Les paysans habitant le long de l’axe routier Kisangani-Bafwasende (dans la province de la Tshopo) entre les points kilométriques 100 et 380 se plaignent du manque d’eau potable, de centres de santé et d’écoles dans leurs milieux. Ils ont soumis ces doléances à une délégation de l’Ambassade des Pays-Bas en mission dans ces contrées le 10 et le 11 février.
La Direction générale de migration (DGM) a publié samedi 12 février un autre communiqué modifiant celui de la veille. Elle précise cette fois-ci que la vaccination contre la COVID-19 n’est pas obligatoire à l’entrée et sortie de la RDC.
Le nouveau communiqué insiste seulement sur la « présentation obligatoire par tout voyageur à l’entrée ou à la sortie du territoire national, d’un test PCR négatif réalisé dans le pays de provenance 48 heures au plus tard ».
Réagissant à la feuille de route du processus électoral publiée par la Commission électorale nationale indépendante (CENI), les organes techniques de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) et de l’Eglise du Christ au Congo (ECC) ont encouragé, vendredi 11 février, le Président de la République, le Parlement et le Gouvernement à s’acquitter chacun en toute responsabilité de ses obligations afin de permettre à la CENI de mettre en œuvre son agenda électoral.
Le conseil des ministres de la Communauté de l'Afrique de l’Est (EAC) a approuvé l'admission de la République démocratique du Congo dans ce bloc régional. L’annonce a été dans un communiqué consulté samedi 12 février sur le site internet de la communauté.
D’après ce communiqué, cette approbation a été faite, le mardi 8 février, à la suite des négociations tenues entre l’EAC et la RDC du 15 au 24 janvier à Nairobi au Kenya.
Les acteurs de la société civile de Lubero plaident pour l’accélération du Programme de démobilisation, désarmement, relèvement communautaire et stabilisation (PDDRC-S), pour mettre fin à l’activisme accru des groupes armés dans ce territoire du Nord-Kivu.
La Coordination nationale pour une transition réussie (CNTR) veut apporter sa contribution de façon significative et objective à la bonne gouvernance, en vue d'un retour à une véritable démocratie au Burkina Faso. Ce regroupement d'organisations de la société civile dirigé par Pascal Zaïda, a décliné ses objectifs et fait des recommandations au Mouvement patriotique pour la sauvegarde et la restauration (MPSR), le samedi 12 février 2022 à Ouagadougou, au cours d'une assemblée générale.
Ainsi, pour une transition réussie, la CNTR recommande le rassemblement des forces vives autour des priorités de la transition, une transition à durée raisonnable, inclusive et pacifique. La CNTR suggère également un large consensus des acteurs sur le choix des réformes à opérer pour éviter des blocages préjudiciables à la transition.
Sur le plan administratif, la coordination appelle à dépolitiser l'administration publique et à mettre fin aux nominations arbitraires. Au titre du train de vie de l'État, elle a recommandé une réduction significative pour une meilleure gestion des deniers publics dans tous les secteurs.
Les autres recommandations faites au MPSR portent sur le foncier, les « institutions inutiles et budgétivores », l'assainissement du jeu politique, la corruption... Pour la CNTR, les programmes et politiques de développement doivent concerner toutes les régions du pays et non être orientés vers celles d'intérêts électoraux.
« Tout le monde souhaite que cette transition soit une réussite pour que nous ne retombions plus dans les erreurs du passé. Donc à ce titre, on peut dire que la CNTR est une police de la transition », a indiqué Pascal Zaïda, porte-parole de la CNTR. Il précise à cet effet que le mouvement a pour mission première de jauger de façon objective les souhaits du peuple burkinabè, ses aspirations profondes mais aussi les engagements de la transition à pouvoir y répondre. À en croire Pascal Zaïda, cette coordination aura également un rôle d'alerte et de dénonciation des éventuelles dérives entrant dans le cadre de la gestion de la transition.
Une motion de soutien au Mouvement patriotique pour la sauvegarde et la restauration (MPSR) et une autre d'encouragement des Forces de défense et de sécurité (FDS) et des Volontaires pour la défense de la patrie (VDP) ont été lues au cours de l'assemblée générale de la CNTR. La motion de soutien au MPSR souligne la ferme volonté des membres de la coordination à accompagner les autorités en place. Celle dédiée aux FDS et aux VDP incite à redoubler d'efforts pour mener une guerre âpre contre les terroristes.
Avant de clore son assemblée générale, la Coordination nationale pour une transition réussie (CNTR) a lancé un appel à la communauté internationale. Tout en félicitant les organisations sous-régionales qui ont épargné le Burkina Faso des sanctions économiques, la coordination a demandé à la CEDEAO, l'Union africaine, l'Union européenne et les Nations-Unies d'apporter un soutien conséquent au peuple burkinabè. Elle les a invitées à accompagner techniquement et financièrement le processus de transition.
Composée d'organisations de la société civile, la CNTR se veut un mouvement de conseil, de proposition et d'action au service de la transition. Elle entend de ce fait mettre fin à ses activités une fois la transition achevée.
Hamed MANEMA
Lefaso.net
Le gouverneur de la province de l’Ituri, le général Johnny Luboya N’kashama a mis en place, vendredi 11 février à Bunia, une commission d’enquête pour identifier et arrêter les militaires des FARDC impliqués dans l’exploitation de minerais, dans la région minière de Mungwalu, dans le territoire de Djugu.
Un officier subalterne des FARDC a été condamné à la peine capitale, vendredi 11 février à Minova, par le tribunal militaire d’Uvira (Sud-Kivu) siégeant en audience foraine. L’incriminé, un capitaine, était poursuivi pour le meurtre de son épouse.
La section des affaires civiles de la MONUSCO à Butembo, dans la province du Nord-Kivu, a débuté vendredi 11 février, une série de rencontres de mise à jour du plan communautaire de protection, dans les quatre communes de la ville.
C’est sous une pluie battante tôt ce samedi 12 février, que plusieurs colonnes des soldats de la garde républicaine ont arpenté les grandes artères de la capitale Kinshasa, pour leur marche dite « d’endurance », selon le communiqué de l’armée, publié le vendredi 11 février dans la soirée.
Depuis plus de deux décennies, la Saint-Valentin ou fête des amoureux ne passe plus inaperçue au Burkina Faso. Les amoureux profitent de ce jour pour offrir des cadeaux à leurs « valentins ». Pour l'édition 2022, l'archidiocèse de Ouagadougou organise, le 13 février 2022, veille de la fête, une soirée des amoureux à la Maison des pèlerins du sanctuaire Notre-Dame de Yagma. Invité de Lefaso.net ce vendredi 11 février 2022, l'abbé Kisito Nikièma, auteur du livre « Mon corps et l'amour », et chapelain du sanctuaire de Yagma, revient sur l'histoire et l'esprit de cette fête.
Lefaso.net : Vous êtes chapelain au sanctuaire Notre-Dame de Yagma. Qu'est-ce qu'un chapelain et quelles sont les qualifications nécessaires pour le devenir ?
Abbé Kisito Nikièma : Dans une paroisse, le premier responsable est appelé « curé », et les prêtres collaborateurs sont appelés « vicaires ». Dans un sanctuaire comme Yagma, le premier responsable a le titre de « recteur », et les autres prêtres, celui de « chapelain ». C'est juste une question de vocabulaire. Il n'y a pas de qualifications particulières pour être chapelain. Tout prêtre peut être vicaire ou chapelain. Il lui suffit d'être nommé par son évêque.
Pouvez-vous nous dire brièvement quelle est l'historique de la Saint-Valentin ?
Saint Valentin a vécu au IIIe siècle. Il a été évêque de Terni, une ville d'Italie. Il est mort martyr vers l'an 273. Il y a un autre saint Valentin fêté le même jour, le 14 février. Il était prêtre de Rome, martyrisé également à la même période. Selon une légende du Moyen-âge, ce dernier arrangeait secrètement les mariages, à l'époque de l'interdiction du mariage des soldats romains par l'empereur.
Selon une autre théorie, la fête de la Saint-Valentin a été créée pour remplacer les Lupercales célébrées autour du 15 février dans la Rome antique. C'était une fête païenne en l'honneur de Lupercus, dieu de la fécondité, et qui se terminait par des actes de débauche.
Des poèmes du XIVe siècle en Angleterre mentionnent que l'on pensait là-bas que le 14 février était le jour où les oiseaux se reproduisent le plus. Toutes ces légendes ont contribué à faire du 14 février la fête des amoureux.
Qu'est ce qui explique la popularité de cette fête aujourd'hui ?
Le monde capitaliste dans lequel nous vivons a vite fait de la Saint-Valentin une occasion de se faire de l'argent en incitant les amoureux à s'échanger des mots doux et à s'offrir des cadeaux. Cette habitude s'est d'abord développée en Occident et finalement dans nos contrées, à la faveur de la mondialisation.
La Saint-Valentin est une opportunité pour les couples et les jeunes en relation de vivre en « Roméo et Juliette ». Mais l'on constate de plus en plus qu'elle est aussi le jour où tout peut tourner au vinaigre, notamment les déceptions, l'infidélité... Dites-nous ce qui provoque ces drames et comment cette fête des amoureux devrait être vécue.
Au Burkina Faso, on constate que le 14 février et le 31 décembre sont des jours où beaucoup de personnes souhaitent sortir en couple. De ce fait, ces jours-là sont souvent vécus dans la tristesse par ceux qui n'ont pas de Roméo ou de Juliette. De plus, lorsque la personne avec laquelle on s'attendait être le jour de la fête a préféré la compagnie d'une autre personne, la déception ne peut être que grande.
L'Église n'a pas de consignes particulières relatives à la Saint-Valentin. Toutefois, la Bible a consacré un livre entier, le Cantique des cantiques, à l'amour entre deux bien-aimés. Cela signifie que l'amour devrait être célébré, non pas seulement le 14 février, mais tous les jours.
Cependant, il est légitime pour les couples de sortir de temps en temps de la monotonie en se redéclarant leur amour. Les jeunes aussi devraient saisir l'occasion pour réfléchir sur l'amour vrai, celui qui ne réduit pas son petit ami ou sa petite amie à un objet de plaisir. Dans une perspective chrétienne, on ne peut que rappeler certains passages bibliques tels que Romains 13, 13-14 : « Comme il sied en plein jour, conduisons-nous avec dignité : point de ripailles ni d'orgies, pas de luxure ni de débauche, pas de querelles ni de jalousies. Mais revêtez-vous du Seigneur Jésus-Christ et ne vous souciez pas de la chair pour en satisfaire les convoitises. »
Vous organisez une soirée des amoureux au sanctuaire Notre-Dame de Yagma la veille de la Saint-Valentin. Quel message voulez-vous faire passer ?
L'Église ne doit pas rester indifférente à cette fête qui, quoi qu'on dise, retient l'attention des jeunes et des couples. Avec le recteur, nous avons voulu à Yagma que ce jour soit d'abord une occasion pour prier, aux intentions des célibataires, des fiancés et des familles ; une occasion de discuter sur la thématique de l'amour à travers une conférence, et enfin une occasion pour se divertir.
A peine avons-nous publié le thème de la soirée 2022 sur les réseaux sociaux qu'une jeune dame m'a envoyé ce message : « Ce thème est vraiment pour moi. Car j'avoue que ces derniers moments, mes convictions religieuses deviennent chancelantes quant au mariage, la vie en couple, la procréation, etc. C'est vraiment horrible de dépasser la trentaine et demeurer dans un célibat absolu, sans compagnon de vie. Mon père, c'est une horrible souffrance ! »
Cette préoccupation et cette détresse sont malheureusement vécues par de nombreuses jeunes filles et aggravées par des pesanteurs socioculturelles. Nous avons voulu donner des pistes pour assumer pleinement et joyeusement son célibat, dans l'espérance de jours meilleurs.
Avez-vous quelque chose à ajouter ?
Je remercie LeFaso.net pour cette interview et je souhaite la bonne fête de Saint-Valentin à tous.
Propos recueillis par Dofinitta Augustin Khan
Lefaso.net
Le contrat du sélectionneur des Etalons, Kamou Malo et celui de ses adjoints prendront fin le 28 février 2022. Dans la présente note, le président de la Fédération burkinabè de football (FBF), Lazare Banssé signifie au Staff technique des Étalons, qu'ils ne seront pas renouvelés.
Il peut arriver que même après une nuit de sommeil, l'on se sente fatigué tout le long de la journée. Pour retrouver du tonus, certains aliments peuvent être de bons alliés. Pour la plupart à notre portée, ces aliments contribuent à booster notre énergie afin que l'on soit à nouveau d'attaque. Découvrez quelques-uns.
Parmi les aliments sources d'énergie, figurent les céréales complètes (pain complet, pâtes alimentaires, etc.). En effet, ce sont des sucres lents qui fournissent une source d'énergie considérable. La consommation des abats (foie, rognon, boudin) peut aussi contribuer à soulager la fatigue. Ce sont des aliments riches en fer, dont la carence peut entrainer une sensation de fatigue et une baisse des capacités physiques. Les légumineuses (haricot, pois de terre, lentilles, etc.) fournissent aussi de l'énergie à l'organisme en plus d'être de bonnes sources de protéines.
Nous avons également la banane qui est un véritable cocktail énergétique, car elle contient du glucose, du fructose et du saccharose, 3 sucres naturels qui, combinés aux fibres qu'elle renferme, apporte de l'énergie rapidement et pour longtemps. De plus, la banane aide aussi à stabiliser la glycémie, et apporte un sentiment de satiété sur le long terme au lieu d'un bref pic d'énergie. Autre fruit plein d'énergie, l'avocat. Il renferme toute une panoplie de vitamines (B1, B2, B3, B6) et du magnésium, des éléments qui sont réputés pour aider notre organisme à produire et à métaboliser l'énergie. Sans oublier que le magnésium est un minéral reconnu pour chasser la fatigue.
Le miel est connu pour être un aliment qui décuple notre énergie. Une cuillère à soupe de miel nous apporte autant qu'une boisson énergisante. De plus, le miel possède un index glycémique très bas, ce qui signifie que le glucose qu'il contient se diffuse lentement dans le sang, apportant ainsi de l'énergie de manière constante au fur et à mesure de la journée quand on en a besoin. On peut donc l'utiliser à la place du sucre dans le thé et les gâteaux.
Plusieurs fruits et légumes regorgent de Vitamine C, utiles pour faire passer la fatigue. Il s'agit notamment du poivron rouge, de la papaye, du kiwi, de la mangue, du brocoli. Tous les agrumes de manière générale permettent de lutter contre la fatigue. L'orange en particulier, en plus de la vitamine C, est riche en acide folique (vitamine B9), qui apporte à notre organisme de l'énergie de manière constant. En plus, cet agrume regorge de potassium, réputé pour aider à lutter contre les coups de fatigue en journée.
Le manque de magnésium pouvant entraîner une grande fatigue, consommer du chocolat noir à forte teneur en cacao ou encore des fruits secs comme les amandes ou les noisettes, permettent d'éviter les carences en magnésium et être toujours d'appoint.
Armelle Ouédraogo/Yaméogo
Lefaso.net
Sources :
https://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Dossiers/DossierComplexe.aspx?doc=10-super-aliments-anti-fatigue
https://www.topsante.com/nutrition-et-recettes/les-bons-aliments/aliments-anti-fatigue-246307
La Fédération burkinabè de football (FBF), dans un communiqué signé par son porte-parole, apporte quelques précisions et des justificatifs sur ce qui a été de la gestion des 50 millions de francs CFA offerts par le PDG du groupe EBOMAF. Selon les explications du porte-parole, la somme semble avoir servi aux dépenses courantes de la CAN 2021.
Nous vous proposons l'entièreté du communiqué.
De retour de la CAN 2021, des écrits aux desseins inavoués tentent de créer une polémique autour d'un don fait à la FBF pour soutenir la faîtière du football burkinabè à la CAN camerounaise. La Fédération Burkinabè, dans le souci de clarifier les choses sur cette supposée affaire des « 50 millions de la discorde » vient, dans cette mise au point, donner des précisions.
INFORMATION
Le don de 50 millions de FCFA du Groupe EBOMAF à la FBF
L'accompagnement sollicité par le Président de la Fédération Burkinabè de Football au Groupe EBOMAF,à l'occasion de la phase finale de la CAN Cameroun 2021,continue de susciter des spéculations, voire de la désinformation au sein de la famille du football Burkinabè et de l'opinion publique.
En vue de préserver la cohésion et l'unité au sein du football et de ses acteurs, la
FBF a estimé nécessaire de donner l'information juste sur ce qu'il faut bien
appeler un montage grossier dit de l'affaire : « les 50 millions de la discorde ».
Pour parler de « discorde », il aurait bien fallu que cette somme eut été donnée,
en plus de la FBF, à une autre structure. Or, cela n'est pas le cas et pour cause !
En effet, c'est par lettre n° 2021/0246 du 28 décembre 2021 que le Président a
adressé une requête au Président Directeur Général du Groupe EBOMAF en vue
de la prise en charge de certains ses membres pour l'expédition camerounaise.
A ce titre, faut-il le rappeler, à la suite de l'arbitrage pour les places attribuées aux
différentes structures (Ministère, FBF,UNSE, Presse sportive), la fédération n'a
bénéficié que de trente (30) places sur plus de 300 partants à la CAN 2021.
Autant dire, qu'après avoir pris en compte, certains membres du Comité exécutif
et ceux des différentes commissions spécialisées et ad hoc, les vrais acteurs du football que sont les présidents de ligues, de districts et de clubs étaient les laissés pour compte.
Le Président de la FBF a, pour sa part, estimé que les vrais et premiers acteurs du sport roi ne pouvaient rester en marge de cette fête du football africain.
En effet, ce sont eux qui se donnent corps et âme pour l'animation de notre passion commune et que surtout, ce sont eux qui ont formé, par leur sacrifice et leur engagement, la plupart, sinon la quasi-totalité, de nos Etalons. Il était de bon ton qu'ils aillent voir évoluer les fruits de leurs efforts et de leurs investissements. En somme, était-il naturel et mérité que beaucoup d'entre eux, qui n'ont jamais pris part à cette biennale qui fait battre le cæur de tous les africains, soient aussi
là pour vivre en live ce grand événement sportif.
C'est dans ce cadre que le Président a adressé la requête de soutien pour la participation de ses membres à la CAN 2021 au Président du Groupe EBOMAF qui a répondu favorablement, en le recevant dans ses locaux en date du 5 janvier 2021 pour la remise de la somme de 50 millions de FCFA.
En vue d'être tout à fait transparent et avant le départ, le Président a remis la somme de 10 millions de FCFA au Président de l'UNSE et la somme de 5 millions de FCFA au Ministère des Sports, de l'Autonomisation des Jeunes et de l'Emploi. Par ce geste, le Président a pensé, suivant l'esprit de solidarité et de partage de la composante tripartite Ministère-FBF-UNSE,que les deux autres entités devraient aussi en bénéficier.
Le reliquat,soit 35 millions de FCFA a servi à assurer la prise en charge partielle du voyage et du séjour au Cameroun de 52 personnes, invités de la FBF (présidents de ligues, de districts, de clubs, partenaires) pour les billets d'avion aller/retour et les indemnités de séjour.
La prise en charge de ces 52 invités de la FBF s'élève au montant de 51 637 000 FCFA pour les billets d'avion et de 79 324 000 FCFA pour les indemnités de séjour, soit au total la somme de 130 961 000 FCFA.
Quant au bilan de la gestion des 35 millions de FCFA, il sera transmis au Groupe EBOMAF, accompagné d'une lettre de remerciements et de reconnaissance.
A propos du don de 1000 euros à l'UNSE au Cameroun, à la veille de notre retour, il s'inscrit dans une manifestation de reconnaissance à la structure qui a soutenu les Etalons tout au long de la compétition. Il s'agit d'un geste symbolique pour dire merci et pour que l'UNSE partage un pot convivial avant un au revoir à la CAN 2021.
La même démarche a été faite en direction de la presse sportive et de la délégation de la FBF par également le don de 1000 euros pour les mêmes moments conviviaux à travers le partage d'un pot ensemble.
En tout état de cause, la FBF se réserve le droit d'explorer toute voie pour rétablir la vérité et continuer à mériter la confiance et le soutien de ses partenaires et de tous ceux qui aiment le football burkinabè et s'investissent sans cesse pour son développement.
Porte-parole de la FBF
Antoine Battiono
Les acteurs de la société civile du secteur de la santé du Nord-Kivu ont demandé, vendredi 11 février, au gouvernement congolais d’investir plus des ressources pour la couverture sanitaire universelle en RDC.
C’était lors d’une table-ronde organisé à Goma, en marge de la journée mondiale de la couverture de la santé universelle, célébrée le 12 décembre dernier, sur le thème ; ‘’ Ne laisser la santé de personne de côté : investir dans des systèmes de santé pour tous’’.
Contact : +226 51 46 58 69 / +226 78 16 27 79.
Merci d'avance
Oxfam est une organisation internationale non gouvernementale, membre d'Oxfam International, une confédération internationale de 20 organisations travaillant ensemble dans plus de 90 pays avec des partenaires et d'autres alliés dans le monde.
Oxfam concentre ses activités sur la fourniture d'une réponse globale à la pauvreté, le travail cohésif dans les quatre domaines qui constituent son identité : la coopération au développement, l'action humanitaire, le commerce équitable, la mobilisation sociale, les campagnes et l'éducation à la citoyenneté mondiale.
Oxfam mène un processus d'appel d'offres au Burkina Faso et vous invite à soumettre une proposition, selon les conditions détaillées dans le dossier d´appel d´offre, visant à effectuer pour Oxfam :
La réalisation de l'audit d'impact environnemental
Le dossier d´appel d´offre contenant les instructions complète afin de soumettre une offre peuvent être retiré à l´adresse suivante :
Oxfam au Burkina Faso
Tel Fixe : +226 25 36 20 68
Email : Procurement.Burkina@Oxfam.org
Entre 09 h00 et 16h00 (heure locale) du Lundi au jeudi et le Vendredi Entre 09 h00 et 11h00 au département logistique.
La date limite de retrait des dossiers d´appel d´offres est le Lundi 21 Février 2022 à 16H, heure de Ouagadougou.
Les offres techniques et financières doivent être transmises par courrier électronique à l´adresse suivante : Procurement.Burkina@Oxfam.org au plus tard, le 28 Février 2022 à 16 heures 00 mn délai de rigueur.
Pour tout renseignement supplémentaire, veuillez appeler au 25 36 20 68, ou écrire à l'adresse Procurement.Burkina@Oxfam.org
Nous nous réjouissons de recevoir une proposition de votre part et nous vous remercions par avance de votre intérêt.