Yazid Alilat
La présidente du Croissant-Rouge algérien (CRA) Saida Benhabyles a accusé les pays de l’OTAN d’être responsables du phénomène migratoire en Afrique, et plus particulièrement du Nord vers l’Europe, après l’intervention militaire en Libye. Pour expliquer ce phénomène de la migration, il faut «faire un bon diagnostic», a-t-elle affirmé, hier dimanche, à la Radio nationale. «Oui, c’est vrai, ce phénomène est un drame humain», ajoute-t-elle, avant de relever que «si on veut s’attaquer à ce problème, il faut s’attaquer à l’origine du phénomène et se poser la question qui est responsable de ce drame humanitaire ?». «Dans notre région, c’est l’intervention de l’OTAN, en Libye qui en est responsable, plongeant la population libyenne dans la précarité et favorisant le développement du terrorisme», explique-t-elle. Pour la présidente du Croissant-Rouge algérien, «quand on parle de migration, il faut parler des Syriens, des Irakiens, et se poser la question qui en est à l’origine.Pour atténuer la souffrance humaine, il faudrait que ceux qui sont responsables assument leurs responsabilités.» Elle a relevé, en outre, que «je n’ai jamais vu une résolution de l’ONU adoptée avec une telle célérité que celle de l’OTAN, autorisant l’intervention militaire en Libye.» «C’est Bernard Henry Levy et Sarkozy, et tout le monde a suivi», estime Saida Benhabyles, selon laquelle «il faudrait se décider à réviser la politique internationale, basée sur l’impunité et l’exploitation des autres.» De plus, «il faudrait arrêter de démocratiser les pays en suscitant des conflits internes et en semant la zizanie confessionnelle», préconise la présidente du CRA. Elle estime que les pays responsables du phénomène migratoire arrêtent de faire du «deux poids, deux mesures», car «c’est une réalité qui est là, qu’on nous impose, et on sait ce qu’est l’occupation.»
Saida Benhabyles ajoute que «nous savons mieux que quiconque ce qu’il faut faire pour aider l’autre. Est-ce que la charte des migrants est une réponse au problème ? Je dis non», a-t-elle expliqué en abordant la dernière conférence de Marrakech sur la migration. «La migration est un instrument des Etats : l’histoire se répète», affirme-t-elle, par ailleurs, en expliquant que «la souffrance des peuples est exploitée par ceux qui, durant la décennie noire, en Algérie, se posaient la question «Qui tue qui ?». «C’est l’exploitation de la souffrance des Algériens, et aujourd’hui c’est un autre drame, celui des migrants.» Pour elle, l’Algérie n’est pas «une partie prenante de la tragédie des pays africains», récusant les accusations contre l’Algérie. «L’Algérie n’est pas responsable de ces drames, n’a pas spolié les biens de l’Afrique, on est contre l’ingérence et on contribue à la stabilité des pays et en soutenant le développement.» «Le seul pays à effacer les dettes des pays africains est l’Algérie, qui s’investit, également, dans le développement des zones frontalières», poursuit-elle. La présidente du CRA a rappelé qu’un pays africain «n’a pas encore réalisé son rêve, l’autodétermination. Et aujourd’hui, on célèbre la déclaration universelle des droits de l’Homme. Quelle journée, a-t-elle dit, quand Israël les bafoue, que des femmes palestiniennes accouchent dans les geôles israéliennes menottées. L’occupation est la pire atteinte à la dignité humaine, et aujourd’hui, tout le monde est content de célébrer la déclaration universelle des droits de l’Homme, alors qu’on devrait s’inquiéter de ce qui se passe actuellement. La déclaration sur les droits de l’Homme est un instrument qui ne règle rien», selon elle.Sur les reconduites de migrants subsahariens aux frontières, par l’Algérie, elle a souligné que «toutes les normes, dans le domaine, ont été respectées. Les Algériens ne peuvent voir quelqu’un, sans lui tendre la main», et, «les pays développés doivent assumer leurs responsabilités dans le phénomène de la migration», estime-t-elle. Elle a, en outre, affirmé que «l’Algérie est capable de rapatrier, mais pour aider les migrants, il faut leur financier des micro-projets, axer sur la résolution des conflits par la réconciliation, le dialogue, et arrêter de s’immiscer dans les affaires des gens à travers les droits de l’Homme…»
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K. Assia
Trois tentatives d’émigration clandestine ont été avortées entre la nuit de samedi et la journée de dimanche par les unités du groupement de la gendarmerie d’Oran et un réseau de passeurs composé de quatre personnes a été arrêté. Les gendarmes ont appréhendé 25 harraga dont une femme et un mineur. Parmi les clandestins, l’on signale également un ressortissant yéménite et deux Palestiniens. La première opération a été menée, dans la nuit de samedi suite à l’exploitation de renseignements par les gendarmes de Canastel qui étaient appuyés par les unités d’intervention et de sécurité. Un groupe de sept harraga dont quatre Algériens, un Yéménite et deux Palestiniens ont été appréhendés alors qu’ils s’apprêtaient à embarquer clandestinement à partir de la plage de Aïn Franine. L’enquête a permis d’identifier un réseau de quatre passeurs chargés d’organiser ces opérations clandestines d’émigration. Les gendarmes ont récupéré 1.750 euros dans le cadre de cette affaire. Un deuxième groupe de 7 clandestins âgés entre 17 et 35 ans a été aussi appréhendé avant-hier lors d’une tournée de contrôle à hauteur du chemin de wilaya n° 75 reliant Bir El-Djir au village de Kristel. Les candidats à l’émigration devaient embarquer à partir de Kristel. Trois heures plus tard, un autre groupe de 11 harraga dont une femme et un mineur a été arrêté par les gendarmes de Canastel alors qu’il se préparait à prendre le large à partir de Aïn Franine. Les 25 harraga ont été conduits au siège de la brigade de la gendarmerie.Pour leur part, les gardes-côtes ont intercepté 11 harraga au nord du port d’Oran. Ces onze personnes, parmi lesquels une femme enceinte, ont été interceptées à bord d’une embarcation pneumatique, hier dimanche à 6 heures du matin, à 6 miles au nord du port d’Oran, par les gardes-côtes en patrouille en mer. Ils voulaient rallier les côtes espagnoles. Les harraga ont été remis à la brigade de Gendarmerie nationale d’Oran. Ils devront être présentés devant la justice.
Par ailleurs, suite à un appel téléphonique de la brigade ferroviaire de la gendarmerie de Blida indiquant qu’un mineur de 16 ans a disparu et pouvait se trouver à bord du train Alger-Oran, une enquête a été ouverte. Les enquêteurs ont été avisés que le mineur avait l’intention d’embarquer clandestinement à partir d’Oran. Un dispositif sécuritaire a été déployé et toutes les issues ont été fermées à la gare ferroviaire afin de retrouver l’adolescent. Il a été intercepté à sa sortie du train en compagnie de deux autres mineurs qui ont paniqué à la vue des gendarmes. L’adolescent recherché a avoué aux enquêteurs qu’il avait l’intention de quitter clandestinement le pays en compagnie des deux autres mineurs. D’autre part, un passeur répondant aux initiales de R.B. activement recherché par les gendarmes de Canastel a été arrêté dans un bidonville à Sidi-Chahmi.
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M. Aziza
Les représentants des commerçants des 380 anciennes voûtes de l’amirauté et l’ancien arsenal de la Régence d’Alger ont exigé, hier, un dialogue sur la gestion de ces voûtes. Il faut bien le mentionner, ces voûtes représentent un patrimoine architectural unique en Algérie, voire même en Méditerranée. Construites de 1860 à 1866, ces voûtes supportaient deux principaux boulevards d’Alger et étaient considérées comme le poumon commercial de l’Algérie, approvisionnant tout le territoire national en matière de marchandise.Ces fameuses voûtes dont une quarantaine ont été déjà fermées par les autorités devaient abriter des start-up dans le cadre du projet «Alger Smart ville» dont l’inauguration était prévue en début de l’année 2018, mais ça n’a pas été le cas. Rappelons-le, qu’au temps du gouvernorat d’Alger, ces lieux devaient être transformés en galeries et espaces d’exposition d’objets d’artisanat. Mais, le projet n’a jamais vu le jour. Il a été également question de les transformer en musée. Mais, le hic, selon le porte-parole de ces commerçants, est le fait que ces voûtes sont restées fermées et d’autres ont été scellées après que leurs occupants aient été délogés et octroyés à d’autres personnes !
Réunis hier avec ses collègues au siège de l’UGCAA à Alger, un des occupants des voûtes, Mohamed Hammache, a affirmé que «quel que soit le projet de vocation de la zone, si c’est un projet d’utilité publique, il n’y a pas de problème, c’est la propriété de l’Etat, mais si c’est un projet commercial, la priorité est à l’occupant, c’est une règle internationale». «Nous sommes contre toute tentative de mettre dehors les premiers occupants des lieux pour les octroyer à des personnes estrangères sans motifs valables», insinuant que ces voûtes historiques soient convoitées par des hommes d’affaires et des cercles occultes. Et d’ajouter «on est capable de s’inscrire dans la nouvelle politique d’exploitation des voûtes, les anciens commerçants des voûtes sont conscients, ils sont prêts à collaborer avec les autorités, ils sont pour la paix civile et ils sont surtout pour l’application de la loi», dit-il. «Mais tout doit être inscrit, clair et transparent».
Le porte-parole des commerçants, M.Benaoudia Bouziad, a précisé que seules les voûtes d’Alger sont restées régies, après l’ouverture de l’économie de marché, par un statut particulier «qui n’a pas sa raison d’être». Il explique que les voûtes d’Alger qui étaient sous la coupe de l’Entreprise portuaire d’Alger ont vu par la suite leur gestion confiée à la Régie foncière de la ville d’Alger (RFVA). Les autorités de la wilaya se devaient alors d’établir un contrat de location en bonne et due forme, conforme au code du commerce, «malheureusement, malgré nos doléances et malgré la pertinence de la loi, du code du commerce et le code de procédure civile, la régie n’a pas donné suite à nos demandes», regrette-t-il.
La régie foncière a sommé les commerçants de signer une convention avec des dispositions qualifiées par les concernés de «bizarres». La convention stipule que «les commerçants des voûtes n’ont pas le droit de rester sur les lieux, si la régie foncière demande la restitution des voûtes sans aucune justification et sans indemnisation». Et bien plus «il y a un article scélérat qui est contraire à toute logique juridique, où il est stipulé que le commerçant s’abstient et s’interdit d’avoir recours à la justice pour demander ses droits». En concluant «donc la régie s’octroie le droit d’être au-dessus de la loi, elle est en même temps justiciable et législateur». Et d’affirmer que la majorité des commerçants ont refusé de signer cette convention qui est en contradiction avec la réglementation. Ils demandent la transparence totale sur l’exploitation de ces voûtes ou sur les futurs projets concernant la zone.
Des hausses de tarifs en contradiction avec la dispositionde la loi de finances
Les commerçants des voûtes ont dénoncé aussi les augmentations des tarifs de location imposées de manière unilatérale par la wilaya d’Alger. Une augmentation trois fois plus élevée que l’ancienne tarification «qui ne répond à aucune logique commerciale», selon les commerçants qui se disent déjà pénalisés par les travaux interminables entrepris dans la zone et par l’installation d’un parking public entravant le commerce.
Ils expliquent dans les détails qu’au lieu de payer 55 DA fixés par m2 comme le prévoient les dispositions de la loi de finances 1999 pour un seul trimestre, «la wilaya d’Alger nous a imposé une tarification de 190 DA le m2 par mois». Cette augmentation ne repose sur aucun texte réglementaire car les redevances d’occupation du domaine public doivent être calculées sur la base d’un tarif fixé par un arrêté ou décret officiel publié au Journal officiel. En précisant que depuis 1999, aucune loi de finances n’a changé ou modifié les prix des loyers des voûtes d’Alger.
Les commerçants lancent un appel aux autorités pour faire cesser la fermeture abusive des voûtes, sans aucune ordonnance judiciaire, sans réquisition, ni sur la base d’un texte de loi. Ils appellent la wilaya à faire cesser les abus et ils revendiquent un contrat de location en bonne et due forme avec un cahier des charges afin de préserver les droits des deux parties, ceux des commerçants et de l’administration.
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K. Assia
Au lendemain de l’attribution de 1.600 logements sociaux au profit des familles du bidonville de Sidi El Bachir, les responsables de la wilaya d’Oran et de la daïra de Bir El Djir, ont entamé, à partir d’hier, une vaste opération de démolition de plus de 600 constructions illicites érigées sur plus d’une dizaine d’hectares. Cette opération va se poursuivre tout au long de la semaine jusqu’à l’éradication de tout ce bidonville Le wali d’Oran, a insisté auprès des responsables de la daïra et de la commune de Bir El Djir, pour l’éradication totale de ce bidonville avant la fin de l’année en cours. Le site abritera un projet conséquent de logements promotionnels aidé LPA. Le ministre de l’Habitat, lors de sa dernière visite à Oran, a retenu un important quota de logements LPA pour la capitale de l’ouest du pays, à la grande joie de nombreux postulants à cette formule. Depuis le mois de novembre, la machine est mise en branle par les autorités locales quant au relogement des familles bénéficiaires des décisions de pré-affectation.Pas moins de 278 familles du secteur urbain El Mokrani’ ont été relogées, la semaine dernière, au nouveau pôle urbain de Belgaid. Une autre tranche de 100 logements sociaux, au profit des familles détentrices de décisions de pré-affectation du secteur urbain El Mokrani’ sera distribuée prochainement, une fois les travaux de VRD achevés.
Les bénéficiaires de ce programme occupent des habitations menaçant ruine et classées dans la catégorie rouge’ et sont détenteurs de décisions de pré-affectation après une enquête approfondie menée par la commission mise en place par les services de la daïra. Au courant du mois de novembre, 400 familles du secteur urbain de Sidi El Bachir ont été relogées à Belgaid .D’autre part, un autre quota de 50 logements sociaux sera aussi distribué au profit des familles du quartier d’Ed- Derb. La wilaya d’Oran s’est fixée un objectif qui est de distribuer 20.000 logements, toutes formules confondues, un objectif réalisé, selon le wali d’Oran avec l’attribution, hier, des 1.600 logements sociaux, à Sidi El Bachir.
Ceci intervient, également, après le dégel des opérations de financement d’aménagement extérieur de tous les chantiers d’habitat, apprend-on. La wilaya d’Oran a connu une grande dynamique dans la lutte contre l’habitat précaire, notamment ces dernières années. Dans ce cadre, près de 35.000 familles ont été relogées depuis juin 2014, à Oran.
Ces opérations ont permis d’éradiquer 75 % des bidonvilles repartis sur la wilaya dont 5 ont été rasés, suite au relogement des familles. Ces derniers étaient implantés à Cheklaoua, Le Virage, Hayat Regency et Bab El Hamra, entre autres. Plusieurs assiettes foncières ont été récupérées et seront destinées à la concrétisation de projets d’investissements et d’utilité publique. Aussi, dans un passé récent, le wali d’Oran a indiqué que sa wilaya dispose de 25.000 logements sociaux en cours de construction et que le relogement se fera au fur et à mesure de la réception des nouvelles habitations. Cette offre sera attribuée aux demandeurs de ce type de logements par les différentes commissions locales chargées de l’étude des dossiers.
Le wali a tenu à rassurer les citoyens que ses services ne ménagent aucun effort pour satisfaire leurs besoins en logements. Il a aussi affirmé qu’il ne permettra aucun dépassement ou tentative de bénéficier de logement de manière frauduleuse et ce quelle que soit son origine. Il a aussi lancé un appel aux citoyens pour contribuer au bon déroulement des opérations de relogement pour barrer la route aux opportunistes. Des opérations de relogement seront programmées au fur et mesure et en fonction de la réception des logements et de l’achèvement des travaux de VRD. Revenant au bilan des 2 dernières décennies, selon les chiffres de la direction du Logement , quelque 98.000 logements, tous programmes confondus, ont été réceptionnés et attribués dans la wilaya d’Oran, durant la période allant de 1999 à 2017. Ce quota d’habitat réparti sur les quinquennats précédents comporte des logements publics locatifs (LPL), sociaux participatifs (LSP), des logements promotionnels aidés (LPA). Concernant le LPA, et pour parer à la forte demande pour ce type de logement, qui dépasse les 33.000, un quota supplémentaire devrait être accordé à la wilaya d’Oran, par la tutelle.The post Après le relogement de plus de 1.600 familles du bidonville de Sidi El Bachir: Début de la démolition de plus de 600 habitations illicites appeared first on .
Le Colonel Farouk Achour, Directeur de l’information et des statistiques à la protection civile était sur les ondes de la chaîne trois, afin de répondre aux questions de Souhila El Hachemi dans son émission ‘L’invité de la rédaction’.
Le thème principale est le sauvetage de Ayache Mahdjoub. Pour rappel, l’homme est mort suite à une chute dans un puits d’une de profondeur de 30 mètres.
Le Colonel Farouk Achour a précisé que l’unité de boussada s’est précipitée sur les lieux, afin de débuter l’opération de sauvetage au plus vite.
Concernant l’extraction du corps, le Directeur de l’information et des statistiques à la protection civile informe que ça se fera aujourd’hui, en précisant qu’il ne rester que deux mètres pour atteindre le corps: « C’est un cas qui nécessite une technique spécifique, et la victime été à 30 mètres de profondeur, tous les techniciens sont sur le coups ».
Le Colonel Farouk Achour, précise que le corps de Ayach Mahdjoubi ne dégager plus de chaleur, « Nous avons déduit que l’homme était mort ».
Farouk Achour précise que l’opération est délicate, car c’est une canalisation non pas un puits aux normes (puits cartésien), il a fallu creuser, et aller doucement car il y a un flux massif d’eau. Quoiqu’il en soit, une enquête menée par la police scientifique, va aider à améliorer la prévention, et de ce fait apporter plus de précision quant aux causes du décès.
Concernant l’opération de sauvetage, le Colonel Farouk Achour confirme que tous les moyens étaient présents pour sauver Ayach Mahdjoubi. En ajoutant que ce n’était en aucun cas, « Un manque d’expertise ou de professionnalisme de la part de la protection civile. La protection civile est une référence, elle a fait ces preuves, nous sommes une institution très disciplinée, et nous avons été la bas a temps, tous les protocoles ont été respectés pour intervenir le plus rapidement possible« .
Face à un risque de catastrophes naturelles, Farouk Achour confirme: « Nous sommes prêts à intervenir face à tous types de catastrophes, nous avons tous les moyens pour le faire, à savoir de la compétence humaine et matérielle pour la prise en charge ».
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J. Boukraa
Dans le cadre des efforts visant à protéger l’environnement et la santé publique, une campagne a été lancée à travers les cités d’Oran pour sensibiliser les citoyens quant à l’importance du respect des horaires de collecte. Sous le slogan « mes ordures je les jette le soir », cette campagne est initiée par l’association algérienne de la protection du consommateur et de l’environnement APOCE. Des dépliants seront ainsi distribués. La campagne touchera également les commerçants en vue de renforcer le civisme, de lutter contre les dépotoirs anarchiques et de protéger l’environnement. En effet, à Oran le phénomène des déchets ménagers se pose toujours. Cette situation n’est pas due aux manquements des services de nettoiement mais à l’incivisme de certains citoyens qui continuent de jeter leurs ordures n’importe où et n’importe quelle heure.Les services concernés avaient à maintes reprises lancé un appel aux habitants pour respecter quelques mesures visant à améliorer l’hygiène publique et faciliter la tâche aux agents de nettoiement. En dépit de tous les efforts fournis par les services de nettoiement, comme la division de l’hygiène et de l’assainissement (DHA) de la commune d’Oran, l’EPIC Oran Propreté et autres, ils n’arrivent plus à y faire face. Les responsables du nettoyage reprochent aux citoyens de ne pas respecter les horaires de ramassage des ordures et surtout de jeter anarchiquement leurs déchets, chose qui complique le travail des agents de nettoyage. Ces derniers peinent à faire débarrasser Oran des odeurs nauséabondes.
Des sacs sont jetés à travers les quartiers d’Oran, en particulier les plus populaires, et cela se répète tous les jours par le manque d’engagement de la population à respecter les règles d’hygiène dans les quartiers et les communautés.
Le phénomène de vandalisme et du vol des bacs à ordures a été aussi soulevé. Une pratique irresponsable qui ne respecte pas les nettoyeurs à qui les citoyens leur rendent le travail pénible. Des poubelles en plastique de couleur verte installées sur les principaux boulevards de la ville ont fait l’objet de vol. Un phénomène qui pèse trop lourd sur le budget financier des services techniques de l’APC et notamment dans les quartiers de la ville. Sachant que le prix d’un bac est de près de 5.000 DA, le préjudice causé aux collectivités locales se compte en millions de centimes. Mais plus que le dégât financier, ce sont les désagréments occasionnés par ce pillage qui font mal. Les bacs qui ont disparu ont été aperçus dans plusieurs balcons des immeubles, convertis en mini-citernes de stockage d’eau.
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BOMARE COMPANY a annoncé en marge d’une cérémonie organisée le mardi 18 décembre 2018, le lancement officiel de sa nouvelle gamme de smartphones Stream.
Une nouvelle gamme qui vient répondre aux nouvelles exigences du marché algérien et enrichir la gamme des smartphones ‘’Stream’’ déjà disponibles sur le marché.
Sept nouveaux modèles ont été dévoilés, à savoir : Everest, Mirror, B3 Maxi2, B2S, B2plus, B1S et enfin le H24 Power, des Smartphones ultra performants, très design qui bénéficient des dernières avancées technologiques.
Les nouveaux smartphones seront disponibles prochainement sur tous les points de vente Stream System STORE à des prix très compétitifs.
EVEREST :
EVEREST le sommet de la performance
Il vous séduira : Un design séduisant
L’Everest est doté d’une coque d’une finesse au toucher impeccable pour une prise en main exceptionnelle.
Tout en puissance : Un processeur octa-core 1.5ghz épaulé par 4GB de RAM.
Ouvrir plusieurs taches en même temps dans son Everest ne sera pas un problème grâce à son processeur Octa-core et ses 4GB de RAM pour une expérience ultra fluide.
Et en immortalisant les moments forts : Capturez l’instant !
Profitez d’un double capteur arrière, 16+5 mégapixels pour des photos sublimes d’une netteté parfaite, ainsi qu’une caméra frontale de 13 mégapixels située en bas de l’écran pour des selfies et un effet de contre-plongée à couper le souffle.
Appréciez vos photos : Un confort visuel remarquable
Pour la première fois sur la gamme des smartphones STREAM, l’EVEREST est doté d’un sublime vaste écran de 6’’quasi sans bords. Pour vous offrir une expérience visuelle spectaculaire.
Sauvegardez vos souvenirs et données : Un stockage énorme !
En plus de ses 64 Go de stockage interne, vous pouvez y intégrer une carte microSD (jusqu’à 128Go).
Une journée de plus de 24h : Une autonomie qui dure !
Doté d’une batterie de 4050 mAh, se démarque par son excellente autonomie c’est une certitude L’EVEREST ne vous laissera jamais tomber.
Tout cela avec : Une Sécurité maximale
Vos données sont protégées et vous seul y avez accès grâce à la technologie de reconnaissance faciale du géant japonais NEC aussi l’Everest est doté d’un lecteur d’empreinte pour un déverrouillage d’un simple clic.
MIRROR :
Le smartphone qui reflète votre style
Confortable au toucher et au regard
Doté d’un design simple brillant et épuré, le MIRROR propose une prise en main et maniabilité parfaite, rajouter à cela le Mirror dispose d’un grand écran de 5.5’’ en 18 :9 très confortable qui fera ressortir une excellente fidélité des couleurs.
Un processeur Quad-Core 1.3ghz épaulé par 3 GB de RAM
Grace à son processeur quad-core 1.3ghz et ses 3GB de RAM le MIRROR vous permet d’avoir une utilisation optimum de votre smartphone.
Prenez les meilleurs clichés !
Deux capteurs, c’est forcément meilleur, profitez d’un dual camera arrière avec un capteur de 13+2 mégapixels pour faire ressortir tous les détails de vos photos, et une caméra frontale de 8 mégapixels pour prendre les meilleures selfies et portrait possible.
Stockez librement !
Le MIRROR dispose de 32 Go de stockage interne et grace à son port microSD, stockez jusqu’à 64 Go de contenus supplémentaires.
Une batterie longue durée
Le MIRROR dispose d’une autonomie longue durée grâce à l’optimisation de la batterie de 2900 mAh.
Profitez d’une double sécurité sur votre smartphone.
Avec un capteur d’empreinte sur le dos et la reconnaissance faciale vos données sont doublement sécurisées.
B3 MAXY2 :
B3 MAXI2, MAXI pratique, Maxi grand !
Avec son écran de 5.5’’ classique le B3 MAXY2 vous offre le confort visuel indispensable a votre vie quotidienne. Surfez et téléchargez en très haut débit. Naviguez en 4G avec votre B3 MAXI2 et profitez du meilleur débit d’internet.
Misez sur la qualité de vos photos !
Avec sa caméra arrière de 13 MP et sa caméra frontale de 5 MP le B3MAXI est le smartphone idéal pour vos photos quotidiennes.
Faible autonomie, plus jamais !
Doté d’une batterie de 3000 mAh, dites oui à une autonomie longue durée.
B3MAXI ; MAXI sécurité
Le B3MAXI dispose de la technologie de reconnaissance faciale face ID aussi pour un maximum de sécurité un capteur d’empreinte pour un déverrouillage en un simple clic.
B2S
L’essentiel en poche
« Le b2s est sous : Android 8.1 OREO pour une utilisation et fonctionnalité idéale »
B2 Plus
Pas si petit que ça
« Le B2 plus est sous : Android 8.1 OREO pour une utilisation fonctionnalité idéal »
B1S
Un smartphone compact
« Le B1S est sous : Android 8.1OREO pour une fonctionnalité idéale »
H24 Power
Une autonomie à l’infini
Mais son atout majeur reste son autonomie
Grâce à sa batterie d’une capacité de 4000 mAh le H24 POWER est capable de fonctionner sans recharge pendant trois mois en mode veille, ou deux jours en conversation.
En plus de cela, l’appareil est doté de la fonction Power Bank, ce qui vous permet de recharger d’autres appareils.
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Le rôle de cet architecte de renommée internationale sera de lui fournir des idées et des conseils en matière de revitalisation de la casbah d’Alger.
Après des années d’ «apnée», le projet de réhabilitation de la Casbah prend à peine forme qu’une polémique éclate, jetant une nouvelle lumière sur un chantier resté en jachère pendant des décennies. Le choix porté sur l’architecte français, Jean Nouvel, a déplu à une certaine frange d’intellectuels qui se sont égosillés sur les réseaux sociaux, jusqu’à réunir 400 signatures de personnalités de divers horizons, franchement contre l’idée même qu’un architecte étranger puisse apporter un plus dans le projet de réhabilitation de l’ancienne médina d’Alger.
Les arguments des contradicteurs de la wilaya d’Alger sont discutables et n’évoquent pas le fond. Rappelant simplement l’histoire de la Casbah et les destructions qu’elle a subies par le fait de la colonisation française, les signataires de la lettre croient trouver dans le mot «revitalisation» une dimension indécente et hautaine à l’endroit des habitants du quartier.
Face à cette offensive, visiblement destinée à stopper la dynamique née d’un accord entre la wilaya d’Alger et la région Ile-de France, les autorités de la capitale ont réagi à travers un communiqué censé remettre les choses à l’endroit. Il y a d’abord, souligne le communiqué de la wilaya d’Alger, le caractère restreint de la mission de l’architecte français qui ne devrait intervenir que sur l’aspect de la revitalisation de la Casbah. L’on est censé comprendre que le travail de Jean Nouvel relèvera du lifting et pas de l’âme même de la médina.
Cela en plus d’un détail que la wilaya juge important. Il est question des frais liés aux prestations de M. Jean Nouvel, qui seront «pris en charge totalement par le Conseil régional d’Ile-de-France».
Et la wilaya de rappeler que «le rôle de cet architecte de renommée internationale, sera d’accompagner la wilaya d’Alger et de lui fournir des idées et des conseils en matière de revitalisation de la casbah d’Alger, classée patrimoine mondial par l’Unesco en mois de décembre 1992».
La wilaya d’Alger qui met en avant l’exceptionnel CV de l’architecte qui a eu à intervenir dans des projets de renommée mondiale à Paris, New York et Dubai, souligne que son intervention aura le caractère du conseil auprès des autorités locales. Il aura pour mission, en sus de son travail à la Casbah, d’harmoniser «des travaux d’aménagement de la baie d’Alger qui s’étale de la Grande mosquée jusqu’à la Basse Casbah», a ajouté le même communiqué. Cela pour expliquer le pourquoi et l’apport de Jean Nouvel dans le chantier de réhabilitation de la capitale.
Pour ce qui concerne la critique en rapport avec la mise à l’écart des compétences architecturales nationales, la wilaya précise que «les travaux de restauration de la casbah d’Alger, lancés par la wilaya d’Alger fin 2016, sont menés par des compétences algériennes à travers 14 bureaux d’études et 17 entreprises mobilisant plus de 200 universitaires entre architectes, techniciens supérieurs et main-oeuvre 100% algérienne de plus de 1200 ouvriers qualifiés». C’est dire que l’intervention de l’architecte français vient en appui au travail des ingénieurs algériens, lesquels apprendront certainement beaucoup à son contact. le communiqué de la wilaya d’Alger informe également que plusieurs infrastructures sont en cours de restauration, il s’agit, entre autres, du palais du dey, du palais des beys, de la mosquée El-Barani et ses dépendances, de 10 fontaines du mausolée Sidi Abderahmane, du TNA et de 34 bâtisses de typologie traditionnelle ainsi que la remise en état de rues et ruelles de la Casbah. La place de Jean Nouvel dans cette opération n’est pas prépondérante, loin de là. D’où la mauvaise foi des détracteurs du choix porté sur l’architecte français.
Par Saïd BOUCETTA
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Si vous êtes un inconditionnel des burgers, cette vidéo ravira vos papilles à coup sûr !
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Le Ministère en charge des Affaires Sociales à travers l'Observatoire de la famille, de la femme et de l'enfant a organisé, ce vendredi 21 décembre 2018, un atelier de réflexions avec les acteurs scolaires et artisans sur la prostitution, la pornographie et le harcèlement en milieu d'apprentissage. Les travaux dudit atelier qui vise à éradiquer ces phénomènes, se sont déroulés en deux sessions dans la salle de conférence de la préfecture d'Aplahoué, dans le département du Couffo.
Cet atelier entre dans le cadre de l'amélioration des aptitudes professionnelles des acteurs scolaires et artisans dans la lutte contre toutes formes de violence à l'égard des enfants et plus particulièrement dans la lutte contre la prostitution et la pornographie impliquant les enfants ainsi que le harcèlement et les violences sexuelles
En vue d'atteindre les résultats de l'atelier, les organisateurs ont rencontré séparément les différents acteurs.
Temps forts de la rencontre
Les participants à la première session de l'atelier composés de représentants d'enseignants, et d'artisans venus des six communes du Couffo, ont suivi deux (02) communications. La première sur la prostitution, la pornographie et le harcèlement en milieu d'apprentissage et la seconde sur les violences faites aux femmes et aux filles du Bénin :voies de recours et mesures préventives afin de leur permettre d'être au même niveau d'information sur ces questions qui risquent de compromettre l'avenir de la couche juvénile si rien n'est fait.
Dans ses interventions à l'ouverture de la cérémonie, M. Nassirou Kassoumou Hararou, Directeur général de l'Observatoire de la famille, de la femme et de l'enfant (OFFE) rappelle que les résultats des études commanditées par le gouvernement du Bénin, à travers le ministère des affaires sociales avec comme pour bras technique l'OFFE, notamment sur la prostitution et la pornographie impliquant les enfants et l'étude sur les violences et abus sexuels y compris le mariage précoce, ont montré que les enfants sont exposés à différents risques sur les plans sanitaire, sécuritaire et psychologique.
En témoignent les résultats de l'étude sur la prostitution et la pornographie impliquant les enfants. Cette étude a révélé qu'il y a plus de 1000 sites de pornographie et de prostitution impliquant les enfants dans la ville de Cotonou et une quarantaine dans la ville de Malanville, déplore Nassirou Kassoumou.
Le Directeur départemental des affaires sociales et de la microfinance du Couffo, M. Thomas Diya et le Secrétaire général de la préfecture d'Aplahoué, Comlan Jean Houetognon ont remercié le Directeur général de l'OFFE pour le choix porté sur leur population. Ils ont reconnu qu'il est fondamental de protéger les droits sexuels des enfants particulièrement ceux du Couffo pour un développement durable en proposant des stratégies locales de lutte contre ces phénomènes. Car, dans ce département, 93% des mineurs en détention à la prison civile de Lokossa sont auteurs du harcèlement ou de viol, a déclaré Thomas Diya.
Cet atelier se réjouit-il vient donc corriger beaucoup de choses dans le Couffo.
Le secrétaire général de la préfecture qui a procédé à l'ouverture de l'atelier, a invité les participants à réfléchir davantage sur les actions à programmer au profits des enfants en vue de l'éradication des ces maux dans le Couffo. Après la séance avec les enseignants et patrons d'atelier au cours de la matinée de ce vendredi 21 décembre, ce fut le tour des apprenants (élèves et apprentis) dans l'après-midi.
L'avenir du Bénin repose sur la couche juvénile
La rencontre a très tôt pris l'allure d'une causerie. Les discussions ont porté sur les causes et conséquences des grossesses non désirées et précoces en milieu scolaire, du harcèlement et de la pornographie impliquant les enfants.
La démarche a permis de mesurer le niveau de connaissances des apprenants sur ces différentes questions.
Un niveau satisfaisant dira le chef du service Études et recherches à l'OFFE, Florent Maroya, qui a conduit les débats.
Par ailleurs, avant de prodiguer des conseils à la couche juvénile, un accent a été mis sur les voies de recours et les mesures préventives à observer pour circonscrire ces phénomènes aux conséquences douloureuses sur tous les plans. Au terme des travaux, les différents acteurs (enseignants, artisans, apprenants et responsables de centres de promotion sociale) sont aguerris pour éduquer et sensibiliser leurs pairs sur les questions de prostitution impliquant les enfants ainsi que celles relatives aux abus sexuels y compris le mariage précoce à travers des séances de restitution.
Cette séance faite suite à celle organisée dans la commune de Dassa-Zoumè au cours de la même semaine.
Juliette MITONHOUN
Rachid Boutlelis
Des habitants du quartier Dadayoum, situé sur les hauteurs de la municipalité de Mers El Kébir, ont dénoncé la dégradation de leurs conditions de vie, qui va crescendo au fil du temps, causée par les sites de l’abattage clandestin de la volaille. Selon nos interlocuteurs, cette activité illicite qui a foisonné ces dernières années dans ladite municipalité et ce, avec toutes les conséquences négatives découlant sur la population, « est en réalité un secret de Polichinelle pour les responsables concernés et à priori ne semble plus émouvoir quiconque ». Devenue le moyen favori d’approvisionnement en viande de volaille pour les revendeurs et même les boucheries installés dans le marché du chef-lieu de la daïra d’Aïn El Turck, des municipalités de Bousfer et d’El Ançor et même d’Oran, cette activité illicite semble encore avoir vraisemblablement de beaux jours devant elle et ce, à la faveur de l’indifférence de tout un chacun.Outre la piteuse qualité du produit mis sur le marché qui échappe à tout contrôle vétérinaire, l’impact de cette activité sur la santé des riverains et de l’environnement de ladite municipalité est exécrable au plus haut point. Les habitants dudit quartier où l’essentiel des abattoirs clandestins de volaille, une dizaine environ, sont répertoriés s’indignent également de l’innommable constaté sur les bas-côtés du chemin rural, non classé, menant du quartier Dadayoum au lieudit Santa Cruz qui s’est transformé en une véritable décharge sauvage où sont déversés notamment les déchets et autres abats de volailles, pourrissant sous le soleil, en dégageant des odeurs nauséabondes insupportables. Ces lieux se sont transformés en garde-manger pour des meutes de chiens errants, de chats, de rats et aussi de sangliers. Nos interlocuteurs pointent un doigt accusateur sur les occupants de l’immense bidonville de Dadayoum comme étant les exploitants de cette activité illicite. A défaut d’incinérateurs, les déchets générés par l’activité (poussins morts, abats de poulets et détritus et autres résidus d’aliments de volaille) sont abandonnés sur les bas-côtés de ce chemin et/ou en pleine nature. Les abats et les restes de cette activité, interdite en principe par la loi, attirent non seulement toutes sortes d’animaux nuisibles mais en plus exposent au danger de la contamination des nappes phréatiques et ainsi le risque d’épidémie via les moutons et les vaches qui se nourrissent dans ces décharges sauvages.
Il est utile de noter dans ce contexte que dans le but de créer un point réglementé pour l’abatage et lutter contre le phonème de l’abatage clandestin, qui prend de l’ampleur, deux abattoirs ont été ouverts récemment dans la municipalité d’Aïn El Turck. L’un de ces abattoirs est destiné à la viande blanche et le deuxième pour la viande rouge. La première structure qui emploie dix personnes a une capacité de 300 unités par jour, alors que la deuxième est d’une capacité de 500 kilos de viande rouge par jour et emploie 5 personnes. Toujours est-il que selon nos sources les contrôles inopinés effectués dans les boucheries par les brigades mixtes, composées de représentants des services agricoles, de la santé et de la DCP, ont fait ressortir la complicité de certains gérants.
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sans le vouloir peut-être, en déclarant avant-hier, que le président Bouteflika pourrait bien annoncer des décisions, mercredi 26 décembre, à même de mettre fin au
« grand flou » qui caractérise la scène politique, à moins de quatre mois de l’élection présidentielle ? Apparemment,oui. Lors d’un autre point de presse animé hier à Zeralda, la porte-parole du PT accuse les journalistes d’avoir déformé ses propos et d’avoir versé dans « l’intox ». »Aujourd’hui, j’ai découvert dans certains journaux mes déclarations, reprises même à l’étranger, faites hier sur des décisions qui seront annoncées. Je comprends, les journalistes sont dans une situation difficile mais je n’ai rien déclaré de telle. J’ai dit que des milieux parlent de la possibilité de prendre des mesures,
le 26 décembre.C’est des interprétations et non pas une information officielle », a-t-elle corrigé. Et de recommander : « Il ne faut pas ajouter de l’intox à la confusion ». Pourtant, Mme Hanoune a assuré, hier, détenir des informations, « pas officielles à 100% mais de sources presque officielles », que le Président pourrait bien faire des annonces mercredi, non sans nuancer qu’il peut aussi ne s’agir que de la signature de la loi de finances. « Des sources presque officielles, mais pas officielles à 100%, nous ont dit de nous attendre, ce mercredi, à du nouveau », a-telle dit.
Par : R. N.
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D. B.
Lors de ses déclarations devant la presse jeudi dernier, le wali d’Oran a annoncé que l’année 2019 sera celle de l’éradication des grands bidonvilles de la wilaya. Il a cité, entre autres, les sites d’habitat précaire de l’ex-résidence universitaire La Cumo, Haï Lasnabi, douar Sardina et la ferme Jaïder. Selon des sources proches de la wilaya, un important quota de logements sera destiné aux familles résidant au niveau de ces bidonvilles. A ce titre, nos sources indiquent que les habitants du bidonville de l’ex-résidence universitaire La CUMO feront l’objet, prochainement, d’une opération de relogement. L’annonce a été faite la veille du relogement de 1.600 familles résidant au vieux bâti à Haï Sidi El Bachir. Dans le cadre de la résorption de l’habitat précaire dans la wilaya, il est prévu aussi le relogement de plus de 4.000 familles vers de nouveaux logements dans le cadre de l’opération de relogement de la deuxième tranche de Haï Sanawber (ex-Les Planteurs), selon les services de la wilaya. Les opérations de relogement se poursuivront dans les prochains mois, à l’instar du relogement des bénéficiaires de pré-affectations du nouveau pôle urbain «Chahid Ahmed Zabana» où les travaux de réalisation des autres quotas restants sont accélérés et de larges travaux d’aménagement sont entrepris au niveau de ce pôle avec les opérations de raccordement de différents réseaux, à l’instar de l’assainissement, de l’eau potable et du gaz et d’électricité. Il faudrait signaler que les responsables de la daïra d’Es-Sénia sont à cheval en ce qui concerne la lutte contre les constructions illicites et le processus de démolition des constructions illicites érigées sur le domaine public se poursuit toujours au niveau des trois communes de la daïra d’Es-Sénia. Au total, ce sont près de 600 constructions illicites ont été démolies ces deux dernières années au niveau des trois communes de la daïra d’Es-Sénia, à savoir Es-Sénia, El Kerma et Sidi Chahmi. A ce titre, selon un décompte établi par les trois communes, plus de 400 constructions ont été démolies à Es-Sénia, une centaine à El Kerma et plus de 150 à Sidi Chahmi. Ces démolitions englobent les constructions illicites sur le domaine public ainsi que les constructions et aménagements sans permis de construire. Les opérations de démolition lancées conjointement avec les services concernés ont ciblé les grands bidonvilles de la commune d’Es-Sénia, notamment à Aïn El-Beïda, Haï Sbika, Douar El Arab, Haï Kara, etc. Les services de la commune d’Es-Sénia ont aussi procédé à la démolition de plusieurs extensions illicites et des constructions réalisées sans permis de construire au niveau du chef-lieu de commune et aux alentours immédiats de la cité des 200 logements. Les terrains récupérés ont été consacrés à la projection d’équipements d’utilité publique.The post Le wali annonce l’éradication des grands bidonvilles en 2019: Relogement prochain des familles du bidonville La Cumo appeared first on .
LG Electronics (LG) dévoilera la prochaine phase du développement de la cuisine intelligente au CES 2019. Selon LG, les partenariats joueront un rôle essentiel dans la création d’une meilleure expérience culinaire, , comme en témoigne celui initié avec Drop, le développeur de la plate-forme Drop KitchenOS. Une meilleure intégration des appareils de cuisine, tels que les fours, à la maison connectée constituera un facteur essentiel pour faire de la cuisine intelligente une réalité plus attrayante pour les consommateurs.
L’accord de LG avec Drop s’ajoute donc à la longue liste de partenariats de la société, dans le cadre de la cuisine intelligente, qui comprend notamment ceux conclu avec Innit et SideChef. Grâce à une collaboration plus étroite, LG donne aux consommateurs l’accès à un éventail plus large de suggestions en matière de cuisine intelligente, qui est de nature à assouvir des palais férus de variété. Les éléments de la collection connectée de fours, de réfrigérateurs et de lave-vaisselle de la cuisine connectée intelligente de LG s’unissent pour simplifier la tâche de préparation de la nourriture et du nettoyage tant redouté de la vaisselle.
Pour offrir des procédés plus flexibles de se connecter à la multitude de recettes intelligentes disponibles dans la cuisine intelligente, LG ajoute à la famille de ses appareils son écran intelligent XBOOM AI ThinQ WK9. Ce puissant haut-parleur stéréo avec IA intégrée met à la disposition des utilisateurs les avantages de Google Assistant pour une préparation des aliments aisée et à mains libres. L’écran tactile de 8 pouces affiche des milliers de recettes intelligentes personnalisées d’Innit, ce qui vous donne moins de raisons de manger au restaurant.
Au CES 2019, LG présente une machine à bière révolutionnaire, LG HomeBrew, pour compléter la gamme de la cuisine intelligente qui comprend également le réfrigérateur InstaView ThinQ et le lave-vaisselle QuadWash. Les clients de la cuisine intelligente LG peuvent déguster une bière fraîche tout en recherchant des recettes sur l’écran intégré du réfrigérateur. Une fois que le bon plat a été identifié, la recette peut être envoyée au four qui commence à préchauffer à la bonne température. Après la cuisson du repas, la fonction EasyClean du four mural combiné de LG élimine tout résidu d’aliments qui aurait pu en éclabousser l’intérieur. Enfin, la même recette intelligente informera le lave-vaisselle QuadWash du réglage optimal pour assurer un nettoyage impeccable de la vaisselle et des ustensiles qui ont été utilisés pour savourer ce délicieux repas.
« Grâce à des partenariats qui exploitent les appareils de cuisine les plus intelligents d’aujourd’hui, nous sommes en mesure de fournir la cuisine intelligente demandée par les clients« , a déclaré Song Dae-hyun, président de la société LG Home Appliance & Air Solution. « La technologie rend la cuisine de plus en plus compliquée et notre vision est de créer un environnement accueillant et sans stress afin que les familles puissent profiter d’une expérience culinaire optimale sans avoir à manger dehors ou à commander leurs repas. »
Les visiteurs du CES 2019 pourront découvrir les solutions de cuisine intelligente de LG, du 8 au 11 janvier, sur le stand n ° 11100 du Las Vegas Convention Center.
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Rachid Boutlelis
A l’instar des années précédentes, les vacances d’hiver pour les jeunes lycéens et collégiens de la contrée d’Aïn El-Turck sont synonyme de calvaire en l’absence d’activités ou de structures pouvant offrir à ces jeunes quelques instants de détente. Lycéens, collégiens et écoliers sont durement confrontés à l’absence d’initiative à même d’égayer un tant soit peu les vacances d’hiver et ce, à travers l’organisation d’une quelconque activité culturelle ou éducative. Le manque flagrant de lieux de loisirs à Aïn El-Turck, résultant sans aucun doute de la passivité manifeste sur ce volet, se répercute négativement sur ces vacances hivernales, selon le constat établi et les déclarations récoltées à ce sujet. «Nous avons la chance de résider non loin des plages où nous jouons d’interminables parties de football et/ou nous nous adonnons à la pêche artisanale quand il fait beau», a fait remarquer en substance au Quotidien d’Oran un collégien, domicilié dans la localité de Bouiseville, abordé à ce propos, avant d’ajouter : « Il existe heureusement pour nous des salles de jeux ou autres cybers mais on y étouffe et s’est abrutissant si nous y restons assez longtemps. Moi, je préfère de loin le grand air ». Des témoignages plus au moins similaires ont été formulés par d’autres jeunes riverains de la principale commune de cette contrée côtière et dont certains ont affirmé qu’ils «flânent toute la journée ou passent des heures entières dans des cafés pour tuer le temps». Un grand nombre de ces jeunes, qui disposent du matériel nécessaire, profitent à satiété des bonnes conditions météorologiques qui se sont manifestées ces derniers jours pour pêcher.Equipés d’un moulinet et/ou d’une canne à pêche, ils s’installent pour la journée au niveau des zones rocheuses, essaimées à travers les rivages de la côte de ladite municipalité pour goûter aux agréables sensations que procure ce sport de loisir. Toujours est-il que les plus nantis, qui disposent d’une embarcation, s’aventurent au large des côtes oranaises dès le petit matin où ils passent généralement presque toute la journée en mer à pécher. D’autres, encore, s’organisent pour effectuer des randonnées le long du littoral et poussent leur visite jusqu’à la contrée relevant de la circonscription d’El Amria, dans la wilaya d’Aïn Témouchent. «Chacun d’entre nous tente de profiter de ses vacances selon ses convenances», a confié notre jeune interlocuteur. Il y a lieu de noter qu’un certain nombre de ces collégiens et lycéens, généralement issus de familles modestes, se sont reconvertis, durant les vacances, en revendeurs à la sauvette, gardiens de parking ou toutes autres activités lucratives et ce, pour aider à subvenir aux besoins de leurs familles vivant au seuil de la pauvreté. Un autre nombre, assez restreint cependant, de lycéens et de collégiens pratiquent différentes disciplines sportives, plus particulièrement la natation pendant les vacances. «Nous avons grandement espéré la réception de la nouvelle piscine municipale lors des vacances.
Malheureusement, nous avons très vite désenchanté et il nous faudra nous contenter encore des brefs horaires imposés par le Creps», a expliqué un jeune adepte du sport en question demeurant à St Germain. D’autres sons de cloche se sont fait entendre à ce propos par ces jeunes, qui semblent en toute vraisemblance ne plus tabler leur avenir sur une éventuelle réaction des responsables locaux, synonyme de la réalisation des hobbys dans cette contrée côtière, qui a connu jadis des jours meilleurs à travers l’organisation d’un éventail d’activités culturelles, artistiques et sportives.
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Engagées autour des idéaux de leur parti, les femmes de l'Union Progressiste (UP) entendent se mobiliser pour imposer leur place. C'est le message qu'a fait passer Anique Djimadja au cours de l'émission Ma part de vérité de Golfe Télévision, ce dimanche 23 décembre 2018.
« L'Union Progressiste et la femme ». C'est le thème sur laquelle Anique Djamadja a fait part de la volonté des femmes progressistes à faire parler d'elles au sein du parti.
Elles étaient réunies, samedi 22 décembre, à la maison des jeunes d'Agla pour une remobilisation et l'appropriation des textes du parti.
« 10 000 déléguées étaient conviés pour l'appropriation des textes constitutifs de l'Union Progressiste ».
Bien que toutes les déléguées n'ont pu répondre présentes, « la mobilisation était importante puisqu'il s'agit d'une rencontre d'échange et d'appropriation des textes. Il s'est agi d'une rencontre positive pour les femmes », explique Anique Djimadja, femme progressiste, communicatrice et sociologue.
Par rapport à la non représentativité de la femme dans les instances du parti, elle répond simplement : « Ce n'est pas un fait propre au Bénin. Presque partout en Afrique la représentativité des femmes est moindre ». Cette difficulté selon elle réside dans l'héritage culturel. « C'est une culture au fait. (...). La femme est vue comme celle qui ne doit pas être acceptée pour discuter des questions de développement ». Néanmoins, elle souligne qu'elles y arriveront et pour renverser ces tendances, « il faut que les femmes se battent réellement pour s'imposer. C'est ce qu'ont compris les femmes de l'Union Progressiste ».
Selon elle, « il s'agit pour le moment, des instances provisoires et les femmes ont le temps de se préparer pour mériter leur place ». Sur 59 membres du bureau politique de l'Union Progressiste, c'est seulement 6 femmes qui ont été associées.
Anique Djimadja pense que « les hommes n'aiment pas que les femmes occupent certaines responsabilités puisque selon elle, c'est une question d'égo ».
« Aujourd'hui, l'éducation de l'enfant est confié à la femme. C'est la femme qui s'occupe des enfants et il faut qu'elle se batte pour mériter sa place dans les instances politiques et nous au niveau de l'Union Progressiste nous allons battre pour cela », souligne-t-elle. Elle rassure que « Nous allons travailler pour arracher la place. Nous savons que cela ne sera pas facile mais nous y parviendrons ».
Anique Djimadja confie que pour que la femme mérite son respect et que les femmes soient vues positivement, c'est d'abord le travail et non leur portait physique. ‹‹ Les femmes doivent pourvoir afficher leur leadership féminin », soutient-elle.
Au sein du parti Progressiste, elle souligne que « le premier défi est que la femme soit bien représentée. Le travail de mobilisation pour l'ancrage du parti se fera à la base et la femme ne peut pas être mise de côté. Nous avons travaillé pour la mobilisation et pour l'ancrage du parti, cela ne peut se faire sans la femme ».
« L'UP est un parti de masse, de réformes, combat les inégalités, c'est un parti de justice sociale », dira-t-elle. Elle déplore qu'on assiste à l'effritement des valeurs et c'est le défi de la conscience, du travail bien fait, de la nouvelle conscience qu'on doit prôner au sein du parti progressiste.
« Nous sommes dans une démarche d'ouverture et non d'exclusion. Nous allons travailler à renforcer l'état de droit, nous allons travailler à la cohésion », signale Anique Djimadja. Elle ajoute : « Je suis en train de montrer qu'on peut faire la politique autrement, il faut faire la politique de développement. Nous travaillerons à la mobilisation des populations autour de nos idéaux, nous mobiliserons les populations autour de nos valeurs ». Aussi, invite-t-elle les femmes à plus de dynamisme. « Elles doivent prêcher la bonne nouvelle auprès de leurs sœurs, auprès de leurs frères ». Anique Djimadja explique que cette séance de restitution a été organisée pour mettre les femmes au cœur des reformes. ‹‹Avec les déterminations, nous arriverons à trouver notre place, aux côtés des hommes », renchérit Mme Djimadja,. Pour elle, « Quand on parle des femmes, ce ne sont pas que les femmes politiques, il s'agit de toutes ces femmes du marché, ces femmes qui travaillent pour leur épanouissement. Je les invite à travailler pour mériter leur place en politique ».Mm
Elles travaillent déjà dans leurs localités pour faire adhérer les autres à la cause de l'UP. « Nous à notre niveau, nous travaillons aussi pour que les textes de l'UP soient mieux vulgarisés. Nous sommes dans un processus de recrutement et si les femmes sont convaincues, rien ne les arrête. Nous travaillons pour la formation de la femme pour qu'au sein des organes de l'Union Progressiste, les femmes aient leur mot à dire. Nous travaillons pour que la femme mérite sa place. Il ne s'agira pas de discrimination positive. La femme doit travailler elle-même pour arracher sa place. Nous avons compris que si les femmes ne travaillent pas, elles n'auront pas les places qui leurs sont réservées puisque les hommes ne leur laisseront pas la place sans le mérite ».
Elle reste confiante que « La femme représente le Jocker de l'Union Progressiste ». C'est d'ailleurs une évidence selon elle. « Si vous regardez un peu notre détermination vous allez comprendre que les femmes travaillent pour l'ancrage de l'Union Progressiste. Nous allons travailler davantage pour que la femme béninoise puisse véritablement émerger. Tout est question du leadership des femmes elles-mêmes ».
Elle reconnaît que « Les femmes ne sont pas solidaires entre elles mais la tendance est en train d'être renversée et nous travaillons pour cela ».
Pour Anique Djimadja, si aujourd'hui, les hommes sont cités dans des malversations, elle se demande combien de femmes retrouve-t-on parmi eux. « Il faut confier la responsabilité à la femme », en appelle-t-elle.
Anique Djimadja s'est prononcé aussi sur la gouvernance de Patrice Talon. « Je voudrais juste dire qu'avec l'arrivée du président Talon, le Bénin s'est engagé véritablement dans le chemin de développement », a-t-elle indiqué.
« Si je prends la question de la réforme de la charte des partis, c'est un grand pas. Le secteur de la gouvernance économique, beaucoup d'effort sont fait et on peut dire que le Bénin est sur la voie du développement. Les réformes sociales avec l'ARCH », énumère-t-elle
Anique Djimadja lance son appel à l'accompagnement du chef de l'Etat dans ses actions. « Je voudrais demander au chef de l'Etat de continuer dans cette logique. Je voudrais aussi demander au peuple d'accompagner le chef de l'Etat dans son élan. Le président s'est donné comme vision de révéler le pays, de mettre notre pays sur orbite et je crois qu'il est de bon ton d'accompagner les actions du président parce qu'il s'agit de notre pays. Il faut accompagner le gouvernement à pouvoir continuer sur la voie du développement pour le bonheur de nos populations. Le gouvernement est en train de démarrer la phase d'action du Pag et pour nous à l'Union Progressiste, nous accompagnons ces réformes », conclut-elle.
Giscard AMOUSSOU
ÉTAPE 1Préchauffez le four à 150°C (th. 5). Faites fondre le beurre dans une casserole sur feu moyen puis lorsque le beurre est bien fondu, versez la farine et remuez bien jusqu’à obtenir un roux. Versez petit à petit le lait, en ne cessant de remuer, et faites cuire jusqu’à obtenir une sauce béchamel bien lisse et épaisse. Salez et poivrez selon vos goûts, puis ôtez la casserole du feu. Réservez de côté.
ÉTAPE 2Épluchez et coupez les carottes, la courgette, le céleri et l’oignon en petits morceaux. Nettoyez, retirez les pieds terreux et tranchez finement les champignons de Paris. Faites chauffer une poêle anti-adhésive sur feu vif. Quand la poêle est bien chaude, déposez les lardons natures et tous les légumes dans la poêle, puis faites-les revenir pendant 15 min environ, en remuant bien, jusqu’à ce que les légumes soient tendres. Au bout de ce temps, salez et poivrez selon vos goûts, puis ajoutez le cube bouillon et mélangez bien. Ôtez la poêle du feu.
ÉTAPE 3Versez la sauce béchamel dans la préparation aux lardons et aux légumes, puis mélangez bien. Versez une fine couche de la préparation aux légumes et à la béchamel dans le fond d’un plat à gratin rectangulaire allant au four. Recouvrez avec une couche de pâtes à lasagne, puis une couche de préparation aux légumes et à la béchamel. Répétez l’opération jusqu’à épuisement des ingrédients en terminant par une couche de feuilles pour lasagnes. Parsemez les lasagnes de fromage râpé, puis salez et poivrez selon vos goûts.
ÉTAPE 4Enfournez dans le four préchauffé et laissez cuire pendant 35 min environ ou jusqu’à ce que le fromage en surface soit bien doré. Servez de suite ces lasagnes aux légumes dès la sortie du four.
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ÉTAPE 1Faites bouillir les oignons dans de l’eau un peu salée dans laquelle vous mettrez 1 c. à soupe d’huile d’olive, 2 feuilles de laurier, puis après ébullition, les pâtes.
ÉTAPE 2Faites revenir dans 1 c. à soupe d’huile d’olive, la gousse d’ail écrasée. Assaisonnez de sel, poivre, piment doux, persil, un peu de thym et d’origan. Ajoutez le jus du coulis de tomates, et un peu d’eau, remuez bien et laissez mijoter 5 min à feu doux.
ÉTAPE 3Lorsque les pâtes sont cuites, égouttez-les soigneusement, versez-les dans un plat et nappez-les de la sauce tomate italienne. Saupoudrez d’un peu de parmesan, décorez de feuilles de basilic et servez chaud.
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