Après une longue attente, la diaspora algérienne peut enfin voyager à sa guise depuis et vers l’Algérie. Et ce, après le renforcement du programme maritime et aérien annoncé par le ministre des transports, en mai dernier. Pour sa part, la compagnie aérienne nationale, a entamé la vente de son nouveau programme spécial saison estivale, le […]
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Dans le dernier bilan des contaminations à la Covid-19, communiqué par le Ministère de la Santé ce mercredi 15 juin 2022, ce dernier fait état de neuf (9) nouvelles contaminations à la Covid-19, recensées au cours des dernières 24 heures, contre six (6) cas de contamination recensés hier. Ce même bilan fait état de quatre (4) cas […]
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Durant cet été, Abdelkahar Kadri pourrait rejoindre un autre club belge ayant de plus hautes ambitions sportives. Il s’avère être dans le viseur de l’Union Saint-Gilloise, vice-champion en titre lors de la saison écoulée. Dans le cas où ce transfert se concrétise, le joueur aura l’opportunité de jouer la ligue des champions européenne lors du […]
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Arrivant sur le territoire américain en 2017, Ahmed Ould Meziane s’est installé à Philadelphie. Malheureusement, le temps a fait que ce père de famille âgé de 42 ans, aux origines algériennes, tombe malade et décède le 14 juin 2022, après avoir été hospitalisé pendant trois jours. Par ailleurs, conscients des tarifs et des frais que […]
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Les troupes de la MONUSCO se trouvent présentement en position défensive à 4 km de Bunagana et envisagent, dans le cadre des opérations en cours, de reprendre la position de cette cité du Nord-Kivu passée aux mains du M23 depuis lundi dernier. Le porte-parole de la force de la mission onusienne, lieutenant-colonel Frederic Harvey, l'a révélé mercredi 15 juin au cours de la conférence de presse des Nations unies à Kinshasa.
Plusieurs camions citernes transportant du carburant ont été détournés le mardi 14 juin 2022 sur l'axe Kantchari Matiacoali, à l'Est du Burkina Faso, selon des informations de notre confrère Wakat Séra.
L'action s'est passée précisément dans les encablures de Namoungou. Quatre chauffeurs dont les citernes ont été retirées, tous des Maliens, sont arrivés à Fada N'Gourma tandis que d'autres chauffeurs qui sont des Nigériens ont préféré retourner vers le Niger, donc à Kantchari.
Ce sont au total quatorze citernes qui ont été retirées, selon les chauffeurs qui se sont présentés à un poste de Douane. D'après leurs témoignages, les individus armés qui ont détourné les camions, les ont obligés à les conduire dans la brousse.
Une fois arrivés, les mêmes hommes armés les ont ramenés au goudron et chacun devait se débrouiller pour rentrer.
Lefaso.net
Ceci est une déclaration du parti Le Faso Autrement relative aux attaques terroristes survenues à Seytenga, dans la région du Sahel. Le parti de Ablassé Ouédraogo condamne « avec fermeté ces massacres horribles et indescriptibles ».
Déclaration du parti Le Faso Autrement sur les effroyables attaques terroristes à Seytenga, dans la province du Séno, dans la nuit du 11 au 12 juin 2022.
Suite aux abominables massacres de populations civiles à Seytenga, les 11 et 12 juin 2022, non encore revendiqués mais qui seraient imputés à l'Etat Islamique du Grand Sahara, avec un bilan provisoire officiel de 79 morts à la date du 13 juin 2022, de nombreux blessés et personnes déplacées, le parti Le Faso Autrement exprime sa compassion aux familles endeuillées, ses vœux de prompt rétablissement aux blessés et sa solidarité fraternelle aux personnes déplacées internes dans la détresse et le désespoir.
Le mercredi 08 juin 2022, trois personnes avaient déjà trouvé la mort. Par ailleurs, le jeudi 09 juin 2022, la Brigade Territoriale de Gendarmerie de Seytenga avait subi des attaques terroristes qui ont entrainé le décès de onze (11) Gendarmes. En outre, le 12 juin 2022, quatre policiers sont tombés à Yakouta dans la même province.
En ces moments très douloureux et difficiles pour notre pays, le parti le Faso Autrement réitère sa solidarité et son soutien indéfectibles à nos valeureuses Forces de Défense et de Sécurité ainsi qu'aux Volontaires de Défense de la Patrie et les félicite pour le travail accompli sur le terrain. Je les exhorte à la persévérance, à l'unité et à plus d'engagement.
Tout en condamnant avec fermeté ces massacres horribles et indescriptibles, nous appelons la population à rester derrière nos forces en lutte sur le terrain et à leur apporter tout le soutien dans cette lutte pour la défense de notre patrie et l'existence même du Burkina Faso. Nous invitons tout Burkinabè, quelle que soit son appartenance politique et sociale, à accompagner les Autorités de la Transition dans leur mission recadrée et recentrée sur la reconquête de l'intégralité du territoire national et la restauration de la sécurité et du vivre ensemble, autrefois symbole du Pays des Hommes intègres.
Le succès de cette mission ne sera possible que si les FDS, les VDP, les politiques, les OSC et les populations travaillent ensemble, main dans la main dans l'unité et le patriotisme comme un seul homme, pour sauver notre mère patrie, le Burkina Faso.
Ne dit-on pas que quand la pluie vous bat, il est inutile de vous battre mais de vous unir pour vous protéger et relever tous les défis communs auxquels vous êtes confrontés ?
Dieu bénisse et sauve le Burkina Faso, notre dénominateur commun.
« Rien n'arrête une idée arrivée à son heure »
Le Président
Dr Ablassé OUEDRAOGO
Commandeur de l'Ordre National
Un corps habillé a été blessé et un bandit tué dans un braquage qui a aussi enregistré une voiture calcinée, dans la nuit du 11 au 12 juin 2022, vers le pont de la Bougouriba, dans le Sud-Ouest.
Un braqueur tué, un élément des Forces de défense et de sécurité (FDS) blessé, un véhicule calciné et un autre criblé de balles. C'est le constat fait après un braquage perpétré dans la nuit du 11 au 12 juin 2022, non loin du pont de la Bougouriba, à 8 kilomètres de Diébougou, à destination de Dissin.
C'est un car de transport qui a été le premier à faire les frais des bandits armés aux environs de 21h30, selon des témoins. Profitant de l'obscurité, les passagers de ce car ont pris leurs jambes au cou, abandonnant leurs bagages, le chauffeur et l'apprenti.
De sources sécuritaires, il ressort que l'alerte a été donnée aux environs de 22 h par une unité mobile des douanes tombée dans l'embuscade et qui a pu s'échapper, avec cependant des impacts de tirs nourris sur son véhicule.
Un élément des FDS ayant quitté Diébougou, avec à bord quelques autres personnes pour se rendre à Dissin, est également tombé dans l'embuscade.
Il a riposté à la fusillade et a abattu un des braqueurs avant d'être atteint par une balle au ventre. Son véhicule, avec les occupants, a été criblé de balles.
Fort heureusement, selon les sources sécuritaires, les occupants ont eu la vie saine sauve. Alertées, les forces de sécurité de Diébougou se sont déployées sur les lieux et s'en sont suivis des échanges de tirs avec les braqueurs qui ont ensuite fui, abandonnant le corps de leur compagnon.
Aux dernières nouvelles, la vie de l'élément évacué à Bobo-Dioulasso serait hors de danger après l'extraction de la balle.
Une des victimes dont le véhicule a été complètement brûlé par les tirs revient sur le film du braquage.
« C'est aux environs de 21h 30 que j'ai quitté Diébougou et je rentrais chez moi non loin du pont de la Bougouriba. En chemin, j'ai été intercepté par les FDS qui m'ont informé qu'il y avait des tirs vers la Bougouriba. Je leur ai répondu que j'étais déjà informé mais que je partais dans mon village juste avant le pont. Arrivé devant ma maison, à peine garé, j'ai entendu des tirs dans le village, des tirs sur le pont et après le pont », a-t-il confié.
Descendu de son véhicule, il dit avoir éteint toutes les lumières de sa maison. C'est à ce moment, a-t-il poursuivi, qu'il a entendu un impact sur le véhicule qui a automatiquement pris feu.
Le témoin a affirmé avoir appelé les forces de l'ordre qui l'ont déconseillé de quitter son domicile.
« C'est ainsi que de manière impuissante, je regardais mon véhicule brûler avec de nombreux documents importants à l'intérieur », a-t-il laissé entendre.
Entre Djikologo et Diébougou, les braqueurs profitent généralement de l'état de dégradation avancée de la route, mais aussi de la forêt, pour dépouiller les passants.
Du reste ce braquage est le 2e du genre au même endroit depuis le début de l'année en cours.
Lefaso.net
Source : Agence d'information du Burkina
Le secrétaire général du ministère en charge de l'éducation nationale et de l'alphabétisation, Ibrahima Sanon, a présidé, ce mercredi 15 juin 2022 à Ouagadougou, l'atelier de diffusion des résultats de la recherche sur le nouveau modèle de classes passerelles pour améliorer l'éducation non formelle dans les six pays membres de la fondation Karanta en Afrique occidentale. C'est un projet mis en œuvre par la fondation Karanta, en partenariat avec le forum des éducatrices africaines (FAWE) et le Réseau ouest et le centre africain de recherche en éducation (ROCARE). Ainsi, les six pays concernés par le projet sont le Burkina Faso, la Côte d'Ivoire, la Guinée, le Mali, le Niger et le Sénégal.
« Un nouveau modèle de classes passerelles pour améliorer l'apprentissage des enfants et des jeunes non scolarisés dans les six pays membres de la fondation Karanta en Afrique de l'Ouest ». C'est l'intitulé d'un projet de recherche mené sur l'éducation non formelle, dont la diffusion des résultats a lieu ce 15 juin 2022 dans la capitale burkinabè en présence des différents acteurs. Il s'agit d'un projet porté par la fondation Karanta, en partenariat avec le forum des éducatrices africaines (FAWE) et le Réseau ouest et le centre africain de recherche en éducation (ROCARE). Les six pays bénéficiaires de ce projet sont en effet le Burkina Faso, le Mali, le Sénégal, le Niger, la Côte d'Ivoire et la Guinée.
Au niveau du Burkina Faso, l'étude a touché cinq régions à savoir le Centre, le Centre-sud, le Centre-ouest, le Centre-nord et l'Ouest. Son but, selon le secrétaire général du ministère en charge de l'éducation nationale, Ibrahima Sanon, c'est d'offrir de nouvelles opportunités aux enfants et jeunes non scolarisés ou déscolarisés de la tranche d'âge de 8 à 15 ans à travers le développement d'un programme d'alphabétisation et d'éducation non formelle dans les régions concernées. Ainsi, la recherche a été menée par une enquête dans les structures éducation non formelle des adolescents notamment des centres d'éducation de base non formelle (CEBNF), des centres d'alphabétisation /formation intensive pour le développement (AFID), des écoles du berger et de la bergère (EdB) et des écoles communautaires (ECom), a-t-il dit. C'est pourquoi, il est donc attendu des acteurs, selon lui, des observations, suggestions et recommandations sur les résultats de l'enquête.
Vers une formule harmonisée pour la prise en charge des besoins
Par ailleurs, il faut noter que le Burkina n'est pas à sa première expérience en matière de passerelles pour l'éducation non formelle, mais ce nouveau modèle permettra, selon le directeur de l'alphabétisation et de la formation des adultes pour le développement, Barké Tamboura, de prendre en charge les nombreux enfants qui sont en dehors de l'école. « Et les plus jeunes parmi eux pourront à travers les propositions faites dans cette étude bénéficier d'une éducation leur permettant de rejoindre l'école formelle et éventuellement, il y aura les plus âgés.
Et eux aussi pourront être orientés vers une formation préprofessionnelle leur permettant de s'insérer professionnellement dans leur société de base », a-t-il indiqué, tout en soulignant qu'il s'agit de voir parmi les nombreuses propositions qui seront faites, quelle est la plus efficace et la moins coûteuse permettant d'absorber ce grand nombre d'enfants en dehors des bancs de l'école. En somme, il s'agira, selon le directeur, de capitaliser les différents modèles et voir quels sont les aspects de chaque pratique et comment les mettre ensemble pour avoir une formule harmonisée qui permet de prendre en charge les besoins de l'éducation non formelle au Burkina de plusieurs enfants.
La mise en œuvre de ce projet dont il est question sera fait sur deux volets notamment la recherche et le genre. Concernant le volet recherche, la représentante de la fondation Karanta, Célestine Traoré/Palé, a fait savoir que la synthèse des résultats permettra de définir une formule qui sera testée dans les six pays bénéficiaires pour une mise à l'échelle.
Yvette Zongo
Lefaso.net
L'organisation internationale de santé Jhpiego au Burkina a organisé une rencontre d'échanges avec l'Association des journalistes et communicateurs en population et développement (AJCPD). C'était le mardi 14 juin 2022, à Ouagadougou.
Cette rencontre a été une prise de contact entre les représentants de Jhpiego au Burkina et les journalistes issus de plusieurs médias. Les communications ont d'abord porté sur la présentation de l'organisation. Elle s'est installée au Burkina Faso depuis 1996. Elle s'investie dans le domaine de la santé maternelle et infantile, la planification familiale, le cancer du col de l'utérus, la prévention du sida, la lutte contre le paludisme, etc. Elle accompagne le ministère de la Santé dans la promotion et le renforcement des services de santé reproductive.
Au-delà de la présentation, Jhpiego Burkina souhaite que les journalistes puissent s'intéresser aux thématiques en rapport avec le domaine de la santé. Les hommes et femmes des médias pourront recevoir son appui pour produire des articles. Des experts ou des personnes ressources seront mobilisés pour répondre à leurs préoccupations. En outre, il sera mis à leur disposition de la documentation. Il a été demandé aux journalistes de contribuer davantage à la sensibilisation sur l'intérêt de la planification familiale, la prévention contre le paludisme et d'autres maladies, … « Il n'est pas exclu qu'on échange avec Jhpiego pour savoir s'il n'y a pas de possibilité d'avoir des subventions. Un journaliste peut décider de faire une production sur une thématique donnée, mais son organe n'est pas en mesure de couvrir tous les frais. On a souvent besoin d'appui », a confié le président de l'AJCPD, Boureima Sanga.
L'un des directeurs techniques de Jhpiego, Ousmane Badolo, a souhaité que l'association relaie les messages de santé pour l'amélioration de la santé des populations. Il a rappelé que les populations ont souvent des apriori sur la vaccination ou les moyens de contraception. Les médias peuvent donc, produire des sujets qui vont contribuer à les briser.
Il faut rappeler qu'au Burkina Faso, Jhpiego mobilise plus de quatre milliards de FCFA par an pour accompagner le ministère de la Santé. Ses différents projets touchent les 13 régions du Burkina Faso. Jhpiego est un chef de file mondial à but non-lucratif dans la création et la prestation de solutions de soins de santé transformatrices dans les pays en développement. L'organisation collabore avec les gouvernements nationaux, les experts de santé et les communautés locales. Son objectif est de révolutionner les soins de santé pour les populations les plus défavorisées du monde. Elle est affiliée à l'université Johns Hopkins aux USA. L'organisation est directement présente dans 35 pays et indirectement dans plus de 155 pays.
SB
Lefaso.net
Le Pape François a appelé les fidèles, lors de l'Assemblée plénière du dicastère Dialogue Inter-religieux, tenue le 6 juin 2022 au Vatican, à « cultiver l'esprit et le style de convivialité ». Le cardinal Philippe Ouédraogo, évêque métropolitain de Ouagadougou, membre dudit dicastère, a pris part aux travaux.
Le dicastère ou Conseil pontifical désigne chacun des grands organismes (congrégations, tribunaux, offices) de la curie romaine. Il en existe plusieurs au sein du Vatican et chacun s'occupe de thèmes spécifiques. Dans la journée du 6 juin 2022, c'est le dicastère Dialogue inter-religieux qui a tenu sa session plénière en présence du Pape François.
« Dialogue interreligieux et convivialité », c'est sous ce thème que s'est réunie l'Assemblée plénière du dicastère. Le souverain pontife a, pour l'occasion, appelé les membres de l'assemblée et les fidèles à « cultiver l'esprit et le style de convivialité ». Selon le Pape François « être convivial avec quelqu'un, c'est aussi imaginer et construire un avenir heureux avec l'autre. La convivialité fait écho au désir de communion qui habite dans le cœur de chaque être humain, grâce auquel on peut parler entre soi, échanger des projets et dessiner un futur ensemble ».
Se basant sur la constitution apostolique Praedicate Evangelium sur la curie romaine, le souverain a fait remarquer que « la mondialisation et l'accélération des communications internationales font du dialogue en général, et du dialogue interreligieux en particulier, une question cruciale. Vous avez choisi le thème Dialogue interreligieux et convivialité, alors que toute l'Eglise veut grandir dans la synodalité, grandir comme une Eglise d'écoute mutuelle dans laquelle chacun a quelque chose à apprendre ».
La mission du dicastère est, de l'avis du pape, de promouvoir avec les autres croyants, de manière fraternelle et conviviale, le chemin de la recherche de Dieu, en considérant les personnes des autres religions non de manière abstraite, mais concrètement, avec une histoire, des désirs, des blessures, des rêves. « Ce n'est qu'ainsi que nous pourrons construire ensemble un monde habitable pour tous, en paix », s'est convaincu le pape François. En lançant l'appel à la convivialité, le saint père a rappelé que « Jésus fraternisait avec tout le monde, qu'Il s'associait à des gens considérés comme pécheurs et impurs, qu'Il partageait, sans préjugés, la table des collecteurs d'impôts ».
En rappel, le dicastère est né des cendres du « Secrétariat pour les non-chrétiens », créé en 1964, lors de la solennité de la Pentecôte, par le saint pape Paul VI. La plénière du dicastère est actuellement dirigée par le cardinal espagnol Miguel Angel Ayuso Guixot.
Jacques Théodore Balima
Lefaso.net
L'association LYDIE a organisé par anticipation, la célébration de la journée de l'enfant africain qui se tient chaque 16 juin de l'année. Elle a procédé à une cérémonie de remise d'un espace socio-éducatif aux mineurs vivants en milieu carcéral. C'était le jeudi 14 juin 2022 au sein de la Maison d'arrêt et de correction de Ouagadougou (MACO).
Le thème retenu au plan africain et au niveau national pour cette commémoration est : « Elimination des pratiques néfastes affectant les enfants : Progrès sur les politiques et pratiques depuis 2013 ». L'association LYDIE l'a célèbre sous le thème : « Elimination des pratiques néfastes affectant les enfants en conflits avec la loi : responsabilités et perspectives ». Cet espace socio-éducatif construit par l'association va permettre aux enfants détenus de s'occuper sainement et d'avoir plus de rudiments pour une facilitation de l'insertion socio-professionnelle, une fois à l'extérieur. A travers ce don, LYDIE a pour objectif de contribuer à l'élimination des pratiques néfastes affectant les enfants notamment les enfants en conflit avec la justice.
Selon les initiateurs, il a été constaté que les mineurs en prison sont confrontés à une inadaptation des lieux de détention à leurs besoins, l'absence de visites des proches et une insuffisance des services essentiels (santé, éducation, loisir, etc.). « Un enfant incarcéré ne perd pas tous ses droits. Il est dans un milieu sécurisé et contrôlé. Mais il doit continuer à s'épanouir, un enfant, c'est une destinée.
L'association LYDIE qui œuvre pour la protection de l'enfance travaille dans ce sens. Voilà pourquoi, les responsables de l'association ont trouvé un cadre pour tous ces enfants en contacts avec la loi. Il s'agira d'un cadre qui va abriter des jeux et est également éducatif », a justifié Serge Samandoulougou, le représentant de la présidente de l'association LYDIE, la pasteure Hortense Karambiri.
L'édifice est estimé à plus de trois millions de FCFA. L'association a bénéficié de l'appui financier de l'ONG suédoise ERIKS Development Partner. La représentante régionale Afrique de l'Ouest de l'ONG, Fatimata Nabias Ouédraogo a qualifié le geste de l'association de pertinent. Elle a souligné que cet accompagnement s'explique par le fait que l'association travaille à empêcher « que des enfants se retrouvent ici, en agissant avec des enfants en situation de rue et avec les jeunes pour les sensibiliser aux dangers de la consommation des stupéfiants et de l'alcool. Nous avons trouvé également pertinent ce projet à travers cette action vis-à-vis des enfants en milieu carcéral. Les causeries éducatives vont amener les enfants à comprendre qu'on peut trébucher et se relever ».
L'inspecteur divisionnaire de sécurité pénitentiaire, Eloi Guigma, a signifié toute sa gratitude aux initiateurs. Il a précisé que cet espace va permettre aux jeunes de dérouler plusieurs activités socio-culturelles et éducatives. Il affirmé que plus d'une cinquantaine de mineurs vont profiter de cet espace. C'est Assétou Sawadogo Kaboré qui a présidé la cérémonie. Elle est la secrétaire générale du ministère du Genre et de la famille. Elle a invité les bénéficiaires à bien entretenir le joyau, car, c'est un ensemble d'efforts qui a permis de réaliser sa construction.
Elle leur a conseillé d'avoir une bonne conduite pour éviter un prolongement du séjour en prison. Pendant la cérémonie, des détenus ont montré leurs jeux d'acteurs en présentant un sketch. Il a abordé la thématique des violences faites aux enfants.
L'association LYDIE œuvre depuis plusieurs années en faveur du bien-être des couches sociales défavorisées. Elle a fait de la lutte contre la drogue son cheval de bataille.
La journée de l'enfant africain a été instituée par l'Organisation de l'unité africaine, devenue Union africaine, en souvenir du massacre de centaines d'enfants par le pouvoir de l'apartheid, lors d'une marche pour leurs droits à Soweto, en Afrique du Sud.
SB
Lefaso.net
Oran, ou comme on aime la surnommer El Bahia. Cette ville aux plusieurs facettes, dont l’histoire, la culture et les traditions, sont d’une grande richesse. Cette année, et après une longue période d’attente de deux ans, la ville accueillera à nouveau l’un des plus importants événements sportifs du pays. Il s’agit bel et bien des […]
L’article JM Oran 2022: rumeurs et polémiques concernant la cérémonie d’ouverture est apparu en premier sur .
Deux personnes ont trouvé la mort et cinq autres ont été blessées dans un accrochage survenu, le week-end dernier, entre deux clans, à Taragini, dans le territoire de Yakoma (Nord-Ubangi).
Des sources locales rapportent que les parties en conflit se disputent depuis longtemps une portion des terres pour leurs activités champêtres.
L’administrateur du territoire de Yakoma, Edmond Lokame, qui est allée imposer l’accalmie demande l’intervention de la justice en vue d’un règlement définitif de ce conflit foncier.
L’été 2021 a été marqué par des incendies qui se sont déclenchés dans plusieurs wilayas du pays, et ont d’ailleurs causé la mort de nombreuses personnes, et la destruction de plusieurs milliers d’hectares dans la wilaya de Tizi-Ouzou, Béjaia, Bouira, Ain Defla, El Kala… C’était un mois d’août qui restera gravé dans les mémoires. Les […]
L’article Skikda : un décès suite aux incendies du 14 juin est apparu en premier sur .
Le drame s'est produit au cours de la nuit du 14 au 15 juin 2022 dans un bar situé à quelques pas du lycée Yamwaya au secteur 10 de la ville de Ouahigouya, dans la région du Nord, rapporte l'Agence d'information du Burkina (AIB).
Un propriétaire de débit de boissons a tiré sur la fesse d'un de ses employés dans la cité de Naaba Kango.
Évacuée d'urgence au Centre hospitalier régional (CHR), la vie de la victime est hors de danger.
Mais pour les urgentistes, il devrait subir une intervention chirurgicale pour l'extraction de la balle logée dans sa fesse.
Le drame qui s'est produit juste hors du débit de boisson, serait dû à un malentendu entre le propriétaire et l'employé, par rapport à la recette de la vente de bières étrangères bien prisées par une certaine clientèle.
La dispute qui a abouti à des échanges de coups, s'est terminée par une course poursuite et un coup de feu du propriétaire du maquis sur l'employé, a appris l'AIB.
Aux dernières informations, le propriétaire du bar qui est du reste un ancien policier, serait en garde à vue au commissariat central de Police de Ouahigouya pour les besoins de l'enquête.
Lefaso.net
Source : Agence d'information du Burkina
La province de l’Ituri ne dispose pas de banque de sang viable, a dénoncé mardi 14 juin, la coordination provinciale de la transfusion sanguine. Ce constat est fait à l’occasion de la journée mondiale des donneurs de sang.
Cette situation est à la base de plusieurs cas de décès dans les 36 zones de santé de cette province qui compte plus de 7 millions d’habitants.