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Crème Catalane de Michalak

Algérie 360 - Thu, 03/08/2017 - 22:31
Ingrédients
  • 500 g de lait
  • 1 bâtonnet de cannelle
  • le zeste d’1 citron vert
  • le zeste d’1 citron jaune
  • 4 jaunes d’oeufs
  • 120 g de sucre
  • 25 g de maizena
  • Cassonade (sucre pour moi)
Instructions
  1. Rincer la casserole (ceci permet au lait de ne pas attacher au fond de la casserole) avant de faire bouillir le lait.
  2. Retirer du feu et ajouter la cannelle, et les zestes de citron. Laisser infuser 15 min.
  3. Passer au chinois et reporter le poids à 500 g. Dans un saladier battre ensemble le sucre les jaunes d’oeufs et la maizena.
  4. Verser le lait chaud sur jaune-sucre-maizena tout en fouettant. Transvaser dans la casserole et remettre sur le feu.
  5. Porter à ébullition en remuant vivement jusqu’à ce que la crème épaississe.
  6. Verser dans des ramequins (pour ma part spécial crema catalana ^-^).
  7. Laisser refroidir avant de mettre au frais pour 1 nuit en filmant au contact de la crème.
  8. Au moment de servir saupoudrer de cassonade, chauffer bien le fer brunisseur sur un feu de cuisinière et caraméliser la surface.
Categories: Afrique

Nouvelles technologies : Le Maghreb Mobile Expo pour encourager les start-up algériennes

Algérie 360 - Thu, 03/08/2017 - 22:27

Des solutions seront proposées pour fructifier le business des PME/PMI et des start-up algériennes à l’occasion de la tenue de Maghreb Mobile Expo (MME) en septembre prochain à Alger.

L’annonce faite par le cofondateur de Be Smart, l’entreprise à l’origine de cet événement, Saïd Benmesbah, fait état de plusieurs nouveautés.
D’abord, cette annonce est faite par les organisateurs sur leur site Internet et sur leur page Facebook. Ils ont déclaré que l’évènement intéresse le monde de l’entrepreneuriat en besoin de développer, entre autres, l’utilisation des smartphones, tablettes et tout autre appareil mobile pour booster leur business. Benmesbah estime que le Smartphone représente le cœur du salon afin d’encourager le développement des acteurs qui gravitent autour de cet outil qui gagne du terrain en Algérie.
Ainsi, les start-ups et les petites entreprises algériennes seront en contact avec le business des nouvelles technologies à l’occasion du Salon prévu du 20 au 22 septembre prochain à Alger.
Les organisateurs présentent le Salon comme une opportunité pour mettre ces start-ups et tous les jeunes développeurs algériens en contact avec des fonds d’investissement, des business angels, des banques et des compagnies d’assurances.
L’évènement se tiendra avec le soutien du ministère de la Poste, des Télécommunications, des Technologies et du Numérique et mettra l’accent sur l’utilisation des appareils mobiles et connectés. Ils sont aujourd’hui « nos principaux outils de communication, de travail et de divertissement. Ils sont tout aussi exposés aux menaces Internet, piratage, virus, perte de données qu’un ordinateur classique », soulignent les organisateurs.
Les jeunes entrepreneurs s’enthousiasment déjà pour cette rencontre et ils ont commencé à partager en lien avec lui sur leurs pages Facebook et autres réseaux sociaux. Le bouche-à-oreille se chargera du reste.
Même si l’Algérie connaît des retards dans ce domaine de la mobilité, des efforts sont fournis par les jeunes entrepreneurs mais aussi par certaines administrations qui commencent à s’orienter vers l’usage d’Internet pour réduire les déplacements de leurs administrés.
Les initiateurs de ces nouveautés auront à profiter de l’expérience de participants d’une dizaine de pays présents avec une centaine d’exposants.
Les trois opérateurs algériens de téléphonie mobile, des constructeurs de téléphones et de représentants de marques internationales opérant dans le domaine des nouvelles technologies seront aussi de la partie.
Des conférences en rapport avec les questions de la mobilité, de la Data et des Smartphones sont prévue au programme de cet événement, indique le site dédié à l’évènement.
Quinze mille visiteurs et  200 décideurs y sont attendus parmi lesquels des entrepreneurs auquel s’adresse le Salon. Le MME, qui ouvre ses portes à la première édition spécialisée dans le domaine de la téléphonie mobile, Smartphone, technologie de l’information et de la communication, a programmé une offre au public ciblée pour des solutions d’entreprises, des annonces de nouveautés et des démonstrations de produits et services.

Écrit par Ahmed T.

Categories: Afrique

Un diamant d’une rare pureté mis aux enchères par le russe Alrosa

Algérie 360 - Thu, 03/08/2017 - 22:22

Un diamant de 51 carats d’une pureté inédite en Russie constitue la pièce maîtresse d’une collection de cinq pierres précieuses bientôt mise aux enchères par le numéro un mondial du secteur Alrosa, qui en espère plus de 10 millions de dollars.

A partir d’un diamant de 179 carats découvert en 2015 dans l’une de ses mines sibériennes de Iakoutie, la société contrôlée par les pouvoirs publics russes a taillé cinq pièces formant une collection que l’AFP a pu voir jeudi.

« Les cinq diamants ont été produits à partir d’un seul diamant brut, ce qui est exceptionnel », a souligné le président d’Alrosa Sergueï Ivanov dans un communiqué.

« Il a fallu un an et demi pour créer cette collection. (…) Le principal diamant, Dynastie, est devenu le plus pur des grands diamants de l’histoire de la joaillerie dans notre pays », a-t-il ajouté.

La Russie est l’un des premiers producteurs mondiaux de pierres précieuses grâce notamment aux ressources disponibles en Iakoutie.

Le diamant brut d’origine, datant de près de 400 millions d’années, a été baptisé Romanov en hommage à la dynastie qui a régné sur la Russie impériale jusqu’à la révolution de 1917 et sous laquelle s’est développée l’industrie du diamant à partir du XVIIIe siècle.

La collection de cinq pièces qui en résulte — respectivement de 51,38 carats, 16,67 carats, 5,05 carats, 1,73 carat et 1,39 carat — doit être présentée dans plusieurs pays et notamment lors d’un salon spécialisé organisé à Hong Kong du 13 au 19 septembre.

Elle sera vendue aux enchères en ligne en novembre via le site dynasty.alrosa.ru.

« Si l’on se base sur les résultats des ventes aux enchères de Sotheby’s et Christies, le prix de départ de la collection ne peut pas être inférieure à 10 millions de dollars », a indiqué M. Ivanov, cité par l’agence russe Interfax.

Categories: Afrique

Enseignement supérieur: Hadjar et l’ambassadeur de Palestine explorent les axes de la coopération bilatérale

Algérie 360 - Thu, 03/08/2017 - 22:19

Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Tahar Hadjar, a passé en revue, avec l’ambassadeur de l’État de Palestine, Louai Mahmoud Aissa, l’état des relations bilatérales en matière de Formation et d’Enseignement supérieur, indique jeudi son département ministériel dans un communiqué.

Lors de l’audience qui les a réunis, les deux parties ont également exploré « les voies et perspectives susceptibles de renforcer davantage cette relation qui remonte au temps de l’indépendance nationale », ajoute-t-on.

Les deux responsables sont, en outre, convenus « d’intensifier leurs efforts respectifs » en matière de reconnaissance et d’équivalence de diplômes, d’accroître le niveau de leur coopération bilatérale, notamment, par l’octroi de bourses d’études au profit des étudiants palestiniens qui veulent poursuivre leurs études supérieures dans les différents universités algériennes, « où leur effectif a atteint plus de 1.100 étudiants », selon la même source .

D’autres questions relatives à la formation supérieure ont également fait l’objet « d’une attention particulière de la part des deux parties. »

Categories: Afrique

Un incident à l’origine de la coupure de courant électrique enregistrée le 2 août à Bir Mourad Rais

Algérie 360 - Thu, 03/08/2017 - 22:09

Les Services techniques chargées de  l’exploitation des réseaux électriques de la capitale ont enregistré,  mercredi à 12h00, une coupure du courant électrique, suite à un acte de  transgression sur des installations électriques au niveau du réseau de  distribution à moyenne tension à la cité « Les Sources », commune de Bir  Mourad Rais, indique un communiqué de la Société de distribution de l`électricité et du gaz d’Alger (SDE).

Selon la même source, les équipes techniques mobiles sont intervenues et  ont eu des difficultés à réparer la panne occasionnée par des travaux  d’excavation réalisés par une entreprise privée travaillant pour le compte  de la société « SEAAL », le lieu de l’incident ayant été submergé par les eaux.

La SDE affirme que les travaux sont en cours pour rétablir le courant  électrique dans les meilleurs délais.

Ces actes de transgression coïncidant avec la vague de chaleur et  entraînant des coupures de courant électrique, sont commis par certaines  entreprises publiques et certains entrepreneurs privés, ce qui complique  l’intervention des équipes techniques, a relevé la SDE.

La même entreprise appelle, par ailleurs, sa clientèle à rationnaliser la  consommation d’énergie notamment pendant les périodes de canicule qui  entrainent une forte demande en électricité et une pression sur le réseau électrique.

Categories: Afrique

Accidents de la route: 12 morts en une semaine

Algérie 360 - Thu, 03/08/2017 - 22:00

Douze (12) personnes ont trouvé la mort et 248 autres ont été blessées dans 202 accidents de la route survenus durant la dernière semaine du mois de juillet, selon un bilan publié jeudi par la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN).

Le bilan fait état du recul du nombre d’accidents (-29) et de blessés (-39) et de la hausse du nombre de décès  (+7) par rapport à la précédente semaine.

Le facteur humain reste la principale cause des ces accidents (95%) suivi de l’état des véhicules et des routes, a ajouté la même source.

Categories: Afrique

Un programme d’intégration de la pisciculture à l’agriculture à Tizi-Ouzou et Bouira

Algérie 360 - Thu, 03/08/2017 - 21:52

Un programme d’intégration de la pisciculture à l’agriculture, initié dans le cadre du plan national de développement de l’aquaculture, a été lancé à Tizi-Ouzou et Bouira, a-t-on appris jeudi du directeur de la pêche, des ressourcés halieutiques (DPRH) de Tizi-Ouzou, qui chapeaute ces deux wilayas.

Un total de 14 bassins d’irrigation, dont 4 dans la wilaya de Tizi-Ouzou et 10 à Bouira, ont déjà été ensemencés avec des alevins de carpe fournis par l’écloserie de Sétif, au titre d’une opération pilote et à l’occasion de journées pédagogiques organisées par la DPRH/TO et dont la dernière en date s’est déroulée les 30 et 31 juillet dernier à Bouira, 5 bassins ont été alors ensemencés, a indiqué à l’APS, Abdelhafid Belaid.

Lors de cette formation, une quarantaine d’agriculteurs de cette même wilaya, qui ne jouit d’une façade maritime, ont bénéficié d’une formation sur les techniques d’ensemencement des bassins d’irrigation, assurée par le Centre national de recherche et de développement de la pêche et de l’aquaculture (CNRDPA) et l’Institut national supérieur de pêche et d’aquaculture (INSPA), a précisé le responsable.

Dans la wilaya de Tizi-Ouzou, une cinquantaine d’agriculteurs avaient bénéficié en janvier dernier d’une formation sur les techniques d’ensemencement de barrages, abritée par l’Institut de technologie moyen agricole spécialisé (ITMAS) en agriculture de montagne de Boukhalfa, a indiqué le DPRH, observant que sa direction a mis au point un programme d’accompagnement des agriculteurs pour développer et donner un essor à cette activité.

La technique de mise en place de la pisciculture en eau douce est simple. Elle consiste à introduire dans un bassin d’irrigation ou un étang de la matière organique, tel que du fumier, pour créer une chaîne alimentaire où les alevins pourraient se développer sans que l’agriculteur n’ai à les nourrir quotidiennement, a expliqué M. Belaid.

L’expérience d’ensemencement des 14 bassins d’irrigation à Tizi-Ouzou et Bouira a été couronnée par la production d’une tonne de poisson. « Des résultats qui seront améliorés avec la maîtrise de cette activité par les agriculteurs », a-t-il assuré.

L’intégration de la pisciculture à l’agriculture offre l’opportunité aux agriculteurs d’améliorer leurs recettes par une autre source de revenus supplémentaire, qui est le poisson. Cette activité permet également d’augmenter le rendement agricole grâce à l’irrigation des champs avec l’eau enrichie naturellement avec les déjections des poissons (un  fertilisant biologique) vivants dans des bassins ensemencés tel que démontré chez des agriculteurs, qui ont déjà menée cette expérience dans d’autres régions du pays, a relevé le directeur de la pêche, des ressourcés halieutiques (DPRH) de Tizi-Ouzou.

L’eau enrichie de ces bassins évitera à l’agriculteur d’utiliser des engrais chimiques, ce qui lui fera réduire ses dépenses mais aussi améliorer la qualité organoleptique de ses produits qui seront bio. « Cela contribue aussi à la préservation des champs de culture et de l’environnement en général, ainsi que de la pollution aux engrais chimiques », a-t-il souligné.

L’objectif visé par ce programme est l’autonomisation de cette activité pour une production piscicole à grande échelle, en incitant les opérateurs privés à investir dans cette filière notamment par la mise en place d’écloseries d’alevins et d’unités de production d’aliment pour poisson et de transformation avec la perspective d’aboutir à long terme à  l’exportation de ces produits, a-t-il ajouté.

Ce programme, lancé par le ministère de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, au titre du plan de développement de la pêche et de l’aquaculture à l’horizon 2025, vise la préservation des 80 000 postes d’emplois du secteur, à l’échelle nationale, la création de 40 000 autres, ainsi qu’à doubler la production aquacole nationale, qui est actuellement de 100 000 tonnes de poissons issus de l’élevage, a conclu M. Belaid.

Categories: Afrique

Alcaraz : « J’ai ma petite idée sur notre futur adversaire »

Algérie 360 - Thu, 03/08/2017 - 21:48

L’entraineur de la sélection nationale des joueurs locaux (A’), Lucas Alcaraz, a déclaré avoir « une idée sur la Libye », futur adversaire des Verts dans les éliminatoires de la CHAN 2018, à l’occasion d’une conférence de presse organisée au centre technique national de Sidi Moussa (Alger).  

« Nous avons notre idée sur cette équipe libyenne qui reste à prendre très au sérieux. Nous avons visionné des matchs, récoltant le maximum d’informations. A partir de là, nous allons essayer d’élaborer le plan tactique idoine pour contrer cette équipe », a indiqué Alcaraz.

Afin de prendre part à la 5e édition du championnat d’Afrique des nations CHAN 2018, prévue du 11 janvier au 2 février 2018 au Kenya, l’Algérie croisera sur son chemin le voisin libyen dans une double confrontation.

« La sélection s’est faite en groupe »   

Interrogé sur ses critères de joueurs, le technicien espagnol a affirmé que les éléments présents ont été retenus selon « des critères bien précis ».

« On peut se tromper sur un choix de joueur mais personne ne peut remettre en cause le travail que nous sommes en train d’effectuer. La mise sur pied de cette sélection s’est faite en groupe après un travail de longue haleine. Chacun des éléments du staff technique a contribué à sa manière pour la reconstitution de cette équipe A’ dont les joueurs ont été choisis selon les caractéristiques de l’adversaire « , a-t-il indiqué.

Et d’enchaîner : « Pour établir cette liste, nous nous sommes basés sur le noyau de l’équipe olympique qui avait pris part aux Jeux Olympiques JO-2016 et celle qui a participé aux Jeux de la Solidarité islamique JSI-2017 à Bakou », a-t-il expliqué.

Le stage se passe bien

Concernant le stage des Verts entamé dimanche dernier à Sidi Moussa, Lucas Alcaraz, s’est dit globalement satisfait même s’il appréhende quelque peu l’état physique de ses protégés.

« Ma préoccupation majeure, c’est l’état physique des joueurs en cette période de la saison. L’objectif est d’essayer de trouver un équilibre entre le travail physique au sens propre du terme et le travail qui doit être fait pour éviter aux joueurs de se blesser », a-t-il expliqué.

5 joueurs quitteront le stage

Alors qu’ils étaient 28 éléments au début du stage, 5 d’entre eux devront faire leurs valises ce jeudi soir à l’issue de la séance d’entraînement. « J’aurai mon idée sur les joueurs qui seront appelés à nous quitter après la séance de ce soir. C’est le football, on a déjà expliqué cela aux joueurs au début du stage », a assuré le coach andalou.

Constantine hôte du match

Pour ce qui est de la domiciliation de ce derby maghrébin, la Fédération algérienne de football (FAF) a pris la décision de faire jouer ce match à Constantine. Ainsi, l’équipe nationale de football fera son grand retour dans la capitale de l’Est après presque trois décennies d’absence, ce qui a réjoui les joueurs de la sélection ainsi que le staff technique.

« Nous avons toujours dit, en compagnie du président de la fédération, qu’on voulait jouer un peu partout en Algérie. Ce sera un avantage pour nous d’évoluer au stade de Constantine. Concernant les conditions climatiques qui sévissent actuellement, il faudra bien s’y adapter », a-t-il indiqué.

Pour rappel, la manche aller de cette double confrontation aura lieu le samedi 12 août (20h45) au stade Chahid-Hamlaoui, tandis que le match retour est prévu pour le vendredi 18 août au stade Tayeb M’hiri de Sfax (Tunisie).

Categories: Afrique

Constantine: 25 hectares de couvert végétal ravagés par les incendies dans la commune de Benbadis

Algérie 360 - Thu, 03/08/2017 - 21:47

Une superficie de 25 hectares de couvert végétal a été détruite au cours de l’incendie qui a ravagé, durant les dernières 48 heures, la forêt d’El Hedadj, dans la commune de Benbadis (sud-est de Constantine), a-t-on appris jeudi auprès de la Conservation des forêts.

« Dix (10) hectares de chêne liège et 15 autres hectares de broussailles ont été calcinés par les flammes », a précisé le chef de service de la protection de la faune et de la flore, Kheïreddine Saïghi, détaillant que l’extinction du feu a nécessité l’intervention de 21 agents de la conservation des forêts, des éléments de la protection civile et d’autres  de la commune de Benbadis.

D’importants équipements, dont deux (2) véhicules de première intervention, deux (2) camions anti-incendie, un (1) véhicule de liaison et un (1) camion ravitailleur, ont été mobilisés pour éteindre le feu au bout de 4 heures de lutte.

« Toutes les mesures ont été prises pour faire face aux éventuels feux de forêts qui peuvent se déclarer à travers la wilaya de Constantine », a affirmé M. Saighi, rappelant que la wilaya compte un patrimoine forestier couvrant plus de 18.900 hectares, représentant 8,49% de la superficie totale.

Le responsable a indiqué dans ce contexte que le dispositif de prévention et de lutte contre les feux de forêts dans la wilaya de Constantine, comprend sept (7) postes de vigie et cinq (5) brigades mobiles équipées de camions citernes capables de s’approcher jusqu’à 100 m de l’incendie, de sept (7) véhicules de liaison, de cinq (5) véhicules d’intervention rapide, et d’un (1) camion ravitailleur de 6.000 litres, a rappelé M. Saighi.

Dix-huit (18) comités de riverains ont été également installés dans les différentes communes de la wilaya, afin de prévenir l’intensification des feux notamment durant cette période caniculaire a-t-il souligné.

Des campagnes de sensibilisation et d’information ont été, en outre, lancées en direction des riverains des zones forestières, depuis début juin dernier, afin de prévenir les incendies particulièrement dans les grandes régions forestières, à savoir les forêts de Chettaba, d’El Djebess et de Kef Lakhal (Djebel Ouahch), qui sont, comme chaque année,  »sous haute surveillance », a-t-on signalé à la conservation des forêts.

Categories: Afrique

Le gouvernement ivoirien fait le point sur le remboursement des victimes des sociétés d'agrobusiness

Jeune Afrique / Finance - Thu, 03/08/2017 - 19:27
À l'occasion du conseil des ministres du mercredi 2 août, le gouvernement ivoirien a fait le point sur l'avancement, au 31 juillet, du remboursement des souscripteurs des sociétés dites d'agrobusiness. Celles-ci sont accusées d'avoir organisé une vaste escroquerie, basée sur un schéma de Ponzi.
Categories: Afrique

EU Hírfigyelő – 2017. július

Biztonságpolitika.hu - Thu, 03/08/2017 - 19:20

Missziók

Palesztinai misszió meghosszabbítása

A Tanács 2018. június 30-ig meghosszabbította azon két misszió megbízatását, melyek a palesztin államépítés céljából jöttek létre és feladatuk az izraeli-palesztin konfliktus átfogó, kétállami megoldással történő rendezése. Az EUPOL COPPS (Palesztin Rendőrséget Támogató Európai Uniós Koordinációs Hivatal) 2006 januárja óta segíti a biztonság és az igazságszolgáltatás reformját, valamint a jogállamiság kiépítését. Az EU BAM Rafah (rafahi átkelőhelyen működő, határellenőrzést segítő uniós misszió) feladata, hogy harmadik félként legyen jelen és segítse a két állam közötti bizalomépítést.

Új iraki misszió

A Tanács koncepciót fogadott el egy új misszióról, mely az új iraki polgári válságkezelést segíti elő. A misszió az iraki hatóságoknak fog segíteni a biztonsági stratégia polgári végrehajtásában, emellett pedig az uniós tanácsadók támogatást fognak nyújtani a kiemelt nemzetbiztonsági területeken, például a terrorizmus, korrupció, politikai instabilitás, illetve a vallási és társadalmi polarizálódás témájában. A biztonsági stratégia egyik fő célja, hogy a jogállamiság keretei között megszilárdítsa a békét. Az iraki hatóságok megkeresésére a koncepció elfogadása után most megkezdődnek a misszió telepítésének előkészületei.

Líbiai misszió meghosszabbítása és kibővítése

A Tanács megállapította, hogy a közelmúltban tapasztalt erőszakos események veszélyeztetik Líbia stabilitását. Az Európai Unió szerint a líbiai válság nem oldható meg erőszak alkalmazásával. Ezzel párhuzamosan a Tanács meghosszabbította az EUBAM Líbia missziót 2018. december 31-ig, melynek a feladata a helyi hatóságoknak való segítségnyújtás a határigazítás, a bűnüldözés és a büntető igazságszolgáltatás területén. A misszió jelenleg előkészíti a polgári válsághelyzetek kezelésére vonatkozó terveket.

Védelempolitika

A Sophia hadművelet meghosszabbítása és kibővítése

A Tanács 2017. július 25-én 2018. december 31-ig meghosszabbította az EUNAVFOR MED Sophia művelet megbízatását. A Sophia hadművelet az Európai Unió haditengerészeti operációja, amely hozzájárul az embercsempészek és az emberkereskedők üzletszerű tevékenységének ellehetetlenítéséhez a Földközi-tenger déli-középső részén. Az Unió két támogató feladatot lát el: a líbiai partiőrség és a haditengerészet kiképzését, valamint elősegíti az ENSZ-fegyverembargó végrehajtását. A meghosszabbítással párhuzamosan a Tanács módosította a műveletet, amely immár kiterjed a képzésben résztvevők nyomon követésére, a líbiai illegális kőolajexport megfigyelésére és az információgyűjtésre, illetve az emberkereskedelemre vonatkozó információk megosztására a FRONTEX és EUROPOL hatóságokkal.

G20 – Terrorellenes küzdelem

Július elején a G20-ak csúcstalálkozóján a résztvevők terrorellenes akciótervet hoztak nyilvánosságra. A nyilatkozat hangsúlyozza, hogy minden terrorcselekmény elítélendő és a világ minden részén küzdeni kell ellene az ENSZ Chartával összhangban. A terv első része a nemzetközi elhivatottságról és a fokozott együttműködésről szól, amik magukba foglalják az információcsere és a határellenőrzés serkentését, a nemzetközi terrorellenes szervezetek segítését és a terrorizmus áldozatainak megfelelő ellátását, biztonságba helyezését. A terrorcsoportok finanszírozása, valamint a radikalizálódás és az internet felhasználása a szervezett bűnözés céljaira hosszabb külön tárgyalást kap. A G20 felszólítja az oktatási intézményeket, a médiát, a civil és üzleti közösségeket, illetve a vallási csoportokat, hogy tevékenységükkel segítsék megelőzni a radikalizálódást.

Külkapcsolatok

Az EU nyilatkozata a jeruzsálemi eseményekkel kapcsolatban

Július 22-én az Európai Unió nyilatkozatot adott ki a jeruzsálemi eseményekkel kapcsolatban. A közleményben az EU felszólítja Izraelt és Jordániát, hogy együttesen próbáljanak megoldást találni az erőszak visszaszorításra. A közel-keleti diplomáciai kvartett (Egyesült Államok, Oroszország, Európai Unió és az ENSZ) részeként az EU is figyelmeztette az érintett feleket, hogy próbáljanak maximális önuralmat tanúsítani az eseményekhez való hozzáállásukban.

Az EU elítéli a venezuelai választást

A július 30-án megtartott venezuelai alkotmányozó nemzetgyűlési választással kapcsolatban több Uniós szerv is állást foglalt. Az EU diplomáciai szolgálata és az Európai Bizottság a közleményükben komolyan vitatták a választás kimenetelét, illetve elítélték a túlzott és aránytalan erő alkalmazását. Antonio Tajani, az Európai Parlament elnöke még ennél is keményebb bírálatot fogalmazott meg. Közleményében leszögezte, hogy az EU nem fogja elismerni a vasárnap megtartott választásokat. Nicolás Maduro venezuelai elnök rendszere ellen április óta tartanak a tüntetések, amióta tucatnyi tüntető életét vesztette, több száz pedig megsebesült.

Categories: Biztonságpolitika

En Ukraine, les ultras du nationalisme

Le Monde Diplomatique - Thu, 03/08/2017 - 19:17
Les extrêmes droites gagnent du terrain en Europe, même si nombre d'entre elles cherchent à se parer d'habits neufs. De toute évidence, de tels mouvements jouent un rôle en Ukraine. / Europe, Russie, Ukraine, Élections, Extrême droite, Histoire, Identité culturelle, Judaïsme, Mouvement de contestation, (...) / , , , , , , , , , , , , , - 2014/03

Nombre de personnes emprisonnées dans les Etats membres de l'UE

Toute l'Europe - Thu, 03/08/2017 - 18:18
D’après l'édition 2017 des Statistiques pénales annuelles du Conseil de l’Europe (SPACE) portant sur l'année 20151 404 398 personnes sont incarcérées dans toute l’Europe soit 102 880 de moins qu’en 2014. Le taux d’incarcération a également diminué de 7% passant de 124 à 115,7 détenus pour 100 000 habitants. Cependant, le problème de la surpopulation dans les prisons est toujours d'actualité. L’Espagne (133,1 détenus pour 100 places), la Hongrie (129,4), la Belgique (127), la France (113,4) et le Portugal (113) sont les pays membres de l’UE les plus concernés par ce phénomène.
Categories: Union européenne

Mali: az Európai Unió támogatja a stabilizációt az ország középső régióiban, Moptiban és Ségouban

Európai Tanács hírei - Thu, 03/08/2017 - 18:00

A Tanács határozatot fogadott el, amelyben felhatalmazást ad a Mali középső területeit, a mopti és ségou-i kormányzóságot érintő stabilizációs fellépés végrehajtására. Az Európai Unió (EU) a mali hatóságok felkérésére szakértői csoportot küld a helyszínre, amelynek feladata a mali nemzeti tervek és szakpolitikák támogatása lesz. Az intézkedés célja, hogy fellépjenek a fokozódó bizonytalansággal szemben, valamint hogy helyreállítsák és fejlesszék a polgári közigazgatást ezekben a térségekben. A fellépéssel az EU mindenekelőtt a demokrácia, a jogállamiság, az emberi jogok és a nemek közötti egyenlőség megszilárdítását és támogatását kívánja elősegíteni azáltal, hogy a helyi lakosság érdekeit szem előtt tartva megerősíti a térség általános kormányzását.

Az EU stabilizációs egységének feladata, hogy tanáccsal lássa el a mopti és a ségou-i mali hatóságokat a kormányzással kapcsolatos kérdésekben, valamint hogy támogassa a mali hatóságokat azon tevékenységek tervezése és végrehajtása során, amelyek célja a polgári közigazgatás és az alapvető szolgáltatások helyreállítása a térségben. Többek között támogatni tudja majd a mali hatóságok és a helyi lakosság közötti fokozott párbeszédet is.

A stabilizációs egység 10 főből áll majd, és a kezdeti egyéves operatív szakaszban 3,25 millió eurós költségvetésből gazdálkodhat. Az egység székhelye az Unió mali küldöttségén lesz, működését pedig Bamako, Mopti és Ségou területén végzi. A fellépés kiegészíti az Unió mali küldöttségének tevékenységét, valamint az országba telepített KBVP-missziókat – az EUCAP Száhel Mali és az EUTM Mali missziót –, és az EU Malira irányuló integrált megközelítésének részét képezi. A stabilizációs egység mindemellett szorosan együtt fog működni a térségben jelen lévő más nemzetközi szereplőkkel is, különösen az ENSZ Maliban működő többdimenziós integrált stabilizációs missziójával (MINUSMA).


A stabilizációs fellépésre vonatkozó tanácsi határozat jogalapja az Európai Unióról szóló szerződés 28. cikke, amely kimondja, hogy „[a]mennyiben a nemzetközi helyzet műveleti fellépést tesz szükségessé, a Tanács elfogadja a szükséges határozatokat. A határozatban meg kell határozni annak céljait, hatókörét, az Unió rendelkezésére bocsátandó eszközöket és szükség esetén időtartamát, valamint végrehajtásának feltételeit.” Ez az első alkalom, hogy a Tanács e keretekben határozatot fogad el. Az elfogadásra írásbeli eljárással került sor.

Erklärung der Hohen Vertreterin Federica Mogherini im Namen der EU zu Venezuela

Europäischer Rat (Nachrichten) - Thu, 03/08/2017 - 18:00

Die Europäische Union und ihre Mitgliedstaaten bedauern zutiefst die Entscheidung der venezolanischen Regierung, die Wahlen zu einer verfassungsgebenden Versammlung am 30. Juli doch durchzuführen.

Die Wahlen zur verfassunggebenden Versammlung haben die Krise in Venezuela langfristig verschlimmert. Durch sie besteht die Gefahr, dass andere in der Verfassung vorgesehene rechtmäßige Institutionen wie die Nationalversammlung untergraben werden. Die Umstände, unter denen die Wahlen stattfanden, wecken weitere Zweifel an der Fähigkeit der verfassungsgebenden Versammlung, alle Teile der venezolanischen Bevölkerung effektiv zu vertreten. Allen, die ernsthafte Verhandlungen verweigern, bietet sie einen Vorwand, den Konflikt weiter anzufachen und unkontrolliert Macht auszuüben. Zudem sind die rechtlichen Befugnisse der verfassungsgebenden Versammlung unklar.

Die Europäische Union und ihre Mitgliedstaaten können die verfassungsgebende Versammlung aufgrund ihrer Bedenken hinsichtlich der tatsächlichen Repräsentativität und Legitimität der Versammlung deshalb nicht anerkennen, und fordern die Regierung von Präsident Nicolas Maduro auf, dringliche Maßnahmen zu ergreifen, um die Entwicklungen wieder in geordnete Bahnen zu lenken. Insbesondere sollte die effektive Einrichtung der verfassungsgebenden Versammlung ausgesetzt werden, und es sollten die Befugnisse aller in der Verfassung vorgesehenen Institutionen ausdrücklich anerkannt werden.

Weitere vertrauensbildende Maßnahmen wie die Freilassung aller inhaftierten politischen Gegner sind ebenfalls erforderlich. In dieser Hinsicht sind die EU und ihre Mitgliedstaaten zutiefst besorgt über die Nachricht, dass Leopoldo López und Antonio Ledezma aus ihrem Hausarrest weggebracht wurden und ersuchen um Aufklärung über ihren Verbleib.

Mit dieser Stellungnahme wenden sich die Europäische Union und ihre Mitgliedstaaten an alle in Venezuela, die über das demokratische Mandat, zu regieren und Recht zu sprechen, verfügen, und rufen sie nachdrücklich auf, ihrer jeweiligen Verantwortung gerecht zu werden und darüber zu verhandeln, wie es weitergehen soll. Erfolgreiche Verhandlungen erfordern Kompromisse und Garantien. Dazu gehört auch, dass die in der Verfassung verankerten Rechte und Mandate aller rechtmäßigen staatlichen Institutionen, insbesondere die der Nationalversammlung, aber auch des Obersten Gerichtshofs und der Generalstaatsanwaltschaft, uneingeschränkt geachtet werden.

Die Europäische Union und ihre Mitgliedstaaten begrüßen und befürworten die Angebote von Ländern in der Region und weiterer internationaler Akteure, solche Verhandlungen zu begleiten und zu erleichtern. Sie sind bereit, alle Bemühungen im Hinblick auf dieses Ziel aktiv zu unterstützen.

In diesem Zusammenhang verweisen sie auf die vier Punkte, die in dem 2016 eingeleiteten Dialog herausgestellt und im Schreiben des vatikanischen Staatsekretärs Parolin erneut hervorgehoben wurden; dies sind (i) ein Zeitplan für die Wahlen, (ii) die Öffnung eines humanitären Korridors, (iii) die Freilassung inhaftierter Regimegegner und (iv) die Achtung der Nationalversammlung.

Sie fordern alle Seiten auf, auf Gewalt zu verzichten – einschließlich der Gewalt, die von nicht identifizierten Gruppen bewaffneter Zivilisten ausgeht –, und ersuchen die Behörden, die uneingeschränkte Achtung der Menschenrechte zu gewährleisten.

Die Europäische Union ist bereit, in Bezug auf alle Aspekte Unterstützung zu leisten, bei denen es darum geht, den Alltag der venezolanischen Bevölkerung zu erleichtern.

Die Europäische Union und ihre Mitgliedstaaten sind bereit, ihre Reaktion schrittweise zu verstärken, sollten die demokratischen Grundsätze weiter untergraben und die venezolanische Verfassung missachtet werden.

Categories: Europäische Union

Une vision méditerranéenne de la France

EGEABLOG - Thu, 03/08/2017 - 17:50

Voici l'article livré à l'excellente revue italienne Limes qui consacre son numéro de juin à la Méditerranée.

J'y signe un article sur "Une vision méditerranéenne de la France". En italien, cela donne : Il destino della Francia si gioca nel Maghreb.

La France, comme les autres pays riverains, est fille de la Méditerranée. Pas seulement pourtant : elle naît à la fin de l’Empire Romain de l’alliance entre une terre profondément romanisée et la vigueur politique d’une peuplade germaine, les Francs, qui s’allie avec la puissance en devenir de l’époque, l’Église. Il s’ensuit une France duale, à la fois du Nord et du Sud, séparée non par la Loire mais par le Massif Central. Cet héritage historique pèse plus que son rivage méridional puisque la France n’est pas d’abord le fruit de sa géographie. En cela, elle diffère de bien d’autres Etats méditerranéens qui sont en premier des enfants du Mare Nostrum. Cependant, c’est une Nation profondément méditerranéenne.

L’histoire montre justement un vif engagement français en Méditerranée (croisades, engagements des Anjou à Naples et en Sicile, guerres d’Italie, alliance ottomane, lutte contre l’empire espagnol, échelles du Levant, expédition de Bonaparte, colonisation de l’Afrique du Nord, affaires de Grèce et de Crimée, armée française d’Orient). Sans l’oublier tant cette mémoire fonde notre société, venons-en à l’époque contemporaine et plus exactement à celle qui a suivi la Deuxième Guerre mondiale, puis à la façon dont la perception française de la Méditerranée a évolué.

I Sortir d’une vision coloniale (1945-1960)

La Méditerranée a été la porte d’ouverture de la France au monde (bien plus que l’Atlantique). Grâce à cette mer, elle découvre Maghreb, Afrique, Inde, Indochine, Océanie. Ce tropisme est entier en début de période puisque la Méditerranée permet richesses, échanges, puissance.

Alors, la France tient des positions sur tout le pourtour maritime, outre bien sûr son propre rivage et l’avant-poste corse. Certes, le Liban est devenu indépendant en 1943 mettant fin au mandat confié par la SdN après la dislocation de l’empire Ottoman. Pourtant la France conserve encore des intérêts à Smyrne, autour du canal de Suez, deux protectorats bienveillants en Tunisie et au Maroc, une colonie de peuplement en Algérie (avec ses trois départements). Elle ressemble en cela à d’autres puissances européennes : la Grande-Bretagne tient alors la Palestine (qu’elle va rapidement abandonner) et conserve des intérêts en Egypte, des avant-postes à Chypre, Malte et bien sûr Gibraltar. La Grèce tient encore les îles de la mer Egée ainsi que la Crète. L’Espagne a, outre son long rivage, ses îles Baléares mais aussi les présides de Ceuta et Melilla et d’évidents intérêts au Maroc (Tanger est comme Oran une ville plus espagnole que française, Franco est le fils de la guerre du Rif). L’Italie enfin a ses côtes, ses îles (Sardaigne, Sicile, Lampedusa) et des intérêts en Tunisie et surtout en Libye et en Egypte sans compter des influences (Croatie ou Istanbul).

Le contexte est donc impérial. La France, comme ses voisins Européens mais plus difficilement, va d’abord devoir abandonner ses possessions outre-Méditerranée. Cette expérience est plus douloureuse que pour d’autres. Si la perte du Liban est attribuée aux « profits et pertes » de la Deuxième Guerre mondiale, la France en garde la perception d’une porte d’entrée dans le « monde arabe ». Il reste que c’est surtout en Afrique du Nord que tout va se nouer. Pendant une décennie, elle conserve l’illusion qu’elle pourra « maintenir le dispositif ». Si elle se résout à abandonner l’Indochine (« la perle de l’Empire ») à l’autre bout de la planète, elle pense que la situation est différente au Maghreb. Pourtant, l’éclatement de l’insurrection algérienne en 1954 change radicalement la donne.

En effet, l’Algérie est vécue en France non comme une colonie mais comme une terre française, puisque les trois départements algériens ont été érigés comme tels en 1848. C’est une terre de peuplement qui a accueilli beaucop de Français en difficulté comme de latins en général, ce qui explique le déchirement beaucoup plus profond provoqué par cette dissidence algérienne par rapport aux autres possessions ; D’ailleurs, longtemps la France parlera officiellement des  « événements » et non pas de la « Guerre d’Algérie ».

L’affaire suscite toutefois énormément d’effets collatéraux. Pour marquer justement la différence, la France décide l’indépendance des colonies et protectorats des pays voisins (Maroc et Tunisie) en 1956. De même, toujours pour marquer sa volonté, elle organise l’affaire de Suez en 1956, s’alliant pour cela aux Britanniques et aux Israéliens. Réagissant à la nationalisation du canal par Nasser, la France croit qu’un coup de force suffira à rétablir ses intérêts. Le manque de soutien des Américains et le coup de bluff des Soviétiques la forcent à un retrait piteux. Il conduira la IVème République finissante à lancer les travaux d’une bombe atomique.

Le général De Gaulle, arrivant au pouvoir deux ans plus tard (à la faveur d’ailleurs des troubles algériens), en tirera toutes les leçons : à la fois celle d’un retrait du dispositif impérial (indépendances africaines en 1960, indépendance algérienne en 1962) mais aussi la promotion d’une voie indépendante y compris des Américains, jugés piètres alliés en Indochine, en Algérie ou à Suez. Au fond, l’expérience méditerranéenne de ces années-là a largement contribué non seulement à l’arrivée au pouvoir de De Gaulle mais aussi à la promotion de sa ligne autonome de politique internationale de non-alignement sur les Grands qui marque depuis toute la politique française.

Vu de l’extérieur, on peut se moquer de cette « France du rang et de la puissance », cette arrogance d’un coq dressé sur ses ergots mais avec un panache qu’il faut bien lui reconnaître ! Il reste que cela induit un changement de perception radical envers le sud et particulièrement la Méditerranée.

II L’aventure européenne (1960-2008)

Pendant longtemps, la France a vu son rapport au monde sous le prisme de la domination et de l’empire. Ce brutal et douloureux abandon entraîne une conversion vers d’autres horizons. Ce n’est pas un hasard si c’est dans les années 1960 que le terme d’Hexagone désigne populairement la France. Elle se recentre sur son territoire métropolitain, sur ce « petit cap de l’Asie » qui ne la rejettera pas, croit-elle. Voici donc venu le temps de l’aventure européenne.

Là encore, tout se noue dans la décennie 1950. Après l’échec de la CED en 1954, les Européens se réunissent à Messine pour une conférence européenne qui va bientôt donner le traité de Rome, en 1957. La Communauté Economique Européenne est née. Le prisme européen n’est donc pas politique, il s’inscrit de plus dans un noyau de six pays dont un seul autre est proprement méditerranéen, l’Italie. A bien y regarder, on trouve en fait des racines carolingiennes dans ce groupe initial. La grande affaire qui suit est celle de l’intégration de la Grande-Bretagne qui avait lancé une alliance concurrente mais rejoint en 1972 (une fois que De Gaulle a cédé le pouvoir à Pompidou) la CEE avec l’Irlande et le Danemark : que des pays du Nord. Le subtil équilibre nord-sud des six d’origine se perd peu à peu.

Les choses se rééquilibrent avec le sud puisque la Grèce rejoint les 9 en 1981, suivie en 1986 de l’Espagne et du  Portugal (assimilé à l’espace méditerranéen), Chypre et Malte (en 2004) puis la Croatie (en 2013) bien plus tard. Aujourd’hui, sur 28 pays, 8 seulement sont méditerranéens (9  bordent l’Atlantique, 9 la Baltique, 2 la mer Noire).

Cette tendance générale agit particulièrement sur la France pour qui l’essentiel réside désormais dans la relation avec l’Allemagne. La France suit au début le rythme de croissance puis s’épuise à partir de la crise pétrolière des années 1970. Les années 1980 voient s’enraciner un complexe envers l’Allemagne dont la puissance économique impressionne et conduit à l’Acte Unique Européen de 1986. La réunification allemande accélère le mouvement et force la France à faire un saut d’intégration, celui du traité de Maastricht et de l’Union Européenne. S’ensuivent quinze belles années optimistes jusqu’à ce que la crise financière de 2008 bloque le dispositif : nous y sommes encore.

Il reste que ce primat européen et, pour dire les choses, l’obsession allemande, illustre à quel point la Méditerranée devient relative aux yeux de Paris.

Aussi  ne peut-on pas vraiment caractériser la politique française d’alors envers la Méditerranée. Certes, il y a bien quelques efforts : le 5+5 ou l’appui au processus de Barcelone pour la Méditerranée occidentale des années 1990, mais aussi des relations compliquées et finalement proches avec les trois pays maghrébins. Il faut surtout noter un phénomène qui va rapprocher les peuples beaucoup plus intimement que des décennies de colonisation : l’immigration voit des centaines de milliers de Maghrébins traverser les flots pour venir s’installer en France, en revenir rarement sinon pour les vacances, mais conserver des contacts étroits (souvent par l’envoi de subsides) avec la famille restée « au pays ».

En Méditerranée orientale, les choses sont encore plus distantes. Certes, la France imagine à partir de 1967 une « politique arabe » voulant s’établir à juste distance entre Israël et le peuple palestinien. Cette doctrine énoncée par De Gaulle est vainement invoquée par ses successeurs qui peu à peu n’ont plus une seule idée originale sur la question, à l’instar d’ailleurs des Européens, sortis du jeu malgré le processus d’Oslo. Le Liban est l’autre grande affaire qui là encore suscite bien des déceptions. L’éclatement de la Guerre civile en 1975 amène les Français à soutenir les chrétiens maronites ce qui entraîne bien des avanies, souvent dramatiques (enlèvement, assassinat d’ambassadeurs, attentats contre un poste militaire français de l’ONU tuant des dizaines de soldat). La solution de la crise se fait sans la France qui perd dans l’affaire beaucoup d’illusion et d’influence, ayant voulu jouer un jeu dont les règles avaient changé.

Au fond, pendant ces années là, la France s’est  moins engagée de la Méditerranée, n’y accordant qu’une faible priorité, que ce soit dans les relations avec ses voisins européens (Italie et Espagne n’ont pas vraiment été considérées comme des partenaires majeurs à Paris) ou avec les partenaires maghrébins, même si des réseaux fournis permettent de conserver de bonnes  (et souvent fructueuses) relations avec les élites au pouvoir de ces différents pays.

III Un retour est-il possible ? (depuis 2008)

Depuis dix ans, de nombreuses choses ont changé, en France, en Europe, en Méditerranée.

 La France tout d’abord s’est raidie, incapable de se réformer en profondeur. Du coup, le débat politique s’est centré sur un triple thème : celui de la sécurité et de l’immigration, celui de l’insatisfaction envers une Europe jugée inefficace et sous domination allemande, celui enfin d’une mondialisation menaçant les fondements du pays. Force est de constater que ce triple débat existe, peu ou prou (bien que sous des formes et incarnations différentes), dans tous les pays européens, et que la Méditerranée n’y tient pas une grande part.

S’agissant du cas français, la crise financière de 2008 a été mal vécue. Constatons que la crise de l’euro qui s’est ensuivie ainsi que le « sauvetage » de la Grèce ont fait la part belle aux intérêts nationaux. Il reste que la France pâtit de la même réputation que « les pays du club Méd » même si les élites de Francfort ou d’Hambourg ne le disent pas trop ouvertement. Le coq gaulois est relativement marginalisé du fait de ses piètres performances économiques. D’un mot, à Paris, la voie européenne a touché ses limites.

Par ailleurs, la population française montre une sensibilité très forte à la question migratoire, associée à l’insécurité, selon un thème agité depuis des années par des franges de plus en plus importantes de la classe politique. Les attentats qui ont touché la France en 2014 et 2015 ont ravivé les plaies d’une population déjà à cran. De même, l’immigration en France vient principalement des anciennes possessions du Maghreb et d’Afrique Noire notamment. Un amalgame se fait entre des facteurs et des effets profondément divers. Cela amène pourtant la France à observer à nouveau le sud avec intérêt, notamment la Méditerranée où les choses ont changé.

Les révoltes arabes de 2011 ont  ainsi attiré à nouveau le regard vers elle ce qui a suscitéune politique parfois maladroite : on pense bien sûr à l’intervention en Libye suivie d’un désintérêt pour ce pays, mais aussi à la politique dure en Syrie au risque de l’inefficacité. Cependant, ces initiatives témoignent d’un regain d’intérêt pour la région et la recherche d’opportunités. Le cas le plus évident se voit en Egypte puisque la France a réussi à y vendre du matériel (des navires de projection et des avions Rafale) quitte à adouber le Maréchal Sissi et ses manières autocratiques.

Ainsi, l’attitude française en Méditerranée Orientale paraît-elle plus déliée qu’auparavant, prête à saisir les opportunités, ici avec le Liban, là avec Israël. L’idéologie et les principes sont moins affichés. L’opportunisme semble de mise ce qui témoigne d’un changement de regard.

Les choses sont moins simples en Méditerranée occidentale où les jeux sont plus enracinés et les réseaux plus solides. Observons que le soutien à la Tunisie reste principalement verbal, que les relations avec l’Algérie demeurent compliquées tandis que les liens avec le Maroc sont solides. Pour autant, constatons un autre phénomène majeur, celui de la télévision par satellite et désormais internet qui transmet les informations sur la vie démocratique et culturelle riche et variée du Nord, venant combler les aspirations de populations du Sud souvent enfermées dans des systèmes rigides voire autoritaires. Ainsi, la francophonie se développe-t-elle le plus rapidement au sud de la Méditerranée, ce que peu de décideurs perçoivent.

Pour conclure

Quelle voie envisager dès lors ?

Le président Sarkozy avait proposé de créer une Union Méditerranéenne qui regrouperait tous les pays riverains. L’idée était bonne puisqu’elle suggérait un cadre différent dont on espérait de nouvelles dynamiques. Malheureusement, l’Allemagne ne vit pas cela d’un bon œil et força le projet à se transformer en une Union Pour la Méditerranée regroupant tous les pays de l’UE avec les autres. L’affaire perdait son sens et l’égalité de départ laissait place à une dissymétrie évidente reprenant les vieux schémas des rapports Nord-Sud. Personne ne s’étonne donc que l’affaire végète. Une possibilité d’émancipation a été tuée dans l’œuf.

Dix ans plus tard, un nouveau président moderniste et partisan du changement arrive à l’Elysée. Il bénéficie d’un état de grâce incontestable d’autant plus que tout le monde attend de lui une relance européenne. La chose est peut-être nécessaire par ailleurs mais constatons qu’elle cantonne la Méditerranée à son rôle habituel. Le changement à Paris, ce ne sera peut-être pas d’abord au Sud.

Il faut dès lors espérer que les plus lucides comprennent la nécessité d’un co-développement avec la rive sud, puisque ces pays du Maghreb ne constituent plus  désormais des pays d’émigration, sinon de manière résiduelle. Ils sont eux aussi menacés par les vagues migrantes venues d’une Afrique noire qui n’a pas terminé sa transition démographique. Le continent noir comptera deux milliards d’âmes d’ici la fin du siècle et le destin de la France et, plus largement, des Etats Européens, dépend désormais des relations structurelles que nous sauront nouer avec les pays maghrébins pour résoudre ce défi du siècle.

Au fond, ils sont en première ligne du nouvel horizon français qui se trouve à nouveau au Sud. Mais il est évident que la France, avec ses voisins euro-méditerranéens, ne pourra agir seule et qu’il faudra qu’elle invente de nouvelles choses avec les pays de la rive sud. Le 5+5 doit être élargi ou dupliqué, par exemple au G5 Sahel, mais aussi à des thèmes qui ne soient pas exclusivement sécuritaires ou économiques. Au fond, Espagne, France et Italie doivent jouer un rôle d’avant-garde. Ce devrait être une priorité politique du même rang que la relance européenne. Espérons que le récent regain d’intérêt pour la Méditerranée encourage de tels projets.

 

Olivier Kempf est docteur en Science Politique, chercheur associé à l’IRIS. Il dirige la lettre stratégique La Vigie (www.lettrevigie.com). Il a publié « Géopolitique de la France » (Technips, Paris, 2012).

Categories: Défense

Mali: Die Europäische Union unterstützt die Stabilisierung in den Regionen Mopti und Segou im Zentrum Malis

Europäischer Rat (Nachrichten) - Thu, 03/08/2017 - 17:40

Der Rat hat einen Beschluss angenommen, mit dem eine Stabilisierungsaktion in den Gouvernements Mopti und Segou im Zentrum Malis genehmigt wird. Auf Ersuchen der malischen Regierung wird die Europäische Union (EU) ein Team von Experten entsenden, das die nationalen Pläne und politischen Maßnahmen Malis unterstützen und somit dazu beitragen soll, die wachsende Unsicherheit in diesen Regionen zu bekämpfen und die Zivilverwaltung wiederherzustellen und auszubauen. Die Aktion soll in erster Linie dazu beitragen, Demokratie, Rechtsstaatlichkeit, Menschenrechte und die Gleichstellung der Geschlechter zu festigen und zu stärken, indem die Governance in der Region insgesamt gestärkt wird, und damit der lokalen Bevölkerung zugute kommen.

Das EU-Stabilisierungsteam hat die Aufgabe, die malischen Behörden in Mopti und Segou in Governancefragen zu beraten und sie bei der Planung und Durchführung von Tätigkeiten zu unterstützen, mit denen die Zivilverwaltung und die grundlegenden Dienstleistungen in der Region wiederhergestellt werden sollen. Dabei soll insbesondere ein verstärkter Dialog zwischen den malischen Behörden und der lokalen Bevölkerung unterstützt werden.

Das Stabilisierungsteam besteht aus 10 Personen und wird in der ersten operativen Phase, die ein Jahr dauert, über ein Budget von 3,25 Millionen € verfügen. Das Team wird bei der Delegation der EU in Mali angesiedelt und in Bamako, Mopti und Segou tätig sein. Sein Einsatz ergänzt die Aktionen der Delegation der EU in Mali und der dort eingesetzten GSVP-Missionen (EUCAP Sahel Mali und EUTM Mali) und fügt sich in den Rahmen des integrierten Ansatzes der EU in Mali ein. Vorgesehen ist auch eine enge Zusammenarbeit mit den in der Region anwesenden anderen internationalen Akteuren, insbesondere der Mehrdimensionalen integrierten Stabilisierungsmission der Vereinten Nationen in Mali (MINUSMA).


Diese Stabilisierungsaktion wurde vom Rat auf der Grundlage von Artikel 28 des Vertrags über die Europäische Union beschlossen; dort heißt es wie folgt: "Verlangt eine internationale Situation ein operatives Vorgehen der Union, so erlässt der Rat die erforderlichen Beschlüsse. In den Beschlüssen sind ihre Ziele, ihr Umfang, die der Union zur Verfügung zu stellenden Mittel sowie die Bedingungen und erforderlichenfalls der Zeitraum für ihre Durchführung festgelegt." Zum ersten Mal hat der Rat einen Beschluss in diesem Rahmen angenommen. Er wurde vom Rat im Wege des schriftlichen Verfahrens angenommen.

Categories: Europäische Union

Federica Mogherini főképviselőnek az Európai Unió nevében tett nyilatkozata Venezueláról

Európai Tanács hírei - Thu, 03/08/2017 - 17:20

Az Európai Unió és tagállamai mély sajnálattal veszik tudomásul a venezuelai hatóságok azon döntését, hogy továbbviszik az alkotmányozó nemzetgyűlés július 30-i megválasztásával elkezdődött folyamatot.

Az alkotmányozó nemzetgyűlés megválasztása miatt tartósabbá és még súlyosabbá vált a venezuelai válság. Veszélybe sodorhatja az alkotmányban előírt más legitim intézmények, például a nemzetgyűlés működését. A választásra olyan körülmények között került sor, amelyek erősen megkérdőjelezik, hogy az alkotmányozó nemzetgyűlés képes-e ténylegesen képviselni a venezuelai nép minden csoportját. A komoly tárgyalások ellenzői számára a kialakult helyzet csak további ürügyet jelent a konfliktus fokozására és a hatalom ellenőrizetlen gyakorlására. Emellett az sem világos, hogy az alkotmányozó nemzetgyűlésnek mire van jogi felhatalmazása.

Ennek alapján az Európai Unió és tagállamai nem tudják elismerni az alkotmányozó nemzetgyűlést, mivel kétségbe vonják annak valódi reprezentatív és legitim jellegét, és felszólítják Nicolas Maduro elnök kormányát, hogy sürgősen változtasson az események menetén. Először is fel kell függeszteni az alkotmányozó nemzetgyűlés tényleges felállítását, és kifejezetten el kell ismerni az alkotmányban előírt összes intézmény jogköreit.

További bizalomerősítő intézkedésekre van szükség, így például az összes bebörtönzött ellenzéki politikus szabadon engedésére. E tekintetben az EU és tagállamai mély aggodalmuknak adnak hangot amiatt, hogy a hírek szerint Leopoldo Lópezt és Antonio Ledezmát elszállították a házi őrizetükből, és felvilágosítást kérnek e két személy tartózkodási helyéről.

Az Európai Unió és tagállamai ezennel ünnepélyesen azzal a felhívással fordulnak minden venezuelaihoz, aki demokratikus kormányzási, törvényhozási vagy igazságszolgáltatási mandátummal rendelkezik, hogy gyakorolják jogköreiket és találjanak tárgyalásos kiutat a válságból. A sikeres tárgyalásokhoz kompromisszumkészségre és garanciákra van szükség. Emellett maradéktalanul tiszteletben kell tartani minden legitim állami intézménynek az alkotmányban biztosított jogait és feladatait, különös tekintettel a nemzetgyűlésre, de a legfelsőbb bíróságra és a főügyészre is.

Az Európai Unió és tagállamai üdvözlik, hogy a régió országai és más nemzetközi szereplők segítséget ajánlottak a tárgyalások létrejöttéhez és lefolytatásához, és további hasonló felajánlásokra ösztönöznek. Az EU és tagállamai készek aktívan támogatni az e cél elérése érdekében tett minden erőfeszítést.

Ezzel összefüggésben emlékeztetnek a 2016-os párbeszédben meghatározott négy pontra, amelyeket Pietro Parolin vatikáni államtitkár újólag hangsúlyozott a levelében: i. választási menetrend; ii. humanitárius csatorna megnyitása; iii. a bebörtönzött ellenzéki politikusok szabadon engedése; és iv. a nemzetgyűlés tiszteletben tartása.

Felszólítják a feleket, hogy tartózkodjanak az erőszaktól, többek között az azonosítatlan felfegyverzett polgári személyek csoportjai által elkövetett erőszakos cselekményektől, és arra kérik a hatóságokat, hogy maradéktalanul tartsanak tiszteletben minden emberi jogot.

Az Európai Unió kész segítséget nyújtani minden olyan kérdés tekintetében, amelyektől könnyebbé válhat a venezuelai nép helyzete.

Az Európai Unió és tagállamai készen állnak arra, hogy egyre határozottabban lépjenek fel, amennyiben tovább sérülnek a demokratikus elvek, és nem tartják tiszteletben a venezuelai alkotmányt.

Tous producteurs

Le Monde Diplomatique - Thu, 03/08/2017 - 17:16
Plus besoin de passer par des banques ou des institutions : le financement participatif permet aux particuliers de contribuer à la réalisation d'un projet. Dans le domaine culturel, l'artiste est ainsi libéré des diktats de l'industrie ou des subventions. Serait-ce le paradis ? / Art, Audiovisuel, (...) / , , , , , , , , , - 2014/03

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