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Diplomacy & Defense Think Tank News

Geopolitische Akteurslandkarte: Der Einfluss externer Akteure auf dem Westbalkan

Konrad Adenauer Stiftung - Fri, 04/05/2018 - 00:00
Russland, China, die Türkei und die Golfstaaten gewinnen mit unterschiedlichen Intentionen und Interessen an Einfluss – politisch, wirtschaftlich und kulturell.

Zur Zukunft der internationalen Ordnung: Die Trümmer der liberalen Welt

Hanns-Seidel-Stiftung - Thu, 03/05/2018 - 13:28
Es ist etwas in Bewegung gekommen. Die Welt sortiert sich neu. Internationale Institutionen verlieren an Gewicht, die Diplomatie der Stärke feiert ein Comeback: Was bedeutet die neue „internationale Unordnung“ für Deutschland und das westliche Wertebündnis?

Macron’s Plan Against Fake News. 3 Questions to Ben Nimmo.

Institut Montaigne - Thu, 03/05/2018 - 12:35
Loi contre les fake news. Trois questions à Ben Nimmo Institut Montaigne mer 09/05/2018 - 16:44

Emmanuel Macron a annoncé le 3 janvier 2018 un projet de loi pour lutter contre la désinformation en période électorale.

Israël-Palestiniens, encore soixante-dix ans de guerre ?

Institut Montaigne - Thu, 03/05/2018 - 11:48
Israël-Palestiniens, encore soixante-dix ans de guerre ? Institut Montaigne jeu 03/05/2018 - 11:48

Alors qu’elle avait quasiment disparu de l’actualité internationale depuis quelques années, la question de la paix au Proche-Orient est revenue sur le devant de la scène diplomatique avec la décision de Donald Trump, le 6 décembre 2017, de ">

Zum innerkoreanischen Gipfeltreffen: Gipfeltreffen der schönen Worte – jetzt müssen Taten folgen

Hanns-Seidel-Stiftung - Thu, 03/05/2018 - 09:54
Weltweit überschlagen sich hoffnungsvolle Berichte über die Annäherung zwischen Nord- und Südkorea. Könnte das symbolgeladene Gipfeltrefen zwischen Kim Jong-Un und Moon Jae-In der Beginn eines wirklichen Friedensprozesses sein oder wird sich die Hoffnung auf Annäherung und nukleare Abrüstung im Licht strategischer Realitäten wieder zerschlagen?

Análisis comparativo de programas electorales en las pasadas elecciones en Honduras y Costa Rica en relación con la seguridad y la lucha contra el crimen organizado

Real Instituto Elcano - Thu, 03/05/2018 - 08:47
ARI 62/2018 - 3/5/2018
Pedro Trujillo Álvarez

El análisis de los programas políticos de los candidatos más destacados en las pasadas elecciones presidenciales en Honduras y en Costa Rica evidencia las escasas propuestas de una de las preocupaciones más importantes en la región: el crimen organizado.

Sezession oder Solidarität

SWP - Thu, 03/05/2018 - 00:00

Seit der Verhaftung Carles Puigdemont formiert sich eine Solidaritätsbewegung, die in dem katalanischen Ex-Regierungschef ein Opfer der Justiz sieht. Doch selbst wenn Deutschland eine Auslieferung verhindert, wird dies die Prozesse gegen die inhaftierten Regionalpolitiker in Madrid kaum beeinflussen. Die spanische Staatsanwaltschaft wirft den Angeklagten neben Rebellion auch die Veruntreuung von Geldern vor. Die Separatisten sollen Mittel aus dem Liquiditätsfonds für die autonomen Gemeinschaften (FLA) für ihre Unabhängigkeitskampagne zweckentfremdet haben. Seit der Finanzkrise 2012 muss Madrid überschuldete Regionen mit Krediten stützen, darunter auch Katalonien. Jährlich erhält Barcelona zwischen 6,7 (2012) und 11,1 Milliarden Euro (2015). Diese finanzielle Abhängigkeit ist für Katalonien ein weiteres Motiv, die Selbstständigkeit anzustreben. Denn es verspricht sich davon einen direkten Zugang zur Europäischen Zentralbank (EZB). Deshalb sollten die Europäer darüber nachdenken, wem sie ihre Solidarität schenken. Ein katalanischer Staat würde mit einem Schuldenberg auf die Welt kommen, den letztlich die anderen spanischen Regionen und der europäische Steuerzahler zu schultern hätten.

Mexique-Etats-Unis : qui rira le dernier ?

IRIS - Wed, 02/05/2018 - 16:42

Le 25 avril 2018, le Sénat mexicain a ratifié le CPTPP (le Traité intégral et progressiste d’association transpacifique[1]), quasiment au lendemain de la fin réussie d’une négociation Mexique-Union européenne (UE). Donald Trump, dès le lendemain a surpris. Réagissant au quart de tour, il a signalé la possibilité d’un compromis sur l’ALENA (Accord de libre-échange nord-américain) avec le Mexique et le Canada, compromis jusque-là publiquement rejeté.

L’enchainement concomitant de ces événements déconcerte. Depuis l’entrée de Donald Trump à la Maison-Blanche le 1er janvier 2017, rien ne va plus entre Washington et Mexico. Le président des États-Unis soigne sa popularité, ainsi que son capital électoral en affrontant le camp mexicain.

Depuis janvier 2017, fidèle à ses engagements de campagne, Donald Trump a multiplié les déclarations blessantes et les initiatives agressives. Commerce, immigration, déploiement de l’armée sur la frontière, de tweet en tweet les mauvaises nouvelles pour le Mexique se sont enchainées.

Au point comme l’a reconnu le Secrétaire mexicain aux relations extérieures, Luis Videgaray, de ne plus savoir sur quel pied danser avec Donald Trump. Conclusion a-t-il dit dos rond avec les États-Unis et en parallèle défense et illustration de nos principes.

Dos rond évident, le rapport de forces étant ce qu’il est. Les Mexicains ont donc évité de polémiquer. Ils ont tenté à plusieurs reprises d’amadouer en direct Donald Trump. Encore candidat, rompant avec une tradition de non-ingérence électorale, le « Premier » mexicain Enrique Pena Nieto avait en août 2016 invité le candidat Trump à Mexico. Il avait changé de Secrétaire d’État et désigna pour cette fonction Luis Videgaray, ami personnel du gendre de Donald Trump.

Devant l’évidence de l’absence de résultats, cette approche diplomatique a été mise en sourdine. Dès lors, le Mexique a choisi de répondre coup pour coup sur le terrain économique et commercial. Sans doute par nécessité, celle de trouver au plus tôt des partenariats alternatifs au cas où l’ALENA in fine serait dénoncée. Mais certainement aussi pour se placer sur le terrain privilégié par Donald Trump celui du poker diplomatique en mode bras de fer.

Un an et demi plus tard, les autorités mexicaines peuvent exiger une fin de partie, cartes sur table. Ils ont en effet réussi à construire de façon pragmatique un réseau alternatif sur bien des points à celui qu’ils avaient consolidé avec les États-Unis depuis 1994, date de la signature de l’Accord de libre-échange nord-américain.

Pressés par l’urgence de la situation, ils ont exploré toutes les voies bilatérales et multilatérales possibles. Sans a priori idéologiques, ils ont multiplié les contacts et signé des accords avec des blocs commerciaux, l’Union européenne et le TPP. et également avec les BRICS. De son côté, le Canada sollicité avec succès est devenu membre de l’Alliance du Pacifique[2], en avril 2018.

Les grands acteurs du commerce international, Chine et Japon n’ont par ailleurs pas été oubliés. Tout comme les pays européens pris dans leur individualité, Allemagne, Espagne, France, Italie, Pays-Bas, Royaume-Uni, mais aussi la Pologne, la Slovaquie, la Suisse et la Russie. Des partenaires jusque là peu présents ont également été visités, Ghana, Israël, Turquie, Vietnam. Les chantiers de demain, tout aussi improbables il y a deux ans, seraient ouverts. Par exemple avec le concurrent continental historique, le Brésil.

Face aux avancées mexicaines, Rex Tillerson, Secrétaire d’État nord-américain, s’en était publiquement inquiété le 1er février dernier.  Il avait proposé une nouvelle donne, une nouvelle doctrine Monroe aux pays latino-américains qui devait être sanctionnée par Donald Trump au VIIIe sommet des Amériques de Lima les 13 et 14 avril 2018. Cependant, Rex Tillerson a été brutalement remercié le 13 mars 2018 et Donald Trump a présenté un bulletin d’excuses syrien pour éviter le la rencontre continentale au Pérou.

Quinze jours plus tard, le Mexique a abattu coup sur coup trois cartes majeures : l’adhésion du Canada à l’Alliance du Pacifique, la fin heureuse des négociations commerciales avec l’Union européenne et la ratification de l’Accord TPP avec les pays riverains du Pacifique. Le 25 avril, Donald Trump, rompant avec ses discours habituellement critiques sur l’ALENA, rétropédalait : « Les choses bougent. (..) On avance bien sur l’ALENA. Il pourrait y avoir une signature bientôt. Bien que je ne sois pas sûr que ce soit bon pour les États-Unis », a-t-il déclaré à des journalistes.

Le Mexique aurait-il comme la Corée du Nord trouvé la bonne clef pour contraindre Donald Trump à s’asseoir sérieusement à la table de négociations ? Celle du « Gros bâton » et des dollars alternatifs ?

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[1] Pays parties, Australie ; Brunei ; Canada ; Chili ; Japon ; Malaisie ; Mexique ; Nouvelle-Zélande ; Pérou ; Singapour ; Vietnam.

[2] Organisation interaméricaine créée en 2011 par le Mexique, la Colombie, le Pérou et le Chili

Der Verbraucher in der digitalen Welt: „Wir brauchen ein digitales Bauchgefühl“

Hanns-Seidel-Stiftung - Wed, 02/05/2018 - 13:52
Die Digitalisierung ändert alles: wie wir kommunizieren, arbeiten, einkaufen und den Alltag managen. Wir stehen dabei erst am Anfang einer Entwicklung - und die Dynamik ist groß! Wie gut kommt der Verbraucher damit zurecht? Wie gut ist er in der neuen digitalen Welt geschützt?

Retrait américain de l’accord nucléaire avec l’Iran : le jour d’après ?

Institut Montaigne - Wed, 02/05/2018 - 11:36
Retrait américain de l’accord nucléaire avec l’Iran : le jour d’après ? Institut Montaigne mer 02/05/2018 - 11:36

Les visites d’État ne sont pas faites pour obtenir des avancées sur tel ou tel sujet d’actualité. Elles s’inscrivent dans le temps long des relations bilatérales et ont surtout pour objet de réactiver les fondamentaux de la relation d’un pays avec un autre.

Où jeter ma trottinette électrique ?

RMES - Wed, 02/05/2018 - 11:25

On aime bien s’amuser avec et elle est très indispensable quand on souhaite se déplacer surtout lorsqu’il y a des embouteillages. Simple et pratique à la fois, les trottinettes électriques sont devenues les alliées du transport individuel. Pour une simple balade ou pour plus de sensation forte, les trottinettes électriques assurent une bonne ambiance nostalgique. À force de les utiliser par contre, elles peuvent s’user ou s’abîmer. On peut également trouver des modèles plus performants et on serait amené à se séparer de celle qu’on possède. Vu que c’est un appareil électrique, on ne peut pas le jeter n’importe où.

Que dit la loi sur la protection de l’environnement ?

Les déchets d’équipements électriques et électronique appelés également DEEE sont composés d’éléments nocifs à l’environnement. Les producteurs, les revendeurs et les usagers sont soumis à des obligations suivant le code de l’environnement en ce qui concerne ces déchets. Les producteurs et les revendeurs doivent accepter la récupération des DEEE qu’ils ont produits et commercialiser. Ils doivent également communiquer aux clients une solution de reprise une fois que leurs produits seront considérés comme étant des DEEE. Ils doivent afficher une participation à la protection de l’environnement (indication du prix à verser pour le recyclage sur l’affichage du produit). Ils doivent reprendre gratuitement le DEEE lors de l’achat d’un autre produit électrique ou électronique soit à domicile, soit au magasin. Spécialement pour l’arrêter R543-180 II du code de l’environnement, une solution de reprise gratuite sans contrainte financière ou autre doit s’appliquer aux revendeurs qui disposent d’un espace de vente de plus de 400 m2. Pour le client, il doit conserver la facture d’achat du produit afin de bénéficier de l’assistance de récupération au niveau du producteur ou du revendeur. Si le client n’a pas la possibilité de fournir une preuve d’achat, il a la responsabilité de trouver les moyens nécessaires afin d’aboutir au recyclage de son DEEE. La loi est donc stricte sur le traitement des DEEE et une trottinette électrique en fait partie une fois qu’elle est considérée comme étant un déchet électrique.

Venez voir : Quels accessoires dois-je acheter avec mon kayak ?

Recyclage d’une trottinette électrique.

Comme indiqué tout à l’heure, on peut se débarrasser de la trottinette soit en achetant une nouvelle, soit en trouvant un revendeur qui est soumis à la reprise gratuite sans contrainte, mais on peut également la recycler autrement. On peut par exemple revendre les pièces en ligne ou en les proposant aux magasins de pièces d’occasion. Ces magasins doivent être approvisionnés fréquemment afin d’aider les usagers à réparer leurs trottinettes ou même à concevoir leurs propres trottinettes à leurs façons. Si la trottinette électrique est encore fonctionnelle, le second choix serait de la céder au plus démunit afin qu’ils puissent en bénéficier. On peut également la céder à des associations à but non-lucratif ou même la céder à des écoles pour leurs pratiques sur l’électronique. Tout cela pour dire qu’il ne faut jamais jeter la trottinette dans les décharges ou dans une poubelle, car cela nuira à l’environnement et c’est également interdit par la loi.

Sources : https://ma-trotinette-electrique.info/

Studie: Mein Haus, mein Auto, meine Daten?

Konrad Adenauer Stiftung - Wed, 02/05/2018 - 00:00
Wem gehören eigentlich unsere Daten? Rechtswissenschaftler Karl-Heinz Fezer stellte in Berlin Konzept für ein „Repräsentatives Dateneigentum“ vor.

Vom Rettungsschirm zum Währungsfonds?: Zur Idee eines Europäischen Währungsfonds

Konrad Adenauer Stiftung - Wed, 02/05/2018 - 00:00
Wenn der ESM-Rettungsschirm zu einem Europäischen Währungsfonds weiterentwickelt werden soll, braucht es einige wichtige Reformschritte und Kompetenzänderungen.

Vom Rettungsschirm zum Währungsfonds?

Konrad Adenauer Stiftung - Wed, 02/05/2018 - 00:00
Derzeit wird viel über eine Weiterentwicklung des Rettungsschirmes (ESM) zu einem Europäischen Währungsfonds (EWF) diskutiert. Hinter der Idee eines EWF versammeln sich jedoch völlig unterschiedliche Vorstellungen. Ein Europäischer Währungsfonds sollte den Moral-Hazard der derzeitigen Euro-Architektur überwinden. Wichtige Reformschritte und Kompetenzen eines möglichen EWFs skizzieren wir in der beigefügten Publikation: „Vom Rettungsschirm zum Währungsfonds? - Zur Idee eines Europäischen Währungsfonds“

Brexit and EU agencies

SWP - Wed, 02/05/2018 - 00:00
What the agencies’ existing third country relations can teach us about the future EU-UK relationship

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