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Afrique

Total condamné pour "corruption d'agent public étranger" dans l'Iran des années 2000

CRIDEM (Mauritanie) - Sat, 12/22/2018 - 14:30
Romandie News - Le pétrolier Total a été condamné vendredi à Paris à 500.000 euros d'amende pour corruption en marge de la signature d'un...
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Etats-Unis: le gouvernement fédéral se rapproche d’un Shutdown partiel

Algérie 360 - Sat, 12/22/2018 - 14:21

WASHINGTON – Les Etats-Unis se dirigent vendredi vers un nouveau  » Shutdown  » partiel, alors que la majorité républicaine au Sénat et l’opposition démocrate peinent à parvenir à un compromis sur le financement de l’Etat.

La Chambre des représentants a voté jeudi l’ajout d’une enveloppe de 5 milliards de dollars à un projet de loi budgétaire pour empêcher le blocage partiel du gouvernement fédéral. Le montant est destiné à construire un mur aux frontières avec le Mexique tel que réclamé par le président Trump.

Cependant, le soutien de 60 des 100 sénateurs est nécessaire pour l’adoption du texte au Sénat où les républicains détiennent une majorité de 51 sièges. Le parti républicain aura besoin du vote de plusieurs élus démocrates pour faire passer la loi. A moins d’un rebondissement inattendu, les Etats-Unis vont vivre samedi à partir de minuit leur troisième Shutdown.

Le Sénat a reporté vendredi soir ses travaux jusqu’à samedi, alors que les deux chefs de la majorité républicaine à la Chambre des représentants et au Sénat, Paul Ryan et Mitch McConnell, ont quitté le Capitole, siège du Congrès.

Dans son dernier tweet vendredi soir, le président Trump a déclaré qu’il avait annulé son déplacement en Floride en attendant de voir si les démocrates allaient l’aider à sécuriser les frontières ouest des Etats-Unis.

La fermeture partielle des administrations fédérales sera annoncée dans moins de trois heures et va concerner quelques départements comme le Commerce et la sécurité intérieure.

Le reste des départements seront épargnés puisqu’un budget déjà voté par le Congrès couvre 75% des dépenses fédérales, y compris celles du Pentagone, jusqu’à septembre 2019.

Auparavant Trump a averti que si les démocrates rejetaient le projet de loi  » il y aura un Shutdown qui va durer très longtemps ».

Le chef de la Maison Blanche choisit de jouer toutes ses cartes pour faire passer sa proposition avant que les démocrates ne reprennent en janvier le contrôle de la Chambre des représentants.

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Retrait américain de Syrie: Trump aurait pris la décision après une conversation téléphonique avec Erdogan

Algérie 360 - Sat, 12/22/2018 - 14:19

WASHINGTON – La décision du président Trump de retirer les troupes américaines de la Syrie aurait été prise après une conversation téléphonique avec son homologue turc, Recep Tayyip Erdogan, ont révélé vendredi des responsables américains, cités par Associated Press.

L’entretien téléphonique entre les deux présidents qui a eu lieu le 14 décembre dernier a été à l’origine de cette décision, y compris la démission du chef du Pentagone, James Mattis, annoncée jeudi en signe d’opposition à la démarche du chef de la Maison Blanche, affirment  deux responsables de l’administration Trump qui ont requis l’anonymat.

Une décision à la hâte prise par le président Trump sans prendre en considération l’avis émis par le Conseil de sécurité national (NSC), présidé par John Bolton, ni même informer au préalable les alliés des Etats-Unis en Syrie, selon les mêmes sources

L’appel en question a été arrangé par le secrétaire d’Etat, Mike Pompeo, après avoir échoué à obtenir auprès de son homologue turc, Mevlut Cavusoglu, des éclaircissements sur l’offensive militaire qu’Erdogan menace de mener contre les rebelles kurdes dans le Nord-est de la Syrie, où les forces américaines sont stationnées.

En prévision de cette conversation téléphonique, Mike Pompeo et James Mattis ainsi que d’autres membres du NSC ont préparé une liste de points de discussion pour le président Trump afin de convaincre Erdogan de renoncer à sa menace d’intervenir contre les kurdes.

Trump qui a accepté au préalable la feuille de discussion présentée par son équipe a fini par se ranger du côté d’Erdogan. Selon les deux sources, l’entretien téléphonique du 14 décembre a engendré quatre jours de discussions frénétiques pour dissuader Trump de renoncer à sa décision ou du moins la retarder pour donner aux Kurdes le temps de se préparer au retrait des forces américaines.

Mais le président était insensible aux appels de son cabinet, relèvent les deux sources.

« Les points de discussion étaient fermes-« , a déclaré l’un des responsables, expliquant que le président américain a été conseillé de s’opposer clairement à une offensive turque dans le nord-est de la Syrie et de proposer en échange une collaboration bilatérale pour répondre aux préoccupations sécuritaires.

Il était question d’offrir à la Turquie quelque chose qui ressemble à une petite victoire, en lui accordant éventuellement le contrôle d’un territoire aux frontières, expliquent les mêmes sources.

Mais le président Trump a été rapidement mis sur la défensive par Erdogan qui lui avait rappelé ses déclarations répétitives, sur la raison de la présence américaine en Syrie qui est de combattre le groupe terroriste autoproclamé Organisation de l’Etat Islamique (EI/Daech).

« Pourquoi êtes-vous toujours là-bas ? « , aurait demandé Erdogan à Trump, en lui précisant que les forces turques pourraient traiter avec les derniers militants de l’EI.

Selon les deux responsables, Trump a rapidement capitulé, promettant de se retirer de la Syrie. Sa décision a choqué aussi bien le chef du NSC, John Bolton, qui était présent lors de cet entretien, que le président Turc lui-même.

Pris au dépourvu, Erdogan a mis en garde Trump contre un retrait précipité des forces américaines.

Bien que la Turquie ait fait des incursions en Syrie, elle ne dispose pas cependant de suffisamment de forces mobilisées aux frontières pour pénétrer les vastes étendus du nord-est syrien, expliquent-ils.

La conversation téléphonique a pris fin lorsque le président Trump a répété à Erdogan qu’il allait retirer ses troupes mais sans lui donner de précision sur la manière de procéder.

Aux Etats-Unis, la décision inattendue du chef de la Maison Blanche a été vivement critiquée par la classe politique américaine l’assimilant à une trahison envers les kurdes qui ont  combattu aux côtés des forces américaines.

Les Etats Unis ne peuvent  » s’acquitter efficacement du rôle  »  » de nation indispensable dans le monde libre sans maintenir de solides alliances et faire preuve de respect envers ces alliés « , a écrit James Mattis jeudi dans sa lettre de démission.

Le départ du chef de Pentagone a été très mal accueilli par le Congrès qui voit en lui une force de stabilité dans l’administration Trump. Nancy Pelosi, la chef de file des démocrates, a déclaré jeudi que James Mattis a fait preuve d’un grand patriotisme. Sa lettre que tous les Américains doivent lire  » est un énoncé de valeurs », a-t-elle dit.

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La CACI France appelée à être plus offensive dans le nouveau contexte économique algérien

Algérie 360 - Sat, 12/22/2018 - 14:17

PARIS – La Chambre algérienne de commerce et d’industrie (CACI) de France a été appelée vendredi à être plus offensive dans le nouveau contexte économique algérien en œuvrant à promouvoir les investissements français en Algérie.

« La CACI France doit accompagner les PME françaises qui expriment toujours des craintes pour le marché algérien et encourager les opérateurs algériens qui veulent placer leurs produits sur le marché français », a recommandé l’ambassadeur d’Algérie en France, Abdelkader Mesdoua, dans une allocution peu avant les travaux de l’assemblée générale ordinaire (AGO) de la chambre.

L’AGO s’est tenue au siège de l’ambassade d’Algérie en France, en présence du président de la CACI, Laïd Benamor, du président de la CACI France, Kaci Aït Yalla, du vice-président du Forum des chefs d’entreprises (FCE), Mehdi Bendimerad, du président du Club des entrepreneurs et industriels de la Mitidja (CEIMI), Kamel Moula, la présidente d’honneur du CACI France et ex-sénateur Bariza Khiari et les membres de l’AGO.

L’ambassadeur a insisté sur le fait que dans la communauté algérienne de France, il existe des grands gisements de laquelle, a-t-il dit, « il faut tirer le plus grand bénéfice », rappelant les mesures du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, en faveur des membres de la communauté qui ont été annoncées l’année passée à Paris par le Premier ministre Ahmed Ouyahia.

« Les Algériens de France doivent travailler dans l’unité et pour le bénéfice de l’Algérie », a-t-il ajouté. Il a également rappelé l’extrême densité de l’agenda bilatéral entre l’Algérie et la France, annonçant la tenue, au cours du premier trimestre de 2019, de la 5ème session de Comité intergouvernemental de haut niveau (CIHN) algéro-français.

Pour sa part, le président de la CACI a rappelé les principaux axes du nouveau contexte économique algérien, à savoir l’agriculture, la tourisme et l’industrie, demandant aux membres de la CACI France d’être à l’écoute des orientations économiques du pays pour pouvoir les concrétiser avec des projets concrets avec les partenaires français.

Au cours d’un débat ouvert, juste avant l’AGO, les participants ont soulevé un certain nombre de questions allant dans le sens de la consolidation de la chambre, de son développement et la recherche d’une plus grande efficacité.

Au cours de ses travaux, les membres de l’AGO de la CACI France ont adopté les bilans financier et moral, après avoir fait le point sur le chemin parcouru par cette jeune organisation, créée en 2014, dont l’activité a consisté essentiellement en un travail de sensibilisation des membres de la diaspora et, en général, les entreprises françaises et algériennes en vue de leur adhésion, de structuration de l’organisation tant à l’échelle centrale qu’au niveau des différentes régions de France et d’Algérie.

Les membres ont convenu d’une réunion au mois de février afin d’examiner la feuille de route pour les actions à mener au cours de l’année 2019 et définir une dynamique beaucoup plus offensive.

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Pétrole : réunion du Conseil ministériel de l’OPAEP dimanche à Koweït

Algérie 360 - Sat, 12/22/2018 - 14:16

ALGER – Le Conseil ministériel de l’Organisation des Pays Arabes Exportateurs du Pétrole (OPAEP) tiendra dimanche prochain une réunion à Koweït, avec la participation du ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni, a indiqué vendredi le ministère dans un communiqué.

Lors de cette session, les ministres vont examiner les conclusions et les recommandations des travaux des différentes commissions techniques, précise la même source. L’évolution de la situation du marché pétrolier mondial sera également à l’ordre du jour de cette réunion ministérielle, ajoute le communiqué. Pour rappel, l’OPAEP a été fondée en 1968 par le Koweït, la Libye et l’Arabie saoudite. L’Algérie y a adhéré en 1970.

Composée de 10 pays membres, cette organisation, dont le siège est à Koweït, tend à coordonner les politiques énergétiques des pays arabes dans le but de promouvoir leur développement économique. Sur le plan régional, elle organise la coopération sur le développement du pétrole, les projets collectifs et l’intégration régionale.

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Redéploiement de l’inclusion financière pour une bancarisation accrue

Algérie 360 - Sat, 12/22/2018 - 14:14

ALGER – La Banque d’Algérie a initié, durant l’année 2018, une large offensive en direction des banques pour le développement de l’inclusion financière aux fins d’une meilleure mobilisation des ressources financières dans un contexte marqué par l’objectif de diversification de l’économie.

Dans ce sens, les banques ont été appelées à se mobiliser plus efficacement aux fins de la bancarisation de la liquidité monétaire thésaurisée et de sa canalisation vers les objectifs de financement de l’économie.

L’enjeu est aussi la réduction de la liquidité monétaire en circulation dans l’informel et l’instauration de la confiance avec la clientèle épargnante dans un cadre d’une relation bancaire professionnelle et sereine.

Dans ce sens, les banques ont été appelées à « se secouer » pour se conformer à leurs obligations en matière de publicité et de vulgarisation des conditions de banque afin de mettre en confiance les épargnants potentiels.

En effet, en raison d’une interprétation, souvent abusive et non fondée, des dispositions de la loi régissant le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme, certains guichets bancaires ont été à l’origine de refoulement de capitaux de manière arbitraire et sans justifications réglementaires.

Cette interprétation restrictive que font certaines banques des dispositions réglementaires est constatée notamment en matière d’ouverture de comptes, d’acceptation des dépôts et de délais exagérés de mise à disposition des fonds.

En conséquence, cette attitude a desservi les objectifs de l’inclusion financière et a généré, auprès des épargnants potentiels, un phénomène d’incompréhension et même de désaffection à l’égard des banques. Ce qui a été parmi les facteurs de la persistance de la sous-bancarisation.

En effet, la circulation fiduciaire hors banques représente une certaine proportion de la masse monétaire (M2), évaluée à près de 33%, soit 4.675 milliards de dinars à fin 2017 se répartissant en encaisses transactionnelles et thésaurisation pour un montant estimé entre 1.500 et 2.000 milliards de dinars auprès des entreprises et ménages, alors que le reste représente la circulation fiduciaire dans l’économie informelle, soit un montant allant entre près de 2.680 et 3.200 milliards de DA.

Les mesures de drainage des ressources financières ne concernent pas seulement la monnaie nationale mais également les devises thésaurisées dont les détenteurs font face à de différentes contraintes liées à l’ouverture des comptes, à l’alimentation et au fonctionnement de ces comptes et à la justification de l’origine des fonds.

Ces différentes contraintes n’ont pas permis le développement de l’inclusion financière à travers la collecte de cette épargne devises qui constitue un apport certain de par le nombre de comptes actifs (4,7 millions de comptes), de par le montant de l’épargne constituée (l’équivalent de près de 5 milliards de dollars) et de par le potentiel qu’elle pourrait receler.

Par ailleurs, pour élargir l’éventail des produits et services bancaires touchant l’ensemble des segments de l’économie, dans le cadre d’une intermédiation bancaire et financière organisée et adaptée, le Conseil de la monnaie et du crédit a approuvé le règlement relatif aux conditions d’exercice, par les banques et établissements financiers, des opérations bancaires relevant de la « finance participative » portant sur les produits financiers conformes à la Charia.

Ce règlement définit les règles applicables aux produits dits participatifs ne donnant pas lieu à perception ou versement d’intérêt.

Il s’agit des produits appelés Mourabaha, Moucharaka, Moudaraba, Ijara, Istisna’a, Salam ainsi que les dépôts en comptes d’investissement.

Quant aux objectifs de ce règlement régissant cette activité spécifique des banques classiques universelles, il visent à prendre en charge les particularités de ce mode de financement et de collecte de ressources, à répondre au mieux aux attentes, actuelles et futures, des opérateurs économiques, à renforcer l’inclusion financière en contribuant à la mobilisation de l’épargne, en général, et particulièrement à celle circulant en dehors du circuit bancaire, selon la même source.

L’autre mesure-phare de l’année est la décision du Conseil de la monnaie et du crédit d’augmenter le capital minimum requis des banques et des établissements financiers.

Ainsi, le capital minimum requis des banques a été doublé pour passer à vingt (20) milliards de DA contre dix (10) milliards de DA, tandis que le capital minimum requis des établissements financiers passe à 6,5 milliards de DA contre 3,5 milliards de DA, sachant que la précédente décision d’augmentation du capital minimum exigé date de décembre 2008.

A travers cette mesure, il s’agit de mettre à niveau en matière de réajustement du montant du capital par rapport au seuil minimal réglementaire datant d’une décennie, et de donner à la place bancaire et financière un signal fort en termes de renforcement de son assise financière et de sa stabilité.

Ce qui confère aussi aux banques et établissements financiers une capacité plus conséquente en matière d’intervention dans le financement de l’économie nationale.

Augmentation de la liquidité bancaire mais le déficit de la balance des paiements demeure élevé

Dans le sillage de la mise en œuvre du financement non conventionnel, la liquidité bancaire s’est nettement améliorée durant cette année en passant de 1.380,6 milliards de dinars (mds DA) à fin décembre 2017 à 1.500 mds DA à la fin octobre 2018.

Quant aux crédits à l’économie, ils ont enregistré une hausse au 1er semestre 2018 en s’établissant à 9.408 mds DA à fin juin 2018 contre 8.880 mds DA à fin décembre 2017.

Sur le plan des finances extérieures, une baisse a été enregistrée dans le déficit du solde global de la balance des paiements, qui est passé à 7,93 milliards de dollars à la fin juin 2018 contre un déficit de 11,06 milliards de dollars à la fin juin 2017.

Mais les réserves de change de l’Algérie se sont amenuisées en baissant à 88,6 milliards de dollars à fin juin 2018 contre 97,33 milliards de dollars à fin décembre 2017.

Ainsi, en dépit de la remontée du prix moyen du pétrole à près de 71 dollars durant le 1er semestre 2018, en contexte de baisse des quantités exportées, le déficit du solde global de la balance des paiements (et corrélativement l’érosion des réserves de change) demeure encore relativement élevé.

Dans ce sens, des efforts supplémentaires d’ajustement sont nécessaires pour rétablir les équilibres macroéconomiques afin d’assurer la viabilité de la balance des paiements et de limiter l’érosion des réserves officielles de change à travers un vaste programme de réformes structurelles.

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Scène politique en 2018: des initiatives politiques aux discours convergents et objectifs divergents

Algérie 360 - Sat, 12/22/2018 - 14:12

ALGER – L’année qui s’achève aura été marquée sur le plan politique par l’émergence de plusieurs initiatives convergentes de par leur appel à la préservation de la stabilité et de l’unité nationale, et divergentes de par les raisons idéologiques, l’appréhension de la situation politique et la vision future de l’Algérie après 2019.

Dans ce sens, le parti du Front de libération nationale (FLN) a mobilisé toutes ses bases militantes et s’est fait rallié la majorité des « forces nationales vives »(organisations et des représentants de la société civile) pour le succès de son initiative politique, dévoilée en avril dernier, à travers « l’appel au président de la République à poursuivre son oeuvre à la tête du pays en reconnaissance des précieuses réalisations et acquis enregistrés sous sa conduite éclairée ».

Recueillant l’adhésion « escomptée », cette initiative s’est transformée en « Front populaire solide » pour la sauvegarde de l’Algérie, auquel avait appelé le chef de l’Etat dans son message à l’occasion de la célébration de la Journée nationale du Moudjahid. Mais, le point de départ de cette initiative a été l’appel de 700.000 militants du FLN « partant des réalisations accomplies par l’Algérie depuis l’investiture du président de la République en 1999 et répertoriées au niveau de 48 comités de wilaya et lors des 10 rencontres régionales ».

Pour le parti, « la préservation des acquis et réalisations, principalement l’unité du peuple algérien, la paix et la stabilité et la vulgarisation de la vision du président de la République de l’avenir de l’Algérie à travers le programme de développement 2020-2030, constituent l’objectif suprême » de cette initiative. Dès son annonce, l’initiative a vu l’adhésion de 6 organisations estudiantines qui ont lancé, de leur côté, la Coordination « Jil Bouteflika », s’ensuivent alors plusieurs rencontres de concertation avec différentes formations politiques, au nombre de 26, partageant avec le FLN la même vision.

Parallèlement, le parti a pu mobiliser à ses côtés, les plus importantes organisations nationales, à leur tête les organisations patronales et l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA), qui a affirmé, par le truchement de son Secrétaire général, « son appui absolu et son soutien inconditionnel » au président Bouteflika afin de poursuivre son œuvre de développement et de réforme ».

Dans le même contexte, l’Union nationale des femmes algériennes (UNFA) a fait état de son adhésion « absolue » pour la concrétisation de l’appel du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, à la constitution d’un « Front populaire solide », le qualifiant de « projet national à placer au-dessus de tous les partis politiques et organisations nationales ». Dans le prolongement de l’Initiative FLN, 15 partis, et à leur tête l’Alliance nationale républicaine ANR, ont lancé une initiative politique dénommée « La continuité pour la stabilité et la réforme » en soutien au programme du président de la République, et qui s’inscrit dans le cadre des préparatifs à une rencontre regroupant les partis en faveur de la Continuité.

Ces partis, représentant « plus d’un million et demi de voix électorales », ont engagé une campagne nationale en direction des masses populaires et bases militantes en vue d’expliquer « la plateforme » de la continuité et le projet du Front populaire solide Abondant dans le même sens, les quatre partis formant l’alliance présidentielle, en l’occurrence le FLN, le RND, TAJ (Tadjamoue Amal Al-Djazaïr ) et le MPA, ont décidé, en novembre passé, de conférer un caractère officiel à leur relation dans le cadre d’une alliance en soutien au président Bouteflika, en prévision de la Présidentielle de 2019.

A ce propos, ils ont convenu « d’un programme d’action progressif aux activités multiples » à mener tout au long des mois à venir dans le cadre d’un travail collectif fédérant toutes les forces. Cependant, le parti TAJ a fait le choix de présenter, seul, une autre initiative en appelant à une conférence nationale avec la participation de toutes les forces vives du pays, afin de parvenir à « un consensus national autour des questions et défis nationaux et internationaux intéressant l’Algérie ».

Fractionnement de l’opposition à travers des initiatives appelant au consensus

Face au dynamisme des partis dits « pro gouvernement », les formations politiques représentant « l’opposition » n’ont pas réussi à fédérer leurs efforts dans une seule et même démarche et leurs divergences et la différence de leurs objectifs ont apparu lors des nombreuses rencontres de concertation, tenues tout le long de l’année 2018.

Ainsi, les dirigeants du Mouvement de la société pour la paix (MSP) se sont attelés à la promotion et à la défense de leur initiative, « Consensus national », expliquant qu’elle repose sur « la réalisation d’un travail démocratique conjoint entre le pouvoir et l’opposition dans le respect des spécificités et de la diversité politiques et dans le cadre d’un Front national solide, loin des visions partisanes et des intérêts étroits ». Récemment, le MSP a opéré un changement fondamental dans son initiative en appelant, par la voix de son président, au report de la prochaine présidentielle » expliquant que c’est là « l’unique solution pour réunir les conditions nécessaires à la concrétisation du consensus national ».

Expliquant que ce report, « ne doit aucunement dépasser une année », le MSP estime qu’il doit « constituer un projet adopté par l’ensemble des institutions de l’Etat et prévoir des réformes réelles et sérieuses avec la possibilité de tenir une conférence nationale approuvée par toutes les parties ». Quelques mois auparavant, le même parti avait plaidé pour « un candidat consensuel à la présidentielle 2019, un chef de Gouvernement consensuel devant concrétiser la vision de l’Initiative et un gouvernement à large représentation réunissant la compétence, l’expérience et la symbolique politique ».

Au bénéfice de son initiative, le MSP avait avancé comme arguments qu’elle respectait les composants de l’identité nationale, les institutions de l’Etat, les échéances électorales et la diversité politique et intellectuelle et proposait des réformes économiques et politiques permettant de « surmonter les difficultés de l’heure ». Néanmoins, les partis formant la majorité parlementaire lui ont réservé un refus de principe.

le FLN, en raison de la terminologie utilisée par ses promoteurs comme « la transition démocratique et le rôle de l’Armée nationale populaire (ANP) dans la vie politique » alors que le RND a estimé que l’appel à un consensus politique la veille des échéances électorales était « un déni de la souveraineté nationale et populaire ». De même qu’elle a affronté le refus du plus vieux parti de l’opposition, le FFS, pour qui son « projet de reconstruction du consensus national » est « la seule alternative pour éviter au pays de sombrer dans une crise ».

Affirmant que son initiative s’inspirait de « la guerre de Libération nationale, de la Déclaration du 1er Novembre 54 et de la plateforme de la Soumam », le FFS défend sa vision « d’une Algérie unie, démocratique et sociale » et sa conviction que « le dialogue est la seule manière de régler les conflits et tous les problèmes ». Le FFS dit poursuivre le travail pour « la convergence des forces du changement et la mobilisation des Algériens à même de réunir les conditions qui permettent une dynamique politique pacifique, plurielle et organisée », afin de concrétiser le projet de « la deuxième République ».

Face à ces trois initiatives largement médiatisées, d’autres partis ont tenté, en vain, récemment d’attirer l’attention, à l’instar du Parti des travailleurs PT qui a lancé son initiative politique en vue de « trouver des solutions à la conjoncture socio-économique actuelle du pays », à travers « une pétition, sous forme de lettre adressée au président de la République, Abdelaziz Bouteflika, lui demandant d’intervenir rapidement pour éviter de sombrer dans le chaos, vu la situation socio-économique actuelle du pays ».

Les militants et partisans du PT se sont attelés à « recueillir pas moins d’un million cinq cent mille (1,5 millions) signatures, dans le cadre de cette pétition, qui propose plusieurs solutions dont l’arrêt de la politique d’austérité, la prise en charge des aspirations des jeunes et la protection de la propriété collective de la Nation, notamment à travers l’interdiction de toute forme de privatisation et l’instauration de l’impôt sur la fortune (ISF) ».

De son côté, le mouvement El-Bina a tenté une initiative, dite « Consensus national » puis « L’Algérie pour tous », visant à « mettre en place une plateforme pour la moralisation de l’action politique et la réunion des acteurs de la scène politique dans le but de former de véritables blocs dotés d’une feuille de route claire en vue de protéger l’Algérie contre tous les dangers qui la guettent, tant de l’intérieur que de l’extérieur ». Le Mouvement prône également la protection du front interne, l’approfondissement du dialogue et la recherche de mécanismes politiques à même d’assurer son succès ».

L’effervescence politique qui a marqué l’année 2018 est un phénomène sain et naturel à la veille de l’échéance présidentielle d’avril 2019 et la multitude des initiatives, dont aucune n’a pu transcender sur les autres, a favorisé, en dépit de la divergence des objectifs et plans d’attaque, l’émergence d’un dialogue politique de « haut niveau » entre des formations politiques, habituées, à la veille de chaque rendez-vous électoral, aux altercations et querelles verbales pour défendre des projets politiques creux.

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Télésud : L’Entretien du Jour avec El Hadj Fall, Porte-parole de Biram Dah ABEID

CRIDEM (Mauritanie) - Sat, 12/22/2018 - 13:51
Télésud - Interview d'El Hadj Fall, Porte-parole de Biram Dah ABEID, Président des réseaux IRA de par le monde, député...
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Komi Koutché toujours en détention à Madrid

24 Heures au Bénin - Sat, 12/22/2018 - 13:31

Une fausse rumeur a très tôt circulé après l'arrestation à Madrid, le 14 décembre, à l'aube, de l'ancien Directeur Général du Fonds National de la microfinance (Fnm), Komi Koutché faisant état de ce que, ce dernier détenait un passeport diplomatique togolais.
Il s'agit d'une fausse information qui a rapidement fait le tour du monde via les réseaux sociaux.

En réalité, lors de son arrestation dans la capitale espagnole, l'ancien Ministre des finances du Bénin était détenteur d'un passeport béninois.

Indexées par les autorités béninoises d'avoir délivré un passeport diplomatique à un l'ancien Ministre et opposant recherché, les autorités togolaises précisément celles de la Direction générale de la police nationale, ont adressé le 16 décembre, un courrier urgent à leurs homologues de l'Interpol espagnol. Et à la police espagnol de leur répondre le 17 décembre, dans un message confidentiel que « Komi Koutché était détenteur d'un simple passeport béninois (n° B 0606668) au moment d'être arrêté », a précisé la source.
En attendant d'être fixé sur son sort, le ministre Komi Koutché est bien gardé dans une prison de la capitale espagnole depuis le 14 décembre date de son arrestation.
L'arrestation de l'ancien Directeur Général du Fonds National de la microfinance (Fnm) fait suite à un mandat d'arrêt international délivré à son encontre par la justice béninoise et notifié à Interpol.
Pour rappel, Komi Koutché est recherché pour les malversations financières constatées au Fonds National de la microfinance (Fnm) pendant qu'il était le Directeur général.

Marcel HOUETO

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Mauritanie : Les députés approuvent l’accord de partenariat avec la CEDEAO

CRIDEM (Mauritanie) - Sat, 12/22/2018 - 13:12
Alakhbar - L'Assemblée nationale mauritanienne a adopté mercredi l'accord de partenariat entre la Mauritanie et la Communauté économique des...
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33 milliards FCFA pour mettre Cotonou à l'abri des l'inondations

24 Heures au Bénin - Sat, 12/22/2018 - 12:50

Le ministre d'État chargé du plan et du développement, Abdoulaye Bio Tchané, a procédé au nom du chef de l'Etat à la signature d'un accord de prêt entre le Bénin et la Banque Européenne d'investissement (BEI), ce vendredi 21 décembre 2018.
« Je suis particulièrement heureux de vous annoncer que ce jour vendredi 21 décembre 2018, j'ai supervisé, au nom du Président de la République Patrice Talon, la signature d'un accord de prêt de 33 milliards avec la Banque Européenne d'Investissement (BEI) », a écrit le ministre dans un message sur sa page facebook.
Une joie partagée au regard de la volonté des partenaires à accompagner le Bénin dans ses programmes de développement. Abdoulaye Bio Tchané souligne que « Ce montant constitue l'appui de l'institution à notre Programme d'Assainissement Pluvial de Cotonou ». Un programme qui, dira-t-il vise à sortir la ville de l'inondation dans les prochaines années.
Selon le ministre d'Etat, « Plus qu'une signature, la cérémonie de ce jour permettra à près d'un million deux cent mille compatriotes, d'être désormais à l'abri des inondations lors des prochaines saisons de pluie ». C'est dire donc que « le Programme d'Assainissement Pluvial de Cotonou est aussi la clé économique de la ville et l'inclusion sociale de ses habitants ». Abdoulaye Bio Tchané indique dans son message que « Face aux nombreuses peines et souffrances de nos frères et sœurs de Cotonou, le Gouvernement a décidé dans son Programme d'Actions de mettre fin aux inondations dans la ville. Ce qui nous a conduit à l'organisation d'une table ronde à Paris, le 17 janvier de cette année, au cours de laquelle six Partenaires Techniques et Financiers (BID, BAD, Banque mondiale, AFD - Agence Française de Développement, BOAD - Banque Ouest Africaine De Développement Officiel et BEI) ont annoncé leurs engagements cumulés, d'un montant total de 238 milliards de francs CFA, soit 106% de nos attentes ». Il précise par ailleurs que « La BEI devient ainsi la deuxième institution avec laquelle nous avons bouclé les discussions ».
Loin de cette joie qui l'anime, le ministre exprime « la reconnaissance du Gouvernement du Bénin à la Banque Européenne d'Investissement pour la qualité du dialogue qui nous a permis de conclure les négociations sur ce Programme ».
Il rassure les populations de Cotonou que « les efforts se poursuivent pour démarrer les travaux dans ce cadre qui vont démarrer très rapidement en 2019 ».
Giscard A.

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Foot-Match amical au mois de mars : La Mauritanie défie le Sénégal

CRIDEM (Mauritanie) - Sat, 12/22/2018 - 12:36
Sénégal7 - L’équipe nationale de Mauritanie, les “Mourabtounes“, qualifiée pour la première fois de son histoire à la Coupe d’Afrique...
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TEMMAR RASSURE LES SOUSCRIPTEURS DE L’AADL-2 : «Vous aurez vos logements dans les délais»

Algérie 360 - Sat, 12/22/2018 - 11:53

Le ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, Abdelwahid Temmar, a assuré, jeudi, les souscripteurs de la formule AADL, en déclarant : «tout souscripteur ayant versé la première tranche aura son logement dans les délais fixés» et a annoncé que son secteur a procédé à la distribution de «plus de 40 000 logements» durant le mois courant, à l’échelle nationale, dans le cadre des opérations mensuelles de distribution de logement.

Assurant que les projets d’habitation AADL seront lancés dès l’année prochaine, il a indiqué que la cadence du rythme de leur réalisation sera «soutenue conformément au calendrier établi et avec un suivi continu et rapproché» a-t-il expliqué, en marge de la cérémonie d’attribution de 1 938 logements de diverses formules, jeudi dernier, à Jijel, à l’est du pays. Soulignant l’intérêt qu’accorde son département «à la qualité» en plus de «la quantité», dans la réalisation des projets de construction des logements de diverses formules, Temmar préconise, pour y parvenir, «la rigueur dans le suivi des projets» sans manquer de mettre l’accent sur «le travail en cours pour la réalisation des ensembles résidentiels intégrés», disposant, a-t-il précisé, de structures et commodités nécessaires, y compris les espaces verts. Au cours de sa visite à Jijel, le ministre a fait état de l’octroi d’un programme supplémentaire d’aide au logement rural, estimé à «1 400 aides à la wilaya côtière de Jijel» au relief montagneux, et aussi de «500 logements promotionnels aidés», de plus le ministre a recommandé de «réaliser les logements ruraux en forme d’ensembles groupés comme cela a été fait à Mostaganem», à l’ouest du pays.
Un montant estimé à 600 millions DA a été mobilisé, selon les annonces du ministre, jeudi, à Jijel, destinés aux travaux d’aménagement extérieur, des projets de logements achevés, en plus de 100 millions DA, dont la décision d’octroi a été prise, à cette occasion, pour l’opération d’amélioration du cadre de vie urbain, de la cité Ihrathen, véritable façade orientale de la ville de Jijel. Par ailleurs, il a précisé que «les besoins des 7 761 souscripteurs AADL» de Jijel, «seront totalement couverts.» a-t-il affirmé.
Novembre dernier, le ministre avait annoncé, en visite à Tiaret que «200 000 nouveaux logements de différents programmes» à travers le pays « sont réservés au titre du programme de l’année prochaine», soit la réalisation de «5 000 unités de LPL, (dans le cadre de la régularisation), 90 000 unités de type location-vente, 50 000 unités LPA, en sus des 240 structures publiques. S’agissant des aides, le ministre a indiqué que le nouveau programme pour l’exercice 2019 a inscrit 40 000 nouvelles aides pour l’habitat rural, outre 20 000 unités ayant été enregistrées dans le cadre des dépenses prévisionnelles non programmées au titre de l’exercice 2018, dont 10 000 aides accordées aux wilayas du Sud et 10 000 autres au profit des Hauts-Plateaux. Quant au programme de type LPP, Temmar a indiqué que cette formule a été élargie au profit de la communauté algérienne établie à l’étranger et que le nombre des souscripteurs s’élève à« 20 038, résidants dans 93 pays.» a-t-il déclaré.
Lilia Sahed

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ONU: adoption d’une résolution favorable au retour des Casques bleus à la frontière Syrie-Israël

Algérie 360 - Sat, 12/22/2018 - 11:50

NEW YORK (Nations unies) – Le Conseil de sécurité de l’ONU a adopté vendredi une résolution soulignant qu’il ne doit pas y avoir d’activité militaire dans la zone démilitarisée entre la Syrie et le plateau du Golan occupé par Israël pendant le retour des Casques bleus dans cette zone.

Grâce à la résolution 2450, le Conseil de sécurité insiste sur l’obligation, pesant sur la Syrie et sur Israël, de respecter l’accord de cessez-le-feu de 1974, qui prévoit la création de la zone-tampon et le déploiement de la Force des Nations Unies chargée d’observer le désengagement (FNUOD).

En août 2018, l’ONU a déclaré qu’elle organisait « le retour graduel » de la FNUOD dans la zone car la situation en matière de sécurité s’était améliorée.

Dans la résolution adoptée vendredi, le Conseil de sécurité a  »appelé l’ensemble des groupes autres que la FNUOD à abandonner toutes les positions de la FNUOD, et à restituer les véhicules, armes et autres équipements des Casques bleus. »

Le conseil a également salué les efforts déployés par la FNUOD pour intensifier ses opérations dans la zone-tampon ainsi que la  »coopération des parties » visant à faciliter son retour.

Il a par ailleurs reconduit le mandat de la FNUOD pour une période de six mois, jusqu’au 30 juin 2019, et a demandé au secrétaire général de s’assurer que la force dispose des capacités et des ressources requises pour accomplir son mandat de manière sûre et sécurisée.

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L'ARCEP met en garde contre les dysfonctionnements sur les réseaux mobiles

24 Heures au Bénin - Sat, 12/22/2018 - 11:30

L'Autorité de régulation des communications électroniques et de la poste n'entend pas baisser les bras devant les dysfonctionnements des services qu'offrent les opérateurs de téléphonie mobile. Une audition a été organisée, jeudi 21 décembre 2018, au siège de l'ARCEP, à Cotonou.
Fournir un service de bonne qualité. Tel est l'objectif visé par l'Autorité de régulation des communications électroniques de la poste. " Nous nous trouvons à la veille de deux importantes fêtes ou nous constatons une évolution exponentielle du trafic. C'est des données auxquelles les opérateurs doivent s'y attendre", a observé le président de l'ARCEP, Flavien Bachabi.
Pour lui, il n'y a pas question que les abonnées subissent ces dysfonctionnements. Selon le président de l'Autorité de régulation, les services fournis par les opérateurs laissent à désirer. " Les deux opérateurs ne fournissent pas de services de qualité", déplore-t-il. On note ajoute-t-il, "les dysfonctionnements répétés sur les deux réseaux". Flavien Bachabi souligne qu'il faut " le respect des droits d'informations et de dédommagement des consommateurs (service et prix).
Il attend des opérateurs le renforcement de la qualité des services pendant la période des fêtes. C'est d'ailleurs pour cette raison que le directeur souligne qu'en cas de non respect, l'ARCEP risque de procéder à leur mise en demeure.
Selon le président de l'ARCEP, les reproches faites à l'opérateur Spacetel (MTN) sont entre autres, Indisponibilité des plateformes rendant presque impossible l'activation des forfaits, les envois erronés des tickets de notification de rechargements de crédits, d'activation de forfaits. Il fait remarquer aussi des publicités intempestives dans les notifications des tickets de facturation des appels empêchant le bon suivi des niveaux de consommation des forfaits. Aussi, fait-il remarquer les difficultés d'accès à certains services notamment au service financier mobile d'une part, d'autres part, des notifications d'épuisement de forfait alors que des abonnés disposent encore de forfaits valides.
Flavien Bachabi dénonce aussi des publicités mensongères sur les offres de services qui presque n'existent pas en réalité.
Quant à l'opérateur Etisalat (MOOV), il lui est reproché l'Instabilité de la connexion internet sur le réseau et les difficultés d'accès à certains services notamment au service financier mobile.
Face aux récriminations de l'ARCEP, c'est le représentant du directeur général de MTN-Bénin, Serges Soglo, qui a d'abord planché. Celui-ci a donné des explications par rapport à l'indisponibilité du réseau rendant difficile l'activation des forfaits. " Nous avons procédé à une migration sur une nouvelle plateforme afin d'offrir une meilleure prestation. De cette migration, il y a eu plusieurs défis qu'on arrive à résoudre. Nous avions pris le soin d'informer la clientèle par rapport à la migration et les éventuels dysfonctionnements. Aujourd'hui, nous avons deux dysfonctionnements que nous nous attelons à résoudre", a expliqué Serges Soglo. Au niveau des notifications, il souligne que " nous avions eu des difficultés parce que le mode de calcul a changé complètement". En ce qui concerne la publicité, le représentant du Dg MTN promet d'apprécier avec ceux qui y souscrivent et d'y apporter des corrections. Serges Soglo a par ailleurs donné des précisions concernant Mobile money. ''Nous avons eu un dysfonctionnement que nous avons réglé dans un délai de deux heures. Nous nous attelons jour et nuit pour régler définitivement ces problèmes", a-t-il promis.
Pour les informations mensongères, il dit que "c'était une erreur de frappe qui a été corrigée une fois que le constat est fait".
Pour Ahmed Elattat du réseau MOOV-Bénin, " l'instabilité de l'Internet, c'est vrai mais cela est dû à l'extension avec les nouvelles installations". Il rassure l'Autorité de régulation des communications électroniques et de la poste qu'iI y a une nette amélioration des services déjà. "Nous continuons de travailler pour régler totalement cette instabilité", affirme-t-il. Le représentant de MOOV reconnaît que les difficultés d'accès à l'Internet sont aussi liées à ces problèmes d'extension sur le réseau. ''Je vous rassure que l'équipe est à pieds d'oeuvre pour corriger", a-t-il promis.
Au terme des explications des opérateurs de téléphonie mobile, le président de l'ARCEP a reconnu que les dysfonctionnements sont liés aux migrations afin de donner de meilleurs services. " C'est l'occasion pour montrer aux consommateurs que l'ARCEP suit tout ce qui se passe sur les réseaux", a déclaré Flavien Bachabi.
Il ajoute que " les opérateurs qui sont des partenaires ne peuvent aller contre les intérêts des consommateurs. Nous allons tous s'y mettre pour que les moyens mis à notre disposition (textes) soient suivis", rassure-t-il.
Le président de l'ARCEP indique qu'il faut veiller à offrir des services de bonne qualité. " Nous souhaitons avoir de meilleures prestations et il faut que les consommateurs aient l'information relative aux divers problèmes", souligne M. Bachabi. Il martèle que " la prochaine fois ce sont les textes que nous allons appliquer ".
Giscard AMOUSSOU

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Le Polisario appelle le peuple sahraoui à la consolidation des victoires de 2018

Algérie 360 - Sat, 12/22/2018 - 11:29

CHAHID EL-HAFED – Le Front Polisario a appelé les enfants du peuple sahraoui à consolider, en 2019, les victoires et acquis réalisés l’année écoulée, en faisant montre de davantage d’unité et de disponibilité pour faire face aux plans de l’occupant marocain qui « ne manque pas de recourir aux plus viles et dangereuses manœuvres ».

« Dirigé par son unique et légitime représentant, le Front Polisario, le peuple sahraoui ira de l’avant dans son combat, sa résistance et sa lutte pour assurer la réussite des programmes et des nombreuses échéances nationales qui auront lieu cette année », a affirmé jeudi le Front Polisario dans un communiqué sanctionnant les travaux de la 9e session ordinaire de son secrétariat national, présidé par Brahim Ghali, président de la République arabe sahraouie démocratique (RASD).

Le Front Polisario a mis en avant, dans ce cadre, la volonté du peuple sahraoui à remporter la victoire et parachever la souveraineté de la République sahraouie, l’Etat de tous les sahraouis, sur tout le territoire national.

Dans ce contexte, il a insisté, sur la disposition de la partie sahraouie à continuer de coopérer avec les efforts menés par l’ONU dans le cadre de la résolution du conflit au Sahara Occidental, afin de parachever le processus de décolonisation permettant au peuple sahraoui d’accéder à son droit inaliénable à l’autodétermination et l’indépendance, selon l’Agence de presse sahraoui (SPS).

Réitérant son attachement au respect « des dispositions de l’accord de cessez-le-feu et de la convention militaire N 1 », le Front Polisario a souligné sa disposition à coopérer avec le SG de l’ONU pour résoudre tous les conflits dus à la violation flagrante commise par le Maroc à l’image de l’ouverture d’un passage et d’une route au niveau de la zone de El Guergarat.

Dans le même sillage, le Front Polisario a condamné « les pratiques provocatrices du Maroc » qui traduisent son intention à faire fi du processus de règlement et d’imposer le fait accompli à travers l’organisation d’activités illégales sur un territoire occupé ne jouissant pas encore de son droit à l’autodétermination, citant, à cet égard, les renforts militaires dépêchés au territoires sahraouis, les colonies de peuplement et l’implication des partenaires, outre l’organisation d’élections et de manifestations politiques, culturelles, sportives et économique tels que le Forum de Crans Montana.

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Gilets jaunes: feu vert du Parlement aux mesures d’urgence

Algérie 360 - Sat, 12/22/2018 - 11:24

PARIS – Prime exceptionnelle, heures sup défiscalisées, pas de hausse de CSG pour une partie des retraités: le Parlement Français a donné vendredi son feu vert définitif, via un vote du Sénat, aux mesures d’urgence de l’exécutif en réponse à la crise des « gilets jaunes ».

Après quatre heures de débats, loin des 13 heures de la veille à l’Assemblée, le projet de loi portant « mesures d’urgence économiques et sociales » a été approuvé à main levée.

Les sénateurs LR ont voté pour, pas « par adhésion » mais par « responsabilité » selon leur chef de file Bruno Retailleau pour qui « lorsqu’il y a un incendie, on ne jette pas de l’huile sur le feu ». Les sénateurs LREM et de l’Union centriste, ainsi que les Indépendants et RDSE (à majorité radicale) ont fait de même.

Les socialistes se sont abstenus, comme les communistes, qui avaient défendu en vain une motion préalable et prévenu que « la dinde aux marrons » n’étoufferait pas la colère.

Le texte ayant été adopté « conforme », sans changement par rapport à la version de l’Assemblée, son adoption est définitive.

Seuls huit amendements, tous présentés par la gauche, ont été examinés, avant d’être rejetés ou retirés. Ils visaient notamment à maintenir la revalorisation des prestations sociales en fonction de l’inflation ou obtenir une revalorisation significative du Smic.

Il n’y aura a priori pas de saisine préalable du Conseil constitutionnel et le texte devrait être promulgué rapidement, pour une mise en oeuvre dès début 2019.

Le projet de loi adopté comprend la défiscalisation des heures supplémentaires, une exonération élargie de hausse de CSG pour des retraités et la possibilité pour les entreprises de verser une « prime exceptionnelle » de 1.000 euros, exonérée de toute cotisation sociale et d’impôt sur le revenu, pour leurs salariés rémunérés jusqu’à 3.600 euros.

Il est la traduction des annonces sociales tous azimuts qu’Emmanuel Macron avait formulés le 10 décembre pour répondre aux « gilets jaunes ».

Son adoption, au terme d’une séquence budgétaire hors normes, signe la fin des travaux du Parlement avant la trêve des confiseurs, jusqu’à la mi-janvier.

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Foire de la production algérienne : des campagnes de sensibilisation sur la sécurité routière

Algérie 360 - Sat, 12/22/2018 - 11:15

ALGER – La Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) participe à la 27e édition de la Foire de la production algérienne (FPA), qui se tient depuis jeudi au Palais des expositions (Pins Maritimes-Alger), à travers un stand dédié aux campagnes de sensibilisation sur les dangers des accidents de la circulation.

La DGSN sera présente à cet évènement à travers « un stand dédié à la sécurité publique qui permettra d’aborder la sensibilisation et la sécurité routières, par le biais notamment de la présentation des statistiques sur les accidents enregistrés, les moyens et véhicules utilisés par les unités opérationnelles de la sûreté nationale, outre la distribution de dépliants et brochures sur la sécurité routière » a indiqué, vendredi, un communiqué des services de la sûreté nationale.

La DGSN a mis en place, à l’occasion de cette manifestation, « un dispositif de sécurité en vue de faciliter le trafic routier aux abords du Palais des expositions, notamment en cette période coïncidant avec les vacances scolaires d’hiver », a conclu le communiqué.

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Boxe : le Festival national de la jeunesse du 23 au 29 décembre à Constantine

Algérie 360 - Sat, 12/22/2018 - 11:13

ALGER – Le Festival national de la jeunesse, spécialité boxe, se déroulera du 23 au 29 décembre 2018 à Constantine, a-t-on appris vendredi auprès du Directeur technique national (DTN), Mourad Meziane.

Une compétition organisée par la Fédération algérienne de boxe, en collaboration avec la Ligue de boxe de Constantine, et sous l’égide du ministère de la Jeunesse et des Sports (MJS). Outre la boxe, plusieurs autres disciplines sportives organisent des Festivals de la jeunesse en cette fin d’année.

Parmi elles, le judo, du 21 au 23 décembre à Annaba, la natation, du 21 au 22 décembre à Sétif, le basket-ball, du 23 au 28 décembre à Blida, ville qui abritera également le festival national des jeunes talents de volley-ball, prévu du 25 au 28 décembre à la salle Hocine-Chalane.

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Les lieux de culture et d’histoire en Mauritanie : quelle importance pour l’Etat ? (Deuxième partie)

CRIDEM (Mauritanie) - Sat, 12/22/2018 - 11:11
Le Calame - Après l’introduction du sujet, j’ai abordé dans le numéro précédent du Calame, le legs des pères fondateurs de la nation, les...
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