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Défense

Sofins : le bilan du GCOS

Le mamouth (Blog) - Thu, 04/04/2019 - 19:20
Le vice-amiral Laurent Isnard a tiré un bilan extrêmement positif du séminaire Sofins qui vient de
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Le fabriqué chez nous reprend du terrain

Le mamouth (Blog) - Thu, 04/04/2019 - 19:13
C'est une des tendances du Sofins 2019, les industriels français, petits comme gros, ont commencé à
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Décès d’un médecin militaire lors d’une opération de lutte

Aumilitaire.com - Wed, 03/04/2019 - 17:35
Il est décédé durant une action contre « les groupes armés terroristes ». La présidence française a fait part de sa « très grande tristesse ». Triste nouvelle annoncée ce mardi 2 avril par l’Élysée. Un médecin militaire français est décédé au Mali à la suite du « déclenchement d’un engin explosif improvisé » au passage de son véhicule blindé. Les faits sont ...
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La base aérienne militaire transférée à Cognac en 2020

Aumilitaire.com - Wed, 03/04/2019 - 17:26
La BA 705, la base aérienne militaire de Tours, va perdre son école d’aviation de chasse, transférée à Cognac (Charente) dès l’été 2020. L’avenir de la base passe désormais par le développement du centre des ressources humaines de l’armée. Juin 2020, c’est la date de l’ultime délivrance d’un brevet de pilote de chasse à Tours. ...
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Un militaire blessé reste un soldat

Aumilitaire.com - Wed, 03/04/2019 - 17:22
Après une carrière stoppée nette à cause d’une blessure, les soldats doivent redevenir des civils et trouver une entreprise. Le Medef publie un guide pour aider les entreprises à mieux comprendre le fonctionnement de l’armée pour recruter d’anciens soldats. “On a le droit de tomber, on a le devoir de se relever”. Il a fallu ...
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In memoriam : médecin-capitaine Marc Laycuras (120e AM)

Le mamouth (Blog) - Tue, 02/04/2019 - 23:50
C'était sa première opex, au Mali: un médecin militaire est mort aujourd'hui sur la base de Gossi
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L’armée israélienne riposte à un nouveau tir de Gaza

Aumilitaire.com - Tue, 02/04/2019 - 19:41
L’armée israélienne a indiqué dimanche avoir frappé des positions du mouvement islamiste Hamas après que des Palestiniens ont lancé des engins explosifs sur la barrière séparant Israël de l’enclave palestinienne. Selon un communiqué, des Palestiniens ont lancé des engins explosifs sur la barrière de sécurité entre le territoire israélien et la bande de Gaza: l’un ...
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L’armée de l’air nigériane a tué au moins 5 hommes armés

Aumilitaire.com - Tue, 02/04/2019 - 19:34
L’armée de l’air nigériane (NAF) a annoncé lundi que son équipe des forces spéciales a tué au moins cinq hommes armés en repoussant des attaques menées contre deux villages de l’État de Zamfara, dans le nord-ouest du pays. Le porte-parole de la NAF, Ibikunle Daramola, qui a confirmé les faits dans un communiqué parvenu à ...
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La Garonne, construite à Concarneau, est arrivée à Brest

Aumilitaire.com - Tue, 02/04/2019 - 19:32
Un navire tout neuf. La Garonne, construite à Concarneau, est arrivée à Brest, son port d’attache, sous un ciel “toulonnais”, comme on dit ici, en base navale lorsqu’il fait beau. Ce nouveau BSAM, est le sistership du Rhône, actuellement engagé dans la lutte contre la pollution du Grande America. Ça sent le neuf. Et les 17 ...
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Un Palestinien tué lors de heurts avec l’armée israélienne

Aumilitaire.com - Tue, 02/04/2019 - 19:24
Lors d’une opération à Koufr Aqab, des Palestiniens ont lancé des engins explosifs, l’armée a riposté Un Palestinien a été tué mardi lors d’affrontements avec l’armée israélienne près du village de Qalandiya en Cisjordanie, a rapporté le ministère de la Santé à Ramallah. Mohammed Adouane, 23 ans, a été tué et trois autres Palestiniens ont ...
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Des VIP au Sofins

Le mamouth (Blog) - Mon, 01/04/2019 - 18:27
Depuis 2013, l'évènement est très courru, pour tenter d'approcher la mécanique bien huilée des forces
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Sofins ouvre demain

Le mamouth (Blog) - Mon, 01/04/2019 - 18:13
Les forces spéciales de l'armée de l'air seront à l'honneur à partir de demain sur le séminaire Sofins,
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Patrouille avec EUMM à la « frontière » entre la Géorgie et l’Ossétie du Sud

Bruxelles2 - Mon, 01/04/2019 - 17:28

(B2 à Tbilissi) B2 a accompagné une patrouille de la mission d’observation de l’Union européenne en Géorgie (EUMM), près de la ligne de démarcation avec l’Ossétie du Sud. Non armés, ces observateurs, dont beaucoup sont d’anciens ou d’actuels policiers, s’appliquent à réduire le niveau de tensions

Deux observateurs de EUMM Georgia regardent un camp de gardes-frontières russes (©B2/Romain Mielcarek)

EUMM Georgia est composée de 200 observateurs, issus de 27 des 28 pays membres (la Slovaquie n’a pas de personnel au moment de notre visite, mais en déploie habituellement). Présents depuis octobre 2008, suite aux combats qui ont opposé l’armée géorgienne aux rebelles sud-ossètes et abkhazes, appuyés par l’armée russe, ils sont le dernier canal de dialogue entre les parties au conflit. Ils patrouillent dans toute Géorgie, privilégiant largement les lignes de démarcation avec les 20% du territoire occupés par les forces russes et leurs alliés.

Une situation qui reste tendue

Des frontières qui se durcissent…

Les Géorgiens et de nombreux médias parlent souvent de « frontières » qui progressent. Les Sud-Ossètes et les Abkhazes, appuyés par les Russes, feraient avancer progressivement la ligne en ajoutant ici du barbelé autour d’un champ, là une barrière à l’entrée d’un village coupé en deux. Pour le porte-parole de l’EUMM qui nous accueille à Akhmazi, « ce n’est pas une question de frontières qui avancent mais de frontières qui se durcissent » : les infrastructures évoluent avec la multiplication de nouvelles caméras, de miradors, d’obstacles physiques, perçus par les Géorgiens comme autant de menaces et de provocations.

… Et s’imposent de facto

Sur le poste frontière que nous avons pu observer, la circulation est relativement fluide. 400 personnes le traversent chaque jour. Des gardes sud-ossètes contrôlent les véhicules : laissez-passer des passagers, contenu du coffre, absence d’armes ou d’équipements dangereux. En second rideau, des garde-frontières russes sont présents. Lorsque des étrangers se présentent sans les documents nécessaires, ils sont simplement expulsés. Mais les Géorgiens, eux, sont arrêtés et jugés. « Une pratique inhabituelle pour quelqu’un qui a travaillé à un poste frontière dans un autre pays », souligne un membre de l’EUMM.

Le vocable reste un sujet compliqué. Si les Sud-Ossètes et les Abkhazes parlent de « frontière », les Européens préfèrent le terme « ligne de démarcation administrative » (administrative boundary line). Les Géorgiens parlent eux très clairement de « territoires occupés ».

Des interdits maintenus

Déployée suite aux combats de 2008, l’EUMM entre dans le cadre de l’accord en six points négocié à l’époque par l’Union européenne avec les belligérants. Deux de ces points ne sont pourtant toujours pas respectés, un peu plus de dix ans après : les observateurs européens n’ont pas accès aux territoires occupés et les Russes ne se sont pas retirés. Si Moscou reste discret sur les effectifs présents en Ossétie du Sud et en Abkhazie, la Military Balance estime à environ 7000 le nombre de leurs militaires, faisant de la Géorgie le deuxième théâtre d’opérations de la Russie en effectifs après l’Ukraine (28.000 hommes) et devant la Syrie (5000 hommes).

Lire : Dépenses de défense. Entre Etats-Unis et Russie, l’Europe en quête des bons équilibres stratégiques

La population prise en otage

Pour les Géorgiens, qu’ils soient d’un côté ou de l’autre de la ligne de démarcation, cette situation crée une forte précarité. Les permis de circulation ne sont valides que trois ans et rien ne garanti qu’ils seront reconduits à terme. Plus ennuyeux, les autorités de facto peuvent à tout moment suspendre la relative liberté de passage. C’est ce qui s’est passé le 11 janvier quand les Sud-Ossètes et les Abkhazes ont décidé de fermer les frontières pour éviter l’arrivée de la grippe H1N1, qui a tué 15 personnes en Géorgie. Ceux qui étaient du mauvais côté, notamment des étudiants venus visiter leurs familles pour célébrer le nouvel an, sont restés coincés deux mois sans recours. Environ 140 personnes avaient tout de même été exceptionnellement autorisées à sortir, pour des raisons sanitaires majeures. De quoi maintenir, selon un membre de EUMM Georgia, une « pression psychologique ».

Présence russe explicite

Depuis la route qui va d’un côté à l’autre de la ligne de démarcation, les camps des gardes-frontières russes (1), sont parfaitement visibles. Dans chacun des deux territoires, 19 de ces camps, parfaitement identiques, sont répartis le long des frontières. A l’intérieur, les Russes vivent avec femmes et enfants. Autant d’indicateurs qui laissent penser, comme le souligne un membre d’EUMM, « qu’ils veulent montrer qu’ils sont là pour longtemps ». Les bases militaires russes, les vraies, sont plus à l’intérieur des terres, à une bonne vingtaine de kilomètres de la frontière.

EUMM Georgia en première ligne

Les Européens au contact

Dès 2008, l’Union européenne a négocié dans le cadre des Arrangements techniques (Technical Arrangements) avec les autorités géorgiennes que ces dernières ne déploient pas une police trop lourdement équipée, voir l’armée, à proximité de ces zones. EUMM se charge de surveiller et d’informer les acteurs sur ce qu’elle observe. Un moyen de réduire les tensions. Si les Russes ont été appelés à suivre une logique comparable, ils ne l’ont pour l’instant pas fait. De la même manière, l’Otan ne laisse pas son personnel approcher de ces zones, pour éviter toute accusation d’espionnage ou de provocation. Les Géorgiens ont tout de même déployé une police spéciale chargée de surveiller les flux en direction et en provenance d’Ossétie du Sud et d’Abkhazie. Celle-ci ne dépend pas des gardes-frontières… Puisqu’aucune frontière n’est reconnue.

Les missions de EUMM

Le mandat de EUMM Georgia lui fixe quatre missions : suivre la situation et la stabiliser ; encourager le processus de normalisation ; multiplier les contacts et les projets pour réduire les tensions ; éclairer la décision politique de l’Union européenne. Si depuis 2008 la situation est relativement calme, difficile pourtant de parler de progrès. Aucune piste de solution ne se dessine.

Le nombre d’appels de la hotline de EUMM, depuis 2011, ne cesse de croître. Les motifs : détentions, criminalité, explosions, coups de feu, urgences sanitaires…

Hotline

En février 2009, les parties au conflit ainsi que l’UE, l’OSCE et l’ONU ont adopté un Mécanisme de prévention et réponse aux incidents (IPRM). Celui-ci doit permettre un dialogue entre les belligérants mais fonctionne par intermittence. La hotline mise en place par EUMM Georgia dans ce cadre semble être l’outil le plus concret et le plus efficace. Seul canal de dialogue opérationnel, il permet aux observateurs européens d’avoir des contacts directs avec des interlocuteurs identifiés des deux bords. En cas d’incidents, les uns et les autres peuvent s’en servir comme d’un relais d’information : si les Géorgiens ne peuvent appeler directement les forces de sécurité sud-ossètes, ils peuvent demander à EUMM de le faire pour obtenir des informations sur un événement spécifique. De quoi éviter les malentendus lorsque les Sud-Ossètes s’entrainent au tir, par exemple.

Une mission difficile à comprendre

Frustrations géorgiennes

De nombreux Géorgiens ont parfois l’impression que les équipes de EUMM ne font rien. Patrouillant avec leurs gilets bleus, sans armement et ne pouvant intervenir par la force, leur mission peut paraître futile. Ils peinent parfois à comprendre, par exemple, que des membres de EUMM les orientent vers des sources de financement pour des projets humanitaires. Pourquoi les Européens ne le font-ils pas eux-mêmes ? Parce que cela ne fait pas partie de leur mandat. Le porte-parole de l’opération admet cette difficulté et multiplie les efforts de pédagogie et d’information, afin de mieux expliquer le rôle de EUMM, notamment en ce qui concerne l’intermédiation entre les différentes parties au conflit.

Un déficit de médiatisation

Faute d’actualité (et d’explosion de violence ?), EUMM peine à médiatiser ses activités et ses petits succès du quotidien. La situation en Géorgie reste pourtant particulièrement importante pour l’Europe, sur fond de tensions avec la Russie et de projet d’intégration de Tbilissi dans l’UE et dans l’Otan. Pour inciter les journalistes locaux à prendre de la hauteur sur les événements, EUMM organise par ailleurs un prix en faveur du journalisme de paix (peace journalism), qui récompense des reportages engagés et éthiques, échappant au manichéisme et la facilité.

(Romain Mielcarek)

(1) Ce service fait partie du service de sécurité russe plus connu sous le nom de FSB.

Lire aussi :

 

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Le Mamouth a 10 ans

Le mamouth (Blog) - Mon, 01/04/2019 - 09:42
La France était alors plongée dans les opérations en Afghanistan (avec quasiment le même effectif
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Brexit ou pas, la Reine d’Angleterre restera une citoyenne européenne

Bruxelles2 - Mon, 01/04/2019 - 05:23

Le drapeau personnel de la Reine Elisabeth, qui ressemble étrangement au drapeau européen, pourrait être hissé sur les navires des forces maltaises le jour de l’anniversaire de la Reine…

(B2) Selon certaines informations, la Reine mère (Queen Élisabeth) aurait envoyé un missi dominici dans plusieurs pays d’Europe. Enjeu : négocier l’achat ou la location de terres, en sous main, sur le territoire de l’Union européenne. Ce qui lui permettrait notamment de continuer à bénéficier de fonds de la politique agricole commune, et de préserver son indépendance de revenus.

So British, so European

L’objectif de Buckingam Palace semble aussi prosaïque. Cette propriété lui permettrait de remplir une condition primordiale pour obtenir un passeport européen, pour elle et ses successeurs : avoir un attachement physique avec des territoires de l’UE. Des démarches ont été entreprises dans plusieurs pays européens où la Couronne a quelques attaches : Espagne et Grèce notamment, mais aussi en France et au Luxembourg. Les contacts entrepris n’ont pas permis d’entrevoir une solution rapide.

Elizabeth citoyenne maltaise

C’est à Malte où la négociation pourrait être le plus aisée. La Valette a une législation plutôt laxiste et bienveillante pour les étrangers, notamment en matière de passeport. La Reine peut en outre y prouver des attaches réelles. Elle a résidé dans l’île méditerranéenne durant plusieurs années, au gré des affectations de son mari Philip dans la Royal Navy, avant de prendre le trône britannique. Et elle a été son chef d’État, même après l’indépendance, jusqu’à la proclamation de la République en 1974.

Un codicille ajouté aux documents du Brexit

Ce changement — négocié très discrètement dans les couloirs de Bruxelles, lors du dernier sommet entre Donald Tusk et Theresa May, au petit matin du 22 mars — pourrait être formalisé sous forme d’un échange de lettres entre l’Union européenne et le Royaume-Uni, confirmant tout simplement que les dispositions sur les citoyens britanniques dans l’Union européenne s’appliquent « y compris à la famille royale » (selon le projet vu par B2). Lettre qui devrait être envoyée aujourd’hui, avant le sommet spécial convoqué à Bruxelles le 10 ou 11 avril prochains. A suivre…

(NGV)

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Défense européenne : arrêtons de déclamer, détaillons !

Bruxelles2 - Sun, 31/03/2019 - 16:05

(B2) Il ne se passe pas de mois désormais sans qu’un dirigeant en responsabilité au niveau européen ne présente une idée ‘nouvelle’ pour faire avancer l’Europe de la défense. En soi, c’est intéressant, cela anime le débat. Mais il serait nécessaire d’en savoir plus.

Une foison d’entreprises

On a mis en place une coopération structurée permanente. Puis est venue une initiative européenne d’intervention, dérivée d’une idée présentée par Emmanuel Macron il y a 18 mois, en septembre 2017. Ensuite sont venues plusieurs déclarations franco-allemandes (à Meseberg en juin 2018 et Aix-La-Chapelle en janvier 2019) qui ont évoqué une nouvelle solidarité militaire entre les deux pays et un conseil de sécurité de l’UE. Puis sont venues des déclarations de plusieurs leaders européens — tels le Français Emmanuel Macron, l’Allemand Angela Merkel, l’Espagnol Pedro Sanchez — annonçant un projet, « à terme », d’armée européenne (1). Des dirigeants de premier plan. Enfin, Emmanuel Macron a souhaité mettre en place un nouveau traité de défense avec non seulement l’Allemagne mais aussi le Royaume-Uni définissant une nouvelle clause de défense mutuelle et ce fameux Conseil de sécurité européen. Sans oublier le fameux porte-avion commun, que voudrait développer la CDU d’Annegret Kramp-Karrenbauer.

Cesser de mettre en bouche et expliquer

Il serait peut-être désormais temps que les idées cessent d’être mises en bouche, mais qu’on arrive à saisir ce qu’elles recouvrent exactement. Paris et Berlin n’ont pas tout à fait peut-être la même idée du Conseil européen de sécurité ni de la défense européenne, il serait intéressant que ces nuances soient clarifiées pour que le débat puisse s’engager concrètement. Il serait aussi intéressant d’avoir un peu de cohérence dans tout ce feu d’artifice d’idées merveilleuses.

Expliquer : une nécessité démocratique

Les responsables politiques devraient prendre l’habitude, dans leurs grands discours, d’accompagner ceux-ci d’une petite notice explicative, détaillant en quelques phrases, comment leurs belles idées doivent être comprises. Cela aurait un intérêt : éviter des incompréhensions, permettre au débat de s’engager, faire avancer les projets. Cela aurait un avantage : clarifier si on est dans l’effet de manche, l’agitation ou le projet, l’action. Cela répondrait tout simplement à une nécessité démocratique

(Nicolas Gros-Verheyde)

(1) Même si leurs entourages s’évertuent à indiquer que c’est juste une manière de voir, de faire, pour recouvrir ce qui est fait aujourd’hui, les mots ont été prononcés de manière décidée.

Lire aussi : Un projet de porte-avions européen : est-ce bien sérieux ?

 

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Quatre millions d’euros investis pour les forces de sécurité intérieure maliennes en 2018

Bruxelles2 - Sun, 31/03/2019 - 11:24

(B2) Au cours de l’année 2018, la police, la gendarmerie et la garde nationale du Mali ont bénéficié d’investissements européens de 4 millions d’euros dans les équipements et infrastructures.

(crédits: EUCAP Sahel Mali)

Réhabilitation de bâtiments, restauration et construction de nouvelles infrastructures, fourniture d’équipements (mobilier, informatique) et dons de matériel opérationnel, la mission européenne EUCAP Sahel Mali, chargée du soutien aux forces de sécurité intérieure maliennes, a financé plusieurs projets (1).

En 2018 seulement, quatre millions d’euros ont ainsi été investis dans l’amélioration des infrastructures et des conditions de vie et de travail ainsi que dans les capacités opérationnelles des stagiaires de la gendarmerie nationale, de la police et de la garde nationale.

Les derniers projets d’infrastructure réalisés sont les nouveaux locaux installés au sein de l’école de la Gendarmerie nationale. Dotés d’une capacité de 450 personnes, ces nouveaux locaux destinés à des activités de formation ont été inaugurés le 13 février 2019.

(MHA)

(1) Au sein de la mission, la cellule « projets » se charge de la gestion des fonds destinés à appuyer les projets recommandés par les conseillers et formateurs de la mission.

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N°70. L’opération Barkhane pour stabiliser la zone sahélienne

Bruxelles2 - Sun, 31/03/2019 - 11:12
(B2) L'opération Barkhane prend le relais en août 2014 de l'opération nationale Serval, lancée en urgence en janvier 2013 pour faire face aux avancées djihadistes et rebelles au Mali. Elle est plus large, avec une dimension régionale, visant les pays du G5 Sahel (essentiellement Mali, Niger, Burkina Faso et Tchad) et est concentrée sur la […]

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Un no deal probable ?

EGEABLOG - Sat, 30/03/2019 - 21:34

Allez, un petit billet sur le #Brexit. Pas tellement pour vous expliquer la scène politique anglaise, à laquelle comme vous je ne comprends pas grand chose. Juste pour dire qu'on va encore avoir une surprise et qu'on n'aura rien vu venir.

source

En clair, si on lit la presse française, on comprend que c'est le désordre et que du coup, on va avoir un deuxième référendum et que cette fois, ci, les Anglais vont être raisonnables et voter le remain.

Personne ne note l'intransigeance des Européens qui ont pris la position la plus raide possible, au motif que s'ils négociaient convenablement, cela pourrait inciter d'autres pays à sortir de l'UE. Or, cette raideur exaspère les Anglais, tous partis confondus.

Dès lors, l'imbroglio aux Communes où les solutions alternatives n'apparaissent pas, va conduire à un raidissement général qui va conduire à un no deal. Et là, on va voir tous les commentateurs (notamment européens) être tout surpris, n'ayant encore une fois rien vu venir.

Sans comprendre que la raison de cette sortie brutale ne tient pas seulement à l'égoïsme ou au manque de vision de la classe politique britannique, mais aussi aux mêmes défauts du côté européen.

Enfin, tout le monde annonce une catastrophe, sans remarquer que la croissance britannique est au RDV depuis deux ans, que le taux de chômage est au plus bas, que la City demeure la place financière mondiale et qu'un no deal ne serait pas forcément si mauvais pour les Brits . Et qu'en revanche, une sortie brute du RU risque d'être une très mauvaise nouvelle pour les Européens, et notamment l'Allemagne qui a, cette année, une mauvaise performance. Bref, cette histoire ne va pas forcément aller dans le sens de ce qu'on nous raconte.

Bref, on a été surpris par le vote du Brexit (forcément la faute des Infox), on risque d'être surpris plus encore par le no deal (forcément la faute des autres).

O. Kempf

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