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Union européenne

Le futur que Google nous prépare

Regards citoyens - Sun, 16/08/2015 - 16:41
Source : Pierrick Marissal, pour L'Humanité, le 29 juillet 2015. Hégémonique et tentaculaire, la firme californienne est une entreprise au pouvoir quasi souverain. Mais derrière le prédateur ...
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Article - Stages au Parlement européen : une nouvelle période d'inscription débute

Parlement européen (Nouvelles) - Fri, 14/08/2015 - 09:00
Général : A la recherche d'une première expérience professionnelle dans le milieu des affaires européennes ? Envie de découvrir le travail d'une institution ? Le Parlement européen propose plusieurs types de stages et permet ainsi aux diplômés universitaires ou aux étudiants de se familiariser avec ses activités. Une nouvelle période d'inscription débute le 15 août : découvrez comment vous porter candidat.

Source : © Union européenne, 2015 - PE
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Turquie: il n’y aura pas de coalition gouvernementale

RFI (Europe) - Fri, 14/08/2015 - 00:21
En Turquie, le Premier ministre et président de l'AKP, le parti au pouvoir, Ahmet Davutoglu, a annoncé jeudi soir l’échec des concertations avec le principal parti d’opposition, le CHP, pour former une coalition gouvernementale. Cet échec ouvre une voie quasi-certaine à de nouvelles élections à l’automne.
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À Kos, l’accueil s’améliore, mais la situation reste critique

RFI (Europe) - Thu, 13/08/2015 - 18:23
La situation sur l’île de Kos en Grèce toujours préoccupante : ce matin, des centaines de réfugiés - des Syriens pour la plupart - ont de nouveau débarqué sur les plages de l’île, en provenance de Turquie. Ils doivent ensuite s’enregistrer auprès des autorités locales. Après les violences qui ont éclaté ces derniers jours, des moyens supplémentaires ont été déployés pour faire face à l’afflux de migrants. Et jeudi 13 août, pour la première fois depuis le début de la semaine, l’accueil s’est fait dans des conditions un peu moins chaotiques.
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Daniel Cohn-Bendit: "Le souverainisme est de droite parce qu’il repose sur l’égoïsme national et l'égoïsme n'est pas une valeur de gauche"

Coulisses de Bruxelles - Thu, 13/08/2015 - 10:31

Pour Daniel Cohn-Bendit, ancien coprésident du groupe Vert au Parlement européen, le souverainisme est une idée de droite « car il repose sur l’égoïsme national ». Pour lui, la gauche devrait tirer les leçons de la crise grecque et se battre pour organiser la solidarité entre les peuples européens, comme le propose François Hollande.

L’accord avec la Grèce est-il le résultat d’un « diktat » allemand ?

L’Allemagne a une idée très précise de la façon dont doit fonctionner l’euro : le règlement de copropriété de la monnaie unique, arrêté en commun, doit-être être respecté et les transferts financiers entre États exclus, car chacun reste responsable de sa politique économique et budgétaire. Même si l’Allemagne, sous pression de ses partenaires, a finalement accepté que les États en faillite soient aidés, c’est à condition que les pays en difficulté suivent une cure d’austérité pour redresser leurs comptes publics et faire redémarrer l’économie. Une conception partagée par une grande majorité des gouvernements de la zone euro, ceux du nord, mais aussi ceux du sud qui ont renoué avec la croissance en appliquant les recettes du nord de l’Europe. Autrement dit, si l’Allemagne a pu avoir une position très dure au cours des négociations avec la Grèce, c’est parce qu’elle était largement soutenue, seule la France ayant émis quelques réserves. On ne peut donc absolument pas parler de « diktat » allemand.

Pourquoi Alexis Tsipras a-t-il finalement cédé ?

Les Grecs voulaient le beurre, l’argent du beurre et le sourire de la crémière. À 60 %, ils ont rejeté l’austérité, mais à 80 % ils voulaient rester dans la zone euro. Tsipras a dû trancher. En décidant de rester dans l’euro, il n’avait d’autre choix que de trouver à n’importe quel prix un accord avec ses partenaires. J’ai trouvé terrifiant que beaucoup trouvent géniale l’idée du référendum grec du 5 juillet parce que c’était soi-disant démocratique. Mais si en Allemagne, en Finlande, aux Pays-Bas, on avait fait un référendum pour savoir si on devait redonner de l’argent aux Grecs, le résultat aurait été négatif et de façon écrasante. C’est démocratie contre démocratie et dans cette affaire les Grecs sont minoritaires. Il ne devrait y avoir en Europe que des référendums transeuropéens sur les questions européennes avec une double majorité, celle des États et celle des peuples. Tant qu’on ne sortira pas de ce souverainisme démocratique national, on n’y arrivera pas. Le défi, c’est de faire émerger une souveraineté européenne qui sera la base d’une démocratie fédérale.

Si l’Irlande, le Portugal et bientôt Chypre sont tiré d’affaires, ce n’est pas la cas de la Grèce qui en est à son troisième plan d’aide.

Ce dont a besoin la Grèce, c’est de temps pour se doter d’un Etat fonctionnel. Pour l’instant, elle est même incapable de dépenser l’argent qu’on lui verse sans aide administrative européenne. Au début de la crise, en 2010, le commissaire à l’agriculture avait appelé son collègue grec pour lui dire qu’il y avait entre 3 et 6 milliards d’euros de disponible dans le budget agricole. Il ne l’a jamais rappelé. C’est pareil dans tous les secteurs. Savez-vous qu’il y a plus de panneaux solaires et d’éoliennes en Suède qu’en Grèce ! Ce qu’on doit faire dans ce pays, c’est du « state building » afin que l’Etat soit capable d’accompagner l’économie et de lever l’impôt. Je me demande aussi pourquoi Athènes n’a toujours pas demandé à la Suisse combien de fonds grecs – on parle de 20 à 30 milliards d’euros- ont trouvé refuge dans ses coffres pour vérifier s’il ne s’agit pas de fraude fiscale. De même, si Tsipras a été capable d’organiser un référendum en dix jours, pourquoi n’en fait-il pas un pour modifier la Constitution afin de taxer armateurs et Eglise ? Ou encore, pourquoi ne pas réduire le budget militaire pour abonder à hauteur de deux milliards par an un fonds de protection social minimal ? Il faut savoir qu’il n’existe pas de revenu minimal garanti après un an de chômage, ce qui concourt à la crise humanitaire. Les Européens pourraient y consacrer 5 milliards d’euros sur le prochain plan d’aide. Cela aiderait à bâtir une vraie solidarité européenne. Mais, bon, je ne suis pas sûr que le partenaire de coalition de Syriza, le parti de droite radicale ANEL, accepte de diviser par deux le budget de la défense…

L’Allemagne a-t-elle été solidaire de la Grèce ?

La désolidarisation est générale en période de crise. Il y a une Allemagne égoïste, une France égoïste, une Finlande égoïste, etc. Regardez ce qui s’est passé pour la répartition du traitement des demandes d’asile : cela a été un festival d’égoïsmes nationaux. Mais, en même temps, la solidarité existe en dépit des postures des uns et des autres. Ainsi, les Allemands qui ne voulaient pas d’une Europe des transferts financiers ont accepté la création du Mécanisme européen de stabilité qui est en fait l’équivalent d’un trésor européen : c’est par ce biais qu’on a transféré à la Grèce plus de 200 milliards d’euros (en tenant compte du troisième plan d’aide), des emprunts faits sur les marchés, mais garantis par les États. Et il faut ajouter les 53 milliards de prêts bilatéraux de 2010. Tout le monde triche et cela fausse le débat européen ! Au lieu de tirer les conséquences d’une monnaie unique et de l’assumer, on mène une politique économique et financière de plus en plus bancale.

Une solidarité qui profite aux banques affirme une partie de la gauche française…

C’est du baratin ! Aucune société ne peut vivre sans banques : les banques, c’est le crédit, cela permet aux entreprises, aux agriculteurs, aux ménages de vivre. Pour faire fonctionner une économie de marché, on a besoin d’elles.

N’est-il pas plus facile de changer la France qu’une Europe majoritairement de droite ?

Il n’existe pas de majorité en France pour changer de modèle économique pas plus que dans les autres pays. Ce n’est pas l’Europe qui est de droite, ce sont les sociétés qui sont de droite. L’alternative à François Hollande qui est un social-démocrate, c’est Nicolas Sarkozy, Alain Juppé ou Marine Le Pen, pas Jean-Luc Mélenchon ou Arnaud Montebourg. Il est aussi difficile de faire changer l’Europe que de changer les politiques des États nations.

La crise grecque n’a-t-elle pas montré que la zone euro ne pouvait pas être cogérée par les États ?

La folie intergouvernementale a atteint ses limites. Il n’est pas rationnel que 19 chefs d’État et de gouvernement passent une nuit blanche pour trouver, à l’unanimité, une solution à un problème économique et financier. C’est aberrant. La fédéralisation de l’Europe, c’est le seul moyen d’organiser de la solidarité entre les États et les peuples. L’intergouvernemental, c’est l’institutionnalisation de barrières nationales à la solidarité, car chacun réagit en fonction de son opinion publique.

De plus, personne n’est là pour représenter l’intérêt européen, la Commission n’ayant aucun statut.

Ce sont les ministres des Finances de l’Eurogroupe qui décident de tout à l’unanimité et leur président est le ministre néerlandais des Finances, ce qui est une aberration. La monnaie unique implique qu’on ait une institution qui représente l’intérêt général européen.

François Hollande propose justement de créer un budget de la zone euro.

De fait, l’Union ne dispose pas d’un budget capable d’agir en cas de crise : 1 % du PIB communautaire, c’est ridicule, alors que le budget américain pèse 23 % du PIB. Quand la Californie tombe en faillite, les programmes sociaux et d’investissement, qui sont des programmes fédéraux, continuent à fonctionner. Si le budget que propose Hollande est doté de 200 ou 300 milliards d’euros, si on peut l’utiliser, sur proposition de la Commission, sans avoir besoin d’une décision unanime et avec un contrôle démocratique du Parlement, c’est une bonne idée. Le budget, c’est le b a ba de la fédéralisation. Cela aurait permis d’intervenir plus rapidement et plus efficacement en Grèce, notamment en décidant d’un programme d’investissement massif.

Ce budget serait-il celui de la zone euro ou de l’Union européenne ?

On ne peut plus continuer à avoir d’un côté la zone euro, de l’autre l’UE. Il faut que ceux qui ne veulent pas de l’euro se retirent et restent dans le marché européen, une sorte de partenariat privilégié. La Grande-Bretagne, la Suède, la Turquie pourraient en faire partie. L’euro sera ainsi la monnaie de toute l’Europe.

Et l’idée d’une avant-garde au sein de la zone euro ?

Mettre en place à quelques-uns une convergence fiscale et sociale me paraît une bonne idée. Cela aurait un effet d’entrainement. Si l’Allemagne et la France lançaient une vraie fédéralisation, y compris en mettant en commun le siège français au conseil de sécurité de l’ONU, cela créerait une dynamique extraordinaire.

Peut-on encore être de gauche et Européen ?

Si l’on veut vraiment une régulation sociale de la mondialisation, une régulation écologique, cela passe par l’Europe. Pour la gauche, l’Europe est une utopie nécessaire, car elle permet de dépasser l’État nation et cette croyance que c’est lui qui nous protège le mieux. Or les États nations ne s’en sortiront pas seuls : dans vingt ans, l’Allemagne ou la France pèseront dans le monde l’équivalent de ce que pèsent aujourd’hui Malte ou le Luxembourg en Europe. Vous croyez que Malte a les moyens de défendre un projet de civilisation ? Être de gauche aujourd’hui, c’est participer à cette construction et lutter contre un retour souverainiste. Le souverainisme est de droite parce qu’il repose sur l’égoïsme national et l’égoïsme n’est pas une valeur de gauche. Si on veut une répartition plus juste des richesses en Europe, ça ne se fera pas État par État. Croyez-vous que la France ou l’Allemagne seules auraient été capables de voler au secours de la Grèce ? La construction de cet espace politique qui s’appelle l’Europe prendra du temps. Mais il a fallu attendre 1945, avec le vote des femmes, pour que la France devienne un véritable espace démocratique.

N.B.: entretien paru dans Libération du 11 août

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Réfugiés de Kos en Grèce: des renforts policiers et administratifs

RFI (Europe) - Thu, 13/08/2015 - 10:00
Sur l'île grecque de Kos, face à la Turquie, des milliers de migrants et de réfugiés affluent depuis plusieurs semaines : 7 000 environ, pour une population de 33 000 habitants. Sur cette île, qui vit surtout du tourisme, rien n'a été prévu pour faire face à ce flux. Les incidents se sont donc multipliés ces derniers jours. Les autorités ont donc commencé à réagir mercredi. Une réunion d'urgence doit se tenir à Athènes en présence du commissaire européen aux Affaires intérieures, Dimitris Avramopoulos, ce jeudi 13 août à la mi-journée.
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Grèce: l’île de Kos débordée par l’afflux de migrants

RFI (Europe) - Thu, 13/08/2015 - 04:19
L'arrivée massive de migrants se poursuit sur les îles grecques situées en face de la Turquie. La situation est particulièrement préoccupante sur l'île de Kos. On y dénombre plus de 7 000 migrants pour une population de 30 000 habitants. Devant le stade de la ville de Kos où les migrants doivent s'enregistrer auprès des autorités pour pouvoir poursuivre leur périple, la tension est particulièrement vive. Reportage.
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La Turquie tente d’expliquer sa «guerre contre le terrorisme»

RFI (Europe) - Wed, 12/08/2015 - 23:54
Le président turc promet de poursuivre « avec détermination » les opérations lancées contre les rebelles kurdes fin-juillet. La Turquie assure qu’elle mène une guerre contre toutes les formes de terrorisme, ce qui inclut le groupe Etat islamique (EI). Selon des témoignages recueillis par RFI, des militaires turcs auraient pénétré secrètement en territoire syrien ces derniers jours.
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Nouveau plan de financement: les députés grecs doivent voter

RFI (Europe) - Wed, 12/08/2015 - 23:41
L’accord trouvé mardi entre la Grèce et ses créanciers est soumis ce jeudi 13 août au Parlement d'Athènes. Les députés grecs sont appelés à voter un difficile programme de réformes pour les trois prochaines années en échange d’un nouvel apport de ses créanciers.
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Dette grecque: malgré un troisième accord, Berlin reste sur ses gardes

RFI (Europe) - Wed, 12/08/2015 - 10:02
Les réactions en Allemagne sont pour le moins réservées au sujet du troisième plan d'aides pour la Grèce conclu mardi 11 août avec ses créanciers. Le texte devra être adopté par le Bundestag — le Parlement allemand — dans les jours qui viennent.
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Article - La Rencontre des Jeunes européens est de retour !

Parlement européen (Nouvelles) - Wed, 12/08/2015 - 09:00
Général : Vous avez bien entendu, une nouvelle édition de la Rencontre des Jeunes européens (#EYE2016) aura lieu en 2016 ! Cet événement est fait à la fois pour les jeunes et par les jeunes : nous sommes donc à la recherche de personnes enthousiastes et motivées, ainsi que d'organisations qui souhaitent prendre part à l'élaboration du programme. Suivez-nous sur notre page Facebook pour être tenu au courant des dernières actualités... Et rendez-vous les 20 et 21 mai 2016 à Strasbourg.

Source : © Union européenne, 2015 - PE
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Italie: plus de 800 passeurs de migrants interpellés

RFI (Europe) - Wed, 12/08/2015 - 08:06
Le quotidien catholique Avvenire qui suit avec attention toutes les questions relatives aux migrants a publié un article fondé sur un rapport de la police judiciaire italienne ; celui-ci indique qu’entre le 1er janvier 2014 et le 7 août 2015, 888 passeurs ont été arrêtés grâce à des témoignages de migrants secourus et arrivés en Sicile ou en Calabre. Ces passeurs sont cependant essentiellement des « petits poissons ».
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Migrants: la situation dégénère sur l'île de Kos en Grèce

RFI (Europe) - Wed, 12/08/2015 - 01:51
Plusieurs dizaines de milliers de migrants sont arrivées ces derniers mois en mer Egée. Face à cet afflux massif, les autorités grecques se disent complètement dépassées par les événements. Preuve que les tensions s'aggravent, mardi, des violences ont éclaté entre migrants sur l'île de Kos. A coup de matraque et à l'aide d'extincteurs, les forces de l’ordre ont tenté de reprendre le contrôle de la situation.
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Y a-t-il vraiment des terroristes du groupe EI parmi les migrants?

RFI (Europe) - Tue, 11/08/2015 - 23:29
« Parmi les migrants, nous avons des terroristes de Daech qui s’infiltrent », a affirmé ce mardi Christian Estrosi sur France Info. Pourtant, au-delà des appels à la vigilance de certains responsables européens, aucun cas de terroristes infiltrés parmi des migrants n'a encore été signalé à ce jour.
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Vol MH17: les experts évoquent la piste d’un tir de missile BUK

RFI (Europe) - Tue, 11/08/2015 - 22:44
Les experts qui enquêtent sur le crash de l'avion MH17 de la Malaysia Airlines, en juillet de l'an dernier, dans l'est de l'Ukraine, disent avoir identifié des éléments appartenant « peut-être » à un missile BUK, dont disposent la Russie et l'Ukraine.
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Crise grecque: un accord technique mais pas encore politique

RFI (Europe) - Tue, 11/08/2015 - 13:51
A Bruxelles, lors d’une conférence de presse ce 11 août en fin de matinée, la Commission européenne a évoqué un accord technique autour du troisième plan d’aide à la Grèce mais prévient qu’il n’y a pas encore d'accord politique. A Athènes, on assure avoir reçu « un financement d'environ 85 milliards d'euros » sur trois ans en échange d'une liste d'ajustements budgétaires et de réformes diverses.
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Turquie: après les attaques, quels sont les objectifs des Kurdes?

RFI (Europe) - Tue, 11/08/2015 - 09:24
En marge des attentats du lundi 10 août à Istanbul, il y a eu ces attaques meurtrières menées par le PKK dans le sud-est du pays; celles-ci rappellent que la Turquie est en guerre sur plusieurs fronts. Quelle est la situation, du côté de la rébellion ; est-ce la guerre totale ou bien est-ce qu’on peut éviter un conflit plus large ?
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Un accord budgétaire conclu entre la Grèce et ses créanciers

RFI (Europe) - Tue, 11/08/2015 - 08:09
La Grèce obtient un accord sur un troisième plan d'aide avec ses créanciers, à savoir l'Union européenne, la Banque centrale européenne, le Fonds monétaire international et le Mécanisme européen de stabilité. L'accord prévoit un troisième plan d'aide d'environ 82 milliards d'euros. C'est le résultat de deux semaines de discussions intenses avec les représentants des créanciers à Athènes. Il reste encore quelques détails à régler, mais les partenaires se seraient mis d'accord sur l'essentiel.
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L’UE accorde 2,4 milliards d’euros aux pays accueillant des migrants

RFI (Europe) - Mon, 10/08/2015 - 23:49
La Commission européenne a annoncé ce lundi le déblocage de 2,4 milliards d'euros. Ce soutien à 19 Etats membres est prévu pour la période 2014-2020. Si cette annonce n'est pas une réponse directe à la demande d'aide lancée la semaine dernière par la Grèce et l'Italie, c'est un pas pour aider les pays confrontés à un afflux croissant de demandeurs d'asile.
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Des migrants aux traumatismes multiples

RFI (Europe) - Mon, 10/08/2015 - 23:30
Depuis le début de l’année, on estime à plus de 2 000 le nombreux de migrants morts en Méditerranée. Mais pour ceux qui ont survécu, il faut souvent faire face à de graves traumatismes. Dans un rapport publié ce lundi, l'organisation italienne Médecins pour les droits de l'homme (Medu) appelle à prendre en compte ces séquelles psychologiques. L'étude a été menée sur plusieurs mois en Sicile auprès de centaines de demandeurs d'asile originaires d'Afrique de l'Ouest et d'Erythrée.
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