Le gouvernement de la RDC a levé ce lundi 14 janvier le couvre-feu sur toute l’étendue de la RDC sauf dans les provinces sous état de siège. Toutes les autres mesures restent de stricte application.
L’affaire de l’exode des 1200 médecins algériens vers la France ne cesse de faire parler d’elle. Après les spécialistes, c’est au tour du premier responsable du secteur de la Santé d’apporter des précisions sur ce dossier qui a fait couler beaucoup d’encre durant ces dernières semaines.
Lors d’une réunion d’évaluation ce lundi 14 février avec les directeurs de santé ; le ministre de la Santé Abderrahmane Benbouzid a tenu à apporter quelques précisions sur l’affaire des 1200 médecins qui s’apprêtaient à quitter l’Algérie pour la France.
« Une bonne partie des médecins algériens, ayant réussi au concours d’équivalence en France, résident à l’étranger. De ce fait, cette majorité n’a pas quitté directement le pays », a déclaré le Pr Abderrahmane Benbouzid.
« J’ai en ma possession la liste de ces médecins. Certains sont nés en 1961, ils ont 61 ans ; alors que d’autres en 1971. La lecture qui a été faite des résultats de ce concours a donné à penser que ces médecins ont quitté le pays en une seule vague, alors que c’est faux », a ajouté le ministre de la Santé.
Pour Benbouzid, « la solution n’est pas facile »Dans le même sillage, Pr Abderrahmane Benbouzid n’a pas nié l’existence du phénomène de l’exode des médecins, mais il a tenu à souligner que son département était en train de travailler sur le dossier.
« Au ministère de la Santé, cette affaire (de l’exode des médecins) a tiré la sonnette d’alarme (…) Moi et plusieurs ministres, nous allons travailler sur ce dossier afin de trouver les raisons qui poussent nos médecins à quitter le pays. Je tiens à préciser que la solution à ce phénomène n’est pas facile, car on ne peut pas empêcher des étudiants en médecine de quitter le pays », a expliqué le ministre.
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Les Léopards dames de moins de 17 ans (U17) ont entamé la préparation des éliminatoires du mondial de la spécialité ce lundi 14 février au terrain Ujana situé dans le complexe stade Tata Raphaël de Kinshasa.
Elles étaient 36 présélectionnées sous la supervision du sélectionneur principal, Lay Mafobe, en attendant la venue des celles de l’intérieur du pays convoquées.
Une personne a été tuée et trois autres blessées lors d’une incursion dans la nuit de samedi 12 à dimanche 13 février à Kanombe, village situé à quelques kilomètres de la localité Kabaya-Rumangabo, dans la chefferie de Bwisha, territoire de Rutshuru (Nord-Kivu).
Selon la société civile locale, ces hommes armés ne sont pas identifiés.
Des jeunes du quartier ont barricadé ce lundi 14 février la route Beni-Kasindi au niveau de Paida, dans le territoire de Beni (Nord-Kivu).
Le poste de la police de Mayeba a été incendié dans la nuit de vendredi à samedi 12 février par des inconnus.
Selon les acteurs de la société civile ainsi que le fonctionnaire délégué du gouverneur dans la région de Ndjiapanda, en territoire de Lubero, les policiers étaient en intervention à Ndjiapanda, une vingtaine de Kilomètres du lieu, au moment du drame.
La problématique de la peine de mort en RDC est au centre d’un atelier d’échange depuis ce lundi 14 février entre acteurs de la société civile et les autorités politico-administratives locales. Cet atelier a lieu sous l'initiative du Centre d’éducation et de recherche pour les droits de la femme (CERDHF) dans l'objectif de réunir des propositions appropriées pour accélérer l’abolition effective de la peine de mort en RDC.