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Maktaâ Kheïra: L’empire de la viande rouge et blanche

Algérie 360 - Sun, 04/06/2017 - 22:42

Maktaâ Kheïra vit au rythme de l’illégalité en matière de commercialisation et de vente des viandes rouges et blanches, elle nous donne une image d’un endroit livré à toute sorte de comportement hideux, répugnant et insolent.

Les Algérois et les gens des villes limitrophes d’Alger, à l’image de Tipaza et de Blida ne cessent de sillonner la route de «Maktaâ Kheïra», l’endroit où l’empire de la viande rouge et blanche impose sa présence avec tout ce que cela entraîne comme ambiance et «rituel». A l’approche du mois sacré, ce lieu devient précieux et très fréquenté, tel un pèlerinage rien que pour se doter de «la chair» à des prix très abordables et au choix. Maktaâ Kheïra se veut comme une opportunité pour ceux qui ne peuvent pas se permettre d’acheter de la viande en général au prix élevé comme à l’accoutumée, donc ce lieu se propose comme une alternative sûre pour de larges couches de consommateurs à la recherche des viandes rouges et blanches à leur portée et de qualité à la fois.
A partir d’un endroit nommé «Dkakna» non loin de Maktaâ Kheïra, on commence à sentir l’odeur de la volaille, du bovin et de l’ovin. Les gens fixés sur leur «proie» privilégiée attendant que «le sacrifice» soit fait, c’est-à-dire une fois le veau égorgé devant les présents et sa peau complètement extirpée, vient le moment des «enchères» à qui veut entendre pour que les parts de ce veau soient vendues. On est dans une bourse de «la chair», les premiers clients présents pourraient avoir un privilège, voire une chance de par l’avantage d’être venus les premiers, sauf que parfois la qualité de la viande proposée n’est pas à leur goût, ce qui engendre une déception qui sera consommée en catimini, en faisant semblant de continuer à jouer le jeu des gens qui viennent de réussir une prouesse. Quand on est entré dans l’ambiance de ce «commerce», on a constaté beaucoup d’errements et d’exactions, voire des infractions en totale rupture avec les normes censées protéger l’activité et la commercialisation des viandes rouges et blanches.
L’étonnement se fait sentir une fois qu’on est dans l’ambiance de ces pseudos marchés de viandes en général. C’est quand on est de plain-pied dedans que les choses s’esquissent et se clarifient le mieux. Le lieu de la vente des viandes est le même que celui où on pratique l’abattage, c’est une situation désolante et insoutenable à la vie. D’ailleurs, un visiteur venu voir ce qu’il pourrait acheter durant ce mois de Ramadhan, était sidéré et stupéfait de voir d’où on ramène «la dinde» pour qu’après elle soit étalée sur un semblant de comptoir pour la présenter à la clientèle. Ce visiteur n’a pas omis de dire «j’espère que ce n’est pas la même dinde que l’on trouve dans nos marchés et chez les commerçants ordinaires des viandes», s’est-il exclamé avec une stupeur visible sur son visage.

La spirale de l’insalubrité
Certes, l’abondance en matière de viandes rouges ou blanches est perceptible là-bas, mais les conditions de l’abattage et de la vente sont chaotiques. C’est une véritable «écurie d’Augias» livrée à l’insalubrité des plus nauséabondes, répugnantes et écoeurantes. On ne s’attendait pas à une telle situation.
Dès qu’on est entré à l’endroit connu pour être celui de la viande blanche et plus particulièrement de la dinde, on a vite constaté que les regards de certains «vendeurs» de dinde avaient pris un autre sens, la prudence se lisait aisément dans leurs yeux, il y avait une espèce de colère qui se dessinait sur leurs visages. On leur a demandé si on pouvait prendre des photos de cet endroit dédié médiocrement à l’abattage de la dinde, la réaction fut épidermique et menaçante même «pas question de prendre des images, c’est interdit, et s’il vous plaît sortez d’ici, c’est un lieu de travail réservé uniquement à nous, les vendeurs de dinde», a tonné l’un des présents dans ce semblant d’abattoir réservé à l’abattage de la volaille en général et de la dinde en particulier. Le constat est amer, l’abattage se fait dans la nature, juste derrière des étals piteux recouverts d’une feuille de plastique et entourés de bois qui ont été glanés dans les environs. Le plus sidérant dans ce cas, c’est que la dinde une fois passée à l’abattage et déplumée après avoir été mise dans de l’eau chaude, est laissée, voire exposée pendant des heures en plein air côtoyant ainsi les couches impressionnantes de plumes maculées de sang condensé qui renseigne sur l’état de l’abattage et par ricochet de l’insalubrité qui caractérise ces «abattoirs» qui n’ont que le nom de l’acte d’abattre la volaille.
Le paradoxe dans toute cette situation, c’est que de l’autre côté et non loin de ce lieu où s’exerce un crime caractérisé contre la santé des citoyens à travers leur sécurité alimentaire, il y a un «Souk de la dinde» qui a été aménagé par les pouvoirs publics, réservé uniquement à l’abattage et la vente de cette viande blanche. Dans ce «Souk» conçu selon des normes et couvert, qui ressemble beaucoup à celui qui existait dans les années 1980 que l’on surnommait «Souk el Fellah», on constate que les prix sont nettement différents par rapport à ceux qui sont proposés dans la rue tout en soulignant l’abattage sauvage dans des conditions d’insalubrité et de saleté répugnantes et dangereuses. Le plus dramatique dans cette «ambiance» à laquelle on éprouve de l’écoeurement, c’est que même les viandes rouges connaissent le même sort que celui des viandes blanches, l’abattage sauvage est la caractéristique typique, cela se fait en plein jour et au vu et au su de tout le monde y compris les visiteurs de cet endroit en quête d’une «chair» à la portée de leur pouvoir d’achat qui s’érode de plus en plus.

Des prix bas, mais…
Le bovin et l’ovin sont égorgés dans des endroits le moins que l’on puisse dire, infestés par des saletés qui côtoient des eaux usées qui coulent à flots, au passage des visiteurs, voire à même le sol où se déroule l’opération de désossement et la découpe des moutons et des veaux et même du caprin.
L’absence de la chaîne de froid fait que tout doit être vendu aussitôt, sinon cette viande s’exposera rapidement aux microbes qui infestent l’environnement dans lequel s’opère l’opération d’abattage sauvage. Les gens qui exercent ce genre de commerce sont rustres et n’acceptent pas le dialogue ni l’échange quand il s’agit de les questionner sur l’absence des normes d’une commercialisation de cette viande de façon saine et propre et certifiée par les services des vétérinaires. La réaction ressemble beaucoup plus à une question d’existence, c’est-à-dire que cela fait partie de leur vie essentiellement et ils n’ont pas à la revoir, d’autant plus que les coûts sont dérisoires, voire inexistants en termes de frais et de charges fiscales et autres mesures administratives. Le talent d’Achille de ces «abatteurs/vendeurs» sauvages c’est le client, surtout celui qui leur exige d’arborer et de fixer le certificat émanant des services des vétérinaires attestant que la viande a subi un contrôle vétérinaire et qu’elle est éligible à la consommation.
Des clients de cette trempe viennent souvent jouer les trouble-fêtes chez ces abatteurs/vendeurs de viandes rouges et blanches jusqu’à parfois provoquer des altercations menant à des issues qui sont dans certains cas graves.
Maktaâ Kheïra vit au rythme de l’illégalité en matière de commercialisation et de vente des viandes rouges et blanches. Il nous donne l’image d’un endroit livré à toute sorte de comportement hideux, répugnant et insolent. Ce qui est déplorable dans cette région qui était jadis considérée comme le flanc qui enjambe l’Algérois à travers le long massif partagé entre l’Atlas blidéen et le Sahel qui caractérise les pourtours de l’Algérois, est le fait que cet endroit est infesté par des pratiques qui portent atteinte à l’environnement et à la santé des habitants.
Les pouvoirs publics à travers les forces de sécurité, ont laissé le champ libre aux gens qui ne connaissent dans le métier de commercialiser les viandes rouges et blanches que la finalité, à savoir l’enrichissement le plus rapide possible sans se soucier de l’état de santé des gens et sans tenir compte des conditions d’abattage ou de vente d’un produit si sensible et si dangereux pour la santé publique. Maktaâ Kheïra mérite mieux que ce tableau horrifiant, effrayant et désolant à la fois.

Categories: Afrique

Mascara: Près de 260 personnes interpellées

Algérie 360 - Sun, 04/06/2017 - 22:36

Les services de police de Mascara ont traité durant le mois de mai dernier 222 affaires liées aux différents aspects de la criminalité, impliquant 258 individus dont 16 femmes et 05 mineurs, contre 255 affaires traitées en avril dernier impliquant 293 personnes. Parmi ces personnes, 69 ont été placées en détention. La sûreté a traité durant ce même mois de mai 146 affaires relatives à des atteintes aux personnes, impliquant 165 individus, dont 19 ont été placés en détention.

Concernant la nature des actes de criminalité portant atteinte aux personnes, ils sont en majorité relatifs aux coups et blessures volontaires. On comptabilise à ce sujet 76 affaires dont un homicide, 08 pour violences sur ascendants. S’en suivent les affaires d’atteinte à la dignité des personnes qui sont au nombre de 37 relatives en majorité à des insultes et injures et 34 affaires liées à des menaces. Enfin, le service a traité 07 affaires relatives à des atteintes à la famille et aux bonnes mœurs. Pour ce qui est des atteintes aux biens, la police a traité 38 affaires, impliquant 44 personnes dont 08 ont été placées en détention alors que les autres ont bénéficié de citations directes. Le bilan fait état également de 22 affaires de vols.

En matière de lutte contre les stupéfiants, la brigade antistupéfiants a mis hors d’état de nuire 43 personnes impliquées dans 34 affaires de trafic et consommation de drogues, au terme desquelles ont été saisis plus d’un kg de kif traité et 648 comprimés psychotropes. À l’issue de leurs présentations devant les autorités judiciaires, 39 suspects ont été placés en détention provisoire et les autres ont bénéficié de citations directes.

Categories: Afrique

Relizane: Huit personnes intoxiquées au monoxyde de carbone

Algérie 360 - Sun, 04/06/2017 - 22:28

Les services des UMC de l’établissement hospitalier Mohamed Boudiaf ont reçu huit personnes dont l’âge varie entre 4 et 28 ans, victimes d’accidents domestiques dus à l’inhalation du monoxyde de carbone.

En effet, cinq individus d’une même famille habitant dans la nouvelle ville Benadda Benaouda appelée communément «Bormadia» ont été secourus par les éléments de la protection civile et évacués à l’EPH avant que trois autres victimes, des enfants, ayant été victimes d’une intoxication au monoxyde de carbone, ne soient à leur tour transportés vers le même établissement sanitaire.

Les huit personnes ont été mises sous surveillance médicale et une enquête a été ouverte pour déterminer les causes réelles de ces incidents domestiques.

Categories: Afrique

Chlef: La mercuriale garde le cap

Algérie 360 - Sun, 04/06/2017 - 22:23

A la différence des années précédentes, et particulièrement au cours du mois sacré du jeûne où les prix des produits de consommation connaissent des flambées inexplicables, cette année, et une semaine après le début du ramadhan, les prix notamment connaissent une stabilité, voire une légère baisse.

D’aucuns expliquent cette situation par une large disponibilité de ces produits de grande consommation. En sillonnant les marchés des villes et villages de la wilaya de Chlef, l’on remarque des étals garnis en fruits et légumes en quantités importantes et variées. Au marché Hay Bensouna de la ville de Chlef, et dès les premières lueurs de la journée, les commerçants s’affairent à garnir leurs étals avant que les citoyens envahissent les lieux pour y faire des emplettes. Les quartiers périphériques sont aussi inondés.

Quant aux prix affichés, on peut dire qu’ils sont abordables par rapport aux années précédentes. A titre d’exemple la pomme de terre de bonne qualité est cédée à 50 dinars le kilogramme, les piments et le poivron oscillent entre 40 et 50 dinars le kilo, les carottes et les navets s’écoulent à 50 dinars le kilo, les oignons, c’est à la botte, ne dépassant pas les 100 dinars, les courgettes et les aubergines tournent entre 40 et 50 dinars le kilo, la laitue à 30 dinars et la tomate à 15 dinars.

Quant aux fruits, là également les prix sont abordables : la pastèque à 50 dinars le kilo, les abricots, les pêches à 70 dinars. Toutefois seuls le melon et le cantaloup restent légèrement chers avec les 100 dinars le kilo, les cerises sont cédées à 450 dinars le kilo, les bananes à 300 dinars.

Par ailleurs, en ce qui concerne les viandes blanches, les prix n’ont pas augmenté comme par le passé à pareille occasion. Le poulet est toujours cédé à 250 dinars le kilo, la dinde, elle, est vendue au même prix, les viandes rouges demeurent plus chères avec 1 300 dinars pour l’ovine et 1 000 dinars pour la bovine.

Categories: Afrique

Le premier Prime du concours « Taj al Quran » présenté vendredi au Palais des expositions

Algérie 360 - Sun, 04/06/2017 - 22:18

La 7ème édition du concours « Taj al Qur’an » a débuté dans la soirée de vendredi au Palais des expositions (Pins maritimes) à Alger dans une ambiance empreinte de piété, d’humilité et de dévotion.

Lors du premier Prime du concours retransmis en direct sur la chaine du Coran, les candidats de la wilaya de Bordj Bouarrerridj, Azzedine Zerfoun, et la candidate de la wilaya de Médéa, Amel Mejawri, ont décroché la première place en prévision de la finale.

Six autres candidats, filles et garçons, ont été éliminés du concours sur décision du jury composé d’enseignants universitaires et de spécialistes en sciences de la lecture et la récitation du Coran.

D’autre part, la caravane « Taj al Quran » avait sillonnée l’ensemble du territoire national à la recherche des meilleures voix en matière de récitation du Coran.

Les lauréats de cette compétition qui durera quatre semaines seront connus à la fin du mois de Ramadhan.

La soirée du premier Prime s’est déroulée en présence du président du Conseil supérieur islamique, Bouabdallah Ghlammallah qui a tenu à saluer les efforts des récitants, rappelant qu’ils étaient le produit des Medersate (écoles coraniques) du pays.

La soirée a été également marquée par la présentation de Madaeh et Anachide interprétés par la troupe « Tidinent » du sud.

Categories: Afrique

Ouargla: Les épreuves du BEM ont débuté dans de bonnes conditions dans le Sud

Algérie 360 - Sun, 04/06/2017 - 22:09

Les épreuves de l’examen du Brevet d’enseignement moyen (BEM) de l’année scolaire en cours (2016- 2017) ont débuté dimanche dans de bonnes conditions à travers les wilayas du Sud du pays, ont constaté des journalistes de l’APS.

Plus de 43.150 candidats issus des wilayas d’Ouargla, Ghardaïa, Laghouat, Tamanrasset et Adrar, devaient se rendre ce matin à travers plus de 180 centres d’examen pour subir les épreuves du BEM sous la supervision de quelque 7.000 encadreurs, selon les données des directions locales du secteur de l’éducation.

Dans la wilaya d’Ouargla, quelques 12.500 candidats, dont 84 candidats libres, se sont rendus dans les 54 centres d’examen pour passer cet examen encadré par 1.946 enseignants et agents.

Pas moins de 8.379 candidats inscrits, dont 3.604 filles et 4 candidats à mobilité réduite, passent les épreuves de l’examen de fin de cycle moyen pour l’obtention du BEM dans la wilaya de Ghardaïa, dans 29 centres d’examen, sous la supervision de 1.850 encadreurs.

En parallèle, prés de 240 policiers, 80 sapeurs pompiers et 80 infirmiers ont été mobilisés pour permettre aux élèves de subir l’examen dans de bonnes conditions dans la wilaya de Ghardaïa.

Répartis sur 38 centres d’examen et sous l’£il vigilant de 1.573 encadreurs, un total de 9.721 candidats, dont 24 libres, sont concernés par les épreuves du BEM dans la wilaya de Laghouat.

Dans l’extrême Sud, à Tamanrasset, ils étaient 3.625 candidats, dont 12 libres, attendus ce matin à travers 24 centres d’examen, encadrés par 1.235 contrôleurs, alors que la wilaya voisine  d’Adrar recense 8.924 candidats répartis sur 35 centres d’examen, toujours selon les directions de l’Education.

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Ramadan: Chaleur et ambiance algériennes lors d’un Iftar à Moscou

Algérie 360 - Sun, 04/06/2017 - 22:02

Le temps d’un Iftar de Ramadhan, des étudiants algériens de différentes facultés de Moscou se sont retrempés dans l’ambiance des soirées de ce mois sacré, à l’occasion d’un diner de rupture du jeûne organisé vendredi, dans l’enceinte de l’université de l’Amitié des peuples « Patrice-Lumumba ».

Marquant le 7è jour du Ramadhan, cette rencontre a été « chaleureuse et conviviale » de l’avis de l’ensemble des hôtes de la soirée qui ont savouré, dans une atmosphère détendue et familiale, le repas concocté à l’occasion. Munis de leurs Smartphones, certains se faisaient un plaisir de prendre des photos alors que d’autres postaient en Live des vidéos sur leur page Facebook.

Les étudiants ont grandement apprécié ce rendez-vous au cours duquel ils ont pu rencontrer et faire la connaissance de quelques uns de leurs compatriotes établis à Moscou. Ils ont également apprécié la présence à leurs côtés, de deux représentants de l’ambassade d’Algérie à Moscou qui ont tenu à partager le Ftour avec ces étudiants et être, le cas échéant, à l’écoute de leurs doléances.

L’organisateur de la soirée, Salem Ammour, est un Algérien établi à Moscou, qui assiste ses compatriotes venant étudier en Russie, en leur facilitant l’installation dans le pays de Pouchkine. « C’est devenu une tradition pour nous d’organiser ce genre de soirée pour réunir nos compatriotes« , a-t-il dit à l’APS, « Cela procure une joie indescriptible chez eux, car leur permettant de sortir de la routine et de mieux appréhender la période des examens actuelle ».

La soirée terminée, la joie se lisait sur tous les visages. Les convives quittent alors le restaurant, pour être « accueillis » à l’extérieur par un froid glacial (+4 degrés) en ce mois de juin. Toutefois, ils se disent « habitués maintenant » à la vie moscovite où la saison de l’hiver ne semble pas vouloir se terminer.

Une centaine d’Algériens étudient, dans différentes spécialités, dans les universités de Moscou, sans compter ceux qui sont dans les autres villes de Russie, à Saint Petersburg, Krasnodar, Kazan…etc.

L’Université de l’Amitié des peuples « Patrice Lumumba », où a eu lieu la soirée, réuni près de 8.000 étudiants de 152 nationalités. Elle dispose de dix facultés principales (droit, économie, sciences physiques et mathématiques, lettres, sciences humaines et sociales, génie, médecine, agriculture, écologie), outre trois facultés de formation continue spécialisée, trois unités communes de formation universitaire, 7 instituts, 33 centres d’études et de recherches et 150 laboratoires.

Categories: Afrique

Equipe nationale/Coupe d’Afrique 2019/préparations: zone mixte avec les joueurs de l’EN

Algérie 360 - Sun, 04/06/2017 - 21:57

La Fédération algérienne de football (FAF) a  organisé samedi une zone mixte entre certains joueurs de l’Equipe nationale  (EN) et les médias au niveau du centre technique national de Sidi Moussa  (Alger), siège des préparations des verts en prévision de la réception de la Guinée en amical et le Togo en ouverture des qualifications de la Coupe  d’Afrique des nations 2019 au Cameroun.

Quatre joueurs de l’Equipe nationale sont venus pour répondre aux  questions des journalistes à Sidi Moussa relatives aux deux matchs à jouer  prochainement. Il s’agit principalement de Idris Saâdi, attaquant du club belge KV  Courtrai, Sofiane Fighouli, milieux de terrain au club de West Ham FC,  Angleterre, Yacine Brahimi, FC porto Portugal et Sofiane Henni, club RSC  Anderlecht, Belgique.

Il est attendu l’arrivée des autres joueurs dimanche à l’instar de Carl  Medjani (Trabzonspor, Turquie), Abderraouf Benguit et Abderrahim Hamra (USM  Alger).

L’équipe nationale reprendra une deuxième séance d’entrainement au même  centre à partir de 22:00h avec le sélectionneur espagnol Lucas Alcaraz. Hier vendredi, le président de la FAF, Kheireddine Zetchi, était présent à  la première séance d’entrainement des verts.

Les verts disputeront un match amical mardi contre l’équipe de la Guinée  au stade Mustapha Tchaker (Blida) à 22:00h, ensuite dimanche contre le Togo  dans le même stade et le même horaire en prévision de la première tournée  des qualifications de la coupe d’Afrique des nations 2019 au Cameroun.

Sélection algérienne/CAN-2019 (préparations) : déclarations des joueurs

ALGER- Déclarations recueillis par l’APS des joueurs de  la sélection algérienne de football lors d’une zone mixte organisée par la  Fédération algérienne de football (FAF) samedi au centre technique national  de Sidi Moussa  (Alger).

Sofiane Feghouli (milieu du terrain) :   Tout d’abord je suis très heureux  de revenir à l’EN. Aujourd’hui c’est un nouveau cycle avec ce nouveau staff  technique, c’est une belle philosophie de jeu. Il n’y a pas trop de  changement chez le groupe sauf l’arrivée de quelques uns. On a passé une

période difficile. La  CAN-2017 est derrière nous, maintenant il faut  construire et voir en avant pour éviter les erreurs du passé et retrouver  un état d’esprit irréprochable pour pouvoir gagner les prochains matchs  .

Sofiane Henni (milieu du terrain) :   Comme toujours une bonne ambiance  dans l’équipe et ça c’est très important pour l’esprit du groupe. Le nouvel  entraineur nous a donné ses principes de jeu. Pour le nouveau joueur,  Idriss Saadi (Courtrai /Belgique), je le connais bien, c’est un attaquent  très puissant qui a réussi à marquer pas mal de buts lors de la saison  écoulée en Belgique, je suis très content qu’il soit avec nous dans ce  stage de préparation. Pour le moment on n’a pas encore basé sur le Togo,  mais on essaye de  travailler sur les choses qu’on a. On est déterminé afin  de montrer un beau visage par rapport à ce qu’on a fait précédemment.  Maintenant on doit gagner tous nos prochains matchs  .

Idris Saadi (attaquant) :   Très heureux d’avoir été appelé à l’équipe  algérienne, j’étais très bien accueilli et j’ai trouvé une bonne ambiance  dans le groupe. On sait qu’avec le changement du staff c’est une nouvelle  méthode du travail et on a vu hier cette philosophie qu’on doit y adhérer.

Tout le monde connaît bien l’enjeu, on  doit tous travailler pour faire  deux très bonnes rencontres. En ce qui me concerne, je suis là pour donner  le plus à cette équipe nationale. Forcément je quitterai la Belgique pour  revenir à mon club (Cardiff) .

Yacine Brahimi (milieu du terrain) :   On part avec des nouvelles bases,  avec un changement au staff technique et fédéral aussi, mais en tant que  joueurs le plus important c’est de se concentrer sur le terrain pour bien  commencer dès le match amical face à la Guinée et  gagner contre le Togo  pour  récupérer la confiance qu’on a un peu perdu. Le nouveau coach va nous  aider notamment au niveau tactique, c’est à nous à travailler.

On ne  revient pas en arrière, on doit apprendre de nos erreurs pour mieux faire  les choses. On va tout donner pour gagner les deux prochaines rencontres  .

Categories: Afrique

Attentat de Londres: aucun ressortissant algérien parmi les victimes (MAE)

Algérie 360 - Sun, 04/06/2017 - 21:54

Aucun ressortissant algérien ne figure parmi les  victimes de l’attentat terroriste ayant ciblé samedi soir le pont de London  Bridge à Londres, a indiqué dimanche le porte-parole du ministère des Affaires étrangères (MAE), Abdelaziz Benali Cherif dans une déclaration à l’APS.

« Selon les informations préliminaires recueillies par nos services  diplomatiques et consulaires à Londres, aucune victime algérienne n’est à  déplorer pour le moment dans l’attaque terroriste perpétrée hier soir à Londres« , a précisé M. Benali Cherif.

L’ambassade et le consulat d’Algérie à Londres « sont en contact permanent  avec les autorités britanniques  pour suivre l’évolution de la situation « , a-t-il assuré.

Categories: Afrique

Après l’attentat de Londres, l’Elysée assure que Macron est « aux commandes »

Le Monde / Politique - Sun, 04/06/2017 - 21:19
Prévenu dès la survenue de l’attaque, le chef de l’Etat s’est entretenu dimanche avec la première ministre britannique ainsi qu’avec les familles des victimes françaises.
Categories: France

A Black Week in Kabul: Terror and protests

The Afghanistan Analysts Network (AAN) - Sun, 04/06/2017 - 21:02

It has been an incredibly difficult week for Kabul. In four days, over a hundred people were killed and several hundreds injured – most of them in a massive terrorist attack in central Kabul on 31 May 2017. Two days later, as angry protests threatened to become violent, the police opened fire killing and injuring several more people. The next day, during the funeral of one of the victims, a triple suicide attack tore through the rows of the mourners just as they started their prayers – miraculously leaving most of the gathered Jamiat leaders unharmed. The situation in Kabul remains tense, but there have been no further protests yet, as politicians mull their options. AAN’s Martine van Bijlert and Thomas Ruttig describe how the events of the past few days unfolded and quickly became highly political (with input from Obaid Ali and Ali Adili).

This dispatch will be followed by one discussing the possible perpetrators of the 31 May and 3 June 2017 attacks.

The German news agency dpa, that has an office in Kabul, reported a total of 117 people killed and 586 injured over the last four days – to which one probably should add “at least.” There were media reports quoting Afghan officials as saying that some bodies will probably never be recovered due to the enormous strength of the explosion, which indicates that there might be a number of unknown, and uncounted, victims.

The massive truck bomb (31 May 2017)

The carnage started on 31 May 2017 when a wastewater tanker packed with an estimated 1500 kg of explosives detonated at a junction between Kabul’s Sherpur and Wazir Akbar Khan neighbourhoods, during the morning rush hour. There, the road forks off to the nearby German embassy – the most exposed building of which was destroyed beyond repair (personnel had earlier been relocated from here; there had also been warnings of a possible imminent attack) – and further on to Resolute Support’s military headquarters, the US, UK and other embassies, as well one of the presidential palace’s entrances.

The truck had reportedly been turned away from another entrance into what some foreigners call Kabul’s ‘Green Zone’ where many embassies, international organisations and leading Afghan politicians’ villas are situated. Alert policemen had reportedly not recognised the driver and had sent him away, even though he drove a truck with the sign of the company that normally services the area and had carried (false) papers that would have allowed the vehicle in. From there, the truck apparently drove to near the German embassy, was stopped again and detonated (a Tolo report has the name of the police officer who stopped the truck and was killed together with eight colleagues.) Footage from nearby surveillance cameras show the enormous strength of the explosion.

The way the events unfolded has led the German authorities to preliminarily assume, according to the same report, that the target was not their embassy in particular, but rather a ‘high-level target’ inside the Green Zone, in general.

The corner where the tanker exploded was the last point that was still accessible for general traffic before entering this part of town (see this footage). The area is usually crowded at that time of the day. As a result, not only police and security company personnel that manned the nearby check-post, but large numbers of Afghan civilians were harmed – an estimated 90 people killed and further 460 injured, some so badly that it will affect them for the rests of their lives. The explosion also badly damaged properties of banks, companies and shops in a radius of around a kilometre. This included the nearby Emergency Hospital where many injured were transported to – fortunately, only minor damage was sustained and it was able to continue operating. (1) As often after similar attacks, Kabulis flocked to hospitals in large numbers to donate blood.

There was no claim of responsibility for the attack, from neither the Taleban or Daesh’s local ‘Khorasan’ chapter (ISKP), but the Afghan intelligence (NDS), already on the same evening, accused the Haqqani network of having organised the blast, in cooperation with the Pakistani intelligence service, the ISI (Tweet in Dari here; see also this report). On 2 June 2017, the Taleban, in response, released a second statement (quoted here), this time explicitly stating that “None of our Mujahideen including those of Haqqani Sahib had any role in this event, neither does the killing of civilians benefit the Islamic Emirate.” (2)

President Ashraf Ghani, in response to the attack, ordered the execution of eleven Haqqani and Taleban prisoners – a fact that was reported but has not yet been effected. The Taleban, as in the past, responded by threatening that if prisoners were executed “all offices of the Kabul administration” would come under attack.

Vigils and debates (1 June 2017)

After the trauma of the massive blast, that was felt all over Kabul and affected almost everybody, there was a clear desire to act: take a stand against the perpetrators, but also express frustration and to make demands from the government. The grief and rage sought an outlet and was aimed in different directions: at the attackers, whoever they were, at Pakistan who was accused of having had a hand in it, and at the government and its security apparatus, who people felt should have prevented the attack.

On 1 June 2017, in an initial response, dozens of mainly young Kabulis gathered at the blast site for a vigil. Among other slogans, the protestors demanded the execution of “Daesh prisoners.” But there was hope that the outrage over the carnage would lead to more peaceful, pro-peace protests, as had been the case after earlier events (for instance after the attacks on a lake-side restaurant in Kargha in late June 2012 and the Serena Hotel in March 2014). But the debates on whether to organise a mass demonstration the next day, already held forebodings of what could happen. Several civil society groups pulled out, fearing that the protests could turn violent, would possibly be hijacked for political means, or could be targeted for further carnage – and all three did indeed happen.

Protests and more deaths (2 June 2017)

When demonstrators returned the following day, on 2 June 2017, in large numbers, the mood was more much tense and anti-government, and there was an array of agendas on display. There were calls for the government to resign in favour of an interim government. Some demonstrators carried anti-Hekmatyar posters (protesting the return and political inclusion of the Hezb-e Islami leader after a peace deal with the government, see here and here for background), as well as the green-white-black flags of the Islamic State of Afghanistan, the mujahedin government of 1992-96 (photo here; there had also been earlier anti-Hekmatyar protests immediately after his arrival in Kabul using the same insignia, organised by the Green Trend, a movement of mainly former and young Jamiatis, led by former intelligence chief Amrullah Saleh). There were even placards denouncing one of Ghani’s international advisers, saying that “Ghani dances to the orders of this man.”

At least part of the crowd wanted to march on to the presidential palace; they were stopped by the police which was out in the streets in strength. The situation turned tense as the security forces used water cannons, tear gas and batons and, at some point, live ammunition, killing a number of protestors. Figures still differ, from two dead according to Kabul’s police chief to at least seven, according to the BBC, or eight, according to Jamiati MP Hafiz Mansur, and some 30 others injured. The police chief alleged that protesters had been carrying weapons and had fired at the police, wounding four officers. Photos were circulated on social media claiming to show armed protestors.

It was a tense and confusing day, particularly as news of the deaths started coming in and being confirmed. One of the dead was Salem Ezadyar, the son of a leading Jamiati politician and current deputy chairman of the Meshrano Jirga, or Senate.

After the protest, a smaller group of demonstrators set up a tent near the Emergency Hospital (an area between the blast side and Kabul’s Shahr-e Naw) to stay in the area and keep the spirit of the protest alive. Zia Massud, who was dismissed as the president’s special representative for government reform in April of this year, who joined them later, was quoted as saying that “the people have decided to change the system and set up a temporary [interim] government” (which has been his demand, ever since he was dismissed from the government). (3)

Funerals and more carnage (3 June 2017)

On Saturday 3 June 2017, with people still reeling from the events of the day before, debates on whether to continue and possibly escalate the demonstrations were ongoing. Afghan police and intelligence officials however urged Kabul’s inhabitants to stay indoors, citing a threat of possible attacks that could target large gatherings of people (see here and here). There were no demonstrations, but people did gather for the funerals.

One of the main funerals, attended by leading politicians (mainly but not exclusively from Jamiat), was the one of Ezadyar’s son. It took place at the same cemetery where former Jamiati leader Marshal Fahim was buried, in Kabul’s northern Saray-e Shamali area. While the mourners lined up for prayers, three explosions tore through the second or third row (see dramatic footage here), killing at least 20 and injuring 119. According to the NDS the attackers had used explosive-rigged shoes. (4) This explains the relatively small casualty toll, given that the explosion took place in the midst of the mourners, as the shoes contained a relatively small amount of explosives and probably no ball bearings or other forms of shrapnel. Leaders, who had stood close by the scene of the explosions, including Chief Executive Dr Abdullah, Foreign Minister and interim Jamiat leader Salahuddin Rabbani and Amrullah Saleh remained unharmed. (5)

Emotions obviously ran high, as the crowds dispersed in disarray and anger. Smaller groups at the site reportedly started attacking the police, trying to disarm them and setting fire to two police Rangers, but were calmed by their elders, as local people told AAN. There were accusations against the government and the security organs for failing to protect the mourners, if not of conspiring with the attackers. In particular Balkh governor Atta Mohammad Nur called the 3 June attack a “cowardly conspiracy and a direct attack on a specific political current [Jamiat] [which] furthers the speculations about the hand of circles within the establishment in orchestrating these attacks.” Others on social media labelled the (Ghani part of the) government as ‘fascist’ and demanded its resignation.

Chief Executive Abdullah, who had been present during the attack, appeared live on Tolo TV from his home late that afternoon appealing for calm, while the Jamiati leadership gathered in Rabbani’s house (Abdullah had recently not been re-elected into the extended party leadership). Rabbani, in contrast, announced that he would soon make a statement about the “terrorists inside the system”, also hinting at alleged government officials’ involvement in funeral attack. The statement however never came. In the meantime, the Jamiat leadership continued to debate their course of action, while the city held its breath to see how they would respond.

Where we are now: A lull (4 June 2017)

This morning, Sunday 4 June 2017, all main routes to the palace and the site of the attack remained closed. Protestors continued to camp out in their tent close to the Emergency hospital, with reports of plans to erect more tents elsewhere. The city is not in lockdown, but it is eerily quiet in many areas, with many people opting to stay at home (several schools apparently sent the children home again, based on threat warnings).

The traditional three days of mourning after the latest deaths – those shot by government forces and those killed at the funeral – will end by Tuesday. The Jamiat leadership, which did not come to a consensus on how to act yet, has asked its supporters to refrain from protests or rioting until they have reached a decision.

The Jamiat council has reached out to other groups, some of whom had joined Friday’s protests, in the hope of forging alliances, but has so far not been very successful. Groups that were approached include Jombesh-e Melli (whose leader and First Vice President General Abdul Rashid Dostum has long been sidelined and had been bundled off to Turkey in May 2017 for ‘medical treatment’), the Protection and Stability Council headed by Abdul Rab Sayyaf, the well-organised Hazara pressure group Jombesh-e Roshnayi, as well as several civil society groups. There were also contacts between Hezb-e Wahdat and Jamiat.

All of these groups have grudges of their own and have been highly critical of the current government and its inability to meet their demands. Several of these groups, moreover, share Jamiat’s suspicions towards what they consider a Pashtun-nationalist agenda of parts of the government. But none of them seem keen to join protests that could easily turn violent and that threaten to be hijacked by groups and personalities who seem intent on (or at least give the impression they wouldn’t mind) toppling the government.

The Jamiat leadership council – that was just expanded from 9 to 60 members – is divided on how to proceed. Some want to continue protests regardless of whether they turn violent or not. Others only want protests if they remain peaceful, while some are in favour of negotiating with the government first, and reverting to protests only if the negotiations fail to bring results. The latter group seems to have lost out for the moment, as today’s invitation to come to the palace to talk was apparently refused. Governor Atta further said they had sent a delegation to Abdullah to make him clarify his position: whether he stood “with the people” or with the government. Abdullah spokesman, though, later denied that there was such ultimatum.

At the same time, in the afternoon of 3 June, Dr Abdullah was quoted by Voice of America’s Dari service as saying he was ready to step down “if it could heal the pain of the people.”

Chief Executive Abdullah, according to Mitra TV, urged the Jamiat delegation when they came to him to end the protests so that the planned international Kabul Process conference – a new regional peace initiative of the government – could go ahead and to postpone any demands that security officials be dismissed until after it . With regard to his own position, he said he would decide after the conference. (The regional conference, scheduled for 6 June was to be participated by the US, Pakistan India, Saudi Arabia, Japan, the United Kingdom, Russia, the United Arab Emirates, Qatar, Turkey, Germany, France, China, the EU and the UN – see also here).

Looking ahead

The events of the last days have again showcased the deep vulnerability of the National Unity Government. Part of this vulnerability is due to the impractical structure of the current government that was negotiated by John Kerry, then US foreign minister, after the contentious elections of 2014. Part of it is due to the deep divisions and lack of trust between the government’s two camps (those of Abdullah/Jamiat and of Ghani) and their supporters. Another part is due to the fact that many of the political factions can mobilise armed people and that in particular Jamiat has used the threat of large demonstrations that may or may not turn violent, as a political pressure tactic.

Mass demonstrations in Kabul, in particularly in response to highly emotive events, are generally met with great anxiety by the sitting government. Critics argue that this illustrates how the government is out of touch with its people, cannot acknowledge their emotions or recognise legitimate demands and does not know how to respond in ways that would defuse a tense situation. Those close to the government, on the other hand, point to the massive risks involved in the demonstrations, including that of mass casualties if the crowd is targeted (as happened earlier with this Jombesh-e Rushnayi demonstration on 23 July 2016) and the threat that armed groups may use the cover of the crowd to incite violence and attack the government (as was feared during the Zabul Seven (or “Tabasum”) demonstrations in November 2015 and the protests after the 2014 elections).

Furthermore, the demonstrations on Friday did present a struggle between those who wanted to use the gathering to express outrage and grief, and those who wanted to use the crowd to put pressure on the government (This is illustrated in this short clip where Latif Pedram, leader of a small Tajik nationalist party, is shouted down by demonstrators asking him not to make this about politics). The police, despite years of training by ISAF and now Resolute Support forces, continue to struggle with peaceful crowd control. But their job is also often greatly complicated by reports of armed demonstrators trying to move towards the palace.

For now, the momentum of the demonstrations seems to have halted. There seems to be little appetite among most politicians for a situation that spirals completely out of control. And although the current government is maddeningly dysfunctional and divided, any other politicians in their place would equally struggle to face the country’s current challenges. Given that there are no real mechanics for a change in government (despite demands for snap elections or the formation of a interim government) and no leaders that seem to garner trust beyond their immediate supporters, it is very unlikely that any radical change would lead to an improvement. And there does indeed seem to be very little appetite among the wider population to have the current weak government replaced by squabbling politicians in a fragmenting political field.

Which is of course also what bothers those who have legitimate complaints against the government. They fear that because of the near consensus that the current weak government is better than most of its alternatives, there will be no accountability for its mistakes, its negligence and the sometimes outright partisan behavior of its parts but a continuation of the less than satisfactory status quo.

 

(1) On 4 June 2017 the hospital raised an alarm, reporting “gentle threats” by some of the protesters camping outside, and appealed for the security of its staff to be safeguarded to ensure that they could keep they hospital open.

(2) Serajuddin Haqqani, the leader of the so-called Haqqani network, was appointed first deputy under then Taleban leader Mullah Akhtar Muhammad Mansur in 2015; Mansur was killed in a US drone attack in the following year.

(3) Protests were also held in Herat (photos here and here), with approximately 300 people attending. They remained peaceful. Protests in Mazar-e Sharif planned for 4 June were called off by governor’s office in the last moments and postponed to 5 June.  Protests in Takhar province held already on 3 June also went by without any disturbence. At the same time, Iranians and Pakistanis held vigils for the Afghan victims in Mashhad, Tehran and Peshawar.

(4) According to the NDS, there had been four attackers at the funeral of Salim Ezadyar, one of whom had not detonated himself. The NDS claimed to have arrested 13 “suicide attackers and terrorists,” including the fourth attacker at the funeral. In the course of the day the NDS released details and footage of the man, who apparently admitted to having been recruited and trained by the Taleban in a madrassa in Quetta, Pakistan. The Taleban reportedly rejected the accusation per WhatsApp message.

(5) Among the killed reportedly was Mawlawi Jalal, a member of the Ulema Council, and among the injured were four parliamentarians (two remained hospitalised), health minister Firozuddin Firuz, Senate chairmanFazl Hadi Muslimyar and Massud Khalili,  a close aide of late commander Ahmad Shah Massud, poet and later long-term ambassador to India and Spain. (Khalili had been in the room, and had survived, during Ahmad Shah Massud’s assassination by two terrorists masquerading as TV journalists – the bomb was hidden in a video camera – on 9 September 2001.)

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A divat és az öltözködési szokások Magyarországon - fotópályázat

PAFI - Sun, 04/06/2017 - 20:11
A kiíró idén hetedik alkalommal rendezik meg a párizsi Alliance Française Alapítvány nemzetközi fotópályázatát. A jelentkezőknek két fotót kell küldeniük "A divat és öltözködési szokások" témájában.
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Vigyázat, civilek! - ARC-kiállításra óriásplakát készítése

PAFI - Sun, 04/06/2017 - 20:00
Fejezd ki magad, hass, alkoss és nyerj! Formáld az idei ARC-ot a saját képeddel!
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Annaba : Ouverture du Festival national de la musique et de la chanson citadines

Algérie 360 - Sun, 04/06/2017 - 19:55

La 12e édition du festival national de la musique et de la chanson citadines de la ville d’Annaba a été ouverte samedi soir aux rythmes de l’Inchad et le chaâbi.

Le mounchid tunisien Hatem El Farchichi a transporté le public nombreux du théâtre régional Azzedine Medjoubi dans une atmosphère mystique gratifiant les présents avec un bouquet de chants religieux et de madihs en louange au mois sacré et au prophète Mohamed (QSSSL).

Accompagné par la troupe « Afaq » d’Annaba, le mounchid tunisien a été longuement applaudi par les familles annabies fidèles aux soirées artistiques du mois de ramadan et au festival de la musique citadine.

Le chanteur annabi Brahim Bey et l’artiste Hamidou se sont relayés sur la scène et ont majestueusement offert une panoplie de chansons chaâbie puisée du patrimoine authentique, faisant monter l’atmosphère d’un cran.

Auparavant les jeunes de l’atelier de danse de la maison de la culture « Mohamed Boudhiaf » d’Annaba avaient mis l’assistance en appétit dès le coup de starter de cette 12e édition, offrant des tableaux de danse et de chorégraphie saisissants.

De nombreux artistes locaux, dont Hamza Ben Sadouk, Hamza Boutigane et Warda Boutigane ont été honorés au cours de la cérémonie d’ouverture de cette nouvelle édition, tenue en présence des autorités locales.

Cette manifestation culturelle d’envergure propose de la musique malouf, du hawzi et du kabyle avec à l’affiche Salim Fergani, Naïma Dziria et Hasnaoui Amechtouh, aux côtés de plus de huit (8) associations culturelles et artistiques des wilayas d’Annaba, Béjaïa et Alger.

Organisée par la direction de la culture de la wilaya d’Annaba en collaboration avec le théâtre régional de la ville, le festival de la musique et de la chanson citadines se poursuivra jusqu’au jeudi prochain.

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Tipaza : recul de 53 % de la criminalité urbaine durant la première semaine de Ramadan

Algérie 360 - Sun, 04/06/2017 - 19:44

Un recul de l’ordre de 53 % a été constaté dans  le nombre des affaires criminelles traitées durant la première semaine de Ramadan comparativement à la même période de l’année dernière, a révélé  dimanche le chef de la police judiciaire de la wilaya.

Dans un point de presse consacré à la présentation du plan sécuritaire  spécial ramadan, examens de fin d’année et saison estivale 2017, le  commissaire divisionnaire Ahmed Ennech a expliqué cette baisse, constatée  dans la criminalité urbaine, par  l’ efficience de la politique préventive adoptée par la Direction générale  de la sûreté nationale, en occupant constamment le terrain et en exploitant  tous les moyens technologiques disponibles, a-t-il assuré.

Ajoutant que ce résultat positif, obtenu pour cette première semaine de  ramadan, est le fruit des efforts continus déployés, durant ces quatre (4)  derniers mois ayant vu l’enregistrement de plus de 1200 affaires, et  l’arrestation de 180 individus, dont 133 placés en détention.

D’où le calme constaté, selon lui, durant cette semaine écoulée, qui n’a  vu l’enregistrement d’aucun crime notable, à l’opposé des années passées, durant lesquelles cette période de l’année était le théâtre d’une moyenne  de deux (2) homicides, a-t-il fait savoir.

Selon le chef de la police judiciaire de la wilaya, la première semaine de  ramadhan a vu l’enregistrement de 66 affaires, dont une dizaine relatives à  des atteintes contre la chose publique, 31 à des atteintes contre des biens  et 17 aux atteintes contre des personnes, avec la récupération d’un  véhicule volé.

Plus de 3000 éléments pour sécuriser les examens de fin d’année

Dans un autre sillage, le chargé de la cellule d’information et de  communication auprès de la sûreté de wilaya a fait part de la mobilisation  de plus de 3000 éléments pour la sécurisation des examens du Brevet  d’enseignement moyen (BEM) qui se déroulent ce dimanche au niveau de 34  centres d’examen de la wilaya de Tipasa.

Soulignant le caractère exceptionnel de cette période de l’année, ayant  coïncidée avec de nombreux événements d’importance, le lieutenant Smail  Bouraâda a fait état de la mise au point, pour ce faire, d’un plan  sécuritaire spécial, réunissant les différents services de la police, avec  la mobilisation d’une grande partie des effectifs opérationnels sur le terrain, estimés à plus de 3000 éléments.

Le représentant du service d’ordre public a loué, à l’occasion, les  efforts déployés par la police en matière de sécurisation de toutes les  étapes de déroulement des examens, à commencer par le transport et la  distribution des feuilles d’examen jusqu’à la surveillance des centres de  déroulement des épreuves et de leur correction, assurant que ce même  dispositif d’exception sera adopté lors des examens du  baccalauréat.

Categories: Afrique

Téléphérique: Un programme d’exploitation spécial pour le Ramadhan (Etac)

Algérie 360 - Sun, 04/06/2017 - 19:42

L’entreprise de transport algérien par câble (Etac) a établi un programme d’exploitation spécial des téléphériques durant le Ramadhan afin de s’adapter aux besoins de ses usagers durant ce mois, a appris l’APS dimanche auprès de cette entreprise publique.

A Alger, le téléphérique d’El Madania assurera le service tous les jours à partir de 6h00 du matin jusqu’à 1h00 du matin du jour suivant avec une petite interruption à l’heure du ftour de 19h00 à 20h45, indique un communiqué de cette entreprise chargée de l’exploitation des téléphériques en Algérie.

La télécabine de Oued Koriche sera ouverte, elle aussi, 7j/7 de 7h00 du matin jusqu’à 01h00 du matin avec une interruption de 2 heures de 19h00 à 21h00.

Quant aux deux autres téléphériques d’Alger (Mémorial et Palais de la Culture), aucun changement d’horaire ne sera opéré, précise l’Etac. Pour le téléphérique de Blida, il sera ouvert de lundi à samedi (fermé le dimanche) de 8h00 à 18h00.

Un aménagement horaire est également envisagé pour la télécabine de Constantine assure le service tous les jours de 7h00 jusqu’à 00h00. Elle cessera à l’heure du ftour de 19h00 à 20h45.

Pour sa part, le téléphérique d’Annaba ouvrira ses portes 7j/7 de 7h00 à 18h00.

L’Etac a été créée en décembre 2014 en partenariat entre l`entreprise du métro d`Alger (Ema), l`entreprise de transport urbain et suburbain d`Alger (Etusa) et l`entreprise française du transport par câble (Poma).

Cette société a pour mission principale l`exploitation et la maintenance des installations de transport par câble ainsi que l`étude et la réalisation des systèmes de transport par câble.

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Activités subaquatiques : la Fédération algérienne risque des poursuites judiciaires à cause de ses dettes

Algérie 360 - Sun, 04/06/2017 - 19:36

La Fédération algérienne de sauvetage, de secourisme et des activités subaquatiques (FASSAS) est menacée de poursuites judiciaires en raison des dettes estimées à 16 millions de dinars et cumulées par l’ancien bureau durant le mandat olympique 2013-2016, a averti son président Mohamed Boukhedar.

« La fédération souffre actuellement des dettes non-payées par le bureau sortant. Quelques créanciers nous menacent de poursuites judiciaires, d’autres sont passés à l’acte, intentant des actions en justice. Cette situation embarrassante nous perturbe pour la réalisation de notre programme d’activités pour l’exercice en cours », a déclaré Boukhedar à l’APS, soulignant que la priorité était l’épuration des dettes.

« Nous nous sommes réunis avec le directeur général des sports au ministère qui s’est montré très compréhensif par rapport à cette question et a promis de nous aider à solutionner ce problème pour permettre à la fédération de commencer à travailler dans de bonnes conditions », fait savoir le premier responsable de la FASSAS qui a trouvé 6 millions de DA dans les caisses de l’instance fédérale, la moitié ayant été dépensée depuis le début du mandat 2017-2020.

Le nouveau président de la Fédération algérienne de sauvetage, de secourisme et des activités subaquatiques compte énormément sur l’apport du ministère de la Jeunesse et des Sports pour sortir de cette situation embarrassante, indiquant que le budget prévisionnel annuel pour la réalisation du plan d’activités s’élevait à 36 millions DA.

Pour ne pas rester inactive, la fédération étudie la possibilité d’organiser des tournois locaux pas très couteux durant la prochaine période en attendant l’assainissement de la situation financière.

« La FASSAS a perdu de son aura et ses activités ont disparu de la scène sportive nationale et internationale depuis belle lurette. Notre objectif est que la fédération retrouve son image de marque le plus tôt possible », souhaite Boukhedar.

Concernant la sélection nationale, le patron de la FASSAS s’est engagé, « une fois la situation financière rééquilibrée », à former une équipe « capable de porter haut l’emblème national » à l’occasion des prochaines échéances internationales.

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Parce que le chirurgien est étranger à l’établissement Hospitalier (Ouargla) : Des instrumentistes refusent de participer à une intervention chirurgicale

Algérie 360 - Sun, 04/06/2017 - 19:24

Une équipe d’instrumentistes de l’hôpital Mohamed-Boudiaf, de la ville d’Ouargla, ont refusé d’assister les chirurgiens dans une intervention chirurgicale sur un patient présentant une fracture du fémur avec os à l’extérieur.
L’urgence du cas a exigé la sollicitation d’un chirurgien externe à l’établissement, qui maîtrise une technique spéciale, pas encore maîtrisée par l’équipe médicale de l’hôpital. Un orthopédiste traumatologue a posté sur son compte d’un réseau social un commentaire dénonçant une non-assistance à personne en danger. “Les instrumentistes ont refusé de l’épauler sur instruction du directeur de l’hôpital qui le leur a interdit, car il est étranger à l’établissement (…) Pis encore, à un moment de l’intervention, le patient a fait une hémorragie, alors moi et mon collègue, nous les avons suppliés de nous porter aide, mais ces derniers ont toujours refusé.” En réponse, le directeur de l’hôpital Mohamed-Boudiaf a apporté les précisions suivantes : “L’hôpital est une institution publique à caractère administratif régie par des lois et un règlement intérieur qui doivent être respectés. Il est donc interdit à toute personne étrangère à l’établissement d’exercer une activité médicale ou autre sans permission de l’administration.” Une enquête a été ouverte sur cette affaire.

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Stream Sytem, participe pour la 2 ème fois consécutive au salon MELCO 2017 en Espagne

Algérie 360 - Sun, 04/06/2017 - 19:17

Du 06 au 07 Juin 2017 Stream System, premier fabricant électronique Algérien et exportateur vers l’Europe participera, en tant qu’exposant, pour la 2 ème fois consécutive au salon professionnel Melco 2017 en Espagne.

Toujours dans l’optique de développer de nouveaux partenariats et décrocher de nouveaux marchés d’exportation, Stream System, participe chaque année à ce salon en tant qu’exposant Algérien spécialisé dans le domaine de l’électronique. Cette année encore nous souhaitons atteindre de nouveaux objectifs grâce à cette participation fidèle à ce salon spécialisé dans les technologies électroniques et les innovations.

Pendant deux jours le salon Melco va être le point de rencontre des professionnels du secteur de l’industrie électronique et qui regroupera l’élite des principaux producteurs / fournisseurs, des canaux de distributions tels que Carrefour, Confirama, leclerc , El corte Ingle, et les éventuels acheteurs.

Toujours dans le but de générer des résultats concrets pour tous les participants, Melco attire tous types de visiteurs essentiellement des experts du domaine de l’électronique à travers des rendez-vous officiel, Stream System présentera ces produits innovants qui sont d’ores et déjà nominés au Melco Awards 2017.

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Réclament le droit à un emploi dans des sites pétroliers: Les chômeurs de Serguine bloquent la route

Algérie 360 - Sun, 04/06/2017 - 18:53

La population de la localité de Serguine, sans emploi, multiplie les manifestations de rue pour réclamer le droit au recrutement au site de forage d’hydrocarbures, pris en main conjointement par deux entreprises étrangères, l’espagnole Repsol et l’anglo-néerlandaise Shell. Estimant que la priorité des emplois dans la région  doit être donnée aux locaux, les chômeurs de ladite localité ne décolèrent plus. Il y a quelques jours, ils ont observé un sit-in devant la cité administrative de Ksar Chellala. L’action n’ayant pas abouti aux objectifs qui lui ont été assignés, soit faire entendre leurs revendications par les autorités locales et les opérateurs sur le site de forage, ils ont enchaîné le mouvement de protestation par le blocage de la route menant à Serguine. Selon les manifestants, ces actions sont jusque-là pacifiques. Ils ne préjugent néanmoins pas de l’avenir si les autorités compétentes, interpellées maintes fois, continuent à faire la sourde oreille.

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