Retour du journal local Midi Libre sur notre troisième rencontre-débat « Un système universel de retraite ? Parlons-en ! » à Montpellier, organisé conjointement avec la Fondation Jean-Jaurès et qui a réuni plus de 200 personnes. Retrouvez l’intégralité du débat ici et la vidéo « Montpellier : un débat sur la retraite universelle au Corum » sur midilibre.fr.
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Le Premier ministre Edouard Philippe a présenté, lundi 8 avril, la synthèse du grand débat national. Au total, 1,5 million de Français auront participé à cet exercice, produisant une quantité colossale de données non structurées à analyser. Afin de les traiter, le gouvernement a fait appel à des entreprises d’intelligence artificielle spécialisées dans le traitement de texte. Dans ce billet, Anne Bouverot, Senior Advisor chez TowerBrook Capital…
Pascal Boniface, directeur de l’IRIS, revient sur les élections législatives en Israël et leurs implications.
Depuis plusieurs mois, au travers de plusieurs débats et d’une grande enquête sur l’opinion des Français sur le système de retraite, la Fondation pour l’innovation politique a souhaité alimenter la réflexion sur la mise en place d’un système universel de retraite. L’initiative « Un système universel de retraite ? Parlons-en !», conjointe à la Fondation Jean-Jaurès et avec […]
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C’est une entame printanière spatiale chargée et réussie que vient de vivre l’Inde ces derniers jours. Le 1er avril 2019, l’organisation indienne de recherche spatiale (ISRO) a procédé au tir réussi de son lanceur Polar Satellite Launch Vehicle (PSLV), lequel ne transportait rien de moins qu’une trentaine de satellites, occidentaux pour l’essentiel (24 américains, quatre européens), un satellite indien de dernière génération EMISAT[1] complétant le chargement. Ce lancer constitua une première à divers égards, l’ISRO plaçant notamment à cette occasion des satellites sur trois orbites au cours d’un même lancement, tandis que le 4e étage du PSLV se transformait pour la première fois en une plate-forme de recherche orbitale.
Trois jours plus tôt, le 29 mars, la voie de la performance technologique et spatiale avait été engagée par le tir réussi d’un missile antisatellite (A-Sat) abattant à 300 km d’altitude un satellite cible indien, une prouesse faisant entrer l’Inde dans le cercle très fermé des puissances détenant un tel savoir-faire, jusqu’alors composé des seuls États-Unis, de la Russie et de la Chine.
Des performances transparentes et maîtrisées
Lors de son tir opéré en janvier 2007[2], la Chine avait désigné une cible positionnée à une altitude élevée (800 km), ayant comme conséquence lors de sa destruction la production d’une multitude de débris qui, à une telle altitude, demeureront en orbite, selon les spécialistes, des décennies sinon des siècles, avec le lot de contraintes (sécuritaires notamment) générées par une telle présence sur une si longue durée. À la différence de ce précédent chinois, les ingénieurs du pays de Gandhi œuvrant sur la « mission Shakti (force) » ont retenu une cible située à une altitude inférieure (300 km), une option réduisant à quelques semaines ou mois la présence dans l’espace de ces débris de satellite. Prenant là encore le contre-pied de Pékin – qui en 2007 ne communiqua guère volontiers sur son entreprise antisatellite – New Delhi, par la voix de son Premier ministre Narendra Modi, communiqua sans tarder sur le sujet, insistant lors d’une intervention télévisée sur la transparence du programme spatial indien et l’attachement de la « plus grande démocratie du monde » à la nature pacifique[3] de son ambitieuse politique spatiale. Un mode opératoire plus transparent, plus responsable, salué par deux autres membres de ce club fermé des puissances spatiales, la Russie et les États-Unis, ces derniers confirmant à cette occasion leur « intérêt commun (avec l’Inde) pour l’espace et la coopération scientifique et technique en matière de sûreté et de sécurité dans l’espace extra-atmosphérique[4] ».
L’Inde, une puissance spatiale ambitieuse
Les succès technologiques enregistrés les 29 mars et 1er avril ont entre autres bénéfices permis de confirmer plus avant les capacités autochtones de l’Inde et la solidité d’un programme spatial bâti sur une série de réussites préalables : au printemps 2019, c’est en effet l’Union indienne qui, dans la région indo-pacifique, dispose de la plus importante constellation de satellites civils ; c’est encore l’Inde qui détient le record du nombre de satellites placés en orbite[5] lors d’un seul lancer (104). Enfin, c’est le savoir-faire des ingénieurs indiens qui permit en septembre 2014 à la sonde Mars Orbiter Mission de se placer (à sa première tentative et pour un coût financier très maîtrisé) en orbite autour de la Planète rouge.
Sans surprendre, ces compétences reconnues drainent aujourd’hui vers l’Inde des nations et des entreprises du monde entier lui confiant le lancement de leurs satellites. À ce titre, relevons l’étroite coopération entre l’Inde et la France (notamment entre l’ISRO et le CNES), lesquelles n’hésitent pas à parler de « vision commune de la coopération spatiale », à mettre en avant le fait que « la France et l’Inde sont liées par un partenariat ancien et sans équivalent dans le domaine des usages pacifiques de l’espace extra-atmosphérique. La coopération et la collaboration dans le domaine spatial ont profondément marqué les relations entre les deux pays qui se sont affirmés comme de grandes nations spatiales[6] ».
La présence de l’Inde sur cette niche technologique de pointe génère des dividendes économiques et comptables, mais également politiques, le cas échéant : au printemps 2017, l’Inde avait ainsi procédé – à titre gracieux – au lancement de satellites destinés à ses voisins du sous-continent et pays membres de la South Asian Association for Regional Cooperation (SAARC[7]). Enfin, dans ce registre valorisant, notons encore que le mois dernier, la NASA[8] faisait part de son intérêt à former, avec ses homologues indiens, un groupe de travail sur le programme de missions spatiales habitées, l’Inde projetant d’envoyer trois astronautes dans l’espace d’ici 2022 dans le cadre de la mission « Gaganyaan[9] », un ambitieux projet porté par le chef de gouvernement indien en personne depuis l’été 2018[10].
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[1] Electro-Magnetic Intelligence Satellite, dédié notamment en renseignement militaire.
[2] ‘’Flexing Muscle, China Destroys Satellite in Test’’, The New York Times, 19 janvier 2007.
[3] Un argument repris à l’identique par Moscou (‘’Russia highlights ‘non-directedness’ of India’s anti-satellite test against any country’’, The Business Standard, 29 mars 2019).
[4] Département d’État (américain), 3 avril 2019.
[5] Une prouesse réalisée en février 2017 ; lire à ce propos ‘’India Launches 104 Satellites From a Single Rocket, Ramping Up a Space Race’’, The New York Times, 15 février 2017.
[6] Le détail de cette coopération étroite peut être apprécié sur le site Internet de l’ambassade de France à New Delhi (https://in.ambafrance.org/Vision-commune-de-la-cooperation-spatiale-entre-la-France-et-l-Inde).
[7] L’organisation régionale de coopération réunissant les sept pays d’Asie méridionale + l’Afghanistan.
[8] ‘’Gaganyaan 2022: US interested in working with India for manned space mission’’, India Today, 9 mars 2019.
[9] ‘’ Gaganyaan 2022: What the mission is all about l 10 points’’, India Today, 28 décembre 2018.
[10] ‘’On Independence Day, Modi promises Indian manned space mission’’, CNN, 15 août 2018.
Die US-Administration hat angekündigt, zu einem nicht näher bestimmten Zeitpunkt nach den Parlamentswahlen in Israel ihren »Jahrhundert-Deal« zur Regelung des israelisch-palästinensischen Konflikts vorzulegen. Auch wenn die Details des Plans bislang ein wohlgehütetes Geheimnis sind: Aufgrund bisheriger Signale der Trump-Regierung ist davon auszugehen, dass die Initiative keine Konfliktregelung auf Basis von zwei souveränen Staaten vorsieht, internationales Recht nicht als Richtschnur nimmt und palästinensische Rechte israelischen Interessen unterordnet. Eine Zustimmung der palästinensischen Führung ist nicht zu erwarten. Die nächste israelische Regierung dürfte dies als grünes Licht dafür sehen, jene Elemente des Plans umzusetzen, die dazu dienen, dauerhaft die Kontrolle über strategische Gebiete der West Bank und über Ost-Jerusalem aufrechtzuerhalten. Dies birgt auch das Risiko, dass die ohnehin schon prekäre israelisch-palästinensische Kooperation beim Konfliktmanagement zusammenbricht. Deutschland und seine Partner in der EU sollten die Veröffentlichung des amerikanischen Plans zum Anlass nehmen, die Prinzipien einer Konfliktregelung auszubuchstabieren, von denen ihre Unterstützung abhängt. Ebenso sollten sie klarstellen, welche Folgen eine Annexion von Teilen der West Bank für die europäische Politik hat.
On April 9th, IPI together with the Office of the President of the General Assembly, the United Nations Peacebuilding Support Office, the United Nations Population Fund, Peace Direct, and Interpeace, cohosted a policy forum to discuss the role of young people as drivers of peace and how international actors can advance meaningful participation and inclusion of young people.
Watch the broadcast in French
Meaningful political, social and economic inclusion is a complex and core issue at the heart of the Youth Peace and Security agenda. The challenge, however, is what constitutes meaningful political inclusion and participation of young people, and how can this be undertaken to prevent violence and sustain peace.
Contributing to sustaining peace, and preventing the outbreak, continuation, escalation and recurrence of violence requires expansion of young people’s roles and engagement in formal and informal political processes and institutions. It demands attention to improve young people’s roles in decision-making processes that directly impact their lives, and their relationships with their communities and the state.
The Youth, Peace and Security agenda, laid out in Security Council Resolution 2250, and the Independent Progress Study on Youth Peace and Security debunks negative assumptions about youth in peace and security, underlines the capacity youth have to participate in meaningful peacebuilding and nonviolent action in their communities and countries and highlights several recommendations on how to advance inclusion broadly. As member states and the United Nations move towards implementation of the youth agenda and recommendation, it is important to reflect what work is being done by young people on the ground, how they want to work with international actors as well as what meaningful inclusion means to them and what accountability looks like in this implementation.
Welcoming remarks:
Dr. Adam Lupel, Vice President, International Peace Institute
Opening remarks:
H.E. Ms. María Fernanda Espinosa Garcés, President, UN General Assembly
Mr. Dereje Wordofa, ASG and Deputy Executive Director, UNFPA
Speakers:
Mr. Moussa Tolo, President, Allô Gouvernance
Mr. Graeme Simpson, Principal US Representative and Senior Peacebuilding Advisor, Interpeace USA
Ms. Vanessa Wyeth, Senior Political and Public Affairs Officer (Peacebuilding), Permanent Mission of Canada to the United Nations
Mr. Adil Skalli, program manager, UN Association of Canada
Moderator:
Mr. Jake Sherman, Director of the Center for Peace Operations, International Peace Institute
Alberto Toscano, journaliste, politologue et écrivain italien, répond à nos questions à l’occasion de sa participation aux Entretiens européens d’Enghien, organisés le 30 mars 2019 :
– En quoi la crise migratoire impacte-t-elle les dynamiques politiques nationales et par ricochet les futures élections européennes ?
– Comment sont perçues les élections européennes en Italie ? Comment s’y déroule la campagne ?
– À quoi devrait ressembler le Parlement européen après les élections ?
Le Premier ministre a présenté, lundi 8 avril, les premières conclusions issues du grand débat national. Ces résultats devraient ensuite se traduire en propositions de politiques publiques par l'exécutif. Néanmoins, les doutes subsistent quant à la capacité du président de la République à faire de cette concertation un véritable outil de démocratie participative. Quelles seront les conséquences concrètes du grand débat national ? Celui-ci permettra-t-il de…
Alors qu’elles concernent 12 millions de Français, les maladies psychiques restent peu connues. La Fondation de France et l’Institut Montaigne se mobilisent sur le sujet et organisent une série d’ateliers régionaux intitulés “Parlons Psy”, dans huit villes de France. Ce cycle se clôturera à Paris en décembre 2019, lors d'un…
La ciberseguridad española ha cobrado actualidad debido a la inminencia de los procesos electorales, que ha puesto sobre la mesa la necesidad de prevenir los riesgos asociados con la desinformación y la fiabilidad de los sistemas electorales.