Les services de renseignements Algériens ont dévoilé des informations d’une importance capitale. Il s’agit de drones américains utilisés par l’État sioniste à des fins d’espionnage. Un rapport a été publié par le journal français « Monde Afrique » qui rapporte des opérations d’espionnage visant les pays de l’Afrique du Nord.
La même source affirme que les services de renseignements Algériens enquêtent sur le réseau d’espionnage sioniste en Algérie depuis la fin de l’année 2016. Les gardes des frontières Tuniso-Algériennes ont découvert plusieurs drones qui survolent les sites sensibles de l’Algérie et cela à maintes reprises.
Le site d’informations accuse la Tunisie d’avoir caché la vérité, quant aux autorités algériennes, elles ont exprimé leur mépris et leur colère. Des responsables au sein de l’ambassade Américaine à Alger ont expliqué que ces drones ne surveillaient que le territoire libyen.
Les agences de renseignements Algériens spécialisées dans le contrespionnage ont prouvé que ces drones étaient contrôlés par l’État sioniste. L’objectif était d’obtenir des informations sur les bases militaires algériennes. Depuis, les forces armées sont sur le qui-vive pour contrer quelconque attaque.
Les autorités Algériennes ont prévenu, l’année dernière, la Tunisie de l’éventualité de l’implantation du Mossad sur ses terres. Des espions algériens ont déjà prouvé la forte présence d’espions de l’État sioniste.
L’État Tunisien n’a réagi que suite à l’assassinat de Mohamed Zouari, l’universitaire de Sfax et membre du groupe Hamas tué à quelques mètres de son domicile le 15 décembre 2016.
Les services de renseignements Algériens ont même arrêté des migrants venus du Libéria qui avaient en leur possession des moyens de communication ultrasophistiqués.
Des centaines de familles sont bloquées sur la route de Chréa à cause des embouteillages, indique la Protection civile.
En effet, plus de 5000 véhicules en direction de Chréa perturbent le trafic routier. Il est néanmoins fortement recommandé aux familles de rentrer plutôt en prévision des chutes de neige, a précisé la même source.
Par ailleurs, un dispositif spécial est déployé par la Gendarmerie Nationale sur la RN-37 pour assurer la sécurité des familles et organiser la circulation vers et depuis Chréa.
Comme attendu, le Ministre des ressources en eau et de l’environnement, M. Abdelkader Ouali, effectue, lundi et mardi prochain une visite de travail et d’inspection de son secteur dans la wilaya de Mostaganem où 24 projets seront inaugurés par ce dernier.
En effet, le Ministre Ouali aura un programme chargé à Mostaganem où son secteur connait un véritable sursaut en matière de projets en cours ou en voie de lancement. Lors de sa visite, le Ministre Abdelkader Ouali qui sera accompagné du Wali de Mostaganem, M. Temmar Abdelwahid, procédera à plusieurs inaugurations d’une importance capitale pour la wilaya de Mostaganem, comme le projet du transfert des eaux usées de Souaflia vers LE lagunage de Bouguirat sur 18 km, à la commune Souaflia d’un montant de 16 milliards de centimes. À la commune de Haciane, le Ministre donnera le coup d’envoi de la réalisation du rejet des eaux usées de Sirat vers lagunage de Ben Yahi sur 07 km d’un montant de 13 milliards de centimes. Sur les lieux, un exposé lui sera présenté sur la réhabilitation de trois drains du plateau de Mostaganem, un projet qui sera financé par le fonds national de l’eau (FNE). Un autre exposé lui sera présenté sur le projet d’aménagement du bassin laitier de Bordjia sur 1 700 hectares. À la commune de Stidia, on inaugurera un système de relevage d’une capacité de 5000 m3/jour d’un montant de 30,7 milliards de centimes pour l’assèchement du lac d’eaux usées de Stidia. À Mostaganem-ville, un système de collecte et d’épuratoire des eaux usées du groupement urbain de Mostaganem sera présenté au Ministre pour un montant global de 6 027 000.000 ,00 DA. Aussi, il sera question de l’inauguration du système de relevage d’eaux usées de la zone centrale de la ville de Mostaganem d’un montant de 36,1 milliards de centimes. Dans ce contexte, le Ministre Ouali visitera le projet qui tient à cœur au Wali Temmar Abdelwahid, celui du chantier de la dépollution et l’aménagement de l’Oued Ain Sefra. Le premier point de présentation concernera la partie basse et le deuxième point au niveau de la cité des Castors. À Kharrouba et Sidi Medjdoub, il y aura l’inspection du chantier de protection de cette zone des inondations pour un montant de 55 milliards de centimes. En outre, la wilaya de Mostaganem aura sa maison de l’environnement (Dar Dounia) qui sera inaugurée à Kharrouba. Dans le cadre du programme du fonds national de l’eau (FNE), plusieurs localités et douars de la wilaya de Mostaganem bénéficieront du raccordement au réseau d’eau potable et de travaux d’assainissement ainsi que de stations d’épuration à Khadra, Sidi Lakhdar et Mostaganem-ville. À la commune de Tazgait, Douar Kaddour Belhadj finira avec le problème épineux de l’eau potable où le Ministre Abdelkader Ouali mettra en service le réseau d’AEP. Par ailleurs, à la commune de Oued El-Kheir, le Ministre des ressources en eau et de l’environnement visitera la station de traitement de Sidi Ladjel. Il est à signaler, enfin, que grâce aux fonds du FNE, plusieurs projets devront être concrétisés dans les prochains mois dans la wilaya de Mostaganem.
En dépit des températures descendant par endroits à moins zéro, les neiges épaisses recueillies par les zones montagneuses de la wilaya de Batna offrent aux amateurs de la nature des paysages à couper le souffle et à régaler la vue.
Si certains ‘‘aventuriers’‘ ont préféré s’enfoncer dans les forêts du mont Chelaâlaâ jusqu’à l’Est de la petite bourgade d’Oued El Ma où l’altitude atteint 1.848 mètres au-dessus du niveau de la mer, beaucoup de familles batnéennes ont opté pour la forêt de Condorcet dans le parc de Belezma au Sud-ouest de la capitale des Aurès dans la commune d’Oued Cheâba. Les cédraies et peuplements de pins d’Alep de cette zone de 2.000 mètres d’altitude étaient tout en blanc dans un silence que ne brisaient que les cris d’enfants jouant à la neige.
La route desservant cette localité montagneuse était ainsi embouteillée sur près de 2 km du fait de la neige mais surtout du grand nombre de véhicules des familles désirant jouir du spectacle de la neige.
Hamid Aouil qui conduisait sur une voiture immatriculée à Biskra a affirmé être venu vers ce lieu ‘‘merveilleux’’ pour contempler la neige et passer avec sa famille des moments en pleine nature.
Mme Nora Houas affairée à sculpter avec ses enfants un petit bonhomme de neige a noté que ce sont là des moments de pure joie et de divertissement à ne pas rater.
Les neiges attirent les photographes et les chasseurs de lièvres
Plus loin à l’écart des familles et leur brouhaha, les photographes et chasseurs de lièvres ont tenu également à saisir l’occasion.
Hakim Noui, professionnel de photo naturaliste, a affirmé que les paysages des arbres et animaux ont une magie particulièrement sous la neige et la glace que l’objectif d’un bon photographe est capable de transformer en une œuvre d’art.
Pour Abdallah Amir, photographe amateur qui accompagnait Noui, les paysages de la neige sont magnifiques et les occasions de réaliser de belles photos sont multiples à la condition de se trouver au bon moment, au bon endroit et, surtout, savoir choisir le bon voire, le meilleur angle.
Encore plus retiré que tous les autres, un homme quinquagénaire se tenait immobile à scruter l’horizon. Approché par l’APS, l’homme n’a pas tardé à se confier. Messaoud Becheka est chasseur de lièvres que l’on peut, selon lui, attraper avec les seules mains car ces rongeurs deviennent trop lents sur la neige et parfois se retrouvent même bloqués dans des trous de neige.
Messaoud assure se trouver en ces lieux avec d’auteurs chasseurs amateurs. Les traces des lièvres sont visibles sur la neige et les pister puis les attraper constituent des tâchent assez faciles surtout avec un brin de chance. Le plus difficile, selon lui, serait de trouver un bon ou une bonne cuisinière pour préparer une bonne soupe de lièvre dont la chair serait bien plus succulente que celle du lapin domestique.
Ces neiges que la région n’a pas connues depuis près de cinq années ont fait la gaieté des familles et surtout de leurs enfants et ont dessiné sur les cèdres de la forêt de Condorcet des paysages féeriques.
L’opération militaire de la Cédéao, lancée en Gambie peu après l’investiture du président élu Adama Barrow, a été suspendue quelques heures plus tard pour permettre une « dernière médiation » afin de donner une dernière chance au président sortant Yahya Jammeh pour quitter pacifiquement le pouvoir. La télévision d’Etat gambienne GRTS a annoncé jeudi soir l’arrivée vendredi d’une délégation de haut rang du Liberia, de Mauritanie et de Guinée et de l’ONU en vue d’un « dialogue pacifique pour trouver une solution à l’actuelle impasse politique », dans un communiqué officiel lu à l’antenne. « Personne ne doit paniquer, la situation dans le pays est sous contrôle », a indiqué le texte
Une secousse tellurique de magnitude de 3,3 degrés sur l’échelle ouverte de Richter a été enregistrée vendredi à 13h26 (heure locale) à Hammam Melouane dans la wilaya de Blida, indique le Centre de recherche en astronomie astrophysique et géophysique (CRAAG) dans un communiqué. L’épicentre de la secousse a été localisé à 8 km au nord-est de Hammam Melouane, précise la même source.
D’importantes chutes de neige ont été enregistrées depuis les premières heures de la journée de vendredi à Naâma et ses environs, formant une couche d’une vingtaine de centimètres d’épaisseur, a-t-on constaté. Un manteau blanc a ainsi recouvert les artères de la ville de Naâma, et les localités environnantes telles que Herchaya, Touadjer et Touifza, formant un joli décor, qui se produit que très rarement dans la région, à la satisfaction de la population, notamment les enfants qui s’y sont donné à cœur joie, surtout que ces neiges ont coïncidé avec le week-end. La population locale a surtout accueilli avec satisfaction et espoir ces neiges. Elle y voit un facteur très favorable pour les rendements agricoles et la régénération du couvert végétal dans cette wilaya à vocation agro-pastorale.
L’Algérie aura rendez-vous cette année avec deux élections (bien que la date de leur organisation n’a pas encore été fixée) les Législatives et locales, .Ces dernières seront sans aucun doute programmées pour la fin 2017, alors que celles concernant l’APN, elle devront se dérouler en avril ou mai. En conséquence, plus d’une vingtaine de partis se préparent à rentrer en lice pour avoir le maximum des 462 sièges répartis dans les 48 circonscriptions.
Ci-dessous quatre tableaux récapitulatifs des dernières élections législatives algériennes, de 1997 à 2012.
5 juin 1997
Au cours des élections législatives de 1997, c’est le RND, avec ses 33,66%, qui a eu le plus de voix. Fraîchement créé (en février de la même année), le nouveau né avait devancé le Mouvement de la Société pour la Paix (HMS, actuel MSP) 14,80%, et FLN 14,26% de voix.
Tableau réalisé par ©Imène Amokrane. Source: Apn.dz
30 mai 2002
Les élections législatives de 2002 ont été emportées par leFLN (34,30% de voix), suivi du Mouvement pour la Réforme Nationale (MRN) avec 9,50%, et le RND avec 8,20%
Tableau réalisé par ©Imène Amokrane. Source: Apn.dz
17 mai 2007
En 2007, c’est toujours le FLN qui a eu le plus grand nombre de voix avec un pourcentage de 22,98%, suivi du RND (10,33%) et les Indépendants (9,83%).
Tableau réalisé par ©Imène Amokrane. Source: Apn.dz
10 mai 2012
Au cours des dernières élections législatives de l’année 2012 c’est encore le FLN qui s’est classé premier avec un pourcentage de 14,18%, suivi du RND, avec 5,09%, et de l’Alliance de l’Algérie Verte (AAV) avec 5,09%.
Ces élections ont également été marquées par le taux important des bulletins nuls, avec un pourcentage de 18,25%
La presse algérienne n’a pas été tendre vendredi avec la sélection nationale de football au lendemain de sa défaite face à la Tunisie (2-1), en match comptant pour la deuxième journée de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) de 2017 qui se poursuit au Gabon.
Les Verts, qui ferment la marche de leur groupe B en compagnie du Zimbabwe avec un seul point, sont proches d’une élimination dès le premier tour. Le Sénégal a déjà validé le premier billet de la poule (6 pts), alors que la Tunisie (2e,
3 pts) est bien partie pour l’accompagner aux quarts avant une journée de la fin de la phase de groupe.
Le journal spécialisé »El Heddaf » a désigné l’entraîneur national, le Belge George Leekens, comme étant le principal responsable de la déroute, en titrant : « Leekens mène les Verts vers le naufrage ».
Pour sa part, »Compétition » s’est attardé sur les changements à répétition des entraîneurs intervenus à la barre technique de l’équipe nationale qui a connu trois coachs en 10 mois, une donne ayant joué un mauvais tour aux Verts, selon le journal, non sans pointer un doigt accusateur sur le président de la Fédération algérienne de football. « Raouraoua joue et perd », a titré ce quotidien spécialisé.
Le quotidien »Echourouk » a qualifié de « catastrophe » la déconvenue des Verts, tandis qu »’El Khabar » a titré « Après la déception, le choc », estimant que l’équipe nationale a perdu son « âme ».
Enfin, le journal »El Watan » parle tout simplement de « grosse déception ».
Le bateau de croisière Viking Sea a accosté ce matin au Port d’Alger. C’est le second bateau de croisière à faire escale dans la capitale algérienne après le bateau de croisière Europa arrivé à Alger le 08 octobre dernier.
Baptisé « Viking Sea, ce bateau de luxe appartient à une compagnie norvégienne spécialisée dans les croisières. Il transporte à son bord près de 900 voyageurs, dont la plupart sont des américains. Ce bateau arrive au port d’Alger après une escale à la Goulette en Tunisie.
Pour le bonheur des plaisanciers qui ont choisi cette escale algéroise, la baie d’Alger était splendide ce matin sous un soleil radieux qui refaisait son apparition après une semaine de pluies et de grisaille.
Les touristes, à l’instar de ceux de l’Europa, étaient attendu au Port d’Alger par de nombreux bus touristiques. A leur programme une visite à la Casbah d’Alger, les ruines romaines de Tipaza et la vieille ville romaine de Cherchell.
Bateau de luxe, le Viking Sea mesure 222.7 mètres de long pour 28.6 mètres de large, sa jauge étant de 47.800 GT. Il compte 465 cabines pour une capacité de 930 passagers, servis par 470 membres d’équipage. Appartenant à la compagnie de croisière Viking Ocean Cruises,le bateau qui a accosté à Alger ce matin a été mis en service en avril 2016.
Le Premier ministre Abdelmalek Sellal assure que le dossier des disparus est pris en charge par les autorités. Dans une réponse à une question écrite d’un député, le Premier ministre a souligné que «toutes les mesures ont été prises par les autorités pour le traitement du dossier des disparus, qui est l’une des séquelles de la tragédie nationale vécue dans les années 1990». Abdelmalek Sellal a affirmé que les dispositions prévues dans la Charte pour la paix et la réconciliation nationale ont été toutes mises en œuvre.
Selon M. Sellal, 96% des dossiers des familles des disparus ont été traités. Outre les compensations financières et matérielles, le Premier ministre a assuré que les familles des disparus ont bénéficié d’un accompagnement juridique pour pouvoir porter leurs affaires devant les tribunaux. Abdelmalek Sellal a soutenu dans ce sillage que la question des disparus a bénéficié de toute l’attention du gouvernement et que les ayants droit ont été convenablement assistés sur tous les plans.
L’Etat avait promulgué des dispositions ayant permis le recensement officiel de 7 144 familles ayant perdu un ou plusieurs de leurs membres. 7 100 familles de disparus ont déjà bénéficié d’indemnisations jusqu’à présent.
Le Premier ministre a relevé que les familles des disparus ont dès le départ salué les dispositions de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale. Seulement, malgré cette prise en charge, le dossier des disparus continue à être agité et utilisé par des lobbies internationaux et des ONG pour faire pression sur le pouvoir algérien et surtout sur l’armée. Depuis la décennie noire, cette question fait l’objet d’une instrumentalisation éhontée de la part de quelques activistes dans des associations locales reliées aux ONG internationales, telle que la Fédération internationale des droits de l’Homme (FIDH) qui menait des années durant une campagne abjecte contre l’Algérie au nom du «qui tue qui».
Ce sont ces mêmes milieux hostiles à l’Algérie qui, surfant sur le malheur des Algériens, persistent dans leur campagne de dénigrement et de diabolisation de l’Etat algérien sans avoir pu fournir une once de preuve de leurs délirantes accusations.
A quelques heures de l’investiture du nouveau président américain élu, les opposants au changement aux Etats-Unis tentent leur dernière chance pour perturber le remplaçant du président alibi, serviteur docile de l’establishment, Barack Obama. Stars du cinéma, artistes, médias mainstream et autres personnalités politiques montent au créneau dans l’hypothétique espoir d’empêcher Donald Trump d’accéder au Bureau ovale. Serions-nous à la lisière d’un «printemps américain» ? Des médias complètement inféodés au lobby sioniste ont été jusqu’à envisager la probabilité de l’assassinat du nouveau président le jour même de son investiture.
Hypothèse ou vœu pieux ? Pourquoi Donald Trump fait-il autant peur ? Qui craint un changement de cap dans la politique belliqueuse de Washington avec l’avènement de ce président atypique qui a réussi à vaincre la redoutable machine de propagande américaine incarnée par le système et actionnée par les très influents faiseurs d’opinion à partir des studios capitonnés d’Hollywood, des grandes chaînes de télévision et des réseaux sociaux ?
Que peut faire Donald Trump qui pourrait être pire que les politiques désastreuses de ses prédécesseurs qui ont fait du pouvoir une affaire de famille et un business personnel depuis les Kennedy jusqu’aux Bush en passant par les Clinton ? Les Etats-Unis ont semé la désolation partout dans le monde et aucun pays n’a été épargné par l’interventionnisme intéressé de la plus grande puissance militaire mondiale. Que peut faire Donald Trump de plus pour dérégler davantage un système financier et économique d’un monde corrompu et ruiné depuis que le billet vert a été imposé comme monnaie de change en lieu et place de la valeur or ?
La levée de boucliers des opposants à ce qui est insidieusement qualifié d’«isolationnisme», pour décrire le début de la fin de la mondialisation criminelle, trouve son explication dans la menace que Donald Trump fait peser sur les tenants actuels du pouvoir de l’argent dont les frontières sont invisibles et ne se limitent pas aux lignes tracées sur la carte géographique. Avec l’évènement de Donald Trump au pouvoir, c’est tout un système vil et immoral qui risque de s’effondrer.
Le nouveau locataire de la Maison-Blanche ne sera ni meilleur ni pire que ceux qu’il a sortis du jeu. Le cow-boy Trump remportera-t-il ce nouveau duel ?
Le niveau d’accès aux écoles de la police a été élevé sur décision de la DGSN. Composée de 779 agents, la première promotion sortie, ce jeudi 19 janvier, de l’école de police de Dar El Beida, compte plus de 36% de policiers ayant le niveau universitaire et 9% titulaires de diplômes. La cérémonie de la sortie de cette promotion a été rehaussée par la présence du DGSN, le Général Major Abdelghani Hamel, et du DG de la protection civile, le Colonel Mustapha El Habiri, ainsi que des hautes personnalités et des représentants de la société civile.
Le directeur de l’école, le Commissaire Divisionnaire Rachid Boualem Allah, a mis l’accent, dans son allocution, sur l’amélioration de la formation pour « faire face aux défis notamment les nouvelles menaces sécuritaires ». Il a rappelé les nouveaux promus à la nécessité du « respect des droits de l’homme dans l’exercice de leurs missions ». En ce sens, une exhibition sur la gestion de troubles à l’ordre public, ce qui a permis au patron de la police de jauger les capacités de ses troupes dans le maintien de l’ordre, a été présenté dans des conditions climatiques difficiles.
A l’occasion, une simulation d’une intervention de l’unité spéciale GOSP (Groupe Opérationnel Spécial de Police) dans une opération de prise d’otages et la neutralisation de terroristes, appuyée par l’unité aérienne , a été présentée. De même pour la gestion de la sécurité routière et la lutte contre la criminalité urbaine.
Le citoyen au coeur de l’équation sécuritaire
Le Directeur Général de la Sûreté Nationale (DGSN ), le Général Major Abdelghani Hamel a assuré jeudi , dans une réponse à une question de Sudhorizons , que les troubles à l’ordre public à Béjaia , ont été maitrisés grâce à « la contribution et le sens de responsabilité des citoyens dans cette région ». Il a tenu à saluer les policiers mais notamment les habitants de la wilaya de Béjaia qui ont fait preuve de vigilance.
Le patron de la police a estimé qu’il ya une progression dans la relation du policier avec le citoyen « un pont entre la policeet la société civile a été mis en place en premier lieu. Aujourd’hui , Il existe un partenariat sécuritaire et l’Algérie qui a adopté le concept de la gestion démocratique des foules, est devenue une référence pour les pays du monde ,dans le maintien de l’ordre. Le citoyen est au cœur de l’équation sécuritaire», a-t-il déclaré Jeudi, en marge de la cérémonie de Dar El Beida.
Avec des créances de plus de 31 milliards de dinars, les OPGI vont tenter de récupérer les dettes des propriétaires de logement sociaux locatifs. Les souscripteurs auront à payer soit la totalité ou par tranches. Les milliers de propriétaires de logements sociaux se sont endettés sur les loyers qu’ils devaient assurer mensuellement. Avec une ardoise qui frôle des milliards, le ministre de l’habitat et de l’urbanisme Abdelmadjid Tebboune a réitéré que le » problème des créances reste posé » en indiquant que » le grand nombre de loyers impayés a mis en difficultés les OPGI « . Avec une situation embarrassante, les OPGI vont devoir récupérer les loyers tout au long des mois qui vont venir. Pour un propriétaire d’un logement public locatif, le loyer de 1200 DA par mois et au maximum 3000 DA avec les charges locatives, représente un loyer dérisoire par rapport aux charges locatives des autres formules tels que celle de l’AADL ou le LPP. Mais pourquoi les acquéreurs s’entêtent à ne pays payer leurs loyers ? La réponse selon les OPGI est que certains propriétaires disent qu’ils « ne disposent pas de moyens » et d’autres considèrent que le logement octroyé par l’Etat est » gratuit » et surtout pour les couches moins aisées de la société. Ce raisonnement est injustifié selon les responsables des OPGI à qui il convient de gérer ces immenses parcs de logements. Selon une source bien indiquée, une commission sera mise sur pied avant la fin de ce mois et qui va plancher sur les mesures qui vont arranger les deux parties. Dans une précédente édition, on a signalé que dés le mois de mars au plus tard, les retards de paiement devront trouver au moins être récupérés. Mais pour l’heure, les différentes OPGI vont lancer des avis à touts les retardataires pour payer soit en totalité toutes les charges de l’année 2016 ou soit par tranche. Un moratoire sera établi en fonction des impayés et tout récalcitrant face au non-paiement sera mis en demeure et sera poursuivi en justice s’il le faut. Notons que l’Etat a mis en vente le parc de logements sociaux qui a été livré avant 2004. Pour faciliter la tâche, les acquéreurs peuvent payer en tranches la totalité de l’acquisition ou soit par lots. L’opération qui a été lancée en 2014 a été relancée encore une fois l’année qui vient de s’écouler. Les logements sociaux ne connaîtront pas une augmentation de leurs coûts et leurs prix de cession selon le tarif du mètre carré et la surface occupée seront donc maintenus. Il faut convenir toutefois que les prix du mètre carré qui sont soutenus pour l’habitat social, peuvent connaître une petite augmentation. Mais cela ne peut se faire avant que la cession de tout le parc construit avant 2004 ne soit définitive. C’est là une assurance du ministre qui pour le moment estime que l’Etat ne se dessaisira pas du logement social qui continuera à être soutenu.
Le secrétaire général du Front de libération nationale (FLN), Djamel Ould Abbas, a assuré, jeudi à Blida, que son parti va s’atteler à choisir ses candidats aux prochaines législatives en toute « transparence et impartialité », « loin de tout favoritisme ».
« Le FLN choisira ses candidats en toute transparence et impartialité loin de tout favoritisme ou subornation », a soutenu M. Ould Abbas, dans une déclaration, en marge de l’installation de la commission de wilaya préparatoire des prochaines législatives.
Il a assuré en outre que le Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, qui est « le président du parti », a-t-il dit, « suit de très près la situation et a instruit de l’impératif de faire prévaloir l’esprit de responsabilité dans le choix de candidats qualifiés, de toutes les catégories de la société », a-t-il ajouté.
« Le FLN n’est pas contre l’argent propre, mais contre l’argent corrompu et contre tous ceux qui tenteront d’acheter les consciences et les postes », a-t-il souligné, affirmant l’ouverture des candidatures à tous (jeunes, femmes, moudjahidine, fellahs, travailleurs…), « pour peu que chacun réponde aux critères légaux en la matière », a-t-il observé.
Le SG du FLN a, par ailleurs, fait état de la « bonne santé actuelle du FLN », ajoutant que la « maison FLN a été nettoyée et organisée, à travers l’unification des rangs », en dépit de l’existence de « certains problèmes ordinaires, que nous œuvrerons à régler ensemble », a-t-il signalé.
Il a, en outre, souligné la « communion entre les générations des moudjahidine et des jeunes », caractérisant le FLN, citant pour preuve, le grand nombre d’adhérents à ce parti, de toutes les catégories de la société.
Dans le même sillage, M. Ould Abbas a signalé l’installation, depuis lundi dernier, de 42 commissions de wilaya préparatoires des prochaines législatives, sachant que l’opération se poursuivra jusqu’au 30 janvier courant, avant la confirmation définitive des candidatures entre le 7 et le 27 février prochains.
Les candidats de ce parti sont en lice pour 461 sièges à l’Assemblée populaire nationale (APN), dont 13 relevant de la wilaya de Blida, a-t-il fait savoir.
Le ministre de l’Intérieur et des collectivités locales Noureddine Bedoui a indiqué, jeudi à Alger, que des instructions ont été données à l’ensemble des walis de veiller à la propreté de l’environnement et de mettre en place tous les moyens nécessaires à cet effet.
« J’ai donné des instructions aux walis pour veiller à la propreté de l’environnement en assurant le renouvellement des parcs communaux et en les dotant des moyens de collecte nécessaires », a déclaré M. Bedoui lors de la séance plénière du Conseil de la nation en réponse à un sénateur qui l’a interpellé sur les mesures prises pour l’élimination des ordures et des résidus des matériaux de construction dans les rues de la wilaya de Bechar.
Le ministre de l’Intérieur a appelé les walis à « introduire dans leur plan d’action un calendrier pour l’éradication de tous les points noirs responsables de la détérioration de l’environnement », à « ne tolérer aucun comportement non civilisé » et à « appliquer les dispositions juridiques en verbalisant les infractions liées à la pollution de l’environnement ».
Il a ajouté que son département a pris une série de mesures pour améliorer le niveau de vie du citoyen en ouvrant notamment des bureaux sanitaires au niveau des communes avec pour mission la préservation de l’hygiène et de la propreté dans tous les établissements et espaces publics, outre la mise en place d’un plan national de gestion des déchets.
Il a précisé à ce propos qu’il existe « 1257 plans soit un taux de couverture de 81,57 %, soulignant que dans le cadre de l’éradication des décharges anarchiques et la généralisation progressive des techniques d’enfouissement, les pouvoirs publics ont recensé 122 centres d’enfouissement dont 60 décharges ont été réalisées et 15 sont en cours de finalisation. Il a ajouté que 140 décharges sous contrôle ont été créées ainsi que 47 entreprises pour la gestion de ces centres avec un soutien financier assuré durant les 3 premières années de leur activité.
« De nouvelles mesures ont été prises au profit des agents d’hygiène à travers la création d’une filière englobant les corps des inspecteurs de l’hygiène et de l’environnement, ajoutant que l’agent d’hygiène « n’est plus contractuel, il a actuellement le titre de fonctionnaire ».
La vague de froid qui frappe le nord du pays depuis avant-hier a déjà charrié son lot de dégâts et de désagréments, avec des routes coupées, des élèves qui n’ont pas pu rejoindre leurs classes,
des tensions sur la demande en gaz butane et des localités totalement isolées notamment à Constantine, Sétif, Bordj Bou Arréridj, Batna, Tizi Ouzou, Bouira et Annaba.
Les chutes de neige abondantes enregistrées dans la journée d’hier dimanche ont perturbé la circulation routière sur plusieurs routes nationales. A Constantine, des flocons tombant dru ont succédé au froid vif qui a affecté la wilaya durant toute la nuit. La zone de Djebel el Ouahch, sur les hauteurs de la ville, était particulièrement recouverte, hier, matin d’une couche de poudreuse parfois de plusieurs centimètres. Le contournement de Djebel El Ouahch, donnant sur l’autoroute Est-ouest était dans la matinée d’hier, fermé à la circulation et les agents de la Gendarmerie nationale avec les services de la Direction des travaux publics (DTP) étaient sur place pour la réouverture de cet axe routier névralgique. Le chemin de wilaya n°8 reliant la commune de Béni H’midène à Didouche Mourad à l’est de la wilaya demeure encore difficilement praticable, ainsi que le CW 5A reliant la localité d’Ibn Ziad au sud de Constantine à Sidi Khlifa dans la wilaya de Mila, selon les services de la Gendarmerie nationale. Selon les services de la météorologie nationale basés à l’aéroport Mohamed-Boudiaf, la neige a atteint jusqu’à 10 cm par endroits, en particulier dans les zones situées à plus de 600 m d’altitude. Selon ces services, les flocons devraient continuer à tomber dans les prochaines 48 heures, affectant notamment les reliefs culminant à plus de 800 m.
A Batna, la neige a recouvert les régions d’Arris, de Theniet el Abed et de Merouana notamment et les services des travaux publics sont intervenus pour rouvrir à la circulation les axes routiers des routes nationales 31, 87 et 77 reliant le chef-lieu de la wilaya de Biskra, via Arris, et Thniet el Abed, selon le directeur des travaux publics, Abderrahmane Abdi.
Fortes perturbations
Par ailleurs, les habitants du nord de Sétif, la région de Meghres et Takouta notamment, se sont réveillés dimanche sur un beau spectacle de la neige recouvrant les montagnes de la région en dépit des désagréments causés, en particulier en matière de déplacement. Le commandant Tarek Amamra, du groupement territorial de la Gendarmerie nationale, a indiqué que la RN 75, dans son tronçon traversant la commune Tala Iften sur 16 km, était coupée à la circulation. La RN 77, entre les localités d’Ain Sebt et Djemila et les communes de Beni Aziz et El Eulma, étaient également impraticables. Les chemins de wilayas (CW) 45 et 137, entre Bouandes et Boussalem sur 14 km et Ain Kébira et Serdj El Ghoul, sont également coupés à la circulation.
A Bordj Bou Arréridj, les chutes de neige ont été enregistrées sur les hauteurs notamment dans la région nord aux localités de Djaâfra, El Mayne et Kolla.
A Médéa, la circulation automobile sur le réseau routier de la wilaya a connu de fortes perturbations notamment sur un tronçon de la route nationale N1 reliant les villes de Médéa et de Berrouaghia ou le trafic reste « très difficile », selon la Protection civile.
Les chutes incessantes de neige ont provoqué d’énormes « bouchons » à plusieurs endroits de cet axe routier stratégique, en particulier au lieu- dit « Tayeb Djoghlali », sur le Col de Benchikao qui culmine à 1224 mètres, et au niveau d’ « El-Fernane », périphérie de la ville de Berrouaghia où le trafic est au ralenti, en raison d’une épaisse couche de neige qui couvre la chaussée, a-t-on indiqué de même source.
Des perturbations sont signalées également sur des tronçons de la route nationale N°64, qui fait la jonction entre El-Omaria et la ville de Bougara, dans la wilaya de Blida, ainsi qu’au niveau du chemin de wilaya (CW) 138, reliant la commune de Si-Mahdjoub à Tizi-Mahdi, à l’ouest de Médéa où l’accès à certaines fractions est très difficile, a-t-on ajouté de la même source.
A Annaba, les importantes chutes de neige enregistrées dans la nuit du 14 au 15 janvier ont bloqué la principale voie de communication reliant le chef-lieu de wilaya à Seraïdi, une commune située sur les hauteurs du massif de l’Edough, à 850 m d’altitude.
C’est vers minuit qu’il a commencé à neiger à gros flocons couvrant toute la région ; une épaisseur de plus de 5 cm qui a grossi jusqu’atteindre les 10 à 15 cm. Déjà, à cette heure avancée de la nuit, la Protection civile a eu à intervenir pour dégager des véhicules pris dans la neige suite aux appels de leurs occupants.
Hier matin, la petite route serpentant sur le flanc de la montagne, sur les 13 km séparant la commune de Seraïdi d’Annaba, est devenue impraticable, les conducteurs qui s’étaient hasardés se sont retrouvés bloqués et n’ont dû leur salut qu’à l’intervention des équipes de la DTP. Ces dernières avaient été dépêchées sur les lieux pour dégager la voie et la rendre à la circulation. Il a fallu la conjugaison des efforts des agents de la commune, ceux de la direction des travaux publics, des éléments de la Protection civile et l’utilisation d’engins et de chasse-neige pour que la circulation soit enfin rétablie vers 9 heures. Les pistes et les chemins communaux menant vers les petites localités, les douars et les mechtas situées dans la forêt de Bouzizi, complètement coupées à cause des énormes quantités de neige qui s’étaient accumulées, ont été déblayées et dégagées par les djounoud de l’ANP qui ont utilisé de gros moyens pour désenclaver ces agglomérations. Les lycéens n’ont pu rejoindre leurs établissements en ce début de semaine, transports publics, taxis, camions, particuliers… n’ont pu emprunter cette voie vitale qu’à partir de 9 h. Selon le BMS diffusé hier, des chutes de neige sont attendues dans la soirée et il est fort possible que la situation se dégradera encore plus, car la seule route reliant Seraïdi sera encore bloquée et il faudra encore la dégager.
Pression sur le gaz butane
A Bouira, les fortes chutes de pluie accompagnées de neige, qui a presque couvert toutes les localités, ont causé des désagréments aux villageois. Hier, plusieurs tronçons traversant la wilaya ont été coupés à la circulation automobile. Il s’agit surtout de la RN15 reliant cette wilaya à Tizi Ouzou, coupée au col de Tirourda (commune d’Iferhounène), et la RN 30 reliant Tizi Ouzou à Bouira au col de Tizi N’Koulal, (commune d’Iboudrarène), et enfin la RN 33 reliant Tizi Ouzou à Bouira au niveau d’Asswel.
Par ailleurs, les automobilistes empruntant les routes du sud de la wilaya ont rencontré les mêmes difficultés. Cependant, la vague de froid a pénalisé plusieurs habitants en quête de gaz butane. La wilaya a enregistré depuis quelques jours, une forte pression sur le gaz butane, qui se trouve malheureusement introuvable dans certains dépôts. Dans la daïra de Bordj Okris, sud de Bouira, des villageois ont dénoncé l’absence de gaz butane. Des habitants ont pris d’assaut certains points de vente. « Cela fait des heures que nous attendons l’arrivée des camions pour s’approvisionner en bonbonnes de gaz », dit en colère un villageois qui s’est déplacé jusqu’au chef-lieu de wilaya pour s’alimenter en ce combustible. Les habitants ont affirmé que ce produit demeure parfois introuvable en cette période marquée par la neige et les pluies. D’autres ont dénoncé son prix qui atteint, selon eux, les 500 DA l’unité. Il faut rappeler que le directeur de l’Energie de la wilaya avait rassuré quant à la disponibilité de ce produit. La production au niveau de deux centres enfûteurs, installés dans les deux communes de Chorfa et Oued el Berdi, a augmenté dans le but d’alimenter suffisamment la population non encore raccordée au réseau de gaz naturel.
Un élu à l’APC de Bordj Okhris a estimé que les autorités ont mobilisé tous les moyens pour faire face à la demande des villageois en matière de gaz butane.
Accidents et asphyxies
Autre désagrément et pas des moindres résultant de cette vague de froid, les asphyxies au monoxyde de carbone. En effet, pas moins de neuf personnes, asphyxiées au monoxyde de carbone, ont été secourues par les éléments de la Protection civile durant les dernières 24 heures. « Les éléments de la Protection civile ont secouru, durant les dernières 24 heures, neuf (9) personnes dont six (6) dans la wilaya de Guelma, suite à l’inhalation du monoxyde de carbone, émanant notamment des chauffages », a précisé le chargé de communication de la Protection civile, Zouhir Benamzal.
Il a ajouté, à ce propos, qu’ « aucun décès n’a été déploré durant cette période caractérisée par une forte vague de froid ». Sur un autre chapitre, le chargé de communication de la Protection civile a fait savoir qu’un accident de la circulation est survenu durant les dernières 24 heures à Oum El-Bouaghi faisant huit blessés, suite au renversement d’un véhicule sur la route nationale N° 32.
Un autre accident a été également enregistré, hier, à 7 h30 à Réghaia, entraînant 20 blessés, suite au dérapage d’un bus de transport assurant la ligne Alger-Boumerdes, a- t-il encore informé.
FRANCEVILLE (Gabon – Remarquable, impérial, époustouflant… les qualificatifs n’ont pas manqué dimanche pour décrire la prestation du gardien de but de l’équipe algérienne de football Rais M’bolhi, évitant à lui seule la défaite face au Zimbabwe (2-2) dans le cadre de la 1ère journée (Gr B) de la Coupe d’Afrique des nations CAN 2017 au Gabon.
Dernier rempart d’une équipe qui a failli perdre ce match inaugural, M’bolhi est incontestablement l’artisan de ce match nul inespéré.
Pourtant sans compétition depuis plusieurs mois, l’ancien portier du CSKA Sofia (Div.1 bulgare) sollicité dès le début de la partie, a encore une fois confirmé qu’il est celui sur qui on peut compter dans les moments difficiles. Grâce à ses arrêts décisifs, M’bolhi a réussi à redonner confiance à ses coéquipiers, aidé faut-il le souligner par Riyad Mahrez qui a continué le boulot en signant un doublé.
Dominés lors de la première période, les Verts n’ont eu leur salut qu’à la « baraka » de M’bolhi.
Le gardien de but des Verts qui a souvent essuyé des critiques relatives à la gestion de sa carrière en club, a toujours trouvé les ressources morales pour se surpasser et être prêt lors des grands rendez-vous, confirmant à chaque occasion qu’il restait le portier N.1 de la sélection algérienne par excellence.
Lors du prochain match face à la Tunisie, prévu jeudi au stade de Franceville (17h00), Mbolhi est appelé encore une fois à sortir le grand jeu face aux « Aigles de Carthage ».
MASCATE – La sélection algérienne militaire de football a battu son homologue allemande sur le score de 2 buts à 1 (mi-temps: 1-0) lundi à Mascate (Oman) pour le compte de la 1ere journée (groupe B) de la 2e Coupe du monde militaire (15-28 janvier).
Les buts de la rencontre ont été inscrits par Abderahmane Meziane (33′) et Sofiane Khadir (86′) pour l’Algérie, alors que Florian Stahl (62′) a marqué pour l’Allemagne.
Lors de la 2e journée prévue mercredi, l’Algérie affrontera l’Iran avant de jouer face à la Corée du Nord vendredi en clôture du 1er tour.
Avant le début de la compétition, le sélectionneur national Mohamed Boutadjine a indiqué que son équipe compte « aller le plus loin possible et jouer le titre si l’occasion se présente ».
Le groupe A est composé du pays hôte Oman, de la Guinée, du Bahreïn et de la France. La poule C est formée de l’Egypte, de la Pologne, du Canada et de la Syrie. Enfin, l’Irlande, le Mali, le Qatar et les Etats-Unis composent le groupe D.
FRANCEVILLE (Gabon) – Le défenseur central de l’équipe nationale de football d’Algérie Ramy Bensebaini a relevé la nécessité de réagir face à la Tunisie et le Sénégal pour pouvoir arracher la qualification pour les quarts de finale de la Coupe d’Afrique des nations CAN-2017 au Gabon (14 janvier-5 février).
« Nous avons mal entamé le tournoi avec ce match nul face au Zimbabwe (2-2), mais rien n’est perdu. Il nous reste deux matchs qu’il faudra gagner pour pouvoir nous qualifier « , a indiqué le jeune défenseur des Verts.
Pour sa première titularisation, le joueur formé au Paradou AC (Ligue 2/Algérie) âgé de 21 ans a forcé l’admiration où il a été associé à Aissa Mandi dans l’axe central. Il constituait l’une des rares satisfactions du match avec le portier Rais M’bolhi et Riyad Mahrez.
» On savait que le Zimbabwe est une équipe qui joue bien au ballon. Notre tort, est d’avoir mal entamé la partie, nous avons laissé l’adversaire jouer, chose qui nous a coûté cher. En seconde période, nous avons eu une bonne réaction « , a-t-il ajouté.
Pour le joueur du Stade de rennes (Ligue 1/France), l’essentiel était d’éviter la défaite au début de la compétition.
» Le plus important est d’avoir évité la défaite, nous avons joué avec une nouvelle défense et je suis persuadé qu’on sera beaucoup plus performants lors des deux prochains matchs « , a souligné Bensebaini.
Concernant ses grands débuts dans le onze titulaire, le natif de Constantine s’est dit » satisfait » de sa première apparition.
» Je me suis bien senti sur le terrain en donnant le meilleur de moi-même. Ce n’est que le premier match pour moi, au fil du temps je vais cumuler plus d’expérience et de confiance « , a-t-il conclu.
Dans l’autre match du groupe B, le Sénégal s’est imposé face à la Tunisie (2-0), un résultat qui permet aux » Lions de la Teranga » d’occuper la tête du classement.
La 2e journée se jouera jeudi avec au programme : Algérie-Tunisie (17h00) et Sénégal-Zimbabwe (20h00).