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Replicating Information Costs Time: A Case Study on Regs4ships

Naval Technology - Thu, 25/06/2015 - 16:06
Regs4ships specialises in the provision of digital regulations, technical information and IMO material to ships and shore infrastructure.

Pilot whales killed after UK Royal Navy’s bombing, says report

Naval Technology - Thu, 25/06/2015 - 01:00
The noise from underwater bombs exploded by the UK Royal Navy resulted in the death of 19 pilot whales off the north coast of Scotland in 2011, a report from the Department for Environment Food and Rural Affairs has confirmed.

UK defence: challenges loom for triumphant Tories

Naval Technology - Thu, 25/06/2015 - 01:00
The Conservatives have free rein for the first time since 1997 after securing an unexpected majority at the UK general election in May. But with global instability at its highest level for decades and a steadily declining Ministry of Defence budget, …

HHI to upgrade US Navy’s aircraft carrier USS George H W Bush

Naval Technology - Thu, 25/06/2015 - 01:00
Huntington Ingalls Industries’ (HII) Newport News Shipbuilding division has secured a $23.8m contract from the US Navy for nuclear propulsion and complex modernisation work on the aircraft carrier, USS George H W Bush (CVN 77).

Salient to deliver training and support services to Saudi Naval Forces

Naval Technology - Thu, 25/06/2015 - 01:00
Salient Federal Solutions subsidiary has secured a prime contract from the space and naval warfare systems command (SPAWAR) supporting the Royal Saudi Naval Forces (RSNF) to deliver training and support services in the US.

India Navy’s upgraded INS Sindhukirti submarine to undergo final trials

Naval Technology - Thu, 25/06/2015 - 01:00
The Indian Navy’s Russian-made Sindhughosh-class submarine INS Sindhukirti is set to undergo final trials on 26 June, after completing almost a decade-long retrofit at Hindustan Shipyard (HSL) in Visakhapatnam, Andhra Pradesh, India.

La défense réduite à la portion congrue. Un Sommet pour rien

Bruxelles2 Blog - Wed, 24/06/2015 - 19:26

Donald Tusk a gagné. Il a obtenu des conclusions courtes. Mais est-ce vraiment l’objectif d’un sommet ? (Crédit : Conseil de l’UE – Donald Tusk le 22 juin)

(BRUXELLES2) Les questions de défense devaient figurer comme un point-clé du sommet européen. Le résultat ne semble pas vraiment assuré aujourd’hui. Et la politique de sécurité et de défense (PSDC) apparait même comme un sujet secondaire. Le mot « défense » ainsi même PSDC » a même été gommé des « highlights » présentant le Sommet sur le site web du Conseil de l’UE (voir ci-dessous). Un signe !

Un agenda chargé et un débat rapide

Le président du Conseil européen, Donald Tusk, avait, c’est vrai, hésité, dans les premiers mois de l’année, à maintenir ce point à l’ordre du jour du Conseil estimant que l’ordre du jour était bien chargé. Et c’est vrai. L’agenda du Conseil contient des sujets très délicats à discuter entre « Chefs » : les migrations, la dette et les réformes en Grèce tout comme les revendications de Cameron d’une « Europe Light ». Entre Grexit et Brexit, les esprits divaguent et les attentions sont ailleurs. Du coup, le débat prévu au Conseil risque de réduire à sa plus simple expression et de ne durer qu’une ou deux heures au matin (lire sur le Club : Au sommet, des conclusions réduites sur la Défense. Le temps d’un sucre dans un café ?). Et encore, puis qu’il pourrait se réduire à écouter le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, venu là pour expliquer « comment l’OTAN répond aux nouveaux défis de sécurité ». Autrement dit une vision on ne peut plus atlantiste de la politique de défense commune, aux antipodes de ce qui était prévu dans les Traités et l’esprit des traités.

Des conclusions limitées

La brièveté des conclusions est encore plus étonnante. Le texte, parvenu à B2 et que nous avons commenté hier dans le Club (Lire : Le projet (commenté) des conclusions sur le Sommet Défense (exclusif)), se résume aujourd’hui à assez peu de choses : quelques lignes lapidaires : 6 « bullet point » et 4 lignes d’introduction sur la PSDC +  » lignes pour la stratégie européenne de sécurité. Et c’est tout… Au surplus, ces lignes sont assez confuses dans le langage, peu compréhensibles même pour une personne avertie (sans une notice d’utilisation), voire carrément inconsistantes. Ce qui est tout le contraire des objectifs visés par un Conseil européen : des orientations claires et précises pour permettre à toute la sphère européenne (ministres, Commission, diplomates, gradés, industriels) de travailler. En résumé, par rapport à l’ampleur des défis auxquelles l’Europe fait face, c’est pour reprendre les termes des plusieurs ambassadeurs de l’UE : « inacceptable » ou « indécent » !

Une réflexion sur les menaces absente

Le plus étonnant est l’absence de débat sur les menaces qui se trouvent aujourd’hui sur la frontière sud. La Syrie et l’Irak sont en feu. En Libye, l’Egypte et l’Arabie saoudite d’un côté et le Qatar et la Turquie se font la guerre par proxies libyens interposés.  Et Daech commence à tirer son épingle du jeu à Syrte. Le Liban et la Turquie croulent sous les réfugiés. Et aucun débat à ce sujet au niveau des Chefs d’Etat et de gouvernement. Pour reprendre le mot de Nicole Gnesotto, professeur au CNAM, et ancienne directrice de l’institut d’études de sécurité de l’UE, on ne peut qu’être « étonné, atterré que les Chefs ne parlent pas de la situation la plus dramatique qui soit ».

Une atonie européenne ?

On pourra se satisfaire de ces conclusions. En se disant c’est mieux que rien. Au moins, les Chefs d’Etat en parlent un peu. On mentionne la recherche. Mais, au final, par rapport aux enjeux, c’est nul ! Autant le dire franchement. Et ce que je dis vertement, d’autres l’ont déjà dit dans les coulisses de manière à peine plus voilée.

(Nicolas Gros-Verheyde)

L’annonce officielle du sommet sur le site du Conseil européen ne mentionne pas le mot défense, uniquement la terminologie « sécurité », plus britanno-compatible.

Des écoutes de la NSA « inacceptables »

Bruxelles2 Blog - Wed, 24/06/2015 - 19:24

(B2) L’Elysée a tenu à réagir avec une certaine vigueur aux révélations de Wikileaks sur les écoutes faites par la NSA sur plusieurs présidents français – Chirac, Sarkozy, Hollande, sur la période 2006-2012. Un Conseil de défense a été réuni ce mercredi (24 juin) au matin. Et le ton est dur.

Des faits inacceptables ?

« Il s’agit de faits inacceptables qui ont déjà donné lieu à des mises au point entre les Etats-Unis et la France, notamment fin 2013 au moment des premières révélations et lors de la visite d’Etat du Président de la République aux Etats-Unis en février 2014 ».

Les engagements doivent être tenus

Des engagements avaient « été pris par les autorités américaines. Ils doivent être rappelés et strictement respectés ». La France « ne tolèrera aucun agissement mettant en cause sa sécurité et la protection de ses intérêts ». NB : un peu plus et on déclarait la guerre ?

(NGV)

La crise en Ukraine : le Viagra de l’Alliance ?

Bruxelles2 Blog - Wed, 24/06/2015 - 07:45

Exercice Noble Jump sur le terrain d’exercice de Zagan en Pologne (crédit : OTAN)

(BRUXELLES2) C’est un peu son élixir à elle ! Pour l’Alliance atlantique, la récente tension avec la Russie n’est pas une bénédiction. Mais pas loin. En tout cas, assurément, c’est un seconde jeunesse. Le drapeau haut levé, les tanks dans la boue, les hommes et femmes grimés dans la poussière, les colonnes de véhicules sur les routes… Enfin ! L’Alliance retrouve sa vertu première : défendre le territoire européen.

Sur le front de l’Est du nouveau

Des armées qui croupissaient à l’Est à ne rien faire se redécouvrent en première ligne. Et les pays orientaux qui n’avaient pas vraiment de visée stratégique se savent désormais un rôle indispensable : être la dernière barrière du « monde civilisé » face à l’ogre russe. Le monde redevient binaire et simple à comprendre : il y a les bons et les méchants, les bleus et les rouges comme les couleurs des exercices ! On joue à se faire peur. Il y a 10.000 hommes, 20.000 hommes, 30.000 peut-être même plus massés aux frontières de l’est de l’Ukraine, prêts à passer la frontière, à aller jusqu’à Kiev et faire la jonction avec les troupes en Transnistrie, voire continuer plus loin. Yallah ! (lire : Stratfor voit le Russe aux portes de Kiev !).

 

On dépoussière

Cette « guerre » molle n’a que des avantages en fait pour les stratèges de l’OTAN. La crise en Ukraine l’oblige à dépoussiérer les vieux concepts, les structures qui rouillaient un peu faute de menaces réelles. On découvre ainsi que la force de réaction rapide (NRF) n’est pas vraiment à réaction rapide et n’est plus vraiment adaptée à la guerre moderne, hybride et de mouvement dans laquelle se sont fondues les troupes russes. La leçon géorgienne de 2008 (où les forces russes n’étaient pas vraiment adaptées) a été tirée à Moscou. L’OTAN s’est fait « surprendre » en Crimée en 2014 et à l’est de l’Ukraine, par la détermination et la rapidité des Russes à dégainer (du moins c’est la version officielle).

L’hémorragie des dépenses stoppée

L’augmentation des tensions sur le front de l’est renverse aussi les tendances économiques qui grapillaient, année après année, des ressources aux budgets de défense. Malgré la crise, l’heure n’est plus totalement aux économies. Dans certains pays, on stabilise les ressources consacrées à la défense. Dans les autres, on les augmente. Partout, on essaie de rendre un peu plus performant le rendement d’un outil. Si certains pays – France et Royaume-Uni – en particulier – ont restructuré et rendu plus performant leur outil de défense malgré une baisse de leur budget, dans la plupart des autres pays, ce travail est à peine entamé. Soit on a diminué à la hache les budgets, sans vraiment réfléchir aux côtés opérationnels, car l’armée n’était pas destinée vraiment à être engagée à l’extérieur (mis à part quelques unités d’élite). La Bulgarie, la Hongrie, la Roumanie, la Slovaquie, la Suède * n’ont plus que l’ombre d’une armée. Soit on a conservé un volume de dépenses, mais avec beaucoup de graisse. C’est le cas en Allemagne et en Pologne qui ont décidé de faire les réformes qu’a fait la France il y a 20 ans ! Entre les deux, certains pays ont tenté de conserver un outil opérationnel mais sont à « l’os » aujourd’hui en termes opérationnels. La Belgique, l’Espagne, la Finlande, le Portugal, la Grèce…

Se rééquiper une urgence…

Résultat, sous la contrainte de la menace renouvelée russe, on restructure, on se rééquipe … Il est plus que temps ! Le carnet de commandes est de sortie. Il va falloir acheter de nouveaux engins à 4, 6 8 roues tout neufs, des tanks, de l’artillerie, des avions ronflants pour aller faire joujou dans les plaines de Pologne ou de Roumanie.

Sans peur et sans reproches et avec 0 risque

Avec un peu d’audace, on ira titiller le « Ruskof » sur sa frontière, sans trop de risques. Car de façon, le gentil tonton américain veille, comme depuis 70 ans sur sa progéniture européenne toujours incapable de faire un pas sans son ombrelle à 50 étoiles. C’est un peu comme le sale gosse derrière la grille qui vous tire la langue, sachant qu’il y a un gros doberman qui le garde et un grillage qui le sépare.

Car c’est tout l’avantage de cette guerre là. Elle ne présente quasiment aucun risque. Elle permet de faire des belles photos au milieux des exercices. Elle permet toutes les outrances nationalistes devant une opinion publique. Et on peut rentrer tranquillement chez soi le week-end. C’est autrement plus simple et moins risqué que de s’engager au Mali ou en Centrafrique, en Somalie, en Libye ou en Syrie. Ca fait moins de morts (sauf en cas d’accident de la route) et çà fait de meilleures photos.

Merci Poutine ! Les militaires de l’Alliance peuvent donc dire merci… à Poutine. Sans lui et la nouvelle attitude de la Russie d’aujourd’hui, l’Alliance était promis à la désespérance. Le coup de fouet, de viagra a été salutaire.

Conclusion : Attention aux vertiges

Attention cependant car l’abus de la petite pilule bleue peut conduire — comme le précise la notice de Pfizer, le fabricant du Viagra (télécharger ici) – à une « vision trouble, une diminution de l’acuité visuelle, des sensations vertigineuses… et au pire un arrêt cardiaque ». Une notice en quelque sorte très stratégique et peut-être prémonitoire A force d’être concentrée sur sa frontière Est, l’OTAN ne referait-elle pas la guerre du siècle dernier sans voir le danger qui la menace dès demain sur un autre flanc de sa frontière !

(Nicolas Gros-Verheyde)

* pays non membre de l’OTAN mais associé

Un pilier européen de l’Alliance pas très efficace

La réalité est cruelle. Avec 1,5 millions de soldats, l’Europe n’est toujours pas capable d’aligner quelques dizaines de milliers de militaires en réaction rapide, dans un délai de 48 heures ! Et avec un budget global qui frôle la moitié du budget US, les Européens sont incapables de faire plus de 10 ou 15% des missions US. Autrement dit on a une rentabilité de 1/3. On se demande ce qui a été fait depuis ces dizaines d’années au sein des comités « théodule » de l’Alliance !

Le secrétaire général Jens Stoltenberg posant avec des soldats de l’exercice Noble Jump 2015 (crédit : OTAN)

Egypt receives two fast missile crafts from US

Naval Technology - Wed, 24/06/2015 - 01:00
The Egyptian Navy has received two fast missile craft from the US, increasing the number of its fast missile vessels to four.

General Atomics to support US Navy’s aircraft carrier John F Kennedy

Naval Technology - Wed, 24/06/2015 - 01:00
General Atomics (GA) has received a contract to manufacture the electromagnetic aircraft launch system (EMALS) and advanced arresting gear (AAG) for the future CVN 79 aircraft carrier.

UK Royal Navy’s HMS Enterprise to conduct migrant rescues mission

Naval Technology - Wed, 24/06/2015 - 01:00
The UK Ministry of Defence (MoD) has deployed the Royal Navy's multi-role survey vessel HMS Enterprise to help tackle the refugee crisis in the Mediterranean, replacing its Albion-class assault ship HMS Bulwark.

RAN’s Nuship Adelaide LHD begins sea trials

Naval Technology - Wed, 24/06/2015 - 01:00
The Royal Australian Navy's (RAN) second landing helicopter dock (LHD) ship, Nuship Adelaide, has been floated out from BAE Systems' Williamstown shipyard to undergo sea trials.

Stratfor voir le Russe aux portes de Kiev !

Bruxelles2 Blog - Tue, 23/06/2015 - 23:53

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(BRUXELLES2) Stratfor, s’est livrée à un petit wargame en mars sur les possibilités d’incursion militaire russe plus pointue en Ukraine. Un grand amalgame d’informations avérées et d’autres qui ressemblent davantage à des rumeurs comme le rappelle elle-même la société privée américaine « d’intelligence » (= renseignement).

Scénario 1. Des incursions limitées et la continuité territoriale du territoire séparatiste

Les premiers scénarios examinés sont les plus limité d’entre eux tous. « Dans ce paradigme, la Russie a mené petites incursions le long de la totalité de sa frontière commune avec l’Ukraine dans le but de menacer divers objectifs clés de la région et, ce faisant, d’étaler la puissance de combat ukrainienne autant que possible. Du point de vue militaire russe, c’est efficient et efficace, mais cela ne permettrait pas de réaliser des objectifs politiques ou de sécurité supplémentaires qui ne soient pas déjà en cours. <p>">Toutefois, une telle démarche serait probablement utilisée en conjonction avec toutes les futures actions militaires de la Russie ou de séparatistes pro-russes. » Une autre option limitée selon les stratèges de Stratfor « est une petite extension de lignes séparatistes actuelles vers le nord, en incorporant le reste des oblasts de Donetsk et de Louhansk pour rendre le territoire plus autonome. <p>">Cette offensive consisterait principalement à l’engagement direct des forces ukrainiennes qui sont concentrées le long de la zone tenue séparatiste. »

Scénario 2 : Le pont vers la Crimée

Une des options « les plus couramment courues entraînerait la Russie à longer la côte sud de l’Ukraine pour relier la Crimée avec des positions séparatistes dans l’est de l’Ukraine ». Dans ce scénario, Strafor « a supposé que les planificateurs conduiraient l’offensive de front assez large pour assurer l’approvisionnement en eau primaire de Crimée, provenant du Dniepr. Cette caractéristique aquatique est importante, car une grande partie de la ligne défensive de la Russie serait attachée à un point défendable dans la région: à savoir, le fleuve Dniepr. Il faudrait alors <p>"> atteindre un pont de terre et sécuriser les lignes d’alimentation en Crimée. En menant une telle offensive, la poussée initiale déplacerait les forces rapidement à travers l’Ukraine vers la ville de Kherson et de Nova Kakhovka sur le fleuve Dniepr, où ils seraient mis en place des positions défensives. <p>">Une des contraintes potentielles pour ce scénario est le fait que les lignes d’approvisionnement devraient être prolongées sur une assez grande distance le long d’un mince, difficile à défendre, bande de terre. »

Le scénario du pont vers la Crimée

<p>">3e scénario : conquête des côtes et jonction avec la Transnistrie

L’autre scénario considéré « implique de saisir toute la côte sud de l’Ukraine pour connecter la Russie et ses forces de sécurité dans la région séparatiste de Transnistrie. La logique serait de paralyser Kiev en le coupant de la mer Noire, assurant ainsi tous les intérêts russes dans cette région dans un arc continu. <p>">Cela nécessiterait une opération de transition compliquée et dangereuse sur une grande rivière, avec un train de la logistique étendue et vulnérables. » Dans ce scénario, « les positions défensives ne peuvent être ancrés sur le fleuve Dniepr. Cela exigerait un plus grand nombre de forces pour tenir le terrain, sans le luxe d’une barrière géographique. <p>">La ville portuaire d’Odessa aurait besoin d’être capturée par la suite, ce qui serait une énorme entaille à l’économie ukrainienne. »

Le scénario des côtes

« Les deux scénarios qui se prolongent le long de la côte possèdent de sérieuses lacunes, laissant la force de la Russie dans des endroits très exposés. Une façade étendue sur un terrain relativement plat, coupée en deux par caractéristiques riveraines, est loin d’être idéale. Il y a des options pour la Russie d’aller au-delà. <p>">Toutefois, cela impliquerait de prendre la moitié sud de l’Est de l’Ukraine dans une tentative globale de commettre moins de puissance de combat. Toutefois, cela laisse encore un flanc russe massivement exposé et supprime le bonus de sécurité que représente le Dniepr. Une partie importante des lignes de défense ne serait pas ancrée sur le fleuve Dniepr. <p>">Au lieu de cela, elle serait étiré le long de l’axe de Kharkiv-Dnepropetrovsk, le contrôle de ces deux villes, ainsi que Zhaporizhia. »

Scenario 4 : La prise de Kiev

Le dernier scénario considéré par Stratfor « pourrait remédier à ces problèmes. En bref, la Russie pourrait saisir tout l’Est de l’Ukraine à la Dniepr, contrôlant tous les principaux points de passage, et en utilisant l’obstacle majeur de la rivière comme la ligne de front défensif. Pourtant, prendre toute cette zone nécessiterait une quantité importante de forces mobiles dans l’Est de l’Ukraine. L’occupation résultante exigerait également une campagne massive de contre-insurrection, y compris des opérations dans les régions de Kiev, ainsi que dans les villes de Kharkiv, de Dniepropetrovsk et d’autres, où pourrait être attendu un haut niveau de résistance. »

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