Une campagne mixte contre la pêche illégale qui "fait des ravages dans le Golfe de Guinée" a été conjointement organisée par la Gambie, la République de Guinée, la Guinée-Bissau et le Sénégal. Un navire battant pavillon chinois a été arraisonné, deux autres en fuite ont été formellement identifiés et localisés, selon les autorités guinéennes.
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Une loi de finances rectificative va être présentée aux députés ivoiriens, marquant une hausse de 352 milliards de F CFA (536,6 millions d'euros) du budget 2016, reflet d'une conjoncture favorable.
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Development Partners International va investir 100 millions de dollars dans Atlantic Business International, holding commun entre le marocain Banque populaire et l'ivoirien Atlantic Financial Group (AFG).
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Development Partners International va investir 100 millions de dollars dans Atlantic Business International, holding commun entre le marocain Banque populaire et l'ivoirien Atlantic Financial Group (AFG).
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Le Niger a "strictement interdit" toute exportation et abattage d'ânes pour protéger cette espèce menacée par un commerce avec l'Asie. Le Burkina avait pris une décision en analogue en août.
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La Gécamines a fait une offre pour le rachat de la participation majoritaire du groupe américain Freeport-McMoran dans le méga-gisement minier de Tenke Fungurume Mining, dans le sud-est de la RD Congo. Le groupe américain avait accepté, en mai, l'offre de 2,6 milliards de dollars d'une société chinoise. Une transaction contestée par la Gécamines.
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Née d'un contrat conclu entre l'État et la société chinoise CNPC, la Société de raffinage de Zinder qui exploite et transforme le pétrole dans la région d'Agadem, dans le sud du Niger, est dans une mauvaise passe. Combien de temps tiendra-t-elle ?
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La retraite proportinnelle, le recrutement d’enseignants et les résultats de l’enquête sur la fraude lors de l’examen du baccalauréat, trois dossiers majeurs sur lesquels la ministre de l’Education nationale, Nouria Benghebrit a axé ses discours depuis sa rencontre avec les partenaires sociaux.
Concernant la problématique de la retraite anticipée qui fait coulé beaucoup d’encre, la première dame du secteur éducatif a tenté d’apaiser les esprits des enseignants, tout en les rassurant que son département n’est pas concerné.
En marge d’une visite effectuée à la wilaya de Naama,la ministre a affirmé que le secteur de l’Education n’est pas concerné par la problématique de la retraite anticipée pour les années 2016 et 2017,au regard du dispositif calendaire et de l’agenda du secteur soumis à des dispositions spécifiques.
«Les professeurs ayant déposé leurs dossier entre septembre et novembre 2015 bénéficieraient de la retraite à la fin aout de l’année prochaine.
La ministre a notamment informé que son département organisera prochainement, un workshop sur la problématique de la retraite proportionnelle dans le secteur de l’Education en associant les partenaires sociaux : « Il s’agit de faire une présentation objective de l’état du secteur ».L’objectif étant de déterminer quels sont les cycles scolaires qui sont touchés par cette problématique et également dans quelle matière et ce, dans le cadre d’une vision prospective jusqu’à 2030.
Une commission tripartite devrait se réunir après l’Aïd El Adha pour trancher la question des métiers pénibles.
A ce propos, le représentant de l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA), Amar Takjout a indiqué à Echorouk que les discussions sérieuses autour des « métiers pénibles » débuteront officiellement après l’Aïd El Adha, lors de la réunion de la commission tripartite composée de représentants de la centrale syndicale, du gouvernement et du patronat.
Selon le représentant de l’UGTA, il sera procédé à une deuxième sélection des métiers présentés par les participants comme pénibles, et c’en faisant appel à des experts de la Sécurité sociale, de la médecine professionnelle et de la sécurité professionnelle.
Par ailleurs, Takjout a fait savoir que la discussion s’articulera essentiellement autour des métiers pénibles de 2e et 3e degrés et prendra en considération le préjudice moral auquel le travailleur est confronté pendant l’exercice de ses fonctions, affirmant qu’il y a unanimité concernant les métiers pénibles de premier degré.
Il s’agit à ses yeux des métiers de fourrage, d’exploration, la construction, les travaux publics, les laboratoires, la marine…
Notre interlocuteur a tenu également à rassurer quant à la non exclusion de certaines fonctions relevant du secteur privé.
En outre, il préconise à distinguer entre un fonctionnaire exerçant dans le haut fourneau au complexe de El Hadjar et celui confortablement installé dans son bureau climatisé!
L’émigration clandestine n’a de cesse de prendre de l’ampleur ces derniers mois.
La Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (Laddh), citant les données des gardes-côtes relevant des forces navales, a indiqué qu’une tentative d’émigration illégale de 388 harraga a été déjouée il y a moins de deux semaines.
La Laddh a indiqué dans un communiqué que 338 migrants clandestins ont été interceptés entre le 21 août et le 5 septembre 2016 par les gardes-côtes relevant des forces navales, qui ont tenté prendre le large pour atteindre l’autre rive de la Méditerranée.
Selon un dernier bilan des forces navales algériennes paru le 5 septembre dernier, une tentative d’immigration clandestine de 10 individus originaires de Mostaganem dont un mineur a été déjouée.
Pour la Ligue, les chiffres avancés ne reflètent point le nombre réel des migrants clandestins en l’absence du chiffre exact concernant ceux qui se seraient morts noyés et ceux qui se seraient installés dans différents pays du vieux continent.
Plusieurs wagons du train reliant l’université de Sidi Amar à la ville d’Annaba ont été incendiés ce mardi soir par des manifestants, a appris Ennahar TV de sources locales.
Les manifestants auraient réagit, selon les mêmes sources, après que le train ait percuté un homme âgé.
A 19h00, les éléments de la protection civile tentent toujours de maîtriser les flammes.
Augmentation du capital, ouverture d'agences, nouvel organigramme... L'institution se remet en selle après la crise traversée en 2015.
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ALGER- Le ministre de l’Agriculture et du développement rural, Abdesslam Chelgham, a reçu mardi à Alger le président de l’Instance arabe d’investissement et de développement agricole, Mohamed Ben Abid Al Mazroui, avec lequel il a examiné la possibilité de création d’un mécanisme pour l’octroi de micros-crédits aux agriculteurs, a indiqué un communiqué du ministère.
Lors des entretiens qui ont porté sur la coopération et l’investissement dans le domaine agricole en Algérie, les deux parties ont « examiné la possibilité de création d’un nouveau mécanisme entre l’Instance arabe pour l’investissement et la Caisse nationale de Mutualité agricole, chargé de l’octroi de micros-crédits aux agriculteurs dans le futur proche », a précisé la même source.
M. El Mazroui a proposé la concrétisation en Algérie de projets d’investissement comme la culture de blé et de tournesols.
Le ministre de l’Agriculture qui a exprimé sa satisfaction quant à ces projets, a donné des instructions aux cadres du ministère pour leur application sur le terrain.
M. Chelgham a tenu à souligner que les « perspectives d’investissement dans le domaine agricole sont ouvertes à tous ceux qui désirent investir dans ce segment en Algérie », a conclu le communiqué.
WASHINGTON- Les Etats-Unis doivent réévaluer leur relation avec l’Algérie « pour tirer parti de son rôle constructif dans le maintien de la stabilité et de la paix dans la région de l’Afrique du nord et du Sahel », a estimé Foreign Policy research institute (FPRI).
Dans une contribution intitulée « faire le bilan des options de la politique américaine en Algérie, au Maroc et en Tunisie », publiée cette semaine à Washington, le Think Tank américain a relèvé que les Etats-Unis ont besoin d’une réévaluation approfondie de leurs relations avec chaque pays du Maghreb.
La vision américaine pour la région du Maghreb a été dans le premier temps façonnée par le prisme de la guerre froide qui « met le Maroc et la Tunisie comme des alliés, alors que l’Algérie comme leader des Non alignés est vue avec suspicion », relève Vish Sakthivel l’auteur de la contribution.
« En dépit des intérêts communs, la politique de Washington dans la région du Maghreb souffre d’un manque de connaissances en ce qui concerne le plus grand pays de l’Afrique du Nord », relève le centre de recherche dans cette contribution reprise également par le journal américain en ligne Eurasia Review.
« L’Algérie, pour sa part, est restée un exemple dans la médiation régionale, alors que l’évolution de ses politiques intérieures a reçu peu d’intérêt » de la part de l’establishment américain, constate le FPRI qui préconise « des partenariats ciblés, approfondis et intelligents avec l’Algérie » pour « tirer parti de son rôle constructif » dans le maintien de la paix dans la région.
A cet égard, FPRI a rappelé que l’histoire des relations entre les deux pays a pourtant été « marquée par des points forts », qui pouvaient renforcer ces partenariats, en rappelant dans ce cadre le soutien du président John F. Kennedy à l’indépendance de l’Algérie et le rôle joué par Alger dans la libération des otages américains en Iran en 1981.
Le Think Tank américain a fait remarquer qu’en Afrique, les deux pays partagent également beaucoup d’objectifs diplomatiques communs: L’Algérie a contribué à la médiation entre l’Ethiopie et l’Erythrée et à la conclusion de l’accord de paix et de réconciliation au Mali. Elle joue également un rôle important au sein de l’Union Africaine, une organisation que les Etats-Unis ont préféré s’en remettre pour le règlement des conflits dans le continent.
Les relations entre les deux pays ont gagné ensuite en importance après la montée des groupes terroristes comme al Qaida au Maghreb Islamique dans la région, incitant les deux pays à renforcer leur coopération sécuritaire. « L’Algérie est devenue de plus en plus importante en termes géostratégique et économique pour les intérêts américains dans la région », constate Foreign Policy.
Pour autant, ces relations ont été loin de leur équilibre en raison de la contradiction qui caractérise certains principes de leurs politiques étrangères, souligne le centre de recherches américain.
Selon Foreign Policy, l’Algérie « n’a jamais lâché du lest sur les principes fondamentaux de sa politique étrangère notamment sur les questions liées à sa souveraineté nationale et économique. Elle a toujours gardé un oeil sur les intérêts hégémoniques américains dans la région et refusé toute présence militaire étrangère sur ses territoires ».
« Contrairement au Maroc et à la Tunisie, les relations entre l’Algérie et les Etats-Unis ont été loin de leur équilibre. Certains principes fondamentaux sous tendant la politique étrangère algérienne sont souvent en contradiction avec ceux des Etats-Unis », constate-t-il.
La position de la politique étrangère algérienne basée sur le patriotisme économique, le non alignement, la souveraineté nationale, la non ingérence et le soutien aux luttes de libération des pays du sud a été forgée durant sa longue lutte de libération contre l’occupation française, explique FPRI.
« Comprendre les sociétés et les cultures politiques des pays avec lesquels nous travaillons est crucial pour la formulation d’une politique étrangère éclairée (à) la politique étrangère des Etats-Unis ne peut pas se permettre le manque de connaissances en ce qui concerne le paysage politique algérien », précise-t-il.
S’appuyant sur le constat établi sur l’Algérie par l’ancien chef d’Africom, le général David Rodriguez, FPRI recommande de tirer profit du leadership de l’Algérie dans la région d’autant plus que Washington partage avec le gouvernement algérien les mêmes préoccupations sur la situation au Sahel.
» (…) Je considère l’Algérie comme un leader régional, capable de coordonner les efforts des pays du Sahel pour contrer les menaces transnationales à la sécurité », souligne le Think Tank américain en reprenant les propos du général Rodriguez à cet égard.