L’ONG de défense des droits des journalistes « Journaliste en danger » (JED) renseigne que la station de la radio communautaire La voix de Mikeno (RACOM), émettant de Bunagana (Nord-Kivu), a été vandalisée par les rebelles du M23 lundi 13 juin, aux environs de 15h TU.
Tous les équipements de haute et basse fréquence, indique-t-elle, ont été emportés pendant l'occupation de la cité.
Le directeur de la RACOM, André Byamungu, qui a été joint à partir de son refuge par JED a déclaré qu'il était devenu "muet" :
Durant le mois du Ramadan de cette année 2022, les citoyens algériens ont souffert de la hausse fulgurante des prix des produits alimentaires. À l’approche de l’Aïd Al Adhha, on constate également que les prix des moutons ne permettront pas aux petites bourses de profiter de cette occasion. En effet, certains moutons peuvent atteindre le […]
L’article Mouton Aïd Al Adha : le complexe des viandes d’Ain Mila baisse les prix est apparu en premier sur .
Le secrétaire général de la Caisse nationale de dépôt et de consignation (CDC), Robert Tondé, a procédé à l'ouverture de la journée d'échanges avec les notaires du Burkina. Cette journée d'échanges s'inscrit dans le cadre de la finalisation de la convention de partenariat signée entre la CDC et l'Ordre des notaires du Burkina Faso (ONBF) sur la mobilisation et la gestion des fonds des notaires. C'était ce mardi 14 juin 2022 à Ouagadougou.
Afin de rendre opérationnelles les lois 023 et 024-2017, portant création de la Caisse nationale de dépôt et de consignation (CDC), une convention de partenariat a été signée avec l'Ordre des notaires du Burkina Faso (ONBF) en novembre 2021.
La convention avait pour objectif de définir le cadre juridique régissant les accords de partenariat entre les deux structures (CDC et ONBF).
Ainsi, la CDC sera habilitée à recevoir et à gérer les dépôts effectués par les notaires du Burkina, tout en garantissant la sécurité et la liquidité des fonds reçus.
Dans le cadre de la mise en œuvre de ce partenariat, un certain nombre d'activités ont été entreprises, notamment la mise en place d'un comité de rédaction des procédures de gestion des fonds des notaires, la sélection de banques partenaires pour accompagner le démarrage de ce partenariat, la production effective d'un projet de procédures des fonds, ainsi que, sa mise à disposition, a fait savoir le secrétaire général de la CDC, Robert Tondé, dans son discours d'ouverture. Tout ce travail a été effectué, selon lui, dans le but de recueillir les avis et amendements pour s'accorder sur le démarrage effectif de la mobilisation des fonds des notaires.
Cette journée d'échanges, qui se tient ce 14 juin 2022 à Ouagadougou, constitue alors, dit-il, l'ultime action à réaliser avant l'entrée effective de la phase de mobilisation et de gestion des fonds des notaires. Il sera également question pour les acteurs de s'assurer d'une bonne appropriation des outils et procédures pour une meilleure réussite des opérations.
Les échanges qui se tiennent à cet effet, permettront aussi de présenter le contenu des procédures élaborées, d'exposer les rôles à jouer par chaque partie pour une bonne gestion des opérations confiées à la CDC, de présenter les supports élaborés pour les différentes opérations afin de permettre d'ores et déjà aux différents acteurs de la chaîne de se familiariser à leur usage, a expliqué le secrétaire général, tout en précisant que ces échanges permettront par ailleurs de recueillir les attentes et les besoins des notaires afin de mieux satisfaire leurs différentes requêtes.
Prenant la parole au cours de ladite cérémonie, la trésorière de l'Ordre des notaires du Burkina Faso, Maître Stéphanie Moussiané, a invité ses collègues à poser toutes les questions qu'il faut afin qu'au sortir de cette rencontre, ils puissent faire un pas de géant vers la concrétisation dudit projet. « Et que vraiment chaque étude notariale puisse effectivement recourir aux services de la CDC pour être satisfaite », a-t-elle laissé entendre.
Yvette Zongo
Lefaso.net
Ouagadougou abrite du 14 au 16 juin 2022, l'atelier technique de finalisation et de validation du rapport d'achèvement du projet 1 du Programme de renforcement de la résilience à l'insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel (P1-P2RS). Organisé par le Comité permanent inter-États de lutte contre la sécheresse dans le Sahel (CILSS), en collaboration avec la Banque africaine de développement (BAD), cet atelier permettra de tirer les leçons de la première phase du programme, afin de mieux de réussir la deuxième phase, en cours de formulation.
Face à une insécurité alimentaire et nutritionnelle accrue dans les pays sahéliens, il importe d'augmenter la résilience des ménages ruraux aux changements climatiques, de financer à long terme le secteur agricole et de développer les échanges commerciaux. Lancé depuis 2015, le Programme de renforcement de la résilience à l'insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel veut changer la donne « en aidant les ménages vulnérables à accroître leurs revenus, à accéder aux infrastructures et services de base et à construire un patrimoine permettant de renforcer durablement leurs moyens d'existence ».
Sept pays bénéficiaires
Mises en œuvre dans les sept pays sahéliens les plus affectés par les crises alimentaires, à savoir au Burkina Faso, en Gambie, au Mali, en Mauritanie, au Niger, au Sénégal et au Tchad, toutes les composantes du projet 1-P2RS devaient initialement prendre fin en 2020. Mais suite à plusieurs prorogations, cette première phase sera clôturée dans la plupart des pays en juin 2022 à l'exception du Tchad dont la composante prendra fin en février 2023. En attendant, les parties prenantes se sont retrouvées à Ouagadougou pour finaliser et valider le rapport d'achèvement du projet élaboré par les consultants de la BAD.
Un programme « original »
Selon le secrétaire exécutif du CILSS, Dr Abdoulaye Mohamadou, ce rapport synthétise l'ensemble des données et informations tirées des composantes nationales et de la composante régionale du P2RS, un programme « original » par sa durée de 20 ans, mais aussi par ses objectifs de renforcement de la résilience. L'atelier de Ouagadougou permettra, à l'en croire, de présenter les principaux acquis enregistrés, mais aussi d'apprécier le niveau atteint des indicateurs, des produits et d'effets de chaque composante.
Les acquis pour le Burkina
Selon le secrétaire exécutif du Conseil national de sécurité alimentaire, Léopold Nanéma, la phase 1 du P2RS a contribué à travers ses actions à résoudre les problèmes structurels de l'insécurité alimentaire au Burkina à travers des investissements structurants dans les régions du Centre, du Centre-sud, du Centre-ouest, du Plateau central, de la Boucle du Mouhoun et du Sahel. Il s'agit notamment de l'aménagement de périmètres irrigués qui a permis l'amélioration de la production de riz, la récupération des terres, la construction de parcs, l'aménagement de jardins nutritifs qui a permis d'améliorer l'alimentation des enfants de moins de cinq ans.
Attentes du Burkina pour la formulation de la phase 2
Le secrétaire exécutif du CILSS a informé les participants que le processus de formulation du projet 2 du P2RS est bien avancé. Le rapport des pays bénéficiaires a été élaboré et sera présenté au conseil d'administration de la Banque africaine de développement en septembre prochain pour son approbation.
Selon le consultant-facilitateur qui a accompagné la préparation de ce rapport d'achèvement, la phase 2 pourrait couvrir tous les treize États-membres du CILSS. Pour cette deuxième phase, le Burkina Faso attend que les actions soient renforcées et que la couverture géographique du projet soit étendue à d'autres régions du pays.
Fredo Bassolé
Lefaso.net
Ce mardi 14 juin 2022 se tient à Ouagadougou, la restitution de l'étude « Une approche territoriale et anticipatrice pour une transhumance apaisée. Illustration à la frontière entre le Togo et le Burkina Faso ». C'est une étude financée conjointement par la FAO et la Coopération suisse dans le cadre du projet « Mobilité pastorale transfrontalière et prospective territoriale pour la paix et l'intégration ».
Ce sont au moins 50 millions de personnes qui vivent de l'élevage au Sahel. Un élevage qui repose en grande partie sur le pastoralisme et donc la mobilité du bétail à la recherche de pâturages. Malheureusement les multiples attaques terroristes ont entraîné un déplacement massif des pasteurs et agropasteurs du Sahel vers les pays côtiers avec par moment des conflits transfrontaliers. « Ces déplacements massifs du bétail vers ces sites d'accueil créent des tensions entre les différents utilisateurs de ressources naturelles notamment liées aux dégâts causés aux cultures, mais également à l'installation souvent anarchique des agriculteurs obstruant ainsi le parcours des animaux », explique Ibrahim Alassane Ouédraogo, qui a représenté le représentant de la FAO au Burkina Faso à la cérémonie.
C'est donc pour faire face à cette situation et pour renforcer les mécanismes déjà mis en place par les autorités locales, que la FAO, la Coopération suisse et leurs partenaires dont le CIRAD, ISRA, CDD, RECOPA, ont initié une approche anticipatrice permettant d'aboutir à une stabilité et à une cohésion sociale entre les différentes communautés d'éleveurs et d'agriculteurs à la frontière entre le Togo et le Burkina Faso contenue dans l'étude « Une approche territoriale et anticipatrice pour une transhumance apaisée. Illustration à la frontière entre le Togo et le Burkina Faso ». Il s'agit d'une approche innovante de prospective territoriale mise en œuvre en 2019-2020 à la frontière entre le Togo et le Burkina Faso.
Cette étude s'inscrit dans le cadre du projet « Mobilité pastorale transfrontalière et prospective territoriale pour la paix et l'intégration ». Il s'agit d'un projet qui a pour objectif de permettre aux acteurs locaux et aux décideurs de replacer le pastoralisme dans le développement transfrontalier et de s'extraire des tensions actuelles en imaginant différents futurs pour leur territoire. Le projet vise également à offrir des espaces de concertation et une formation à des experts locaux représentatifs de plusieurs facettes de la population du territoire transfrontalier et à formuler des propositions d'actions concrètes pour une transhumance apaisée, en se centrant sur l'amélioration de la coopération transfrontalière, la gouvernance locale et la sécurité.
A en croire le directeur de cabinet du ministre de l'agriculture, des ressources animales et halieutiques, Karim Konseimbo, « Cette approche permet aux acteurs locaux et aux décideurs de replacer le pastoralisme dans le développement transfrontalier, à travers des espaces de dialogues entre les différents experts locaux du territoire transfrontalier maîtrisant déjà l'outil pour une meilleure gouvernance de leur territoire. »
L'atelier de restitution qui se tient ce 14 juin 2022 sera l'occasion de présenter à la cinquantaine de participants, les résultats de l'étude et leurs prolongements dans les dialogues local et régional sur la coopération transfrontalière et la transhumance apaisée. Cet atelier constitue aussi un cadre d'échanges sur les besoins et les visions des acteurs du Burkina Faso.
L'exécution de l'étude et sa restitution s'inscrivent dans les missions du département de l'Agriculture, des ressources en eau et de l'environnement de l'UEMOA sur les thèmes du renforcement de la gouvernance en matière de conservation et de valorisation durable des ressources naturelles, de gestion des ressources naturelles transfrontalières et de promotion d'un environnement sain et durable dans l'espace communautaire. L'atelier contribuera également au programme de promotion du pastoralisme au sein de la FAO, ainsi qu'au programme d'appui du bureau régional de la Coopération suisse à la gouvernance transfrontalière.
Justine Bonkoungou
Lefaso.net
Le ministre de la Fonction publique, du travail et de la protection sociale, Bassolma BAZIE a tenu une rencontre avec les membres de la communauté des Burkinabè résidant en Suisse et en France voisine, le jeudi 9 juin 2022, à la Mission, Représentation permanente du Burkina Faso à Genève.
Monsieur le Ministre de la Fonction publique, du travail et de la protection sociale avait à ses côtés Madame la Représentante Permanente adjointe, Son Excellence Éliélé Nadine TRAORE, ainsi que les membres de son cabinet. En introduisant la rencontre, le Ministre Bassolma BAZIÉ a salué toutes celles et tous ceux qui ont effectué le déplacement, malgré leurs contraintes socioprofessionnelles, et qui ont parcouru de longues distances, pour y part prendre. Il a dit toute son admiration pour les efforts fournis par les Burkinabè vivant à l'étranger et particulièrement en Suisse, louant la qualité de leurs rapports et interactions avec leur pays d'accueil.
Il a aussi félicité les participants pour leur mobilisation, signe d'attachement à la mère-patrie, et a invité les uns et les autres à des échanges à bâton rompu, l'intérêt mutuel étant l'échange d'informations sur la situation au Burkina Faso, le partages d'idées et de bonnes pratiques. En termes de mesures et de réformes à entreprendre pour une refondation réussie, la part contributive de la diaspora est de la plus haute importance, a-t-il dit. Le Burkina Faso a besoin du rôle qu'ils jouent dans le cadre de son rayonnement à travers le monde, a-t-il assuré.
Après cette introduction, Monsieur Bassolma BAZIE a situé le cadre de son séjour à Genève : la participation, avec une délégation tripartite (Gouvernement, représentants du patronat, représentants des travailleurs) à la 110ème Session de la Conférence internationale du travail et à la 32ème Session du Conseil des Ministres de la Conférence interafricaine de la prévoyance sociale (CIPRES). Il a souligné l'intérêt de la participation pour notre pays à ces instances, en tant que cadres d'élaboration et d'adoption des normes internationales du travail et de suivi évaluation de leur application au niveau des pays, de renforcement de capacités pour les participants, etc.
Les échanges ont ensuite tourné autour de la situation nationale, de la gestion de la crise sécuritaire, du renchérissement du coût des produits de première nécessité (vie chère), des stratégies développées par le Gouvernement et ses partenaires sociaux pour amortir la pression ressentie par les populations, de même que des efforts déployés pour instaurer un climat social apaisé, notamment par la promotion du dialogue. Il a aussi été question de la détermination du Gouvernement à assainir le cadre normatif du travail et de l'administration publique et privée, à rationaliser les ressources publiques, en passant, entre autres, par une réduction du train de vie de l'État. Autre point d'intérêt abordé, le Plan stratégique de développement de l'administration du travail 2022-2026 qui vient d'être élaboré et dont la mise en œuvre va corriger nombre de dysfonctionnements constatés dans l'application des textes normatifs.
Abordant les questions de l'actualité brulante au Burkina Faso, Monsieur le Ministre a relaté les péripéties du drame survenu dans la mine de zinc de Perkoa, dans la province du Sanguié (Région du Centre-Ouest). Il a présenté l'évolution des recherches des personnes disparues, avec la forte implication du gouvernement, ainsi que certaines mesures conservatoires prises dans la gestion de cette crise.
Il a clos son propos liminaire en appelant à « désarmer les cœurs pour la reconstruction de la paix et de la cohésion, du tissu social endommagé », prônant les vertus du dialogue. Monsieur le Ministre n'a pas manqué de saluer et de magnifier la résilience du peuple burkinabè face à ses challenges aux niveaux sécuritaires, socioéconomiques et politiques.
Présent à la rencontre, le délégué au Conseil supérieur des Burkinabè de l'étranger (CSBE), Monsieur Tahirou Komi a exprimé, au nom de toutes et de tous, des sentiments de satisfaction pour la tenue de cette rencontre avec Monsieur le Ministre de la Fonction publique, du travail et de la protection sociale. « Merci d'avoir pensé à nous », a-t-il salué.
Les interventions, (questions, contributions et doléances) ont essentiellement porté sur :
Les mécanismes envisagés pour assurer la sécurité des travailleurs sur leurs lieux de travail et la situation des responsabilités dans le drame de Perkoa ;
Les capacités de l'Etat et des FDS à endiguer les attaques terroristes et à ramener les populations dans leurs terroirs ;
Les stratégies pour ramener les fils et filles du pays qui ont pris les armes à de meilleurs sentiments envers leurs pays et à déposer les armes ;
Les difficultés que rencontrent les jeunes de la diaspora pour s'insérer dans la fonction publique ou se faire employer dans les structures privées, sinon créer leurs propres entreprises ;
Les orientations du Gouvernement en termes d'amélioration du code minier au Burkina Faso et de réduction des pertes de capitaux ;
Les réformes attendues dans le système éducatif en vue d'arrêter de former des diplômés généralistes, mais plutôt former des travailleurs dans les domaines techniques et scientifiques recherchés au Burkina Faso ;
Les mécanismes pour faciliter une meilleure contribution de la diaspora à la dynamique du développement national ;
Les potentialités et opportunités d'investissement, l'accompagnement de l'entrepreneuriat et des apports innovants de la diaspora par l'Etat ;
Les difficultés d'obtention de postes de stages académiques et/ou de formation professionnelle par les étudiants Burkinabè qui suivent leurs études à l'étranger.
A toutes ces préoccupations, Monsieur le Ministre a apporté des réponses, tout en insistant sur la solidarité dans l'action, la nécessité d'accompagner les autorités de la Transition, pour qu'au terme de leur mission, elles laissent derrière elles un pays confiant en son avenir, une gouvernance vertueuse et des institutions fortes.
Madame l'Ambassadeur, Représentante permanente adjointe a formulé les encouragements ainsi que les engagements de la Mission permanente à accompagner toute initiative et action allant dans le sens de la mobilisation de nos compatriotes vivant en Suisse pour l'atteinte des objectifs susmentionnés.
Ambassade, Mission Permanente du Burkina Faso à Genève
La coordination de la nouvelle société civile de l’Ituri a dénoncé, lundi 13 juin, l’installation de plus de 70 barrières « illégales » par des agents de l’ordre et des services de l’Etat sur les routes dans le territoire de Mambasa.
Dans une interview à Radio Okapi, le coordonnateur de la nouvelle société civile de l’Ituri, John Vuleverio a affirmé qu’il s’agit notamment du tronçon Makeke-Edingwe sur la route nationale 44 et sur l’axe Komanda-Mambasa-Niania.
La 12e Conférence ministérielle de l'Organisation mondiale du Commerce (OMC) s'est ouverte le dimanche 12 juin 2021 au siège de l'OMC à Genève. Le Ministre du Développement industriel, du Commerce, de l'Artisanat et des Petites et Moyennes Entreprises, Monsieur Abdoulaye TALL, est arrivé à Genève le vendredi 10 juin 2022, afin de prendre part aux travaux de cette rencontre de haut niveau.
Pour débuter son programme, il a effectué une visite à la Mission, Représentation permanente du Burkina Faso à Genève. Monsieur le Ministre a tenu une rencontre de travail avec son Excellence Monsieur Dieudonné W. Désiré SOUGOURI, Ambassadeur, Représentant permanent, ses collaborateurs et les techniciens, membres de la délégation venue du Burkina Faso.
Les techniciens qui ont accompagné Monsieur le Ministre sont issus de différentes structures institutionnelles et privées traitant de la problématique du commerce mondiale et spécifiquement des questions du coton : la Direction générale du Commerce ; la Direction générale de la coopération multilatérale du ministère en charge du Commerce ; le Secrétariat permanent de la filière coton libéralisée ; le Cadre Intégré Renforcé ; le Conseil burkinabè de l'anacarde ; la Chambre de Commerce et d'Industrie du Burkina Faso.
La séance de travail a consisté à passer en revue le programme du séjour de Monsieur le Ministre, élaboré par la Mission Permanente de Genève. Elle a permis aussi d'aborder des questions relatives aux conditions idoines de participation de tous aux divers travaux prévus sur divers sites. Monsieur le Ministre a saisi l'occasion pour féliciter son Excellence Monsieur l'Ambassadeur, SOUGOURI, pour toutes les dispositions prises en vue de faciliter la participation du Burkina Faso et surtout pour les efforts de coordination consentis par la Représentation Permanente, à la tête du C-4 (Benin, Burkina Faso, Mali, Tchad) plus la Côte d'Ivoire (pays observateur), en lien avec la capitale.
Cette activité a été suivie par la participation de Monsieur le Ministre à la réunion préparatoire des Ministres du commerce du C-4, qui s'est tenue au sein de la salle B de l'Organisation mondiale du Commerce (OMC). La réunion a consisté à faire le point des négociations sur le coton, à prendre des décisions sur la participation du C-4 plus la Côte d'Ivoire à la 12ème Conférence ministérielle (CM12).
Aux termes de cette réunion, Monsieur le Ministre du Commerce du Burkina Faso, Ministre Coordonnateur du Coton-4 ou C-4 a précisé : « Le C-4 a entrepris de se concerter sur les préoccupations communes liées à la production et à l'exportation du coton, notamment sur les distorsions créées par les subventions au niveau des pays développés à leurs producteurs de coton. Nous nous sommes rencontrés pour examiner et valider les éléments de notre participation, et voir aussi comment faire avancer les choses en faveur des cotonculteurs et des populations de nos pays. »
Les participants à cette rencontre ont été ensuite reçus par la Directrice générale de l'OMC, Madame Ngozi Okonjo-Iweala. La première responsable de L'OMC a souhaité la bienvenue au C-4 plus la Côte d'Ivoire et a salué la présence de tous à l'OMC, pour prendre part aux travaux de la CM12. Elle a dit toute la confiance qu'elle plaçait en la contribution de tous et de toutes à l'atteinte des objectifs de la CM12, en termes d'examen du fonctionnement du système commercial multilatéral et de prise de mesures pour les travaux futurs de l'OMC.
Des Ministres du monde entier prennent part à cette Conférence. Ils porteront la voix de leur pays ou organisations, à travers des déclarations axées sur les défis pour le système commercial multilatéral.
La CM12 qui se déroule du 12 au 15 juin 2022 est organisée conjointement avec le Kazakhstan et présidée par M. Timur Suleimenov, Chef de cabinet adjoint du Président du Kazakhstan. Repoussée à plusieurs reprises, la CM12 devait initialement se tenir au Kazakhstan en juin 2020, mais a été reportée en raison de la pandémie de COVID-19.
L'Organisation mondiale du commerce (OMC) est la seule organisation internationale à vocation mondiale qui s'occupe des règles régissant le commerce entre les pays. Au cœur de l'Organisation se trouvent les Accords de l'OMC, négociés et signés par la majeure partie des puissances commerciales du monde et ratifiés par leurs parlements. Le but est de favoriser autant que possible la bonne marche, la prévisibilité et la liberté des échanges.
Instance de l'OMC, la Conférence ministérielle, qui est son organe de décision suprême, se réunit habituellement une fois tous les deux ans. Elle rassemble tous les 164 pays Membres de l'OMC. La Conférence ministérielle est habilitée à prendre des décisions sur toutes les questions relevant de tout accord commercial multilatéral.
Ambassade, Mission Permanente du Burkina Faso à Genève
La ministre de la Justice, Rose Mutombo a ouvert, lundi 13 juin à Kinshasa, les travaux de la conférence sur la coopération judiciaire entre les Etats membres de la Conférence internationale sur la région des Grands lacs(CIRGL).
La Mission de l’ONU en RDC a organisé lundi 13 juin une campagne de sensibilisation à l’attention des jeunes et des femmes de la ville d’Uvira (Sud-Kivu). L’objectif était de « contribuer aux efforts de renforcement des mécanismes de résolution des conflits pour la promotion de la paix et la cohésion sociale entre les communautés locales ».
Selon Aimée Ramazani, facilitatrice de cette campagne, les jeunes ont déploré le faible effectif des forces de l’ordre et des agents de sécurité pour faciliter la restauration de l’autorité de l’Etat.
Le syndicat national des enseignants catholiques, (SYNECAT) a lancé officiellement le projet ''motos à crédit'', lundi 13 juin au lycée Chirezi à Bukavu (Sud Kivu). C’est une initiative d’un partenaire de l’Education, en collaboration avec une entreprise de la place.
Bujumbura, capitale du Burundi, abrite ce mardi 14 juin une table ronde régionale conjointe sur la paix et la sécurité des pays membres de la conférence internationale sur la région des Grands lacs (CIRGL).
La cité de Bunagana (Nord-Kivu) est occupée par les rebelles du groupe terroriste M23, depuis lundi 13 juin, avec l’appui militaire du Rwanda, selon un communiqué des Forces armées de la République du Congo (FARDC). Cette occupation de Bunagana intervient 10 ans après une autre occupation de cette cité par la même rébellion.
Pour plusieurs analystes, cette cité est stratégique, puisque frontalière avec l’Ouganda voisin.
Les enseignants du territoire de Gungu, dans la province éducationnelle de Kwilu 3, sont descendus dans la rue lundi 13 juin. Ils exigent le paiement de leurs salaires des mois d’avril et de mai 2022 par l’Ecobank, la banque chargée de leur paie.
Dans un memo lu devant l'administrateur du territoire, ils disent être payés chaque fois en retard, soit 65 jours après l’échéance et avec beaucoup de difficultés.
Dans ce communiqué en date du 14 juin 2022 parvenu à la rédaction du Faso.net, la Coordination des associations pour la libération de Roch Kaboré suspend l'ensemble de ses activités prévues cette semaine. Cette décision est un élan de solidarité et de compassion au regard de la "tragédie" de Seytenga et en considération des attaques multiples qui endeuillent le Burkina Faso, peut-on lire dans le communiqué.
1. DESCRIPTION
Dans le cadre de ses activités, une institution financière est à la recherche des personnes dynamiques, forces de proposition et motivées pour participer à des séances de focus group.
Spécificité : Utilisateurs des engins à deux ou trois roues
Structure recruteur : Institution financière
Poste à pourvoir : 10
Disponibilité : Sur planification
2. PROFIL
Les profils recherchés :
• Parents d'élèves ;
• Commerçant de moto ;
• Fonctionnaires ;
• Étudiants et élèves ;
• Comptable, gestionnaire de moyen généraux, gestionnaire des ressources humaines dans les ONG.
NB : Les profils devront s'exprimer convenablement en français et devront avoir l'art de la critique.
Pour chaque profil (02) deux personnes seront retenues.
3. COMPOSITION DU DOSSIER DE CANDIDATURE
Le dossier de candidature doit être composé comme suit :
une demande adressée au Directeur Général ;
un curriculum vitae.
4. DATE ET LIEU DE DEPOT DES DOSSIERS
Les dossiers de candidature devront être envoyés dans un dossier unique contenant toutes les pièces à l'adresse e-mail suivante : depots.de.candidatures@gmail.com au plus tard le lundi 20 juin 2022 à 12h00.
5. PROCÉDURE DE RECRUTEMENT
Le recrutement se fera sur examen de dossier et d'un entretien avec les candidats. Seuls les candidats présélectionnés seront contactés pour l'entretien.
Les familles Zibare et Somda à Boala et Tansebla
Les familles Idogo, Oulon, Yogo, Nebié, Neyaga, Yago, Nessa à Ouagadougou, aux États Unis d'Amerique, en France, à Guiaro, Bouya, Saro, Boli, Betaré, Kolo, koro, et Pô,
Les familles alliées Bêkouanè à Tanssabla, Dissin et Ouagadougou, la famille Mêtoualê à Nakar, Awia, Sanogo , Son, Ayissé, Traoré, Cissé, Lagafo
Les familles Lamiens, Yanogo et Bounkoungou
La veuve Zibaré N Claudette, ses enfants Ben Ibrahim, Amed Moctar, Ana Gisèle et Nandy Roxane
Ont la profonde douleur de vous annoncer le décès de leur époux, père, frère et oncle Boukary Zibaré, premier maire de la commune de Guiaro, banquier à la retraite, décès survenu le 12 juin 2022 à Ouagadougou des suites de maladie.
La levée du corps aura lieu le mercredi 15 juin 2022 à 16 heures à la morgue de l'hôpital Yalgado ouedraogo.
Une veillée de prière aura lieu le mercredi à partir de 20 heures à son domicile à Somgande.
La dépouille mortelle quittera Ouagadougou le jeudi 16 juin à 5h du matin suivi de l'enterrement à 14heures à Boala dans le Nahouri, département de Guiaro,
Union de prière !
La société de sécurité privée SECURICOM PROTECT recrute divers profils pour la mise en place de dispositifs sécuritaires au profit d'une mission diplomatique établie à Ouagadougou au Burkina Faso :
PROFILS ET CONDITIONS
1 – Responsable local des opérations de gardiennage :
Salaire net compris entre 150 000 et 250 000 Francs CFA outre les avantages sociaux.
Connaissance approfondie des conditions de sécurité au Burkina Faso et expérience récente au Burkina Faso ;
Expérience dans la supervision d'une équipe d'agents de sécurité d'au moins 20 personnes attestée par une expérience minimale de 5 ans à un poste international similaire dans un pays aux conditions de sécurité instables, de préférence auprès de missions diplomatiques ou de représentations d'organisations internationales, certifiée par des lettres de référence des anciens employeurs et/ou des employeurs actuels ;
Une expérience de chef de section dans l'armée ou de commandant de brigade de gendarmerie/Police serait un atout.
Très bonne connaissance des équipements de radiocommunication et des procédures opérationnelles de radiocommunication ;
Avoir un niveau d'étude de la classe de 3e au moins ;
Maîtrise satisfaisante de l'outil informatique Word ;
Très bonne connaissance des soins de premiers secours et des soins aux victimes de traumatismes ainsi que de la lutte contre les incendies, attestée par les brevets correspondants, aptitude à dispenser une formation concernant les exercices de base de lutte contre les incendies, et qualification à cet effet ;
Expérience professionnelle dans la réalisation d'évaluations des besoins en formation, et dans la conception et la fourniture de programmes de formation sur mesure.
Excellente connaissance de la législation nationale du Burkina Faso et des principes directeurs reconnus à l'échelle internationale (c'est-à-dire légalité, nécessité, proportionnalité et responsabilité) concernant le recours à la force physique ;
Casier judiciaire vierge, attesté par un certificat de bonne vie et mœurs délivré par les autorités compétentes ;
Excellent état de santé et excellente condition mentale et physique, attestés par un certificat médical.
2 – Analyste des informations de sécurité :
Salaire net compris entre 300 000 et 400 000 Francs CFA outre les avantages sociaux.
• Diplôme de l'armée ou de la police du Burkina Faso, et au minimum 5 années de service dans l'armée ou la police, idéalement avec une expérience récente de travail dans le domaine du renseignement ou de l'analyse opérationnelle ;
• Ou bien diplôme universitaire en relations internationales ou sciences humaines ou en journalisme, idéalement avec une expérience professionnelle récente d'une durée minimale de 2 années consécutives au cours des 5 dernières années, à un poste national ou bien international en relation avec l'analyse de l'information de sécurité ou dans le domaine de l'analyse politico-
Sécuritaire ;
• Une expérience professionnelle passée qui est attestée par des lettres de référence des anciens employeurs et/ou des employeurs actuels au Burkina Faso en particulier, sinon dans des pays du Sahel proches du Burkina témoignant :
d'une connaissance approfondie des conditions locales de sécurité ;
d'une capacité d'acquérir de manière autonome des informations à partir de multiples sources reconnues, francophones et anglophones, et le cas échéant arabophones ;
d'une maitrise des techniques d'analyse-exploitation critique de multiples sources documentaires, soit dans le cadre du suivi des relations internationales ou bien de recherches en sciences humains ou sociales ;
d'une aptitude avérée à produire des analyses et des synthèses en langue française sur la menace et les risques ;
• Avoir un niveau d'étude de la classe de 3e au moins ;
• Une connaissance avérée de l'anglais écrit est recommandée ; la maitrise d'un ou plusieurs dialectes locaux est indispensable ; la connaissance langue arabe sera un avantage notable ;
• Maîtrise des applications de bureautique Word et Excel ;
• Permis de conduire européen en cours de validité catégorie B ;
• Connaissance des soins de premiers secours, attestée par les certificats correspondants ;
• Casier judiciaire vierge, attesté par un certificat de bonne vie et mœurs délivré par les autorités compétentes ;
• Excellent état de santé et excellente condition mentale et physique, attestés par un certificat médical.
3 – Un Chef de patrouille de sécurité mobile :
Salaire net compris entre 142 000 et 150 000 Francs CFA outre les avantages sociaux.
• Expérience dans la sécurité : 3 ans au minimum à un poste lié à la sécurité (forces armées, services de sécurité, société de sécurité privée), de préférence auprès de missions diplomatiques ou de représentations d'organisations internationales, certifiée par des lettres de référence des anciens employeurs et/ou des employeurs actuels ;
• Avoir un niveau d'étude de la classe de 4e au moins ;
• Bonne aptitude au combat non armé, y compris l'utilisation d'aérosols poivrés (si cette utilisation est autorisée par la législation locale) ;
• Bonne connaissance des équipements et des procédures opérationnelles de radiocommunication ;
• Bonne connaissance des soins de premiers secours ainsi que de la lutte contre les incendies, attestée par les brevets correspondants ;
• Permis de conduire en cours de validité maximum catégories C et C1.
• Casier judiciaire vierge, attesté par un certificat de bonne vie et mœurs délivré par les autorités policières compétentes ;
• Excellent état de santé et excellente condition mentale et physique, attestés par un certificat médical.
4 – Un Conducteur de patrouille de sécurité mobile :
Salaire net compris entre 130 000 et 140 000 Francs CFA outre les avantages sociaux.
• Expérience dans la sécurité : 3 ans au minimum à un poste lié à la sécurité (forces armées, services de sécurité, société de sécurité privée), de préférence auprès de missions diplomatiques ou de représentations d'organisations internationales, certifiée par des lettres de référence des anciens employeurs et/ou des employeurs actuels ;
• Permis de conduire en cours de validité catégorie B et 5 années d'expérience comme chauffeur ;
• Avoir un niveau d'étude de la classe de 4e au moins ;
• Bonne aptitude au combat non armé, y compris l'utilisation d'aérosols poivrés (si cette utilisation est autorisée par la législation locale) ;
• Bonne connaissance des équipements et des procédures opérationnelles de radiocommunication ;
• Bonne connaissance des soins de premiers secours ainsi que de la lutte contre les incendies, attestée par les brevets correspondants ;
• Casier judiciaire vierge, attesté par un certificat de bonne vie et mœurs délivré par les autorités policières compétentes ;
• Excellent état de santé et excellente condition mentale et physique, attestés par un certificat médical.
5- Opérateur Radio
Salaire net compris entre 136 000 et 140 000 Francs CFA outre les avantages sociaux.
• Expérience attestée de 2 ans au minimum dans l'utilisation de systèmes et équipements de radiocommunication, de préférence dans un environnement international ou étranger, auprès de missions diplomatiques ou de représentations d'organisations internationales ;
• Connaissance des opérations générales effectuées sur un central téléphonique, par exemple passer et recevoir des appels, transférer des appels sur le réseau interne, prendre des messages et répondre aux demandes générales des appelants ;
• Avoir un niveau d'étude de la classe de 3e au moins ;
• La maitrise d'au moins l'un des dialectes locaux dominant est indispensable ;
• La connaissance de l'anglais serait un atout notable.
• Maîtrise des outils bureautiques ;
Une capacité à utiliser des outils informatiques de base sera un avantage pour appuyer les activités administratives et logistiques.
6- Des agents de sécurité
Salaire net compris entre 125 000 et 130 000 Francs CFA outre les avantages sociaux.
• Expérience dans la sécurité : 2 ans au minimum à un poste lié à la sécurité (forces armées, services de sécurité, société de sécurité privée), de préférence auprès de missions diplomatiques ou d'organisations internationales, certifiée par des lettres de référence des anciens employeurs et/ou des employeurs actuels ;
• Avoir un niveau d'étude de la classe de 3e au moins ;
• Formation et compétence en matière d'utilisation des équipements d'agent de sécurité, certifiées par un dossier de formation et les résultats de tests ;
• Connaissance des équipements et des procédures opérationnelles de radiocommunication ;
• Connaissance des soins de premiers secours ainsi que de la lutte contre les incendies, attestée par les brevets correspondants ;
• Compétences de base en matière de techniques de maîtrise et d'immobilisation sans armes ;
• Casier judiciaire vierge, attesté par un certificat de bonne vie et mœurs délivré par les autorités compétentes ;
• Excellent état de santé et excellente condition mentale et physique, attestés par un certificat médical.
DOCUMENTS A FOURNIR
• Une demande manuscrite adressée à Monsieur le Gérant de SECURICOM PROTECT, précisant le poste pour lequel le candidat postule et indiquant ses différents numéros de téléphone ainsi que sa résidence.
• Un Curriculum vitae (CV) mis à jour et retraçant le parcours professionnel du candidat ;
• La photocopie légalisée ses diplômes et attestations de formation ;
• la copie des attestations de travail ;
• Quatre (04) extraits de naissance ou photocopies légalisées d'extrait d'acte de naissance
• Deux (02) photocopies légalisées de la Carte Nationale d'Identité Burkinabè
• Une copie reste dans le dossier de l'agent
• Une copie va servir à l'immatriculation de l'agent à la caisse nationale de sécurité sociale dans un délai de 08 jours à compter de sa date de recrutement
• La copie légalisée de la Carte Nationale d'Identité Burkinabè et les numéros de téléphone de deux (2) personnes de références à joindre en cas de besoin ;
• Une (01) copie du numéro de compte bancaire
• Deux (02) photos d'identité récentes
NB : Les Candidats retenus devront fournir la copie légalisée de leurs diplômes et attestations de formation et certificat de travail avant la signature du contrat de travail :
DEPOT DES CANDIDATURES
Les personnes intéressées et répondant aux profils ci-dessus décrits doivent envoyer leurs dossiers complets au siège de SECURICOM PROTECT situé à Zogona, non loin de l'Université Joseph KY-ZERBO, presqu'en face de l'Ex- Lycée Technique de Ouagadougou (LTO). Pour toutes informations complémentaires, appelez au 55 25 50 50 / 73 22 49 25.
NB : Tout dossier incomplet sera rejeté.
Date limite de dépôt des candidatures : le 22 juin 2022 à 16 heures.