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Diplomacy & Defense Think Tank News

Migrationsprofiteure?

SWP - Wed, 18/04/2018 - 00:00

Seit 2015 steht der Umgang mit Flucht- und Migrationsbewegungen ganz oben auf der Agenda der EU und ihrer Mitgliedstaaten. Große Hoffnungen sind an entwicklungspolitische Interventionen geknüpft, die migrationswilligen Menschen Perspektiven in ihren Heimatländern bieten. Diese Politik geht mit einer Fixierung auf Wanderungsstatistiken einher; die lokalen Kontexte und die regionalen Dynamiken der Partnerländer werden dabei häufig vernachlässigt. Hier setzt die Studie an: Auf welche gesellschaftlichen, politischen und wirtschaftlichen Prozesse trifft die externe Migrationspolitik der EU in afrikanischen Staaten. Welche Möglichkeiten der Kooperation sind realistisch?

Die Untersuchung konzentriert sich auf mehrere Länder, die in unterschiedlichem Grade autoritär regiert werden: Ägypten, die Maghrebstaaten Algerien und Marokko, den Sahelstaat Niger sowie die am Horn von Afrika in einem »Migrationskomplex« miteinander verbundenen Länder Sudan und Eritrea. Sie analysiert die Resonanz der migrationspolitischen Zusammenarbeit in Ländern mit unterschiedlich enger Anbindung an Europa und setzt sich mit der Frage auseinander, ob und inwiefern gerade autoritäre Herrscher von dieser Zusammenarbeit profitieren.

Dabei wird deutlich, dass die externe EU-Migrationspolitik je nach Verfasstheit der Partnerländer unterschiedliche Auswirkungen hat. Das jeweilige Maß an Zentralisierung, die Durchsetzungskraft und der Gestaltungswille bzw. die regionalen Ambitionen der Regime sind entscheidend dafür, ob europäische Angebote eher als willkommener Zufluss von Projektgeldern oder als Gelegenheit wahrgenommen werden, übergreifende politische Ziele zu verfolgen. Machterhaltungsinteressen und Legitimationsstrategien der Eliten spielen in allen untersuchten Ländern für die Reaktion auf Kooperationsangebote eine prägende Rolle.

Inhaltsverzeichnis

David Kipp / Anne Koch,
Auf der Suche nach externen Lösungen: Instrumente, Akteure und Strategien der migrationspolitischen Kooperation Europas mit afrikanischen Staaten,
S. 9-22

Isabelle Werenfels,
Migrationsstratege Marokko – Abschotter Algerien,
S. 23-35

Melanie Müller,
Migrationskonflikt in Niger: Präsident Issoufou wagt, der Norden verliert,
S. 36-46

Annette Weber,
Migrationsknotenpunkt Sudan/Eritrea: Enttäuschte Erwartungen – widerstreitende Interessen,
S. 47-59

Stephan Roll,
Ägypten: Migrationspolitik und Herrschaftskonsolidierung,
S. 60-70

Anne Koch / Annette Weber / Isabelle Werenfels,
Vielfalt der Kooperationskontexte als Herausforderung,
S. 71-79

Anhang
S. 80-81

Greening Peacekeeping: The Environmental Impact of UN Peace Operations

European Peace Institute / News - Tue, 17/04/2018 - 22:57

Figure 3: UN peace operations with environmental capacities (click to enlarge)

The 2010 cholera outbreak in Haiti, triggered by the UN mission there, killed more than 9,000 people and affected nearly 807,000. This disastrous case drew attention to the negative effect UN peace operations can have on the surrounding communities and environment—something peacekeepers had started paying attention to with the deployment of new large-scale operations in the 2000s. As operations have grown in size, so too has the size of their environmental footprint.

This report looks at the environmental impact of peace operations and how the UN has responded, including through policies and guidelines, dedicated staff, and training material. In particular, it assesses the challenges the Department of Field Support faces in implementing its Environment Strategy.

Based on this assessment, which includes a detailed examination of the UN mission in Mali, the report puts forward a series of short-, medium-, and long-term recommendations. It concludes that a UN presence should not be a source of stress but should improve local environmental sustainability and build resilience.

 

 

 

 

 

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Bilan du 8e Sommet des Amériques : entre lutte contre la corruption et division sur le cas vénézuélien

IRIS - Tue, 17/04/2018 - 15:41

Du 13 au 14 avril s’est déroulé le 8e Sommet des Amériques, à Lima (Pérou). Malgré l’absence du président des États-Unis, de Cuba, de l’Équateur et du Venezuela, cette rencontre a regroupé 33 chefs d’État du continent américain. Le thème de la corruption a été au cœur des discussions, interrogeant sur l’état des démocraties latino-américaines. La situation préoccupante au Venezuela a également été source de division entre les participants, alors que les élections présidentielles doivent y avoir lieu le 20 mai prochain. Pour nous éclairer, le point de vue de Christophe Ventura, chercheur à l’IRIS.

 Quel bilan peut-on dresser de ce 8e Sommet des Amériques ? L’absence de Nicolas Maduro et de Donald Trump a-t-elle impacté la bonne tenue de la rencontre ?

Depuis plusieurs semaines déjà, le gouvernement péruvien – actif au sein du Groupe de Lima qui regroupe les 14 pays américains hostiles à Caracas sur la base des positions de l’opposition interne au gouvernement vénézuélien – avait déclaré Nicolas Maduro persona non grata à ce Sommet. Quant à ce dernier, il avait fait savoir qu’il ne s’y rendrait pas, ce sommet étant devenu désormais inutile pour la région selon lui. La présence de Donald Trump, quant à elle, était fortement attendue autant que redoutée. Il a finalement décliné quelques jours avant le début du Sommet en se déclarant prioritairement concentré sur la Syrie. C’est Mike Pence, le vice-président, et la fille du président, Ivanka Trump, qui ont représenté les États-Unis. Raul Castro ne s’est également finalement pas rendu à Lima, mandatant son ministre des Affaires étrangères Bruno Rodriguez. Il faut également mentionner l’absence du nouveau président de l’Équateur, Lenin Moreno. Ces absences ont permis d’ôter à cette rencontre une partie des tensions potentielles, mais également de sa symbolique, et ont eu des conséquences mesurables à plusieurs niveaux.

Les annonces préfigurant ce sommet semblaient avoir pour objectif de mener un front anti-vénézuélien. C’est en partie ce qui s’est passé puisque de nombreux États sur place ont condamné Nicolas Maduro. Dans une déclaration conjointe intitulée « Déclaration sur le Venezuela », l’Argentine, les Bahamas, le Brésil, le Canada, le Chili, la Colombie, le Costa Rica, les États-Unis, le Guatemala, le Guyana, le Honduras, le Mexique, le Panama, le Paraguay, le Pérou et Sainte-Lucie (c’est-à-dire 16 des 33 pays représentés) ont exigé « la restauration des institutions démocratiques » au Venezuela et l’organisation d’une élection présidentielle donnant « toutes les garanties nécessaires pour un processus libre, juste, transparent et démocratique, sans prisonniers politiques, qui inclue la participation de tous les acteurs politiques ». Les États-Unis ont rappelé par avance qu’ils ne reconnaîtront pas les résultats de l’élection présidentielle du 20 mai. Le message signifie : un nouveau train de sanctions, qui plongera le pays dans toujours plus de difficultés, sera adopté contre le Venezuela après cette échéance.

Cette déclaration n’a cependant pas fait consensus puisqu’elle n’a pas été signée par plusieurs acteurs de poids régionaux : la Bolivie, Cuba, l’Équateur, le Nicaragua ou l’Uruguay. On retrouve la ligne de fracture régionale. Il n’est pas fait mention du Venezuela dans la déclaration finale du Sommet.

Cette rencontre a par ailleurs permis de comprendre davantage la position des États-Unis vis-à-vis de la région. Leur intérêt s’est principalement porté sur les sujets comme la lutte contre la corruption – dont Washington considère qu’elle nuit aux entreprises américaines interdites de pratiques autorisées ou tolérées en Chine ou en Europe -, le narcotrafic ou les relations commerciales. Les États-Unis veulent imposer aux pays latino-américains plus de bilatéralisme à leurs conditions et souhaitent qu’ils se distancient plus de la Chine. Ici aussi, le thème de la lutte contre la corruption doit être compris comme une partie de la stratégie de Washington. Il y a la question des entreprises, mais aussi l’idée – qui va avec –  consistant à réduire considérablement les pratiques de prêts, contrats ou marchés « gré à gré » prisées par la Chine dans ses relations avec les Etats et entreprises latino-américaines.

Dans un climat d’événements tragiques – forte corruption, droits humains bafoués, assassinats de trois journalistes du quotidien équatorien El Comercio en Colombie -, dans quelle situation les démocraties latino-américaines se retrouvent-elles ?

La question des démocraties latino-américaines est paradoxale. L’Amérique latine reste une des régions parmi les plus démocratiques au monde, en comparaison au continent africain ou asiatique. Elle est devenue une région de stabilité et d’ancrage démocratiques au cours des années 2000, en rupture avec sa tradition passée (région des régimes dictatoriaux et des coups d’État au 20e siècle). Cela étant, la situation s’est indéniablement détériorée ces dernières années suite à différents phénomènes combinés : la crise économique, la crise sociale et les crises politiques plus ou moins intenses (Venezuela, Brésil, Pérou) démarrées dans la période mondiale post-2008. Parallèlement, d’autres phénomènes s’ajoutent à ces dynamiques cycliques, telles que la violence et le narcotrafic. Dans certains pays, ils sont structurels à la société. Le Mexique, en premier lieu, est dévasté par ces phénomènes rendant impossible la bonne gouvernance et l’existence d’une démocratie viable – certains parlent de «narco-État » pour le qualifier. On pourrait parler du « Triangle Nord » (Guatemala, Salvador, Honduras) en Amérique centrale. La Colombie connaît, quant à elle, un nombre important d’assassinats, touchant les défenseurs des droits humains, les syndicalistes, etc.

Dans ce contexte, la corruption est également devenue un thème central dans le débat public latino-américain, directement lié à la question de l’altération des processus démocratiques. C’est un des défis globaux aujourd’hui au sein du continent – mais pas seulement en Amérique latine, toutes les sociétés sont concernées dans le monde, à commencer en Europe.

À ce titre, ce sujet fut au cœur des travaux de Lima. Ce Sommet a établi un lien entre qualité démocratique et lutte contre la corruption. Mais la déclaration finale est paradoxale quant à ces thématiques, car si elle affirme bien plusieurs orientations utiles quant à l’assainissement et la modernisation des pratiques au sein des institutions et des administrations publiques (transparence, marchés publics, cyberadministration, autonomie judiciaire, renforcement des organismes de contrôle, coopération en matière de partage des données, traçabilité dans le financement des campagnes électorales, etc.), elle ne dit rien sur les moyens financiers mobilisés pour atteindre ces objectifs et très peu sur le rôle  – pourtant déterminant –  du secteur privé dans la corruption, comme agent corrupteur (évasion et fraude fiscales, corruption des agents publics, etc.). Mention de l’évasion fiscale est faite, mais quelques codes de bonne conduite pour les multinationales et le secteur privé ne font pas du tout le compte.

En Amérique latine, l’importance prise par le thème de la corruption a plusieurs causes. Tout d’abord, les pays de la région ont connu un enrichissement significatif dans les années 2000 (les Etats, le secteur privé, la société en général), ce qui a multiplié et accru les niveaux de détournement et d’accumulation frauduleuse. Ce phénomène est connu partout. Plus un pays s’enrichit, plus la corruption y augmente.

Dans le même temps, lorsque l’État et les tissus institutionnels restent fragiles, vulnérables comme c’est le cas dans la région, elle trouve un terrain de prolifération. Plus l’État est faible et absent de la société, plus la corruption, la violence, l’économie noire et sauvage sont fortes. Et dans des pays où pauvreté, inégalités, absence de sécurité collective, manque de services publics dominent, ce qu’on appelle « corruption » sont aussi des arrangements quotidiens qui permettent une sorte de répartition des ressources disponibles et organisent des formes de liens clientélistes de solidarité sociale. Ce thème est très délicat et compliqué.

Enfin, en Amérique latine, ce thème est aussi devenu, tandis que les opinions publiques tolèrent moins la corruption lorsque la vie quotidienne devient plus difficile (crise économique et sociale), un thème politique. La corruption est l’un des thèmes par lequel les forces de droite attaquent désormais pour éliminer celles de gauche, au pouvoir ces dernières années. La situation est cocasse lorsqu’on sait à quel point elles sont pourtant concernées par le sujet.

Euroorden versus extradición: discordancias en el (des)concierto europeo

Real Instituto Elcano - Tue, 17/04/2018 - 14:39
ARI 50/2018 - 17/4/2018
Araceli Mangas Martín

Las vicisitudes de las euroórdenes cursadas por el poder judicial español por presuntas actuaciones delictivas de políticos han originado confusión y perplejidad.

Seminar Erinnerungskultur: Internationale Parlamentsstipendiaten schnuppern fränkische Luft

Hanns-Seidel-Stiftung - Tue, 17/04/2018 - 13:32
Nationalsozialismus, SED-Diktatur, in Franken erfahren junge Studenten, was Erinnerungskultur bedeutet. Vom Reichsparteitagsgelände in der ehemaligen "Führerstadt" Nürnberg über das KZ Flossenbürg und die Synagoge in Markt Floß, gleich in der Nähe, bewegten sich die Stipendiaten auf den Spuren einer schrecklichen Vergangenheit und erfuhren sie als Mahnung für Deutschland und Europa.

Syrie : les frappes, et après ?

IRIS - Tue, 17/04/2018 - 10:37

Alors que les « lignes rouges » qu’ils avaient eux-mêmes fixées – à savoir l’utilisation d’armes chimiques – ont de nouveau été franchies par le régime de Bachar Al-Assad, les États-Unis, la France et le Royaume-Uni ont décidé de répliquer. Ils ont néanmoins évité de franchir deux autres lignes rouges : un engagement massif et général contre la Syrie et un affrontement direct contre les alliés de cette dernière, la Russie et l’Iran.

Les frappes ont particulièrement visé des installations chimiques syriennes, et chaque protagoniste a déclaré qu’elles n’avaient causé aucune victime civile. Pour les pays occidentaux, il s’agissait avant tout d’un test de crédibilité. Mais, soucieux de ne pas tomber dans un engrenage aux conséquences incalculables, ils ont fortement encadré leur réaction et prétendent ainsi avoir respecté leur parole (ce qui est leur premier et principal objectif).

Certains s’étonnent des réactions occidentales devant l’usage d’armes chimiques et de leurs silences face à celui d’armes conventionnelles, qui causent pourtant beaucoup plus de morts. Les armes chimiques ont d’abord un statut à part depuis la Première Guerre mondiale, confirmé ensuite par le droit international : par une convention signée en 1993, dont la France est dépositaire, la possession, la fabrication et l’usage d’armes chimiques sont totalement interdits. Avec les armes biologiques (1972), il s’agit de la seule catégorie d’armes faisant l’objet d’une interdiction générale pesant de la même façon sur la totalité des États. Les armes nucléaires, elles, divisent entre les États qui ont le droit d’en posséder et les autres.

La Syrie a rejoint le traité d’interdiction des armes chimiques en 2013. C’est parce qu’elle en est signataire que l’intervention des puissances occidentales bénéficie d’un statut juridique particulier. Elle ne correspond pas aux critères légaux de l’action militaire – autorisation du Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations unies (ONU) ou légitime défense -, mais elle répond à un type particulier de violation du droit international. L’intervention ne change cependant pas le rapport de force militaire sur le terrain.

Les frappes ne sont pas venues affaiblir B. Al-Assad qui, grâce aux appuis russe et iranien, a réussi son pari de se maintenir au pouvoir, au prix d’une répression atroce et sanglante. La triste réalité est que B. Al-Assad demeure à la tête d’un pays qu’il sera très difficile de reconstruire. Cela prouve malheureusement qu’un gouvernement prêt à tout pour survivre est en mesure de le faire, à condition de bénéficier du soutien d’une grande puissance.

Il est dans un premier temps urgent d’éviter que la situation syrienne dégénère en conflit qui verrait s’affronter Russes, Américains, Israéliens, Saoudiens et Iraniens. Il n’en demeure pas moins que seule la diplomatie peut permettre de sortir de cette situation préoccupante. Au-delà de la dramatisation de l’action et du vocabulaire employé, on constate que chacun fait preuve d’une certaine retenue. Les positions russes ont été soigneusement évitées, quand cette dernière n’a pas déployé ses systèmes de défense. Mais avec la montée des tensions, chacun doit percevoir l’urgence d’approfondir les consultations entre puissances militaires concernées et, surtout, de relancer un processus diplomatique inclusif, et non avec ses seuls proches.

Qui fera céder B. Al-Assad ? Qui fera accepter à l’opposition modérée et à la majorité des Syriens le maintien au pouvoir de ce dernier ? Si l’intransigeance russe est condamnable, il ne faut pas oublier que les Syriens sont également des victimes indirectes des catastrophiques expéditions irakienne et libyenne de 2003 et 2011.

Les Russes pourraient-ils accepter de lâcher B. Al-Assad en échange d’une solution – déjà évoquée dans le passé – d’un gouvernement de coalition comprenant des éléments du régime sans B. Al-Assad et de l’opposition sans les groupes djihadistes ? De son côté, B. Al-Assad fera tout pour éviter cette situation.

La Russie n’a pas les moyens de reconstruire la Syrie, pas plus que l’Iran. Le principe défini en 1991 par Colin Powell à propos de l’Irak pour justifier son refus d’aller jusqu’à Bagdad (You break it, you own it) s’applique à la situation actuelle.

"M. Macron en Amérique", le chef de l’opposition légitimiste à la Maison-Blanche

Institut Montaigne - Tue, 17/04/2018 - 10:19
"M. Macron en Amérique", le chef de l’opposition légitimiste à la Maison-Blanche Institut Montaigne mar 17/04/2018 - 10:19

Emmanuel Macron se rend à Washington du 23 au 25 avril pour ce qui sera la "première visite d’Etat" d’un dirigeant étranger depuis l’arrivée de M. Trump à la Maison-Blanche.

In der Perspektive des ‚C‘: Sicherheit und Freiheit aus christlicher Sicht

Konrad Adenauer Stiftung - Tue, 17/04/2018 - 00:00
Das öffentliche Christentum sollte die Spannung von Sicherheit und Freiheit bewusst halten und beständig nachfragen, wieso Freiheiten eingeschränkt werden.

Sicherheit und Freiheit

Konrad Adenauer Stiftung - Tue, 17/04/2018 - 00:00
Für Luther waren Freiheit und Sicherheit nur im Glauben zu erreichen. Prägende Theologen im 19. Jahrhundert verstanden Freiheit als spirituelle Freiheit, die sich in vorgegebenen politischen Strukturen verwirklichen konnte. Die Nachwirkungen zeigen sich noch heute in Bestrebungen, dem Staat Instrumente einzuräumen, um die öffentliche Ordnung zu garantieren oder um soziale Ungleichheiten zum mildern. Beide bergen freiheitsgefährdende Züge. Christliche Entscheidungsträger müssen immer wieder nach der Rechtfertigung von Einschränkungen der Freiheit zugunsten von Sicherheit fragen. +++ NUR ONLINE

Syrie : trop tard et trop peu

Institut Montaigne - Mon, 16/04/2018 - 16:17
Syrie : trop tard et trop peu Institut Montaigne lun 16/04/2018 - 16:17

En matière d'interventions, militaires comme humanitaires, il existe des cycles. Les massacres intervenus dans l'Afrique des Grands Lacs en 1994 ont joué un rôle décisif, à la fin des années 1990, dans la décision américaine d'intervenir au Kosovo.

Salvas de honor en Siria

Real Instituto Elcano - Mon, 16/04/2018 - 14:48
Comentario Elcano 24/2018 - 16/4/2018
Félix Arteaga

El Gobierno sirio y los que le apoyan tienen ahora la certeza de que todo lo más que pueden esperar de una intervención occidental, incluso tras usar armas químicas contra su propia población, es una acción puntual, pulcra, limitada y con preaviso.

Die Nexus-Perspektive: Für eine integrierte Umsetzung der globalen Nachhaltigkeitsziele

Bonn / Chapel Hill, 16.04.2018. Wollen wir weltweite nachhaltige Entwicklung erreichen, dann müssen wir unsere wirtschaftlichen Aktivitäten gezielter steuern. Einerseits müssen die ökologischen Grenzen des Planeten respektiert werden. Andererseits darf niemand zurückgelassen und es muss die Ungleichheit innerhalb und über Länder hinweg minimiert werden. Diese komplexe Vision einer gemeinsamen Zukunft wurde in der Agenda 2030 mit ihren 17 Nachhaltigkeitszielen (SDGs) im Jahr 2015 von den Mitgliedsstaaten der Vereinten Nationen gemeinsam verabschiedet. Seither treffen sich jeden Juli die UN-Mitgliedsstaaten in New York, um den Stand dieser 17 Ziele im Rahmen des Hochrangigen Politischen Forums (HLPF) zu diskutieren. Doch zwei Wochen zwischenstaatlicher Berichterstattung sind ein enges Zeitfenster, um der inhaltlichen Komplexität dieser Vision gerecht zu werden. Insbesondere aber fehlt es an einer vernetzten Betrachtung der ökologischen, ökonomischen und sozialen Nachhaltigkeitszielen. Die Nexus-Perspektive erlaubt es, sowohl die systemische Verbundenheit der SDGs herauszuarbeiten, sowie gleichzeitig Zielkonflikte systematisch in den Blick zu nehmen. Der Prozess um das HLPF herum gewinnt zunehmend an Bedeutung. So finden im Vorfeld des HLPF zahlreiche Expertentreffen statt. Darüber hinaus sensibilisieren wissenschaftliche Sonderhefte, Schattenberichte und Konferenzerklärungen der Zivilgesellschaft, Wissenschaft und des Privatsektors zunehmend diesen gesamten Prozess und speisen so vernachlässigte Themen und Erfolgsbeispiele in den Berichterstattungsprozess ein. Diese Prozesse sollen die Abstimmung vor dem HLPF und das Lernen zwischen den Ländern und unterschiedlichen Stakeholdergruppen fördern. Dies alles ist wichtig. Jedoch befördert die bislang getrennt geführte Berichterstattung über die jeweiligen Ziele es nicht, die Wechselwirkungen zwischen den ökologischen, ökonomischen und sozialen Zielen zu berücksichtigen. Eine Nexus-Perspektive hingegen fördert ein systemisches Verständnis und erörtert übersektorale Governance-Ansätze. So befasst sich die Debatte um den Wasser-Energie-Nahrungs-Nexus mit der Frage, wie konkurrierende Nachfrage nach den natürlichen Ressourcen Wasser (SDG 6), Boden und Biodiversität (SDG 15), mit den Anstrengungen zur Erreichung von Wasser- (SDG 6), Energie- (SDG 7) und Ernährungssicherheit (SDG 2) und dem Schutz des Klimas (SDG 13) in Einklang gebracht werden kann. In einer Analyse des Deutschen Instituts für Entwicklungspolitik (DIE) und des Stockholm Environment Institute (SEI) wurden die Beiträge aller im Rahmen des Pariser Klimaabkommens eingereichten Selbstverpflichtungen (NDCs) den 17 Nachhaltigkeitszielen zugordnet und in einem Online Tool visualisiert. Ein Ergebnis der Untersuchung war, dass Synergien fester Bestandteil politischer Dokumente sind, Zielkonflikte hingegen nicht adressiert werden. Das könnte aber möglicherweise dazu führen, dass die Klimaziele auf Kosten des Erhalts der Biodiversität oder des Sicherstellens von Wasser- oder Ernährungssicherheit erreicht werden. Im Vorfeld des diesjährigen HLPF findet diese Woche in Chapel Hill, North Carolina zum zweiten Mal die vom Water Institute initiierte Nexus-Konferenz statt. Es ist ein Stakeholdertreffen, das wissenschaftliche, zivilgesellschaftliche und politische Akteure gleichermaßen vereint und sich mit übersektoralen Ansätzen zur integrierten Umsetzung der Agenda 2030 befasst. Die erste Nexus-Konferenz leistete im Jahr 2014 einen bedeutenden inhaltlichen Beitrag zur Anerkennung der Verbundenheit der 17 Nachhaltigkeitsziele. Was können wir nun also von der diesjährigen, zweiten Nexus-Konferenz erwarten? Als eine Plattform, die den Dialog zwischen unterschiedlichen Stakeholdern befördert, ermöglicht sie den Wissensaustausch zwischen wissenschaftlichen Erkenntnissen und Politikgestaltung. Zudem verdeutlicht der diesjährige Fokus auf die Urbanisierung den Querschnittscharakter der SDGs. Die konkurrierende Nachfrage nach natürlichen Ressourcen und die Herausforderung soziale Ziele zu erreichen schlagen sich drastisch in den stark wachsenden urbanen Räumen nieder. Um eine integrierte Umsetzung aller SDGs im urbanen und dem damit eng verknüpften ländlichen Raum zu erreichen, ist es sinnvoll übersektorale Ansätze für kritische Zielkonflikte zu diskutieren, um Interdependenzen innerhalb der Agenda 2030 frühzeitig zu adressieren. Hier kann die diesjährige Nexus-Konferenz wegweisend sein, indem kritische Zielkonflikte im ausgewählten Themenspektrum thematisiert werden und das Ergebnisdokument der Nexus-Konferenz Schlüsselfaktoren für eine integrierte Umsetzung der Agenda 2030 betont. Dabei bietet die Konferenz eine geeignete Plattform, den Umgang mit Zielkonflikten kritisch zu reflektieren. Dies beinhaltet prozedurale Fragen, wie mit Zielkonflikten umgegangen werden soll, Fragen der Legitimität, nämlich wer Entscheidungen in Hinblick auf Zielkonflikte entscheiden darf und möglicherweise ethische und praktische Fragen, wer Anspruch auf Kompensationen hat. Diskussionen um mögliche Lösungspfade können wiederum im Rahmen thematischer Reviews vor dem HLPF Eingang in nationale Umsetzungsprozesse und politischen Agenden finden.

La evolución de los sistemas políticos de España y Portugal: convergencias en la diferencia

Real Instituto Elcano - Mon, 16/04/2018 - 08:22
ARI 49/2018 - 16/4/2018
Patrícia Lisa e Ignacio Molina

¿Cuáles son las coincidencias y transformaciones de los sistemas políticos español y portugués en el período previo y posterior a la crisis económica?

Démocratie, laïcité et liberté religieuse : quels équilibres?

Fondation Robert Schuman / Publication - Mon, 16/04/2018 - 02:00
Les attentats qui ont frappé la France ont rouvert le débat sur son identité et sur la place des religions, notamment de l'islam, au sein de la société française. Ce débat conduit à interroger les ressources des valeurs républicaines dans le monde actuel et leur potentiel pratique. Sur le...

Diplomatie, Conclusions du Conseil "Affaires étrangères"

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 16/04/2018 - 02:00
Le 16 avril, les ministres des affaires étrangères des 27 Etats membres ont adopté des conclusions sur les derniers développements en Syrie, le désarmement et la non-prolifération des armes chimiques, les actes de cyber-malveillance, et la situation au Soudan du Sud. Ils ont également abordé l'accord nucléaire avec l'Iran et les relations diplomatiques avec la Russie, dans le contexte de l'affaire de Salisbury.

Démocratie, laïcité et liberté religieuse : quels équilibres?

Fondation Robert Schuman / Publication - Mon, 16/04/2018 - 02:00
1. La France, la République et la laïcité vis-à-vis de l'islam   La question de l'islam est devenue quasi existentielle en France en ce qu'elle touche à l'identité du pays. Mais, ce débat sur l'islam renvoie à de multiples interrogations : place du religieux ou plus spécifiquement de...

Fondation, Le Rapport Schuman disponible en Français et en Anglais !

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 16/04/2018 - 02:00
Le Rapport Schuman 2018 sur l'état de l'Union vient de paraître et est disponible en Français et en Anglais. Cette 12ème édition analyse les défis auxquels l'Europe fait face. Avec la contribution des meilleurs experts, un entretien exclusif avec le président français Emmanuel Macron, des cartes originales et des statistiques commentées, cet ouvrage offre une vue complète de l'Union européenne. Il est disponible en librairie, sur notre site Internet et en version numérique.

Commission, Lancement d'un programme de fonds paneuropéens de capital-risque

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 16/04/2018 - 02:00
Le 10 avril, la Commission et le Fonds européen d'investissement (FEI) ont lancé un programme de fonds paneuropéens de capital-risque (VentureEU). Grâce à un financement de l'ordre de 410 millions €, six fonds devraient lever 2,1 milliards € d'investissements publics et privés.

Commission, Renforcer la confiance dans la sécurité alimentaire

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 16/04/2018 - 02:00
La Commission européenne a dévoilé le 11 avril des propositions visant à rendre plus transparent le processus d'évaluation scientifique sur lequel se basent les autorisations en matière de sécurité alimentaire.

Commission, Possibilité de recours collectifs

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 16/04/2018 - 02:00
La Commission européenne a ouvert la porte le 11 avril à la possibilité pour des consommateurs de lancer des recours collectifs partout dans l'Union européenne.

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