou ainsi que son adjoint. Par ailleurs un procureur général d’unegrande wilaya de l’Est est également soupçonnéd’être mêlé à l’affaire, lit-on encore.

El Khabar souligne que c’est le ministre dela Justice, garde des Sceaux, Tayeb Louh, qui a ordonné lundi ce coup de filet au milieudesmagistrats impliqués dans cette grosse opérationde tentative d’introduction en Algéried’uneimmense quantité de drogue camoufléedans de la viande congelée, importée parune société dénommée Dounia Meat, appartenantaux frères Chikhi. Pour rappel, lesaccusés ont été présentés le 7 de ce moisdevant le procureur de la République.

La première séance a été consacrée à la vérification des identités des mis en cause mais,aussi, à la présentation de quelque vingttémoins, dont le commandant de bord dubateau brésilien. Les principaux accusés, àsavoir les trois frères Chikhi et l’un de leursassociés,sont maintenus en détention jusqu’à nouvel ordre. Il semble maintenant que les mis en cause sont passés aux aveux.Sans doute que cette affaire digne des pratiques de la mafia va toucher de gros poissons tant il est difficile de croire qu’ »El Boucher » ait agi seul.

Par : LAKHDARI BRAHIM

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Mauritanie : Le PDG d'AFIG Funds, Papa Ndiaye, reçoit la récompense 2018 de leadership exceptionnel du capital-investissement en Afrique

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 06/21/2018 - 09:12
Mauriweb - LONDRES, Royaume-Uni, 18 juin 2018/Private Equity Africa (PEA) a remis à Papa Ndiaye (à gauche), PDG d'AFIG Funds, la récompense 2018...
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Témoin d'un réchauffement avec la Mauritanie, Hamid Chabar rencontre le président Ould Abdelaziz

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 06/21/2018 - 08:29
TelQuel - Hamid Chabar, ambassadeur du Maroc en Mauritanie, a présenté le 20 juin ses lettres de créance au président mauritanien Mohamed Ould...
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Des contre-performances liées aux contraintes administratives

24 Heures au Bénin - Thu, 06/21/2018 - 08:23

Le Programme d'investissements publics (PIP), gestion 2017 a été objet de communication en conseil des ministres ce mercredi 20 juin 2018. Les difficultés administratives ayant entravé la bonne exécution des projets ont été mises en exergue.

Une communication en conseil des ministres sur le taux d'exécution du Programme investissements publics révèle quelques contre performances. Selon les informations, le faible niveau de réalisation des investissements serait lié aux difficultés administrations. « Au 31 décembre 2017, sur les 291 projets et programmes contenus dans le portefeuille d'investissements publics, 43 ont connu un taux d'exécution physique inférieur à 25% », révèle le relevé du conseil des ministres. Une contre-performance qui ne reflète pas la volonté du gouvernement et son engagement quotidien. Mais ce faible taux n'affecte qu'une petite partie des projets. La même source indique que « le nombre des projets affichant des taux d'exécution compris entre 25% et 50%, est de 77 ». Par ailleurs, on note « 149 autres projets connaissent des niveaux d'exécution variant entre 50% et 100% ». Ce qui montre une avancée notable de plus de la moitié des projets engagés. « Prenant acte de ce rapport, le conseil observe que la majorité des projets affiche des taux d'exécution globalement satisfaisants ». Mais le gouvernement estime que « les performances auraient pu être meilleures si des difficultés administratives ne persistaient ». Ce qui montre que les projets pouvaient être mieux exécutés si les contraintes administratives ne constituent pas une entorse à leur évolution. Pour remédier à cette situation déplorable, le conseil a « instruit tous les ministres aux fins de corriger les insuffisances persistantes, sources potentielles de contre-performance dans l'exécution des projets inscrits chaque année au programme d'investissement ». Le gouvernement s'emploie à régulariser la situation au plus tôt afin de rendre plus visible ses actions sur le terrain.
Giscard AMOUSSOU

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Hier AC-APP, aujourd’hui IRA/RAG-SAWAB : Les Harratines quel devenir ? Surtout en quoi sont-ils accusés ?

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 06/21/2018 - 07:45
Maham Youssef - Chers amis pour liberté je reviens à vous après ce déluge de fureur et de feu versés par certains courtiers et pensionnaires...
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Politique : Samory Ould Bèye et le parti El Moustaqbal prêts pour les prochaines élections

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 06/21/2018 - 07:00
Initiatives News - Au 27éme jour du mois béni du ramadan, une réception a été organisée par Samory Ould Bèye Secrétaire Général de la...
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Niger: l’apposant Hama Amadou perd son statut de député

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 06/21/2018 - 00:30
RFI - Au Niger, l'opposant Hama Amadou vient de perdre son statut de député selon une décision de la Cour constitutionnelle le rendant...
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Naissance du Réseau Africain pour la Promotion de la Finance Islamique

24 Heures au Bénin - Thu, 06/21/2018 - 00:01

Les représentants de neuf pays africains se réunissent pendant deux jours à Cotonou dès ce jeudi 21 juin 2018. L'objectif de cette rencontre est la mise sur pied d'un creuset d'appui aux efforts de la Banque centrale des États de l'Afrique de l'ouest (BCEAO). " Afin de créer un encrage institutionnel pour appuyer les efforts de la BCEAO dans la mise en pratique de la Finance Islamique en Afrique, il sera mis sur les fonts baptismaux du 21 au 22 juin 2018 à Cotonou, le Réseau Africain pour la Promotion de la Finance Islamique (RAPFI) ", d'après un communiqué de presse. Ce réseau réunira les neuf (09) pays africains présent à savoir : Bénin, Burkina-Faso, Niger, Côte d'Ivoire, Maroc, Tunisie, Cameroun, Sénégal et Togo. Il s'agit d'un nouveau défi que se lancent les acteurs de ces États pour une gestion saine et efficace de la finance Islamique en Afrique. Selon le communiqué, d'autres activités sont prévues en dehors de cette rencontre internationale. " Il sera organisé le samedi 23 Juin 2018, un Side Event qui vise à créer un creuset de concrétisation de partenariats en matière de la Finance Islamique ", précise le communiqué.
Plusieurs personnalités politico-administratives et religieuses ainsi que diverses institutions financières seront témoins de l'événement. L'Association Béninoise pour la Promotion de la Finance Islamique (ABEFI) s'engage ainsi aux côtés de ses pairs d'autres nations, dans des partenariats innovants et féconds.
Giscard AMOUSSOU

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Report du concours de recrutement de 20 magistrats

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 06/21/2018 - 00:00
Alakhbar - La Commission Nationale des Concours a annoncé le report pour des raisons techniques, du concours de recrutement externe de 20...
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Malgré la haute surveillance : Les sujets ont fuité encore !

Algérie 360 - Wed, 06/20/2018 - 23:28
Les sujets de la première épreuve du baccalauréat 2018, pour la filière “sciences appliquées” ainsi que “ philosophie et littérature arabe” , ont été diffusés sur internet. Il était possible pour les lycéens algériens de consulter les questions en avant-première en se rendant sur Facebook, à peine 10 minutes après la remise en marche du réseau. Les autorités avaient pourtant déployé les grands moyens pour limiter toute forme de triche et de fraude, avec notamment une collaboration avec les opérateurs de téléphonie mobile pour suspendre la connexion internet pendant une heure, et avant chaque épreuve. D’autres mesures ont également été renforcées telles que l’interdiction au niveau des centres d’examen des smartphones et autres tablettes, des outils numériques et objets connectés. Ces mesures concernaient aussi bien les 705000 candidats au baccalauréat que les enseignants, les surveillants et le personnel administratif. Cependant, dix minutes (10 min) à peine après la remise en fonction du réseau internet, les sujets de la langue arabe ont circulé sur Facebook. En effet, à 09h38, l’un des sites d’informations ‘’ObservAlgerie’’ a pu saisir un “sujet BAC 2018” dans la barre de recherche Facebook, quelques secondes  ont suffi  pour  avoir  accès aux sujets de la première épreuve, littérature arabe, publiés via le Groupe “BAC 2018 Yes WE Can” !

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La famille de l’artiste Matoub Lounes appellent la justice algérienne à rouvrir le dossier de son assassinat(Vidéo)

Algérie 360 - Wed, 06/20/2018 - 23:27

La soeur de l’artiste Matoub Lounes a appelé la justice algérienne à rouvrir le dossier de l’assassinat de son frére, soulignant que la famille a le droit de connaître la vérité de sa mort, adressant un message aux parlementaires et aux politiciens.

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Francis Kpatindé démissionne du poste de Red chef de Monde Afrique

24 Heures au Bénin - Wed, 06/20/2018 - 23:19

Le journaliste Francis Kpatindé a démissionné de son poste de rédacteur en chef du Monde Afrique. La démission est intervenue vers fin mai dernier après six mois d'exercice à ce poste.

L'information a été confirmée par Jeune Afrique. Le directeur du magazine Monde Afrique, Jérôme Fenoglio, a annoncé la décision de Francis Kpatindé à ses collaborateurs dans un message adressé à toute la rédaction. Il n'a pas fait objection à la volonté de son collaborateur. Il a juste pris acte du départ d'un « excellent connaisseur du continent ». Pour le moment, c'est Maryline Baumard, actuellement chargée des questions migratoires au sein du service société du quotidien, qui occupe le poste laissé vacant par le journaliste béninois. Cette démission est, selon l'intéressé, de convenance personnelle et ne l'empêche pas de collaborer avec l'organe. Francis Kpatindé entend contribuer à l'animation de la version digitale du Monde Afrique.
G. A.

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