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Diplomacy & Defense Think Tank News

Le Parti socialiste « parle de la gauche à la gauche »

Fondapol / Général - mer, 25/01/2017 - 11:57

Par Christophe de Voogd, membre du conseil scientifique de la Fondation pour l’innovation politique (Fondapol) Les votants du premier tour de la primaire de « La Belle Alliance populaire » ont donc fait le choix de la gauche frondeuse contre la gauche de gouvernement, de la pureté idéologique contre la politique du possible. Deux hypothèses […]

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Place de la Santé : rendez-vous le 21 février

Fondapol / Général - mer, 25/01/2017 - 11:51

Rendez-vous le 21 février pour suivre en direct les réponses des candidats à l’élection présidentielle aux préoccupations sociales des Français. A l’initiative de la Mutualité Française, et en partenariat avec trois think tanks, la Fondapol, la Fondation Jean-Jaurès et Terra Nova, les candidats à l’élection présidentielle sont invités à présenter leurs propositions en matière de […]

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Farid Gueham présente sa note « Vers la souveraineté numérique »

Fondapol / Général - mer, 25/01/2017 - 11:47

Farid Gueham présente sa note « Vers la souveraineté numérique ».

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Noch mehr Distanz zum Westen

SWP - mer, 25/01/2017 - 00:00

Ein blutiger Putschversuch, das Schleifen des Rechtsstaats als Reaktion der Regierung darauf und eine nicht abreißende Folge von Terroranschlägen haben aus der Türkei ein anderes Land gemacht. Außenpolitisch provoziert Ankaras Annäherung an Moskau die Frage, ob das Land noch verlässlicher Partner des Westens ist. Offiziell ist die Türkei nach wie vor Kandidat für die Mitgliedschaft in der Europäischen Union. Doch längst ist mehr von den Gefahren die Rede, die eine instabile und antiwestlich ausgerichtete Türkei für die EU mit sich bringt, als dass man darüber spräche, wie Brüssel auf die türkische Politik einwirken kann. Auch der Nato macht die Türkei Sorgen. Bleibt das Land im westlichen Lager? Kann es sich innenpolitisch wieder fangen? Auf welche Zukunft der Türkei deuten jüngere Entwicklungen in der Außen- und Innenpolitik hin?

« L’intérêt du parlement britannique est de peser sur les conditions de sortie de l’UE »

IRIS - mar, 24/01/2017 - 18:44

Au Royaume-Uni, la cour suprême a rendu sa décision mardi 24 janvier : le gouvernement de Theresa May devra obtenir l’approbation du parlement avant de lancer les négociations de sortie de l’Union européenne. Cette décision était-elle attendue ?

Du point de vue juridique, la décision de la cour suprême n’est pas inattendue. La cour suprême ne fait que confirmer la décision prise en novembre par la Haute Cour de Londres. En revanche, le climat politique, lui, s’est transformé. Nous étions alors dans un moment politique où on avait l’impression que le « hard Brexit » restait évitable, et qu’il subsistait une marge de manœuvre pour négocier un Brexit plus « doux ». Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Theresa May a compris en décembre que les Européens ne transigeraient pas sur les libertés fondamentales de l’UE. En retour, elle a clarifié son approche la semaine passée et opté pour une rupture nette, en arguant du soutien de l’opinion publique. On a aujourd’hui l’impression que le hard Brexit sera difficile à éviter.

Cela vous surprend-il compte tenu des résultats du référendum en faveur du Brexit ?

C’est la façon dont le débat a été posé qui est surprenante. Depuis le référendum, « la voix du peuple » semble être devenue un argument massue pour ne plus accepter le fonctionnement classique des institutions. Le Royaume-Uni est une vieille démocratie parlementaire, au sein de laquelle le législatif, le judiciaire et l’exécutif font leur travail en fonction de leurs prérogatives respectives. Par un processus juridique tout à fait ordinaire, la cour de Londres a décidé que le gouvernement n’avait pas l’autorité de déclencher l’article 50 sans l’aval du parlement. Mais on a l’impression aujourd’hui que la souveraineté populaire se définit exclusivement par la voix du peuple, qui peut tout emporter avec lui. Les journaux britanniques ont ainsi interprété cette décision comme si l’organe juridique du Royaume-Uni s’opposait à la voix du peuple, et on a vu en une des tabloïds les titres suivants : « les juges, ces ennemis du peuple. »

Compte tenu de son pouvoir, le parlement pourrait-il prendre le risque de bloquer le déclenchement de l’article 50 ?

Je ne pense pas que ce soit le problème principal aujourd’hui. L’enjeu majeur, c’est à mon avis le poids que pourra peser le parlement sur les termes de la sortie de l’Union européenne en 2019. À mon avis, il y aura un échange de bons procédés entre le Parlement et le gouvernement. D’un côté, Theresa May a besoin d’un processus rapide au Parlement pour pouvoir respecter son calendrier et activer l’article 50 d’ici à la fin mars, et pour que les négociations au parlement ne s’embourbent pas ; de l’autre, l’intérêt du parlement est de peser sur la négociation des conditions de sortie du Royaume-Uni de l’UE. Et donc, toujours pour le Parlement, d’être consulté sur un maximum de sujets lorsque l’accord de sortie aura été négocié avec l’UE, et ce à échéance 2019. Nous sommes dans une situation politique où il n’est pas dans l’intérêt d’un parti travailliste affaibli et divisé de s’opposer à la « volonté populaire » en bloquant l’activation de l’article 50. Le voudrait-il qu’il n’en aurait de surcroît pas les moyens.

Sur quel sujet, par exemple, le Parlement veut avoir son mot à dire ?

La question fondamentale sera le marché unique. Theresa May ne peut pas demander l’accès au marché unique – elle a compris qu’il était incompatible avec son souhait de contrôler les flux migratoires. Reste qu’une partie des travaillistes et des députés écossais souhaite cet accès. Theresa May a confirmé que le parlement serait consulté sur la sortie. Ainsi il est envisageable qu’il demande un droit de regard sur les conditions de l’accès au marché unique. Ce n’est pas le seul domaine, mais c’est le point le plus sensible.

D’un côté, si Theresa May souhaite comme elle l’a dit dans son discours, mardi 17 janvier, un hard Brexit, elle ne peut pas faire de compromis. Mais d’un autre côté, une partie du parlement, et notamment les Écossais, veut un accès au marché unique. Dans ce rapport de force, on verra qui prendra le dessus car en arrière-plan se joue la question écossaise. L’Écosse a voté à 62 % pour le maintien dans l’UE et elle souhaite avoir accès au marché unique, position incompatible avec celle de Theresa May.

Cela va donc entraver la marge de la première ministre britannique ?

Il est étonnant de voir le temps qu’il a fallu à Theresa May pour se rendre compte que l’UE ne transigerait pas sur ses libertés fondamentales, et qu’en réalité l’accès au marché unique n’était pas compatible avec le contrôle qu’elle souhaitait exercer sur les migrations. Elle s’est heurtée à l’unité des 27 autres pays membres, qui n’ont guère le choix aujourd’hui car l’avènement d’une Europe à la carte signerait l’arrêt de mort de l’UE. Elle pensait pouvoir négocier, enfoncer une brèche pour diviser l’Europe, mais s’est retrouvée isolée au conseil européen de décembre. C’est alors seulement qu’elle s’est résolue au « Hard Brexit ».

Recueilli par Agnès Rotivel

La patrie entre Espagne et Pays basque

IRIS - mar, 24/01/2017 - 18:31

Patria, La patrie. 100.000 exemplaires vendus de septembre à décembre 2016. Une adaptation cinématographique en route. La patrie basque, basque d’Espagne, a fait rebondir les ventes en librairie. Elles en avaient bien besoin, plusieurs dizaines de points de vente ayant disparu outre Pyrénées ces dernières années. Paradoxe en ces temps de divorce entre Madrid et sa périphérie catalane, le roman, c’est d’un roman en effet qu’il s’agit, fait un tabac à Barcelone, aussi bien qu’à Madrid et à Bilbao.

« Patria » enfonce le lecteur dans les va et vient d’individus flottants, perdus dans les figures imposées par les donneurs d’ordre politiques. L’épaisseur de vécus en clairs obscurs, la grisaille du quotidien, brouillent le regard que d’un côté et de l’autre on porte sur « les évènements » du Pays-basque, le terrorisme, (ETA), le contre-terrorisme, (les GAL), l’indépendantisme basque, l’Espagne et son unité. « Patria », de façon inattendue, révèle un divorce entre lecteurs-citoyens-électeurs et « responsables » partisans de tous bords.

Depuis la guerre civile, -au moins-, l’Espagne n’en finit pas de coudre, tailler et redécouper, la carte et la charte de son agrégat national. Le Pays-basque pendant des années a joué le rôle de mouton noir, rebelle, violent, inassimilable, en apparence, à toute tentative de compromis avec l’Espagne et Madrid. Les Catalans, abandonnant leur talent négociateur, ont pris le relais depuis un lustre. Le succès inattendu de « Patria », écrit par un auteur basque à cent pour cent, natif de Saint-Sébastien (Donostia), Fernando Aramburu, met le doigt sur une attente restée jusqu’ici cachée. Celle de trouver enfin, après tant de haines, et de peines, un terrain d’entente.

Le poids d’un passé qui a divisé les cœurs et les esprits, le poids des crimes commis au nom de la patrie basque et de l’Espagne une et indivisible, le choc des trains partisans depuis les débuts de la transition démocratique ont fatigué sans doute les volontés les plus radicalisées. La dernière aventure indépendantiste du Parti nationaliste basque, tentative avortée d’organiser un référendum d’autodétermination en 2006, les ultimes attentats d’ETA, soldés par la mort absurde de deux immigrés équatoriens, « la fin de territoires » nationaux en perte de compétences érodées par la mondialisation et l’européisation, ont assoupli les discours souverainistes antagonistes.

Prenant le contrepied de la voie catalane, après avoir observé le cours du monde et celui de l’Europe communautaire, PNV et PSE, – Parti nationaliste basque et Parti socialiste d’Euskadi, noyau historique des forces politiques basques ont posé la question basque en termes institutionnellement solubles dans la Constitution espagnole. Les deux partis, ont décidé de gouverner ensemble, au lendemain du dernier renouvellement du parlement basque, le 24 novembre 2016[1]. Pour élargir l’autonomie reconnue à la Communauté autonome basque par la Loi fondamentale espagnole.

L’échec du Plan Ibarretxe, plan devant conduire le Pays Basque à l’indépendance, porté par le PNV, a forcé le changement stratégique. Exit Ibarretxe et son équipe. Le successeur, Iñigo Urkullu, a détricoté la méthode. Adaptant l’objectif d’autogouvernement qui reste le cap Nord de la boussole nationaliste aux conditions du monde. La revendication indépendantiste, a-t-il expliqué de façon répétée, est une vieillerie héritée du XIXème siècle. L’ETA l’a défendue, mais « ETA, c’était hier »[2]. « Demander (l’indépendance) dans une union européenne de 28 Etats, avec d’autres en attente (..) me parait problématique. La UE est fondée sur l’interdépendance, les souverainetés partagées, je crois que le défi est celui d’imaginer l’insertion d’un Etat construit comme l’espagnol [3]» »Dans un monde globalisé l’indépendance est pratiquement impossible. (..) C’est un concept du XIXème siècle. Notre nationalisme est du XXIème siècle, (..) de souveraineté partagée »[4]. Les temps modernes sont européens et globaux. Les Etats sont déconstruits par le cours des choses. Nul besoin de perdre temps, énergie à défier un château de carte qui s’affaisse sous les coups de butoir de vagues globales et bruxelloises. Le PNV, écartant toute option majoritaire avec Sortu, formation nationaliste radicale, a choisi de gouverner avec les socialistes. Cette alliance, a commenté Inigo Urkullu, en réponse à une question sur l’option indépendantiste, « permet d’avancer vers l’autogouvernement, (..) en accord avec d’autres partis, en respectant les majorités ».[5]

Il suffit a-t-il poursuivi de surfer sur la vague. De saisir les moments de difficulté du pouvoir en place à Madrid, ou des grands partis politiques pour négocier un peu plus de compétences pour Euskadi (le Pays Basque), et ainsi sans recours aux extrêmes, qu’il s’agisse d’un conflit constitutionnel autour de l’autodétermination, ou de la violence, d’arriver progressivement à une sorte de responsabilité partagée. Iñigo Urkullu très logiquement ne manque jamais une occasion de préciser que « le droit à décider » des Basques, tel qu’il l’entend, n’a rien à voir avec celui des partis nationalistes et indépendantistes catalans[6]. Fort de cette allégeance à la Constitution espagnole il en demande le respect par le gouvernement central comme par les autres présidents de régions autonomes. Il a ainsi dans son discours de fin d’année 2016 rappelé à Mariano Rajoy, président du gouvernement espagnol, qu’il est ouvert au dialogue. Et donc qu’il demande au gouvernement de ne plus recourir aux tribunaux pour contester les lois votées par le parlement basque. A l’intention de ses homologues, chefs de régions autonomes, qui exigent une égalité de traitement entre toutes les collectivités territoriales, il rappelle que la Loi fondamentale reconnait dans une disposition additionnelle des droits historiques, au Pays basque[7].

Une enquête[8] publiée en décembre 2016 complète la perception intuitive de l’écrivain Fernando Aramburu. Les Basques sont divisés en multiples sensibilités. 31% voteraient en faveur de l’indépendance. 39% y seraient opposés. Mais les nationalistes représenteraient 46% de l’électorat. Et les non nationalistes 50%. 47% considèrent qu’il existe une nation basque. Et 67% souhaitent la perpétuation avec ou sans changement du système autonome. Conclusion, beaucoup de romans »Patria » achetés, et une cote de popularité exceptionnelle pour le président du gouvernement, le lehendakari Urkullu. Qui « travaille pour plus d’autogouvernement, sans mélanger cela avec l’indépendance, (parce que) dans l’UE l’unilatéralité n’a pas d’avenir [9]».

[1] Date du débat d’investiture. Les élections se sont tenues le 25 septembre 2016
[2] In « El Pais », 5 juin 2011
[3] In « El Pais », 25 janvier 2016
[4] In « El pais », 4 décembre 2016, réponse à Luis R. Aizpeolea
[5] In « El Pais, 4 décembre 2016
[6] Voir, entretien accordé au quotidien « El Pais », 3 octobre 2014
[7] In « El Pais », 2 janvier 2017
[8] Euskobarómetro, sondage sur le sentiment indépendantiste
[9] Déclaration faite le 19 décembre 2016

Landwirtschaft und Wasser – Schlüssel zur Welternährung

Berlin, 23.01.2017. „Landwirtschaft und Wasser – Schlüssel zur Welternährung“ ist das Thema des Global Forum for Food and Agriculture (GFFA), das wie jedes Jahr die „Grüne Woche“ – die weltgrößte Messe für Ernährung, Landwirtschaft und Gartenbau – eröffnete. Dem Bundesministerium für Ernährung und Landwirtschaft (BMEL) kann zu dieser Themenwahl nur gratuliert werden. Denn die Verfügbarkeit und das Management von Wasser sind ganz zentral dafür, ob das Nachhaltigkeitsziel 2 der Agenda 2030 der Vereinten Nationen „Beendigung von Hunger, Erreichung von Ernährungssicherheit und verbesserter Ernährung und Förderung nachhaltiger Landwirtschaft“ erreicht werden kann. Die Landwirtschaft ist mit etwa 70 Prozent der größte Wassernutzer, und der Bedarf steigt. Die gegenseitige Abhängigkeit von Landwirtschaft und Wasser ist nur durch eine effektive Koordination zwischen Agrar- und Wasserpolitiken zu meistern, insbesondere in den drei Bereichen Investitionen, Innovationen und Koordination. Investitionen in Bewässerung und Wasserspeicherung In vielen Weltregionen, speziell in Subsahara-Afrika (SSA), gibt es noch große unerschlossene Potentiale für Bewässerung. So werden zum Beispiel in Sambia und Tansania nur zwischen fünf und zehn Prozent der kultivierten Flächen bewässert; in Asien sind es immerhin 37 Prozent. Ganz SSA leidet unter starken Niederschlagsschwankungen, längeren Dürreperioden und oft nur geringen Wasserhaltekapazitäten der Böden. Die Erträge im Regenfeldbau sind daher sehr niedrig und stark schwankend. Eine bessere Bewässerung kann die Erträge oft radikal steigern und für die Landwirte Anreize für weitere ertragssteigernde Investitionen bieten. Um die ungleiche zeitliche Verteilung von Wasser zu verbessern, sollte außerdem in die Wasserspeicherung investiert werden: einmal in Form von Dämmen, aber auch in Form der Verbesserung des Regenabflusses. Durch das Rückhalten von Wasser auf den Feldern und in Gewässerläufen kann das Einsickern verstärkt werden, so dass mehr Wasser im Untergrund gespeichert wird. Dies sorgt für regelmäßigeren Ablauf in Oberflächengewässern und steht damit der Bewässerung zur Verfügung. Förderung innovativer Technologien Die im Hinblick auf Ernährungssicherheit notwendige Ausweitung des Bewässerungsfeldbaus wird jedoch die Nachfrage nach Wasser ankurbeln und die Konkurrenz mit anderen Sektoren, die Wasser nutzen, steigern. Zudem ergeben sich neue Umweltgefahren, etwa durch Kontamination von Oberflächengewässern und Grundwasser durch Düngemittel und Pestizide. In Nordafrika, im Nahen und Mittleren Osten, in Zentralasien, aber auch einigen Regionen SSAs sind Flusseinzugs- bzw. Untereinzugsgebiete bereits ausgereizt oder übernutzt.  Dadurch entstehen voneinander abhängige Versorgungskrisen, die die Landwirtschaft, aber auch die Stromproduktion durch Wasserkraft und die Trinkwasserversorgung, betreffen. In anderen Regionen mögen die Konflikte noch nicht so ausgeprägt sein, aber bei Ausweitung der Bewässerung und im Zuge des Klimawandels können auch dort schnell Nutzungskonflikte auftreten. Die Landwirtschaft als größter Verbraucher ist hier gefragt, für Entspannung zu sorgen. Landwirte können Wasser effizienter einsetzen, wenn sie in wassersparende Bewässerungstechnologien investieren, angepasste Kulturpflanzen anbauen und gewässerschonende Kulturtechniken praktizieren. Sie können ihre Düngung an die Pflanzenaufnahme und an die Bodenverhältnisse anpassen und die Kontamination mit Pestiziden verringern oder abstellen. Darin müssen insbesondere Kleinbauern vom Staat unterstützt werden. Koordinierung von Agrar- und Wasserpolitik – Förderung des Aufbaus effektiver Institutionen Die nicht zu leugnenden Konflikte zwischen den großen Wassernutzern, also der Landwirtschaft und den anderen Wasser nutzenden Sektoren, können nur in Sektor übergreifenden Aushandlungsprozessen gelöst bzw. abgemildert werden. Dabei müssen für die Agrar- und Wasserpolitik  jeweils zunächst die eigenen Ziele formuliert und Instrumente geschaffen werden. Dabei kommt es aber häufig zu Widersprüchen und Konflikten zwischen landwirtschaftlicher Wassernutzung und anderen Ansprüchen insbesondere für Trinkwasser, Energiewirtschaft, Industrie sowie Ökologie und Landschaftsschutz. Eine am Gemeinwohl ausgerichtete Agrar- und Wasserpolitik muss daher in öffentliche Institutionen investieren, die die entsprechenden Sektorpolitiken koordinieren, Interessenausgleich erzielen und für Akzeptanz sorgen und damit ihre Umsetzung unterstützen können. In Industrieländern wie Deutschland und den USA, aber auch in Entwicklungsländern wie Kolumbien, Pakistan, Nepal, Indonesien und den Philippinen, hat man außerdem gute Erfahrungen mit freiwilligen Kooperationsvereinbarungen zwischen verschiedenen Sektoren gemacht. Trinkwasserkooperationen – Allianzen zwischen den Wasserversorgungsunternehmen und Landwirten – haben durch Unterstützung gewässerschonender Maßnahmen (bspw. bedarfsorientierte Düngeplanung, Lagerplätze für Festmist und Gülle und die gewässerschonende Gülleausbringung) und deren Finanzierung die Stickstoffeinträge in Trinkwassertalsperren deutlich reduziert, und zwar oft ohne Ertragseinbußen für die Landwirte. Teilweise erhalten Landwirte auch direkten Ausgleich für Einkommenseinbußen und für ihren Beitrag zu Wasser-bezogenen Ökosystemdienstleistungen wie der Regulierung des Wasserflusses, der Verhinderung von Sedimenten in Wasserreservoirs oder der Bereitstellung von sauberem Wasser für Menschen, Tiere und Ökosysteme. Ohne Investitionen, Innovationen und Koordination zwischen Agrar- und Wasserwirtschaft sind die Nachhaltigkeitsziele nicht zu erreichen und werden wertvolle Resourcen für nicht effektive Politiken vergeudet.

Dr Dimitrakopoulou analyses in New Europe why the study social media in conflict-ridden societies is significant

ELIAMEP - mar, 24/01/2017 - 14:51

‘Social media are transforming the way people transmit and share information, while at the same time they provide the tools for building innovative structures of organization and mobilization of different actors. These sweeping shifts have intensified the discussion on their actual role in contemporary conflict-burden societies, especially after their role in Iran (2009), Tunisia (2010), Egypt (2011) and the following so-called ‘Arab Spring’ movements. The changing dynamics between political actors, journalists and citizens, mainly through the Web 2.0 platforms, have stimulated several claims for the transformation of their relations as well as for the facilitation of new forms of political participation. While their actual impact on the transformation of politics remains widely debatable, the unquestionable massive popularity of social networks in conflict-ridden societies and the profound changes in the flow of information across online social media are challenging the timeliness of mediated political participation in the contemporary globalized world.

The last few years we have witnessed a growing heated debate among scholars, politicians and journalists regarding the role of the internet in contemporary social movements and conflict-ridden societies. Social media appear as aspiring tools for the creation of new opportunities for social movements. Web 2.0 platforms allow protestors to collaborate so that they can quickly organize and disseminate a message across the globe. By enabling the fast, easy and low-cost diffusion of protest ideas, tactics, and strategies, social media and networks allow social movements to overcome problems historically associated with collective mobilization. At the same time, it allows politicians to establish direct communication with the citizens free from the norms and structural constraints of traditional journalism, while providing professional journalists with new sources and ways to interact with their audience.

But why is it important to study social media in the context of conflict-ridden societies? Social media and networks are transforming the global media landscape by redistributing the power of information and communication among all involved actors, political actors, journalists and citizens. Social media influence political participation and civic engagement in the contemporary complex geopolitical terrain and in this way they (re)shape politics and political discourse. At the same time, political campaigns are based increasingly on social media such as Twitter and Facebook. As a result, all actors strive for online attention and social mediated visibility.

In our study on social media within the international research project INFOCORE we approach social media and networks as an online interactive ‘arena’ that is evolving as we speak. The speed and growing popularity of social media marks the online environment as a rapidly evolving and dynamic sphere, where important interactions and debate take place. At the same time, the expanding employment of social media by authoritarian regimes in order to articulate their governmental stance and influence the international public opinion, as well as the increasing use of computational propaganda and the growing diffusion of fake news among internet users, pose serious challenges for the study of social media. Investigating the role of social media in violent conflicts in retrospective is important because it provides us with the tools to understand and interpret the use of the most popular and rapidly growing platforms for communication and information, inform the debate on the role of media in conflicts from the social media side and suggest crucial issues that need to be addressed in current or future emerging conflicts.

At the same time, it is necessary to identify major problems when working with social media and networks. The field of study is complicated due to, among others, language limitations, identification of online active actors, anonymity issues and internet bots spreading fake or manipulated content. Examining this new media reality makes us also realize that beyond tweets and Facebook posts there are deeper meanings that are connected to ideological, political and sociocultural factors.

An analysis of social media texts can not be limited to numbers or linguistic means. It has to be linked to people, discourses and contexts. For all these reasons, interdisciplinary and multi-methodical approaches should be interweaved in order to provide a holistic meaning to the role of social media in conflict-ridden societies.

Studies focusing on social media especially in violent events or long-lasting political turmoil need to also study the possible patterns of homophily that emerge online. Network analysis can help us in monitoring how interactions demonstrate strong homophily patterns between polarised groups and how users are commonly segregated within like-minded communities forming isolated echo chambers and in-group and out-group affiliations are thus formed. Another point that needs our attention is to not overstate the impact factor of social media in the fuelling or the resolution process of a conflict. At the same time, we can learn more about the conflict itself by monitoring the debate online and start recognizing patterns that emerge during the evolvement of the conflict and during its escalation and de-escalation phases.’

Author: Dimitra Dimitrakopoulou 

Source: New Europe

Professor Loukas Tsoukalis writes in Kathimerini on the Greek crisis, 22/01/2017

ELIAMEP - mar, 24/01/2017 - 14:28

President of ELIAMEP, Professor Loukas Tsoukalis wrote an article in the Sunday edition of Kathimerini on the Greek crisis. This article was published on 22 January 2017 2016 and is available here (in Greek).

Die Saat geht nicht auf

SWP - mar, 24/01/2017 - 00:00

Laut Internationaler Organisation für Migration (IOM) erreichten seit Beginn 2016 etwa 22 000 Flüchtlinge aus Nigeria, 15 000 aus Eritrea und jeweils etwa 7000 aus Senegal, Gambia, Guinea und Côte d’Ivoire Europa. Die Länder, aus denen sie stammen, leiden unter großen politischen Konflikten und wirtschaftlichen Schwierigkeiten. Vielfach sind dies aber auch Länder, mit denen die EU schon vor längerer Zeit Handelsabkommen vereinbart hat und in denen sie die Landwirtschaft und die Versorgung mit Nahrungsmitteln unterstützt. Insofern stellt sich die Frage, wie Wirtschaft, Ernährungskrisen, Konflikte und Flucht zusammenhängen und welche Rolle europäische Handels- und Agrarpolitik bei dem Bemühen spielen können, Fluchtursachen zu bekämpfen.

Succès des Marches des femmes: « Trump risque d’être pris à son propre piège »

IRIS - lun, 23/01/2017 - 18:52

Ces manifestations vous ont-elles surprise?

Non, elles ne sont pas surprenantes compte tenu des propos extrêmement choquants tenus par Donald Trump à propos des femmes pendant toute sa campagne, mais aussi du programme très rétrograde et ultra conservateur de son vice-président et de son gouvernement concernant leurs droits, comme la remise en cause de l’avortement ou l’arrêt des subventions au planning familial.
En revanche, l’ampleur de cette mobilisation est surprenante, notamment aux Etats-Unis avec deux millions de manifestants à travers le pays et à l’étranger: 100 000 manifestants à Londres, des milliers à Paris.

Ces mouvements pourraient-ils converger?

Non, je ne pense pas. En réalité, le 21 janvier se situe à la veille de la journée des manifestations anti-avortement qui ont lieu chaque année pour protester contre l’arrêt de 1973 de la Cour suprême sur l’avortement aux Etats-Unis. Et s’il est vrai que dans tous ces pays il y a une tentation de revenir en arrière, comme en France avec François Fillon et sa politique familiale ultra-conservatrice, sa proximité avec Sens commun et la Manif pour tous, ou en Angleterre avec le Brexit, il reste très compliqué de se fédérer au niveau international.
Mais, ce qui est intéressant est que les réseaux sociaux alimentent l’existence d’une communauté qui lutte pour les droits des femmes. Ainsi, ces manifestations construisent une dynamique et envoient un message à tous les gouvernements occidentaux qui dit: « Nous restons vigilants ».

L’élection de Donald Trump peut-elle favoriser une convergence des mouvements féministes américains?

Cette élection bouleverse tout le militantisme aux Etats-Unis. Pour le mouvement féministe, elle est en particulier l’occasion de lever certaines contradictions. Car outre-Atlantique, surtout avec la campagne d’Hillary Clinton, ce mouvement est souvent associé aux femmes blanches issues des classes aisées. Du coup, pour certains, il ne prendrait pas suffisamment en compte les inégalités raciales et sociales.
Une partie du mouvement féministe américain est également vu comme très démodé par la jeunesse: il ne se préoccuperait pas des questions environnementales, internationales et des jeunes justement. Les mobilisations de samedi sont donc l’occasion pour le parti démocrate de se mettre à jour et pour tous les mouvements féministes de se fédérer.

Ces mouvements féministes pourraient-ils se rapprocher d’autres combats aux Etats-Unis?

Oui tout à fait, comme avec Black Lives Matter, ce mouvement de la jeunesse afro-américaine qui combat le racisme envers les Noirs. Cette jeune génération de militants pourrait trouver un terrain d’entente avec les militants féministes.
Ce qui est certain, c’est que les manifestations de samedi ont réuni des citoyens de tous âges, des militants des années 1960 comme des jeunes, de toutes les communautés, blanche, afro-américaine, asio-américaine ou hispanique, et de toutes les classes sociales. Les manifestants ont trouvé un ennemi commun: Donald Trump.
Donc cela peut être une force, notamment pour le parti démocrate s’il réussit à renouveler son logiciel sur les combats féministes. Pour Donald Trump, le risque est qu’il soit pris à son propre piège. Lui qui promet de rompre avec la démocratie indirecte et de donner le pouvoir au peuple pourrait être déstabilisé s’il méprise trop ces mouvements populaires.

Tag der Hanns-Seidel-Stiftung: 1200 Gäste: Großer Andrang im Konferenzzentrum

Hanns-Seidel-Stiftung - lun, 23/01/2017 - 13:19
Die Hanns-Seidel-Stiftung feiert ihr 50-jähriges Bestehen. Unter dem Motto „Im Dienst von Demokratie, Frieden und Entwicklung“ bietet die CSU-nahe Stiftung fundierten Politik-Service durch politische Bildung, internationale Zusammenarbeit, Begabtenförderung sowie wissenschaftliche Dokumentationen und Studien. Beim Tag der Hanns-Seidel-Stiftung wurde die weltweite Arbeit der HSS rund 1.200 politisch interessierten Gästen präsentiert.

2016 y la seguridad europea

Real Instituto Elcano - lun, 23/01/2017 - 12:15
ARI 8/2017 - 23/1/2017
Carlos Miranda Elío

La presentación de la Estrategia Global de la UE, la Declaración Conjunta OTAN-UE, la reunión informal de Bratislava y la elección de Donald Trump condicionarán el futuro de la seguridad europea.

Vincent Lorphelin – La République des entrepreneurs

Fondapol / Général - lun, 23/01/2017 - 11:55

La politique de l’innovation révèle un manque de vision collective. Les experts sont démunis pour comprendre les transformations en cours. Tout cela leur impose de revenir aux mécanismes microéconomiques de ces transformations, qui ne se résument ni à la numérisation des entreprises, ni à l’ubérisation ou aux systèmes collaboratifs. Tous ces phénomènes sont les conséquences […]

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Frank-Walter Steinmeier succédera à Joachim Gauck comme président fédéral de l'Allemagne le 12 février prochain

Fondation Robert Schuman / Publication - lun, 23/01/2017 - 01:00
Le 6 juin dernier, le président de la République fédérale d'Allemagne, Joachim Gauck, annonçait qu'il ne solliciterait pas un deuxième mandat en 2017. Le 14 novembre, après plusieurs mois de négociations, l'Union chrétienne-démocrate/Union chrétienne-sociale (CDU/CSU) et le Parti...

Pour un Code européen des affaires

Fondation Robert Schuman / Publication - lun, 23/01/2017 - 01:00
Afin de surmonter les difficultés auxquelles l'Union européenne fait face, il est indispensable de faire la preuve que le processus d'intégration est toujours dynamique et que l'Union est capable de répondre aux besoins de ses citoyens. Les compétences historiques des communautés, dans le...

A la une !, Europa first!

Fondation Robert Schuman / Actualités - lun, 23/01/2017 - 01:00
Au slogan américain "America first" doit répondre, pour Jean-Dominique Giuliani, celui d' "Europa first" avec 3 priorités : sécurité/défense, économie, migration.

Elections, Election présidentielle en Allemagne le 12 février

Fondation Robert Schuman / Actualités - lun, 23/01/2017 - 01:00
Le 6 juin dernier, le président de la République fédérale d'Allemagne, Joachim Gauck, annonçait qu'il ne solliciterait pas un deuxième mandat en 2017. Le 14 novembre, l'Union chrétienne-démocrate/Union chrétienne-sociale (CDU/CSU) et le Parti social-démocrate (SPD),se sont mis d'accord sur le nom de son successeur : Frank-Walter Steinmeier (SPD), actuel ministre des Affaires étrangères. Le scrutin aura lieu le 12 février.

Fondation, Bilan de l'adhésion de la Pologne à l'Union européenne 13 ans après

Fondation Robert Schuman / Actualités - lun, 23/01/2017 - 01:00
Le 27 janvier, la Fondation Robert Schuman co-organise au Sénat à Paris avec le Cercle européen de soutien à la culture polonaise une conférence-débat sur le bilan de l'adhésion de la Pologne à l'Union européenne. L'inscription est obligatoire.

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