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Afrique

Agression de la RDC : Mboso N'kodia met en garde les députés

Radio Okapi / RD Congo - Tue, 14/06/2022 - 21:56



Le président de l’Assemblée nationale, Christophe Mboso, a mis en garde, mardi 14 juin, tout député qui jouerait un double jeu en trahissant le Congo durant l'agression dans l’Est du pays par le M23 interposé.


Au cours de la plénière de ce mardi, Christophe Mboso a invité la représentation nationale à l’unité et à la solidarité pour sauvegarder la nation.


La plénière a également examiné et voté séance tenante le projet de loi portant habilitation du gouvernement.

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Assemblée nationale : le ministre des Finances dépose le projet de loi portant reddition des comptes 2021

Radio Okapi / RD Congo - Tue, 14/06/2022 - 21:45



Le ministre des Finances, Nicolas Kazadi, a déposé ce mardi 14 juin à l’Assemblée nationale le projet de loi portant reddition des comptes pour l'exercice 2021. Selon des sources parlementaires, le gouvernement a ainsi respecté le délai fixé par la loi des finances publiques, qui exige au gouvernement de déposer la loi de reddition des comptes avant la clôture de la session de mars.


Au sortir de l'audience, le ministre des Finances a déclaré :

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Butembo : des jeunes répondent à une collecte spéciale de sang

Radio Okapi / RD Congo - Tue, 14/06/2022 - 21:27



Une collecte spéciale de sang a été organisée ce mardi 14 juin au niveau du centre de la transfusion sanguine de l’antenne de la division provinciale de la santé de Butembo au Nord-Kivu. Elle a mobilisé surtout un public jeune. Cette activité s’inscrit dans le cadre de la journée mondiale des donneurs de sang, célébrée à cette date de chaque année.

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Lubumbashi : Mgr Fulgence Muteba annonce un colloque sur « l’itinérance du vivre ensemble »

Radio Okapi / RD Congo - Tue, 14/06/2022 - 21:19

  


L’archevêque métropolitain de Lubumbashi, Mgr Fulgence Muteba, a annoncé ce lundi 13 juin à Lubumbashi (Haut-Katanga) l’organisation, du 16 au 18 juin, du colloque sur l’itinéraire du vivre ensemble. 

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Pacte national du renouveau de la justice burkinabè : Les résultats de l'étude d'évaluation de sa mise en œuvre en cours de validation

Lefaso.net (Burkina Faso) - Tue, 14/06/2022 - 21:10

Le ministre en charge de la justice, Me Barthélemy Kéré, a présidé la cérémonie d'ouverture de l'atelier de validation des résultats de l'étude d'évaluation de la mise en œuvre du Pacte national pour le renouveau de la justice (PNRJ). Un pacte adopté à l'issue des états généraux sur la justice tenus du 24 au 28 mars 2015. La cérémonie s'est également tenue en présence du chef de file des partenaires techniques et financiers du cadre sectoriel de dialogue justice et droits humains (CSD-JDH), Mathieu Ciowela. C'était ce mardi 14 juin 2022 à Ouagadougou.

A l'ouverture des travaux, le ministre en charge de la justice, Barthélemy Kéré, a rappelé que les états généraux de la justice de mars 2015 ont été l'occasion de poser le diagnostic du système judiciaire burkinabè. Et ce, en vue de répondre aux aspirations d'une justice accessible, crédible et efficace pour la population. « Les insuffisances majeures relevées lors de ses travaux étaient, entre autres, liées à l'influence du politique, l'inaccessibilité des services judiciaires, l'inadéquation et l'insuffisance des moyens mis à la disposition des acteurs de la justice. Aussi, la désagrégation des valeurs éthiques liées aux métiers de justice engendrant la violation des règles déontologiques et des tares comme la corruption et l'impunité », a indiqué le ministre.

Et d'ajouter que « la perte de confiance de la population vis-à-vis de l'institution judiciaire, les nombreux cas de justice privée, de violations constatées, le regain de l'incivisme et de l'intolérance attestaient de la nécessité de mener des actions. Cela dans le but d'impulser une nouvelle dynamique en matière de justice et de réconcilier la population avec son système judiciaire ».

C'est donc au sortir de ces états généraux que les différents acteurs sont parvenus à l'adoption d'un Pacte national pour le renouveau de la justice (PNRJ) qui comporte plusieurs engagements. Ce référentiel avait proposé des orientations et des reformes capables de restaurer le système judiciaire. Lesquelles sont basées notamment sur le renforcement de l'indépendance de la justice, le fonctionnement du service public, la moralisation de l'appareil judiciaire, l'amélioration de l'accessibilité à la justice et de la prise en compte des droits humains dans les procédures judiciaires.
Dans le cadre donc de ce projet, plusieurs actions ont été entreprises pour opérationnaliser les engagements pris.

Au cours de cet atelier de validation, les participants apporteront des amendements et appréciations sur le rapport de l'étude sur l'état de mise en œuvre du PNRJ.

Les participants et les partenaires sociaux ont été invités à une analyse profonde du rapport afin d'aboutir à des propositions et recommandations pertinentes

Améliorer le système judiciaire burkinabè

Tout en rappelant que dans le cadre de la mise en œuvre de ce pacte et avec l'appui du Programme de modernisation de l'administration publique (PMAP), un consultant a été recruté en 2021 pour conduire cette mission. Les objectifs spécifiques poursuivis alors étaient de plusieurs ordres. Il s'agissait, entre autres, d'évaluer la pertinence des engagements du pacte, d'établir un bilan global de la mise en œuvre des engagements du pacte à travers les différents actes et de relever les difficultés qui ont entravé la mise en œuvre desdits engagements.

En plus de ces objectifs, il a été aussi question d'évaluer les effets et l'impact de la mise en œuvre du pacte sur la performance de la justice burkinabè, de l'amélioration des conditions de vie et de travail des acteurs judiciaires sur la qualité du service public de justice, ainsi que la durabilité des résultats atteints, tout en formulant des suggestions et recommandations pour optimiser la contribution du pacte à l'amélioration du système judiciaire burkinabè.

Le rapport qui sortira de ces travaux sera un document de référence pour le département de la justice, dans lequel l'on fera ressortir d'une part, les acquis enregistrés pour leur consolidation, et d'autre part, les défis à relever pour les engagements dont le niveau de réalisation est jugé peu satisfaisant.

Le chef de file des PTF du CSD-JDH a pour sa part félicité le gouvernement pour son engagement en faveur d'une justice accessible, plus efficace et protectrice des droits du justiciable et socle de la confiance entre le citoyen et l'Etat. Tout en soulignant que face à cette situation d'insécurité que vit le Burkina Faso depuis 2015, il est plus que jamais temps de redoubler les efforts pour le renforcement de la justice afin qu'elle puisse jouer le rôle clé dans le processus de l'érection d'un Burkina garant du respect des droits humains, inclusif, prospère et solidaire.

Dans cette perspective, Mathieu Ciowela a par ailleurs assuré de la disponibilité des partenaires à accompagner le peuple burkinabè pour relever le défi d'une justice accessible et performante dans ce contexte sécuritaire difficile et dans le cadre des efforts pour la réconciliation nationale.

En ouvrant officiellement l'atelier de validation, Barthélemy Kéré a invité les participants et les partenaires sociaux à une analyse profonde du rapport afin d'aboutir à des propositions et recommandations pertinentes, et efficaces capables d'apporter des réponses adéquates aux préoccupations de la population burkinabè en matière de justice.

Lefaso.net

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Burkina : Les apiculteurs dans un élan de modernisation des mécanismes de production

Lefaso.net (Burkina Faso) - Tue, 14/06/2022 - 21:00

Le secrétariat technique de l'apiculture tient, du 14 au 17 juin 2022 à Ziniaré (chef-lieu de la région du Plateau-central), une formation des apiculteurs en apiculture moderne. L'objectif de cette activité, qui se tient avec le soutien du Programme d'appui à la compétitivité de l'Afrique de l'Ouest (PACAO), est d'améliorer la production et les revenus des acteurs.

Il s'agit pour ces 25 participants, venus des régions de l'Est, du Centre-est, Sahel et du Plateau-central, d'apprendre les b.a.ba dans la production du miel, un secteur où les pratiques ancestrales ont toujours pignon sur rue, à en croire les promoteurs de la filière. Or, explique le secrétaire technique de l'apiculture, Dasmané Traoré, ces pratiques ancestrales ont des effets néfastes sur la biodiversité.
Au cours de ces quatre jours de formation (14 au 17 juin), les participants recevront non seulement des connaissances théoriques, mais aussi pratiques et se ‘'nourriront'' de partage d'expériences entre eux.

Vue partielle de participants.

« Il nous revient d'exploiter au maximum le champ de l'apiculture, de façon à ce que non seulement la production puisse s'intensifier, mais aussi qu'il y ait une efficience dans cette production », situe M. Traoré, précisant qu'au-delà, il s'agit de voir la possibilité de valorisation des autres produits de la ruche (parlant de produits dérivés). Ce qui devra permettre à l'apiculteur d'accroître ses revenus par la quantité et la qualité de sa production, aux populations d'améliorer leur alimentation et également d'alimenter l'économie nationale.

D'où la pertinence de ces activités de renforcement de capacités des producteurs, pour permettre à ceux-ci de préserver et entretenir les essaims d'abeilles.

Le conseiller technique, Boukary Sawadogo (milieu) avec à sa gauche, le secrétaire technique de l'apiculture, Dasmané Traoré et à sa droite, Issiaka Ouédraogo, président des producteurs de miel du Plateau-central.

C'est pourquoi, estime Dasmané Traoré, les besoins qui méritent d'être satisfaits dans le secteur sont liés au renforcement des capacités des acteurs et à leur équipement adéquat. « Au regard de la nature de notre abeille, il est souhaitable qu'en voulant aller manipuler les ruches, on se couvre convenablement. Donc, il manque de combinaisons, de ruches modernes pour nos apiculteurs », soulève le secrétaire technique de l'apiculture, Dasmané Traoré.

Les actes de vandalisme (vols), l'avancée du désert (causant le manque d'alimentation pour les abeilles) et l'utilisation abusive des pesticides sont des défis auxquels fait également face le secteur du miel au Burkina.

Selon le conseiller technique du ministre de l'agriculture, des ressources animales et halieutiques, Boukary Sawadogo, présidant l'ouverture de l'atelier et représentant son ministre, la filière miel occupe un pan important dans les secteurs de productions nationales.

Il en veut pour illustration qu'elle contribue à la création d'emplois, à générer des revenus pour les producteurs et pour l'économie nationale. De ce fait, dit le conseiller technique, il s'agit de faire en sorte que la filière puisse rapporter davantage.
« C'est une activité qui s'inscrit en droite ligne des priorités du ministère, notamment le renforcement des compétences et des capacités des producteurs, surtout en ce qui concerne la filière miel », a confié le représentant du ministre de l'agriculture, des ressources animales et halieutiques, Boukary Sawadogo, exhortant par-là, les participants à l'assiduité et à l'attention et l'esprit d'ouverture par des échanges.

Cette formation de Ziniaré s'inscrit dans une série de formations et se tient simultanément avec une autre à Koudougou (région du Centre-ouest), en attendant une autre session dans les jours à venir à Bobo-Dioulasso (région des Hauts-Bassins).

L'activité est rendue possible par le soutien du Programme d'appui à la compétitivité de l'Afrique de l'Ouest (PACAO) financé par l'Union européenne et coordonné par la Chambre de commerce et d'industrie du Burkina Faso.

Les participants ont été situés sur l'enjeu avant l'entame de la formation.

Pour mémoire, et selon les statistiques, en 2018, le Burkina comptait près de 16 000 apiculteurs pour une production moyenne de 1 000 tonnes de miel par an pour environ trois milliards de FCFA.

O.L.O

Lefaso.net

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Formation et emploi au Burkina : Plus de 2 500 jeunes aptes aux métiers de transformateurs agroalimentaires, fermiers agricoles et éleveurs

Lefaso.net (Burkina Faso) - Tue, 14/06/2022 - 21:00

Le ministère de l'Éducation nationale, de l'alphabétisation et de la promotion des langues nationales (MENAPLN) a organisé une cérémonie officielle de sortie de la première cohorte du Programme de renforcement des capacités des jeunes (PRCJ), qui s'est déroulée ce mardi 14 juin 2022 à Manga, dans la région du Centre-sud.

Ils sont au total 2 548 jeunes à avoir bénéficié d'une formation de trois ans (2020-2022) sur les métiers de transformateurs agroalimentaires, fermiers agricoles et éleveurs. Il s'agit de jeunes de 14 à 18 ans qui sont déscolarisés ou issus des structures d'éducation non formelle.

Frédéric Kafando est l'un des bénéficiaires du Programme de renforcement des capacités des jeunes (PRCJ). Il a été formé au centre de Ipelcé en élevage bovin. « Avec cette formation, si je la mets en pratique, je pourrai faire mieux », a-t-il confié, lui qui pratiquait déjà l'élevage plus tôt en plus de son cursus scolaire.
« En trois ans, nous avons appris l'agriculture, comment faire des semis, améliorer son champ et faire les récoltes », a relaté Salifou Belem, un autre bénéficiaire. Faute de moyens financiers pour poursuivre ses études, il a préféré s'inscrire pour ce programme.

Une vue des bénéficiaires au cours de la cérémonie de sortie de promotion.

« Des résultats fort appréciables »

Cette formation, qui s'étale sur 18 mois, s'est déroulée dans trois régions (Centre-sud, Est et Nord). Selon Dr Yombo Paul Diabouga, directeur général du Fonds pour l'alphabétisation et l'éducation non formelle (FONAENF), l'un des bras financiers du PRCJ, ce sont 3 900 jeunes qui étaient inscrits au départ. « Il y a eu quelques déperditions dues à l'insécurité et à la particularité du groupe parce que ce sont des jeunes de 14 à 16 ans, donc il faut faire la formation et des stages en entreprises. Ces déplacements ont occasionné aussi quelques déperditions », a-t-il expliqué.
Dans son discours, madame le haut-commissaire du Zoundwéogo, Mama Zanfara Traoré, a salué ce programme, qui selon elle, est appuyé sur la stratégie faire-faire « Ce programme s'aligne harmonieusement avec le système éducatif national », a-t-elle affirmé.

Au nom de tous les bénéficiaires, Justine Ilboudo a remercié les initiateurs de ce programme qui leur permettra d'assurer leurs activités. « Nous ne sommes plus les mêmes. Nous sommes maintenant des entrepreneurs en devenir », a-t-elle déclaré.
Pour les parents des bénéficiaires regroupés en Comité de gestion (COGES), les acquis de cette formation sont déjà palpables. Leurs enfants ont monté des projets communs et ils fondent espoir d'un avenir radieux.

Le présidium est composé des partenaires techniques et financiers, et les autorités administratives de la région du Centre-sud.

En effet, le but recherché par le PRCJ est de contribuer à l'épanouissement, au développement économique et à l'expression de la citoyenneté des hommes et des femmes bénéficiaires. Malgré la crise sécuritaire dans deux des trois régions où intervient le programme, des résultats ont été engrangés. « Ce programme enregistre des résultats fort appréciables », a déclaré Cécile Méda/Somé, la Présidente du conseil d'administration (PCA) du FONAENF.

Au cours de cette cérémonie, le PRCJ a remis des kits d'installation aux sortants pour leurs entreprises. Le groupe de Salifou Belem a reçu une couveuse automatique équipée de plaque solaire, une caisse d'une vingtaine de poulets, en plus d'abreuvoirs et de mangeoires.

Vingt jeunes ont été désignés pour la réception symbolique des kits d'installation.

Quid du PRCJ

Le Programme de renforcement des capacités des jeunes (PRCJ) est financé par le Fonds pour l'alphabétisation et l'éducation non formelle (FONAENF) et la Coopération Suisse à hauteur de plus de cinq milliards de FCFA. Le lancement était survenu dans la ville de Manga en novembre 2019.

Ce programme se veut un outil d'adéquation de la formation et de l'emploi des jeunes. Le PRCJ intervient dans sept régions du Burkina (Plateau central ; Boucle du Mouhoun ; Hauts-Bassins ; Centre-ouest ; Centre-sud ; Est et Nord) dont 23 provinces et 104 communes. Alors qu'il va prendre fin en 2023, la préparation de la phase II est en élaboration, ont indiqué les responsables.

Cryspin Laoundiki
Lefaso.net

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L’industrie financière africaine se donne rendez-vous en novembre à Lomé

Jeune Afrique / Finance - Tue, 14/06/2022 - 20:41
Officiellement lancé ce mardi 14 juin, à l’occasion de l’Africa CEO Forum, à Abidjan, l’Africa Financial Industry Summit se tiendra les 28 et 29 novembre à Lomé.
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Equipe d’Algérie : un binational aurait opté pour les Verts

Algérie 360 - Tue, 14/06/2022 - 20:35

Le milieu de terrain prometteur, Yacine Adli, aurait opté pour la sélection nationale algérienne. Il pourrait être l’une des nouveautés du prochain stage dont a parlé Djamel Belmadi lors de sa dernière sortie médiatique. Lors de son interview accordée au site officiel de la FAF, Djamel Belmadi a confirmé que de nouveaux joueurs ont pris […]

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Allocation chômage : le ministre révèle de nouveaux chiffres

Algérie 360 - Tue, 14/06/2022 - 20:31

Plusieurs étudiants ont des difficultés à trouver un emploi à la fin de leur cursus universitaire, pour cela, le président de la république Abdelmadjid Tebboune a mis en place un système d’allocation chômage d’une valeur de 13.000 dinars par mois depuis le mois de février dernier. Le ministre du Travail, de l’Emploi et de la […]

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Maniema : les frais de participation au Test national d’orientation fixés à 30 USD

Radio Okapi / RD Congo - Tue, 14/06/2022 - 20:24



Le Test national de sélection et d'orientation scolaire et professionnelle (TENASOSP) ne sera pas gratuit, a indiqué lundi 13 juin l'inspecteur principal provincial de la province éducationnelle Maniema 1. Ce test est prévu le 7 et 8 juillet prochain pour la première fois sur l'ensemble du pays.

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Nord-Kivu : les opérateurs économiques de Mangurejipa poursuivent leur grève

Radio Okapi / RD Congo - Tue, 14/06/2022 - 20:15



Les opérateurs économiques de Mangurejipa, dans le territoire de Lubero (Nord-Kivu), ont décidé de poursuivre leur mouvement de grève ce mardi 14 juin. Cette décision a été prise à l’issu d’évaluation de la première journée de cette paralysie d’activités commerciales.

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Vols Barcelone – Alger : bons plans chez Vueling

Algérie 360 - Tue, 14/06/2022 - 20:11

Face à la non disponibilité des billets à destination de l’Algérie, la diaspora établie à l’étranger ne fait que se plaindre, d’autant plus avec la saison estivale. Une occasion que saisit la majorité des compagnies aériennes étrangères pour augmenter leurs tarifs. En effet, c’est le cas de Vueling. Cette compagnie connue pour ces low-costs, affiche […]

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Mines : La mine de Karma joue sa survie

Lefaso.net (Burkina Faso) - Tue, 14/06/2022 - 19:48


L'acheteur de la mine de Karma, dans le Nord du pays fait face à un double challenge pour développer le gisement aurifère.

Au lendemain de l'attaque terroriste contre les installations de Riverstone Karma SA qui a fait deux morts dont un employé, la mine confrontée régulièrement à l'avancée des terroristes dans son périmètre immédiat joue désormais sa survie à quitte ou double. La mine tire la sonnette d'alarme sur l'urgence d'asseoir un dispositif de sécurisation accrue de sa zone d'intérêt.

A défaut des éléments déployés dans le cadre de l'office national de sécurisation des sites miniers ( Onassim) qui a mobilisé à peine 13% des effectifs prévus soit 3000 hommes, la mine demande désormais à l'Etat de lui octroyer les autorisations nécessaires pour qu'elle se dote d'une sécurité privée armée dans l'enceinte de la concession minière. Riverstone Karma s'estime désormais sur la lisère face à la pression des groupes terroristes dans le Yatenga.

Ces derniers ont déjà conquis les provinces voisines, notamment le Lorum et coupé la Nationale 2 reliant Yensé, près de la frontière malienne à Ouahigouya, la capitale régionale. "La mine fait face aussi à un défi majeur. En effet, le premier site d'exploitation est en fin de vie, une seconde zone dont l'exploitation qui devrait avoir débuté depuis Janvier 2022 couvre un ancien cimetière du village environnant.

Cette superficie non encore exploitée selon les études regorgerait de minerais et qui, si elle était exploitée permettrait à la mine d'avoir une durée de vie de 05 années supplémentaires" selon nos informations. Le maintien du gisement de Karma permet de préserver plus de 800 emplois dont 500 directs.

Le cas de Karma n'est pas isolé dans le paysage minier burkinabè. Alors que la situation sécuritaire continue à se dégrader avec des attaques quasi quotidiennes sur tout le pourtour du territoire national, d'après des sources occidentales, les opérateurs miniers, inquiets et sous pression, appellent à la rescousse. En avril dernier, le producteur russe d'or, avait invoqué des « raisons de sécurité » pour justifier l'arrêt de ses activités à Taparko. La principale mine privée du pays est située dans le nord du Burkina, en proie à des violences djihadistes depuis six ans. « L'insécurité met les mines sous pression », glisse le responsable d'une mine.

Dans le Nord du pays, Néré Mining, acheteur de la mine de Karma, près de Ouahigouya s'inquiète de l'exposition de son site aux incursions djihadistes. Néré mining est un consortium emmené par l'entrepreneur local, Elie Justin Ouédraogo, l'un des administrateurs de Semafo Burkina Faso, société minière canadienne rachetée par Endeavour en 2020. Ouédraogo contrôle 29% de Néré Mining et préside Riverstone Karma SA, la société détentrice du permis minier de Karma, situé près de Ouahigouya dans le Nord du pays.

Néré Mining est principalement financé par Coris Bank International, l'établissement du banquier local Idrissa Nassa, de plus en plus impliqué dans l'industrie minière de son pays. C'est grâce à son soutien que Néré a pu acquérir – à hauteur de plus de 90%-, la holding Riverstone, d'un capital social de 52 milliards F CFA (79,3 millions d'euros) qui détient Karma et douze autres filiales. De quoi étendre la durée de vie de la mine d'or de plus de 10 ans.

Kouza Kienou

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Mai-Ndombe: Rita Bola confirmée gouverneur de la province

Radio Okapi / RD Congo - Tue, 14/06/2022 - 19:42



Rita Bola Dula a été confirmée gouverneur de la province du Mai-Ndombe, et Jacks Mbombaka, vice-gouverneur. La décision de la cour d’appel est tombée lundi 13 juin dans la soirée, selon Egide Weloli, avocat de Rita Bola.


L’affaire opposait la gouverneure élue du Maï-Ndombe Rita Bola et au senateur Frédéric Mwafwa, candidat malheureux à l’élection de gouverneur. 

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Kaya/Centre Nord : Cinq policiers municipaux blessés dans un incident avec des militaires

Lefaso.net (Burkina Faso) - Tue, 14/06/2022 - 19:30

Kaya, chef-lieu de la région du Centre-Nord, a vécu un chaud après-midi, ce mardi 14 juin 2022.

Selon une source jointe au téléphone, un incident a éclaté, aux environs de 13h, entre des militaires et des policiers suite au retrait de la moto d'un bidasse lors d'un contrôle routier.

Un groupe de militaires aurait, par la suite, fait une descente musclée dans les locaux de la police municipale. Ils ont blessé, selon notre source, cinq éléments dont le directeur de la police municipale.

Le directeur et un autre policier souffriraient même de fractures. Les autres auraient des blessures à la tête. Cet incident, selon notre source, met à nu la difficile cohabitation, ces derniers mois, entre militaires et policiers dans la ville de Kaya.

Lefaso.net

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Burkina : Vers l'instauration d'une protection sociale universelle pour mettre fin au travail des enfants

Lefaso.net (Burkina Faso) - Tue, 14/06/2022 - 19:25

Le ministère de la Fonction publique, du travail et de la protection sociale a organisé, ce mardi 14 juin 2022, au sein de ladite institution, une cérémonie commémorative de la journée mondiale contre le travail des enfants. La cérémonie était placée sous le thème de la protection sociale universelle pour mettre fin au travail des enfants.

Chaque année et ce depuis 2002, le ministère en charge de la protection sociale commémore la journée mondiale contre le travail des enfants. Cette commémoration offre des moments d'introspection sur les succès et échecs et aussi sur les efforts à consentir pour engranger plus de résultats positifs dans la lutte contre le phénomène du travail des enfants.

Pour ce faire, le gouvernement et ses partenaires ont développé de nombreuses actions, notamment « la mise en conformité de la législation nationale par l'adoption d'un décret déterminant la liste des travaux dangereux, le contrôle du travail des enfants dans les secteurs d'activité à forte potentialité de main-d'œuvre enfantine, la réinsertion des enfants dans le système éducatif ».

Le présidium

Selon le ministre en charge de la protection sociale, Bassolma Bazié, les actions qui ont permis d'acquérir des succès doivent être renforcées et de nouvelles stratégies de lutte doivent être explorées. « Après l'apparition de la pandémie de la covid-19, la nécessité d'accéder aux prestations de santé ainsi qu'aux politiques d'aide à la famille est devenue particulièrement impérieuse et a entraîné les plus importantes mesures de protection sociale jamais égalées. C'est dans cette dynamique que le gouvernement souscrit à l'invite du Bureau international du travail relative à l'extension de la protection sociale à toutes les couches sociales, notamment les plus vulnérables, comme une solution pour accélérer l'éradication au travail des enfants », a-t-il indiqué.

Les participants

La représentante des enfants, Roukiéta Rouamba, âgée de 15 ans, a exprimé sa reconnaissance à l'endroit du ministère en charge du travail et de la protection sociale. Elle affirme que les parents doivent être inclus dans la lutte afin d'espérer une éradication du travail des enfants. « Ce thème est d'actualité et pertinent car la protection sociale réduit le risque de pauvreté et de vulnérabilité des familles. Ainsi, on verra de moins en moins d'enfants dans le domaine du travail et de plus en plus de parents protecteurs et soucieux de notre bien-être. L'engagement de réussir la protection sociale universelle doit être une priorité à tous les niveaux et pour tous les acteurs impliqués dans la protection de l'enfant afin que tous les enfants en âge d'être scolarisés le soient effectivement et que ceux qui ne le peuvent plus soient accompagnés pour une formation qualifiante » a-t-elle déclarée.

Le ministre en charge de la protection sociale Bassolma Bazié : « le gouvernement est dans la dynamique d'asseoir un système de surveillance du travail des enfants »

Le directeur de la protection sociale, Karlé Zango, a affirmé que le travail des enfants a un visage rural et qu'il y a plus d'enfants dans le milieu rural qui travaillent que dans les milieux urbains. « Pour l'état des lieux du travail des enfants au Burkina Faso, on va se référer à l'enquête nationale de 2006 qui a été élaborée. C'est vrai, c'est un peu lointain mais c'est le seul outil scientifique que nous avons et qui nous permet de donner une image du travail des enfants au Burkina Faso. En 2006 quand cette enquête a été bouclée, nous étions à un pourcentage de 41.1% des enfants de 5 à 17 ans qui étaient astreints au travail. Cette enquête nous a permis de savoir que nous avons plus d'enfants dans l'agriculture, et cela nous a permis aussi de savoir que nous avons plus de garçons », a-t-il laissé entendre.

Le ministre a, au cours de la cérémonie, invité l'ensemble de la population, les partenaires au développement et les autres acteurs de lutte, à redoubler d'efforts dans la promotion et la consolidation de la protection sociale pour tous.

Bela Nefertari Ouedraogo
Lefaso.net

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Burkina : L'Institut des sciences des sociétés réfléchit sur la préservation du patrimoine culturel africain

Lefaso.net (Burkina Faso) - Tue, 14/06/2022 - 19:25

Dans l'objectif de promouvoir le patrimoine culturel africain, l'Institut des sciences des sociétés (INSS) a organisé ce mardi 14 juin 2022, la cérémonie d'ouverture de l'atelier sur le patrimoine culturel au sein de son institution.

« La culture c'est la mémoire du peuple, la conscience collective de la continuité historique, le mode de pensée et de vivre ». Cette citation de l'écrivain Mila Kundera est le signe que la culture a toujours fait partie intégrante du vécu des individus et constitue la clef de voûte pour l'épanouissement entier des peuples. C'est animé par cette certitude que l'INSS organise un atelier sur le patrimoine culturel.

Pendant quatre jours, soit du 14 au 17 janvier 2022, les chercheurs venus de la Côte d'Ivoire, du Mali, du Sénégal, du Niger, du Burkina, etc., échangeront sur les contributions qu'ils pourraient apporter afin de promouvoir le patrimoine culturel et d'œuvrer à sa conservation.

Les participants à l'atelier sur le patrimoine culturel africain

Cet atelier arrive à point nommé car le patrimoine culturel africain est menacé par nombre de facteurs qui réduisent son extension. Pour Ludovic Kibora, anthropologue à l'INSS, « le patrimoine culturel matériel est aujourd'hui menacé par le temps, faute de moyens financiers pour sa conservation. Les valeurs telles que l'intégrité, l'honnêteté, la tolérance, etc. qui nous ont été léguées par nos ancêtres sont tombées en désuétude. Aussi, l'insécurité est venue remuer le couteau dans la plaie car certains sites sont quasiment inaccessibles. »

Pour remédier à ces contraintes, « les chercheurs discuteront en long et en large sur les productions allant dans le sens de la protection, la conservation, l'économie du patrimoine culturel africain », confie Vincent Sedogo, historien à l'INSS.

Pour le délégué général du CNRST, « les potentialités culturelles sont faiblement conservées. »

Pour les participants, cet atelier qui invite les chercheurs à axer leurs productions sur la culture africaine, devrait répondre à un besoin crucial qui est celui du développement du continent. Elisée Coulibaly, historien à l'université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne, dira à ce propos que « la contribution des chercheurs au développement de l'Afrique serait vaine si elle ne repose pas sur une base solide. Cette base, c'est la culture. La Chine et l'Inde ont pensé leur développement en se basant sur leurs propres cultures. Aujourd'hui, ce sont de grandes puissances quelques fois enviées par l'occident. L'Afrique devrait elle aussi se mettre au pas car personne ne développera notre continent à notre place. »

Erwan Compaoré
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Santé au Burkina : Le Rotary Club Ouagadougou millenium offre des médicaments d'une valeur de plus d'un million de FCFA à Yalgado

Lefaso.net (Burkina Faso) - Tue, 14/06/2022 - 19:25

Chaque année, le Rotary Club Ouagadougou millenium apporte sa contribution pour relever les défis auxquels la maternité du Centre hospitalier universitaire Yalgado Ouédraogo (CHU-YO) fait face. Cette action traditionnelle a été réalisée ce mardi 14 juin 2022 au sein de ladite maternité à travers un don de médicaments d'une valeur de plus d'un million de francs CFA.

Selon le président du club, Der Gontran Pascal Somé, cette action s'inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de leur 4e axe stratégique qui porte sur « la santé des mères et des enfants ». C'est donc un engament qui leur tient à cœur. Pour le Rotary Club Ouagadougou millenium, la quantité des médicaments apportés n'est pas le plus important mais plutôt la qualité et la fidélité à leur promesse. « La valeur n'est pas le plus important mais le fait que l'action soit récurrente », a expliqué M. Somé.
En effet, cela fait plus de dix ans que ce Rotary Club apporte annuellement son soutien à la maternité afin d'aider à « sauver les femmes et les enfants ». Il conclut son discours en déclarant : « Au nom de mon club, je prends l'engagement de perdurer dans cette collaboration »

« Au nom du club, je prends l'engagement à perdurer cette action », déclare Gontran Somé, président du Rotary Club Ouagadougou Millénium.

Le personnel de la maternité, par la voix du directeur général du CHU-YO, Constant Dahourou, a remercié Rotary Club pour ce geste annuel qu'il leur apporte. « Quand vous avez des problèmes et qu'on vient vous soulager, le minimum est de traduire sa reconnaissance », s'est-il exclamé. Il leur a rassuré que « ces médicaments seront bien utilisés au profit des mères et des enfants ».

Son souhait est que l'action du club puisse motiver d'autres bonnes volontés à apporter leur contribution pour aider l'hôpital national qui a beaucoup de défis à relever. Pour lui, la maternité en particulier a besoin de rénovation « Il est nécessaire qu'on puisse avoir un schéma global de réfection et d'extension de ce bâtiment », a-t-il expliqué.

le don a une valeur de plus d'un million de francs CFA

M. Dahourou a demandé au Rotary Club Ouagadougou millenium de les aider à faire une étude technique et financière de la réfection et l'extension de la maternité et chercher ensemble à la réaliser. Il a aussi rappelé au club leur engagement de l'année dernière qui consistait à informatiser le dossier patient de l'hôpital Yalgado.

A sa suite, la cheffe de service du département gynécologique, Pr Blandine Thiéba Bonané, a aussi exprimé sa gratitude au Club pour ce geste. « Notre hôpital quoi qu'on dise, est le premier CHU, l'hôpital du peuple avec d'immenses difficultés car la population qui le fréquente est souvent démunie, et avec la crise économique actuelle, les choses s'empirent », a-t-elle rappelé.

Elle salue cette démarche qui les aide chaque année dans la pratique de leur vision qui est d'œuvrer à ce que les patients qui visitent la maternité soient bien pris en charge et repartent en bonne santé. Elle a saisi l'occasion pour lancer un appel aux autorités afin qu'elles renforcent le personnel de la maternité.

Le CHU-YO prévoit une activité qui consistera à demander à tous les natifs de la maternité du CHU-YO, une « redevabilité » ou une reconnaissance envers leur maternité en vue d'améliorer la maternité pour les générations futures.

Yvette Hien (stagiaire)
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