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Diplomacy & Defense Think Tank News

Eurostat, Inflation à 2% dans l'Union européenne et 1,9% dans la zone euro

Fondation Robert Schuman / Actualités - lun, 22/05/2017 - 02:00
L'inflation dans l'Union européenne s'est établie à 2%, contre 1,6% en avril . Dans la zone euro, elle a accéléré pour s'établir à 1,9%, s'approchant de l'objectif de la BCE, a indiqué le 17 mai l'Office européen des statistiques, Eurostat, contre 1,5% en mars.

Eurostat, Excédent commercial

Fondation Robert Schuman / Actualités - lun, 22/05/2017 - 02:00
Selon une étude d'Eurostat du 16 mai, l'excédent commercial de l'Union européenne est de 10,5 milliards € et celui de la zone euro de 30,9 milliards € en mars 2017.

Eurostat, Le PIB en hausse de 0,5% au premier trimestre 2017

Fondation Robert Schuman / Actualités - lun, 22/05/2017 - 02:00
Selon une étude d'Eurostat du 16 mai, le PIB de l'Union européenne comme celui de la zone euro a augmenté de 0,5% au premier trimestre 2017.

Etudes/Rapports, Rapport sur la politique européenne de voisinage

Fondation Robert Schuman / Actualités - lun, 22/05/2017 - 02:00
Le 18 mai, la Commission et la Haute représentante ont publié un rapport traitant des résultats de la nouvelle politique européenne de voisinage révisée en 2015. Le rapport fait état de la nouvelle méthode basée sur l'engagement partagé, la flexibilité et la différenciation afin de sécuriser le voisinage.

Etudes/Rapports, Rapport sur l'application de la Charte des droits fondamentaux en 2016

Fondation Robert Schuman / Actualités - lun, 22/05/2017 - 02:00
La Commission européenne a publié, le 18 mai, son rapport annuel sur l'application de la Charte des droits fondamentaux qui met en évidence les initiatives prises en 2016 par l'Union européenne afin de renforcer les droits fondamentaux.

Culture, Festival d'Athènes et d'Epidaure

Fondation Robert Schuman / Actualités - lun, 22/05/2017 - 02:00
Le Festival hellénique, créé en 1955 et dont l'édition 2017 se tient du 22 mai au 19 août, anime les villes d'Athènes et d'Epidaure par des spectacles de théâtre, de danse, et autres performances artistiques.

Culture, Carnaval d'Aalborg

Fondation Robert Schuman / Actualités - lun, 22/05/2017 - 02:00
Jusqu'au 27 mai, Aalborg au Danemark accueille son carnaval. Parades costumées et concerts en plein air sont au programme. Le thème de l'année, intitulé "Le monde est rempli de...", invite les participants à interpréter cette phrase à travers leurs déguisements.

Culture, Festival "Primavera sound" à Barcelone

Fondation Robert Schuman / Actualités - lun, 22/05/2017 - 02:00
Du 31 mai au 4 juin, Barcelone accueille la 16ème édition du festival "Primavera sound", où se produisent des artistes et des groupes internationaux de pop et de rock.

Plug and Play: Multinational Rotation Contributions for UN Peacekeeping Operations

European Peace Institute / News - ven, 19/05/2017 - 21:13

On May 19th, IPI together with the Norwegian Institute for International Affairs (NUPI) cohosted a policy forum event to launch the report “Plug and Play: Multinational Rotation Contributions for UN Peacekeeping Operations,” which was recently published by NUPI and IPI with funding from the Royal Norwegian Ministry of Defence.

In 2016, Norway spearheaded the multinational rotation contribution (MRC) of a C-130 transport plane to MINUSMA, together with Belgium, Denmark, Portugal, and Sweden. This innovative partnership seeks to complement traditional force generation by enabling a predictable and cost-effective supply of capabilities to UN peace operations.

With a keynote address by Norway’s Minister of Defence, H.E. Ms. Ine Eriksen Søreide, speakers discussed the concept of MRCs, outlining early lessons from Norway’s rotation, which concluded in November 2016, and providing key recommendations on the broader applicability of MRCs in the context of UN peacekeeping reform. How can smaller nations better cooperate and coordinate joint peace efforts? How can the MRC model lower the threshold and increase the incentives for member states to contribute? What are some key features that make MRCs work?

Keynote Address:
Ine Marie Eriksen Søreide, Minister of Defence, Norway

Speakers:
Arthur Boutellis, Director, Brian Urquhart Center for Peace Operations, International Peace Institute
Jean-Paul Deconinck, Force Commander, United Nations Multidimensional Integrated Stabilization Mission in Mali (MINUSMA)
Jorge Torres, Military Adviser, Permanent Mission of Portugal to the United Nations
Adrian Foster, Deputy Military Adviser, United Nations Department of Peacekeeping Operations

Moderator:
Youssef Mahmoud, Senior Adviser, International Peace Institute

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Comment peut-on ne pas être progressiste ?

Fondapol / Général - ven, 19/05/2017 - 19:06

Emmanuel Macron affirme que le vrai clivage politique se situe désormais entre conservateurs et progressistes. Mais le concept, hérité des Lumières et de la gauche, n’est-il pas devenu un mot-valise permettant d’en abandonner d’autres – socialisme, par exemple – sans rien créer de nouveau ? par Hervé Nathan Décidément, le XVIe siècle fut formidable de […]

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Que veut Jean-Michel Blanquer, le nouveau ministre de l’Éducation ?

Fondapol / Général - ven, 19/05/2017 - 19:01

En 2014, la Fondapol invitait Jean-Michel Blanquer à présenter son livre « L’école de la vie » dévoilant ainsi l’essentiel de la philosophie de l’éducation. Par Yama Darriet. Le 26 novembre 2014, Dominique Reynié 1, Camille Bedin 2, François Garçon 3 et Julien Gonzalez 4 débattaient avec Jean-Michel Blanquer sur son nouveau livre : L’école de la vie. Dominique Reynié […]

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Paris 2024 : À nous la victoire ?

IRIS - ven, 19/05/2017 - 16:15

Le point de vue de Pascal Boniface, directeur de l’IRIS.

Le chef de l’État intérimaire, Michel Temer, accusé de corruption : où va le Brésil ?

IRIS - ven, 19/05/2017 - 15:56

Suite à la révélation de corruption accusant le président brésilien Michel Temer, oppositions, grande presse et bourse réclament sa démission. L’analyse de Jean-Jacques Kourliandsky, chercheur à l’IRIS.

Ce scandale pourrait-il mener à la destitution ou à la démission du président Michel Temer ? Quelle serait alors l’alternative politique envisageable ?

Les faits reprochés au président pourraient effectivement le conduire à démissionner. À la suite de révélations similaires, le sénateur et président du Parti social-démocrate brésilien (PSDB) – candidat malheureux aux présidentielles de 2014 -, Aecio Neves, vient de se voir retirer son mandat de sénateur. Il a en conséquence démissionné et remis à disposition du PSDB sa charge de président du parti. Sa principale collaboratrice – qui se trouve être sa sœur – est actuellement en prison. Ainsi, pour le même type d’accusation, ce sénateur a été contraint de s’écarter du jeu politique.

Le cas du président Michel Temer est certes différent. En tant que président de la République, il bénéficie d’un statut judiciaire particulier – comme dans d’autres pays. Cela étant, compte-tenu de l’ampleur du scandale, combien de temps va-t-il pouvoir résister ? Déjà une demi-douzaine de demandes de destitution ont été présentées à la justice brésilienne par des parlementaires. Beaucoup d’élus considèrent que la meilleure solution serait que le président présente volontairement sa démission. Néanmoins, si effectivement sous la pression des élus, de la presse – en particulier du groupe Globo, dont le rôle avait déjà été très important en 2016 pour la destitution de Dilma Rousseff – de la bourse et de la rue, Michel Temer démissionnait, une grande inconnue demeurerait : dans quelles conditions le Brésil pourrait-il être dirigé jusqu’aux prochaines élections d’octobre 2018 ? La Constitution prévoit l’organisation d’élections pour suppléer la vacance au sommet de l’État survenue durant les deux premières années d’un mandat présidentiel. Ce délai étant dépassé, c’est au vice-président d’assurer la fin du mandat. Le pays est déjà dans ce cas de figure puisque l’an dernier, la présidente Dilma Rousseff, élue en 2014, a été écartée du pouvoir par un coup d’État parlementaire dont les motivations strictement politiques n’ont rien à voir avec des scandales de corruption – contrairement à ce que disent souvent les médias français. La Constitution ne prévoit pour une nouvelle relève en fin de mandat présidentiel qu’une seule option : l’élection de l’éventuel successeur du chef de l’État, ou du vice-président intérimaire, par un candidat élu par les parlementaires. Or, quand on connaît l’état politique et éthique du Parlement élu en 2014, il est difficile de penser que cette solution serait acceptée comme satisfaisante par les Brésiliens.

La destitution constitutionnelle, au cas où le président refuserait de démissionner, suppose la mise en œuvre d’une procédure initiée par les élus. Dilma Rousseff avait été instruite par une commission d’enquête créée avec l’aval et les encouragements du président du Congrès de l’époque, Eduardo Cunha, actuellement emprisonné pour corruption. Celui-ci, avec une majorité d’élus eux-mêmes accusés de corruption, avaient écarté la présidente en détournant les dispositifs requis par la Constitution. Cette dernière ne prévoit une relève présidentielle que dans le cas où une violation grave de la Constitution et de la morale publique était constatée. Ce cas de figure pourrait être appliqué avec pertinence pour destituer Michel Temer. Mais cette voie apparait peu crédible compte tenu du sinistre moral, politique et économique ambiant, de même que du discrédit du Parlement et des élus.

En quoi la corruption représente-t-elle un sujet particulièrement sensible au Brésil ?

La corruption est un thème de débat sociétal et politique dans tous les pays se trouvant dans une situation socio-économique compliquée, ce qui est le cas du Brésil. Depuis le rétablissement de la démocratie dans le pays, le fonctionnement du système politique et des règles électorales pose des problèmes récurrents, politiques comme éthiques. Dans ce pays fédéral, le système électoral éclate la représentation partisane. Ainsi, depuis le rétablissement de la démocratie, tous les gouvernements ont été à majorité composite avec des têtes de file venant la plupart du temps du PSDB ou PT (les deux grands partis). Cependant, ces partis ont toujours été très minoritaires au Parlement et ont donc dû négocier avec cinq à dix autres formations, plus ou moins importantes. Bien souvent, des compensations sont exigées par ces alliés de circonstance, ce qui ouvre la voie à toute sorte d’abus et de fait, de corruption.

La réforme politique et électorale est un serpent de mer de la vie politique brésilienne. Tout le monde sait qu’il faudrait assainir la vie politique en modifiant le mode d’élection pour simplifier le fonctionnement de la vie partisane, ainsi que procéder à de profondes réformes institutionnelles. Néanmoins, aucun président n’a eu soit le courage d’affronter les petits partis du Congrès, soit n’a eu la capacité de pouvoir le faire. La crise de l’an dernier a été démonstrative de ces dysfonctionnements. Les députés politiques opposés au programme économique de Dilma Rousseff ont voté sa destitution, alors qu’ils étaient en théorie membres de sa majorité. Ils ont basculé de la majorité vers l’opposition du jour au lendemain, du fait de leur manque de « consistance » idéologique et morale. Dilma Rousseff a fait l’objet d’une manipulation parlementaire et politique visant à l’écarter du pouvoir pour changer de politique économique et sociale. Parallèlement, des collaborateurs des présidents Lula et Rousseff ont été mis en examen et condamnés pour des faits de corruption, relevant du mode de fonctionnement institutionnel brésilien, signalé supra.  L’ex-président Lula a fait l’objet de poursuites nombreuses, qui n’ont pas abouti mais qui se sont accentuées depuis l’an dernier.

Mais l’affaire actuelle, qui vise Michel Temer, l’ex-sénateur Aecio Neves, ainsi que leurs amis politiques du PMDB et du PSDB, a révélé qu’une fois lancée, la justice ne peut pas s’arrêter aux affaires concernant le seul PT : tout le système étant gangrené, de fil en aiguille tous les partis politiques sont aujourd’hui sur la sellette. On assiste, comme en Italie avec l’opération « Mani pulite », à l’explosion du système politique brésilien, ce qui pose trois sortes de problèmes. Le premier concerne la gouvernabilité du pays. Le deuxième a trait au devenir de la démocratie brésilienne. Le troisième concerne les conséquences sur le contexte économique déjà difficile dans lequel est plongé le pays depuis plusieurs années.

Un an après sa prise de fonction controversée, quel est le bilan global de la présidence Temer ? La multiplication des manifestations illustre-t-elle une crise politique et socio-économique d’une ampleur sans précédent dans le pays ?

Le président Temer est arrivé au pouvoir au terme d’un coup d’État parlementaire, alimenté par un certain nombre d’élus proches des milieux d’affaires et des medias dominants. Ceux-ci considéraient la politique suivie par Dilma Rousseff et le PT comme trop favorable aux catégories populaires, empêchant la mise en œuvre d’une autre politique économique, nécessaire au rétablissement « des grands équilibres ». Selon eux, le Brésil se devait de pratiquer une politique d’austérité, coupant dans les budgets sociaux et d’investissements et réorientée vers les États-Unis et l’Europe.

Conformément à cette orientation, Michel Temer a pris des mesures d’austérité. La plus spectaculaire a consisté à geler le budget de l’État fédéral pendant vingt ans au niveau de celui de 2016. Cela a provoqué des troubles et des revendications sociales, ainsi qu’un regain de popularité pour l’ex-président Lula. Ces mesures n’ont par ailleurs pas redressé la situation de l’économie. La croissance n’est toujours pas au rendez-vous, tandis que le chômage réel s’élève aujourd’hui à 24% de la population active, soit deux points de plus qu’en 2016. La crise que vivait le Brésil à l’époque de Dilma Rousseff, loin de s’atténuer, s’est donc approfondie. C’est peut-être l’une des clefs des révélations faites par le journal brésilien O Globo, qui avait aussi été à la manœuvre pour la destitution de Rousseff et que l’on retrouve en première ligne aujourd’hui. Les milieux d’affaires sont insatisfaits. Michel Temer n’a non seulement pas su redresser la situation économique mais il n’a pas réussi non plus à arrêter les processus judiciaires en cours, qui déstabilisent la plupart des grandes entreprises brésiliennes ayant donné de l’argent aux partis politiques. Le délateur à l’origine des déboires de Michel Temer n’est rien moins que Joesey Batista, le patron du numéro 1 mondial de la viande froide, JBS.

Peut-on concilier valeurs et diplomatie ?

IRIS - ven, 19/05/2017 - 10:41

Jean de Gliniasty est ancien diplomate, directeur de recherche à l’IRIS. Il répond à nos questions à propos de son ouvrage « La Diplomatie au péril des ‘valeurs’ : pourquoi nous avons eu tout faux avec Trump, Poutine et d’autres… », paru aux éditions L’Inventaire :
– En quoi la notion de « valeur » est-elle opposée à celle de « diplomatie » ?
– Comment expliquer qu’au nom d’intérêts commerciaux, des États puissent mettre de côté leur attachement à des valeurs ?
– Pourquoi malgré l’échec des États-Unis en Irak, la France tente toujours d’exporter des valeurs universelles à l’étranger ?
– En quoi la France a-t-elle « eu tout faux » avec Donald Trump et Vladimir Poutine ?

La Sera 29 en Pologne

IHEDN - ven, 19/05/2017 - 07:52

La 29e promotion de la Session européenne des responsables d’armement (Sera) est accueillie, en Pologne,

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Die Zementierung des harten Brexits

SWP - ven, 19/05/2017 - 00:00

Mit vorgezogenen Neuwahlen will sich Theresa May zu Beginn der Brexit-Verhandlungen ein neues Mandat geben lassen. Damit verstärkt sie drei zentrale innenpolitische Ent­wicklungen, welche die politische Landschaft im Post-Brexit-Großbritannien prägen: Erstens zementiert Theresa May mit den Neuwahlen ihre Strategie eines harten Brexits in ihrer eigenen Partei, gegenüber dem House of Lords und in der britischen Öffentlich­keit. Zweitens fehlen den 48 Prozent der Briten, die für den Verbleib in der EU gestimmt haben, parteipolitische Optionen, um gegen den harten Brexit einzutreten. Drittens bie­ten die Neuwahlen neuen Zündstoff für die Spannungen in Schottland und Nordirland.

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