Par R.R.
La première édition du Salon national de la filière avicole ouverte, dimanche à la ville de Batna a été marquée par la participation de 60 exposants venus de 22 wilayas du pays.
Placée sous le slogan « Défi de la qualité, la santé et leadership », cette manifestation de deux jours organisée au Palais des expositions Assahar du centre ville, a vu la participation des opérateurs dans cette filière en constante évolution, de l’avis de plusieurs présents.
Approchés par l’APS, beaucoup d’exposants ont évoqué «la portée de ce genre d’initiative dans la promotion du produit local et national» et ont mis l’accent sur «l’importance d’échanger les expériences entre les différents producteurs en vue de développer cette filière pour s’orienter vers l’exportation, d’autant que ces produits (poulets ou oeufs) sont disponibles sur le marché national». Dans ce sens, le gestionnaire de la coopérative Erakha oua Izdihar d’Aïn Yagout de Batna, Ahmed Harkat a qui a fait part d’un projet d’extension prochaine du centre d’élevage de volaille dépendant ce cette coopérative, a indiqué que ses produits d’œufs sont commercialisés en Libye.
Cette coopérative assurant 250 postes de travail permanents dont 8 vétérinaires a investi dans toutes les chaînes de la filière avicole depuis l’élevage des poussins jusqu’à la transformation des viandes, a ajouté le même responsable.
La production en viande réalisée par cette coopérative créée en 1985 est estimée entre 10 et 15 tonnes par jour, alors que la quantité d’oeufs produite est évaluée à 20.000 oeufs/jour, a ajouté le même responsable. Ce Salon comprend des stands dédiés à la production des aliments de volaille présentés par des producteurs venus de plusieurs wilayas du pays à l’instar du groupe Ouchlouz Avicole de Timgad.
Le représentant de Ouchlouz Avicole, Charaf Eddine Bada, a indiqué que «la production de cette nourriture se fait en fonction de la demande et selon l’espèce des poussin», précisant que la quantité d’aliments de volaille produite par ce groupe oscille entre 20 et 30 tonnes par jour livré à des producteurs du territoire deBatna et des wilaya limitrophes.
Le stand présenté par un investisseur de la wilaya de Sétif, spécialisé dans l’industrie des équipements d’élevage de volaille a attiré l’attention des visiteurs car démontrant, selon son propriétaire, Abderrazak Doukhi «une chaîne de distribution automatique de la nourriture de volaille, ce qui constitue un appui de taille pour les éleveurs», a-t-il estimé, ajoutant que ces équipements sont commercialisés dans les différentes régions du pays.
Plusieurs productions avicoles ont été présenté dans le cadre de ce Salon national organisé à l’initiative de la Ddirection des services agricoles (DSA) de Batna en collaboration avec des DSA, des Chambres agricoles et Conseils interprofessionnels de plusieurs wilayas en plus d’exposants indépendants et laboratoires médicaux et d’analyse ainsi que des sociétés d’emballage entre autres.
Pour sa part, le DSA de Batna, Samir Hamza, a précisé que l’organisation de ce Salon national a pour but de «s’enquérir de la réalité de cette filière au double plans local et national», d’autant, a-t-il ajouté que «des rencontres scientifiques animées par des spécialistes de l’université, des vétérinaires, de sélecteurs et des producteurs, seront tenues en marge de cette manifestation pour débattre des contraintes encontrées sur le terrain et étudier les solutions à mettre en oeuvre pour une meilleure prise en charge de cette activité agricole».
Le même responsable a indiqué que des remises sur les produits présentés, les viandes, les oeufs et dérivés sont appliqués au cours de ce salon. Cette manifestation, inaugurée par les autorités locales a été l’occasion pour zoomer sur le Développement de la filière avicole à Batna considérée comme wilaya pilote en la matière car classée en 2018, première à l’échelle nationale dans la production d’œufs et deuxième dans la production des viandes blanches.
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l’Office national de la météorologie indique dans un bulletin spécial émis ce matin, mardi 26 mars 2019, le retour de la pluie sur plusieurs wilayas du sud : Naâma, El Bayadh, Laghouat, Djelfa, Ouargla, Bechar, Adrar et enfin Ghardaia. La pluie s’abbatra sur ces wilaya a partir de 15.00 h et poursuivent jusqu’à demain mercredi.
D’après le même BMS plusieurs wilayas de l’Ouest du pays seront touchées par de fortes rafales de vent dans la vitesse dépassera localement 70 km/h.Il s’agit des wilayas d’Oran et de Ain Temouchent.
M.A.Y
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Louisa Hanoune a livré, hier lundi, au forum de Liberté son point de vue et son analyse sur lemouvement de protestation populaire contre lepouvoir et l’a qualifié de « véritable révolution »,
tout en niant qu’il soit un « printemps arabe ou un hirak ». La solution est, pour Louisa Hanoune, la création de « comités populaires. Les comités populaires, c’est l’autoorganisation de la majorité pour conserver le caractère pacifique du mouvement, exclure et isoler les provocateurs et affirmer l’aspiration à la démocratie et non à un État islamique ou autre chose », a-t-elle expliqué. Pour elle, « il incombe à l’armée de protéger notre sécurité nationale, nos frontières, mais aussi, de répondre à toute velléité d’ingérence étrangère, ça l’armée doit le dire ».
La SG du PT est revenue, sur les dernières propositions qui ont émané de l’opposition, notamment en ce qui concerne les personnalités proposées par les uns et les autres pour diriger la période de transition. Elle a notamment exprimé son rejet de l’idée de confier la présidence de la conférence nationale à l’ancien Président Liamine Zeroual. « Notre position est non. Il est malade » a-t-elle dit à son suje .
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par M. Aziza
L’occupation des espaces publics par les protestataires exigeant le départ du système est quasi quotidienne en Algérie. Hier encore, des centaines de fonctionnaires d’APC et des dizaines d’architectes se sont rassemblés à la Grande Poste d’Alger, réclamant un changement radical, en visant principalement le pouvoir et non pas les institutions de l’Etat.Les fonctionnaires des communes sans casquette syndicale et ceux adhérents au SNAPAP, dont certains sont venus de différentes régions du pays, ont investi les rues de la capitale en marchant vers l’avenue Maurice Audin, pour exiger un «changement du paysage politique» ainsi que «le départ du secrétaire général de l’UTGA, Abdelmadjid Sidi Saïd».
Plusieurs travailleurs et cadres, représentant différents secteurs, dont ceux de la formation professionnelle, de l’agriculture, des travaux publics ainsi que des vétérinaires, se sont joints à la protestation. Sur une pancarte, on pouvait lire «Basta !!!! La santé publique vétérinaire a trop souffert».
Sur une grande banderole brandie par les travailleurs des APC, était écrit «les communaux veulent un Etat de droit… dégagez». Sur une autre, «Stop à l’esclavage moderne».
Certains d’entre eux sont allés dénoncer les conditions socioprofessionnelles difficiles des communaux. «Un salaire de 9.000 DA et une facture d’électricité à 9.000 DA, M. Bedoui, pouvez-vous résoudre cette équation ? Si vous êtes incapable, partez !», avaient écrit des protestataires sur une pancarte.
D’autres ont affirmé que les Algériens sont pauvres dans un pays riche. «Ceux qui profitent des richesses de notre pays sont les enfants du système, par contre l’austérité et la misère sont prescrites par ce même système aux enfants du peuple», nous dira un fonctionnaire de la commune Semaoun de la willaya de Béjaïa.
D’autres ont improvisé une pièce théâtrale titrée «Le prolongement du quatrième mandat, une mascarade politique».
«Partez… Laissez-nous bâtir notre République»
Les architectes protestataires ont pour leur part exigé le départ du système et l’édification d’un Etat de droit. «On est là en tant qu’architectes pour maintenir la pression, une semaine chargée qui finira par une grande marche vendredi, voilà notre objectif pour demander pacifiquement à ce pouvoir de partir et nous laisser bâtir une véritable nation», nous dira Slim Rabia, un des architectes protestataires rencontrés sur place. «Laissez-nous bâtir une Algérie algérienne». Et cela «sans nous diviser, car on connaît bien leur jeu depuis 1962, et sincèrement, c’est le moment pour qu’il y ait un transfert du pouvoir vers une autre génération et de bâtir sur des nouvelles et de bonnes bases la deuxième République».
Pour cet architecte, «il ne faut pas se tromper de discours, d’abord le départ du système». Et d’affirmer que «le départ du pouvoir ne veut en aucun cas dire la chute de l’Etat, car il faut bien se rappeler que les institutions de l’Etat ont pu se maintenir lors de la décennie noire».
Et d’ajouter «nous sommes pour une génération plus patriotique, y’en a marre des personnes qui utilisent la légitimité historique pour s’accaparer du pouvoir et y’en a marre des lobbies qui veulent mettre l’Algérie à genoux».
Sur des pancartes, des architectes ont écrit «Basta à la gestion téléguidée par l’oligarchie de l’import-export» ou encore «partez… laissez-nous bâtir notre République».
Un peu plus haut, sur l’avenue Ahmed Ghermoul, à Alger, des magistrats de la cour des comptes sont sortis dans la rue près de leur siège pour affirmer leur soutien à cette contestation populaire, exigeant des changements et lédification d’un Etat de droit.
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Leurs noms sont très présents dans les discussions dans la rue, sur les réseaux sociaux, dans la foulée des manifestations populaires pour le départ de Bouteflika et de tout le régime en place. Il s’agit des Kouninef, (Karim-Noah, Tarek …), cette fratrie connue pour être étroitement liée au cercle présidentiel. Et ce n’est pas pour rien que le nom de Rédha, cerveau de la famille Kouninef, pour qui la loyauté sont des valeurs chères, a retenti ces derniers temps…
Ce jeune milliardaire, à la tête de KouGC, pour témoigner sa reconnaissance envers le clan présidentiel, se serait engagé, d’après le quotidien El Watan , à financer le lancement de «Continuité», une nouvelle chaîne de télévision qui devait être exclusivement dédiée à la couverture de la campagne pour le cinquième mandat de Bouteflika. «Kouninef-TV» dont la régie, toujours selon la même, allait être confiée à Amara Benyounes, n’a pas pu voir le jour, Bouteflika ayant, sous la pression de la rue, décidé de renoncer au 5e mandat.
Le premier responsable de l’hydraulique, qui s’exprimait le week-end passé sur les ondes de la radio locale s’était gardé, contexte politique bouillonnant oblige, d’en divulguer le nom, c’est au Groupe KouGC qu’aurait été confié le projet de réalisation pour le compte de l’Office national d’assainissement, d’une nouvelle Station de traitement et d’épuration des eaux usées (STEP) à Oran.
Le projet pour lequel une enveloppe budgétaire de 2,5 milliards de DA a été débloquée par le ministère des Ressources en eau devrait être livré en 2020. Quelques semaines auparavant, l’«expertise» du Groupe KouGC est, à nouveau, sollicitée par une autre entité publique, l’Agence nationale d’études et de suivi de la réalisation des investissements ferroviaires (Anesrif). Sans en préciser la nature, des sources proches de la Société nationale des transports ferroviaires (SNTF), nous ont appris que «l’Anesrif, établissement qui a pour mission essentielle la modernisation et le développement du secteur des transports ferroviaires, a confié un gros contrat lié à la sécurisation des voies ferrées à une entreprise appartenant à la famille Kouninef». Mais le business le plus lucratif, c’est auprès de Sonatrach que KouGC se l’est toujours offert, surtout depuis l’arrivée de Abdelmoumen Ould Kadour à la tête du groupe pétrolier.
Selon un média européen, bien au fait des arcanes du monde de l’énergie, le «chouchou» du clan présidentiel aurait raflé, fin avril 2018, un contrat d’environ 2 milliards de dinars pour la mise sur pied d’une base vie au niveau du gisement gazier Tin Fouyé Tabankort (TFT) à Ghadamès, exploité par Total, Repsol et Sonatrach. Pourtant, s’étonne le même média, KouGC n’est pas spécialiste de la construction des infrastructures préfabriquées, opérant habituellement dans le BTP et le génie civil, routes, barrages, ponts, hôpitaux militaires, etc. Toujours grâce à ses solides appuis présidentiels et profitant à plein de la prétendue politique d’algérianisation des contrats de sous-traitance instaurée par le big boss de Sonatrach, le très discret Rédha Kouninef réussira, la même année (mars 2018), à décrocher un marché de plusieurs centaines de millions de dinars.
Ce contrat, conclu entre sa société de gardiennage armé «Secur Group» et l’Entreprise nationale des grands travaux pétroliers (ENGTP), porte sur la protection, la surveillance et l’escorte de produits sensibles dans la très délicate région d’In Amenas. Et ce, outre un bon nombre d’autres non moins juteux contrats dans les forages pétroliers. C’est autant dire que depuis 1999, date à laquelle Abdelaziz Bouteflika accède au pouvoir, les affaires du trio Kouninef marchaient tant et si bien que leur entreprise familiale est devenue un puissant et redoutable empire dans les secteurs du BTP, l’hydraulique et le gardiennage.
Sur ce fort lucratif business, sécurisation des sites et infrastructures de Sonatrach, l’arrivée de nouveaux concurrents, tout aussi puissants, et les chamboulements politiques qui agitent le plus haut sommet de l’Etat commencent à faire perdre aux Kouninef des parts de marché non négligeables.
La ruée vers les contrats publics s’exacerbe. En témoigne le groupe de sécurité privé El Amine Gard, propriété d’un sénateur FLN (ville frontalière de l’est du pays) vient de remporter un contrat qui a fait plus d’un envieux parmi les colosses de la filière de gardiennage, les Kouninef y compris. Selon des informations que nous avons pu obtenir auprès du Groupe public Sider, propriétaire de la Société publique de gardiennage et surveillance (SGS), ce contrat, qui se négociait depuis des mois, a été conclu dans la discrétion la plus totale entre El Amine Gard et un organisme relevant du ministère des Transports que dirigeait Abdelghani Zaâlane, ex-directeur de campagne de l’ex-candidat, Abdelaziz Bouteflika. Information confirmée par un site spécialisé dans son édition de jeudi dernier.
L’organisme public qui a sollicité les services d’El Amine Gard s’avérera être le Groupe d’infrastructures des travaux routiers et ouvrages d’art (Gitra). Pour plus de 130 millions de dinars, cette filiale phare de l’Entreprise nationale des grands ouvrages d’art (Engoa) a confié la surveillance et la sécurité de l’ensemble de ses chantiers en cours à travers le territoire national (viaducs, tunnels, barrages, passerelles, ponts, etc.). Depuis fin 2018, les uniformes El Amine Gard sont également présents sur les sites pétroliers (Hassi R’mel et Oued Noumer).
Là où bien des années durant intervenaient les troupes de Vigilance, société de gardiennage, l’un des principaux actionnaires étant un ex-général, ex-député. Ce haut gradé, associé du sénateur à El Amine Gard, qui serait il ? «Car pour parvenir à ravir un gros contrat aux Kouninef et à laminer la société de celui qui a eu à commander les Forces navales et l’Académie militaire de Cherchell, il faut être plus puissant que les Kouninef et plus proche des décideurs de l’ombre», tient à souligner un ex-cadre dirigeant de la SGS Annaba. Flairant le filon hautement porteur et prometteur, de plus en plus nombreux sont les poids lourds du FLN à s’y lancer. Le tout dernier en date étant un industriel, député FLN (Mascara) et membre très influent au sein du Forum des chefs d’entreprises (FCE) qui aurait monté, à la fin de l’été 2018, une société de gardiennage et de sécurité en association avec un proche parent du colonel Mustapha El-Habiri, l’ex-patron de la police algérienne.
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Hormis l’affaire du gel d’un important contrat avec Exxon Mobil, Sonatrach ne semble, pas manquer de nouveaux partenaires. D’après El Watan, la direction de la compagnie nationale de production des hydrocarbures a signé ces dernières semaines des contrats à la pelle avec des clients locaux et étrangers.
Selon les mêmes sources, ces contrats se chiffreraient même à plusieurs centaines de millions de dollars. Les observateurs s’interrogent d’ailleurs pourquoi tous ces contrats sont signés à un rythme aussi soutenu alors que rien ne presse.
L’un des derniers contrats en date conclu par la Sonatrach concerne le développement du champ gazier de Aïn Tsila, localité située dans le périmètre d’Isarene, à 160 km au nord-ouest de la wilaya d’Illizi. Ce projet, d’un montant de 123 milliards DA et qui doit être livré au bout de 42 mois, sera mené par le groupement Isarene et Petrofac International (UAE) LLC. Une fois réalisé, il devrait, selon Sonatrach, permettre la récupération de 64 milliards de m3 de gaz, avec une production journalière de 10,3 millions de m3 de gaz de vente, 11 500 barils de condensat et 17 000 barils de GPL sur un plateau de 14 ans.
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Présent depuis un an dans le club chinois de Dalian Yifang, Yannick Carrasco commence à trouve le temps long. Le Belge, qui commence à perdre sa place titulaire en équipe nationale, a confié dans le Het Laatste Nieuws, qu’il aimerait revenir en Europe.
« J’aimerais retourner en Europe. Beaucoup d’équipes étaient intéressées cet hiver. Nous avons essayé de trouver une solution pour que je puisse partir. Mais je comprends le club de Dalian Yifang. Il voulait que je reste » a affirmé le joueur tel que le rapporte Footmercato Cet hiver, Arsenal, Manchester United, Milan et l’Inter se sont penchés sur sa situation sans que cela ne bouge.
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Enorme coup dur pour le Portugal et la Juventus… Le quintuple Ballon d’or Cristiano Ronaldo est sorti sur blessure lors de Portugal-Serbie (30e minute) suite à une douleur à la cuisse comme l’indique Sport24. Le Portugais s’est arrêté en pleine course puis s’est mis à terre avant de céder sa place à Pizzi. Grosse alerte pour les Bianconeri et le futur quart de finale de Ligue des champions le 10 avril…
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Tout d’abord, comment gérez-vous cette trêve ?
Nous essayons de faire de notre mieux pour bien appliquer le programme du staff technique. Nous savons que cette période est cruciale pour la suite du parcours, nous allons aborder la dernière ligne droite, il va falloir que nous la préparions donc de la meilleure des manières pour espérer atteindre notre objectif et sauver notre saison. Nous n’avons plus droit à l’erreur et c’est pour cette raison qu’il faudra redoubler d’efforts.
Pensez-vous que votre équipe peut bien s’en sortir et aller décrocher un nouveau titre ?
Bien sûr que oui, je n’ai aucun doute là-dessus. Nous avons assez d’expérience mais aussi de talent pour aller au bout. C’est vrai que nous restons sur une série de deux défaites de suite, mais nous n’avons pas dit notre dernier mot. Nous disposons de cinq points d’avance, c’est quand même un bon écart, mais il va falloir le garder. Nous serons très attendus et c’est pour cette raison que nous préparons du mieux possible notre come-back.
Votre moral n’a pas été trop affecté après avoir perdu le derby contre le MCA ?
C’est vrai que ce n’est pas facile de digérer une telle défaite surtout que nous aurions pu facilement décrocher un meilleur résultat si ce n’est le penalty accordé dans les derniers instants de cette rencontre. Nous sommes revenus au score à deux reprises, ça prouve que nous n’étions pas mauvais. C’est dommage de laisser filer des points qui auraient pu nous rapprocher un peu plus du titre.
Votre prochain match vous opposera au CRB, un mot à propos de cette rencontre ?
C’est un match comme tous les autres, un match qu’il faudra gagner coûte que coûte. Nous avons laissé filer beaucoup de points jusque-là, il faudra mettre fin à cette situation et se ressaisir. Notre adversaire aura besoin aussi d’une victoire, ce qui rendra cette rencontre encore plus serrée et compliquée à négocier. Les Belouizdadis reviennent forts ces derniers mois, il faudra aussi se méfier d’eux et surtout ne pas penser que la victoire est acquise d’avance.
Sur un plan personnel, seriez-vous prêt à donner un coup de main à vos coéquipiers ?
La question ne se pose même pas, bien sûr que je le suis. Il n’y a aucune raison pour que je ne le sois pas. Si le coach me fait appel, je tâcherais de répondre présent. Ce n’est pas le moment de lâcher, il faut rester solides et solidaires, nous ferions donc de notre mieux afin d’aller au bout. Personne ne nous fera de cadeau, mais nous sommes décidés à aller au bout.
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Comme convenu c’est hier que le Mouloudia a débuté son stage de préparation durant cette trêve de courte durée, où le staff technique essayer de mettre en œuvre son programme afin que l’équipe puisse enchainer d’autres bonnes performances et créer cette dynamique de résultats qui a tant manqué à l’équipe. Mekhazni mise beaucoup sur ce stage dans la mesure où il s’attaquera à tous les volets et pas seulement l’aspect technique, en étant persuadé que l’équipe a besoin d’une ligne de conduite digne de ce nom. Ce stage bloqué à Ain Benian représente donc une belle opportunité afin qu’il puisse avoir tout le groupe sous sa coupe.
Le regroupement sera prolongé de deux jours
Etant informé que son équipe reprendra la compétition le 2 avril prochain, avec à l’affiche un match difficile face au NAHD, Mekhazni a décidé, en concertation avec les membres de son staff, que le stage ait une durée de quatre jours. Toutefois et suite à la décision de la LFP de reporter la reprise de la compétition, tout en programmant le derby pour le 4 avril au stade du 20-Août, Mekhazni a décidé ainsi de prolonger le stage de deux jours, et qui s’achèvera ce vendredi. Autrement dit, les coéquipiers de Hachoud seront en stage durant une semaine.
Vers un autre match amical pour jeudi
Afin que le programme initial soit respecté, le staff technique du Mouloudia, et en plus du match amical qui sera disputé ce mardi face à l’USMB, compte programmer une autre confrontation pour le jeudi et s’est mis déjà à la recherche d’un sparring-partner. Ce qui permettra aux joueurs de rester compétitifs et la trêve bien meublée. Le fait de jouer deux matchs amicaux permettra aussi aux joueurs d’avoir plus de temps de jeu, notamment les jeunes joueurs qui n’attendent que d’avoir leur chance pour prouver de quoi ils sont capables. Seul bémol pour Mekhazni : l’indisponibilité des joueurs blessés, puisqu’il aurait souhaité bénéficier de la présence de l’ensemble de son effectif.
Derrardja et Bendebka autorisés à quitter Ain Benian
Comme nous l’avons déjà rapporté dans notre précédente livraison, le coach aurait exigé que tous les joueurs rentrent en stage, y compris ceux qui sont blessés, afin de suivre l’évolution de leur état de santé, mais aussi leur tracer le programme qui leur convient, et ce, avec le concours du préparateur physique du club et le staff médical. Cependant, deux joueurs seront finalement autorisés à rester chez eux et se présenter juste pour des soins, à savoir Derrardja et Bendebka du fait que le staff médical leur a prescrit un repos total.
Le groupe sera composé de 26 joueurs
Pour ce début de stage, le groupe sera composé de vingt-six joueurs, sans compter Merouani, qui est avec l’EN Olympique, ainsi que Amada et Dieng, qui sont en sélections de leur pays. Toutefois, on découvre plusieurs jeunes joueurs dans ce groupe. Connu pour être un adepte de la politique des jeunes, Mekhazni a décidé de leur offrir l’occasion de s’entraîner avec l’équipe première, toutefois, certains d’entre ont été déjà à pareille fête.
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