C'est une surprise agréable qui aura marqué la journée de cette dame, ce 14 février 2022 à Ouagadougou, jour de la Saint Valentin.
Exécutant ses tâches comme d'habitude dans le cadre de son service, un paquet de cadeaux (un bouquet de roses accompagné d'un gâteau) lui parvient jusqu'à son lieu de travail aux environs de 12 heures.
Tombé par coïncidence sur cette romantique scène, un mot lui est arraché sur le geste d'amour minutieusement orchestré par son bien aimé.
« Je ne sais pas quoi dire », lance-t-elle, tellement émue par l'acte. Avant de reprendre son souffle et de renchérir.
« Je suis juste contente, très émue de recevoir ce cadeau. Je ne m'y attendais pas. Donc cela fait plaisir de savoir que quelqu'un pense à soi », laisse-t-elle entendre.
Sur la question de savoir si ce geste contribuera à renforcer sa relation amoureuse, elle répond par l'affirmative.
« Les cadeaux et les petites attentions renforcent toujours une relation », indique-t-elle avec un large sourire.
Si cette surprise a bien pu se faire, c'est aussi grâce à l'intervention d'une amie à l'amoureux de la jeune banquière.
« Son amoureux est un bon ami à moi et nous sommes dans le même quartier. Sachant que je suis dans l'événementiel, il m'a contactée pour offrir cette belle surprise à sa chérie », confie Aïchata Ilboudo.
Au sujet de ce que la jeune dame comptait faire pour renvoyer l'ascenseur à son amoureux, elle dit lui réserver également une surprise qu'il aimera à coup sûr.
Si sa relation vaut seulement une année, l'heureuse “Valentine” ne manque pas de conseils pour ceux qui sont en couple.
« Je les exhorte à croire en leur couple et surtout à beaucoup communiquer. C'est vrai que ce n'est pas toujours facile parce qu'il y a souvent des désaccords. Mais le plus important c'est de prioriser la relation », prodigue-t-elle.
Pour conclure, elle dira qu'il faut de ce fait savoir faire des compromis pour maintenir une bonne relation avec son partenaire.
Selon l'une de ses proches collègues, la St Valentin représente avant tout l'amour fraternel.
Hamed NANEMA
Lefaso.net
La situation a été tendue lundi 14 février matin dans l’agglomération de Nyabiondo située à une vingtaine de kilomètres au nord-ouest de Masisi (Nord-Kivu). Cette tension fait suite aux affrontements qui ont opposé, la nuit dernière, les FARDC aux présumés Mai-Mai du groupe Nduma pour la défense du Congo (NDC) Rénové de Guidon. Plusieurs villages se sont vidés des leurs habitants dans la zone.
À peine entrée en vigueur, la loi de finances 2022 suscite déjà la controverse, notamment en ce qui concerne les taxes douanières, à tel point que les autorités ont tout bonnement décidé d’en suspendre ou geler plusieurs dispositions portant sur les taxes.
Vraisemblablement, la loi de finances pour l’exercice de l’année en cours a carrément foiré ses calculs en ce qui concerne l’imposition de taxes sur divers produits. Outre cela, plusieurs autres points sont restés en suspens, malgré l’adoption et l’entrée en vigueur du texte de loi en question.
A priori, les dispositions portant sur la levée des subventions généralisée et leur transfert direct au profit des ménages qui y sont éligibles, sont dans l’attente de textes réglementaires et de la mise en place d’un dispositif national de compensation monétaire. À cela viennent s’ajouter donc la suspension et le gel de plusieurs taxes prévues dans le cadre de cette même loi.
Lors de la réunion du Conseil des ministres, tenue hier dimanche, le président de la République a ordonné le gel, à compter d’aujourd’hui et jusqu’à nouvel ordre, de tous les impôts et les taxes, notamment les taxes contenues dans la loi de finances 2022 sur certains produits alimentaires.
De surcroit, le chef de l’État a également décidé la suppression de tous les impôts et taxe sur l’e-commerce, les téléphones portables, les matériels informatiques à usage personnel et les startups en se contentant des tarifications réglementées.
Une réponse à la polémique ?Il convient de rappeler qu’une vive polémique a éclaté, il y a seulement quelques jours, concernant les montants des taxes douanières imposées sur le E-Commerce, et notamment sur les articles électroniques commandés en ligne sur des sites étrangers.
Cela sans parler de la liste des produits importés, soumis au droit additionnel provisoire de sauvegarde (DAPS). Face à la polémique, ou dans un souci de corriger les lacunes contenues à ce propos dans la LF 2022, les autorités ont tout bonnement décidé de revenir à la raison.
En applications des instructions du président, la Direction générale de la régulation et l’organisation des marchés au ministère du Commerce tiendra, mercredi prochain, une réunion avec les professionnels et producteurs de produits alimentaires, tels que les pâtes et le sucre, afin d’appliquer le gel des taxes et revenir aux prix appliqués en 2021.
C’est ce qu’a annoncé ce lundi, le Directeur général de la régulation et de l’organisation des marchés au ministère du Commerce Sami Kolli lors de son passage sur les ondes de la Radio nationale. Pendant ce temps-là, des experts préconisent que les taxes prévues dans le cadre de la LF 2022 soient révisées dans la loi des finances complémentaires.
Vers une révision radicale dans la loi des finances complémentaireSuite aux dernières décisions du Conseil des ministres, des experts prévoient donc que les taxes imposées sur des produits alimentaires, des activités e-commerce et des appareils informatiques, soient toutes révisées dans le cadre de la loi des finances complémentaires 2022.
Selon l’expert financier et en économie Nabil Djemaâ, cité par le quotidien arabophone Echaab, « la loi des finances 2022 contenait plusieurs irrégularités, notamment en ce qui concerne les taxes douanières imposées sur plusieurs produits ». Selon lui, certaines de ces taxes « touchent au pouvoir d’achat des citoyens et d’autres aux efforts de développement et de généralisation de la numérisation ».
L’intervenant estime que « l’Algérie peut jouer la carte des prix du pétrole afin d’investir dans le développement de la numérisation et sa généralisation dans de nombreux secteurs ». À ce propos, il préconise de profiter de la hausse des prix du pétrole par rapport au prix de référence fixé dans la loi de finances.
En effet, il suggère qu’au « lieu d’imposer des taxes douanières sur les appareils informatiques, on peut profiter de la différence du prix de référence du pétrole dans la loi de finances par rapport au prix actuel ». Il convient de rappeler que les prix du pétrole dépassent actuellement les 95 dollars le baril, alors que la loi de finances 2022 table sur un baril à 45 dollars et un prix du marché du baril à 50 dollars.
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La pandémie du Covid-19 a touché négativement pleins de secteurs. Avant d’arriver à la conclusion qu’on ne peut que coexister avec le coronavirus tout en respectant un protocole sanitaire et des mesures préventives visant à l’endiguer, tout a été mis « on hold » notamment le trafic aérien.
Le trafic aérien a enregistré une baisse considérable de 40% en Algérie par rapport à 2019 avant le début de la pandémie du Covid-19. Algérie Presse Service a révélé les chiffres avancés par Youcef Safir, le directeur général de l’Etablissement national de la navigation aérienne (ENNA), et le constat est amer.
En effet, le recul de la navigation aérienne a engendré la baisse de 50% en 2020 et 45% en 2021 du chiffre d’affaire de l’ENNA qui avoisinait 13,22 milliards DA en 2019, une véritable chute dans les chiffres dans un secteur viscéral dans l’économie nationale. Ce n’est pas tout, car il a prévu une baisse de 40% du chiffre d’affaire en 2022 par rapport aux niveaux enregistrés avant la pandémie (2019).
L’impact négatif persiste en 2022Les compagnies aériennes du monde entier ont été durement frappées par la pandémie. La preuve en est, la crise financière à laquelle la compagnie aérienne nationale Air Algérie fait face avec plus de 500 000 billets à rembourser et un programme très réduit. Bien que le secteur souffle à nouveau en 2022 et effectue un retour progressif à la vie normale, il est encore très fragilisé.
Selon les prévisions de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI), le trafic aérien mondial retrouverait entre 69 % et 74 % de son niveau d’avant crise en 2022, contre 51 % en 2021 et 40 % en 2020. Avec les assouplissements des conditions d’entrée et la décrue de la pandémie, les voyages pourront se multiplier et faire un bond qualitatif.
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Après une attente qui a dépassé deux ans et demi, un couple algérien s’est impatienté et a décidé de poursuivre Immigration Canada en Justice. En effet, Nidhal Chaabena et Amira Meslem n’ont reçu aucune réponse de la part de ce ministère, depuis l’expiration de leur permis de travail dont le délai de renouvellement semble être très long.
Selon le règlement d’Immigration Canada, le délai pour l’obtention d’une résidence permanente est de deux ans et 4 mois. Cependant, le délai ne semble pas être respecté, car le couple en question a été contraint d’attendre plus de 32 mois.
Attendant un bébé au cours des prochains mois, Amira et Nidhal n’ont pas eu d’autres choix que d’avoir recours à la justice pour dénoncer ce délai déraisonnable.
Selon le média canadien ayant relayé l’information, le gouvernement fédéral justifie le dépassement des délais de l’obtention de la résidence permanente au Canada par plusieurs raisons. En effet, la pandémie a imposé le mode de travail à distance pour plusieurs employés alors que le système informatique est obsolète.
“Je sais que les délais de traitement ont été incroyablement frustrants pour de nombreuses personnes. Aider les clients à venir rapidement au Canada, avec des délais de traitement prévisibles et une communication efficace avec IRCC, demeure pour moi une priorité absolue”, a déclaré le ministre de l’Immigration à la fin du mois dernier.
Par ailleurs, le premier reportage qui a été publié concernant cette affaire, la poursuite judiciaire qu’Amira et Nidhal ont entamé semble être fructueuse. En effet, le jeune couple algérien a reçu une invitation pour un examen médical, étant une étape essentielle pour l’obtention d’une résidence permanente. Cependant, la prise de conscience soudaine d’Immigration Canada qui a ignoré le couple pendant plus de deux ans n’a pas suffi pour que ce dernier renonce à son recours à la justice.
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C’est depuis 2014 que les Algériens attendent la reprise de l’importation des véhicules neufs et la baisse des prix des voitures d’occasions. Les dernières déclarations du ministre de l’Industrie, Ahmed Zeghdar, ont enterré les espérances des plus optimistes.
Le ministre a clairement fait savoir, dans une déclaration accordée à l’APS, que le retour de l’importation des véhicules « doit aller de paire avec la relance d’une véritable industrie mécanique orientée, au début, vers le marché national avant d’explorer d’autres voies d’exportation une fois maîtrisée ». Le ministre, qui ne dit pas que l’industrie nationale de l’automobile est au point zéro, laisse entendre de ce fait que le retour de l’importation est encore loin.
L’autre point que le ministre a évoqué est celui de l’écologie. Ahmed Zeghdar a déclaré que “la nouvelle stratégie tracée pour l’industrie automobile tient en compte la fabrication de véhicules électriques et hybrides, au diapason de l’évolution des voitures à moyen et à long terme, et ce, pour cadrer avec les objectifs de la transition énergétique adoptée dans plusieurs pays à travers le monde”.
Importation de véhicules : Zeghdar veut-il gagner du temps ?Pour Zeghdar, l’importation des véhicules, « est principalement à l’origine de l’hémorragie de devises ». Cette déclaration intervient au moment où les prix du pétrole ont atteint leur plus haut niveau depuis 2014, l’année ou l’importation des véhicules a été suspendue.
Il est à rappeler que le même responsable a affirmé que le nouveau cahier de charges sera prêt la fin du mois de janvier écoulé. Zeghdar rectifie son tir et assure cette fois que le cahier des charges a été révisé “en application des instructions du président de la République”, sans s’aventurer cette fois à donner une échéance quant à sa publication.
Le dossier du retour de l’importation de véhicules traine depuis plus de deux ans. Les concessionnaires, qui s’attendaient à du nouveau lors de ce début d’année 2022, ont été frappés par la dernière sortie du ministre. Ils dénoncent «l’absence d’une volonté d’accorder les agréments, et ce, malgré les instructions du président».
Les concessionnaires ont, dans une énième lettre formulée par le groupement des concessionnaires automobiles, en guise de réponse au ministre de l’Industrie, exprimé leurs «inquiétudes quant aux mesures qui vont à l’encontre des instructions du président de la République qui avait insisté, en décembre dernier, sur la nécessité d’accélérer la délivrance des agréments».
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Les femmes sont de plus en plus courageuses pour dénoncer les agressions et les menaces. Cette dénonciation est souvent le détail qui les sauvent de la violence, de l’insécurité et de la mort.
Le 5 janvier dernier, Ahmed Kahlouche, un Algérien en situation irrégulière âgé de 27 ans a commis un acte odieux et irréversible, une scène choquante que la police a du voir et que sa femme et son bébé ont du vivre. En effet, les policiers se sont présentés chez la maman à Lille, où ils l’ont trouvé figée avec un bébé dans les bras avec des vêtements gorgés d’essence. Elle tente tant bien que mal de leur raconter ce qui s’est passé, son conjoint l’a menacé elle et son enfant d’immolation.
Elle raconte difficilement les moments d’horreur qu’elle a vécus, son mari avait un bidon d’essence qu’il versait sur elle. Ahmed Kahlouche, son époux, avait sorti son briquet, l’a allumé et ne cessait de lui répéter « je te brûle », il est sorti à cause des pleurs de son bébé. Les policiers partent à la recherche d’Ahmed et le trouvent grâce à la géolocalisation de son téléphone.
Un déni sans pareilLe journal La voix du nord raconte comment s’est déroulé la garde à vue de l’Algérien. Il a évoqué « une histoire virtuelle » pour démentir sa femme, il nie totalement toute acte de violence et explique l’odeur envahissante de l’essence par son travail, il est mécanicien.
Comme de coutume, les agresseurs passent rarement aux aveux, ils nient jusqu’au bout. Sauf que leur innocence est vite estompée par les preuves, dans ce cas là les messages adressés à sa femme du genre «je te tue pour ce que tu fais», « t’es morte ! », « je te jure je vais te tuer ! ». Devant les enquêteurs, il continue à se dédouaner expliquant que les messages n’étaient que du second degré. Avec sa défense douteuse, il passe à une autre technique, le silence.
La procureure réclame une peine sévère afin de le sanctionner de façon aussi grave que les faits. Ahmed Kahlouche est donc condamné à 8 ans de prison avec maintien en détention, il perd l’autorité parentale totale sur sa fille et il est interdit définitivement du territoire français.
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À l’approche du mois sacré, les Algériens commencent déjà à sentir les flambées des prix. À l’exemple des viandes, les prix ont connu ces derniers jours des hausses exorbitantes. En prévision du mois de Ramadhan, l’Algérienne des viandes promet un seuil.
Intervenant ce lundi sur les ondes de la Radio nationale, Président-Directeur général de l’Algérienne des viandes rouges (ALVIAR) Lamine Derradji affirme que son organisation compte mettre au point un dispositif spécial pour le mois de Ramadhan.
En effet, en prévision des pics de consommation de ce produit durant le mois sacré, la filiale du Groupe public agro-logistique (AGROLOG), compte renforcer son réseau commercial à travers le pays. Et ce à travers « l’ouverture de 150 points de vente dans plusieurs wilayas ».
L’ALVIAR compte également proposer « des prix étudiés, qui ne dépasseraient pas 1.300 Da pour la viande ovine et 1.200 Da pour la viande bovine ». D’ailleurs, l’intervenant a fait savoir que la filiale du groupe agro-logistique a importé « 4.000 bovins dédiés à l’abattage spécialement pour le mois de Ramadhan ».
Flambées des prix de la viande : l’explication de l’ALVIARRevenant sur les dernières flambées des prix des viandes rouges ces derniers jours, l’invité de la Radio estime que cela revient à « la sécheresse enregistrée, et qui a fortement réduit les espaces de pâturages et les zones de parcours »,
En outre, et dans le souci de lutter contre la spéculation, l’Algérienne des viandes suggère aux éleveurs « des conventions triangulaires avec l’OAIC, ce qui permet de leur assurer un approvisionnement en orge subventionné ».
Ces derniers doivent, en contrepartie destiner « la totalité de leur production à l’ALVIAR, qui s’assure, à travers son réseau commercial, que la viande soit vendue au consommateur final à un prix plus accessible, conforme à la subvention accordée par l’État ».
À ce propos, Lamine Derradji indique que « ce nouveau dispositif de convention triangulaire a déjà attiré quelque 200 éleveurs adhérents, ce qui représente un cheptel de plus de 20 000 têtes ».
Par ailleurs, il explique que « le marché est perturbé par les éleveurs saisonniers, qui ne disposent pas d’un cheptel permanent ». Ces derniers optent pour l’achat « des têtes à l’approche des périodes de forte demande, telles que Ramadan et l’Aïd », a-t-il souligné.
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Auteur d’une très haute performance lors de chaque rencontre disputée, avec son club professionnel comme avec sa sélection nationale, le talentueux défenseur des Verts, Ramy Bensebaini, ne cesse d’être sous le feu des projecteurs.
En effet, l’international algérien du club allemand Borussia Möchengladbach continue toujours de briller et de susciter l’intérêt de grands clubs étrangers, notamment européens.
Bensebaini brille avec Borussia MöchengladbachCe dernier, a fait preuve d’une excellente performance lors du dernier match avec son club face à Augsbourg en Bundesliga. Titulaire lors de ladite rencontre, le natif de Constantine s’est montré décisif dès les premières minutes du jeu, où il a fait une magnifique passe décisive à son coéquipier Hoffmann, qui s’est soldée par un joli but.
En outre, Ramy Bensebaini n’a pas manqué d’inscrire un incroyable but dans les filets de l’équipe adverse, et ce, quelques minutes seulement après sa passe décisive.
Le Fennec séduit Manchester UnitedCe grand potentiel a mis le défenseur des Fennecs dans le viseur du grand club anglais, Manchester United, c’est en tout cas ce que révèle plusieurs sources, dont le site espagnol spécialisé Fichajes.net.
Selon la même source, l’ancien joueur du Stade Rennais séduit Manchester United. Le club anglais aurait fait de Ramy Bensebaini pour le prochain mercato estival, notamment après avoir été délaissé sur son flanc gauche par un Luke Shaw et un Alex Telles en difficultés.
Ledit club n’a trouvé mieux donc que de se lancer sur la piste menant à l’Algérien, surtout que le footballeur ne cesse de performer et d’impressionner les observateurs du football européen, mais aussi mondial.
Titulaire indiscutable en Allemagne comme avec les Fennecs, Bensebaini serait la solution pour pallier aux problèmes défensifs de Manchester United. Sachant que le Borussia Möchengladbach estime son talentueux joueur à 25 millions d’euros.
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La grippe aviaire qui a fait irruption dans les foyers au Burkina Faso depuis fin 2021 continue de sévir. Malgré les mesures annoncées par l'Etat dès les débuts pour contenir rapidement la maladie, le compteur de victimes de grippe aviaire ne fait que s'affoler et la maladie gagne considérablement du terrain. Nous avons tendu notre dictaphone au directeur général du service vétérinaire au sein du ministère en charge des ressources animales, Dr Adama Maïga, qui nous donne des précisions sur la situation de la grippe aviaire au Burkina Faso.
LeFaso.net : Quelle est le bilan de la grippe aviaire à l'heure actuelle au plan national ?
Dr Adama Maïga : Il faut dire qu'à la date du 1er février 2022 où nous avons fait le point, il n'y a pas eu une grande évolution. Nous étions à dix régions touchées sur les treize. Les régions concernées étaient le Centre, le Centre-ouest, le Centre-est, le Centre-sud, le Plateau Central, le Nord, la Boucle du Mouhoun, les Cascades, l'Est et le Sud-ouest. Voici les dix régions qui sont actuellement touchées. Toujours à la même date, nous étions à 73 foyers et 126 élevages affectés par la maladie.
Des mesures avaient été annoncées par l'Etat en vue de contenir la maladie. Se sont-elles avérées efficaces ?
Dès que nous avons eu connaissance de la maladie dans les localités, nous avons pris des arrêtés portant déclaration d'infection. Ces arrêtés donnaient la conduite à tenir en face de chaque foyer. Il y a ce que nous appelons le cœur du foyer qui est la zone de séquestration où on va procéder au recensement des volailles qui restent toujours vivantes, puis à leur abatage et à leur incinération et enfouissement, à l'établissement d'un procès-verbal d'abattage. Ce procès-verbal d'abattage est signé d'abord par le propriétaire. Ensuite, il est signé par le chef d'équipe chargé de l'abattage.
Enfin, par un responsable du village qui sera considéré comme témoin de l'abatage en lui faisant constater la volaille abattue et en lui faisant contresigner les deux premières signatures. On fait des copies de ce procès-verbal, dont l'une est transmise au propriétaire, et l'autre à la direction générale du service vétérinaire pour que nous puissions comptabiliser l'ensemble des lieux où il y a eu des abattages sanitaires, évaluer le coût de l'indemnisation et procéder à l'indemnisation des ayants-droits.
A la date d'aujourd'hui, pour ce qui est de la région du Centre, six équipes ont déjà été mobilisées et ont fait la semaine passée le tour de tous les élevages affectés. Ils ont continué le lundi. Aujourd'hui, hormis d'autres foyers qui ont été plus tard touchées, l'ensemble des anciens foyers ont déjà été visités, il y a eu des abattages où il y avait des animaux et ceux où il n'y en avait pas ont été désinfectés. Il y a aussi le vide sanitaire qui doit être appliqué, jusqu'à la levée de l'arrêté portant déclaration d'infection qui interviendra un mois après le dernier foyer.
Suite à l'annonce de la maladie, quelle a été la réaction du consommateur ?
Il faut dire que depuis l'annonce, la consommation de la volaille a été réduite, mais cela s'explique par le fait que les gens n'ont pas très bien compris la maladie. En réalité, ce n'est pas en consommant une volaille atteinte par la grippe aviaire que l'on peut avoir la grippe aviaire. Il est vrai que la maladie se transmet, elle a des symptômes, elle peut tuer les humains, mais pour qu'elle tue il faut qu'elle touche une personne immuno-déficiente. Cela veut dire que ce sont des personnes très âgées qui, lorsqu'il y a superposition de maladie, leurs organismes n'arrivent pas à lutter pour les faire guérir rapidement.
C'est seulement cette catégorie de personnes que la maladie peut tuer. Sinon, le reste peut avoir quelques malaises, des céphalées, des douleurs musculaires, des vomissements, la toux qui pourrait se transformer en une pneumonie. Toutes ces maladies se soignent. C'est seulement grave lorsque la personne est immuno-déficiente. Et même pour que cette personne en meure, il faut qu'elle vive de façon permanente et continue avec la volaille malade. Cela veut dire dormir avec la volaille et respirer les mêmes sécrétions. Ce n'est pas en étant en contact seulement avec la volaille que vous serez malade à votre tour. Aussi, le virus de la maladie ne résiste pas trop à la chaleur.
Donc, quand la viande est bien cuite, le virus ne reste pas. C'est pourquoi les gens ne devraient pas s'alarmer quant à la consommation du poulet, ils n'en mourront pas. Ils peuvent continuer à consommer. En revanche, ce qui est déconseillé, c'est d'éviter de manger la volaille morte parce que l'on ne sait pas toujours de quoi elle est morte. C'est cela qui peut entraîner la mort. Mais pour la volaille malade, il faut juste prendre des précautions, se protéger, bien manipuler, bien préparer et consommer sans problème.
Y a-t-il des éleveurs qui ont été indemnisés à l'heure actuelle ?
L'indemnisation n'interviendra qu'après avoir fini de faire l'abattage de tous les élevages concernés. On ne peut indemniser au jour le jour. L'indemnisation ne sous-entend pas qu'après avoir abattu la volaille vous recevez directement votre argent. L'indemnisation varie d'une espèce à une autre. On fait d'abord le point de la situation des élevages affectés avant d'indemniser. Dès que l'argent est disponible, on le fait savoir aux éleveurs. Chacun vient avec son PV pour se faire indemniser.
Ne sachant pas quand est-ce que la maladie va disparaître, si l'on doit attendre que la fin de la maladie avant d'indemniser les éleveurs ne vont-ils pas connaître des difficultés ?
Lorsque l'on abat, nous capitalisons en même temps. C'est l'Etat qui débloque l'argent et l'argent n'est pas posé de sorte à indemniser en même temps tous ceux chez qui on vient d'abattre la volaille. Dans le document, nous avons prévu 3 milliards 387 millions. Cela pour dire que l'on abattra au moins 1,5 million de volailles et détruiront au moins deux millions d'œufs. C'est cette évaluation qui a donné cette somme. Peut-être que l'on n'atteindra même pas ces chiffres. En 2015, on avait prévu quatre milliards mais au final l'indemnisation a couté 900 millions. Aussi tant que l'arrêté n'est pas levé par le haut-commissaire on ne peut recommencer à élever.
Quels conseils pouvez-vous donner aux éleveurs vu que la maladie continue de gagner du terrain ?
Les conseils que je peux leur donner c'est de redoubler de vigilance parce que si la maladie n'a pas encore frappé votre poulailler, il faut prendre des mesures pour que cela reste tel. Ces mesures sont d'abord d'éviter les visites qui ne sont pas nécessaires. En cette période de maladie, il faut interdire tout mouvement qui n'est pas indispensable. Deuxièmement, avant d'entrer dans sa ferme il faut se désinfecter parce qu'on ne sait pas où on est passé. Il faut désinfecter ses chaussures, changer d'habits avant d'entrer dans la ferme.
Dès qu'on finit de travailler, on se désinfecte aussi avant de sortir pour éviter de propager la maladie si toutefois la ferme est atteinte. Aussi, dès que vous constaterez qu'il y a une mortalité, il faut aviser très rapidement les services compétents qui peuvent être le service public ou le service privé, pour qu'ils viennent faire le prélèvement afin de vérifier au laboratoire si c'est oui ou non la grippe aviaire qui sévit dans votre foyer. Cela vous permettra de gérer conséquemment votre élevage.
Propos recueillis par Erwan Compaoré
Stagiaire
Lefaso.net
Depuis la nuit des temps, certains actes et incidents ont obligé les musulmans à se faire tout petits. Suite aux attentats en France, victimes de généralisation, ils ont longtemps étaient pointés du doigts.
Alors qu’ils ne voulaient que pratiquer leur religion et vivre le plus normalement possible, il y a toujours eu ce sentiment de malaise qui leur faisait savoir qu’ils ne sont pas les bienvenus. Bien qu’ils soient français de souche, on leur a fait croire qu’ils n’appartenaient pas à la France, qu’ils étaient étrangers chez eux et qu’ils n’étaient pas « conformes » à l’identité de la « République ».
Ne cherchant que la paix, ils se font de plus en plus petits, ils se recroquevillent sur eux-mêmes contre leur gré, sans pouvoir s’en défendre et en faisant leur vie dans leur « coin ». Avec la montée des idées de l’extrême droite et la haine y afférente, ils se sentent de plus en plus mal, ils ont mal à leur France.
Ce sont les regards du voisin, les débats télévisés au tour du voile et des mosquées, les agressions sur les boucheries Halal et les chuchotements dans les restaurants, si avant on insinuait, maintenant on leur dit haut et fort, oyez musulmans, vous n’avez plus votre place à l’Hexagone.
L’immigration, le sujet de la présidentielle française de 2022A l’approche de la présidentielle, tous les candidats évoquent le sujet de l’immigration qu’ils soient de gauche ou de droite, de quoi créer un malaise qui démange les immigrants et les musulmans français. Le journal américain The New York Times a dédié un papier à ce sujet intitulé « le départ silencieux des musulmans de France » soulignant les compagnes anti-immigration que les principaux concurrents du président Emmanuel Macron mènent aux portes des élections d’avril.
Le thème de l’immigration étant au cœur des programmes des candidats, soulève une question dont on connait la réponse, la France reçoit-elle le plus d’immigration en Europe ? Pour les estimations des professionnels, 10% sont musulmans, un pourcentage qui ne peut justifier l’engouement au tour d’eux notamment dans le débat politique.
La France a-t-elle instillé une culpabilité aux musulmans ?L’article de NY Times raconte l’histoire d’un Algérien musulman, Sabri Louatah qui s’est vu contraint de quitter la France pour les Etats-Unis après les attentats de 2015. “C’est vraiment les attentats de 2015 qui m’ont fait partir — j’ai compris qu’on n’allait pas nous pardonner » a-t-il confié, se remémorant les moments douloureux où on l’a traité de sale arabe et on lui a craché dessus.
Ou encore l’histoire de Amar Mekrous qui a également quitté le pays de Molière à cause de la suspicion pesante sur les Français musulmans après les attentats de 2015, il s’est installé en Angleterre, « il n’y a qu’à l’étranger que je suis français » déplore Amar.
Sachant que les actes anti-musulmans étaient en hausse de 52 % en 2020 par rapport à l’année précédente et que la montée de haine ne fait que s’accentuer, les musulmans français vont-ils partir afin de fuir la haine ?
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Pour rappel, le dollar ne valait pas plus de 80 dinars algériens en 2014. Aujourd’hui, en 2022, soit moins de 10 ans après, la monnaie étasunienne s’échange à la banque d’Algérie contre pas moins de 140 dinars algériens. Depuis le crash des prix du pétrole, le dinar poursuit à vive allure sa descente aux enfers.
En 2014, l’Euro valait 102 dinars, aujourd’hui, il est cédé à 160. Il s’agit bien entendu des cours officiels, car si l’on se penche du côté du marché noir, les choses deviennent plus volatiles, et les flambées confirment de plus en plus leur gravité. Un dollar américain est cédé au Square Port-Saïd contre 192 dinars, et l’Euro contre 217 dinars.
Au-delà du crash pétrolier, il est légitime de se demander pourquoi cette rapide dépréciation ? La réponse nous fait obligatoirement remonter à l’ère du président Chadli, quand les déboires de la monnaie nationale ont commencé. C’est en 1989 que l’Algérie a eu recours pour la première fois au FMI. Le Fonds Monétaire International a accordé un financement à l’Algérie sans aucune condition.
En 1991, l’Algérie se rapproche une deuxième fois du FMI, cette dernière exige des conditions dont la première est la dévaluation de la monnaie nationale, pour qu’elle accorde un nouveau financement. Selon le FMI, cette condition aiderait les économies titubantes à se remettre sur pied. Lors de cette période, un dollar valait 4,83 DA en 1987, En 1992 il flambe à 21,87 DA, puis à 36 dinars en mars 1994, avant d’atteindre 41 dinars fin septembre 1994.
Pourquoi laisser le dinar se déprécier ?À l’arrivée de Bouteflika au pouvoir, et après son installation, un dollar valait environ 75 dinars (l’an 2000). C’est à ce moment-là que l’économie algérienne a commencé à cueillir les fruits d’un régime de change flexible. Toujours selon le FMI, cette politique, qui consiste à laisser la monnaie nationale se déprécier davantage, favorise la diversification de l’économie et protége le pays de la volatilité des prix des hydrocarbures.
Entre l’an 2000 et l’an 2013, un dollar s’échangeait contre une marge étroite allant entre 75,25 et 77,55 DA. En 2014, le crash survient, et le dinar algérien qui était déjà au fond du trou commence à creuser. En effet, pour faire face à la baisse soudaine des prix des hydrocarbures, l’Algérie décide de poursuivre la politique du FMI qui consiste en la dévaluation et la dépréciation du dinar.
«Le gouvernement a été conseillé de déprécier la monnaie pour faire face à la masse monétaire qui se rétrécit ainsi qu’au déficit budgétaire, mais aussi pour préserver le niveau des réserves de change», indique Nemouchi Farouk, docteur en finances, à nos confrères d’El Watan. « La baisse de la valeur de la monnaie nationale, c’est la solution de facilité. La Banque d’Algérie en cherchant à régler par la dépréciation du dinar les problèmes complexes qui perdurent ne résout rien », estime pour sa part Badreddine Nouioua , Ancien gouverneur de la BCA.
Toutefois, et selon la Loi de finances 2022, la dépréciation va se poursuivre, au moins jusqu’en 2024. Le taux de change du dinar sera de 149,3 dinars pour 1 dollar américain en 2022, de 156,8 dinars pour un dollar en 2023 et de 164,6 dinars pour un Dollar US en 2024. Ce sont des perspectives sombres de la chute, que rien ne semble pouvoir arrêter, de la monnaie nationale.
Outre le problème du chômage, l’on constate de plus en plus que même ceux qui travaillent n’arrivent plus à joindre les deux bouts, à cause de la dégradation sans précédent du pouvoir d’achat.
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Le groupe de rap AFRIK'KIDz a procédé à la dédicace de son premier album intitulé ‘' Rêve du 5''. Elle a eu lieu le vendredi 11 février 2022 à Ouagadougou.
Il a fallu quatre ans à AFRIK'KIDz pour réaliser le rêve d'être sur le marché du disque. Le groupe est composé de trois membres qui sont : Amed Ouédraogo alias Amedo, Lionel Bambara dit Chapi et de Ismael Ouédraogo alias Carter. Ils évoluent dans la musique urbaine, avec des genres comme l'afro trap, l'afro beat, le dance all. L'opus baptisé ‘' Rêve du 5'' compte 10 titres. On y retrouve des titres comme : ‘' Bas ti sebo ‘', ‘' Ka pak tond yé'', ‘' Jaloux'', ‘' Mariés'', ‘' Tout a commencé'', ‘' Seconde chance'', ‘' Rêve du 5'', ‘' Désolé'', ‘' Que Dieu pardonne nos pêchés''.
Ils abordent des thématiques en rapport avec l'amour, l'espoir et la combativité. Ils chantent en trois langues à savoir : Le français, le mooré et l'anglais. Le groupe dit s'inspirer du vécu de la jeunesse. AFRIK'KIDz a intitulé l'album ‘'rêve du 5'' pour exhorter la jeunesse à ne jamais perdre espoir. Ils ont expliqué que malgré les coups de la vie, les jeunes doivent être optimistes et travailler afin d'atteindre leurs objectifs.
« On est très heureux parce qu'on vient de réaliser un rêve. On a voulu faire passer un message fort à toute cette jeunesse, il ne faut pas baisser les bras », a justifié AFRIK'KIDz. Ces passionnés de musique depuis l'enfance ont confié qu'ils travaillent à conquérir le cœur des mélomanes burkinabè. AFRIK'KIDz a affirmé qu'après la sortie de l'album, plusieurs concerts seront organisés. ‘'Rêve du 5'' est disponible au prix de 5000 francs CFA.
Amedo, Chapi et Carter sont amis depuis le lycée. En plus d'être artistes, ils poursuivent leurs études universitaires. A la suite de la dédicace, Amedo, Chapi et Carter ont presté en présence de leurs familles, amis et fans.
Leur premier clip ‘'Mariés'' est disponible sur YouTube.
Lire aussi : Musique au Burkina : Afrik'kidz, entre musique et études
SB
Lefaso.net
Seize miliciens ont été tués dimanche 13 février lors des affrontements entre les FARDC et la coalition CODECO - FPIC au village d’Abombi à environ 75 kilomètres au nord de Bunia dans le territoire de Djugu. Des sources concordantes signalent que trois civils sont également morts pendant les combats entre les deux parties. L’armée indique que ce bilan est encore provisoire, les opérations militaires se poursuivant dans la zone.
Avec l’approche des matchs barrages pour les qualifications à la Coupe du Monde 2022 au Qatar, les hommes de Djamel Belmadi s’apprêtent, avec détermination et beaucoup de motivation, pour ces confrontations décisives, dans le but de participer à ce grand événement footballistique planétaire.
Djamel Belmai devrait bien préparer ses jeunes joueurs pour lesdites rencontres, prévues à la fin du mois de mars de l’année en cours, contre l’équipe camerounaise.
Le cauchemar des blessures poursuit les VertsLes Verts sont appelés donc, à faire preuve d’une bonne performance et de montrer un haut niveau lors du jeu, dans l’espoir de surmonter la déception de la Coupe d’Afrique 2021 au Cameroun, où l’Algérie a quitté la compétition lors du tout premier tour de ce tournoi.
En fait, l’élimination précoce des Fennecs de ladite CAN est intervenue à la suite d’une performance faible, voire catastrophique. Ces derniers n’ont réussi à obtenir qu’un seul point lors de trois rencontres. Ils ont fait d’abord un nul face à la Sierra Leone, pour être vaincus par la suite, par la Guinée équatoriale et la Côte d’Ivoire, respectivement.
Cependant, le cauchemar des blessures ne cesse de poursuivre les stars de l’équipe nationale. En effet, le talentueux Fennec Adam Ounas, a été victime d’une anomalie cardiaque lors de la précédente CAN, l’empêchant ainsi à participer avec ses coéquipiers.
Ounas retrouve enfin la compétition !À la grande satisfaction de son entraîneur Djamel Belmadi, le milieu offensif des Verts a enfin pu rejoindre les entrainements avec son club italien de Naples. Une nouvelle qui pourra certainement rassurer le « Ministre du Bonheur », notamment avec l’approche des matchs barrages.
En fait, l’international algérien du Napoli, vient de retrouver les terrains de Série A, ce samedi 12 février, pour la réception de l’Inter Milan. L’Algérien a participé au match lors des dernières minutes de la rencontre, remplaçant son coéquipier Lorenzo Insigne.
Sachant que c’est son tout premier match de l’année sous le maillot de Naples, et il a disputé sa dernière rencontre le 5 janvier de l’année en cours sous le maillot des Verts, lors du match amical de préparation pour la CAN 2021 au Cameroun contre le Ghana, qui s’est soldé par la victoire des Fennecs, avec 3 buts contre 0.
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A travers ces lignes, Valentin Bambara revient sur l'histoire de Saint Valentin et de la fête des amoureux.
Chaque année nous fêtons la Saint Valentin communément appelé la fête des amoureux ; mais peu de monde connaît le nommé Saint Valentin et l'historique de cette fête. Je vous propose un peu l'historique.
L'histoire nous relate qu'il y eut deux Valentin canonisés Saint. Il s'agit de Valentin de Terni un évêque et de Valentin de Rome un prêtre dont l'histoire est peu connu. Les deux ont vécu pratiquement au 3e siècle après Jésus Christ et au moment du règne de l'empereur Claude II le Gothique. Ce dernier étant en guerre avec d'autres contrées et n'aimant en rien les chrétiens a interdit la célébration des mariages en vue d'avoir plus d'hommes pour envoyer au front.
Mais l'évêque Valentin défia cette décision du roi et continua à célébrer en cachette les mariages. Le roi en fut informé et fit mettre Valentin en prison. Dans sa prison il fit la connaissance de Julia la fille de son geôlier une jeune fille aveugle de naissance qui venait lui rendre visite et lui apporter à manger. Cette dernière demandait chaque fois à Valentin de lui décrire le monde ; et Valentin lui donnait toujours satisfaction.
Notons que Valentin était aussi réputé pour son don de guérison. Dans sa prison il n'a cessé de prier pour Julia afin qu'il retrouve la vue. Et un jour ayant reçu comme à l'accoutumé Julia dans sa cellule, un miracle se produisit et Julia retrouva la vue puis elle s'écria : « maintenant je vois. Je vois le monde tel que tu me l'as décrit ». Cette nouvelle se répandit dans toute la ville et l'empereur par peur le fit décapiter le 14 février 270 afin de garder sa royauté. Valentin fut canonisé en 495 par le Pape Gélase 1er et déclaré patron des Fiancés et des couples par le Pape Alexandre VI en 1496. Quelle est donc l'origine de cette fête ?
Si les origines de cette fête sont païennes, elle est par la suite devenue chrétienne avec la canonisation de Valentin et sa désignation en tant que Saint patron des fiancés et des couples. Il faut retenir que la fête des amoureux d'aujourd'hui tire sa source d'une fête paienne, la fête des lupercales célébrée par les romains le 15 février de chaque année. Ladite fête est en l'honneur du dieu Lupercus, le dieu de la fécondité. Elle était accompagnée de sacrifices d'animaux destinés à amadouer les dieux. Soulignons qu'étymologiquement, Lupercus vient du latin ‘'lupus'' qui veut dire le loup. Le Pape Gélase 1er qui canonisa Valentin est celui même qui va mettre fin à cette fête paienne pour instaurer la fête en l'honneur de Saint Valentin. Au regard de ce parcours historique qui donc est concerné par cette fête ?
Visiblement nous constatons que cette fête ne concerne pas tout le monde mais ceux qui sont fiancés ou qui sont mariés légalement. Elle ne concerne donc pas ceux qui sont toujours au stade de ‘'copain-copine'' ni encore moins ceux qui se sont rencontrés avant-hier, hier, aujourd'hui ou ceux qui vont se rencontrer demain, après demain etc. la Saint Valentin telle que fêtée aujourd'hui est une perversion qui a commencé en Amérique, puis en France avant de se rependre sur le monde. C'est le jour qu'il faut se prouver l'amour. Mais de quelle manière ?
A travers des rapports sexuels. Pour moi l'amour est la chose inexplicable après l'existence de Dieu ; car ‘'Dieu est amour'' (1Jn 4, 8). Ainsi si Dieu est amour ce n'est donc pas par le biais du sexe que l'amour se prouve ; car comme le dit le Professeur Henri JOYEUX « l'amour c'est un cœur qui cherche lentement un autre cœur ; et non un sexe dans un autre sexe. Pour ça quelques minutes minutes suffisent »
Je vous souhaite alors de fêter dans une nouvelle vision la Saint.
BAMBARA P. Valentin
L’Unité de gestion du programme de développement du système de santé (UG PDSS) a réfuté les allégation s de détournement des fonds porter contre elle par l’inspection générale des finances dans son récent rapport. Elle a souligné, notamment, des dépenses sans justificatifs de l’ordre de plus de sept millions de dollars américains pour le financement IDA en 2021.
Cette déclaration du porte-parole de l'ambassade de Chine au Burkina Faso, Liu Yi, est une mise au point après la sortie de certaines organisations de la société civile du Burkina demandant la révision des accords de coopération avec cetains pays et citant Taiwan comme possible futur partenaire. La Chine rappelle que Taïwan fait partie de son territoire.
Récemment, nous avons remarqué que certaines organisations de la société civile ont proposé de réviser la coopération avec les pays amis et les partenaires. Elles ont répertorié Taiwan comme un « pays » et ont déclaré que la « Chine Taiwan » est la bienvenue. Une telle opinion s'écarte des faits et de la logique, va à contre-courant de la dynamique actuelle de coopération amicale entre la Chine et le Burkina Faso, et nuit également aux intérêts de développement du pays des hommes intègres. Ce qui nous incombe d'avancer encore une fois le principe d'une seule Chine.
Depuis l'Antiquité, Taiwan constitue une province de la Chine. Ce sont les mêmes chinois comme nous qui y vivent. Alors d'où vient la question de Taiwan ? En effet, en 1921, le Parti communiste chinois a été créé, après des luttes et des sacrifices successifs et ardus, le 1er octobre 1949, le Parti a conduit le peuple chinois vers la victoire de la guerre civile, la République populaire de Chine a été ainsi fondée. Le Guomindang vaincu, s'est retiré dans la province de Taiwan. Avec le soutien des forces extérieures, la clique dirigeante de Guomindang affronte le gouvernement central.
Sur le plan jurisprudentiel, en 1949, le gouvernement central de la République populaire de Chine a été fondé en remplaçant le gouvernement de la République de Chine, en tant que gouvernement légitime de Chine et représentant unique de Chine au sein de la communauté internationale. L'histoire de la République de Chine a ainsi pris fin. Le nouveau régime remplace l'ancien sans modification du même sujet de droit international, la souveraineté de la Chine et les frontières territoriales inhérentes n'ont pas été changées. Le gouvernement de la République populaire de Chine jouit et exerce pleinement la souveraineté de la Chine, y compris sa souveraineté sur Taiwan. Aujourd'hui, la Chine n'est pas encore unifiée, mais l'existence de cet état anormal n'attribue pas de statut en droit international à Taiwan, et ne peut pas non plus modifier le statut juridique de Taiwan en tant que partie de la Chine.
Sur le plan international, la communauté internationale reconnaît qu'il n'y a qu'une seule Chine, que Taiwan fait partie de la Chine et que le gouvernement de la République populaire de Chine est le seul gouvernement légitime de Chine. En 1971, l'Assemblée générale des Nations Unies a adopté la résolution 2758 à une écrasante majorité, décidant de rétablir le siège légitime de la Chine aux Nations Unies, « reconnaissant que le représentant du gouvernement de la République populaire de Chine est le seul représentant légitime de la Chine aux Nations Unies ", ce qui a complètement résolu la question de la représentation de la Chine aux Nations Unies et dans les institutions internationales.
Aujourd'hui,181 pays du monde ont établi des relations diplomatiques avec la Chine sur cette base. « Une seule Chine » est depuis longtemps devenue le consensus universel de la communauté internationale. Et c'est sur cette même base de consensus, que le Burkina Faso et la Chine se sont retrouvés et avancent main dans la main jusqu'à aujourd'hui. La coopération continue à porter ses fruits, les deux peuples en ont témoigné et en ont beaucoup bénéficié.
Maintenant, la Chine est le seul grand pays qui n'a pas encore réalisé la réunification complète de son territoire. Le fait que le problème de Taiwan n'est pas encore résolu relève des ingérences des pays étrangers et du sabotage des séparatistes de Taiwan. Certains groupes séparatistes de Taiwan sont prêts à vendre la souveraineté de la Chine à l'occident pour se faire « connaître » . Ils ont tenté de nier ou de défier le principe d'une seule Chine pour élargir leur espace d'activités séparatistes. C'est la source qui alimente la tension et l'instabilité dans la région des deux rives, et qui met en danger les intérêts primordiaux du peuple chinois incluant bien sûr tous les Taiwanais.
Le gouvernement chinois s'oppose fermement à toute tentative de séparer l'île de Taiwan de la Chine, qui appartient au peuple chinois tout entière. Le peuple chinois souhaite la réunification et le soutient de manière intransigeante. Sur ce, le Président chinois XI Jinping a été clair, « la mission historique de réunir la nation chinoise doit être réalisée et elle le sera ! ». Résoudre le problème de Taiwan et réaliser la réunification de la Chine est une conviction commune du peuple chinois et une tendance irréversible du courant de l'histoire que personne ne peut empêcher.
Par conséquent, il n'y a pas de « République de Chine », ou de « Chine Taiwan », mais seulement la République populaire de Chine, ou tout simplement la Chine. Taiwan fait partie de la Chine et la République populaire de Chine est le seul gouvernement légitime représentant l'ensemble de la Chine. C'est le sens fondamental du principe d'une seule Chine, dont l'essentiel est de sauvegarder la souveraineté et l'intégrité territoriale.
La lutte sans faille du Burkina Faso contre le terrorisme et les énormes sacrifices consentis visent à sauvegarder la souveraineté et l'intégrité territoriale du pays. Comme le dit Confucius, ne faites pas aux autres ce que vous ne voulez pas vous faire. Nous croyons que le peuple burkinabè, quelle que soit l'ethnie, la langue ou la croyance, ne voudra jamais voir une province séparée de son propre pays et ne tolérera jamais que des forces extérieures entravent les efforts extraordinaires du Burkina Faso pour poursuivre la défense de l'intégrité territoriale.
En cette période mouvementée, quelques organisations de la société civile ou des individus prêchent à s'allier aux forces de Taiwan qui prônent le séparatisme, ce n'est pas seulement une pollution pour l'opinion publique burkinabè, mais aussi une grave atteinte aux sentiments du peuple chinois. Quel que soit le prétexte, les paroles et les actes qui vise à s'immiscer dans les affaires intérieures d'autres pays et à tenter d'inverser le cours de l'histoire, sont absurdes, dangereux et ne jouiront jamais du soutien du peuple.
Les yeux du peuple sont perçants, a dit le président Mao Zedong. Nous croyons que le peuple du pays des hommes intègres peut garder les yeux ouverts, voir et juger objectivement et rationnellement, défendre la vérité et la justice, pour que l'amitié sino-burkinabè avance et s'épanouisse sur les flots d'un avenir prospère.
Liu Yi, porte-parole de l'ambassade de Chine au. Burkina