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Diplomacy & Defense Think Tank News

Nikos Christodoulides, élu président de la République de Chypre

Fondation Robert Schuman / Publication - Mon, 13/02/2023 - 01:00
Nikos Christodoulides, ancien ministre des Affaires étrangères (2018-2022) et ancien porte-parole du gouvernement (2013-2018), a remporté le 12 février l'élection présidentielle organisée à Chypre par 51,97% des suffrages lors du deuxième tour. Ancien membre du Rassemblement démocratique (DISY), sou...

Auszubildende zum/r Fachangestellte*n für Markt- und Sozialforschung (FAMS) (m/w/div)

Die am DIW Berlin angesiedelte forschungsbasierte Infrastruktureinrichtung Sozio-oekonomische Panel (SOEP) ist eine der größten und am längsten laufenden multidisziplinären Panelstudien weltweit, für die derzeit jährlich etwa 30.000 Menschen in knapp 15.000 Haushalten befragt werden. Das SOEP hat den Anspruch den gesellschaftlichen Wandel zu erfassen und steht somit immer neuen und vielfältigen Themen- und Aufgabenfelder gegenüber. Seine Datenerhebung und -generierung folgt dem Konzept des Survey bzw. Data Life Cycle.

Wir suchen zum 1. September 2023

Auszubildende zum/r Fachangestellte*n für Markt- und Sozialforschung (FAMS) (m/w/div)

Die duale Ausbildung findet sowohl am Arbeitsplatz im SOEP als auch in der Berufsschule statt. Zudem ist vorgesehen, dass Sie während der Ausbildungszeit bei einem unserer zahlreichen Kooperationspartner Einblick in die Arbeitsweise anderer vergleichbarer Forschungseinrichtungen gewinnen und dort ein Praktikum absolvieren. Weiterhin wird im Rahmen der rechtlichen Möglichkeiten ein Auslandspraktikum unterstützt.

Die Ausbildung dauert drei Jahre mit der Option einer Verkürzung. Eine Ausbildung in Teilzeit ist möglich. Die Ausbildungsvergütung orientiert sich am Tarifvertrag für Auszubildende des öffentlichen Dienstes (TVAöD), der u.a. eine Jahressonderzahlung vorsieht.


Union européenne : quelle réponse face au protectionnisme américain ?

IRIS - Fri, 10/02/2023 - 16:16

Sylvie Matelly, directrice adjointe de l’IRIS, vous donne régulièrement rendez-vous pour ses “Chroniques géoéconomiques”.

À l’occasion de la visite du ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, Bruno Le Maire, et son homologue allemand aux États-Unis, elle revient sur les potentielles réponses européennes à apporter au protectionnisme américain :
– Quelle est actuellement la situation économique mondiale ?
– Que sont partis négocier Bruno Le Maire et son homologue allemand à Washington ce 7 février ?
– Que peut mettre en place l’Union européenne pour faire face au protectionnisme américain ?

➡️ Retrouvez tous les épisodes des « Chroniques géoéconomiques » sur la chaîne YouTube de l’IRIS.

➡️ Pour aller plus loin, retrouvez les notes du programme « Géopolitique et Entreprises » de l’IRIS.

Suite à l’impair de Make Sunsets, le Mexique en tête de la lutte contre la géo-ingénierie solaire ?

IRIS - Fri, 10/02/2023 - 12:34

En décembre dernier, les opérations de géo-ingénierie solaire menées au Mexique par la start-up américaine Make Sunsets ont été médiatisées, suscitant de vives critiques de la part des milieux scientifiques et des ONG environnementales. Le gouvernement mexicain, qui n’avait pas été consulté au préalable, a immédiatement condamné ces opérations, et annoncé qu’elles seraient interdites sur son territoire. Le point avec Marine de Guglielmo Weber, chercheuse au sein du programme Climat, Énergie et Sécurité de l’IRIS.

En quoi consistent les opérations menées par la start-up Make Sunsets ? 

Il s’agit d’opérations de géo-ingénierie solaire, qui consistent à diffuser des aérosols dans la stratosphère afin de réfléchir une partie du rayonnement solaire entrant. Il s’agit, en d’autres termes, de diminuer la température planétaire par la diffusion de particules réfléchissantes, ce afin de compenser le réchauffement climatique sans toucher à sa cause première, la quantité de dioxyde de carbone présent dans l’atmosphère. Les recherches scientifiques dans le domaine sont encore très peu avancées. Les projets de géo-ingénierie solaire sont encore, pour la plupart, au stade de la modélisation numérique, et n’ont pas franchi le cap des expérimentations sur le terrain du fait de risques considérés comme trop élevés, et trop mal connus. Des incertitudes pèsent notamment sur les conséquences sanitaires des substances diffusées, sur les conséquences d’une réduction du rayonnement solaire sur la santé des écosystèmes, et sur l’éventuelle irréversibilité d’un déploiement de la géo-ingénierie solaire au regard du risque de « choc de terminaison » : le réchauffement brutal qui résulterait d’un arrêt des déploiements.

C’est la raison pour laquelle le secteur était extrêmement surpris de voir une société commercialiser ces techniques de manière prématurée, ce sous la forme de « crédits de refroidissement » correspondant aux particules libérées dans l’air. En décembre dernier, la start-up américaine Make Sunsets a en effet annoncé avoir procédé à des opérations mineures d’injection d’aérosols dans la stratosphère par lancement de ballons, non pas sur le sol américain, mais au Mexique, sans consultation du gouvernement.

Quelle a été la réaction du gouvernement mexicain ? 

Le 13 janvier, le gouvernement mexicain a réagi publiquement, tout d’abord en notifiant que les injections d’aérosols stratosphériques effectuées par Make Sunsets avaient été effectuées sans aucune autorisation ni consultation préalable. Il a en outre annoncé qu’il allait interdire toute expérimentation de géo-ingénierie solaire sur son territoire, au regard de l’absence d’accords internationaux sur le sujet, et en vertu de la nécessité de protéger les communautés locales et l’environnement. La géo-ingénierie solaire va ainsi faire l’objet d’une action coordonnée entre le ministère mexicain de l’Environnement et des Ressources naturelles, chargé de mettre en place une stratégie pour l’interdiction et/ou l’arrêt des pratiques, et le Conseil national pour la science et de la technologie, qui va étudier la littérature scientifique existante sur les techniques en développement pour en étudier les risques.

Le Mexique est ainsi le premier État à annoncer une interdiction totale et explicite des expériences de géo-ingénierie solaire. Il est, plus globalement, l’un des premiers États à prendre publiquement position sur le sujet, un an après la décision prise, par les États-Unis, d’encourager et de coordonner la recherche en géo-ingénierie sur son territoire.

Quelles sont les conséquences de la prise de position mexicaine ? 

En premier lieu, les opérations de Make Sunsets ont été suspendues jusqu’à nouvel ordre suite à la réaction du Mexique. Cette affaire a plus largement mis en évidence le risque d’un déploiement unilatéral de la géo-ingénierie solaire, ce qui doit inciter les gouvernements à communiquer et à se positionner sur le sujet. C’est en ce sens que le Center for International Environmental Law a salué l’interdiction des expérimentations par le Mexique, et a invité tous les gouvernements à faire de même. Ainsi, l’impair commis par cette société pourrait relancer les discussions internationales sur d’éventuels encadrements et/ou restrictions des recherches sur le sujet, discussions avortées en 2019, lors du refus de la proposition, déposée auprès du programme des Nations unies pour l’environnement par la Suisse et neuf autres pays, d’évaluer les options de géo-ingénierie. Par ailleurs, la réaction du gouvernement mexicain est susceptible d’exercer un effet dissuasif sur d’autres sociétés qui seraient, elles aussi, tentées de profiter du vide juridique qui entoure la géo-ingénierie pour commercialiser de telles techniques.

Le risque d’une intervention sur la stratosphère éprouve enfin le concept de souveraineté étatique, en tant qu’il s’agit d’une intervention sur un bien commun (commons-based geoengineering ou CBG). Les biens communs mondiaux, à l’instar de l’atmosphère et de la haute mer, ne sont que partiellement ou indirectement régis par le droit international, et ne font pas l’objet d’une réelle gouvernance démocratique. Ce point est d’autant plus problématique que toute modification du climat planétaire menace la sécurité nationale et la souveraineté territoriale de tous les États, incapables de protéger leur territoire des actions d’un autre État. Dans le cas précis des lancements de l’entreprise Make Sunsets, la question de la souveraineté étatique est encore plus brûlante, puisqu’il s’agit de technologies aspirant à avoir une portée planétaire, développées par une entreprise américaine, et déployées sur le territoire d’un autre État. La réaction du Mexique révèle ainsi toutes les tensions induites par les liens entre souveraineté étatique et sécurité climatique internationale, et manifeste une volonté de sécuriser un territoire national de plus en plus exposé aux déstabilisations anthropiques et délibérées de l’atmosphère.

« L’armée romaine, première armée moderne » – 4 questions à Nicolas Richoux

IRIS - Fri, 10/02/2023 - 10:20

Général en deuxième section du corps des officiers généraux et consultant défense sur LCI, Nicolas Richoux répond aux questions de Pascal Boniface autour de son ouvrage « L’armée romaine, première armée moderne », paru aux éditions Pierre de Taillac.

 

Les Romains avaient intégré l’importance du fait urbain dans leurs objectifs stratégiques. Est-ce toujours un facteur décisif ?

Dans l’Antiquité, les villes contribuaient déjà au maillage territorial. Là étaient hébergés les garnisons militaires et les éléments de police chargés du maintien de l’ordre. On y trouvait les bases logistiques pourvoyeuses d’argent, de moyens et de renforts. C’était généralement là que se situaient les organes du pouvoir local ou national. Elles constituaient des symboles visibles de l’autorité de l’État ou du chef. Elles étaient à la fois foyer culturel et religieux, de même que centre économique et donc lieu de concentration de richesses. Elles constituaient en temps de guerre ou de trouble un refuge pour les biens et les personnes. Elles devaient donc être saisies.

Aujourd’hui la ville reste un objectif central des opérations, surtout dans nos civilisations modernes caractérisées par la densité urbaine. Même les facteurs religieux, qui paraissent aujourd’hui moins importants en Occident notamment, peuvent rester des abcès de fixation importants. Aussi, les motifs qui sous-tendent sa saisie restent-ils pérennes, surtout lorsqu’il s’agit d’une capitale. Si elle avait réussi, la prise de Kiev par les forces russes en février/mars 2022, avec la saisie des lieux de pouvoir (palais présidentiel, Parlement, sièges des principaux médias etc.), aurait certainement porté un coup décisif à la résistance ukrainienne. Elle aurait notablement renforcé le prestige de Vladimir Poutine, qui aurait alors été célébré comme réunificateur moderne de la « Russie éternelle » et de l’Orthodoxie.

Un autre de leurs principes était la concentration des efforts, ce que n’a pas fait l’armée russe en Ukraine

La concentration des efforts, premier des principes de Foch, était déjà connue, même de manière empirique, par les Romains. En 70, lors de la campagne de Judée contre les Juifs révoltés, Titus avait établi avec raison que le centre de gravité de sa campagne devait être impérativement Jérusalem, capitale politique, économique, spirituelle de la Judée et siège des insurgés. Il fit donc converger vers la ville les quatre légions dont il disposait, et attaqua en un point précis (rempart ouest) avec trois d’entre elles. Il emporta la ville, mais il lui fallut quand même 139 jours !

En 2022, les Russes, persuadés d’entamer une « promenade militaire » semblable à celle de la conquête de la Crimée en 2014, semblent avoir royalement ignoré ces deux questions centrales du centre de gravité et de la concentration des efforts, pourtant théorisées depuis de nombreuses années et enseignées dans les académies militaires modernes. Ceci les a amenés à attaquer de manière omnidirectionnelle sur toute l’étendue du front, territoire pourtant gigantesque au regard des effectifs engagés notoirement insuffisants. Or, quand on veut être partout, on n’est nulle part. Incapables d’appliquer un quelconque effort ni d’établir un rapport de forces favorable (l’offensive exige un rapport de trois contre un minimum), ils furent petit à petit repoussés de leurs trop nombreux objectifs : Kiev, Kharkiv et Odessa… Un mois après l’invasion, la campagne était d’ores et déjà un échec.

La liberté d’action reste également un principe d’actualité…

La dispersion des efforts produit un effet induit majeur : il force le général à engager toutes ses troupes, sans possibilité de conserver à la main une réserve opérationnelle conséquente. À partir de cet instant, il ne lui est plus possible de faire face aux situations non conformes, ni de varianter ses efforts en fonction de l’évolution de la situation. La perte de l’initiative qui en découle signifie la perte de sa liberté d’action et, dès lors, le général n’impose plus mais il subit.

On le voit nettement en 2022 à la suite des échecs devant Kiev et Kharkiv. Dès avril, les Russes avaient perdu environ la moitié du corps blindé mécanisé engagé en février et ils s’avérèrent dès lors incapables de reformer une réserve convenable, ni de créer les conditions d’une supériorité numérique indiscutable qui leur aurait permis de reprendre l’offensive et de percer. Pire, leur entêtement provoqua une attrition irrémédiable de leur corps de bataille. Ils subirent ensuite assez logiquement la contre-attaque ukrainienne de septembre, en perdant en quelques jours le terrain gagné en plusieurs mois et en subissant de lourdes pertes supplémentaires. La réponse vint avec une mobilisation trop tardive et sans doute trop partielle. À ce jour, les Russes n’ont toujours pas retrouvé la capacité de manœuvre susceptible de restaurer leur liberté d’action et de créer les conditions du succès.

Ils avaient notamment, à l’image de Jules César, insisté sur l’importance de la logistique…

De tous les écrivains antiques, c’est vraisemblablement Jules César qui s’attarde le plus sur la fonction logistique. Dans ses relations de la Guerre des Gaules et de la Guerre civile qui s’ensuivit, il est frappant de voir comment il justifie à de multiples reprises ses choix par la nécessité d’assurer les approvisionnements de son armée. Il insiste sur les nombreuses difficultés et défis logistiques auxquels il doit constamment faire face, décrit leur incidence sur les opérations en cours et n’hésite pas à modifier son plan de campagne le cas échéant. Dans la Guerre des Gaules par exemple, il interrompt la poursuite des Helvètes en marche vers l’ouest (58 avant J.-C.) pour assurer le ravitaillement de son armée qui n’a plus que deux jours de vivres. On le voit par ailleurs réclamer en permanence du blé à ses alliés gaulois. Assurer ses approvisionnements et sécuriser ses lignes logistiques sont de toute évidence pour lui un problème dépassant largement le cadre tactique pour devenir une préoccupation résolument stratégique, surtout quand l’urgence impose son tempo.

En 2022, la certitude d’une campagne courte, liée à des pratiques de corruption bien ancrées dans la société russe expliquent sans doute la faillite logistique russe en début de campagne. « L’opération militaire spéciale », pensée comme courte, misant sur l’écroulement de l’armée ukrainienne et le ralliement spontané de la population, a négligé de mettre en place tout ce qui lui aurait permis de s’inscrire dans la durée. Par ailleurs, aucun des besoins liés à l’économie de guerre, à la réserve ou aux renforts notamment, n’a été véritablement pensé ou mis en place.

Effektivität und Legitimität der G7

SWP - Fri, 10/02/2023 - 02:00

Am 1. Januar 2023 hat Deutschland den G7-Vorsitz an Japan übergeben. Für ihr Präsidentschaftsjahr hatte sich die Bundesregierung eine progressive Agenda vor­genommen, die jedoch früh vom Angriffskrieg Russlands gegen die Ukraine über­lagert wurde. Dennoch sind einige materielle Erträge zu verzeichnen, darunter der Klimaclub. Die Wirksamkeit dieser Maßnahmen lässt sich zwar noch nicht prüfen; sehr wohl kann aber die Kriseneffektivität der G7 beurteilt werden, ebenso wie die Frage, wie legitim sie regiert. Die Kritik an mangelnder Legitimität des globalen Regierens durch informelle Foren (Club Governance) ist nicht neu. Sie macht sich daran fest, dass die von wenigen Regierungen initiierten Vorhaben sich auf eine Viel­zahl von staatlichen und nichtstaatlichen Akteuren auswirken, die auf den Politikprozess kaum Einfluss nehmen können. Selektive Partizipation, mangelnde Trans­parenz und fehlende Rechenschaft sind Kritikpunkte, die häufig gegen Club Gover­nance vorgebracht werden. In diesen drei Dimensionen wie auch mit Blick auf die Kriseneffektivität schneidet die G7 recht gut ab.

Verhandlungen über ein Freihandelsabkommen zwischen Indien und der EU

SWP - Fri, 10/02/2023 - 01:00

Im Sommer 2022 haben die Europäische Union (EU) und Indien erneut Verhandlungen über ein Freihandelsabkommen aufgenommen, um ihre strategische Partnerschaft zu vertiefen. Darüber hinaus verhandeln die beiden Seiten über ein Investitionsschutzabkommen sowie ein Abkommen zum Schutz geographischer Herkunfts­angaben. Die EU möchte damit ihre Beziehungen zu den Staaten im Indo-Pazifik diversifizieren und unterstreicht Indiens herausgehobenen Stellenwert. Indien will durch die Koope­ra­tion mit der EU seine wirtschaftliche und technologische Modernisierung vorantreiben, die für die angestrebte größere internationale Rolle des Landes unabdingbar ist. Anders als die 2013 gescheiterten Gespräche sind die jetzigen Verhandlungen von dem Paradox gekennzeichnet, zugleich einfacher und komplizierter zu sein. Sie sind einfacher, weil die EU und Indien heute in geopolitischen Fragen vor allem mit Blick auf China mehr Übereinstimmung haben als je zuvor. Sie sind aber auch komplizierter, weil der Erfolg der Verhandlungen weiterhin von schwierigen Zugeständnissen auf beiden Seiten abhängt. Doch erneu­t zu scheitern ist weder für Indien noch für die EU mit Blick auf die Zukunft ihrer strategischen Partnerschaft eine Option.

Aider l’Ukraine : jusqu’où ?

IRIS - Thu, 09/02/2023 - 18:15

Volodymyr Zelensky, après son déplacement aux États-Unis il y a quelques semaines, réalise actuellement une tournée européenne entamée à Londres, son principal soutien en Europe, avant de se rendre à Paris et Bruxelles. Partout, il a reçu un accueil chaleureux. A Bruxelles, aussi bien Charles Michel que la présidente du Parlement européen, Roberta Metsola, ont déclaré que Zelensky était ici chez lui, en référence notamment à la candidature de Kiev pour intégrer l’UE. Si le soutien à l’Ukraine est essentiel, elle n’est pour autant pas prête à intégrer l’UE, d’autant que la vision stratégique ukrainienne ne s’aligne pas tout à fait sur les intérêts des membres, notamment occidentaux, de l’Union. L’analyse de Pascal Boniface.

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