You are here

Feed aggregator

Canada takes delivery of six Sikorsky CH-148 Cyclone maritime helicopters

Naval Technology - Mon, 22/06/2015 - 01:00
Sikorsky Aircraft has delivered six CH-148 Cyclone helicopters to the Canadian Government, marking an important milestone achieved in the Canadian Forces' Maritime Helicopter Project.

Caterpillar to power South Korean Navy’s 16 patrol boats

Naval Technology - Mon, 22/06/2015 - 01:00
Caterpillar Marine has secured an order to deliver its Cat power solutions to power 16 patrol boats to be built for the Republic of Korea Navy (ROKN).

US Navy conducts CARAT exercise with Philippines

Naval Technology - Mon, 22/06/2015 - 01:00
The US Navy, Marine Corps and the Armed Forces of the Philippines (AFP) have started the 2015 cooperation afloat readiness and training (CARAT) exercise series in Puerto Princesa, Philippines.

Raytheon to deliver AN/APY-10 radar for US Navy’s P-8A Poseidon aircraft

Naval Technology - Mon, 22/06/2015 - 01:00
Raytheon has received a multi-year contract worth $153m from the US Navy to manufacture 53 AN/APY-10 maritime, littoral and overland surveillance radars for its fleet of Boeing P-8A Poseidon aircraft.

Gerald R Ford Class (CVN 78/79) – US Navy CVN 21 Future Carrier Programme

Naval Technology - Mon, 22/06/2015 - 01:00
The US Navy's programme CVN 21 for the future generation aircraft carrier programme was previously known as the CVN(X).

Multi-influence Range System (MIRS) for surface ships and submarines

Naval Technology - Mon, 22/06/2015 - 01:00
The SAES Multi Influence Range System (MIRS) for surface vessels and submarines provides real influence measures (magnetic, electric, pressure, acoustic, and seismic) in a real and controlled scenario, to successfully counter related threats.

Comment a-t-on décidé sur EUNAVFOR Med ? Qui finance ? Qui contrôle ? etc.

Bruxelles2 Blog - Sun, 21/06/2015 - 15:30

Avions de patrouille Atlantic en vols de reconnaissance (crédit : Marina Italienne)

(BRUXELLES2) L’opération EUNAVFOR Med comme toute les opérations de l’Union européenne mises en place au titre de la politique de maintien de la paix de l’UE (la PSDC ou politique de sécurité et de défense commune) obéit à des règles précises qu’il est intéressant de rappeler à la veille du lancement de l’opération de lutte contre les trafics de clandestins au large de la Méditerranée (EUNAVFOR Med).

Qui décide d’une opération ?

La prise de décision au niveau européen est toujours assurée au niveau politique par les ministres ou par les ambassadeurs qui ont reçu instruction des capitales. En général, vu la sensibilité du sujet, ces instructions sont « en prise directe » avec l’instance décisionnelle pour les opérations militaires dans leur pays (Défense, Affaires Etrangères, Premier ministre ou chef de gouvernement).

Comment décide-t-on ?

La décision sur une opération militaire est prise à l’unanimité au niveau européen. En général, il n’y a pas de vote. C’est par consensus que la décision est prise. Mais si un Etat membre émet une réserve formelle ou s’il s’y oppose, la discussion continue jusqu’à obtenir un accord. Il est (très) rare de voter sur ce genre de décisions qui impliquent la souveraineté des Etats.

Décide-t-on à 28 ?

Non. Le Danemark a un opt-out en matière militaire. Il ne participe pas à la prise de décision, n’est pas tenu de participer au mécanisme de financement solidaire et ne peut même y être associé de quelque façon que ce soit. Ce qui assez paradoxal. Car son voisin nordique, la Norvège, qui n’est pas membre de l’Union européenne pourra être .

Qui participe à l’opération ?

Une fois la décision prise, les Etats membres sont libres de participer concrètement à l’opération, ou non. Ils décident, souverainement, d’envoyer les moyens disponibles – ou de les retirer – le cas échéant, sur simple décision d’opportunité. D’où des conférences de générations de force pour fournir les moyens nécessaires. La difficulté dans ce type d’opérations est de trouver parmi ce que proposent tous les Etats membres, tous les éléments nécessaires et complémentaires à la mise en place de l’opération. Cela ressemble un peu à un rubiscube quand il s’agit de mettre en face des moyens nécessaires, ceux proposés par les Etats membres, et surtout de maintenir ces capacités dans le temps. Ainsi inutile d’avoir 7 bateaux quand il en faut simplement 3. Et inutile d’avoir 10 avions tout de suite, là où il vaut mieux en avoir 3 ou 4 en permanence dans les airs durant les 6 mois à venir.

Qui paie ? A combien revient l’opération ?

Chaque État participant supporte le coût des forces et personnels envoyés sur place. C’est le principe dans toutes les opérations militaires de l’UE (comme de l’OTAN). C’est pour cela qu’il est très difficile d’obtenir le coût global d’une opération militaire, hormis les coûts communs, chaque Etat ayant au surplus un mode de calcul différent. Seule une petite partie des coûts de l’opération est assurée en commun. Ce mécanisme dit Athena, prend en général les coûts du dispositif de commandement, certaines dépenses du QG d’opération et de force (logistique, communications …), dans le cadre d’une enveloppe définie par avance. Pour EUNAVFOR Med, c’est 11,82 millions d’euros la première année. Tous les États membres (sauf le Danemark) contribuent à ces coûts communs, selon une clé de répartition fixée en fonction du produit intérieur brut (PiB).

Pourquoi un QG d’opération à Rome et pas à Bruxelles ?

L’Union européenne ne dispose pas, en propre, d’un quartier général pour conduire les opérations militaires. Les Etats membres ont toujours refusé de l’activer (pour cause de veto britannique essentiellement). Les opérations de l’Union européenne sont donc menées à partir d’un quartier général d’opérations, dédié à cela, et activé spécialement pour l’occasion. L’Europe dispose de six quartiers généraux répertoriés : en France (Paris-Mont Valérien), au Royaume-Uni (Londres-Northwood), en Allemagne (Potsdam), en Italie (Rome), en Grèce (Larissa) ainsi que le Shape de l’OTAN (à Mons Belgique). Deux sont actifs aujourd’hui : outre Rome (EUNAVFOR Med), Northwood suit l’opération l’opération anti-piraterie EUNAVFOR Atalanta. Un vient d’être clos : Larissa qui suivait l’opération EUFOR en RCA (Centrafrique).

Est-ce la première opération navale de l’UE ?

Non. L’Union européenne avait lancé en 2008 une opération de lutte anti-piraterie (EUNAVFOR Atalanta) dans le Golfe d’Aden et au large de la Somalie qui a pris de l’ampleur au fil des années (couvrant quasiment tout l’Océan indien) et a permis (avec toute une série d’autres dispositifs) de réduire quasiment à néant la piraterie. Les Européens avaient également mis en place – sous couvert de l’UEO – une opération navale, pour veiller à l’application de l’embargo sur les armes décidés contre la Yougoslavie.

Est-ce une opération importante ?

Oui effectivement, si on excepte des missions de moindre envergure (de formation EUTM Mali et EUTM Somalia, et l’opération en RCA limitée à Bangui, EUFOR RCA), il y avait, en effet, presque 7 ans que l’Union européenne n’avait pas déclenché une opération militaire de grande envergure (depuis 2008 et la mise en place de l’opération EUFOR au Tchad et RCA avec près de 4000 hommes et la mise en place de l’opération anti-piraterie de l’UE dans l’Océan indien).

Est-ce une opération à risque ? Peut-elle évoluer au fil du temps ?

Cette opération comporte de sérieux risques politiques voire de finir en impasse. Chacun le sait. Il reste des inconnues sur la résolution des Nations-Unies ou l’accord des autorités libyennes. Et le succès n’est pas assuré. Mais c’est le propre d’une opération de gestion de crises. la plupart des opérations européennes de maintien de la paix ont été lancées avec des inconnues et des risques. Le rôle des responsables militaires et politiques est de limiter au maximum ce risque. L’opération évoluera assurément au fil du temps, en fonction des évènements, voire des contraintes politiques ou militaires. Toutes les opérations de l’UE ont ainsi connu des modifications de leur plan d’opération voire de leur mandat.

Le succès est-il assuré ?

De par mon expérience, depuis les années que je suis les opérations de PSDC, les critiques sont souvent nombreuses au début d’une opération européenne. Certaines sont fondées, reposent sur de solides arguments, ou signifient un vrai positionnement politique. Mais d’autres trahissent à peine une certaine mauvaise foi quand elles ne sont pas le signe d’une nette ignorance des réalités. Car qu’il est toujours de bon ton dans certaines capitales ou milieux de prendre l’Europe dans son champ de tir. On a ainsi prédit l’échec en 2008 à l’opération déployée à l’est du Tchad près du Soudan. Un an après ceux même qui avaient critiqué s’étaient tues. Et tout le monde reconnait que cette opération a été utile pour stabiliser le pays (même si elle a favorisé le pouvoir en place). En 2008, également, on a critiqué l’opération maritime anti-piraterie (EUNAVFOR Atalanta) comme infaisable ou faisant doublon avec d’autres opérations. Aujourd’hui celle-ci est vantée comme une success story, même par les Tories Britanniques (qu’on ne peut pas soupçonner d’être euroenthousiastes ;-). Idem pour la mission de formation de l’armée somalienne (EUTM Somalia) qui comportait peu de risques militaires mais beaucoup de risques politiques. A côté de cela, il y a eu des « vrais » échecs d’opération (EUAVSEC au Sud Soudan, EUBAM en Libye, …). Lire : Une certaine remise en ordre des missions et opérations de la PSDC … comme de l’OTAN ?

(Nicolas Gros-Verheyde)

Pour en savoir plus

Un accord de paix au Mali

Bruxelles2 Blog - Sat, 20/06/2015 - 23:55

(BRUXELLES2) La signature d’un accord de paix au Mali par toutes les parties suscite de l’espoir.

Il y a 2 ans et demi lors de l’offensive des rebelles soutenus par les mouvements « terroristes », on ne donnait pas cher de la stabilité de ce pays. La réplique éclair des Français en a surpris plus d’un. Parfois raillée, à mi-voix, par certains (rares) responsables européens comme l’expression d’un colonialisme mal digéré, elle est aujourd’hui saluée unanimement par tous comme la bonne réaction au bon moment.

Cet accord de paix a donc été salué dans de nombreuses capitales. Du côté de l’Union européenne, on se félicite de cette « nouvelle étape importante du long processus visant à rétablir la confiance mutuelle ». « Cet Accord va contribuer à la restauration de la stabilité et de la sécurité, à l’amélioration des conditions de vie pour la population et ouvrira la voie à la réconciliation nationale » soulignent dans un communiqué commun la Haute représentante de l’UE, Federica Mogherini, et le commissaire chargé du Développement, Neven Mimica.

Les Européens saluent « les efforts remarquables des parties signataires pendant les négociations » tout comme l’engagement « de l’Algérie, qui a conduit la médiation ». Maintenant il faut appliquer cet accord dans ses moindres détails. « Toutes les parties doivent maintenant remplir leurs obligations, et en priorité respecter le cessez-le-feu encore fragile que tous les groupes armés se sont eux-mêmes engagés à respecter. Il est tout aussi important que le Gouvernement du Mali joue un rôle moteur dans le processus de réconciliation. La réussite de la mise en œuvre de l’Accord dépendra également des réformes qui seront menées dans les secteurs de la décentralisation, de la justice et de l’enseignement, ainsi que de la lutte contre la corruption et l’impunité.

Mais la communauté internationale doit veiller au grain. « L’Accord de paix contient également des engagements pour les membres de la médiation, y compris pour l’UE, et prévoit l’implication des membres du Conseil de Sécurité des Nations Unies au sein du Comité de Suivi de l’Accord ». C’est la MINUSMA, lors du renouvellement de son mandat, qui « aura un rôle spécifique et de chef de file dans la mise en œuvre de l’Accord de paix et bénéficiera de tout notre appui ».

L’Europe « est prête à participer activement, en particulier dans le domaine du développement, ainsi que celui de la réforme du secteur de sécurité en mettant à contribution les missions PSDC (*) déjà opérationnelles au Mali » précisent les Européens. Elle « reste prête à mobiliser tous les instruments à sa disposition afin de contribuer au renforcement de la paix et la stabilité pour la population du pays.» Plusieurs domaines ont été jugés prioritaires pour conforter l’accord de paix : 1) consolidation de la paix et réforme de l’état, 2) sécurité alimentaire et développement rural, 3) éducation et 4) infrastructures.

(NGV)

(*) La mission de formation de l’armée malienne (EUTM Mali) et la mission de renforcement des capacités des forces de sécurité (EUCAP Sahel Mali).

La livraison des A400M reprend. Un 7e appareil livré à la France

Bruxelles2 Blog - Fri, 19/06/2015 - 20:29

L’A400M en démonstration au salon du Bourget (crédit : Airbus Military)

(B2) Après l’accident de Séville, le 9 mai (lire : Crash d’un A400M à Séville), une série de tests ont été faits pour découvrir l’origine du problème.

Apparemment une anomalie du logiciel, mal chargé (ou programmé), commandant les moteurs a été détectée et l’erreur corrigée (lire : La ligne continue ! Premier essai en vol d’un A400M depuis le crash + ci-dessous).

 

Six semaines après l’accident, les livraisons de l’appareil militaire de transport européen ont donc repris. Et le constructeur a confirmé vendredi (19 juin), Airbus Defence and Space être « sur le point de reprendre les livraisons de l’A400M d’Airbus. La veille (18 juin), le régulateur espagnol de l’aviation (la DGAM) avait levé « toutes les restrictions de vol restant sur de nouveaux avions de production ».

Le septième avion pour la France

Aussitôt la Direction générale de l’armement (DGA) a donc pu annoncer « avoir « réceptionné » le septième exemplaire de série de l’avion de transport militaire A400M Atlas destiné à l’armée de l’air ». L’appareil porte le numéro de série MSN19. Et il est amélioré par rapport aux précédents. « En plus des capacités déjà disponibles sur les appareils précédents, le MSN19 dispose d’une première capacité de largage de parachutistes en chute libre par la rampe arrière de l’appareil. »

Le treizième avion pour le constructeur et donc attendus prochainement

Il s’agit du treizième avion de série livré sur les 174 commandés. Six ont déjà été livrés à la France, ainsi que deux à la Turquie, deux au Royaume-Uni, un à l’Allemagne et un premier appareil à l’export (à la Malaisie) en mars 2015.

Le plan de production pour l’année est toujours « en cours d’examen après l’accident » indique-t-on chez l’avionneur. Mais celui-ci « vise toujours la livraison de au moins 13 avions en 2015, et jusqu’à 4 de plus sous réserve des résultats d’essais en vol cet été. Deux avions qui attendaient la livraison au moment de l’accident vont être livrés dans les quelques jours et un certain nombre d’autres devraient suivre dans les prochaines semaines ».

(NGV)

Le message de Airbus le 3 juin, détaillant la panne

« Airbus Defence and Space has sent an Accident Information Transmission (AIT) yesterday evening (2 June) as an update to the Alert Operator Transmission (AOT) of last 19 May to all operators of the A400M. This AIT informs that the DFDR (digital flight data recorder) and CVR (cockpit voice recorder) readouts have been successfully completed and that preliminary analysis has been conducted by CITAAM with representatives from Airbus Defence and Space providing technical advice.

CITAAM confirmed that engines 1, 2 and 3 experienced power frozen after lift-off and did not respond to the crew’s attempts to control the power setting in the normal way, whilst engine 4 responded to throttle demands. When the power levers were set to “flight idle” in an attempt to reduce power, the power reduced but then remained at “flight idle” on the three affected engines for the remainder of the flight despite attempts by the crew to regain power. This statement is consistent with those three engines being affected by the issue addressed with our AOT.

Preliminary analyses have shown that all other aircraft systems performed normally and did not identify any other abnormalities throughout the flight. Accordingly, Airbus Defence and Space does not have any additional specific recommendations beyond those specified in our AOT of May 19th. »

Le dispositif de commandement d’EUNAFOR Med. Un Français à bord…

Bruxelles2 Blog - Fri, 19/06/2015 - 19:10

Le Cavour (crédit : marine italienne)

(BRUXELLES2 – exclusif) Le dispositif de commandement de l’opération européenne en Méditerranée contre les trafiquants d’êtres humains (EUNAVFOR Med) se dessine. Et B2 peut ainsi lever le voile sur ce dispositif qui devrait être annoncé lundi.

Le franco-italien aux commandes

Aux côtés du vice-amiral Enrico Credendino (annoncé en avant-première sur le Club : Le chef d’opération EUNAVFOR Med bientôt nommé. Son nom proposé. Biographie), qui commandera l’opération, on devrait trouver un Français bien connu des lecteurs de B2 : le contre-amiral, Hervé Bléjean. Dernier commandant de la Jeanne (d’Arc), il a commandé la force anti-piraterie de l’UE (EUNAVFOR Atalanta) de décembre 2013 à avril 2014 à bord du TCD Siroco. Il assure aujourd’hui la fonction de l’autorité de coordination des relations internationales pour l’Etat-Major de la marine. Il a été auditeur de la 62e session de l’IHEDN. Il pourrait passer bientôt vice-amiral.

Etat-Major : à Rome

L’Etat-major d’Opération (OHQ) devrait être situé à Rome, sur l’aéroport militaire de Centocelle, et non colocalisé sur la base de Practica di Mare de la Guardia Di Finanza, qui loge l’opération Frontex, ou au MRCC de Rome des Gardes-Côtes, comme on aurait pu le croire un moment. A cela un explication, ou plutôt deux. D’une part, il s’agit de bien distinguer les deux opérations – l’une est civile – avec des moyens militaires – à vocation de sauvetage et secours en mer, l’autre militaire et policière à objectif de lutte contre les trafiquants (même si les interactions entre les deux opérations existeront). D’autre part, l’OHQ « fléché » et agréé pour les opérations européennes est celui de Centocelle.

Commandement tactique italien

Le commandant tactique, de la force déployée en mer et dans les airs reviendra à un Italien. Ce qui confirme nos dernières informations d’un « doublé italien ». Le commandant de la force en mer devrait être selon nos informations, le contre-amiral Andrea Gueglio, qui commande le second groupement naval italien, basé à Tarente. Il devrait officier à bord du porte-aéronefs Cavour (D-550), le navire-amiral de la marine italienne, qui pourrait être le FHQ de l’opération.

Moyens de renseignement

L’opération bénéficiera de moyens apportés par les différents pays en observation, en renseignements et en analyse. Les Français devraient ainsi fournir un avion de patrouille maritime (type Atlantic 2 ou Falcon) ainsi que des « produits finis » de renseignement provenant de différentes sources (aériennes, maritime, sous-marine…). Les Belges devraient profiter de la présence du Godetia sur place pour fournir également du renseignement. Les Luxembourgeois devraient mettre à disposition un appareil Swearingen Merlin IIIC du même type et de la même société (CAE Aviation) que celui mis à disposition d’EUNAVFOR Atalanta (lire : Les avions luxembourgeois. Ils sont de retour…). Etc.

(Nicolas Gros-Verheyde)

Lire aussi : EUNAVFOR Med lancée lundi. Une opération grandes oreilles tout d’abord

Tous les articles sur cette opération porte le mot clé EUNAVFOR Med

 

L'Onera, tête chercheuse de l'aéronautique française

Blog Secret Défense - Fri, 19/06/2015 - 17:16
Peu connu du grand public, ce centre d'études dépendant du ministère de la Défense est au cœur des innovations de rupture

Pages