Les réquisitions du ministère public près la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) sont tombées ce mercredi 9 juillet 2025 lors de la deuxième journée depuis la reprise du procès de l'affaire détournement présumé de deniers publics à la SRTB, ex-ORTB. Les peines requises par le parquet contre les accusés pour des délits, entre autres de blanchiment de capitaux, d'associations de malfaiteurs et de recel, de détournement de deniers publics, varient entre quatre (4) et quinze (15) ans de réclusion.
Les peines de prison risquent d'être lourdes pour les neuf coaccusés poursuivis dans ce dossier de présumé détournement. Les accusés sont poursuivis par le parquet spécial pour des faits de « détournement de deniers publics, d'association de malfaiteurs, de blanchiment de capitaux, de complicité de détournement de deniers publics et de recel de détournement de deniers publics ». Parmi les accusés figure l'ancienne Directrice de la station régionale de l'ex-ORTB Parakou, le Directeur Financier, le chef service achats matériel, des agents comptables de cette structure publique.
L'audience a été exceptionnellement suspendue en janvier 2024 pour des mesures d'instructions complémentaires à la suite des contradictions notées dans les déclarations des accusés. Ces mesures d'instructions complémentaires concernent la vérification et la production des copies des chèques prétendument déposés par le chef de service comptabilité sur les comptes Ecobank, BOA et Orabank de l'ORTB Parakou entre juin 2017 et août 2019. Il s'agit le cas échéant de vérifier si les chèques ont été récupérés par lui auprès des clients de l'ORTB.
À l'ouverture de l'audience ce mercredi 9 juillet 2025, la Cour a procédé à l'enquête patrimoniale des accusés et à la lecture des rapports médicaux-psychiatriques. De l'enquête patrimoniale , il faut noter que tous les accusés disposent entre autres des parcelles, des véhicules ainsi que des maisons construites à hauteur de plusieurs millions de FCFA. Par la suite, la cour a fait lecture des rapports d'expertise psychologiques des prévenus.
De la lecture de ces rapports, il apparaît que les accusés ne présentent pas d'anomalies mentales, ni des caractères de dangerosité. Ils disposent de toutes leurs facultés mentales et sont compatibles à des mesures carcérales.
Après les débats autour des biens des neuf accusés ce mercredi matin, les juges ont procédé à la lecture des rapports psychiatriques. Ces rapports sont tous favorables aux accusés. Suite à une suspension, l'audience a repris autour de 12 heures 40 minutes. C'est le représentant de l'Agent judiciaire de l'État (AJE) qui indique à la Cour qu'il compte se baser sur le rapport de l'inspection générale des finances (IGF)
La SRTB réclame plus de 475 millions FCFA aux accusés
Après l'AJE, c'est les avocats de l'ex-ORTB devenu SRTB qui ont fait leur demande. L'avocate, Me Akpovo a annoncé que la SRTB se constitue partie civile et demande de les condamner solidairement à payer plus de 475 millions FCFA pour toutes causes de préjudices subis. L'Agent judiciaire de l'État, représentant l'État béninois s'est associé à la demande pécuniaire des conseils de la SRTB.
4 à 15 ans de réclusion criminelle requise
Après les demandes de la partie civile, le deuxième substitut du procureur spécial près la CRIET, représentant le ministère public a fait savoir que l'ex-directrice générale de l'antenne régionale de l'ex-ORTB Parakou ainsi que l'ex-directeur financier n'ont pas reconnu les infractions mises à leur charge. Mais, il a déclaré que sept coaccusés ont reconnu une partie des faits.
Ensuite, le Ministère Public a procédé à un rappel des faits. Il a souligné que les faits de malversations ont été révélés au grand public suite à une mission de l'inspection générale des finances (IGF) sur la gestion de cette structure publique entre 2016 et 2020 et a expliqué les manœuvres utilisées par les prévenus. Selon ses explications, les accusés se sont mis d'accord pour asseoir leur mode opératoire, qui consistait à ce que les recettes de Cotonou soient déposées sur des comptes bancaires à Parakou. Ce qui aurait permis de détourner plusieurs centaines de millions FCFA.
Le ministère public a souligné dans ses réquisitions que le rapport de l'IGF a relevé un certain nombre d'irrégularités dont le non-respect des procédures d'acquisition et des opérations bancaires suspectes. À en croire le magistrat, l'ex-directrice régionale de l'ex-ORTB Parakou et son premier responsable auraient participé.
Le parquet spécial de la CRIET a demandé de retenir dans les liens de prévention des faits de détournement de deniers publics, de blanchiment de capitaux et d'associations de malfaiteurs les accusés : Dangou-Zato, Codjia, Gildacio, Essotinma, Tchoukpa, Atinkpahoun et un certain Abel. Il a aussi demandé de retenir pour complicité de détournement de deniers publics, blanchiment de capitaux et d'associations de malfaiteurs l'accusé Elpidio. Le procureur a également demandé de retenir l'accusé Quenum Saka dans les liens de la prévention des faits de recel de détournement de deniers publics et de blanchiment de capitaux.
Pour ces faits, le procureur a requis cinq (5) ans de réclusion criminelle et 5 millions FCFA d'amendes fermes contre l'ancienne Directrice de la station régionale de l'ex-ORTB Parakou. Quinze (15) ans de réclusion criminelle et 10 millions d'amendes fermes ont été requis contre le Directeur Financier, l'accusé Codjia. Contre Quenum Gildacio, ex-agent comptable de l'Ortb Parakou dix (10) ans de réclusion criminelle et dix (10) millions FCFA d'amendes fermes ont été requis.
Le ministère public a requis contre les accusés Tchoukpa, Essotinma cinq ans de réclusion criminelle et 5 millions FCFA d'amendes fermed chacun. Contre les accusés Elpidio, Dah Dagbénon, Atinkpahoun et Saka Quenum, le ministère public a requis 4 ans de réclusion criminelle et 5 millions FCFA d'amendes chacun. Le parquet spécial de la CRIET a demandé à la Cour de recevoir la constitution de partie civile de la SRTB et de l'Agent judiciaire de l'État et de les condamner solidairement à payer plus de 475 millions FCFA pour toute cause de préjudices subis, rapporte l'envoyé spécial de Libre Express.
Les plaidoiries des avocats de la défense sont toujours en cours
Ce mercredi 9 juillet 2025, l'Office du Baccalauréat du Bénin a dévoilé les résultats tant attendus de la session unique de juin. Sur les 79 588 candidats inscrits, 73,02 % ont été déclarés admis soit une progression significative par rapport aux 56,93 % enregistrés en 2024 et aux 63,08 % en 2023.
Des chiffres qui témoignent d'une nette amélioration. Ce résultat reflète les efforts conjoints des élèves, des enseignants et des autorités éducatives pour améliorer la qualité de l'enseignement.
Malgré une hausse notable du nombre de candidats (+4 000 par rapport à l'an dernier), la performance globale a nettement progressé.
Les épreuves facultatives débuteront le 12 juillet, avant la session de remplacement prévue le 14 juillet au CEG Sainte Rita à Cotonou. Ensuite, les épreuves orales et sportives auront lieu les 18 et 19 juillet. La seconde délibération se tiendra également le 19 juillet, avec publication des résultats définitifs.
Des mesures renforcées pour protéger les ouvriers en dehors de la Zone Industrielle de Glo-Djigbé-Zè (GDIZ), fleuron de l'industrialisation et de la transformation des produits agricoles et matières premières du Bénin
Une réunion de crise s'est tenue, mardi 9 juillet 2025 à la Zone Industrielle de Glo-Djigbé-Zè (GDIZ). Le Directeur général de la SIPI Bénin, société en charge de la zone industrielle, a reçu une délégation politico-administrative. La délégation est composée du Directeur général de la Police républicaine (DGPR), Brice Kokou Allowanou ; du directeur départemental adjoint de la police Atlantique, CPP Saghui Jérôme, et des commissaires locaux.
Au menu des échanges, la sécurité des ouvriers en dehors de la zone, notamment dans les localités de Adjan, Sékou, Glo-Djigbé et Tori.
La rencontre survient après une agression. Une employée de la GDIZ a été attaquée la semaine dernière à l'aube, à Wibatin, dans l'arrondissement de Sékou. L'incident s'est produit aux alentours de 5h du matin, alors qu'elle se rendait au travail.
Durant la séance, le DGPR a présenté de nouvelles stratégies. Elles visent à sécuriser les ouvriers, notamment ceux qui empruntent les sentiers à pied tôt le matin. Des opérations spéciales, une meilleure coordination entre les unités et plus de moyens seront déployés.
Le préfet Codjia a aussi proposé des solutions. Il suggère d'organiser le transport en commun des ouvriers et de créer des points de regroupement sécurisés.
Létondji Béhéton, DG de la SIPI, s'est dit satisfait des échanges. Il a promis d'accompagner toutes les actions visant à renforcer la sécurité des travailleurs.
M. M.
Selon les résultats financiers audités pour l'exercice clos au 31 décembre 2024, la filiale béninoise du Groupe bancaire panafricain affiche un résultat globalement positif tant tous ses principaux indicateurs connaissent une amélioration significative.
Dans un contexte marqué par plusieurs chocs économiques liés à la hausse des taux d'intérêt et à la résurgence des risques géopolitiques et des conflits régionaux, UBA Benin continue d'œuvrer pour apporter utilité et protection à ses clients tout en investissant pour répondre à leurs besoins.
La filiale béninoise du groupe bancaire panafricain reste fidèle à sa dynamique des deux dernières années, en enregistrant un résultat avant impôt en hausse de 48% par rapport à l'exercice précédent soit 10 milliards 342 millions FCFA.
Ces performances encourageantes ont induit le paiement de dividende aux actionnaires de UBA BENIN. Le dividende brut par action de FCFA dix mille (10 000) s'élève à Trois Mille Neuf Cent Soixante Un francs CFA (3 961 FCFA), ce qui équivaut à un rendement de 39.61% de la valeur de l'action.
Bonds qualitatifs
Ces bons résultats ainsi que les bonnes performances sur l'ensemble des agrégats tels que les ressources de la clientèle et les emplois confirment la pertinence des orientations stratégiques et l'excellente solidité financière de la banque.
UBA Bénin veille à maintenir et à renforcer la solidité de son bilan, source de sécurité et de pérennité à travers ses belles performances. Ainsi, les mises en réserve régulières consolident sa stabilité financière. Les fonds propres effectifs de la banque sont passés de 31403 millions FCFA au 31 décembre 2023 à 34 850 millions FCFA au 31 décembre 2024 soit une hausse de 11% permettant d'afficher des ratios de solvabilité aux alentours de 20.28% en 2024 et largement au-dessus des seuils réglementaires de 11.50%. Aussi, le ratio de levier s'établit-il à 7.64% et reste supérieur à l'exigence de levier de 3%. L'évolution de ces ratios illustre bien la capacité d'adaptation continue de UBA Benin et la très bonne solidité de son bilan.
Une dynamique à préserver
Le Directeur général de UBA BENIN, Charles KONE, qui a exprimé son enthousiasme face aux résultats, a déclaré que les performances financières de 2024 démontrent l'accent continu de la banque sur la croissance des bénéfices, la préservation de la qualité des actifs, l'amélioration des offres de services et l'approfondissement des parts de marché.
Il a souligné la détermination de la banque à maintenir le cap et à investir en permanence dans la digitalisation de l'offre bancaire, l'innovation des produits, la formation et le développement du personnel, ce qui, selon lui, améliorera collectivement l'expérience des clients. Fidèle à sa philosophie du _« Customer first »_ (le client avant tout), UBA BENIN entend bâtir sa stratégie de l'année 2025 autour d'un pilier fondamental : la qualité de service et l'amélioration de l'expérience client.
A propos de UBA BENIN
UBA Bénin est la filiale Béninoise de United Bank for Africa (UBA) Plc. Elle dispose de 16 agences et joue un rôle crucial dans le secteur bancaire Béninois. UBA Bénin propose une gamme complète de produits bancaires destinés aux grandes entreprises locales, aux particuliers et aux sociétés multinationales favorisant l'inclusion financière et mettant en œuvre des technologies de qualité. Elle apporte sur le marché des produits électroniques inédits et facilitent ainsi les transactions financières à sa clientèle.
Scène inhabituelle ce mercredi 09 juillet 2025 au tribunal d'Abomey-Calavi. Un citoyen a été interpellé en pleine salle d'audience pour non-respect des règles du tribunal.
Entré dans la salle d'audience avec une casquette sur la tête et son téléphone portable à l'oreille alors qu'une audience était en cours, un homme a été menotté et placé aux côtés des détenus.
C'est à la suite d'une instruction du juge. La casquette et le téléphone de l'homme ont été confisqués puis remis au ministère public par les agents de la police pénitentiaire, a rapporté Bip radio.
Les faits se sont déroulés, ce mercredi 09 juillet 2025, au Tribunal de première instance de tribunal d'Abomey-Calavi.
M. M.
Une femme a été écrouée après de fausses promesses de nomination au nom de Claudine Prudencio, la présidente du parti Renaissance Nationale (RN).
Après sa présentation au Procureur de la République, mardi 8 juillet 2025, une femme a été placée sous mandat de dépôt pour des infractions d'« usurpation de titre et escroquerie ».
Selon les premiers éléments de l'enquête, la mise en cause ne serait pas seule. Elle fait partie d'un réseau de personnes qui, laissant croire à de prétendus liens avec Claudine Afiavi Prudencio la présidente du parti Renaissance Nationale (RN), se rapprochaient des citoyens, leur promettant des postes de responsabilité en échange d'argent.
La présidente du parti RN a dénoncé le 12 juin dernier une usurpation de son identité. Claudine Afiavi Prudencio mettait en garde contre « des individus mal intentionnés usurpant (son) nom et invoquant de fausses proximités » dans le but de soutirer de l'argent à des citoyens, des personnalités et même à des magistrats.
M. M.
Le gouvernement ne tiendra pas de conseil des ministres ce mercredi 9 juillet, contrairement à l'habitude.
Le conseil des ministres ne se tient pas ce mercredi. Aucune raison officielle n'a été communiquée pour expliquer cette absence de réunion hebdomadaire.
Selon les habitudes observées depuis l'arrivée au pouvoir du président Patrice Talon en 2016, deux cas peuvent justifier une telle situation. Un déplacement du chef de l'État ou le départ en congés du gouvernement.
M. M.
Un voleur de motocyclette a été interpellé le 8 juillet 2025 à Parakou après avoir dérobé un engin dans des circonstances pour le moins insolites à Natitingou. Il avait profité d'une urgence familiale pour s'emparer de la moto de sa victime.
Un délinquant aborde un jeune homme en lui proposant la vente d'un téléphone portable.
L'acheteur potentiel, intéressé, conduit le vendeur présumé chez lui afin de solliciter une aide financière.
Mais à leur arrivée, le père du jeune homme venait d'être piqué par un scorpion. Pris de panique, le jeune homme abandonne sa moto au portail, clé laissée dans le contact, pour courir au chevet de son père.
Le vendeur de téléphone, quant à lui, a vu là une opportunité en or. Il démarre la moto de marque Bajaj et s'évapore dans la nature.
Les faits se sont produits à Natitingou. Grâce à l'enquête menée par le commissariat de l'arrondissement de Natitingou, le suspect est localisé à Parakou, à plusieurs centaines de kilomètres du lieu du vol.
Interpellé puis conduit à Natitingou le 8 juillet 2025, le voleur présumé est actuellement en garde-à-vue.
M. M.
Les députés béninois ont adopté, mardi 8 juillet 2025, une nouvelle version de leur Règlement intérieur à travers la résolution N°2025-02. La séance plénière, présidée par Louis Gbèhounou Vlavonou, s'est tenue en présence du Ministre de la justice et de la législation, Yvon Détchénou.
Les modifications apportées, mardi 8 juillet 2025, au Règlement de l'Assemblée nationale touchent à plusieurs aspects relatifs au fonctionnement parlementaire. Parmi les nouveautés, on note : l'ancrage juridique des sessions d'installation des nouveaux députés ; la création officielle du discours d'investiture du président de l'Assemblée ; la clarification des procédures de vote en séance plénière ; l'introduction des modalités du vote électronique, désormais anticipée dans le texte ; l'internalisation des dispositions relatives aux lois organiques sur la HAAC et le CES.
Le Caucus des femmes parlementaires reconnu par la loi
L'article 39 quater du nouveau texte crée officiellement le Caucus des femmes parlementaires, un réseau au sein de l'Assemblée. Une mesure saluée comme un pas important pour la représentativité féminine.
Le rôle des questeurs a été précisé. Ils contrôleront désormais toutes les dépenses, engagements budgétaires et procédures de passation de marchés. Ils veilleront aussi à la mise en place du contrôle interne budgétaire.
L'autre innovation est la suppression de l'avis du Bureau et de la consultation de la Conférence des présidents pour certaines nominations administratives par le président de l'Assemblée. Une mesure qui renforce la marge de manœuvre du président.
Le secrétariat général administratif est désormais structuré autour de quatre directions techniques : les services législatifs, la questure, l'information et communication, et les systèmes d'information. Cette réorganisation vise plus d'efficacité.
Un lien plus fort avec le Conseil Economique et Social (CES)
Le règlement prévoit un cadre clair de collaboration entre l'Assemblée nationale et le CES. Les avis du Conseil devront être présentés par ses membres lors des travaux parlementaires, notamment sur les sujets économiques, sociaux et environnementaux.
Le président du CES peut désormais présenter ses rapports en séance plénière, à la demande du gouvernement. Ces rapports ne sont pas débattus mais servent de référence aux députés.
Selon le rapport de la commission, les propositions visant à augmenter le nombre de commissions permanentes ou à élargir le Bureau de l'Assemblée n'ont pas été retenues. Elles n'ont pas trouvé consensus parmi les députés.
M. M.
L'Agence béninoise du médicament (ABMed) lance un recrutement pour renforcer son équipe pour mieux appliquer la politique pharmaceutique du Bénin.
Treize postes sont à pourvoir dans le cadre du recrutement lancé par l'Agence béninoise du médicament (ABMed). Il s'agit de cinq (05) pharmaciens diplômés d'État, deux (02) médecins vétérinaires, un (01) spécialiste en contrôle des marchés publics, un (01) auditeur interne, un (01) assistant en gestion des ressources humaines ainsi que trois (03) conducteurs de véhicules administratifs.
Les candidats doivent être de nationalité béninoise, maîtriser l'outil informatique et le français, et faire preuve de rigueur, d'adaptabilité et d'esprit d'équipe.
Une bonne connaissance du secteur pharmaceutique constitue un avantage.
Le dossier de candidature doit contenir une lettre de motivation, un CV détaillé, les copies légalisées des diplômes et attestations, un certificat de nationalité, un acte de naissance sécurisé et un casier judiciaire récent.
Tous les dossiers doivent être déposés en ligne, exclusivement via la plateforme officielle du service public : https://service-public.bj/public/services/service/PS01487, entre le 4 et le 18 juillet 2025.
Le processus de sélection se déroulera en deux étapes. Une première phase de présélection sur dossier, suivie d'un entretien oral pour les candidats retenus.
Les diplômes des candidats admis seront soumis à une vérification d'authenticité.
Les intéressés peuvent consulter la rubrique « Opportunité » sur le site abmed.bj ou contacter l'Agence au +229 01 64 85 83 / 01 51 20 98 15.
M. M.
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