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CSDP blog - Thu, 14/05/2015 - 22:21

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Spanish BPC (projection and command ship) to Turkey

CSDP blog - Thu, 14/05/2015 - 22:15

The projection ship ordered by Turkey will based on the Spain LHD ship Juan Carlos 1 (built by the Spanish shipyard Navantia) which also serve as the base of 2 futurs Australian Canberra-class landing helicopter dock (LHD) HMAS Canberra and HMAS Adelaide.

In 2004, French company Direction des Constructions Navales (DCN) and Spanish company Navantia were invited to tender proposals, with DCN offering the Mistral-class amphibious assault ship and Navantia proposing the "Buque de Proyección Estratégica" design (later commissioned as Juan Carlos I). The Spanish design was selected in 2007, with Navantia responsible for construction of the ships from the keel to the flight deck, and BAE Systems Australia handling the fabrication of the superstructure and fitting out.
The construction of the first ship, HMAS Canberra, commenced in late 2008, with the hull launched in early 2011, and sea trials in early 2014. Canberra was commissioned in November 2014. Work on the second vessel, HMAS Adelaide, started in early 2010. Adelaide is predicted to enter service in 2016. They are the largest vessels ever operated by the RAN, with a displacement of 27,500 tonnes (27,100 long tons; 30,300 short tons).

The French Mistral class is an Amphibious general assault ship (LHA) that means an Amphibious general assault ship with flush deck and dock for amphibious craft. Tarawa Class ships (US Navy) are an other example. The Spanish Amphibious Assault-Ship, Multi-purpose (LHD) Juan Carlos 1 is identical to the LHA but with a capacity to lead maritime space control operations and force projection missions using ASW helicopters and V/STOL aircraft. Other examples of these type are the Wasp (US Navy).

This Turkish decision is a bad news for the French shipyard DCNS unable the deliver Sevastopol and Vladivostok Mistral class BPC ordered by Russia, due to political reason (EU embargo) and after the loss of the Australian tender France can lost the confidence of others futur potential customers.

La Vigie n°16 - La Turquie, entre ottomanisme et islamisme | Militaires à tout faire ?

EGEABLOG - Thu, 14/05/2015 - 15:26

La Vigie, lettre d'analyse stratégique publiée par Jean Dufourcq et Olivier Kempf et paraissant tous les deux mercredis, vous propose son numéro 16. Vous trouverez dans ce numéro daté du 13 mai 2015 un texte intitulé La Turquie, entre ottomanisme et islamisme, un autre sur des Militaires à tout faire ?, une Lorgnette sur Londres au large. Les entames des articles sont lisibles ci-dessous. Les conditions d'abonnement sont en fin de message. Si vous êtes déjà abonné à La Vigie, vous pouvez accéder directement au numéro 16 en vous rendant sur cette page.

Vous pouvez lire également les billet parus la semaine dernière sur notre site, en libre accès :

  • Le numéro 15 bis qui propose un récapitulatif de tous les numéros publiés par la Vigie ainsi que les sujets traités, ainsi qu'un billet A contre-courants traitant de trois sujets d'actualité (les migrations en Méditerranée, la vente des Rafale, l'opération Sentinelle), une Lorgnette sur Les drones.
  • Un billet de Th. Flichy de la Neuville sur "Vendre son royaume".

La Turquie, entre ottomanisme et islamisme

La Turquie se prépare aux élections législatives difficiles du 7 juin prochain. À l’occasion du renouvellement des 550 députés, le président turc, Recep Erdogan, espère que son parti, l’AKP, atteindra les deux-tiers des sièges, ce qui lui permettrait de modifier la constitution à sa guise, en faveur d’un exécutif plus fort. En effet, le poste de président est encore largement honorifique. Toutefois, la préparation de l’élection a laissé voir de multiples tensions au sein de l’AKP (voir ici) qui viennent après les fortes tensions politiques rendues publiques l’an dernier, à l’occasion des élections présidentielles. La gauche s’était alors mobilisée (manifestations violemment réprimées notamment dans un parc d’Istanbul), tandis que les islamistes s’étaient eux-mêmes durement divisés, les güleinistes se démarquant nettement de la ligne de l’AKP. Erdogan avait malgré tout gagné les élections. Toutes ces divergences illustrent une vie politique toujours animée et contrastée, qui produit une politique extérieure assez brouillonne et difficilement lisible (...)

Militaires à tout faire ?

On peut s’inquiéter- nous sommes quelques-uns dans ce cas, et souvent à contre-courant (cf. La Vigie n°15bis) - de la propension actuelle à confier à « l’armée » toutes les tâches d’ordre et d’autorité que l’État ne sait plus assumer ou que la France refuse d’endosser directement. L’opération intérieure « Sentinelle », le Service militaire volontaire à vocation sociale, l’éradication des trafiquants qui rackettent les migrants en Méditerranée sont les récents avatars de ces missions militaires de dernier recours. Pendant la guerre froide, il en allait de même pour l’aménagement du territoire, la recherche scientifique fondamentale, le soutien à l’exportation de matériel militaire qui constituaient les à-côtés coûteux des budgets militaires et supportaient des coûts relevant d’autres ministères (affaires sociales, industrie, intérieur), au nom de la cohésion, de la souveraineté ou de l’autonomie de la France. Les forces armées sont, en France, le couteau suisse de l’État. (...)

Pour avoir accès au numéro 16 en entier, rendez-vous sur le site de La Vigie et abonnez-vous : l'abonnement découverte pour 3 mois vaut 16 €, l'abonnement annuel pour les particuliers vaut 60 €, l'abonnement pour les entreprises et organisations (5 licences) vaut 250 €. Pour s'abonner, cliquer sur le lien “Vigie n° 16”, ajoutez au panier, cliquez sur “régler ma commande", payez, comme sur n'importe quel site de commande en ligne. Une fois que vous serez abonnés, vous recevrez un courriel avec un lien direct vers le numéro et à l'avenir, chaque numéro arrivera directement dans votre boite mail.

Vous pouvez aussi vous procurer le numéro à l'unité, de la même façon.

L'avenir de La Vigie et son développement (pour apprécier le projet, lire “à propos”) dépend de vos abonnements. Nous espérons que vous nous souviendrez dans cette aventure. Bien cordialement,

Jean Dufourcq et Olivier Kempf

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La ligne continue ! Premier essai en vol d’un A400M depuis le crash

Bruxelles2 - Thu, 14/05/2015 - 08:19

L’A400M en vol d’essai le 12 mai (crédit : Airbus)

(B2) « La ligne continue envers et contre tous, avec ses exploits mais aussi ses drames« . C’était la devise de l’Aéropostale comme Jean Mermoz le racontait dans ses mémoires, après l’accident qui avait frappé un avion de sa compagnie, un Laté 28 parti de Buenos Aires, dans lequel avait pris place le chef d’escale de Porto Allegre, Victor Hamm. Cela semble être celle d’Airbus aujourd’hui (qui a ses quartiers généraux à Toulouse comme son illustre prédécesseur Latécoère).

Ne pas rester sur un échec

Quelques jours à peine après le crash du MSN23, un de ses appareils destinés à la Turquie, la compagnie européenne a voulu montrer que la vie continuait. Un vol d’essai a ainsi eu lieu mardi (12 mai). « Le MSN4 a décollé de Toulouse à 14h45 et atterrit à Séville 1h 50min plus tard » indique le communiqué de l’avionneur européen. « Un vol d’essai régulier prévu avant l’accident ». Avec à bord, un invité de marque. <p>">Fernando Alonso, le directeur d’Airbus Defense & Space Military Aircraft, en personne et agissant « comme ingénieur d’essai en vol ».

Un hommage à l’équipage

« L‘équipage aurait voulu que ces vols continuent. Ce vol a eu lieu. C’est notre hommage » a déclaré Fernando Alonso <p>">. Le programme d’essais en vol de l’A400M « se poursuit à moins que ou jusqu’à ce que tout élément de preuve suggère qu’il ne soit pas sûr de voler ». « <p>">Jusqu’à présent, aucune preuve n’a émergé » souligne Airbus. <p>">A noter que Airbus possède cinq avions d’essai A400M : trois sont actuellement en service et deux autres ont été retirés. Ces cinq avions ont accumulé plus de 2700 vols et plus de 7500 heures de vol. 

L’enquête démarre

<p>">Les autorités espagnoles ont confirmé que les deux boîtes noires ont été trouvées. Les autorités militaires espagnoles ont également informé Airbus Defence and Space le 12 mai, que, par mesure de précaution et en attendant l’enquête sur l’accident, ils suspendaient « temporairement » le permis de vol des avions en attente de livraison. Si deux clients de l’A400M (Allemagne et Royaume-Uni) ont décidé de clouer leurs avions au sol, l’Espagne et la France dans une certaine mesure ont confirmé conserver les appareils en fonction.

(NGV)

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Encore des journalistes frustrés

Le mamouth (Blog) - Wed, 13/05/2015 - 22:58
Après la rencontre média annuelle d'Airbus qui était prévue lundi et mardi à Séville, une autre
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Un troisième faucheur dans la BSS

Le mamouth (Blog) - Wed, 13/05/2015 - 20:55
Les dronistes de l'armée de l'air n'ont pas fait dans le détail : après avoir réceptionné leur troisième
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Ils ont tout donné

Le mamouth (Blog) - Wed, 13/05/2015 - 19:38
Les deux premiers lauréats du prix de l'action solidaire, créé par Jean-Michel Palagos, le patron de
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Une étoile et le maintien

Le mamouth (Blog) - Wed, 13/05/2015 - 19:08
Deux généraux de l'armée de terre prennent une étoile de plus, sans changer de fonction. Sans vraie
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Des « Boots on the ground » en Libye, le grand phantasme ?

Bruxelles2 - Wed, 13/05/2015 - 18:10

Une des peniches de débarquement du HMS Bulwark à la rescousse de migrants en mer, ce mercredi (crédit : MOD Uk)

(BRUXELLES2) La question d’avoir une présence au sol en Libye renait à la faveur de l’opération maritime déclenchée par l’Union européenne (EUNAVFOR Med).

Le quotidien The Guardian vient de publier son analyse dans lequel il accrédite l’idée d’utilisation de forces terrestres par les Européens en le tirant de sa lecture du Concept de gestion de crises (CMC). Un point de vue que je ne partage pas. C’est vraiment tirer le bouchon un peu loin !

Tout d’abord, c’est oublier le contexte d’un tel document. Un CMC est là pour poser toute la problématique d’une opération, donner les concepts et les options possibles face à un objectif politique. Ceci est bien défini clairement. Il ne s’agit pas en tant que tel de préciser l’action militaire qui va être menée mais de définir quelles options de la PDSC répondent le mieux à l’objectif stratégique défini.

The CMC is the conceptual framework describing CSDP activity to address a particular crisis within the EU comprehensive approach. (…) The CMC defines the political strategic objectives for CSDP engagement, and provides CSDP option(s) to meet EU objectives.

Ensuite, l’objectif stratégique défini est clairement de perturber l’action des trafiquants. Face à cette nécessité, on envisage différentes actions possibles y compris au bout frapper un bateau ancré au rivage. Cela ne signifie pas automatiquement que cette action sera utilisée. Elle dépendra du mandat donné par les responsables européens (mandat qui sera inscrit dans une décision). Et l’action (militaire) stricto sensu sera enfin précisée dans le concept d’opération (Conops) ou le plan d’opération (OpPlan), avec éventuellement des conditions posées d’utilisation.

Si on se place dans un autre domaine, il ne faut pas confondre le plan d’architecte soumis au permis de construire, du permis lui-même et du plan de l’entreprise ensuite pour assurer la construction (le permis de construire ne détaille pas automatiquement toutes les couches de vernis qu’on passera sur le parquet du salon ;-).

Une action sur le rivage ne signifie pas forces terrestres

Selon notre éminent confrère britannique, le document parle de possibles opérations pour détruire les biens des trafiquants sur le rivage (to destroy smugglers’ assets “ashore). Et cela pourrait « inclure une action le long des côtes, dans les ports ou à l’ancre (contre) les moyens des trafiquants et des navires avant leur utilisation » (This could include “action along the coast, in harbour or at anchor of smugglers assets and vessels before their use”). Pour cela, nul besoin de forces terrestres. Un bon hélicoptère doté de l’armement adéquat peut faire le travail (*). C’est comme cela qu’on avait procédé en Libye en 2011. Et c’est comme cela que l’Union européenne a procédé, lors de l’opération anti-piraterie Atalanta (lire : Lutte contre les trafics d’immigration clandestine : l’inspiration « Atalanta »).

Une autorisation nécessaire

Une telle action serait d’ailleurs soumise à l’autorisation à la fois des Nations-Unies ou des autorités de Libye (voire des deux). Cette autorisation est une condition obligatoire au niveau européen. L’opération conduite par les Européens n’est pas un acte de guerre, elle s’inscrit davantage dans la légalité internationale, comme une opération de police internationale. Autrement dit, sans cette autorisation pas d’intervention. Il s’agit d’une « option possible ».

Une présence à terre ?

Enfin, de façon assez évidente, pour mener ces engagements, il faut avoir une « présence » à terre, une présence qui ne signifie pas automatiquement un engagement de forces terrestres. Cela peut être des officiers de liaison chargés de faire, des agents des forces spéciales (sans nécessairement être des plongeurs chargés de dynamiter un bateau…) ou du renseignement afin d’éviter tout simplement des dommages collatéraux. Mais là encore il faut avoir l’autorisation libyenne, tacite ou expresse. Durant l’opération de l’OTAN en Libye en 2011, il y avait une présence à terre, ne serait-ce que pour guider les avions. Mais tout le monde indiquait bien qu’il n’y avait pas de « boots on the ground », au sens d’intervention terrestre. Il ne faut pas aussi se leurrer sur le terme de « forces spéciales ». Ces forces sont aussi nécessaires à bord de navires pour constituer des équipes d’abordage spécialisées. Ce peut être des fusiliers marins, les fameux « maros » en Italie

Essai de distraction

En tirant quelques phrases, d’un tel document comme un CMC, on peut tout inventer. Si on reprend ainsi le CMC sur l’Ukraine, on pourrait indiquer que la mission civile EUAM Ukraine pourrait comprendre des militaires, qu’elle aurait aussi pour rôle de conseiller la Garde nationale, voire de s’impliquer la réforme de la défense. Bien entendu, il n’en est rien, ou du moins, pas dans ces dispositions. En interprétant les règles d’engagement d’Atalanta, on pourrait même dire que l’opération a pour objectif de tuer les pirates puisqu’elle peut prévoir dans certaines circonstances très clairement encadrés (légitime défense, risque d’atteinte à la vie, etc.) un tir sur des suspects. Allez, un peu de sérieux !

Conclusion : Il faut faire attention à ne pas surinterpréter ce document et les possibles pistes qu’il dresse comme des certitudes, confondre le rivage et la terre, des forces terrestres et une action à terre, ou ne lire qu’un paragraphe en oubliant les autres. Il est certain qu’une action à terre permettrait d’avoir une action plus complète. Mais une action en mer permet déjà largement de perturber le trafic des contrebandiers. C’est pour cela que Federica Mogherini a pu être très claire et très ferme lors de sa conférence face à la presse : « Non, non, et non, il n’y aura pas de « boots on the ground ».

(NGV)

(*) Rappelons que selon les armées, et même les types d’engagements, ces hélicoptères peuvent appartenir à la marine ou à l’armée de terre (« land forces »). Tout comme les forces spéciales peuvent appartenir à différentes unités.

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Chammal : point de situation au 13 mai 2015

Depuis le 7 mai, la force Chammal a poursuivi quotidiennement ses vols de reconnaissance armés et de renseignement, contribuant au recueil d’informations sur le groupe terroriste Daech, en étroite coordination avec nos alliés présents dans la région. Ainsi, cette semaine, la force Chammal a procédé à 18 sorties aériennes vers l’Irak, dont 4 ont abouti à des frappes d’opportunités, neutralisant 8 objectifs.
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Forum des 100 ans de la défense NRBC

Du 5 au 7 mai, le centre interarmées de la défense nucléaire, radiologique, biologique et chimique (CIA NRBC) de Saumur a organisé le premier forum baptisé « 100 ans de défense NRBC ».
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Découvrir le 519e GTM

Le 519e groupe de transit maritime (519e GTM) a chargé un navire civil affrété (un bateau civil chargé de matériel militaire) dans le port de Toulon en mars dernier. Ce navire avait pour objectif de faire plusieurs escales dans l'Océan Indien, en passant par la mer Méditerranée et le canal de Suez.
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Exposition Coups de pinceaux

Du 16 mai au 20 septembre 2015, dans le cadre du centenaire de la Grande Guerre, le musée de l’artillerie de Draguignan organise une exposition consacrée à la représentation de la guerre par les artistes, au cours de siècles.
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À l’honneur : des aviateurs au secours d’un accidenté de la route

Dimanche 10 mai 2015, une patrouille d’aviateurs opérant dans le cadre de l’opération Sentinelle à Aix-en-Provence porte secours à une victime d’un accident de la voie publique.
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Le Col du Midi fête ses 70 ans

En souvenir des soldats de montagne qui se sont affrontés durant l’hiver 1944-1945, lors des combats les « plus hauts d’Europe » (sur le glacier du Géant à 3 500 m), l’Ecole militaire de haute montagne (EMHM) a organisé une cérémonie commémorative, le jeudi 7mai, au refuge des Cosmiques (Chamonix).
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Océan Indien : Retour du SNA Améthyste à Toulon après cinq mois de déploiement

Parti dans les tous premiers jours de décembre, le sous-marin nucléaire d’attaque (SNA) Améthyste a retrouvé il y a quelques jours le port de Toulon, où sont basés les six SNA français, après cinq mois de déploiement en océan Indien.
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Des capitaines en stage au CFCU

Dix-neuf stagiaires de l’école d’application de l’aviation légère de l’armée de Terre (EAALAT) ont participé au cours de formation des commandants d’unité (CFCU) qui se déroule pendant 4 mois. Du 12 au 24 avril, le groupe a effectué les exercices tactiques en régiment qui clôturent le CFCU.
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Les rapporteurs de guerre s’exposent

Le week-end du 10 mai, les « rapporteurs de guerre » se sont exposés sur la commune d’Azay-le-Brûlé, dans les Deux-Sèvres (79). 26 clichés exclusifs leur ont permis de partager et d’expliquer le quotidien des soldats en opérations, mais également de faire connaître leur métier encore méconnu par le grand public.
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