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Afrique

Vidéo - Matata Ponyo Mapon : " La RD Congo tient bon "

Jeune Afrique / Economie - Sat, 04/06/2016 - 12:00

Matata Ponyo Mapon a une fierté qu'il ne cache guère : avoir porté la croissance économique de la RD Congo à un niveau élevé, proche des 9 %. Et une autre qu'il tait : avoir battu le record de longévité comme Premier ministre de Joseph Kabila.

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Des soldats français accusés de sévices physiques sur des Centrafricains

LeMonde / Afrique - Sat, 04/06/2016 - 11:37
Une procédure disciplinaire a été engagée à l’encontre de cinq militaires, a annoncé le ministère de la défense français.
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Centrafrique : procédure disciplinaire contre des soldats français accusés de sévices physiques

Jeune Afrique / Politique - Sat, 04/06/2016 - 11:14

Une procédure disciplinaire a été engagée à l'encontre de cinq soldats français, soupçonnés de sévices physiques sur deux Centrafricains, a annoncé samedi le ministère français de la Défense.

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Ali contre Foreman, 30 octobre 1974 : retour sur un combat légendaire

LeMonde / Afrique - Sat, 04/06/2016 - 08:33
A la demande du président Mobutu, Mohamed Ali a affronté George Foreman lors d’un combat légendaire à Kinshasa.
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Côte d'Ivoire : Un statut à préserver

Afrik.com - Sat, 04/06/2016 - 07:52
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Mohamed Ali est mort

BBC Afrique - Sat, 04/06/2016 - 07:13
La légende de la boxe, Mohamed Ali, est décédée vendredi à l'âge de 74 ans, à Phoenix, dans l'Etat de l'Arizona. Mohamed Ali défend les musulmans Boxe: mort de Norton, le rival d’Ali Boxe : Joe Frazier est mort
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La Namibie met à nouveau en vente des permis de tuer des rhinocéros noirs

LeMonde / Afrique - Fri, 03/06/2016 - 23:00
L’an dernier, un chasseur américain avait suscité une vive polémique pour avoir payé 350 000 dollars afin d’obtenir le droit de tuer cette espèce menacée.
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CAN 2017 : Petit accroc pour le Maroc

Afrik.com - Fri, 03/06/2016 - 22:31
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La député palestinienne Khalida Jarrar enfin libre!

Algérie 360 - Fri, 03/06/2016 - 22:13

La députée palestinienne Khalida Jarrar a été libérée ce vendredi 3 juin. Emprisonnée pendant plus d’un an par les autorités d’occupation israélienne pour avoir notamment refusé de se conformer à sa décision d’expulsion de Ramallah vers Jéricho, elle a été accueillie par de nombreux palestinien au check-point de Jubara, à côté de Tulkarem dans le nord de la Cisjordanie.

Le premier a être venu à sa rencontre a été le député arabe-israélien Ayman Odeh, à la tête depuis plusieurs mois de la mobilisation en faveur de la parlementaire.

Arrêtée en avril 2015, Khalida Jarrar a finalement été condamnée à la fin de l’année dernière pour « incitation à la violence et au terrorisme » par la justice militaire israélienne. Une accusation réfutée tout le temps par la députée de 53 ans. Plusieurs organisations de défense des droits de l’homme ainsi que des partis politiques européens avaient réclamé sa sortie de prison.

La parlementaire, membre du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP) a toujours plaidé non coupable mais la justice militaire israélienne assure que son appartenance à ce parti, considéré comme une organisation terroriste par l’occupant israélien, l’avait condamnée à une peine de 15 mois de prison. Un emprisonnement qui avait largement mobilisé l’opinion publique palestinienne.

La justice israélienne a finalement décidé de sa libération anticipée arguant que les prisons israéliennes sont pleines. Selon l’organisation de soutien aux prisonniers Addameer, 7 000 palestiniens sont actuellement derrière les barreaux. Ils n’ont jamais été aussi nombreux depuis la fin de la deuxième intifada au milieu des années 2000.

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Djazaîr-export 2016: un pari réussi pour Algex

Algérie 360 - Fri, 03/06/2016 - 21:57

Environs 16 contrats de partenariat ont été signés entre plusieurs entreprises algériennes et leurs homologues africaines durant le Salon Djazaîr-export 2016 organisé par l’Agence nationale de promotion du commerce extérieur (Algex) à l’occasion de la 49 e éditons de la Foire internationale d’Alger (FIA 5016).

Le directeur général de l’Algex, Toufik Chetti affirme être très satisfait des résultats de ce Salon, « très important pour l’économie nationale ». « Nous avons tracé trois objectifs pour ce Salon. Il s’agit entre autre de mettre en œuvre les dernières décisions du gouvernement qui visent à la fois de diversifier l’économie nationale et développer les exportations hors hydrocarbures, sensibiliser, encourager et accompagner les entreprises nationales à exporter et en fin mettre les producteurs nationaux en contact avec les hommes d’affaires africains venus spécialement pour cet événement. «Ce que je peux dire, c’est que nous avons atteint nos 3 objectifs », a estimé M. Chetti qui rappellera que 14 contrats ont été signés dimanche passé tandis que le dernier a été signé ce jeudi lors de la clôture du salon.  La Banque arabe pour le développement économique en Afrique (BADEA), souligne M. Chetti, a accompagné Algex avec 280 000 dollars, soit 3 milliards de centimes pour prendre en charge le déplacement de 80 hommes d’affaires africains issus de 10 pays vers l’Algérie.

Les entreprises nationales s’intéressent au marché africain 

Lors de notre virée au Salon de Djazaîr-Export 2016, nous avons constaté la présence de plusieurs entreprises qui ambitionnent de faire porter leur produits au-delà des frontières nationales. C’est le cas de l’entreprise « ZTMAM PLAST SARL » spécialisée dans la fabrication de matières plastique, articles de ménage et similaires et aussi des matières en plastique de base soit la transformation qui a signé jeudi un accord avec l’entreprise Magyuy Trade Center spécialisée dans l’import-export.

« Actuellement nous satisfaisons environs 40% des besoins du marché national en matière d’articles ménagers en plastique, et nous avons décidé d’aller vers l’exportation », nous a indiqué le directeur général de « ZTMAM-Plast », Zitoun Terki Mounir qui précisera que son entreprise avait signé il y a deux semaine deux contrats avec des Maltais. L’un, précise-t-il, concerne l’exportation des articles ménagers en plastique vers Malte et le deuxième concerne la création d’une usine mixte pour la production des citernes en plastique dépassant les 5000 litres.

Pour sa part, Marguerite Tchuiente Wandji, directrice générale de « Magyuy Trade Center » indique qu’elle était invitée par la BADEA pour assister à ce Salon organisé par Algex. Ainsi, souligne-t-elle, j’ai signé un contrat d’importation des articles ménagers en plastique fournis par notre partenaire ZTMAM-Plast. Nous allons entamer le travail sérieux dès la fin du mois de Ramadhan, a-t-elle indiqué.

Pour l’entreprise LABOREF, productrice national d’émulsions et d’arômes depuis trente ans, détient une bonne partie du marché national. « Nous envisageons d’exporter nos produits vers les marchés ivoirien et Libanais », a indiqué Ali Hasnaou, responsable commercial de Laboref avant de rappeler que son laboratoire avait entamé les opérations d’exportation vers la Tunisie et la France.  Mais cela (l’exportation) demeure encore très minime, selon notre interlocuteur.

Quant à elle, l’entreprise Ceram colle spécialisée dans la fabrication des produits en ciment, de colles, de joints d’étanchéité et enduits en mastics destinés à la construction ambitionne également d’investir les marchés extérieurs notamment celui de la Côté d’Ivoire.

Il est à signaler que des dizaines d’entreprises que nous avons rencontrées lors de ce Salon ont été approchées par « Algerian For Events and Export Er Rowed (AFEEE) », une société algérienne de service à l’export de biens et services, présente en Côte d’Ivoire via la maison algéro-ivoirienne de commerce (MAIC) depuis plus de 6 mois, dont plus de 35 d’êtres elles ont déjà signé des conventions pour présenter leur produit sur le marché ivoirien. AFEEE, créée en 2014,  a fait un travail de proximité et de sensibilisation auprès des entreprises algérienne pour les inciter à participer à la promotion des opérations d’exportation vers les marchés africains, notamment ceux de la Côte d’Ivoire et de la région de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest(CEDEAO).

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Fuites de sujets du Bac : Des gendarmes bouclent le siège de l’ONEC

Algérie 360 - Fri, 03/06/2016 - 21:41

Des éléments de la gendarmerie nationale ont bouclé, vendredi, les locaux de l’Office National des Examens et Concours (ONEC) alors que le personnel présent ainsi que des enseignants ont été interdits de quitter les lieux.

Selon Ennahar Tvqui révèle l’information, les gendarmes sont intervenus dans le cadre de l’enquête sur les fuites de sujets

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Marchés de capitaux : l’Algérie cherche à stimuler les liquidités (OGB)

Algérie 360 - Fri, 03/06/2016 - 21:35

Les emprunts traditionnels étant désormais limités par la baisse des recettes issues des hydrocarbures, les autorités publiques redoublent d’efforts pour développer les marchés de capitaux algériens. En encourageant les cotations sur les marchés de la dette ainsi que des actions, les autorités cherchent à soulager la pression qui pèse sur le Trésor et à créer de nouveaux débouchés d’investissement pour les institutions financières.

 « Le Trésor et l’État n’ont plus les moyens de financer les projets de développement à la même hauteur que ces dernières années, avec pour conséquence une redistribution des canaux de financement et un besoin de développement des marchés financiers », a déclaré  à OBG Abdelhakim Berrah, président de la Commission d’Organisation et de Surveillance des Opérations de Bourse en Algérie (COSOB).

Étant donné le faible volume des échanges, et le nombre relativement bas d’investisseurs, les liquidités ont été historiquement un obstacle au développement de ces marchés. Néanmoins, les autorités entendent rétorquer en misant sur la privatisation d’entreprises publiques et sur les cotations dans le secteur privé.

Potentiel de croissance

La petite Bourse d’Alger, qui est opérationnelle depuis 1999, ne compte que cinq valeurs cotées, offrant ainsi un formidable potentiel. Des frémissements ont d’ailleurs été observés  au cours des derniers mois, la capitalisation boursière enregistrant une croissance de 8% en 2015 avec une clôture à 16 milliards de dinars (129,2 millions d’euros), contre 14,8 milliards de dinars (119,5 millions d’euros) à la fin 2014.
Cependant, la totalité de cette capitalisation boursière équivalait à moins de 1% du produit intérieur brut (PIB) en 2014, contre 62,7% au Maroc et 21 7% en Tunisie. La marge de croissance est donc très significative.
Le mois dernier, le groupe pharmaceutique algérien privé Biopharm a pour la première fois été introduit en Bourse, avec à la clé une levée de 6 millions de dollars dès la première semaine. Les parties prenantes ont souligné que les résultats financiers de Biopharm ainsi que son activité dans le secteur de la santé, promis à une croissance future du fait du vieillissement démographique, constituaient un potentiel d’attraction d’investissements supplémentaires.
La place boursière compte également SAIDAL parmi ses cotations, fabricant pharmaceutique détenu majoritairement par l’État, l’Entreprise de Gestion Hôtelière Chaine EL AURASSI (partiellement détenue par l’État), et les acteurs privés Alliance Assurances et Nouvelle Conserverie Algérienne de Rouiba.

Privatisation partielle

Au vu de l’envergure et de l’échelle des entreprises publiques en Algérie, les entités publiques jouent bien entendu un rôle central dans les efforts déployés par le gouvernement pour accroître ses liquidités sur la place boursière, attirer de nouveaux investisseurs et stimuler les échanges d’actions existantes.
En vertu de la Loi de finances 2016, publiée fin 2015, les entreprises publiques sont autorisées à ouvrir jusqu’à 66% de leur capital social. Il convient néanmoins de préciser que seul l’actionnariat national résident y est éligible.
Les prises de position n’ont pas tardé. En effet, la Société des ciments Ain El Kebira (SCAEK) a lancé son introduction à la mi-mai, prévue pour clôture le 13 juin.
L’entreprise cherche ainsi à augmenter son capital de 33% grâce à la vente de près de 12 000 nouvelles actions, à répartir entre investisseurs institutionnels (37%) tels que des banques et des compagnies d’assurances, investisseurs particuliers (27%), personnes morales (25%) et salariés de l’entreprise (1%).
Entre Biopharm et SCAEK, la capitalisation boursière de la place d’Alger devrait être multipliée par six pour quasiment franchir la barre du milliard de dollars d’ici à la fin juin, selon la COSOB.
Quatre autres entreprises publiques sont également appelées à ouvrir leur capital social au cours des six prochains mois, faisant ainsi grimper le nombre total de cotations à 10, et la capitalisation boursière globale à 10 milliards de dollars selon les médias locaux.
Le Groupe public des ciments d’Algérie, qui est l’entreprise mère de SCAEK, envisage également la cotation de deux autres filiales. De leur côté, le Crédit populaire d’Algérie, Cosider Carrières et la Compagnie Algérienne d’Assurance et de Réassurance devraient elles aussi se lancer sur la place boursière d’ici à la fin de l’année, selon la presse.  

Encourager les introductions en bourse

En dépit des évolutions récentes, la place boursière d’Alger continue de voir son développement se heurter à certaines difficultés, telles que le manque de sensibilisation aux avantages que présentent les investissements en capitaux propres, notamment sur le plan de l’introduction en Bourse.
Afin d’y remédier, la COSOB est sortie de son rôle traditionnel de réglementation pour promouvoir une meilleure compréhension du fonctionnement des marchés financiers, ainsi qu’une culture de l’investissement plus active.
Mais l’Algérie a également recours aux canaux habituels de réglementation pour faire bouger les lignes. La Loi de finances 2015 a permis le maintien d’une mesure entrée en vigueur l’année précédente en accordant une exonération fiscale aux entreprises proportionnelle à la part de leur capital social ouverte au marché, ainsi qu’une autre exonération fiscale sur les plus-values pour encourager les investisseurs.

Emprunts d’État

Le marché algérien de la dette n’est pas en reste, avec le grand retour des émissions obligataires lancées par le gouvernement en avril, chose qui n’était pas arrivée depuis des années. L’objectif : ouvrir de nouveaux débouchés de financement après la chute des recettes énergétiques qui, traditionnellement, représentent environ 60% des dépenses budgétaires. Le gouvernement avait été particulièrement actif sur ce terrain entre 2003 et 2010, et son retour va permettre de donner un nouvel élan au marché obligataire du pays.
Ces obligations seront assorties pour les échéances à trois ans d’un coupon de 5%, et de 5,75% à cinq ans, selon les médias. Dès la fin avril, toutes les obligations émises avaient trouvé preneur pour un montant total de 20 milliards de dinars (161,9 millions d’euros).
Selon Salah Khebri, ministre de l’Énergie, le gouvernement envisage également l’émission d’obligations pour aider au financement d’investissements ciblés dans le secteur de l’énergie.
« Nous aurons recours à l’émission d’obligations », a-t-il déclaré aux médias le mois dernier. Nous les consacrerons exclusivement à des investissements productifs dans le secteur de l’énergie », citant Sonelgaz et Sonatrach.
Le gouvernement a pris l’engagement de financer ces projets à hauteur de 75%, étant attendu que les filiales de Sonelgaz et Sonatrach couvrent les 25% restant.

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La sécurité et la stabilité nationales exigent la vigilance de tous

Algérie 360 - Fri, 03/06/2016 - 21:24

La sécurité et la stabilité nationales « exigent la vigilance de tous et la contribution de chacun », a indiqué, vendredi à Alger, le secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND), Ahmed  Ouyahia.

« La tragédie nationale, dont les blessures n’ont pas encore été cicatrisées, est là pour nous rappeler le prix des certitudes excessives ou des négligences mortelles. Alors pêchons aujourd’hui par excès de prudence et de vigilance, plutôt que d’être surpris encore une fois », a déclaré M. Ouyahia à l’ouverture des travaux de la première session du conseil national du parti après la tenue de son 5ème congrès.

« En parlant de la sécurité et de la stabilité du pays, nous avons également à l’esprit les manoeuvres subversives promues par certaines puissances étrangères revanchardes qui n’acceptent pas encore l’indépendance de l’Algérie ou son soutien au droit des peuples à l’autodétermination, exploitant quelques mercenaires politiques qui revendiquent, aujourd’hui, l’indépendance de la Kabylie ou l’autonomie du M’zab », a-t-il dénoncé.

M. Ouyahia a affirmé que l’Algérie « s’est largement immunisée avec la politique de la réconciliation nationale qui a cimentée notre peuple grâce à la clairvoyance et l’engagement » du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, mettant en exergue l’attachement des Algériens à l’indépendance nationale et à l’unité de leur pays.

Il a également rappelé que l’Algérie disposait d’une armée « qui démontre au quotidien sa compétence et sa bravoure » et qui est dirigée par des moudjahidine « toujours fidèles au serment qu’ils ont fait aux glorieux Chouhada de la Révolution de Novembre, à leur tête le moudjahid Abdelaziz Bouteflika, chef suprême des Forces armées ».

M. Ouyahia a tenu, à cette occasion, à rendre hommage à l’Armée nationale populaire (ANP) « qui veille à la sécurité de notre territoire », saluant ses succès dans l’éradication du terrorisme résiduel et contre les réseaux du crime transnational « qui tentent d’inonder le pays avec la drogue et avec les armes de guerre ».

=La prise en charge des défis nationaux nécessite un consensus national=

Par ailleurs, le SG du RND a souligné que la prise en charge des défis nationaux, sécuritaires et économiques « nécessite un consensus national, ou tout le moins de la sérénité dans le pays ».

« Le RND appelle à l’avènement d’un consensus politique dans le respect de la Constitution, des Institutions de la République ainsi que de la volonté du peuple exprimée démocratiquement par la voie des urnes », a-t-il affirmé.

« En attendant cela, nous appelons tous les acteurs à concourir à la préservation d’un climat de sérénité qu’exige d’ailleurs l’opinion nationale », a ajouté le premier responsable du RND.

Pour M. Ouyahia, son parti « n’acceptera jamais que l’Etat soit outragé dans l’impunité, car cela n’est dans l’intérêt de personne comme nous l’a enseigné un passé encore récent ».

Mettant en valeur la vertu du dialogue « tradition ancestrale de notre peuple », le SG du RND a indiqué que la dernière révision constitutionnelle a permis à l’Algérie « de consolider son Etat de droit et ses libertés démocratiques ».

« Cette révision a renforcé les droits politiques de l’opposition. Elle a apporté aussi des garanties supplémentaires à la liberté d’investir dans le respect de la loi », a-t-il ajouté, précisant également qu’elle avait consolidé la liberté de la presse et conforté l’indépendance du pouvoir judiciaire.

« Alors, à défaut de solutions par la voie du dialogue, veillons à ce que la Justice arbitre tous les désaccords et sanctionne toutes les violations de la loi », a-t-il conclu.

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Haddad: « Les Algériens doivent travailler 5 ans de plus »

Algérie 360 - Fri, 03/06/2016 - 21:20

Le président du Forum des chefs d’entreprises (FCE), Ali Haddad, a révélé que trois dossiers importants seront au menu de la tripartite qui réunira dimanche prochain le gouvernement, l’UGTA et le patronat.

Il s’agit essentiellement de la divulgation des axes du nouveau modèle économique, l’investissement et la retraite, dont l’âge légal de départ à la retraite sera repoussé à 65 au lieu de 60 ans.

Intervenant en marge d’une journée d’étude sur la Logistique sous le thème: « La logistique comme vecteur de compétitivité des Entreprises », tenue jeudi 2 juin à l’hôtel Aurassi à Alger, le patron du FCE a fait savoir que trois importants dossiers seront débattus lors de la tripartite, en l’occurrence l’âge de départ à la retraite qui sera fixé à 65 au lieu de 60 ans.

Pour Ali Haddad, les cadres algériens qui partent à la retraite à 60 ans sont en mesure travailler encore, ajoutant qu’à compter de 2016, il n’y aura pas de départ à la retraite à 60 ans.

Par ailleurs, il a indiqué le lancement dans les jours à venir du nouveau modèle économique, qui a, faut-il le rappeler, suscité tant de réactions de la parti des ministres du gouvernement Sellal.

Selon lui, ce nouveau modèle économique, annoncé par le chef de l’Exécutif, permettra la création d’une économie productive loin de la rente pétrolière qui représente 98%  des recettes financières du pays et l’approbation de nouveaux projets économique.

Haddad a révélé que le troisième point concerne l’investissement et l’industrie, dont les nouvelles formules du crédit, le foncier industriel et les nouvelles facilitations au profit des investisseurs publics et privés.

Le président du FCE a met l’accent sur la nécessité de travailler en vue de sortir de la crise et d’exploiter les infrastructures, les routes, les différents réseaux et structures dans le sens de faciliter le travail des entreprises.

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Ouyahia: « Des parties externes et internes derrière les complots contre l’Algérie »

Algérie 360 - Fri, 03/06/2016 - 21:10

Le secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND), Ahmed Ouyahia, a indiqué vendredi que des parties étrangères appuyées par des « mercenaires politiques internes » menacent l’unité nationale.

Lors de son allocution prononcée en marge de la première réunion après son plébiscite à la tête du RND, Ahmed Ouyahia a fait savoir que la situation sécuritaire qui règne dans les pays voisins vise l’Algérie, d’où il faut à ses yeux préserver aussi bien l’armée et le citoyen.

Par ailleurs, il a souligné que l’Algérie continue sa lutte acharnée contre le terrorisme, en louant les « résultats réalisés par les éléments de l’ANP dans la lutte contre les derniers résidus du terrorisme ».

S’agissant de la crise économique  que traverse le pays, Ouyahia a estimé que celle-ci ne nécessite pas de simples solutions, ajoutant que l’endettement externe est une option simple qu’il faut éviter.

Pour lui, l’Algérie a pu éviter un grand choc économique grâce au remboursement anticipé de ses dettes.

Dans le même sillage, il insiste sur la nécessité de tirer des enseignements en engageant des réformes profondes permettant de sortir de la crise économique.

Selon lui, l’équilibre du budget 2016 est tributaire d’un prix du baril de pétrole à 80 dollars.

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Jean Ping ignore la police judiciaire

BBC Afrique - Fri, 03/06/2016 - 21:08
L'opposant gabonais Jean Ping a refusé de répondre vendredi à une convocation de la police judiciaire (PJ) à Libreville. Gabon : Ping se dit "cible à abattre" Gabon : menace de poursuites contre Ping Gabon : de nouveaux alliés pour Ping
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France: l’Algérie gèle ses subventions pour la construction de mosquées

Algérie 360 - Fri, 03/06/2016 - 21:05

L’ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire d’Algérie en France, Amar Bendjama, a révélé que le gouvernement algérien a décidé de geler les subventions octroyées pour soutenir la présence de l’islam en France et la construction de mosquées pour la communauté algérienne en particulier et musulmane en général.

Pour rappel, cette subvention accordée par l’Algérie était, il y a cinq ans, de 4 millions d’euros, l’équivalent de plus de 40 milliards de centimes.Le diplomate algérien a dévoilé au Sénat français lors d’une mission d’information sur l’organisation, la place et le financement de l’islam en France et de ses lieux de culte, le 31 mai dernier, les efforts consentis par l’Algérie pour promouvoir l’islam en France.

Il a expliqué aux Sénateurs que l’Algérie ne participe pas directement dans la construction de mosquées en France et que son soutien financier est minime. Il a révélé aussi, lors de son exposé, que l’Algérie a gelé officiellement ses aides à hauteur de 4 millions d’euros aux 50 associations présentes en France et ce depuis cinq ans. Néanmoins, l’Algérie poursuit son soutien financier, en toute transparence, à la Grande mosquée de Paris, dont sa relation avec l’Algérie est enracinée dans l’histoire.

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