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Diplomacy & Defense Think Tank News

Advancing Sustainable Development between Conflict and Peace in Myanmar

European Peace Institute / News - Wed, 04/04/2018 - 17:47

Over the last five years Myanmar has gone through fundamental changes as it transitions toward peace and democracy. This transformation provides Myanmar with a unique opportunity to build a peaceful and inclusive society and advance on the path to sustainable development and sustaining peace. Yet at the same time, Myanmar remains submerged in conflict and lacks national consensus on the future of the state.

Achieving the 2030 Agenda in Myanmar will therefore require an inclusive and conflict-sensitive approach that takes into account the views not only of the central government but also of ethnic-minority groups. Based on an eighteen-day field study in Myanmar in 2017, this paper examines the country’s progress toward sustainable development and sustaining peace from these divergent perspectives.

This paper, co-funded by the Fafo Research Foundation, is part of the International Peace Institute’s (IPI) SDGs4Peace project, which seeks to understand how the 2030 Agenda is being rooted at the national and local levels and to support the implementation of the Sustainable Development Goals. The project focuses on five case studies: the Gambia, Greece, Guatemala, Lebanon, and Myanmar. Implementation of the 2030 Agenda provides each of these countries an opportunity not only to buttress existing aspirations but also to build new partnerships that transcend traditional approaches.

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La situation du travail pénitentiaire à l’orée du débat parlementaire relatif à la loi de programmation de la Justice. Analyse de Régis Verdier

Institut Montaigne - Wed, 04/04/2018 - 16:53
La situation du travail pénitentiaire à l’orée du débat parlementaire relatif à la loi de programmation de la Justice. Analyse de Régis Verdier Institut Montaigne mer 04/04/2018 - 16:53

Régis Verdier est rapporteur du groupe de travail dont les réflexions ont abouti au rapport Travail en prison : préparer (vraiment) l’après

2,6 % de déficit : et après ?

Institut Montaigne - Wed, 04/04/2018 - 15:49
2,6 % de déficit : et après ? Institut Montaigne mer 04/04/2018 - 15:49

2,6 % : pour la première fois depuis 2007, la France est passée sous la barre des 3 % de déficit. Cette amélioration, annoncée par l’Insee, devrait permettre à la France de sortir de la procédure pour déficit excessif initiée par l’Union européenne.

POLITISCHER SONDERBERICHT: Verfassungsänderung in Uganda – Sichert sich Museveni die Macht auf Lebenszeit?

Hanns-Seidel-Stiftung - Wed, 04/04/2018 - 13:15
Mit einer Regentschaft von 37 Jahren hat sich Robert Mugabe als der am längsten herrschende Machthaber Afrikas (1987-2017 Präsident von Simbabwe) in die Geschichtsbücher eingetragen. Im November 2017 endete diese Herrschaft, indem er unter Hausarrest gestellt wurde und somit eine, überraschenderweise nicht blutige, Machtübergabe ermöglichte. Dieser fragwürde „Rekord“ droht nun in naher Zukunft gebrochen zu werden: Seit 1986 herrscht in Uganda sein Pendant Yoweri Kaguta Museveni. Jedoch ist im Gegensatz zu Mugabe das Ende der Museveni-Ära, auch nach mittlerweile 31 Jahren als Präsident der kleinen Republik Ostafrikas, nicht abzusehen.

Accord sur le nucléaire iranien : les enjeux pour la France et l’Union européenne

IRIS - Wed, 04/04/2018 - 10:03

Face à la pression américaine sur le dossier iranien, la France mise sur son poids diplomatique pour trouver une sortie de crise dans une région sous haute tension. Lors de sa visite en Iran les 4 et 5 mars derniers, le ministre des Affaires étrangères français a souhaité obtenir des concessions de Téhéran sur son programme balistique et sur son soutien au régime syrien afin de pouvoir convaincre le président américain de respecter l’accord sur le nucléaire iranien. Depuis sa campagne électorale, Trump n’a cessé d’affirmer sa volonté de mettre fin à cet accord signé sous le mandat de son prédécesseur, Barack Obama. Il a lancé récemment un ultimatum aux États européens signataires fixé au 12 mai 2018 pour corriger les lacunes de l’accord qu’il juge « le pire de l’histoire américaine », faute de quoi Washington en sortira et réintroduira les sanctions américaines. Les enjeux de cet accord sont énormes, car le retrait américain non seulement met en jeu la crédibilité déjà fragile du Conseil de sécurité et de l’ONU, mais risque aussi de fermer toute possibilité de dialogue pour établir une paix durable au Moyen-Orient.

Rappelons que l’accord a été conclu à Vienne par l’Iran avec les 5+1 (membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU, plus l’Allemagne) en échange de la levée des sanctions économiques imposées depuis 2006. En contrepartie, Téhéran s’est engagé à revenir sur son projet d’arme nucléaire : réduire le nombre de ses centrifugeuses (passées de 20000 à 5060), à limiter sa production de plutonium, son stock d’uranium à moins de 3,67 % – loin des seuils nécessaires à un usage militaire – et enfin faciliter le contrôle des inspecteurs internationaux de l’Agence internationale de l’énergie        atomique (AIEA[i]).

Il est évident que ni l’UE, ni même les alliés de l’Iran, que sont la Russie et la Chine, ne souhaitent laisser Téhéran se doter de l’arme nucléaire, en raison du risque de prolifération dans une région déjà minée et instable. Mais ils pensent que l’accord est le meilleur moyen pour permettre de surveiller et d’encadrer le programme nucléaire iranien ; tandis que ses détracteurs – principalement Washington et ses alliés israéliens et saoudiens – craignent qu’il n’offre plutôt la possibilité à Téhéran d’échapper aux contrôles et de poursuivre ses ambitions.

La France intervient donc dans un contexte de tensions croissantes, notamment depuis que Téhéran a dévoilé, lors du 39e anniversaire de la Révolution islamique, son programme balistique (modèle de missile Qader de 2000 km de portée, selon l’agence Fars). Ces tensions sont d’autant plus fortes que Trump vient de nommer Mike Pompeo – farouche opposant à l’accord sur le nucléaire iranien – comme nouveau Secrétaire d’État, envoyant ainsi un signal fort de l’intransigeance de la politique américaine. La visite du Prince Bin Salman à Washington ne fera que renforcer la position de Trump. L’Arabie saoudite, qui affronte l’Iran dans une guerre d’influence, use de tout son poids diplomatique pour mettre fin à l’accord sur le nucléaire. Que peut faire la France, voire l’Union européenne (UE), face à la politique de défiance de Washington ?

Malgré son inquiétude vis-à-vis du programme balistique iranien, l’UE affirme sa confiance quant à l’efficacité de l’accord comme moyen de renforcer la coopération et le dialogue avec l’Iran. L’UE s’appuie également sur les conclusions de l’AIEA qui soutient, comme l’annonce son directeur général Ykiya Amano, que l’Iran respectait les engagements sur le nucléaire[ii]. Il faut rappeler que cet accord représente aussi un enjeu économique et stratégique majeur pour l’UE : la levée des sanctions ouvre théoriquement le marché iranien aux entreprises européennes, d’autant que l’approvisionnement en gaz et pétrole iraniens réduirait la dépendance européenne à l’énergie russe.

Dans cette logique, Paris tente de faire pression sur Téhéran pour l’inciter à infléchir ses ambitions militaires et son influence dans la région, notamment son soutien au régime syrien, en échange du soutien européen à l’accord. Selon Paris, les relations directes avec Damas permettraient à Téhéran de faire pression sur le régime de al-Assad pour se plier aux résolutions de l’ONU. Il importe ainsi de s’interroger sur le poids de la médiation française et de sa marge de manœuvre compte tenu de l’intransigeance des différents acteurs. Face à la pression américaine, le gouvernement iranien, qui a accepté une réduction drastique de ses capacités nucléaires, refuse de se plier à des mesures supplémentaires et menace, à son tour, de riposter si Washington renonce au traité.

La marge de manœuvre de la France est donc infime, d’autant qu’il serait peu crédible de tenter de convaincre l’Iran de renoncer à son programme balistique et de réduire son influence dans la région alors que les puissances occidentales continuent à vendre des armes à son rival saoudien. De plus, en dépit de son soutien au régime syrien, il est peu probable que Téhéran puisse exercer une réelle influence sur la prise de décision à Damas. L’échec de la visite de Jean-Yves Le Drian en Iran en est la preuve. Le chef de la diplomatie française s’est heurté à l’intransigeance de Téhéran qui rejette toute modification de l’accord ou de sa politique régionale. Sur la crise syrienne, le président iranien a déclaré que renforcer le régime de Bachar al-Assad était la seule issue possible. Le ministre des Affaires étrangères, Mohammed Javad Zarif, avait dénoncé l’« extrémisme » de l’UE  vis-à-vis de l’Iran, quelques heures avant de rencontrer son homologue français.

Pour que la France, et plus globalement l’UE, puisse jouer un rôle efficace de médiateur, elle doit préserver sa neutralité dans la guerre hégémonique qui est à l’origine de la rivalité entre l’Arabie saoudite et l’Iran. Le respect de l’équilibre des puissances de la région est la seule voie possible pour instaurer une paix durable au Moyen-Orient ; cela permettrait également à la médiation française de gagner plus de crédibilité auprès des acteurs régionaux.

Pour ce qui concerne la position américaine, Trump augmente le suspense en plaçant le destin de l’accord entre les mains du Congrès qui est divisé sur la question. Cette stratégie permet au président américain d’éviter de porter seul la responsabilité du fiasco qui découlerait d’une éventuelle fin de l’accord, et de sauver l’honneur, vis-à-vis de son électorat et de ses alliés, si le Congrès votait en faveur du traité. La visite qu’effectuera le président de la République à Washington du 23 au 25 avril prochains offre une dernière chance pour la diplomatie française, à savoir si Macron réussira à convaincre Trump de revenir sur sa décision.

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[i]       AIEA, « Verification and monitoring in the Islamic Republic of Iran in light of United Nations Security Council resolution 2231 (2015) », rapport par le Director General, 22 février 2018.  [Consulté le 26/03/2018].

[ii]      AIEA, « Iran is Implementing Nuclear-related JCPOA Commitments, Director General Amano Tells IAEA Board ». 5 mars 2018. https://www.iaea.org/newscenter/news/iran-is-implementing-nuclear-related-jcpoa-commitments-director-general-amano-tells-iaea-board. [consulté le 26/03/2018].

 

Stellv. Generalsekretär in Mali: Staatszerfall und Stabilisierungsbemühungen im Herzen des Sahel

Konrad Adenauer Stiftung - Wed, 04/04/2018 - 00:00
Um sich ein Bild von der komplexen Konfliktlage und den deutschen Stabilisierungsbemühungen zu machen, reiste Dr. Gerhard Wahlers nach Mali.

Pursuing Sustainable Development under Sectarianism in Lebanon

European Peace Institute / News - Tue, 03/04/2018 - 18:58

The 2030 Agenda calls for inclusiveness, which can contribute to stability and peace as well as development in Lebanon. However, while Lebanon’s power-sharing model was instrumental in ending fifteen years of civil war, it is outdated as the country embarks on a process to achieve the 2030 Agenda and advance the seventeen Sustainable Development Goals (SDGs).

Although sectarianism is impeding political processes and development in Lebanon, the SDGs can provide an opportunity for the country to address some of the political model’s limitations. Based on two weeks of field research, this paper explores how Lebanon is confronting challenges related to the environment, education, economic growth, poverty, and gender, all while hosting more than a million Syrian refugees.

This paper is part of the International Peace Institute’s (IPI) SDGs4Peace project, which seeks to understand how the 2030 Agenda is being rooted at the national and local levels and to support the implementation of the Sustainable Development Goals. The project focuses on five case studies: the Gambia, Greece, Guatemala, Lebanon, and Myanmar. Implementation of the 2030 Agenda provides each of these countries an opportunity not only to buttress existing aspirations but also to build new partnerships that transcend traditional approaches.

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La Chine : une émergence pacifique ?

IRIS - Tue, 03/04/2018 - 17:21

Pierre Grosser est professeur agrégé d’histoire à Sciences Po. Il répond à nos questions à l’occasion de sa participation à la seconde édition des Internationales de Dijon, organisés par l’IRIS et la Ville de Dijon, le 24 mars 2018 :
– Peut-on considérer la Chine comme favorable à un monde multipolaire ?
– Quelle est la stratégie de Xi Jinping sur la scène internationale ?
– Peut-on dire que la Chine a su tirer profit de l’imprévisibilité de Donald Trump pour s’imposer en tant qu’acteur mondial incontournable ?
– Le projet des nouvelles Route de la soie sera-t-il bénéfique pour l’Europe ?

Argelia no es Venezuela

Real Instituto Elcano - Tue, 03/04/2018 - 11:11
Comentario Elcano 22/2018 - 4/4/2018
Gonzalo Escribano

Es importante que desde Europa se ofrezcan estímulos políticos y económicos para avanzar en dichas reformas, dotando de visibilidad, pero también de mayor contenido a las relaciones con Argelia.

La bataille pour le Kurdistan syrien – une délégation à l’Elysée, M. Erdogan à l’offensive et M. Trump en déserteur potentiel

Institut Montaigne - Tue, 03/04/2018 - 10:36
La bataille pour le Kurdistan syrien – une délégation à l’Elysée, M. Erdogan à l’offensive et M. Trump en déserteur potentiel Institut Montaigne mar 03/04/2018 - 10:36

Le président de la République a reçu le 29 mars à l’Elysée une délégation constituée de militaires kurdes syriens et de représentants d’institutions civiles liées aux Forces Démocratiques Syriennes (FDS), cette alliance de Kurdes et d’Arabes, largement dominée par le PY

Reprendre le contrôle de la mondialisation : l'intégration européenne comme instrument de souveraineté

Fondation Robert Schuman / Publication - Tue, 03/04/2018 - 02:00
Ces dernières années, la mondialisation et la coopération internationale ont suscité de fortes oppositions[2]. En Europe, le Brexit et l'euroscepticisme ont remis en cause la notion même d'Union européenne comme construction politique basée sur une souveraineté partagée, sur la liberté de...

Fondation, Contrebande, contrefaçon, et financement du terrorisme

Fondation Robert Schuman / Actualités - Tue, 03/04/2018 - 02:00
La Fondation Robert Schuman organise le 11 avril à Bruxelles une conférence intitulée "Contrebande, Contrefaçon et Financement du terrorisme - La mobilisation des acteurs économiques". Pour y participer, il est recommandé de vous inscrire.

Commission, Plan d'action pour faciliter la "mobilité militaire"

Fondation Robert Schuman / Actualités - Tue, 03/04/2018 - 02:00
La Commission européenne a présenté le 28 mars un plan d'action pour améliorer la mobilité des troupes et des équipements militaires sur le territoire européen, dans un contexte de tensions croissantes avec la Russie. Les mesures proposées visent à lever les nombreux obstacles qui rendent les mouvements militaires compliqués, notamment quand il s'agit de transit d'explosifs ou de matières dangereuses, et à adapter les infrastructures routières et ferroviaires au transport d'engins comme des tanks.

Commission, Réduire le coût des paiements transfrontières

Fondation Robert Schuman / Actualités - Tue, 03/04/2018 - 02:00
La Commission européenne a proposé le 28 mars de réduire le coût des paiements transfrontières en euro dans l'Union. Les règles en vigueur n'établissant pas de différence selon que les résidents ou entreprises de la zone euro effectuent des opérations en euro dans leur propre pays ou avec un autre État membre de la zone euro, la proposition vise à étendre cet avantage aux personnes physiques et aux entreprises dans les pays hors zone euro.

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