(B2) Le programme européen d’observation de la Terre (Copernicus) vient de franchir un nouveau pas. Un an après le lancement du premier satellite « Sentinel 1″, un deuxième satellite « Sentinel 2″ a été placé avec succès en orbite à 3h52 CET mardi (23 juin), depuis le Centre spatial européen de Kourou en Guyane française. L’ajout d’un deuxième satellite permettra à Copernicus de « fournir des images de l’évolution de la terre avec un haut niveau de détail et de précision » souligne-t-on à la Commission. Le flux d’informations fourni sera « gratuit et ouvert » et il pourra être utilisé en matière de lutte contre les catastrophes écologiques, d’amélioration de l’utilisation des sols pour l’agriculture et la sylviculture et de réponse aux situations d’urgence.
(B2) Avec aujourd’hui près de 70 fiches consacrées à la politique étrangère et de sécurité commune (PESC) et la politique de sécurité et de défense commune (PSDC) et à l’Europe politique, le Quezako de B2 est devenu l’outil indispensable pour tout connaitre de la PESC et de la PSDC. Une véritable encyclopédie en ligne pour parfaire vos connaissances, réviser vos examens, vos entretiens, préparer les concours… ou juste pour le plaisir.
Les fiches sont aussi complètes et concrètes que possible, conçues de manière pédagogique et explicative, pour pouvoir être lues et comprises par chacun. Le Quezako s’adresse, en effet, à tous — qu’ils soient directement intéressés par cette politique — étudiants, chercheurs, professeurs, agents de l’Union européenne, candidats aux concours, députés — citoyens engagés ou simplement curieux. Le coût d’accès a donc été calculé au plus juste pour permettre cet accès à tous.
L’accès est prévu pour 2 mois (12 euros) ou 1 an (60 euros). Le renouvellement vous permet d’accéder aux nouvelles éditions (on line), avec les nouvelles fiches ou celles mises à jour, de recevoir des alertes actus.
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(BRUXELLES2) Les ministres des Affaires étrangères de l’UE ont approuvé, sans surprise, ce lundi 22 juin, le lancement de la nouvelle opération de lutte contre les trafiquants de clandestins au large de la Libye (EUNAVFOR Med). Une opération qui ne vise pas les migrants. « Nos cibles ne sont pas les migrants, mais ceux qui font de l’argent sur leurs vies… et sur leurs morts », a souligné Federica Mogherini, la cheffe de la diplomatie européenne.
Des contributions de neuf pays
Neuf pays, selon B2, vont contribuer directement à l’opération : l’Italie en premier lieu fournira le navire amiral (le Cavour), 1 sous-marin, 3 hélicoptères et 2 drones ; le Royaume-Uni fournira un navire (le HMS Enterprise) et utilisera sa station d’écoute de Cheltenham, la Belgique et la Slovénie fourniront un navire, la Grèce un sous-marin, le Luxembourg, l’Espagne et la France un avion de patrouille maritime, la Finlande une équipe de visite et d’abordage. La France fournira également des produits « bruts » ou « finis » (avec analyse) provenant de ses différents « capteurs ». L’Allemagne hésite encore. On peut remarquer l’absence quasi-totale des pays d’Europe centrale et orientale à l’opération (à l’exception de la Slovénie). Une quinzaine de nationalités seront également présentes au quartier général d’opération de Rome. Tous les détails dans notre édition « Pro » : Qui participera à l’opération EUNAVFOR MED ? Les moyens de la phase 1
(Nicolas Gros-Verheyde)