Le taux de vaccination contre le Covid-19 au Burkina Faso est d'un peu plus de 7%, alors que la couverture vaccinale attendue est de 70%. Un objectif loin d'être atteint et qui interroge. Alice Bila et Blandine Bila, chercheur à l'IRSS, ainsi qu'une équipe de la CORAFMOB ont initié une étude en vue d'analyser l'évolution de l'engagement communautaire dans la mise en œuvre de la vaccination contre le Covid-19. Les résultats de l'étude ont été présentés au cours du colloque international francophone organisé par l'Association d'anthropologie médicale et de la santé (AMADES) les 13 et 14 juin 2022 à l'IRSS sur le thème « Covid-19 en Afrique : résilience des populations et des institutions sanitaires face aux épidémies émergentes ».
La communication orale présentée par Alice Bila et Dr Blandine Bila avait pour thème « Participation et adhésion des populations à la vaccination anti-covid au Burkina Faso ». Il s'agit d'une étude qualitative menée dans le cadre du projet multisite de recherche CORAFMOB (Mobilisation communautaire et enjeux sociaux face aux Covid-19 au Burkina Faso et au Sénégal) soutenu par l'ARNS et Expertise France. Elle a consisté en entretiens auprès d'acteurs communautaires, équipes soignantes et bénéficiaires de la vaccination.
Selon les auteurs, au début de la pandémie, les organisations à base communautaires s'étaient impliquées de façon active dans la lutte contre le Covid-19 à travers l'intervention significative des cellules citoyennes de veille sanitaire. Mais plus le temps passait, plus l'implication de ces organisations semblait allée decrescendo. Il s'est donc agit dans l'étude, d'analyser l'évolution de l'engagement communautaire dans la mise en œuvre de la vaccination.
De l'avis des auteurs, l'acceptation du vaccin contre le Covid-19 est influencée par de nombreux facteurs dont la perception de la maladie par la population, l'insuffisance de l'information sur les vaccins anti-covid, les fake news relayées par les réseaux sociaux sur ces vaccins et les inquiétudes exprimées autour de leurs effets secondaires et de leur efficacité.
Pour donc inciter les populations à se faire vacciner et par ricochet, obtenir un meilleur taux de couverture vaccinale, il faut prendre en compte ces différents facteurs. Et à en croire les auteurs, les organisations à base communautaires sont celles-là qui sont à même de sensibiliser et de mobiliser les populations pour adhérer à la vaccination.
Les communautaires pas suffisamment impliqués par le ministère de la Santé ?
L'étude révèle cependant que les représentants de ces organisations à base communautaire sont mécontents. Ce mécontentement s'exprime en trois points. Ils estiment en effet, qu'ils ne sont pas suffisamment informés sur le Covid-19 et sur les vaccins anti-covid malgré les multiples démarches auprès des équipes médicales en tant que relais officiels, alors que les fake news inondent les réseaux sociaux. Ils se sont formés principalement disent-ils, à travers internet et disposent de connaissances limitées en ce qui concerne le vaccin, son efficacité, ses effets secondaires, etc.
Ils dénoncent également leur faible implication dans la définition des stratégies de réponse et leur exécution malgré les démarches entreprises par leurs représentants au plus haut niveau du système de soins. « L'offre d'expertise communautaire n'a pas permis l'implication des organisations à base communautaire dans la communication sociale en faveur de la vaccination », indique l'étude.
Ils assurent également qu'en tant que communautaires, ils ont été faiblement impliqués dans l'organisation et la mise en œuvre de la campagne de vaccination alors qu'ils ont majoritairement une longue expérience dans l'action communautaire en santé. Ils expliquent n'avoir pas reçu de financement pour leur permettre de mener des actions de sensibilisation dans le cadre de la vaccination. Pourtant, à leur avis le ministère de la Santé seul ne peut réussir à faire adhérer les populations à la vaccination.
Les auteurs de l'étude concluent donc que « La participation communautaire recommandée par l'OMS dans la communication et l'organisation de la campagne de vaccination anti-covid a été peu observée, contrairement à l'activisme remarquable des représentants communautaires dans la sensibilisation des populations et dans l'organisation des dépistages en début de pandémie. Pourtant, au regard de leurs expériences sur la vaccination des enfants (polio), la prévention du paludisme (moustiquaires imprégnées), le VIH/SIDA ou la tuberculose, ces organisations ont justifié par le passé d'une connaissance du terrain et d'approches pertinentes pour mobiliser les communautés. Elles pourraient jouer un rôle plus important dans l'appui aux équipes médicales pour l'adhésion des populations au vaccin anti-covid. »
Recommandations
Pour donc rectifier le tir, l'étude recommande de renforcer les capacités des acteurs communautaires et répliquer l'expertise du VIH sur le Covid-19 en les dotant d'outils, notamment les dépliants. Ce qui pourrait convaincre, rassurer la population non instruite pour faire face aux fakes news. L'étude recommande également d'impliquer et former les leaders communautaires, religieux, coutumiers, etc.
Tout compte fait, les organisations à base communautaire se disent prêtent à accompagner le programme et la campagne de vaccination, mais ils réclament en retour leur implication par le renforcement de leurs capacités, afin de pouvoir convaincre la population et obtenir leur adhésion à la vaccination contre le Covid-19.
Justine Bonkoungou
Lefaso.net
La situation des enfants déplacés internes préoccupe les hommes de médias de la région du Sud-ouest. Ils ont fait un plaidoyer sur la scolarité des enfants déplacés internes au cours de la 4ecaravane de presse du Réseau des journalistes et communicateurs du Sud-ouest pour la protection de l'enfant (REJCPE) qui s'est tenu du 23 au 25 mai 2022.
L'acte 4 de la caravane de presse du Réseau des journalistes et communicateurs du Sud-ouest pour la protection de l'enfant (REJCPE), a sillonné les localités de Dissin, Diébougou et Gaoua sous le thème '' Protection des enfants dans un contexte de crise sanitaire et sécuritaire''. Une tournée qui a permis de sensibiliser, interpeller, les populations et décideurs sur la nécessité de protéger les enfants des maux tels que la maltraitance, les pires formes de travail, les mutilations génitales féminines.
Outre ces phénomènes que subissent les enfants, la situation sécuritaire vient également fragiliser la vulnérabilité de plusieurs enfants contraints d'abandonner l'école pour se réfugier dans des zones plus « sécurisées ».
Selon les services de l'action humanitaire et de la solidarité nationale des provinces de la Bougouriba et du Poni, des déplacés internes venant des zones à fort défis sécuritaires ont été enregistrés depuis deux ans environ.
La situation des enfants déplacés internes
« La province du Poni au mois d'avril 2022, a enregistré 20448 déplacés internes dont 12759 enfants, soit environ 60% d'enfants. Et cela est aussi consécutif à la crise qui a secoué la commune de Djigouè et environnants (Hélintira) », nous confie le directeur provincial en charge de l'action humanitaire du Poni, Olé Kam.
Du côté de la de la Bougouriba, les déplacés internes ont été accueillis depuis 2019, nous informe le directeur provincial en charge de l'action humanitaire, Salfo Karanga. « Toutes les communes de la province sont concernées. A la date du 31 mars 2022, nous avions enregistré plus de 2000 enfants déplacés internes, soit 1300 garçons et 1600 filles », relève-t-il.
Des efforts de prise en charge
Face à cette situation, une prise en charge intégrée a été adoptée, associant les services de l'action sociale, de l'administration territoriale, la santé, l'éducation, la sécurité, rassure le directeur provincial en charge de l'action humanitaire de la province de la Bougouriba, Salfo Karanga.
Au-delà de la prise en charge psycho-sociale (accueil, enregistrement, prise en charge alimentaire, habillement) qui a été assurée par les services de l'action sociale, M. Karanga salue la diligence avec laquelle le personnel enseignant a assuré la prise en charge scolaire de ces enfants déplacés.
Au niveau de la province du Poni, des efforts ont été également consentis, de concert avec nos services déconcentrés des communes et la direction provinciale de l'enseignement afin que ces enfants puissent poursuivent leur scolarité, ajoute le directeur provincial en charge de l'action humanitaire du Poni, Olé Kam.
Afin de garantir une scolarité réussie de ces enfants dans les localités d'accueil, les services de l'action sociale plaident pour une prise en charge continue des aspects alimentaires, sanitaires, vestimentaires. « Nous saluons les bonnes volontés qui nous ont accompagnés pour la gestion de ces enfants, mais si ces efforts ne sont pas renforcés, pour assurer une prise en charge efficace de ces tout-petits, cela peut impacter négativement sur leur rendement scolaire », précise M.Karanga.
Pour le coordonnateur du REJCPE, Ollo Daniel Palé, l'une des priorités du réseau, est de tout mettre en œuvre pour que ces enfants déplacés puissent aller à l'école, parce que c'est un droit fondamental.
En rappel, la 4e caravane de presse du Réseau des journalistes et communicateurs du Sud-ouest pour la protection de l'enfant (REJCPE) a été lancée le 23 mai dernier à Diébougou dans la province de la Bougouriba. Le lancement s'est fait sous la présidence de l'évêque du diocèse de Diébougou Mgr Kussiélé Der Raphael Dabiré, et le parrainage du directeur régional en charge de l'enseignement primaire, Jean-Joseph Somda. La caravane a été possible grâce à l'accompagnement de Pro Enfant et son partenaire Health Focus.
Boubacar TARNAGDA
Correspondant LeFaso.net
Le nombre des crimes en Algérie ne cesse d’augmenter, ainsi ce sont des crimes de plus en plus violents. Cette fois, c’est dans la commune de Fouka de la Wilaya de Tipaza qu’on a assisté au théâtre d’un terrible crime à l’arme blanche, hier 14 juin 2022. La commune de Fouka a été secoué par […]
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Afin d'accompagner les entreprises dans l'obtention et l'exécution des marchés publics et privés et de les protéger contre les défauts de paiement, la société nationale d'assurances et de réassurances (SONAR), a conçu pour elles un nouveau produit dénommé "Assurance-crédit-caution". Un produit dont l'objectif est de permettre aux souscripteurs d'entreprendre les opérations de manière sereine. Considérée comme une solution innovante, cette offre a officiellement été présentée ce jeudi 9 juin 2022 aux hommes et femmes de médias au cours d'un déjeuner de presse.
Aider les entreprises à faire face à l'insolvabilité des clients et satisfaire les besoins liés à la caution de marché, à la caution financière exigée par certains secteurs d'activité, ce sont des préoccupations majeures des acteurs économiques auxquelles la SONAR veut apporter une solution au moyen de l'assurance-crédit-caution. Avec ce produit, la SONAR offre une assurance caution et une assurance-crédit à ses clients.
Le but de l'assurance-crédit est de garantir l'assuré contre les risques de défaillance de son client en raison de l'insolvabilité. Elle permet par exemple au fournisseur d'avoir plus confiance car en cas de défaillance, l'assurance-crédit va venir pallier l'insolvabilité du client. Quant à l'assurance caution, elle permet aux entreprises d'être protégées par rapport aux engagements pris.
Dans ce cas précis, la SONAR s'engage en cas de difficulté de l'entreprise, à payer au bénéficiaire le montant de la caution indiquée sur le contrat. Ce qui permet aux institutions financières et aux banques de faire davantage confiance aux entreprises pour l'exécution des marchés. Par ailleurs, six types de couvertures sont proposés par la SONAR. Nous avons la caution de soumission, celle de bonne exécution celle de restitution d'acompte, la caution de dispense de retenue de garantie, caution financière ainsi que la garantie crédit fournisseur.
Selon le directeur général de la compagnie d'assurance, Thomas Zongo, l'assurance-crédit-caution vient faciliter l'obtention et l'exécution des marchés et contribuer à une sécurité financière des sociétés. « Plusieurs entreprises n'ont pas suffisamment d'actifs ou de fonds propres, qui puissent être utilisés comme garantie ou comme caution. Et avec ce produit, l'assureur se substitue à l'entrepreneur pour offrir la garantie et rassurer le maître d'ouvrage que l'entreprise qui est en train de soumissionner au marché, a des garanties financières pour pouvoir exécuter le marché sans problème », explique-t-il.
L'assurance-crédit-caution présente donc plusieurs avantages et qui sont entre autres la facilitation de l'obtention de nouveaux marchés et contrats par la sécurisation des clients et des partenaires commerciaux ; le renforcement de la crédibilité de l'entreprise dans l'exécution des marchés ; l'optimisation de la trésorerie ainsi que l'accès à un coût de financement abordable. Peuvent souscrire à cette offre d'assurance, toutes les personnes physiques et morales qui exercent dans le domaine des marchés publics et privés, ainsi que celles qui exercent des activités soumises à des garanties financières.
Le lancement de ce nouveau service offert par la SONAR, a été placé sous le patronage de Issaka Kargougou directeur général de la Chambre de commerce et d'industrie du Burkina. Il a par la voix de son représentant, Emmanuel Yoda, saluer cette solution nouvelle qui va de son avis apporter un soulagement aux entrepreneurs. Il n'a pas manqué d'inviter les personnes physiques et morales qui postulent aux marchés publics et privés et celles qui ont besoin de garantie financière, à prendre attache avec la SONAR pour découvrir et utiliser l'assurance-crédit-caution qu'elle propose.
Armelle Ouédraogo/Yaméogo
Lefasonet
Le Ministère des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger a réagi aujourd’hui aux informations relayées sur les réseaux sociaux ; concernant le prétendu « échec de l’Algérie à récolter le soutien nécessaire à la tenue d’une réunion d’urgence de la Ligue arabe ». Dans un communiqué rendu public ce mercredi 15 juin ; le […]
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L'expert congolais en politique économique, Dr Jo Sekimonyo, a indiqué mercredi 15 juin que la RDC n’avait pas besoin de s’engager dans une guerre militaire contre le Rwanda.
Il recommande aux autorités de la RDC de préserver le capital humain congolais et d’exploiter plutôt l’avantage économique que détient la RDC sur le Rwanda.
La situation humanitaire se dégrade davantage dans le territoire de Rutshuru après l’occupation de la cité de Bunagana, depuis lundi 13 juin par les rebelles du M23. Ce constat est fait par plusieurs acteurs locaux. A cet effet, les missions humanitaires sur l’axe Rutshuru-Bunagana, particulièrement, restent suspendues, selon OCHA.
La Conférence internationale pour la région des Grands lacs (CIRGL) a réaffirmé ce mercredi 15 juin son engagement à promouvoir la paix dans les douze pays membres, à travers le programme d’éducation à la paix repris dans un manuel élaboré pour cette fin. Cet engagement a été pris à la clôture des travaux de la table ronde régionale conjointe sur la paix et la sécurité tenue à Bujumbura pendant deux jours.
Dans un communiqué relatif à « l'augmentation abusive des frais de scolarité », le ministère en charge de l'Éducation nationale estime que « c'est un obstacle à la scolarisation de beaucoup d'enfants dont les déplacés internes ». Ainsi, il appelle donc « au sens élevé de patriotisme » des promoteurs d'établissements privés.
Le Premier Ministre, Aïmene Benabderrahmane, a présidé ce mercredi, 15 juin 2022, une réunion du Gouvernement consacrée aux secteurs de l’entrepreneuriat, de l’agriculture et du développement rural, des transports, de l’aménagement du territoire, du commerce et de la promotion des exportations ; a indiqué un communiqué des services du Premier Ministère ; dont voici le […]
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La cour militaire du Nord-Kivu tient ses audiences foraines depuis mardi 14 juin dans la ville de Beni.
Selon des sources judiciaires, pendant dix jours, cette juridiction va statuer sur les dossiers en appel dans le procès des rebelles ougandais des ADF et d’autres relevant de la justice militaire.
Cent vingt-trois mille déplacés ont été enregistrés dans les territoires de Rutshuru et Nyiragongo (Nord-Kivu) et au moins huit mille personnes ayant traversé la frontière pour se réfugier en Ouganda à la suite des affrontements déclenchés depuis mai 2022. Ces chiffres ont été donnés par la nouvelle Représentante du HCR en RDC, Angèle Dikongue-Atangana, au cours de la conférence de presse des Nations unies de ce mercredi 15 juin.
Djamel Belmadi réalise un nouvel exploit. Il détient désormais le record de longévité des sélectionneurs d’Algérie. Il reçoit l’éloge d’un grand entraineur, Arsène Wenger en l’occurrence. Nommé sélectionneur d’Algérie le 2 août 2018, Djamel Belmadi a pu se frayer un chemin vers la gloire. Malgré les désillusions de la CAN-2021 et du 29 mars dernier, […]
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Nombreux sont ceux qui se sentent mal à l’aise dans leur peaux. La cause principale ? l’obésité. En effet, après un régime alimentaire stricte et un programme sportif intense, plusieurs sont ceux qui ne réalise pas le résultat escompté. Par ailleurs, face aux critères de beauté instaurés par les célébrités et les influenceurs sur les […]
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L’inscription au registre de commerce est l’une des étapes importantes de la création d’entreprises en Algérie. Le site du Centre national du registre du commerce (CNRC) compte l’ensemble des codes d’activités permettant l’inscription au registre de commerce et l’exercice de ces activités. Cependant, certaines d’entre elles semblent gelées depuis un certain temps. Activités d’agences de […]
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Le Mécanisme conjoint de vérification élargi, organe de la CIRGL chargé du monitoring de la situation sécuritaire et humanitaire dans les 12 pays de la région des Grands lacs, a déployé ses experts à Rutshuru pour se rendre compte de la situation et faire rapport à la hiérarchie de la CIRGL. Le colonel Aristide Botonga, expert du Congo-Brazzaville au sein de ce mécanisme, l'a annoncé 15 juin à Radio Okapi.
Ces derniers mois, les prix du pétrole ont connu des records jamais atteint depuis des années. Le Sahara Blend a établi un nouveau record, alors que le prix du baril a frôlé 130 dollars dans les échanges, ce mercredi 15 juin 2022. En atteignant ce prix-là, le Sahara Blend bat arrive à un seuil jamais […]
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Le centre de transfusion sanguine de Butembo dit avoir collecté soixante-dix-huit poches de sang la journée de mardi 14 juin lors de la campagne spéciale organisée à l’occasion de la journée mondiale du donneur de sang.
Le responsable de ce centre, Emmanuel Amisi Sefu, se dit moyennement satisfait du résultat de la campagne, car plusieurs autres personnes se sont présentées pour faire le don du sang, mais n’ont pas rempli les critères d’éligibilité :
Le Chef de l'Etat a reçu ce mercredi 15 juin devant le Congrès au Palais du peuple les serments des trois nouveaux juges de la Cour constitutionnelle qu'il venait de nommer. Il s'agit de Dieudonné Mandzia Andia, Christian Bahati Yuma et Sylvain Lumu Mbaya, respectivement venus du Parlement, du Conseil supérieur de la magistrature (CSM) et du Président de la République.