Le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Mohamed El Ghazi, a déclaré, à partir de Tipasa, que les travailleurs concernés par les retraites anticipée et proportionnelle ont jusqu’à la fin de l’année pour déposer leurs dossiers.
Le ministre a souligné que ses services «travaillent en collaboration avec les partenaires sociaux en vue de la mise au point d’une liste des métiers et des professions pénibles, puis la promulgation d’un décret exécutif fixant cette liste, avant sa présentation devant le Parlement pour examen et approbation». Interrogé sur la retraite anticipée, le ministre du travail a indiqué que l’actuelle loi est toujours en vigueur, jusqu’à l’entrée en application de l’avant-projet fixant l’âge minimum de départ à la retraite à 60 ans pour les hommes, et à 55 ans pour les femmes, en janvier 2017, suite à son approbation par le Conseil des ministres, en juillet dernier, sous la présidence du président de la République Abdelaziz Bouteflika. Une commission a été mise sur pied pour élaborer ce projet de loi, par souci d’équité entre les métiers et les professions, et de préservation des capacités de la Caisse nationale des retraites (CNR).
L’avant-projet de loi en question stipule que «le bénéfice de la pension de retraite ne peut être accordé avant l’âge de 60 ans pour les hommes et 55 ans pour les femmes, avec une durée de travail effective de pas moins de 15 ans». Un autre alinéa prévoit la possibilité, pour certains, de travailler cinq ans supplémentaires, avec l’accord de l’employeur, avec ouverture du droit à une retraite avant 60 ans, pour les emplois dits pénibles (qui seront fixés par la loi). Parallèlement, une possibilité est offerte pour les employés occupant des emplois nécessitant de hautes qualifications, de travailler au-delà de 60 ans. Près d’un tiers des retraités partent avant l’âge légal de la retraite (60 ans). Le système actuel le leur permet. Sauf qu’à la cadence actuelle, il représente une menace réelle.
Le nombre de salariés à quitter le monde du travail est en constante augmentation au même titre que ceux qui décident de mettre fin à leur carrière professionnelle. Ils sont près de trois millions. «2880.180 dossiers de pensions et d’allocations de retraites, sont gérés par la CNR, dont 2016.817 retraites normales (âge de 60 ans), 594.247 retraites proportionnelles, 261.717 retraites sans conditions d’âge, 507 retraites anticipées et 6892 retraites servies à l’étranger», indiquent les statistiques de la Caisse nationale des retraites qui souligne que le montant mensuel qui leur est versé s’élève à plus de 85 milliards de dinars. Une hausse de près de 18% par rapport à la moyenne mensuelle de l’an dernier. «La dépense mensuelle de la CNR est passée de 73 milliards de dinars en janvier 2015 à près de 85,7 milliards de dinars en mai 2016, en matière de pensions et allocations de retraites», a précisé le document de la CNR repris par une dépêche de l’APS datée d’hier. Ils sont 410.000 à avoir grossi les rangs des retraités entre le début de l’année 2014 et le mois de juin 2016.
«La caisse a enregistré 130.000 nouveaux dossiers en 2014, 180.000 autres en 2015, alors que pour le premier semestre (janvier-juin) 2016 seulement, elle a enregistré 100.000 nouveaux dossiers», font observer les rédacteurs du rapport de la caisse, selon les responsables de cet organisme qui prévoit 200.000 nouveaux dossiers d’ici la fin du mois de décembre 2016.
les administrations en charge du volet animation que sont la direction de la culture et celle de la jeunesse et des sports ont chômé.
L’été 2016 à Bouira aura été le plus morose en matière d’animation. Tout au long du mois de Ramadhan et jusqu’à cette rentrée sociale, les administrations en charge du volet animation que sont la direction de la culture et celle de la jeunesse et des sports ont chômé. Dans plusieurs éditions, notre journal a relayé la détresse des citoyens qui n’ont pas les moyens d’aller ailleurs. En vain, puisque ni la direction de la culture ni celle de la jeunesse et des sports n’ont daigné bouger le petit doigt.
Cette inertie touchera même les projets de réalisation des structures Ainsi, le théâtre de verdure de la ville de Bouira continue à être un chantier à l’abandon. Au mois de décembre dernier, aussi bien les responsables de l’entreprise réalisatrice que le directeur de la culture avaient affirmé que ce projet sera ´´fin prêt´´ pour mars dernier.
Nous sommes quasiment au mois de septembre et ce chantier n’a pas avancé d’un iota. Récemment et à l’occasion d’une sortie sur site le SG de la wilaya, M.Ahmed Menguelati a affirmé que le contrat liant l’entreprise réalisatrice (groupe Condor/Batigec) à la wilaya, ´´allait être résilié´´, tout en motivant sa décision par ´´l’énorme retard´´ accumulé par ladite entreprise. Et pour cause, l’ordre de service (ODS) de ce chantier a été signé en mars 2010 pour une durée de réalisation du projet qui ne devait pas excéder les 30 mois.
Nous sommes au 1er semestre 2016 et ce projet, lequel a déjà englouti plus de 500 millions de dinars, est toujours à l’arrêt.
Le même constat est à faire pour le théâtre régional baptisé Amar Laskri en hommage à cette icône du cinéma algérien post-indépendance.
La structure est fermée depuis maintenant une dizaine d’années. Si pour le secteur de la culture, l’administration centrale reste de marbre, ce n’est point le cas pour celui de la santé. Le non-lancement du projet de l’hôpital mère et enfant a amené le département de Boudiaf à annuler le projet. Une autre grande perte pour Bouira dont les nouveau-nés sont souvent transférés sur le service néo-natal de Tizi Ouzou.
Cette structure devait avoir une capacité d’accueil de 80 lits pour le service de pédiatrie, 42 pour la chirurgie infantile et 80 autres pour la gynécologie obstétrique. Pis encore, et selon les mêmes sources, d’autres projets de santé publique, à l’instar du futur hôpital psychiatrique de Bouira, ainsi que l’école des paramédicaux du chef-lieu de wilaya risquent de passer à la trappe, faute d’enveloppe budgétaire conséquente.
En voyant ces projets s’effriter et partir, le cas du CHU est dans les mémoires, la wilaya de Bouira perd de son aura, elle qui est stratégiquement la mieux lotie au plan national. En lieu et place d’un grandiose palais de justice, d’un siège de wilaya gigantesque, la population aurait aimé cet hôpital et un CHU devenu plus que nécessaire.
Le président français François Hollande a mis en garde hier contre «les risques d’embrasement général» en Syrie avec les «interventions multiples, contradictoires» de la Turquie et de la Russie, lors d’un discours devant la Conférence des ambassadeurs à l’Elysée. «Ces interventions multiples, contradictoires portent des risques d’embrasement général», a déclaré le chef de l’Etat français, évoquant notamment l’intervention militaire d’Ankara contre les Kurdes.
«L’urgence absolue, c’est l’arrêt des combats», a-t-il ajouté.
«La France appelle ici, immédiatement, à la trêve immédiate», insisté François Hollande, rappelant que «la Syrie vit depuis cinq ans une tragédie épouvantable», notamment à Alep où une «catastrophe humanitaire à grande échelle est en cours».
«Depuis près d’un an, la Russie apporte son concours au régime de Bachar al-Assad qui utilise ce soutien pour bombarder des rebelles mais aussi des populations civiles, ce qui fait le jeu des extrémistes de tous bords», a-t-il fait valoir. Et «aujourd’hui, c’est la Turquie qui fait le choix de déployer son armée sur le territoire syrien pour se défendre contre Daesh (Etat islamique), ce qui peut parfaitement se comprendre après les attaques que ce pays a subies et pour contrôler sa frontière ce qui là aussi peut être admis», a-t-il relevé.
La Turquie cependant mène «des actions contre les Kurdes qui eux-mêmes affrontent l’Etat islamique avec le soutien de la coalition», a déploré le président français.
Evoquant un rapport de l’ONU pointant l’utilisation par le régime de Damas d’armes chimiques au-delà de 2013, François Hollande a estimé que «ces crimes ne peuvent pas rester impunis». Paris «travaille à l’adoption d’une résolution du Conseil de sécurité», a-t-il rappelé, «pour condamner ces actes abominables et prévoir des sanctions contre leurs auteurs». «Personne, aucun membre permanent du Conseil de sécurité, n’a intérêt à ce que l’emploi d’armes chimiques se banalise», a-t-il ajouté dans une allusion aux veto constants de la Chine et de la Russie à toute condamnation du régime de Damas. «J’appelle donc chacun à prendre ses responsabilités», a-t-il lancé.
ALGER- Le Parlement ouvrira sa session ordinaire pour l’année 2016-2017 dimanche à partir de 10:00, a indiqué mardi un communiqué du Conseil de la nation.
L’ouverture de cette session intervient en application des dispositions de l’article 135 de la Constitution.
EL-AYOUN occupée- L’Association sahraouie des victimes des violations graves de droits de l’homme commises par l’Etat marocain (ASVDH) a lancé dimanche un appel aux organisations internationales pour participer au procès des étudiants sahraouis qui seraient jugés par un tribunal marocain à Marrakech, jeudi prochain.
L’ONG sahraouie a souligné dans un communiqué publié mardi que « la présence des organisations internationales et des militants des droits de l’homme est nécessaire pour surveiller le déroulement de ce procès. »
L’ASVDH a également attiré l’attention de la communauté internationale de la situation des 18 étudiants sahraouis en détention à la prison de Oudaya à Marrakech.
L’Association sahraouie a noté que « leur arrestation par les autorités marocaines s’inscrit dans le cadre des actes de vengeance contre les jeunes et les militants sahraouis des droits de l’homme qui mènent des activités politiques réclamant le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et l’indépendance. »
MILA- Une personne a été blessée et des dégâts matériels ont été enregistrés dans un incendie d’une unité de stockage de produits parapharmaceutique dans la wilaya de Mila, a-t-on appris mardi auprès des services de la protection civile.
Un jeune âgé de 21 ans a été atteint de brûlures qualifiées de ‘‘légères’’ dans cet incendie ont précisé les mêmes services ajoutant que 200 m2 de cette unité, située à la zone d’activité de Mila, à proximité de la route nationale RN79, ont été les proies des flammes.
Des machines de remplissage et de poinçonnage utilisées dans le conditionnement de flacons d’alcool chirurgical ont été détériorées à côté d’une centaine de flacons d’alcool chirurgical totalisant 300 litres a été ravagée par le feu, a-on encore souligné.
Une enquête a été diligentée par les services compétents pour déterminer les causes et les circonstances de cet incident, a-t-on noté.
MILA- Près de dix (10) kg de kif traité ont été saisis à Mila, au cours de l’arrestation de deux (2) individus, a-t-on appris mardi auprès de la sûreté de wilaya.
Agissant sur la base de renseignements, la brigade de recherche et d’investigation (BRI) est parvenue à l’identification et l’arrestation de deux personnes en possession d’une quantité importante de drogue, a-t-on précisé dans un communiqué de la cellule de communication et des relations générales de la sûreté de wilaya.
L’arrestation de ces individus a permis également la saisie de cinq (05) téléphones mobiles et d’un véhicule touristique utilisé dans la commercialisation de la drogue, a-t-on encore précisé de même source.
Les personnes arrêtées seront présentées devant les instances judiciaires compétentes, a-t-on souligné de même source.
L’ancien Premier ministre portugais Antonio Guterres maintenait lundi son avance dans la course pour succéder en janvier prochain à Ban Ki-moon comme secrétaire général de l’ONU, selon des diplomates.
A l’issue d’un troisième tour de scrutin indicatif au Conseil de sécurité, onze des 15 pays membres ont «encouragé» M. Guterres, trois l’ont «découragé» – c’est-à-dire ont émis un vote défavorable, soit un de plus qu’au scrutin précédent -, et un était «sans opinion».
C’est la troisième fois que M. Guterres, ancien Haut commissaire de l’ONU pour les réfugiés âgé de 67 ans, devance les nombreux candidats en lice, ce qui accroit ses chances de sélection.
Il devance assez nettement le chef de la diplomatie slovaque Miroslav Lajcak, qui a créé la surprise en remontant des profondeurs du classement, avec 9 voix pour, cinq contre et une sans opinion.
La patronne bulgare de l’Unesco Irina Bokova et l’ex-ministre serbe des Affaires étrangères Vuk Jeremic sont troisièmes ex-aequo (7/5/3).
Des diplomates notent que la dynamique en faveur de M. Guterres constatée lors des deux précédents scrutins s’est confirmée.
Guterres «reste largement en tête de liste», a déclaré à l’AFP un diplomate du Conseil, qui souligne que «les résultats tendent à se stabiliser».
Susana Malcorra, ministre des Affaires étrangères argentine, est cinquième avec un léger recul (7/7/1), suivie de Srgjan Kerim, ex-chef de la diplomatie de Macédoine (6/7/2), et de l’ex-Première ministre néo-zélandaise Helen Clark (6/8/1).
L’ancien président slovène Danilo Turk recule encore, à la huitième place. En queue de peloton, on trouve l’ancienne ministre des Affaires étrangères de Moldavie Natalia Gherman et la Costaricaine Christiana Figueres, ancienne négociatrice de l’ONU pour le climat.
Le nom du successeur de Ban Ki-moon devrait être connu en octobre après d’autres tours de scrutin, toujours à bulletins secrets. L’Assemblée générale entérinera ensuite ce choix et il ou elle prendra ses fonctions en janvier.
– Europe de l’Est ? –
Une tradition non écrite voudrait que le poste revienne à l’Europe de l’Est, seule région à ne pas encore avoir eu de secrétaire général. L’idée qu’une femme puisse diriger l’ONU, après huit hommes depuis la création de l’organisation, fait aussi son chemin. Mais l’importance de ces deux critères a fluctué au fil des scrutins.
Les candidats étaient douze au départ et sont désormais dix: cinq hommes et cinq femmes, dont six viennent d’Europe de l’Est.
L’ex-ministre des Affaires étrangères croate Vesna Pusic et Igor Luksic, ancien Premier ministre du Montenegro, ont jeté l’éponge.
Des diplomates s’attendent à ce que les candidats les plus mal placés en tirent les conséquences.
«S’ils sont loin du compte, je les encouragerais à suivre l’exemple» de Mme Pusic et de M. Luksic et à se retirer, a déclaré à la presse l’ambassadeur britannique Matthew Rycroft.
Le vote se déroule à bulletins secrets et les résultats ne sont pas annoncés officiellement mais communiqués à chaque candidat. Les ambassadeurs cochent les cases avec le même type de stylo pour éviter toute identification et les bulletins sont détruits après chaque vote. Mais ce luxe de précautions n’empêche pas les fuites.
Au final, la nomination se joue entre les cinq grandes puissances membres du Conseil (Etats-Unis, Royaume-uni, France, Chine, Russie) qui ont un droit de veto et peuvent bloquer un candidat.
Le prochain secrétaire général devra rassembler sur son nom au moins neuf votes positifs et n’être barré par aucun des cinq Grands.
L’actuel secrétaire général Ban Ki-moon quitte son poste à la fin de l’année, après deux mandats de cinq ans.
Ils attendent depuis tant d’années un secours qui viendrait les délivrer d’un sous-développement qui sévit depuis des lustres et en fait d’eux les derniers damnés de la terre, ils ont assez de survivre à travers ce « Guantánamo » à ciel ouvert en attendant l’aube de l’indépendance qui tarde à se pointer en ce lieu de l’oubli total ….Une seule route traverse ce douar, qui est sillonné de long en large, par un tracteur avec une citerne qui alimente les citoyens en eau potable à tour de rôle et sur commande, et un « bus du hasard » qui n’assure que rarement le transport public et les rattache au monde en les emmenant vers le chef-lieu de commune, Ouled Boughalem, où ils s’approvisionnent en denrées et autres ravitaillements alimentaires.
Fatigués, ces damnés de la terre ne sollicitent pas grand-chose de ces élus qui les ont berné avec tant d’histoires dont ils se sont lassés d’entendre d’une campagne électorale à l’autre, ni de ces autres promesses des candidats à la députation , venus en campagne, leur jurer qu’ils feront du douar si marginalisé, un paradis sur terre, ils souhaitent juste boire suffisamment une bonne eau sans l’attendre et sans le payer si cher, et surtout du travail pour leurs enfants, dont certains désespérés, partent sur ces radeaux de la mort au large de la plage d’El Bahara et ne sont point revenus pour apaiser l’inquiétude des parents qui demeurent, à ce jour sur des feux ardents, en se morfondant de douleurs et de pleurs …
La présidence française a officialisé mardi le départ du gouvernement du ministre de l’Economie Emmanuel Macron, dont la défection à huit mois de la présidentielle de 2017 alimente les spéculations sur une éventuelle candidature à l’Elysée.
M.Macron a démissionné « pour se consacrer entièrement à son mouvement politique », a indiqué un communiqué de la présidence. François Hollande a nommé pour lui succéder l’actuel ministre des Finances Michel Sapin, un fidèle du chef de l’Etat.
La sélection algérienne de football accueillera le 9 octobre prochain son homologue camerounaise au stade Mustapha-Tchaker de Blida dans le cadre de la première journée de la phase de poules des qualifications à la Coupe du monde de 2018 en Russie, a indiqué hier la Fédération nationale de la discipline (FAF) sur son site internet.
Les Verts seront regroupés à partir du 3 octobre pour préparer cette affiche du groupe B composé également du Nigeria et de la Zambie. Les protégés du nouvel entraîneur national, le Serbe Milovan Rajevac, auront, lors du mois suivant, à se déplacer au Nigeria pour affronter la sélection locale en match comptant pour la deuxième journée.
À cet effet, la FAF a déjà envoyé des précurseurs au Nigeria pour préparer le séjour des Verts sur place, a-t-on précisé de même source.
EL-AYOUN occupée (capitale du Sahara occidental occupé)- Les autorités d’occupation marocaines ont harcelé à l’aéroport de Casablanca les membres de la délégation sahraouie après leur participation à l’Université d’été des cadres de la RASD tenue à Boumerdes en Algérie, rapporte l’agence de presse sahraouie (SPS) mardi.
La délégation qui est composée de militants des droits de l’homme et ex-prisonniers politiques sahraouis a été victime de plusieurs types d’harcèlement et d’intimidation, selon la même source.
Les autorités marocaines ont également isolé les militants sahraouis des autres passagers et ont commencé à inspecter leurs bagages et leurs affaires personnelles d’une manière provocatrice et discriminatoire agressant la plupart d’entre eux, à l’exemple de Mahfuda Lefkir, dont ses biens ont été confisqués par la police marocaine.
Ce traitement par les autorités marocaines est devenue une politique systématique et délibérée contre tous les militants sahraouis des droits de l’homme qui se déplacent dans les territoires occupés où voyagent à l’étranger.
La 7eme édition de l’université d’été des cadres du Front Polisario et de la République arabe sahraouie démocratique, organisée du 7 au 22 août à Boumerdes, a vu la participation de près de 400 cadres sahraouis outre les représentants de la société civile algérienne, les personnalités étrangères militant dans la protection du droit des peuples à l’autodétermination.
ALGER – Deux éléments de soutien aux groupes terroristes ont été arrêtés lundi par l’Armée nationale populaire (ANP) à Constantine et quatre caches pour terroristes, neuf bombes de confection artisanale, une quantité de munitions et des moyens de détonation ont été détruits à El-Khroub, Tizi Ouzou et Chlef, indique le ministère de la Défense nationale dans un communiqué.
« Dans le cadre de la lutte antiterroriste, un détachement de l’ANP a arrêté, le 29 août 2016, deux (2) éléments de soutien aux groupes terroristes à Constantine (5ème région militaire), tandis que d’autres détachements ont détruit quatre (4) caches pour terroristes, neuf (9) bombes de confection artisanale, une quantité de munitions et des moyens de détonation à El-Khroub (5ème région militaire), Tizi Ouzou et Chlef (1ère région militaire) », note le MDN.
« D’autre part et dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée, un détachement de l’ANP a appréhendé deux (2) narcotrafiquants à Oran (2ème région militaire) et saisi une quantité de 36 kilogrammes de kif traité, dissimulée à bord d’un (1) véhicule utilitaire, tandis que des éléments des Gardes-frontières ont saisi, à Tlemcen (2ème région militaire), une autre quantité de 22,5 kilogrammes ».
A Tébéssa (5ème région militaire), des éléments de la Gendarmerie nationale « ont arrêté un contrebandier et saisi 3000 unités de tabac à bord d’un (1) véhicule touristique ».
A Timiaouine (6ème région militaire), un détachement de l’ANP « a saisi un (1) camion près des frontières chargé de 3200 litres de carburant destinés à la contrebande ».
A Ouargla (4ème RM), Adrar (3ème RM) et Tlemcen (2ème RM), un détachement de l’ANP, des éléments de la Gendarmerie nationale et des Gardes-frontières « ont arrêté vingt (20) immigrants clandestins dont quatorze (14) de nationalité marocaine ».
Par ailleurs, des éléments des Garde-côtes d’Annaba (5ème RM) « ont déjoué une tentative d’émigration clandestine de sept (7) personnes à bord d’une embarcation de construction artisanale, à 11 milles au Nord-est de Ras El-Hamra ».
Cette rencontre, organisée par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), portera sur les questions techniques de négociation et d’identification des domaines de collaboration entre la FAO et les pays de l’UMA en relation avec l’agriculture et le changement climatique.
Un atelier de préparation des pays de l’Union du Maghreb arabe (UMA) à la 22e Conférence des parties (COP22) s’est ouvert lundi à Rabat (Maroc), sous le thème « De l’Accord de Paris à l’action: la finance du climat au service du développement agricole durable ».
L’UMA a précisé dans un communiqué que cet atelier a pour objectif de renforcer les capacités de ses Etats membres dans le domaine de la mise en œuvre des engagements du secteur agricole dans les contributions prévues déterminées au niveau national.
Cette rencontre, organisée par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), portera sur les questions techniques de négociation et d’identification des domaines de collaboration entre la FAO et les pays de l’UMA en relation avec l’agriculture et le changement climatique, ajoute ce communiqué.
Cet atelier, auquel participent les représentants des pays maghrébins impliqués dans le processus de négociation dans le secteur agricole, des experts de la FAO et des représentants du Fonds vert pour le climat (FVC), ainsi que des points focaux du Fonds pour l’environnement mondial (FEM), se veut une opportunité pour examiner le paysage de la finance climatique pour les pays de la région.
Il entend aussi lancer une réflexion sur les priorités de collaboration dans le domaine du changement climatique et de l’agriculture dans la perspective de l’agenda 2030 pour le développement durable, précise l’UMA.
Les contributions déterminées au niveau national constitueront une feuille de route importante pour les investissements futurs et les priorités des pays, estime la même source. A signaler que la COP22 est prévue du 7 au 18 novembre à Marrakech au Maroc.
Plus de 5000 agents d’hygiène et 350 camions seront mobilisés à Alger, à l’occasion de la fête de l’Aid el Adha, a indiqué le directeur général de l’entreprise Extranet, Mechab Rachid.
Plus de 5000 agents d’hygiène et 350 camions seront mobilisés à Alger à l’occasion de l’Aïd el Adha pour veiller à la propreté de l’environnement, en assurant la collecte des ordures ménagères et des résidus du sacrifice, a déclaré mardi à l’APS le directeur général d’extranet.
Un programme spécial a été mis en place pour la collecte des résidus de l’opération du sacrifice avant et après l’Aïd, les agents d’hygiène devant sillonner les quartiers et ruelles de 31 communes, dont l’entreprise assure la gestion et la collecte des ordures.
Dans le cadre de ce programme élaboré en coordination avec les communes concernées pour éviter la propagation de maladie, le nombre de rotations pour la collecte d’ordures devrait doubler.
Une vaste opération de nettoiement des mosquées et des marchés de proximité sera lancée au titre de ce programme.
Pour M. Mechab, la nature des déchets durant la période de l’Aïd est différente à ceux collectés durant l’année d’où la nécessité d’une action efficace et intense pour un environnement propre et salubre pour les citoyens.
Dans le but de mener à bien l’opération de collecte des déchets, le même responsable a appelé les citoyens à respecter les horaires de dépôt des déchets à l’entrée ou sortie des quartiers et cités soulignant que l’opération de nettoiement des espaces urbains et suburbains de la capitale devrait débuté quatre jours avant l’Aïd.
D’autre part, des équipes devront assurer des rotations de nuit dans différents quartiers à partir de 21:00h jusqu’à 7:00h du lendemain.
Juste après le prière de l’Aïd, les agents d’hygiène reprendront leur tâche pour le ramassage des peaux de mouton et autres résidus.
Par ailleurs, des sacs en plastique seront distribués gratuitement dans les quartiers afin de faciliter la collecte des déchets dont le volume augmente à 60% au premier jour de l’Aïd, a fait savoir M. Mechab.
De larges campagnes de nettoiement seront également menées dans les places publiques ainsi que les chemins menant aux cimetières pour accueillir l’Aïd El-Adha dans la propreté.
Extranet qui est une société de nettoiement en charge de la collecte de déchets au niveau des zones urbaines relevant des 31 communes que compte la wilaya d’Alger, a procédé à la maintenance de ses structures et équipements afin de mener à bien le programme spécial Aïd El-Adha.
Huit mois après, seuls 25 pays représentant 2% des émissions mondiales ont ratifié le texte issu de la COP21. De quoi inquiéter son ancien président Laurent Fabius, qui s’en émeut publiquement. La Chine et les Etats-Unis peuvent-ils changer la donne à la veille du prochain G20 ?
Devant l’urgence de la situation, Laurent Fabius redonne de la voix sur la COP21. Fort de son aura d’ancien président d’une conférence couronnée du succès de l’Accord de Paris, le Président du Conseil constitutionnel, qui a dû abandonner son siège à Ségolène Royal lors de sa nomination, lance un cri d’alarme. Dans une interview accordée au Monde, il alerte sur l’urgence climatique qui s’emballe et la nécessité de ratifier au plus vite l’Accord adopté en décembre dernier. La litanie des signes de cet emballement et de ses conséquences dramatiques s’allonge chaque jour un peu plus : records de chaleur battus pour la troisième année consécutive, réapparition de l’Antrax en Russie suite à la fonte du permafrost, inondations en Louisiane, sécheresse et incendies en Californie, coupures d’électricité sur la côte Est américaine suite aux températures caniculaires, etc.
Entretenir un climat de confiance à Marrakech
Mais, près de 9 mois après qu’il a, d’un coup de marteau, mis un terme à treize jours et nuits de négociations, Laurent Fabius ne peut que constater la lenteur avec laquelle les pays s’acquittent de leur ratification. Certes, le 22 avril dernier à New York, en présence de François Hollande et Ségolène Royal, plus de 130 pays (sur les 195 parties qui composent la Conférence des Parties – COP) avaient fait le déplacement à l’ONU pour le signer. Depuis, le compteur a atteint 180 Etats signataires. Mais ce ne sont que des préambules à la ratification elle-même. Pour que l’Accord de Paris puisse entrer en vigueur, il faut que 55 pays au moins, responsables de 55% des émissions mondiales de gaz à effet de serre, l’aient ratifié. Certes, cet accord devant prendre le relais de celui de Kyoto en 2020, en théorie rien ne presse. Mais les acteurs de la COP21 et la présidence marocaine de la COP22, tout comme les Nations unies ou encore la communauté scientifique au chevet du climat, misent sur une ratification nettement plus rapide. Idéalement, la France et le Maroc souhaiteraient que l’affaire (le quorum des 55 pays/55% des émissions mondiales) soit entendue avant la COP22 qui se tient à Marrakech du 11 au 18 novembre. Cela serait nettement plus en ligne avec la volonté du Maroc de faire de cette conférence celle de l’action et avec la nécessité maintes fois réaffirmée d’entretenir le climat de confiance et de solidarité qui semblait s’être dégagé de la COP21, notamment entre pays du Nord et pays du Sud.
L’Europe enlisée dans un processus complexe
Si Laurent Fabius reprend sa casquette de Monsieur climat, c’est qu’aujourd’hui, le compte n’y est pas. Loin s’en faut. 24 pays, représentant à peine plus de 3% des émissions mondiales ont à ce jour ratifié l’Accord. C’est le cas de la France. Mais si François Hollande s’est plié à l’exercice le 15 juin, ce geste n’a d’autre poids que symbolique. En effet, l’Accord doit avoir préalablement été ratifié par l’Europe (9% des émissions mondiales), c’est-à-dire que les 28 aient déposé conjointement leurs instruments de ratification auprès des Nations unies. Mais les pays gros consommateurs de charbon (Pologne en tête, mais aussi Tchéquie ou Slovaquie) ne sont pas pressés. Aussi, bien que Ségolène Royal, en tant que présidente en exercice de la COP, n’ait pas ménagé sa peine pour convaincre ses homologues européens, l’Union pourrait bien faire figure de mauvais élève à la veille de la COP22. La difficulté de parvenir à un accord sur la répartition de l’effort devant permettre à l’Union européenne d’atteindre son objectif de réduction de ses émissions de 40% (par rapport à 1990) à l’horizon 2030, qui se déroule en parallèle, ne facilite pas les choses.
Parmi les grands pays, le Brésil devrait ratifier l’accord de façon imminente mais l’Inde, la Russie ou le Japon, qui viennent juste derrière la Chine, les Etats-Unis et l’Europe en matière de poids dans les émissions mondiales, n’ont pas encore annoncé leurs intentions.
La menace républicaine aux Etats-Unis
Les choses pourraient bouger à l’occasion du G20 qui se tient les 4 et 5 septembre à Hangzhou (Chine). Les investisseurs regroupés au sein du IIGCC (Institutional Investors Group on Climate Change), qui gère 13 000 milliards de dollars d’actifs, ont en effet adressé à tous ses membres une demande de ratification de l’Accord de Paris dans les meilleurs délais. De leur côté, des assureurs pesant 1200 milliards de dollars les pressent de présenter leurs feuilles de route pour cesser d’ici à 2020 leurs subventions aux énergies fossiles, principales responsables du changement climatique.
Il se murmure que les Etats-Unis et la Chine, responsables à eux deux de 42% des émissions mondiales, ajouteront leurs voix à ces requêtes pour faire pression sur leurs partenaires. Bien que la Maison blanche se soit refusée à toute confirmation, les rumeurs affirmant que les deux pays pourraient même s’exprimer conjointement sur leur ratification à la veille du G20 se font de plus en plus insistantes. C’est d’ailleurs ce qu’ils avaient déjà fait en amont de la cérémonie à l’ONU le 22 avril.
A quelques semaines de la fin de son mandat, Barak Obama, que le texte issu de la COP21 exempte a priori de l’accord du Congrès, entend laisser sa marque dans la protection de l’environnement. Quoi qu’il en soit, le plus grand doute plane sur l’avenir de l’Accord de Paris dans le cas d’une victoire républicaine. En effet, Donald Trump reniant le rôle des activités humaines dans le changement climatique, il a d’ores et déjà annoncé son projet de faire annuler l’Accord de Paris
Des organisations proches de Bachar el-Assad ont reçu des millions de dollars d’aides humanitaires, selon le Guardian. L’ONU se défend en affirmant «travailler avec toutes les parties du conflit».
Selon une enquête menée par le journal britannique The Guardian, l’Organisation des Nations Unies (ONU) a octroyé des contrats humanitaires à plusieurs organisations et personnes proches du président syrien. Des aides reçues malgré les sanctions prises par l’Union européenne et les États-Unis à l’encontre de ces bénéficiaires. Le quotidien indique avoir passé au crible des centaines de contrats passés par l’ONU depuis 2011 et le début du conflit qui a fait plus de 290.000 morts. La globalité des aides humanitaires reçues dépassent les 20 millons de dollars.
Ainsi le gouvernement d’Assad a reçu 13 millions de dollars pour le développement de l’agriculture bien que l’UE ait interdit le commerce avec les ministères concernés par ces aides. La raison de ces interdictions est le manque de confiance dans le régime syrien et à la façon dont l’argent pourrait être dépensé.
Les organisations de la femme et du cousin de Bachar el-Assad bénéficiaires
Deux agences de l’ONU sont également partenaires, à hauteur de 8,5 millions de dollars, du Syria Trust charity, une organisation présidée par l’épouse du président Assad, Asma. L’Unicef a versé pour sa part 268.000 dollars à Al-Bustan Association, une organisation caritative contrôlée par Rami Makhlouf, ami et cousin d’Assad. Il est considéré comme l’homme le plus riche de Syrie et se trouve être le symbole de la détestation du pouvoir par les opposants du régime. Il est sur la liste des «sanctionnés» de l’UE car il est fortement soupçonné de corruption, notamment par la diplomatie américaine. 700.000 dollars d’aides de l’ONU ont aussi été distribués à sa société de réseau de téléphonie mobile Syriatel.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a de son côté dépensé plus de 5 millions de dollars pour soutenir la banque de sang nationale syrienne, contrôlée par le ministère de la Défense syrien. À ce propos, le porte-parole de l’OMS à Genève a affirmé que l’agence ne «travaille pas directement avec le ministère de la Défense».
«L’OMS a distribué des poches de sang à la banque de sang syrienne, par l’intermédiaire du ministère de la Santé et du ministère de l’Éducation supérieure», a-t-il déclaré.
L’ONU assume et se défend
Un responsable onusien a bien souligné que la situation a créé un certain embarras au sein de plusieurs agences internes préoccupées par l’emprise du régime syrien sur le fonctionnement de l’aide humanitaire. Mais l’organisation serre les coudes et assume son action en Syrie. À Genève, des porte-paroles de l’ONU ont indiqué mardi «travailler avec toutes les parties du conflit», parce que l’organisation internationale agit ainsi «dans toutes les crises». Selon Jens Laerke, porte-parole de l’Agence de l’ONU pour les affaires humanitaires (OCHA), si l’on n’accepte pas le fait que le gouvernement syrien décide avec quelles ONG l’ONU peut travailler, «les agences de l’ONU ne pourraient pas sauver autant de vies, comme elles le font actuellement en acheminant des aides» cruciales pour la population du pays.
Interrogés par le Guardian, d’autres responsables de l’ONU soulignent que le choix des partenaires pour répondre aux besoins humanitaires urgents de la population est nécessairement «limité» dans cette zone. La raison principale invoquée est la complexité et la particularité du conflit syrien.
«Quand il s’agit de choisir entre fournir des biens ou des services via des entreprises qui pourraient être affiliées au gouvernement ou laisser des civils sans l’aide vitale dont ils ont besoin, le choix est clair: notre devoir est d’aider les civils».
Un policier a été poignardé et « blessé sérieusement », mardi 30 août, dans un commissariat du centre de Toulouse, par un individu, qui a très vite été interpellé, selon une source policière. Le policier, adjoint de sécurité, « a été blessé sérieusement mais son pronostic vital ne semble pas engagé », d’après cette même source.
Le policier a été poignardé dans la zone d’accueil du commissariat de la rue du Rempart St-Etienne, en plein centre historique de Toulouse. Un cordon de sécurité a rapidement été mis en place autour du commissariat et la rue bloquée.
« Un acte délibéré »
« Le policier est un homme, adjoint de sécurité, Il a été hospitalisé mais ses jours ne sont pas en danger. Il a eu des points de suture, l’impact n’a pas été très important », a dit Didier Martinez, secrétaire général régional du syndicat SGP-Police.
Selon le responsable syndical, « un individu s’est présenté à l’accueil pour un dépôt de plainte. Il a très vite tenté de s’emparer de l’arme de l’adjoint de sécurité, qui a été frappé au cou par un couteau, mais la carotide ne serait pas atteinte ». « C’est un geste délibéré et peut-être prémédité parce que il est sorti, avant son acte, du commissariat puis re-rentré. Il a été très vite maîtrisé après l’attaque. Il n’a pas parlé au moment de l’agression, ses premières déclarations après son interpellation sont très confuses », a-t-il ajouté.
Le ministre de l’intérieur Bernard Cazeneuve a apporté son « entier soutien » au policier blessé et à son entourage, soulignant aussi que « son pronostic vital n’est pas engagé ». « La police judiciaire de Toulouse a été saisie des faits et une cellule de soutien psychologique mise en place », précise le ministre.
LA MECQUE (Arabie Saoudite)- Les hadjis algériens victimes de l’incident de la chute d’une grue à la grande Mosquée de La Mecque, survenu durant la saison Hadj 2015, ont été invités par l’Etat à effectuer le pèlerinage de 2016, a indiqué mardi le chef du centre de la mission Hadj et Omra à la Mecque, Messaoud Bouledjouidja.
Les visas ont été attribués à titre gracieux par les autorités saoudiennes aux hadjis victimes de cet incident et qui ont émis le voeu de se rendre aux Lieux Saints de l’islam pour accomplir le pèlerinage, a précisé le même responsable, ajoutant que l’Etat algérien, à travers l’Office national du Hadj et de la Omra (OHNO), se chargera de la prise en charge de leur hébergement et leur restauration.
Pour rappel, 17 hadjis algériens avaient été blessés lors de cet incident.
Les cours du pétrole ont terminé en baisse mardi sur le marché new-yorkais Nymex, pénalisés par la vigueur du dollar et l’anticipation d’une hausse des stocks de brut aux Etats-Unis.
Le contrat octobre sur le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) a perdu 63 cents, soit 1,34%, à 46,35 dollars le baril.
Au moment de la clôture du Nymex, le Brent cédait 89 cents (1,81%) à 48,37 dollars.
Le dollar se raffermit depuis que Janet Yellen, la présidente de la Réserve fédérale, a déclaré vendredi que les arguments en faveur d’une hausse des taux se renforçaient aux Etats-Unis. L’annonce mardi d’une nette amélioration de la confiance du consommateur américain a contribué à soutenir l’hypothèse d’un prochain tour de vis monétaire aux Etats-Unis.
Les analystes s’attendent par ailleurs à une augmentation de 1,3 million de barils des stocks de brut la semaine dernière aux Etats-Unis, ce qui serait la deuxième hausse hebdomadaire de rang. Les chiffres seront annoncés mercredi.